ÊTRE PROFESSIONNEL DE L ACCUEIL DE LA PETITE ENFANCE DANS LES RÉALITÉS D AUJOURD HUI

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ÊTRE PROFESSIONNEL DE L ACCUEIL DE LA PETITE ENFANCE DANS LES RÉALITÉS D AUJOURD HUI"

Transcription

1 ÊTRE PROFESSIONNEL DE L ACCUEIL DE LA PETITE ENFANCE DANS LES RÉALITÉS D AUJOURD HUI Principaux résultats de l étude menée auprès de professionnels de l accueil collectif et individuel

2 Être professionnel de l accueil de la petite enfance dans les réalités d aujourd hui Elaboration de deux questionnaires à destination : Des différents professionnels d EAJE Des assistants maternels Conçus par des membres du réseau devenir d enfance Qui regroupe des coordinatrices petite enfance, des responsables de structures, responsables de RAM accompagnées par le sociologue Avec une préoccupation Comprendre les effets des évolutions politiques récentes (PSU, agrément initial à 2 enfants et jusqu à 4 pour les AM, arrivée des MAM, rôle des RAM ) sur l expérience des professionnels

3 Être professionnel de l accueil de la petite enfance dans les réalités d aujourd hui Plusieurs objectifs: Comprendre l expérience des professionnels de terrain Ce qui fait sens dans l activité Ce qui pose problème Ce qui change dans le travail avec : Les enfants Les parents Les collègues Pour dessiner les évolutions vécues dans le domaine de la petite enfance Pour définir, en tant qu acteurs de la petite enfance, des pistes de réflexions

4 Être professionnel de l accueil de la petite enfance dans les réalités d aujourd hui Pour cela Deux questionnaires d une quarantaine de questions Des questions portant sur : Les évolutions des temps d accueil (temps partiel, très partiel, occasionnel, horaires atypiques) Vécus et évolutions du travail auprès des enfants, avec les parents, en équipe / avec les collègues. Les facteurs positifs et négatifs Les effets du travail d accueil sur l enfant, les parents, le lien social Est-ce que ce travail laisse des traces?

5 Être professionnel de l accueil de la petite enfance dans les réalités d aujourd hui Un questionnaire en auto-passation (diffusion et réponse par lien internet) Un questionnaire diffusé par réseaux Une diffusion sur deux mois (Février-Avril 2014) Près de 3000 réponses: 939 de professionnels d EAJE 1919 d assistants maternels

6 6 LES PROFESSIONNELS D EAJE

7 7 Les répondants 29 départements 138 communes différentes Principalement des établissements municipaux et intercommunaux Une répartition homogène des tailles d établissements (un quart moins de 20 places, un quart entre 20 et 30 places ) La moitié des répondants sont des personnes en fonction de direction (directeur et adjoints, qu ils soient puériculteurs ou éducateurs de jeunes enfants) L autre moitié proviennent des équipes de terrain ( toutes les fonctions sont représentées)

8 8 PERCEPTION DU TRAVAIL D ACCUEIL Globalement, un travail intéressant mais stressant Des auxiliaires de puériculture en retrait? Elles trouvent le travail moins intéressant Ce sont elles qui le ressentent le plus souvent comme routinier et ennuyeux. Ce sont également elles qui trouvent que le travail n est pas valorisant, mais également qui se ressentent plus fatiguées, usées et stressées par rapport aux autres professionnels. On peut faire l hypothèse que le regard social sur le travail d accueil de la petite enfance comme «travail mineur» a une incidence sur le vécu de ce travail par les principaux acteurs. Les auxiliaires et les EJE sont celles qui se perçoivent le moins valorisées dans leur métier ce qui renvoie à l idée d un travail sans qualité alors qu elles ont une qualification. A cela se rajoute, pour les auxiliaires, un «effet cuvette» avec une moindre possibilité d évolution professionnelle qui viendrait reconnaître une expérience professionnelle.

9 9 Perception du travail avec les enfants Des auxiliaires également en retrait pour ce qui concerne le travail avec les enfants? Elles déclarent plus fréquemment l usure, la fatigue, le stress, le manque de créativité Un moindre intérêt au travail et plus de routine Quelles conséquences a ce vécu déprécié des professionnelles auprès des enfants? Une conséquence économique (plus d absentéisme)? Une conséquence éducative. Si les professionnels proches des enfants sont dans ce ressenti déprécié, qu est-ce que cela veut dire en termes de transmission «du vécu» aux enfants?

10 10 L évolution du travail avec les enfants sur 5 ans Un travail : Plus complexe, exigeant et difficile mais... Tout autant agréable, joyeux et enrichissant. Ce n est pas parce que le travail devient plus complexe et exigeant qu il s en retrouve moins enrichissant et agréable! Les raisons des évolutions positives La durée de l expérience professionnelle Les relations au sein de l équipe La formation professionnelle La mise en place de projets thématiques Les évolutions positives se jouent plus au niveau des individus qu au niveau des établissements. Les raisons des évolutions négatives Intensité, charge de travail (nombre d enfants accueillis en même temps, taux d encadrement) Les conditions de vie des enfants (précarité, isolement) et rythme de vie des enfants Ce résultat nous a surpris car il ne correspond pas à notre perception du terrain. Nous avions fait l hypothèse que le nombre d enfants différents accueillis par place générait une difficulté du fait d un morcellement du travail.

11 11 Le travail avec les parents Il y a un consensus sur l évidence du dialogue avec les parents Ce dialogue est quasi unanimement reconnu comme nécessaire et utile pour tous De manière très majoritaire, les temps de rencontres avec les familles sont constitués par des temps festifs (88% fêtes) et des temps de réunion (65%) Les temps de co-constructions (comme les conseils de crèches) sont minoritaires (22% des répondants) L évolution du travail avec les parents Plus complexe et difficile Mais autant respectueux, agréable et confiant Raisons des évolutions positives Meilleure écoute des professionnels Meilleure prise en compte du besoin des familles Les professionnelles évaluent que c est leur posture qui a changé et fait évoluer de manière positive le dialogue avec les parents Raisons des évolutions négatives Rythme de vie des familles Contexte économique Décalage entre les attentes des professionnels et celles des parents.

12 12 Le travail en équipe Il y a un consensus des répondants pour considérer le travail en équipe comme utile et nécessaire Un consensus plus modéré sur le fait que ce travail est enrichissant et constructif En terme d évolution, le travail en équipe est là encore considéré par les répondants comme plus complexe et difficile mais tout autant agréable et confiant Raisons des évolutions positives Principalement des raisons liées à la vie et de l équipe et les temps de réunion Les temps d analyse de la pratique Les projets thématiques Ce sont les occasions d échanger et d élaborer entre professionnels impliqués dans une même pratique qui comptent Raisons des évolutions négatives D abord la fatigue des professionnels (73%) Ensuite le turn-over et le manque de temps d échanges (37%) La fatigue semble être le reflet de l intensification du travail (lié au nombre d enfants accueillis en même temps et au taux d encadrement). Le rapport avec la hiérarchie semble avoir peu d impact sur les évolutions du travail en équipe

13 Qu est ce qui aide / Qu est ce qui manque dans la pratique professionnelle? Ce qui aide Les échanges avec les collègues (72%) Les réunions / Les échanges avec les enfants La participation à des formations / Les échanges avec les parents 13 Ces réponses soulignent l importance du collectif (y compris informel) et des relations dans la pratique professionnelle Ce qui manque Etre entendu dans ses propositions, l analyse de la pratique / les formations Puis les occasions d échanges, les réunions, les projets thématiques Ressort le souhait d être entendu et de pouvoir impulser des projets depuis sa propre pratique, de pouvoir mettre en forme les dilemmes et situations rencontrés sur le terrain.

14 14 Le projet d établissement Seule une faible majorité de répondants (57%) sait qu il y a un projet d établissement achevé Dans les réponses, le projet d établissement est présent dans chaque facteur d évolution positive mais il n apparait jamais comme primordial. Il apparait comme moyennement ou très peu présent au quotidien. Il y a une corrélation dans les structures entre l existence du projet d établissement et la tenue de séances d analyse de la pratique. Le projet d établissement semble donc jouer insuffisamment son rôle. Peut être parce qu il est déconnecté de la pratique concrète?

15 15 La perception des effets du travail Quelle trace laisse notre travail? Logiquement, une trace plus nette sur les enfants que sur les parents Ce sont les Educatrices de Jeunes Enfants qui déclarent le plus fréquemment avoir un effet sur l enfant Et ce sont les directrices qui déclarent le plus fréquemment avoir un effet sur les parents.

16 16 En première conclusion Le dépouillement et l analyse du questionnaire fait ressortir une double évolution du travail en EAJE L évolution éducative : la part de l éducatif et l importance des relations augmente. L évolution sociale: les contraintes liées aux évolutions socio-économiques impactent les pratiques professionnelles

17 LES ASSISTANTS MATERNELS

18 Les assistants maternels Le profil des répondants 86% sont indépendants Une répartition homogène en terme d ancienneté 95% des répondants ont exercé une activité professionnelle auparavant Dont 45% pendant plus de dix ans 8 régions, 18 départements, 106 communes

19 Les assistants maternels Devenir assistant maternel : deux grandes conceptions du métier Deux conceptions de l activité En continuité avec la vie familiale Une activité professionnelle distincte de la vie familiale et une recherche d autonomie Une recherche d autonomie dans l activité professionnelle? Chez les assistants qui ont un parcours professionnel antérieur, on voit s affirmer une dimension professionnelle «travailler auprès d enfants», mais aussi une recherche de maîtrise du cadre de travail «travailler chez soi». Des raisons qui changent en fonction de l ancienneté des professionnels Les plus récents disent plus fréquemment «travailler auprès d enfants» Les plus anciens disent plus fréquemment «s occuper de ses propres enfants»

20 Les assistants maternels La formation initiale : une bonne formation qui ne prépare pas assez bien au métier Une formation jugée bonne par une très large majorité de répondants (82%) mais ne préparant pas assez bien au métier pour 52% d entre eux. Une formation jugée d autant moins suffisante que l on est plus ancien dans le métier Les formations ont-elles évolué? L expérience démentit-elle la formation? Qui se forme et se reforme? 47% des répondants n ont eu aucune formation depuis leur formation initiale (un tiers des professionnels de plus de dix ans d ancienneté sont dans ce cas) Ce sont les assistants venus au métier par rebond et par souhait de s occuper d enfants qui ont fait le plus de formations

21 Les assistants maternels Une relative sous-activité? 54% des répondants travaillent en dessous de leur capacité d accueil Cette situation est massivement involontaire (pour 75%) Une situation indépendante de l ancienneté dans le métier Les assistants maternels qui ont une expérience professionnelle antérieure sont moins exposés à la sous activité. Une activité relativement cadrée? 75% n accueillent aucun enfant avant sept heures 47% n accueillent aucun enfant après 18 heures Un accueil le week-end quasi-inexistant (8%) L exposition aux «horaires atypiques» ne varie ni en fonction de l ancienneté, ni en fonction de la sous activité

22 Les assistants maternels Un sentiment d isolement fréquent (il touche plus de 40% des répondants) Ce sentiment d isolement baisse avec l ancienneté Ce sentiment est plus fort chez les assistants maternels venus au métier avec une vocation «familiale» (s occuper de ses propres enfants, être chez soi) Le sentiment d isolement est plus fort chez les assistants maternels qui n ont aucun parcours professionnel antérieur La fréquentation du RAM atténue ce sentiment d isolement Aussi, le sentiment d isolement baisse avec l affirmation d une dimension professionnelle dans l activité

23 Les assistants maternels La fréquentation des RAM Une fréquentation majoritaire La fréquentation du RAM ne dépend pas de l ancienneté ni de la vocation des professionnels (familiale ou professionnel) mais du fait d avoir ou pas, un parcours professionnel antérieur Les grandes raisons de la fréquentation des RAM Une moitié pour des ateliers avec les enfants Un quart pour des conférences, des réunions Mise à jour des disponibilités Un cinquième pour des renseignements juridiques, administratifs (22%) Les grandes raisons de la non fréquentation des RAM Un tiers principalement pour des raisons d accessibilité, de distance Un cinquième pour des questions d horaires Manque d autorisation des parents Pas envie de fréquenter le RAM

24 Les assistants maternels Les associations d assistants maternels Un quart des répondants font partie d association Des associations principalement tournées vers les réunions et temps d échanges entre professionnels Des formations aux activités Des temps de rencontre et d activités Donc des lieux d enrichissement de l activité par les échanges et par les formations.

25 Les assistants maternels Les maisons d assistants maternels (MAM) Moins de 2% en font partie ou ont un projet de MAM mais Une idée qui partage : 41% disent que cela leur plairait et 42% qu ils ne le souhaitent pas Une idée plus attirante pour les professionnels les plus jeunes.

26 Les assistants maternels Le besoin de nouvelles formations Une demande fréquente (deux tiers) Une demande moins fréquente chez les plus anciens Une demande de nouvelle formation Sur les aspects administratifs, juridiques et contractuels Les aspects pédagogiques et éducatifs Et ensuite, les aspects relationnels

27 Les assistants maternels Le rapport au travail d accueil de la petite enfance Un vécu: Moins marqué par le stress Plus marqué par l organisation et la routine Mais avec plus de possibilités créatives Qu en EAJE Le rapport au travail auprès des enfants Moins de différence entre le vécu de l activité générale et l activité auprès des enfants La disparition de «l effet cadre» Mais au détriment du sentiment d intérêt et de valorisation auprès des enfants Au final un vécu moins usant mais aussi moins valorisant, moins enthousiasmant qu en EAJE Le vécu du travail change en fonction de la motivation initiale Les professionnels venus au travail par rebond professionnel ou «pour travailler auprès d enfants» jugent plus fréquemment le travail intéressant et dynamisant que les autres.

28 Les assistants maternels Les évolutions du métier sur les cinq dernières années Un ressenti globalement plus positif que chez les professionnels d EAJE Moins marqué par des notions de complexité, de difficulté et d exigence Des évolutions positives surtout liées à l expérience professionnelle et aux relations entre collègues Pour les assistants maternels, l amélioration du vécu de l activité est lié à des éléments qui procèdent de leur activité concrète (expérience professionnelle, organisation de l espace de travail) et des échanges entre collègues Les rencontres au RAM, les formations n arrivent que derrière. Des évolutions négatives principalement liées au rythme de vie des enfants Les conditions de vie des enfants n arrivent que loin derrière Même constat que pour les EAJE

29 Les assistants maternels Quelle trace laisse notre travail? Moins de réponse à ces questions Des traces un peu moins fortes sur les enfants Des traces beaucoup moins fortes sur les relations parents-enfants, les parents, le lien social. Une mission sociale aux contours moins définis Une posture plus marquée par une dimension affective Un cadre d activité plus «restreint» parce que se situant dans un contrat de gré à gré

Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015

Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 Réforme des rythmes scolaires Projet Educatif de territoire d Evecquemont Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 A Du PEDT au comité de suivi et d évaluation de la réforme

Plus en détail

Dépouillement questionnaire satisfaction TAP

Dépouillement questionnaire satisfaction TAP Dépouillement questionnaire satisfaction TAP Un questionnaire par élève avait été remis. Il y a eu le retour de 102 questionnaires sur 240 distribués (soit 42.). Ceci est un bon taux de réponse qui permet

Plus en détail

S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE

S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE - Sondage de l'institut CSA - - Note des principaux enseignements - N 1001198 Février

Plus en détail

Santé et relations humaines au travail Sommes-nous prêts à être plus performants?

Santé et relations humaines au travail Sommes-nous prêts à être plus performants? Santé et relations humaines au Sommes-nous prêts à être plus performants? Principaux enseignements de l enquête Mesure Management Santé chez les entrepreneurs de CroissancePlus Les traits d'identité constitutifs

Plus en détail

SOCIALES ENQUÊTES & OBSERVATIONS. L implication des CCAS/CIAS dans le champ de la petite enfance. Sommaire. www.unccas.org JANVIER 2014 N 6

SOCIALES ENQUÊTES & OBSERVATIONS. L implication des CCAS/CIAS dans le champ de la petite enfance. Sommaire. www.unccas.org JANVIER 2014 N 6 www.unccas.org Sommaire Page 2 Méthodologie Page 3 Principaux résultats Page 3 I - Établissements et dispositifs gérés par les CCAS/CIAS Page 11 II - Le personnel des EAJE Page 14 III - Coût de fonctionnement,

Plus en détail

ETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL

ETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL ETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL LA SYNTHESE L Observatoire de la branche des acteurs du lien social et familial - centres

Plus en détail

Les Français et leur perception de l école maternelle et élémentaire avant la rentrée 2012

Les Français et leur perception de l école maternelle et élémentaire avant la rentrée 2012 NOTE DETAILLEE Les Français et leur perception de l école maternelle et élémentaire avant la rentrée 2012 Etude Harris Interactive pour le Syndicat National Unitaire des Instituteurs et Professeurs des

Plus en détail

Enquête sur la réforme des rythmes scolaires

Enquête sur la réforme des rythmes scolaires Enquête sur la réforme des rythmes scolaires Une étude exclusive de l AMF Enquête sur la réforme des rythmes scolaires Près de 4 000 communes, soit 17% des municipalités scolarisant 22% des élèves du public,

Plus en détail

Sociale et solidaire, l association qui contribue au développement social et de l emploi pour améliorer les conditions de vie des habitants.

Sociale et solidaire, l association qui contribue au développement social et de l emploi pour améliorer les conditions de vie des habitants. Sociale et solidaire, l association qui contribue au développement social et de l emploi pour améliorer les conditions de vie des habitants. Association d habitants et d acteurs du territoire (collectivités,

Plus en détail

présente Métro, boulot, dodo enquête sur la vie de bureau

présente Métro, boulot, dodo enquête sur la vie de bureau présente Métro, boulot, dodo enquête sur la vie de bureau Septembre 2014 Avant-propos Avec la tertiarisation de l économie et des emplois, notre activité professionnelle se déroule de plus en plus souvent

Plus en détail

Livret d accueil pour les futurs parents, les parents et les assistant(e)s maternel(le)s

Livret d accueil pour les futurs parents, les parents et les assistant(e)s maternel(le)s Livret d accueil pour les futurs parents, les parents et les assistant(e)s maternel(le)s Un livret, pour qui? Ce livret est destiné aux parents et futurs parents qui souhaitent trouver un mode de garde

Plus en détail

Les préoccupations des enseignants en 2014

Les préoccupations des enseignants en 2014 Les préoccupations des enseignants en 204 Une profession en quête de valorisation Date Rapport rédigé par : Jean-Daniel Lévy, Directeur du Département Politique Opinion Magalie Gérard, Directrice de clientèle

Plus en détail

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

Comprendre les phénomènes biologiques et psychologiques du stress

Comprendre les phénomènes biologiques et psychologiques du stress GÉRER LE STRESS DANS L ENTREPRISE OBJECTIFS PEDAGOGIQUES DUREE : 1 JOUR Comprendre les phénomènes biologiques et psychologiques du stress Identifier la notion de risques psychosociaux au titre de la Loi

Plus en détail

Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire

Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire Résultats de l enquête Ifop/Wincor sur les relations des Français à leur agence bancaire Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire -

Plus en détail

Réformedes. rythmes, quel. temps pour. Rythmes scolaires : plus de 80% de participation au questionnaire diffusé par la Ville

Réformedes. rythmes, quel. temps pour. Rythmes scolaires : plus de 80% de participation au questionnaire diffusé par la Ville La réforme nationale des rythmes scolaires pour les enfants des écoles publiques maternelles et écoles publiques élémentaires entrera en vigueur à Seclin en septembre 2014. Afin de bâtir un Projet Éducatif

Plus en détail

QUESTIONNAIRE COMPLEMENTAIRE A.E.E.H.

QUESTIONNAIRE COMPLEMENTAIRE A.E.E.H. QUESTIONNAIRE COMPLEMENTAIRE A.E.E.H. Document nécessaire à l étude de la demande d Allocation d Education d Enfants handicapés DOSSIER N (GED) :. Cadre réservé à la MDPH NOM Prénom de l enfant : Date

Plus en détail

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires L0Z-Secrétaires Synthèse En moyenne sur la période 2007-2009, 484 000 personnes exercent le métier de secrétaire, assurant des fonctions de support, de coordination, de gestion et de communication. Les

Plus en détail

Nouveaux rythmes scolaires/tap

Nouveaux rythmes scolaires/tap Pourcentage du nombre d'enfants Nouveaux rythmes scolaires/tap Questionnaire soumis aux parents d élèves des écoles maternelle et élémentaire de Garbejaïre au mois de novembre 2013. 171 questionnaires

Plus en détail

Une école au Togo, épisode 1/4

Une école au Togo, épisode 1/4 Une école au Togo, épisode 1/4 Thèmes Éducation, formation Concept Ce documentaire présente la situation de l école primaire au Togo. Contenu Pour visionner le documentaire Une école au Togo, allez sur

Plus en détail

document de travail L offre d accueil collectif des enfants de moins de trois ans en 2011 SÉRIE STATISTIQUES N 184 AOÛT 2013

document de travail L offre d accueil collectif des enfants de moins de trois ans en 2011 SÉRIE STATISTIQUES N 184 AOÛT 2013 Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques DREES document de travail SÉRIE STATISTIQUES N 184 AOÛT 2013 L offre d accueil collectif des enfants de moins de trois ans en

Plus en détail

Les éléments constitutifs d une grille d évaluation

Les éléments constitutifs d une grille d évaluation Compte rendu du l atelier «évaluation et performance» Le 12 septembre 2011 Etaient présents Marie France PUCHE, directrice de l emploi au Cdg59 Matyas GRAUX, chargé de prospective emploi au Cdg59 Arnaud

Plus en détail

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU NB : les notes font référence au diaporama de synthèse de l enquête en ligne sur le site de l'adbu Comment les SCD tentent-ils

Plus en détail

Enquête de satisfaction 2015

Enquête de satisfaction 2015 Direction de la Petite Enfance et des Familles Enquête de 2015 auprès des familles utilisatrices des crèches municipales Mairie de Bordeaux 28 mai 2015 Sommaire Cadre méthodologique Synthèse globale Présentation

Plus en détail

CONSEIL COMMUNAUTAIRE DU 10 AVRIL 2008 NOTE DE SYNTHESE

CONSEIL COMMUNAUTAIRE DU 10 AVRIL 2008 NOTE DE SYNTHESE CONSEIL COMMUNAUTAIRE DU 1 AVRIL 28 NOTE DE SYNTHESE L an deux mille huit, le dix avril, le Conseil communautaire s est réuni en séance ordinaire sous la présidence de Patrick PETITJEAN, Président. Nombre

Plus en détail

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES

Plus en détail

L AVANCEMENT DE GRADE DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE

L AVANCEMENT DE GRADE DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE 139, Rue Guillaume Fouace CS 12309 50009 SAINT-LO CEDEX 02.33.77.89.00 02.33.57.07.07 E-Mail : cdg50@cdg50.fr L AVANCEMENT DE GRADE DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE JANVIER 2015 SOMMAIRE Avancement

Plus en détail

3 150 diplômes de professions de santé

3 150 diplômes de professions de santé N 1 - Mai 005 3 150 diplômes de professions de santé délivrés en 003 dans la région Provence-Alpes-Côte d Azur En 003, onze formations aux professions de santé sont proposées en région Provence-Alpes-Côte

Plus en détail

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11

Plus en détail

PETITE ENFANCE SERVICES À LA PERSONNE SANTÉ UNE MÉTHODE UNIQUE 100% À DISTANCE POUR APPRENDRE UN NOUVEAU MÉTIER. www.ecolems.com

PETITE ENFANCE SERVICES À LA PERSONNE SANTÉ UNE MÉTHODE UNIQUE 100% À DISTANCE POUR APPRENDRE UN NOUVEAU MÉTIER. www.ecolems.com PETITE ENFANCE SERVICES À LA PERSONNE UNE FORMATION, UN MÉTIER SANTÉ UNE MÉTHODE UNIQUE 100% À DISTANCE POUR APPRENDRE UN NOUVEAU MÉTIER www.ecolems.com Apprenez un métier et boostez votre carrière! ECOLEMS,

Plus en détail

Structures petite enfance MEMENTO

Structures petite enfance MEMENTO Structures petite enfance MEMENTO Préambule : Les documents qui suivent ont été élaborés à partir de documents de la CNAF. Les fiches qui suivent ne sont en rien exhaustives. Elles ont pour but de vous

Plus en détail

RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES. Pour les Maisons d assistants maternels (MAM)

RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES. Pour les Maisons d assistants maternels (MAM) RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES Pour les Maisons d assistants maternels (MAM) Edition 2008 2013 CDAJE 38 Commission départementale de l accueil des jeunes enfants CDAJE 38 1 Par dérogation à l article

Plus en détail

Guide de création d une maison d assistants maternels (MAM)

Guide de création d une maison d assistants maternels (MAM) 2013 (MAM) Édito Le Conseil général et la Caisse d allocations familiales du Finistère favorisent le développement des modes d accueil de la petite enfance Le Conseil général du Finistère et la Caisse

Plus en détail

La participation citoyenne et la politique locale

La participation citoyenne et la politique locale La participation citoyenne et la politique locale Comment sommes-nous arrivés à s intéresser à la participation citoyenne? Avant l arrivée du Plan de Cohésion Sociale à Waremme (avril 2008), nous étions

Plus en détail

CM2B Ste Marthe NOMBRES CROISES

CM2B Ste Marthe NOMBRES CROISES CMB Ste Marthe NOMBRES CROISES Règles Les nombres croisés sont des grilles à remplir en suivant les instructions. Les consignes ne sont données que pour les nombres à plus de deux chiffres. Si plusieurs

Plus en détail

Petite Enfance. Livret accueil

Petite Enfance. Livret accueil 1 Petite Enfance Livret accueil Les préinscriptions Les préinscriptions à la crèche des rives, à la crèche des Ferrayonnes et à la crèche familiale se font tout au long de l année. Les femmes enceintes

Plus en détail

Corrigé : Enquête terrain : La communication interne

Corrigé : Enquête terrain : La communication interne Corrigé : Enquête terrain : La communication interne Source : Entretien du XX/12/13 avec Mme D. de l entreprise EDF réalisé par Ludivine Moi : Bonjour Madame, j'aurais quelques questions à vous poser dans

Plus en détail

Lundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps

Lundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi LeS nouveaux rythmes à l école primaire Exemples d emplois du temps Mars 2014 n exemple d organisation des temps scolaire et périscolaire Commune de 21 000 habitants

Plus en détail

Questionnaire sur les nouveaux rythmes scolaires

Questionnaire sur les nouveaux rythmes scolaires Questionnaire sur les nouveaux rythmes scolaires Un questionnaire a été remis aux familles courant décembre avec le double objectif de relayer le ressenti des parents sur les nouveaux rythmes scolaires

Plus en détail

QU'EST-CE QU'UNE MAISON D ASSISTANTS MATERNELS (MAM)? QUI EST L EMPLOYEUR DES ASSISTANTS MATERNELS?

QU'EST-CE QU'UNE MAISON D ASSISTANTS MATERNELS (MAM)? QUI EST L EMPLOYEUR DES ASSISTANTS MATERNELS? Mise à jour Septembre 2011 Un assistant maternel est agréé par le Conseil général. Il peut moyennant rémunération, accueillir habituellement et de façon non permanente des mineurs : - à son domicile (art.

Plus en détail

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice.

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice. Délégation interministérielle à la Famille ENQUÊTE SALARIÉS Baromètre de l Observatoire de la parentalité en entreprise, en partenariat avec la Délégation interministérielle à la famille et l Union nationale

Plus en détail

Réunion tenue en séance publique sous la présidence de M. DESHAYES Jean-Pierre, Maire.

Réunion tenue en séance publique sous la présidence de M. DESHAYES Jean-Pierre, Maire. Le lundi 28 octobre 2013 à 20h00, réunion du Conseil Municipal suivant convocation du 18 octobre 2013 remise ou envoyée aux conseillers municipaux et affichée ce même jour en mairie. Ordre du jour : -

Plus en détail

COMPTE EPARGNE TEMPS REGLEMENT INTERIEUR

COMPTE EPARGNE TEMPS REGLEMENT INTERIEUR COMPTE EPARGNE TEMPS REGLEMENT INTERIEUR Consultation du Comité Technique Paritaire : 7 décembre 2010 Délibération du Conseil municipal : 17 décembre 2010 2 I. Bénéficiaires du compte épargne temps Les

Plus en détail

CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris

CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris UNE PHOTOGRAPHIE DE L APPRENTISSAGE EN FRANCE EN 2013 À l occasion de la rentrée des jeunes en apprentissage Résultats et analyse du BAROMÈTRE DE LA VIE DE

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

CDAJE 16 mai 2014 COMMISSION DÉPARTEMENTALE D ACCUEIL DES JEUNES ENFANTS. MICRO CRECHE - CDAJE 16 mai 2014

CDAJE 16 mai 2014 COMMISSION DÉPARTEMENTALE D ACCUEIL DES JEUNES ENFANTS. MICRO CRECHE - CDAJE 16 mai 2014 CADRE DÉPARTEMENTAL DE RÉFÉRENCE CDAJE À l intention des élus municipaux et leurs représentants, des institutions, de l ensemble des acteurs de la petite enfance et des porteurs de projet. CDAJE 16 mai

Plus en détail

ORGANIGRAMME DES ETUDES

ORGANIGRAMME DES ETUDES ORGANIGRAMME DES ETUDES Certificat d'enseignement Secondaire Supérieur Certificat d'enseignement Secondaire Supérieur Certificat de Qualification C.E.S.S. après la 7ème année Certificat de Qualification

Plus en détail

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège

Plus en détail

L'aidant familial face à Alzheimer: la tablette un outil simple et pratique

L'aidant familial face à Alzheimer: la tablette un outil simple et pratique L'aidant familial face à Alzheimer: la tablette un outil simple et pratique Vous trouverez ici notre guide d utilisation et d accompagnement pour l'aidant familial utilisant la tablette et nos jeux de

Plus en détail

Certaines tables sont contextualisées : Version Territoriale ou hospitalière ; T ou H)

Certaines tables sont contextualisées : Version Territoriale ou hospitalière ; T ou H) Nom de la table référentiel Nombre de pages Version 1 Régime-statut 1 Grade 33 Métier 13 Horaire 1 Discipline d'équipement (uniquement hospitalier) 5 Elément matériel 7 Nature de lésion 1 Siège de lésion

Plus en détail

Guide pour la création d une MAM

Guide pour la création d une MAM LES MAISONS D ASSISTANTS MATERNELS Guide pour la création d une MAM Commission Départementale d Accueil du Jeune Enfant Le cadre législatif La loi n 2010-625 du 9 juin 2010 relative à la création des maisons

Plus en détail

Comité national d évaluation du rsa Annexes

Comité national d évaluation du rsa Annexes Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont

Plus en détail

Introduction NOTE D ETONNEMENT CONSEIL DES TEMOINS FABRIQUE CITOYENNE JANVIER 2015

Introduction NOTE D ETONNEMENT CONSEIL DES TEMOINS FABRIQUE CITOYENNE JANVIER 2015 NOTE D ETONNEMENT CONSEIL DES TEMOINS FABRIQUE CITOYENNE JANVIER 2015 Introduction La fabrique citoyenne initiée par la Ville de Rennes va conduire à la rédaction d une charte de la démocratie locale.

Plus en détail

La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation

La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation (Synthèse) Enquête réalisée dans le cadre du projet Concert Action Septembre 2011 La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires

Plus en détail

QUESTIONNAIRE A DESTINATION DES FAMILLES

QUESTIONNAIRE A DESTINATION DES FAMILLES QUESTIONNAIRE A DESTINATION DES FAMILLES La réforme des rythmes scolaires pour les écoles maternelles et élémentaires doit être mise en place en septembre 2014. Elle prévoit le retour de la semaine de

Plus en détail

Demande d agrément d assistant(e) maternel(le)

Demande d agrément d assistant(e) maternel(le) N 13394*03 Demande d agrément d assistant(e) maternel(le) Notice Vous allez faire une demande d agrément ou de renouvellement d agrément pour exercer la profession d assistant(e) maternel(le); ce métier

Plus en détail

Parents, enfants. un guide pour vous

Parents, enfants. un guide pour vous Parents, enfants un guide pour vous edit s mmaire Parents, Notre engagement de mettre en place un territoire compétitif, solidaire et durable ne peut se concevoir sans répondre aux besoins des enfants

Plus en détail

... Questionnaire...

... Questionnaire... ...Préambule au questionnaire... Lexique PEDT : Projet EDucatif Territorial Le PEDT a pour objectif de mobiliser toutes les ressources d un territoire afin de garantir la continuité éducative entre les

Plus en détail

Pour la création d une maison d assistants maternels

Pour la création d une maison d assistants maternels CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Mars 2011 CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Le Code de l Action Sociale et des Familles

Plus en détail

Etude Afci Andrh Inergie sur la communication managériale (3 ème édition)

Etude Afci Andrh Inergie sur la communication managériale (3 ème édition) Etude Afci Andrh Inergie sur la communication managériale (3 ème édition) L appropriation de la stratégie et sa démultiplication par les managers Juillet 2011 Contact Inergie Luc Vidal DGA Directeur associé

Plus en détail

Utilisation et usage d Internet

Utilisation et usage d Internet 1 résultats Utilisation et usage d Internet Internet s est imposé Quelque soit leur âge ou leur sexe, près de neuf jeunes sur dix déclarent utiliser Internet. Cette imposante proportion indique indubitablement

Plus en détail

Evaluation de l organisation interne

Evaluation de l organisation interne Module 1 Module Evaluation de l organisation interne Table des matières SECTION 1 Mission et valeurs 34 SECTION 2 Gestion 1 40 SECTION 3 Gestion 2 46 T E A R F U N D 2 0 0 3 33 Module 1 Section 1 Mission

Plus en détail

GRILLES INDICIAIRES DE RÉMUNÉRATION ET TRAITEMENT BRUT MOYEN DU GRADE applicables à la fonction publique territoriale à compter du 1 er janvier 2015

GRILLES INDICIAIRES DE RÉMUNÉRATION ET TRAITEMENT BRUT MOYEN DU GRADE applicables à la fonction publique territoriale à compter du 1 er janvier 2015 GRILLES INDICIAIRES DE RÉMUNÉRATION ET TRAITEMENT BRUT MOYEN DU GRADE applicables à la fonction publique territoriale à compter du 1 er janvier 2015 Références : - Loi n 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée

Plus en détail

DEVENEZ UN POKER-KILLER AU TEXAS HOLD EM!

DEVENEZ UN POKER-KILLER AU TEXAS HOLD EM! DEVENEZ UN POKER-KILLER AU TEXAS HOLD EM! NIVEAU DEBUTANT http://www.poker-killer.com/ 1 INTRODUCTION Je m'appelle david Jarowsky, 53 ans. Je n ai jamais été le premier de la clase, ni quelqu un d extraordinaire.

Plus en détail

Le Président, à Mesdames et Messieurs les Maires et Présidents

Le Président, à Mesdames et Messieurs les Maires et Présidents Circulaire n 06/2014 Cl. C 4311 Colmar, le 03/02/2014 Mise à jour 17 février 2014 C E N T R E d e G E S T I O N d u H A U T - R H I N F o n c t i o n P u b l i q u e T e r r i t o r i a l e 2 2, r u e

Plus en détail

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises. R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,

Plus en détail

INTEGRALMANAGER by EICL

INTEGRALMANAGER by EICL by EICL Le management Humaniste Integral Manager by EICL Le coaching Humaniste 1 Cycle de formation Le management Humaniste Le management de proximité qui réconcilie éthique et performance Integral Manager

Plus en détail

Compte-rendu du conseil d école n 3. Année scolaire 2014-2015

Compte-rendu du conseil d école n 3. Année scolaire 2014-2015 Ecole Françoise Dolto Kervignac, le 22-06-2015 Rue du stade 56700 Kervignac 02 97 65 72 77 ec.0560297u@ac-rennes.fr Compte-rendu du conseil d école n 3. Année scolaire 2014-2015 Présents : - M. Plunian,

Plus en détail

Accès au financement des entreprises artisanales en Haute-Normandie

Accès au financement des entreprises artisanales en Haute-Normandie Décembre 2012 Accès au financement des entreprises artisanales en Haute-Normandie La situation financière des entreprises artisanales et le recours aux banques Région Haute-Normandie Depuis novembre 2011,

Plus en détail

QUEL JOUEUR DE POKER ETES-VOUS?

QUEL JOUEUR DE POKER ETES-VOUS? QUEL JOUEUR DE POKER ETES-VOUS? Le but de cette enquête est de dessiner un tableau du paysage français du poker. Le poker est un phénomène de société en plein boom mais pour lequel aucune étude sérieuse

Plus en détail

Le Président, à Mesdames et Messieurs les Maires et Présidents

Le Président, à Mesdames et Messieurs les Maires et Présidents Circulaire n 05/2013 Cl. C 4311 Colmar, le 25/01/2013 C E N T R E d e G E S T I O N d u H A U T - R H I N F o n c t i o n P u b l i q u e T e r r i t o r i a l e 2 2, r u e W i l s o n 6 8 0 27 C O L M

Plus en détail

INDICATIONS DE CORRECTION

INDICATIONS DE CORRECTION SUJET NATIONAL POUR L'ENSEMBLE DES CENTRES DE GESTION ORGANISATEURS CONCOURS INTERNE ET TROISIÈME VOIE DE TECHNICIEN TERRITORIAL PRINCIPAL DE 2 ème CLASSE SESSION 2014 SPÉCIALITÉ : INGENIERIE, INFORMATIQUE

Plus en détail

PROGRAMMES EN EPS A L ECOLE PRIMAIRE

PROGRAMMES EN EPS A L ECOLE PRIMAIRE PROGRAMMES EN EPS A L ECOLE PRIMAIRE B.O. n 3 du 19 juin 2008 HORS SERIE Maternelle : AGIR ET S EXPRIMER AVEC SON CORPS Compétences visées (Cv) Se repérer et se déplacer dans l espace. Adapter ses actions

Plus en détail

Les pratiques des 9-16 ans sur Internet

Les pratiques des 9-16 ans sur Internet Les pratiques des 9-16 ans sur Internet Regards croisés entre parents et enfants! - Principaux résultats -! Décembre 2012! Arnaud ZEGIERMAN Directeur associé az@institut-viavoice.com Aurélien PREUD HOMME

Plus en détail

COMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012

COMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012 COMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012 Etaient présents : Mrs BLEVIN Pierre ; BONNET Claude ; GODERE Yannick ; MOUE Philippe ; MORICEAU Bertrand ; QUELVEN Jacques ; SEITZ Alfred ; SUISSE Michel

Plus en détail

Bilan de la concertation sur le PEDT

Bilan de la concertation sur le PEDT les périscolaires Bilan de la concertation sur le PEDT J www.ville-cergy.fr Sommaire 1. Préambule 4 2. Le cadre de la démarche 5 2.1. Les objectifs 6 2.2. Les sujets du débat 6 2.3. Le déroulé de la démarche

Plus en détail

Dép. 75 «Enfant présent»

Dép. 75 «Enfant présent» Dép. 75 «Enfant présent» PRESENTATION DE L ACTION Intitulé, ancienneté et lieu d implantation Créée en 1987, l association Enfant Présent, dispositif multi-accueil à caractère préventif, dispose de plusieurs

Plus en détail

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier

Plus en détail

TOUT SAVOIR SUR LA REFORME DES RETRAITES DANS LA FONCTION PUBLIQUE

TOUT SAVOIR SUR LA REFORME DES RETRAITES DANS LA FONCTION PUBLIQUE TOUT SAVOIR SUR LA REFORME DES RETRAITES DANS LA FONCTION PUBLIQUE Réussissons une réforme juste SOMMAIRE I. CE QUI NE CHANGE PAS, CE QUI CHANGE 3 II. QUESTIONS/RÉPONSES 7 1 - J APPARTIENS À UN CORPS DE

Plus en détail

LES FORMATIONS SUR SITE À LA DEMANDE

LES FORMATIONS SUR SITE À LA DEMANDE LES FORMATIONS SUR SITE À LA DEMANDE Cette dernière partie présente les formations qui peuvent être organisées et menées dans votre centre ou votre association, à l attention d un groupe de bénévoles et/

Plus en détail

DEPOUILLEMENT DES QUESTIONNAIRES DES PARENTS NOUVEAUX RYTHMES SCOLAIRES

DEPOUILLEMENT DES QUESTIONNAIRES DES PARENTS NOUVEAUX RYTHMES SCOLAIRES DEPOUILLEMENT DES QUESTIONNAIRES DES PARENTS NOUVEAUX RYTHMES SCOLAIRES NOMBRE DE QUESTIONNAIRES DISTRIBUES : NOMBRE DE RETOURS : 156 école élémentaire 108 école maternelle 85 école élémentaire 53 école

Plus en détail

Où va le monde du travail à l ère du numérique?

Où va le monde du travail à l ère du numérique? Chaire des Civilisations Numériques 30 novembre 2010 Bordeaux Où va le monde du travail à l ère du numérique? Compte rendu des échanges Le monde du travail doit compter aujourd hui avec le numérique. Les

Plus en détail

en Bref Pédibus : Aller Pédibus c est : Pédibus en toute assurance :

en Bref Pédibus : Aller Pédibus c est : Pédibus en toute assurance : en Bref Une nouvelle façon d aller à l école : un ramassage organisé, à pied, d une caravane d enfants : C'est un groupe d'écoliers conduit à pied par des adultes (souvent des parents) bénévoles, qui suit

Plus en détail

Accueil de la petite enfance. Guide pratique

Accueil de la petite enfance. Guide pratique Accueil de la petite enfance Guide pratique L évolution progressive des besoins des parents, d une part, et celle des pratiques et préconisations des professionnels, d autre part, ont généré au cours des

Plus en détail

ANNEE 2015. Synthèse des questionnaires de satisfaction sur l application de la réforme des rythmes scolaires

ANNEE 2015. Synthèse des questionnaires de satisfaction sur l application de la réforme des rythmes scolaires ANNEE 2015 Synthèse des questionnaires de satisfaction 1 POURCENTAGES DE QUESTIONNAIRES RETOURNÉS sur 355 questionnaires distribués 42% 58% questionnaires retournés = 207 ( dont 143 avec au moins un commentaire)

Plus en détail

Les Français et le pouvoir d achat

Les Français et le pouvoir d achat Contacts CSA Pôle Opinion Corporate : Jérôme Sainte-Marie, Directeur général adjoint Yves-Marie Cann, Directeur d études Les Français et le pouvoir d achat Sondage CSA pour Cofidis Septembre 2012 Sommaire

Plus en détail

CONTRIBUTION DU CONSEIL DES CENTRES DE FORMATION DE MUSICIENS INTERVENANTS (CFMI)

CONTRIBUTION DU CONSEIL DES CENTRES DE FORMATION DE MUSICIENS INTERVENANTS (CFMI) AIX-EN-PROVENCE LILLE LYON ORSAY POITIERS RENNES SÉLESTAT TOULOUSE TOURS CONTRIBUTION DU CONSEIL DES CENTRES DE FORMATION DE MUSICIENS INTERVENANTS (CFMI) la reconnaissance du musicien intervenant par

Plus en détail

BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE

BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION

Plus en détail

Q0Z-Employés de la banque et des assurances. Synthèse

Q0Z-Employés de la banque et des assurances. Synthèse Q0Z-Employés de la banque et des assurances Synthèse Après avoir baissé au cours de la première moitié des années 1990, les effectifs d employés de la banque et des assurances se sont ensuite stabilisés

Plus en détail

PRESENTATION DU CADRE DE REFERENCE 2010 A LA COMMISSION DE DROIT COMPTABLE 12 Juillet 2010

PRESENTATION DU CADRE DE REFERENCE 2010 A LA COMMISSION DE DROIT COMPTABLE 12 Juillet 2010 COMMISSION DES MISSIONS COMPTABLES PRESENTATION DU CADRE DE REFERENCE 2010 A LA COMMISSION DE DROIT COMPTABLE 12 Juillet 2010 Joëlle LASRY/Guy ZERAH CREATIVE WORK Page 1 PRESENTATION GENERALE Le Conseil

Plus en détail

PREAMBULE INSCRIPTION AUX SERVICES RESPONSABILITÉ - ASSURANCE HYGIENE ET SANTE

PREAMBULE INSCRIPTION AUX SERVICES RESPONSABILITÉ - ASSURANCE HYGIENE ET SANTE LES REGLEMENTS INTERIEURS RESTAURANT SCOLAIRE ACCUEIL PERISCOLAIRE ACTIVITES PERI-EDUCATIVES Délibéré en Conseil Municipal du 05 Juin 2014 PREAMBULE Les services périscolaires sont des prestations volontairement

Plus en détail

Etude du niveau stress ressenti par les salariés de plusieurs entreprises du tertiaire. Un outil de mesure.

Etude du niveau stress ressenti par les salariés de plusieurs entreprises du tertiaire. Un outil de mesure. Etude du niveau stress ressenti par les salariés de plusieurs entreprises du tertiaire. Un outil de mesure. Participants : Dr Evelyne Barraud, Martine Chevillard, Marie-José Dureau Mer, Isabelle Gouget,

Plus en détail

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20

Plus en détail

A.-M. Cubat PMB - Import de lecteurs - Généralités Page 1 Source : http://amcubat.be/docpmb/import-de-lecteurs

A.-M. Cubat PMB - Import de lecteurs - Généralités Page 1 Source : http://amcubat.be/docpmb/import-de-lecteurs A.-M. Cubat PMB - Import de lecteurs - Généralités Page 1 Diverses méthodes d import de lecteurs Les données (noms, prénoms, adresses. des lecteurs) proviennent en général du secrétariat, et se trouvent

Plus en détail

Bien-être des salariés et performance des magasins entrent-ils dans le même caddie?

Bien-être des salariés et performance des magasins entrent-ils dans le même caddie? 18 2 e semestre 2012/HesaMag #06 Dossier spécial 7/34 Bien-être des salariés et performance des magasins entrent-ils dans le même caddie? La protection du bien-être au travail est un droit des salariés.

Plus en détail

Délibération n 23 Conseil municipal du 30 mars 2012

Délibération n 23 Conseil municipal du 30 mars 2012 Direction Générale Organisation et Ressources Humaines Direction des Ressources Humaines Délibération n 23 Conseil municipal du 30 mars 2012 Personnel municipal - Adaptation du tableau des effectifs -

Plus en détail

Un projet Passerelle pour l accueil des enfants de 2-4 ans

Un projet Passerelle pour l accueil des enfants de 2-4 ans Un projet Passerelle pour l accueil des enfants de 2-4 ans PARTENARIAT ACCUEIL JEUNES ENFANTS COMPLÉMENTARITÉ FAMILLES PASSERELLE CRÈCHE ÉCOLE MATERNELLE CDAJE DU RHÔNE - 2013 D PR PROFESSEURS DES ECOLES

Plus en détail

COMPTE RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DE MONTBETON SÉANCE DU 14 OCTOBRE 2010

COMPTE RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DE MONTBETON SÉANCE DU 14 OCTOBRE 2010 COMPTE RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DE MONTBETON SÉANCE DU 14 OCTOBRE 2010 Nombre de conseillers : en exercice : 22 présents : 19 votants : 19 Pouvoirs : 01 L an deux mille dix le quatorze

Plus en détail

Résultats de l'enquête de besoins : «Une crèche halte-garderie pour les enfants des personnels et des étudiants des sites universitaires clermontois»

Résultats de l'enquête de besoins : «Une crèche halte-garderie pour les enfants des personnels et des étudiants des sites universitaires clermontois» Résultats de l'enquête de besoins : «Une crèche halte-garderie pour les enfants des personnels et des étudiants des sites universitaires clermontois» La question de la création d une crèche halte-garderie

Plus en détail