L école malikite, c est privilégier toujours le Coran sur la Sounna
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- Noëlle Desjardins
- il y a 7 ans
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1 L école malikite, c est privilégier toujours le Coran sur la Sounna Source 1 : Le Coran La place du Coran par rapport à la Sunna au sein des 4 écoles Pour les malikites (comme pour les hanafites), le Coran domine et dirige la Sunna. Par contre, chez les shaféites et les hanbalites, Coran et Sunna sont mis au même niveau, car selon eux la Sunna dirige le Coran. Les écoles hanafites et malikites sont appelées les «anciennes écoles» et les écoles shaféites et hanbalites les «nouvelles écoles». Pour les hanafites et les malikites, on parle aussi de «fiqh d interprétation» (ahl ul ray) et pour les shaféites et les hanbalites de «fiqh de transmission» (ahl ul hadith). On dit aussi que l école malikite est une école combinant le «fiqh d interprétation» et le «fiqh de transmission». On parle de «fiqh de transmission» quand l interprétation des textes se fait essentiellement, voire uniquement par d autres textes et de «fiqh d interprétation» quand les textes connaissent également une autonomie vis-à-vis des autres textes transmis et nécessitent donc l interprétation des savants sur base d autres outils juridiques (sens littéral, déduction des contraires, déduction de la finalité de la loi, recherche de l intérêt général, utilisation de l analogie, etc.) L argumentation des malikites sur la prédominance du Coran sur la Sunna Les malikites argumentent leur point de vue en se basant sur des éléments d ordre rationnels et traditionnels. Les éléments rationnels sont que le Coran est la parole d Allah (ses règles
2 juridiques ont donc un statut particulier du fait qu Allah les a consignées dans Son Livre), qu il est préservé par Allah et est inaltérable dans sa forme et dans ses sens (contrairement aux sunnas, qui sont des paroles humaines faillibles), et enfin qu il est rapporté de manière mutawatir (alors que les sunnas atteignant ce degré sont peu nombreuses[1]). Les éléments traditionnels sont qu Abu Bakr avait interdit la transmission de hadiths contraires au Coran, qu Umar ibn al Khattab avait rejeté un hadith de Fatima bint al Qays[2] pour lui préférer le sens général du Coran et qu Aïsha avait de même réfuté plusieurs hadiths authentiques (rapportés par d autres Compagnons et présents dans al Bukhari et Muslim) sur base du Coran[3]. On pourrait également citer le fait que le prophète avait longtemps interdit la mise par écrit du hadith et que même les Compagnons hésitaient à sa mise par écrit.[4] Sens textuel (nass), sens littéral (dhahir) et sens sommaire (mujmal) Le sens textuel (nass) est celui d un ou de plusieurs mots qui n ont pas d interprétation possible (p.e. «cinq chokobons» : on ne peut pas interpréter cinq, idem pour chokobons). Le sens est donc certain (qati) A contrario, le sens sommaire (mujmal) est celui d un ou de plusieurs mots qui ont tous plusieurs interprétations possibles (p.e. il faut refaire le wudu quand on a touché à nos femmes : le mot toucher peut être interprété comme toucher avec la main ou comme avoir des rapports intimes). Or, il est impossible d extraire la loi sur base d un mujmal. Le mujmal doit ainsi être rendu textuel (nass) ou littéral (dhahir). Ainsi, si des éléments du Coran et de la Sunna[5] permettent de trancher indubitablement en faveur d une seule des interprétations possibles, le sens sommaire (mujmal) devient textuel (nass). A contrario, si plusieurs interprétations restent possibles, le sens retenu sera le premier sens qui vient à l esprit, le sens littéral (dhahir) du fait que ce mot
3 particulier a été choisi par Allah parmi d autres possibles. Le sens dhahir n étant qu une des interprétations possibles (du fait qu il n a pas pu être tranché entre les différentes interprétations) est donc conjecturel (zanni) Aussi, dans l argumentation juridique le sens textuel (nass) (qui est certain, qati) sera plus fort que le sens littéral (dhahir) (qui est conjecturel, zanni) Le général ( amm) et le particulier (khass) Le général ( amm) désigne l ensemble des cas individuels au sein d une prescription (houkm). (p.e. «cinq fruits» : le terme «fruit» désigne tout type de fruit) Le particulier (khass) désigne, au contraire, une seule partie des cas individuels au sein d une prescription (houkm). (p.e. «cinq fruits exotiques») Chez les malikites (suivis en cela par les chaféites et les hanbalites), un terme général ( amm) indiquant une généralité relève du sens littéral (dhahir) et non textuel (nass), car un terme général ( amm) peut être dans certains cas précisé, donc restreint et son sens est ainsi conjecturel (zanni). Les hanafites, au contraire, voient le général ( amm) comme un sens textuel (nass) et non littéral (dhahir), car pour eux Allah a choisi Ses mots avec sagesse et son sens est ainsi certain (qati). Attention au fait que les hanafites ont une autre définition du général ( amm) et du particulier (khass) que les trois autres écoles! Les quatre écoles sont cependant d accord sur le fait que le particulier (khass) est textuel (nass) et donc non-littéral (dhahir) et est ainsi certain (qati). Ainsi, dans l argumentation juridique, le sens particulier (khass) qui est certain (qati) sera plus fort que le sens général ( amm) qui est conjecturel (zanni) chez les malikites.
4 Il faudra donc essayer de transformer le terme général ( amm) en un terme particulier (khass), qui le fera passer d un sens littéral (dhahir) à un sens textuel (nass) et donc du conjecturel (zanni) au certain (qati). Ce processus se nomme le takhsis (spécification). Or, on ne peut faire le takhsis qu avec quelque chose de même force ou de plus fort, donc ici avec quelque chose de conjecturel (zanni) ou de certain (qati). Au contraire, chez les hanafites, le général étant textuel (nass) et donc certain (qati), il ne pourra pas être restreint (takhsis) par quelque chose de conjecturel (zanni), comme par exemple par le hadith ahad (hadith n ayant que quelques chaînes de transmission). Ceci explique que les hanafites ne prennent pas en compte bon nombre de hadiths (car la majorité sont ahad) et ceci au profit de versets généraux ( amm) du Coran. En outre, quand un général ( amm) et un spécifique (khass) (tous les deux certains (qati) chez les hanafites) se contredisent, si leur moment de révélation est le même, le spécifique (khass) spécifie (takhsis) le général ( amm) et si leur moment de révélation n est pas le même, le postérieur abroge l antérieur. Ainsi, chez les hanafites, le takhsis est assez limité, certains hadiths sont abrogés de ce simple fait et le général peut abroger le particulier. Le takhsis chez les malikites Il existe quinze manières de procéder à la spécification (takhsis) au sein de l école malikite : La raison (al aql) La perception (al his) L exception La condition (ach chart) La qualification (as sifa) Le but et l interrogation Le Coran par le Coran Le Coran par la sunna mashour
5 La sunna mashour par le Coran La sunna mashour par la sunna mashour Le consensus L analogie si le général est le Coran ou la sunna mashour Le Coran par les récits rapportés par un petit nombre de rapporteurs Les coutumes L intérêt général Étudions-les au cas par cas : La raison (al aql) La perception (al his) Il s agit de recourir à des indices circonstanciels pour faire passer un texte général ( amm) littéral (dhahir) de son sens propre (haqiqa) à son sens figuré (majaz). Toutes les écoles y ont recours. Exemple : faire une quenelle à François Hollande ne veut pas dire lui préparer un repas dénommé «quenelle», selon la raison et la perception! L exception La condition La qualification Le but et l interrogation Il s agit des contraintes de l énonciation. Toutes les écoles y ont recours. Le Coran par le Coran Le Coran par la sunna mashour La sunna mashour par le Coran La sunna mashour par la sunna mashour Tous les fuqaha sont d accord sur ces quatre formes de takhsis, sauf les shaféites et les hanbalites qui rejettent la restriction de la sunna mashour par le Coran, car pour eux la sunna dirige le Coran.
6 Le consensus Exemple : «Préservez votre sexe de tout rapport, si ce n est avec vos femmes et avec ce que vos mains droites possèdent.» Il y a unanimité de la communauté pour exclure de «ce que vos mains droites possèdent» les hommes, les jeunes garçons, les femmes interdites en mariage. L analogie si le général est le Coran ou la sunna mashour Il s agit d une spécificité de l école malikite, même si quelques imams célèbres d autres écoles l ont ponctuellement utilisé. L analogie restreint le sens général ( amm), à condition qu elle s appuie sur un sens textuel (nass) et donc certain (qati). Exemple : Allah a autorisé la vente et interdit le riba. Littéralement cela signifie que la vente de riz contre du riz avec marge est licite. Or, en appliquant l analogie sur base du hadith interdisant la vente de l orge contre l orge, une telle vente sera illicite du fait du takhsis opéré. Ceci rend le fiqh malikite plus adapté au contexte que le fiqh de transmission (des ahl ul hadith) et démontre que le fiqh maliki est un fiqh d interprétation. Le Coran par les récits rapportés par un petit nombre de rapporteurs Comme chez les hanafites, les malikites considèrent que les hadiths ahad ne sont pas assez fort individuellement pour faire le takhsis du Coran ou de la sunna mashour, et ce en dépit du fait que les deux soient conjecturels (zanni)[6]. Les shaféites, au contraire, ne voient aucun problème à effectuer ce genre de takhsis. Cependant, lorsqu un hadith ahad est supporté par la coutume de Médine (amal ahl ul Madina)[7] ou un consensus (ijma ) ou une analogie basée sur le Coran ou une Sunna mutawatir ou mashour, alors le takhsis peut avoir lieu, et ce même si l analogie basée sur le Coran ou la sunna mashour dit le contraire. On voit donc que la coutume de Médine influence même potentiellement le sens donné au Coran!
7 Les coutumes Il s agit des coutumes verbales datant de l époque de la révélation du Coran. Ainsi, le sens général d un terme se trouve spécifié par l usage qui en était fait du vivant du Prophète. Exemple : on ne coupe pas la main d un voleur pour moins que quatre dinars. Il s agit des dinars de l époque et non des dinars d aujourd hui. De même pour le sa, le mudd, etc. L intérêt général Il s agit d une spécificité de l école malikite, car cette dernière considère que la recherche de l intérêt général est exigée par le Coran et la Sunna. Exemple de takhsis par l intérêt général : «tous les hommes doivent partir au combat». Or, l intérêt général veut que les ingénieurs, les scientifiques et les médecins restent en dehors des combats pour reconstruire le pays, développer de nouvelles armes et soigner les blessés. La sentence est alors «tous les hommes, sauf les ingénieurs, les scientifiques et les médecins, doivent partir au combat». Comme pour le takhsis par l analogie, ceci rend le fiqh malikite plus adapté au contexte que le fiqh de transmission (des ahl ul hadith) et démontre que le fiqh maliki est un fiqh d interprétation. Le concept de concordance (mafhoum al mouwafaqa) et de contradiction (mafhoum al mukhalafa) Le concept de concordance (mafhoum al mouwafaqa ou fahwa al khitab) consiste à affirmer une prescription (houkm) en partant de l explicite du texte pour un élément tacite, soit par majoration, soit par minoration. (p.e. pour la majoration : s il est interdit de crier contre quelqu un pour une erreur, il l est encore plus interdit de le frapper, p.e. pour la minoration : si on peut faire confiance à quelqu un pour qu il garde cent euros, alors on peut lui faire confiance pour dix euros)
8 Le concept de contradiction (mafhoum al moukhalafa ou dalil al khitab) consiste à déduire d une prescription (houkm) son pendant. (p.e. si je dis : il faut payer une taxe spéciale lors de l achat d une voiture neuve, cela signifie qu a priori il ne faut pas payer de taxe spéciale lors de l achat d une voiture d occasion). Il existe dix types de concepts de contradiction : La cause (al illa) (p.e. ce qui enivre est illicite) La qualification (p.e. ce qui enivre est illicite) La condition (p.e. celui qui s est purifié, sa salat est valide) La limite (p.e. jeûnez jusqu à la nuit) L exception (p.e. n acceptez pas leur témoignage, sauf ceux qui se repentent) L exclusivité (mafhoum al hasr) (p.e. il y a seulement l eau (le ghusl) pour l eau (le sperme)) Le temps (p.e. fouettez-les le jour) Le lieu (p.e. fouettez-les en place publique) Le nombre (p.e. fouettez-les de cent coup de fouet) Le nom (p.e. la zakat est due sur les moutons) Les malikites ne rejettent que le concept de nom parmi les dix. Les hanafites ne retiennent que les concepts d exception et d exclusivité), car ils comprennent une négation et une affirmation simultanément, alors que les autres ne comprennent qu une négation. Ordre de priorité dans le raisonnement déductif de l école malikite Sens textuel Sens littéral Concept de concordance Concept de contradiction Notons que les deux premières sous-sources concernant le Coran (sens textuel et sens littéral) sont les sources explicites du
9 Coran et sont mutuellement exclusives, alors que les deux dernières sous-sources du Coran constituent les sources implicites du Coran et ne sont ni mutuellement exclusives entre elles ni avec une source explicite. Source 2 : La Sunna Les fonctions de la Sunna chez les malikites Confirmation des prescriptions coraniques Eclaircissement du sens du Coran (supprimer les termes mujmal, faire le takhsis du amm) Indication d une prescription non-mentionnée par le Coran La composition de la Sunna Le hadith connecté (musnad)[8] Le hadith disconnecté (mursal) Les athars et fatawas des Compagnons Les athars et fatawas des Tabiins La coutume de Médine Ordre dans le raisonnement déductif de l école malikite Nous retrouvons pour la Sunna les quatre sous-sources vues précédemment pour le Coran, à savoir : Sens textuel Sens littéral Concept de concordance Concept de contradiction Or, ces quatre sous-sources de la Sunna ne passent qu après les quatre sous-sources du Coran, du fait que le Coran domine et dirige la Sunna. Aussi, chez les malikites, avant d utiliser une source relevant de la Sunna, il faut avoir examiné au préalable et en profondeur les quatre sous-sources du Coran. En outre, la Sunna est soumise à des contraintes auxquelles le
10 Coran n est pas soumis, à savoir l authenticité de l information (sahih, hassan, daïf et munkar) et l évaluation de son degré de transmission (mutawatir, mashour et ahad) ; le Coran étant par nature préservé par Allah (et donc sahih) ainsi que mutawatir. Nous pouvons alors réécrire les quatre sous-sources de la manière suivante en posant l hypothèse que les textes sont des hadiths sahih ou hassan : Sens textuel : Mutawatir > Mashour ; Mursal > Ahad Sens littéral : Mutawatir > Mashour ; Mursal > Ahad Concept de concordance : Mutawatir > Mashour ; Mursal > Ahad Concept de contradiction : Mutawatir > Mashour ; Mursal > Ahad Ainsi, par exemple, s il existe deux hadiths contradictoires sur un sujet, il faut analyser leur authenticité ; si les deux sont au même niveau, il faut alors voir leur degré de transmission ; si les deux sont au même niveau[9], il faut alors voir leur degré parmi les quatre sous sources ; si les deux sont au même niveau, alors on essaye de les réconcilier (jam ) et si cela n est pas possible, on en préférera un à un autre (tarjih) en regardant laquelle des deux chaînes de transmission est la plus forte. [1] A peine plus de cent hadiths musnad ont ce statut (cf. Suyuti en recense 110). Dans un ouvrage de Malik, les coutumes de Médine recensés tournent aussi du même nombre. Etc. [2] Sur la pension et le logement de la femme répudiée une troisième fois pendant son délai de viduité [3] Comme le hadith sur la vision d Allah par le prophète ou le fait que le mort est châtié par les pleurs de ses proches dans la tombe [4] Ceci indique qu ils ne désiraient pas l élever au niveau
11 du Coran [5] Attention, la Sunna chez les malikites ne se limite pas aux hadiths connectés (musnad), mais concerne aussi les hadiths disconnectés (mursal), les athars des Compagnons et des Tabiins et la coutume de Médine. [6] Il existe, en effet, différents niveaux de conjecturel (zanni) [7] Qui est une sunna mutawatir selon le mashour de l école malikite [8] Il s agit du hadith tel que l entendent généralement les gens [9] Normalement il y a deux autres étapes supplémentaires qui ne seront vues qu ultérieurement dans le cours : il faut voir s ils ont été mis en pratique et il faut voir s ils s accordent avec les principes de la loi
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