DOSSIER DE PRESSE HALTE A LA RESISTANCE BACTERIENNE SAUVONS LES ANTIBIOTIQUES LA RÉSISTANCE BACTÉRIENNE UNE VERITABLE BOMBE A RETARDEMENT

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1 DOSSIER DE PRESSE HALTE A LA RESISTANCE BACTERIENNE SAUVONS LES ANTIBIOTIQUES - LA RÉSISTANCE BACTÉRIENNE UNE VERITABLE BOMBE A RETARDEMENT Contact presse Sarah Izza sarah.izza@ars.sante.fr Contact presse Jean-François Roger jean-francois.roger@cpam-lille-douai.cnamts.fr

2 INTRODUCTION On a pu croire pendant quelques décennies que le nombre élevé de nouveaux cas de maladies infectieuses dans les pays riches faisait définitivement partie du passé : le développement des antibiotiques avait révolutionné le traitement des maladies infectieuses, leur utilisation permettait de sauver régulièrement de nombreuses personnes. Parmi les pays européens, en 2011, la France était le 3ème pays européen le plus consommateur d antibiotiques, après Chypre et la Grèce. La France consomme le double de nos voisins allemands. Le Nord Pas-de-Calais est la région la plus consommatrice d antibiotiques en France, et les personnes les plus exposées à l antibiothérapie sont les sujets âgés de plus de 65 ans et les enfants. Conséquence de l utilisation des antibiotiques, un phénomène de sélection de bactéries résistantes s est développé. Ces processus se sont trouvés amplifiés du fait des hauts niveaux de consommation, en France, en Europe et au niveau mondial. Le recours inapproprié à des antibiotiques à l occasion des prescriptions médicales non justifiées ou encore, l'utilisation d'antibiotiques dans le domaine vétérinaire ont contribué à favoriser la diffusion de mécanismes bactériens d'antibiorésistance. Ces comportements constituent une menace de santé publique : la résistance bactérienne est un phénomène qui a pour conséquence directe de réduire l efficacité des traitements antibiotiques, un phénomène d autant plus grave que les échecs thérapeutiques qu il génère peuvent être fatals et pourraient s amplifier dans les prochaines années. Chaque année au sein des pays de l union européenne, patients meurent d une infection liée à des bactéries multirésistantes qui n a pas pu être traitée, faute d antibiotiques efficaces. Cette situation est très préoccupante, d'autant que les laboratoires pharmaceutiques ne commercialisent plus de nouvelles molécules innovantes. A titre d exemple, 40 molécules ont été brevetées entre 1983 et 1997, alors qu entre 1997 et 2004, seulement 10 l ont été. Cinquième plan de lutte contre le mauvais usage des antibiotiques, le plan national d alerte poursuit le combat débuté il y a 10 ans. L ARS Nord Pas-de-Calais et l Assurance Maladie ont fait des antibiotiques un sujet prioritaire pour la région, face à l enjeu majeur de santé publique que représente le développement des résistances bactériennes. Ainsi, dès 2011, un programme régional de gestion du risque visant à promouvoir le bon usage des antibiotiques a été adopté. L ARS Nord Pas-de-Calais a ainsi engagé une démarche pluridisciplinaire mobilisant l expertise médicale des acteurs impliqués dans la maîtrise du risque infectieux tels que l ARLIN, les universitaires infectiologues et l Observatoire des médicaments, des dispositifs médicaux et de l innovation thérapeutique (OMEDIT). La création de l Observatoire régional de la consommation des antibiotiques en soins de ville et en EHPAD a constitué une action prioritaire. 1

3 I Le juste usage des antibiotiques, un enjeu de santé publique Le suivi de la consommation d antibiotiques régionale met en évidence une hausse entre les 1er et 2ème trimestres de 2011 et Elle peut s expliquer, en partie, par une répercussion plus forte de pathologies hivernales et de syndromes grippaux observés dans la région. Cela met en évidence une chose : les maladies virales, pour lesquels les antibiotiques sont inefficaces, constituent toujours le 1er motif de prescription. Cela montre que la part des consommations d antibiotiques non justifiées demeure encore importante. Voici plusieurs exemples : -> 17% des antibiotiques prescrits dans le Nord-Pas-de-Calais le sont pour des angines, qui peuvent être virales ou bactériennes. Dans le même temps, on remarque que le test de diagnostic rapide pour les angines est peu utilisé. Il permet pourtant de déterminer s il s agit d une angine virale ou bactérienne. En 2011, seuls 23% des médecins (généralistes et pédiatres) de la région ont commandé ce test auprès de leur correspondant de la CPAM (qui les mettent à disposition gratuitement). -> On observe que l utilisation fréquente de Fluoroquinolones, antibiotiques bactéricides, chez un même patient présente un risque majeur de développement de résistances bactériennes. Dans le Nord - Pas-de-Calais, le délai de prescription de Fluoroquinolones ne respecte pas les recommandations de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) 1 qui préconise un délai d au moins 6 entre chaque prescription de cet antibiotique. Or, dans la région, 1/4 des prescriptions 2 de Fluoroquinolones, visant à combattre les bactéries responsables de la pneumonie, sont réalisées dans les 3 mois suivant une prescription de fluoroquinolones. -> Plus largement, l utilisation de certaines classes d antibiotiques à large spectre constitue un facteur très favorisant de développement de résistance chez l adulte, notamment de résistances croisées. La résistance bactérienne est un phénomène complexe car les bactéries sont des organismes vivants en permanente mutation. Ainsi les bactéries «à résistance croisée» sont celles qui ont développé des méthodes de survie efficaces contre différents types d antibiotiques présentant des mécanismes d'action similaires. On parle alors de Bactérie Multi Résistante (BMR) en raison de sa résistance à plusieurs antibiotiques ou classes d antibiotiques différents. Tel est le cas aujourd hui pour les Céphalosporines de 3ème génération et les Fluoroquinolones, qui sont les classes d antibiotiques les plus génératrices de résistances. Elles concentrent 13% des prescriptions d antibiotiques de ville dans la région. 1 juillet En ville 2

4 En France, l évolution de certaines résistances bactériennes est préoccupante. Ainsi, par exemple, le taux de résistance d Echerichia coli aux céphalosporines de 3 ème génération est en augmentation : il était de 1,4% en 2005, 3,8 % en 2008, et de 8,2% en 2011 Le taux de résistance d Echerichia coli aux fluoroquinolones est aussi en hausse : il était de 11,0% en 2005, 15,7 % en 2008, et de 17,8% en Il faut rappeler que l Echerichia coli est une bactérie présente de façon normale dans la flore intestinale. L enjeu est ici de préserver l efficacité des antibiotiques dans le traitement des infections urinaires en ville, et de limiter le recours aux antibiotiques à large spectre. Cependant, on note aussi des progrès encourageants : Ainsi, entre 2005 et 2008, le taux de résistance du S.pneumoniae (agent pathogène dans les pneumonies) à l érythromycine (catégorie d antibiotique) a diminué de 24%. La vigilance doit, toutefois, être maintenue car 30% des souches du S.pneumoniae sont non sensibles à la pénicilline. 3

5 II - La consommation des antibiotiques dans le Nord Pas-de-Calais. La France est le pays le plus consommateur d Europe après Chypre et la Grèce. Le Nord-Pas-de-Calais est la région la plus consommatrice d antibiotiques en France. Les plus concernés par ce phénomène sont les personnes âgées de plus de 65 ans et les enfants de moins de 10 ans. Cette consommation importante induit un phénomène de résistance bactérienne qui est directement lié à la surprescription d antibiotiques en ville. Comment utilise-t-on les antibiotiques dans la région? Consommation régionale d antibiotiques Le Nord-Pas-de-Calais est la région la plus consommatrice d antibiotiques en France. En 2011, cette consommation était de 31 DDJ/1000/j 3, par rapport à 28,7 DDJ/1000/j 3 au niveau national. L observatoire régional de consommation des antibiotiques vient de livrer les 1ères données régionales pour 2012, qui indiquent une stabilisation de la consommation d antibiotiques 4 par rapport à En 2011, les femmes de la région sont les plus grandes consommatrices d antibiotiques avec 34 DDJ/1000 habitants/jour 3, contre 27,8 DDJ/1000 habitants/jour 3 au niveau national. La consommation d antibiotiques varie aussi en fonction de l âge : les plus touchés par le phénomène sont les personnes âgées de plus de 65 ans et les enfants de moins de 10 ans. Les plus de 65 ans affichent une dose définie journalière de 35/1000 habitants/jour 5 en 2011 qui reste stable en On note une progression de la consommation d antibiotiques avec l âge. Les plus de 85 ans consomment plus d antibiotiques qu au niveau national, contrairement aux autres tranches d âges. Concernant les enfants : un quart des prescriptions d antibiotiques est destiné aux enfants de moins de 10 ans dont 16% pour les moins de 5 ans. Ces prescriptions connaissent cependant une légère baisse entre 2011 et Dose définie journalière pour 1000 habitants par jour 4 Toutes classes confondues 5 Dose définie journalière pour 1000 habitants par jour 4

6 Consommation par familles d antibiotiques Parmi les 7 familles d antibiotiques (voir schéma ci-dessous) les pénicillines sont les plus consommées. Elles représentent toujours plus de la moitié de la consommation, quelle que soit la tranche d âge. Leur usage dans le Nord - Pas-de-Calais est plus élevé qu au niveau national. 5

7 III - Le plan régional 2013/2014 pour la promotion du bon usage des antibiotiques Les objectifs du plan Le plan régional a la volonté de favoriser l usage rationnel des antibiotiques dans le but de diminuer leur consommation et d agir sur la maîtrise des résistances bactériennes. Dès 2011, l action prioritaire menée par l ARS et l Assurance maladie, a permis la mise en place l Observatoire régional de la consommation des antibiotiques en soins de ville et en EHPAD. Cet Observatoire a plusieurs missions : - quantifier et décrire la consommation des antibiotiques, - réaliser un suivi trimestriel ainsi qu un bilan annuel de la consommation, - comparer les zones de proximité 6 de notre région, afin d identifier des déterminants de santé des secteurs et d adapter les actions aux populations, - confronter les données de surveillance «Antibiotiques» aux taux de résistance bactérienne, - évaluer l impact des actions engagées et en mesurer l efficience. Le lancement de cette action a nécessité d engager une démarche pluridisciplinaire mobilisant l expertise médicale de l ensemble des acteurs impliqués dans la maîtrise du risque infectieux tels que l ARLIN 7, les universitaires infectiologues et l OMEDIT 8. Contexte national : le Plan national d alerte 2011/2016 pour préserver l efficacité des antibiotiques Les actions définies dans le plan régional Nord Pas-de-Calais sont en cohérence avec le plan national d alerte sur les antibiotiques 2011/2016, qui en confie la déclinaison territoriale aux ARS. Ce plan d alerte vise une stratégie de juste utilisation des antibiotiques : pour une meilleure qualité de prise en charge des patients, une diminution des prescriptions et des consommations d antibiotiques, un allègement de la pression de sélection et un moindre développement des résistances bactériennes. L objectif national est la réduction de 25% des prescriptions d antibiotiques pour La région est découpée en 15 zones de proximité. 7 Antenne régionale de lutte contre les infections nosocomiales 8 Observatoire des Médicaments, des Dispositifs Médicaux et de l Innovation Thérapeutique 6

8 Les actions spécifiques du plan régional 2013/ 2014 de Gestion Du Risque Les constats régionaux ont permis de définir des actions visant à promouvoir le juste usage des antibiotiques chez les plus de 65 ans et les moins de 15 ans. Action chez les personnes âgées de plus de 65 ans y compris résidant en EHPAD 9, auprès des médecins généralistes Cette action comporte : - des réunions d information et d échange à destination des médecins libéraux, sur le juste usage des antibiotiques dans les infections urinaires chez le sujet âgé, y compris chez le résident en EHPAD. L organisation de ces réunions a été confiée à l URPS Médecins Libéraux. Elles débuteront à partir du mois de novembre 2013 et dureront jusqu en juin 2014 dans l ensemble de la région. L animation de ces réunions est assurée par une équipe d experts : un infectiologue, un hygiéniste et un microbiologiste. - des actions d information auprès des médecins généralistes dans le cadre de l accompagnement des médecins par les délégués de l Assurance maladie, avec la remise du premier bulletin semestriel, réalisé par l Agence Régionale de Santé et l Assurance maladie. Ce document fait le bilan de la consommation des antibiotiques en 2011, en partenariat avec l Antenne régionale de lutte contre les infections nosocomiales (ARLIN), l Observatoire des Médicaments, dispositifs médicaux et innovations thérapeutiques du Nord Pas-de-Calais (OMéDIT) et les infectiologues de la région Nord Pasde-Calais. - des rencontres de l Assurance maladie, en EHPAD, avec les médecins coordonnateurs et la remise d une fiche d aide à la prescription d antibiotiques réalisée par les infectiologues de la région, l ARS et l Assurance maladie. Action ciblée chez le sujet jeune de moins de 15 ans auprès des médecins généralistes Cette action vise à mettre en place un programme d éducation à la prescription antibiotique chez l enfant, à travers des rencontres régulières avec les médecins généralistes,. Une déclinaison territoriale de cette action va démarrer dans le cadre du Contrat Local de Santé (CLS) du Catésis- Caudrésis. Ces rencontres seront menées par des attachés d information de l URPS Médecins Libéraux. Pour rappel, le CLS est la déclinaison du Projet Régional de Santé sur un territoire de proximité donné (urbain ou rural). Il a pour objectif de réduire les inégalités sociales et territoriales de santé en conjuguant, au mieux, les politiques de santé publique, au plus près des besoins de la population. La campagne grand public Les actions auprès du grand public et des professionnels de la petite enfance démarreront par un lancer de 300 ballons, au départ de chaque siège des CPAM de la région. Cette démarche symbolise la résistance bactérienne à l image d un ballon qui, sur-gonflé, finit par exploser. Dans le même temps, une exposition autour des microbes et de Nékicool sera réalisée dans les accueils des CPAM participatrices. Poursuite de la campagne «Nékicool» L'objectif est de faire comprendre aux jeunes enfants que pour les maladies virales, il n'y a pas besoin d'antibiotiques et qu utilisés à tort, ces derniers deviennent moins forts. 9 Établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes 7

9 Depuis 2004, la mascotte «Nékicool», en forme de lapin, imaginée par l'assurance maladie et connue des bambins de la région, permet de créer des outils adaptés et de rappeler aux jeunes enfants, dans un langage simple, les gestes élémentaires d'hygiène : mouchage de nez ou lavage des mains pour les plus petits. Il permet aussi de promouvoir le test de diagnostic rapide que le médecin peut réaliser en se le procurant gratuitement auprès de la caisse d Assurance maladie. Sensibilisation en direction des moins de 15 ans La création d un jeu concours en ligne en direction de ce public et la création d outils spécifiques permettront de sensibiliser les jeunes adolescents sur la thématique du bon usage des antibiotiques. Une campagne de communication grand public A travers la présence de bannières dans des sites web à large diffusion, des fiches pratiques d information et des affiches à apposer chez les professionnels de santé et dans les pharmacies. 8

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