A C O S S S T A T LA MASSE SALARIALE ET L EMPLOI DU SECTEUR PRIVE AU QUATRIEME TRIMESTRE 2008
|
|
- Paule Pruneau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 A C O S S S T A T LA MASSE SALARIALE ET L EMPLOI DU SECTEUR PRIVE AU QUATRIEME TRIMESTRE N 79 - MARS 9 La masse salariale versée en France (Métropole et Dom) par les entreprises du secteur privé progresse de,3 % au ème trimestre et de +,7 % sur un an. Le glissement annuel était encore de,5 % à la fin 7. Ce fort freinage résulte principalement de la baisse de l emploi salarié : -,3 % au ème trimestre après, % au 3 ème trimestre. L intérim a perdu 1% de ses effectifs salariés depuis mars (respectivement -,5 % au ème trimestre, 5, % au 3 ème et, % au ème ). La situation dans l industrie continue de se dégrader à un rythme un peu plus rapide : -, % au ème trimestre après -, % au trimestre précédent. Le BTP connaît son premier recul au cours de l année avec emplois de moins au ème trimestre. Dans le tertiaire, la dégradation est légèrement moins forte (-, %) qu au 3 ème trimestre (-, %). Certaines activités liées aux associations ou à l action sociale ainsi que l hébergement et la restauration résistent au ralentissement conjoncturel. Cependant, l emploi continue de se contracter dans certains secteurs du tertiaire, notamment dans l immobilier et les télécommunications. Le salaire moyen par tête (SMPT) progresse à un rythme un peu moins soutenu ce trimestre (+, % sur un an). En parallèle, le glissement annuel des prix à la consommation s établit à 1, % fin décembre. Le ralentissement de l emploi concernerait la plupart des régions à l exception de la Corse et dans une moindre mesure PACA. Graphique 1 : Masse salariale et emploi du secteur privé GA, en % Masse salariale du secteur privé 1,5 CONJONCTURE GA, en % Emploi du secteur privé, 1, 1,,5, Tableau 1 : Masse salariale et emploi du secteur privé au quatrième trimestre En Glissement trimestriel (en %) Niveau T 7 T T1 T T3 T Glissement annuel au ème trimestre (en %) Masse salariale (en Md ) 1, 1,1 1,7,3,3,3,7 Emploi fin de trimestre (en millions) 1,1,5, -, -,3 -, Emploi moyen (en millions) 1,,,, -, -,3,1 Salaire mensuel moyen par tête (en ) 15,7 1,3,,5,7, Indice des prix à la consommation hors tabac 1,,9 1,3 -,3 -, 1, Note : Données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents (encadré). Sources : Acoss-Urssaf ; Insee Indice des prix -,5 ACOSS STAT N 79 MARS 9
2 Le freinage de la masse salariale se poursuit au quatrième trimestre (graphique 1 et tableau 1). Son rythme annuel était encore de +,5 % fin 7. Depuis, ce rythme a ralenti chaque trimestre en (+, % au premier trimestre, +,1 % au second, + 3,5 % au troisième) pour atteindre un glissement annuel de +,7 % fin décembre. Ce mouvement résulte principalement de l évolution défavorable du nombre d effectifs salariés. L emploi dans le secteur privé décroît de, % sur un an. Cette perte de 9 salariés s explique par une forte hausse au premier trimestre (+ 5 ), comparable à celle des trimestres de 7, une légère diminution au deuxième trimestre (- ) et les baisses successives aux 3 ème et ème trimestres (- 5 et - 1 ). Le SMPT progresse à un rythme annuel de, %, en lent ralentissement depuis l année dernière (environ 3 %). Compte tenu d une évolution modérée des prix en (+1% glissement annuel), après les fortes hausses enregistrées début, le pouvoir d achat du SMPT devrait être nettement positif sur l année. Graphique : Masse salariale et emploi de l industrie GA, en % Masse salariale de l'industrie GA, en % Emploi dans l'industrie 1, 1,,5,5 - -, , , Graphique 3 : Masse salariale et emploi dans quelques secteurs industriels GA, en % Industrie agro-alimentaire, GA, en % Industrie agro-alimentaire 1, 1,,5,5 - -,5 - -, , , GA, en % Fabrication de machines et équipements 1 3, GA, en % Fabrication de machines et équipements, 1, - 1, -1, - -,5 -,5-1, , GA, en % Fabrication de matériel de transport 5, GA, en % Fabrication de matériel de transport 1, 15 3,, ,5 1,3-1, ,5-1, , Sources : Acoss-Urssaf ACOSS STAT N 79 MARS 9
3 Le repli industriel s accentue au ème trimestre Dans l industrie, la masse salariale croît de 1, % en glissement annuel, alors que le salaire mensuel par tête progresse de,9 %. La diminution importante de l emploi au quatrième trimestre (-, %) s inscrit dans un repli croissant depuis le début de l année. Les industriels ont procédé à l ajustement de leur main d œuvre en diminuant le recours à l intérim dès le deuxième trimestre, puis en réduisant leurs effectifs propres. En revanche, les entreprises industrielles ne semblent pas avoir ajusté significativement leur volume d heures supplémentaires au quatrième trimestre. La plupart des branches industrielles enregistrent un repli de l emploi salarié. L emploi dans l habillement, textile et cuir diminue de, % ce trimestre (soit salariés de moins). Le secteur du bois et papier (- % en glissement trimestriel) pâtit du recul de l industrie du papier et carton (-, %). L emploi se tasse dans l industrie du plastique et de la pharmacie (- 1,1 %), l industrie du meuble et la réparation de machine (- 1, %) ainsi que la fabrication de matériel de transport (-,9 %). Ce dernier secteur subit surtout les pertes d emploi de l industrie automobile (- 1, %), alors que la fabrication d autres matériels de transport (aéronautiques, navales, ferroviaires) croît encore faiblement (,1 %). Graphique : Masse salariale et emploi du BTP GA, en % Masse salariale du BTP 1 3,5 GA, en % Emploi du BTP 1 3, 5 1,3 1,5 1,, 1, 3 1,,5,3,5-1 -, ,5 Sources : Acoss-Urssaf Premières pertes d emploi dans le BTP Après un ralentissement de l emploi commencé début 7, le secteur de la construction enregistre une diminution des effectifs salariés de,3 %. L évolution de la masse salariale est plus faible que celles enregistrées les années précédentes, + 1, % sur le trimestre (et 5, % sur un an). Ce secteur qui a créé environ emplois par an depuis (taux de croissance annuel de 3 % à 5 % de l emploi), et emplois sur les trois premiers trimestres, en a perdu environ 5 au quatrième trimestre. Ce ralentissement est particulièrement visible dans les secteurs de la promotion immobilière de logements, de la construction de bâtiments et de maison individuelle, avec des glissements trimestriels respectifs de -,1 %, - 1, % et - 1, %. En revanche, certains secteurs du second œuvre ne semblent pas encore affectés par la baisse des mises en chantier et bénéficient peutêtre encore de travaux d entretiens. Ainsi, l emploi progresse dans les travaux de peinture et de vitrerie (+ 1, %), les travaux d installation d équipements thermiques et de climatisation (+, %) les travaux d isolation (+,7 %) et les travaux d installation électrique (+,1 %). Le SMPT de la construction a progressé de, % sur un an. 3 ACOSS STAT N 79 MARS 9
4 Graphique 5 : Masse salariale et emploi du tertiaire GA, en % Masse salariale du tertiaire 1,5 GA, en % Emploi dans le tertaire, 5 1,3 1, 3, 1, 1,5,3,5-1 -, ,5 Graphique : Masse salariale et emploi dans plusieurs secteurs tertiaires Sources : Acoss-Urssaf 1 GA, en % Intérim, GA, en % Intérim 5,, 1 3, 1, - -, - -1, -1 -, -1-3, - -, - -5, , , GA, en % Commerce, GA, en % Commerce 1, 7 5 1, 1,3 3,,5 1, 1,3 3 1,,5,3-1 -, ,5 GA, en % Hébergement-restauration 1 3, 1,5 GA, en % Hébergement-restauration, 1, 1,,5, , ,5 GA, en % Finance-assurance 3, GA, en % Finance-assurance 1, 1,,,5, - -, - -, , , ACOSS STAT N 79 MARS 9
5 GA, en % Activités informatiques ,, 3,, 1, -1, -, GA, en % Activité informatiques , 3,, 1, -1, -, -3, GA, en % Activités juridiques et de conseil 1,5 GA, en % Activités juridiques et de conseil, 1 3,5 1,5,5 1,,5 - -, ,5 Sources : Acoss-Urssaf Le net repli de l intérim continue de peser sur l emploi tertiaire Dans le secteur tertiaire, la masse salariale poursuit son ralentissement : +, % au quatrième trimestre. Le ralentissement de l assiette provient essentiellement d une baisse de l emploi salarié de, % au quatrième trimestre, après une diminution de, % au troisième trimestre. La baisse de l emploi provient surtout de l intérim : -, % au quatrième trimestre en glissement trimestriel après une première baisse de 5, % au troisième trimestre et de,5 % au deuxième trimestre. L intérim perd donc environ 5 postes ce trimestre, soit 15 sur 9 mois. Parmi les autres secteurs qui tirent l emploi du tertiaire à la baisse, les activités immobilières (-, % sur le trimestre) pâtissent d un net repli depuis le début de l année, notamment dans les agences immobilières (-,5 % en glissement trimestriel). Les secteurs des télécommunications (- 1, %) et celui de l édition-audiovisuel (- 1, %) contribuent également au ralentissement de l emploi dans le tertiaire. L emploi dans le commerce et réparation recule de, % en glissement trimestriel. Le commerce et réparation automobile et motocycle est le plus touché par le retournement conjoncturel avec une baisse de,7 % de l emploi par rapport au trimestre précédent. Cependant, ce sont les secteurs de commerce de gros (-,%) et le commerce de détail (-,%) qui contribuent le plus au repli du commerce, soient 3 emplois nets dans chacun de ces deux secteurs. L emploi dans les activités financières et d assurances progresse faiblement ce trimestre (+,5 %) après une légère décroissance le trimestre précédent. Les effectifs salariés du secteur de l hébergement-restauration augmentent de, % ce trimestre, après un faible repli de,3 % au troisième trimestre. Il s agit principalement du secteur de la restauration qui a résisté à la crise avec une croissance de % en glissement annuel (+ 1 emplois nets). A l inverse, l hébergement est impacté depuis mars par le retournement conjoncturel avec des évolutions trimestrielles de l ordre de,5 %. Les activités informatiques (+,1 %) et les activités juridiques, de conseil et d ingénierie (+,1 %) se stabilisent au quatrième trimestre. Les secteurs des activités juridiques, de conseil et d ingénierie ont cependant des évolutions contrastées, avec un repli de l'emploi de,7 % des activités juridiques et comptables et une progression de 1, % des activités de sièges sociaux et conseil de gestion au quatrième trimestre. Le secteur de la recherche et développement est le mieux orienté du tertiaire avec une croissance de l emploi de 1, %. Les autres secteurs dynamiques du tertiaire sont les mêmes que les trimestres précédents : ceux qui ont une dynamique propre relativement indépendante du cycle conjoncturel comme les activités récréatives (+ 1,1 %), l action sociale et l hébergement médico-social et la santé marchande (+, %). Les salaires dans le tertiaire évoluent modérément depuis trois trimestres à un rythme annuel de +, % après des hausses comprises entre 3, % et 3, % durant l année 7. 5 ACOSS STAT N 79 MARS 9
6 Tableau : Evolution de l emploi par secteur détaillé d activité économique (NACE 3) Masse salariale Emploi SMPT* Secteurs GT (%) GA (%) Niveau (M ) GT (%) GA (%) Niveau (milliers) GT (%) GA (%) Niveau moyen ( ) 7 T T1 T T3 T BZ Industries extractives 1,, -,7 1,9 3,, -,1 -,7 -, -,5-1, -,3,7 5,5 57 CA Industries agro-alimentaires,7 1, -,1 -,,9, 3,,3 -, -, -,3 -, 5 1, 3, 1 97 CB Habillement, textile et cuir,1-1,7 -, - -, -,3,9-1, -, -1,3-1, -, -7,9 13 3, CC Bois et papier,3,1, -1,1-1,1-1,7 1, -, -,5 -, -1, - -,1 9, 1,9 39 CD Cokéfaction et raffinage 1,1 9,1 1, -,1 1,7 9,,,7-1, 9, -, 1,, 1,1 3, 3 5 CE Industrie chimique,,9-1, -1, -,1,7 1,,1 -, -,9 -,5-1, -, 151,7 3, 3 11 CF Industrie pharmaceutique,7-1,9 -,,,7-1,,9 -, -1, -,,3-1,1 -, 1,1 1,1 3 9 Industrie des plastiques et autres produits CG non minéraux,9,,5 -, -, -,, -,3 -, -, -, -1,1 -,9 335,, 39 Métallurgie et fabrication de produits CH métalliques,9,3 1, -, -,5 1,1 3,3 -,3 -, -, -,5-1,1 5,1 3 Fabrication de produits informatiques, CI électron. et optiques -,1,3, -1,1 -,5,9 1, -,3 -,5 -,7-1, -,9-3,3 157,, 3 31 CJ Fabrication d'équipements électriques 1, 1,9,5,1, 3, 1,1 -,,3 -,5 -, -, 135,9 3, 39 Fabrication de machines et équipements CK n.c.a. 1,,1 1, -1,1,, 1,,,3,1 -,9-1, , 3,5 71 CL Fabrication de matériels de transport -,1 1, 1,9-1,7 -, 3,5 -, -, -,7 -,3 -,9 -,7 39 -,9, 93 Autres industries manuf. ; réparation et CM installation machines 1,1 1,1,9,,,,,,1 -,3-1, -1, ,3 3,1 35 Produc. distribution d'électricité, gaz, vapeur DZ et air conditionné,,7-5,1,3 7,1 1,,1 1,, -,9 1, 1,7 19 1, 5, 3 13 Production et distribution d'eau, EZ assainissement 1,, -1,,9 -,7 3, 1,1,7,,7 -,,1, 1 -,5, 1 FZ Construction 1,9 1, 1,,7 1, 5,,, 1,1,5,3 -,3 1, 1 5 1,, 1 9 Commerce, réparation d'automobiles et de GZ motocycles, 1,3,5,7 -,1, 1,7,3,1, -, -, -,3 3 73,,3 HZ Transports et entreposage 1,,, -,7,, 9,7,,,3 -,3,3, 1 3, 3,3 75 IZ Hébergement et restauration, -,,1,3 3,,,9,5 -, -,3,, 971,,7 1 5 JA Edition et audiovisuel,,,9 -,1,5,3,9,7,7-1, -1, -1, 3 1,,7 3 JB Télécommunications -,, -,3 -,7-1,3-1,9 1,3-1, -, -1, -1, -1, -5, 153,1 3, 9 JC Activités informatiques 1, 3,9 1,7,, 3,3 1, 3,1 1,,9,1 5, 3 -,5 1, 3 5 KZ Activités financières et d'assurance,3 1,7 -,1 1,,,1, -,,5 -,1,5,3 75 1,3, 3 5 LZ Activités immobilières,, - -,5-1, -,5 1,7 -,5-1, -,7 -, -,3 5 1,,9 19 Activités juridiques, de conseil et MA d'ingénierie,,,, 5,,3 1, 1,,,7,1,7 7 -, 1, 3 17 MB Recherche et développement 1, 1,, 1, 3, 1,, -, 1,1, 1,, 15, 1, 3 7 MC Autres activités scientifiques et techniques 1,,,,,1 3, 1,,, -,, -,5,3,, 319 Activités de services administratifs et de NZ soutien,9, -,5-1, -, -1,9,9 1, 1, -, -,5 -,1-5, 1 7 -,,3 1 9 OZ Administration publique -, - 1, 3, -,9,, -, -, -,1 -,7 -, ,, 3 39 PZ Education,1, 1,3 1,1 1,9 5,,5, -,1, 99,, 1 7 QA Activités pour la santé humaine 1,,,9,9 1,3 3, 3,,5 -,,5,,,9 55,9, QB Action sociale et hébergement médico-social 1,3 1,7 1,,3 7,,3 1,,7 1,1 1,, 3, ,5 1 1 RZ Arts, spectacles et activités récréatives 1,1 1, 1,, -,, 1, 1, -,7 -, 1,1 1, 7-1,, SZ Autres activités de services,,,9 1, -,,,9 1,1, 1,1,,3,5 55 -, 1, T Activités diverses et non classées - -,3 3, -,,,1-1,7 -, 3,1 -, -, -1, 1,,5 71 Total 1,1 1,7,3,3,3,7 1,,5, -, -,3 -, 1 1,7, 15 Total hors interim 1,1 1,7,,5, 3,1 117,,5,3, -,1 -,1,3 17,7,5 33 Industrie, 1,7 -,3 -,1 1,, -,1 -,3 -,3 -, -, -1,9 3 53,,9 53 Construction 1,9 1, 1,,7 1, 5,,, 1,1,5,3 -,3 1, 1 5 1,, 1 9 Tertiaire (y compris intérim) 1, 1,7,3,5,,9 5,1,7,5 -,1 -, -, -, 13,7, 1 Intérim 1,1, -,3-3,7-7, -1 3,7,, -,5-5, -, -15,9 73 -,9,1 1 7 * salaire moyen par tête Sources : Acoss-Urssaf T 7 T T1 T T3 T T T T T T ACOSS STAT N 79 MARS 9
7 Carte 1: Glissement annuel de la masse salariale du secteur privé au quatrième trimestre Carte : Glissement annuel de l emploi du secteur privé au quatrième trimestre Niveau national +,7 % Pays de la Loire Nord - Pas - De- Calais..7 Picardie Haute - Normandie.9..1 Basse - Normandie Champagne -. Ardenne.1 Ile- de - France Lorraine Bretagne 3.5 Centre 1.5 Poitou- Charentes. Limousin Auvergne Rhône -Alpes 3..9 Aquitaine 3.1 Midi- Pyr é né es 3.3 Languedoc - Roussillon 3. Bourgogne 1.9 Franche - Comté 1. Alsace. 1.9 Provence- Alpes - Côte d'azur 3.7 Corse. Guyane. Guadeloupe Martinique 3.3 R é union.3 Bretagne. Niveau national -, % Basse-Normandie -1.1 Haute-Normandie -1.3 Nord-Pas-De-Calais -. Pay s de la Loire Centre Bourgogne -1. Franche-Comté -1.9 Poitou-Charentes -1. Limousin Auv ergne Aquitaine. Ile-de-France.1 Midi-Py rénées. Picardie -1. Champagne- Ardenne Languedoc-Roussillon. Lorraine Alsace -.7 Rhône-Alpes -. Prov ence-alpes- Côte d'azur.5 Corse 3. Guy ane. Guadeloupe -.9 Martinique -1.9 Réunion -1. Source : Acoss Urssaf La dégradation conjoncturelle gagne la plupart des régions Au quatrième trimestre, l emploi salarié continue à baisser dans la plupart des régions. La Corse reste la région la plus dynamique avec une croissance de 3, % en rythme annuel, tirée par les secteurs de la construction (+ 7,1 %) et de l hébergement-restauration (+ 9,5 %). La région PACA connaît une évolution annuelle de,5 % grâce aux secteurs des activités informatiques (+,9 %), recherche et développement (+ 1, %) et hébergement-restauration (+, %). Les régions du Sud, la façade Ouest (sauf Poitou-Charentes) et l Ile-de- France enregistrent sur un an une croissance modérée de l emploi (entre % et, %). Le Rhône-Alpes, l Alsace et le Nord-Pas-de-Calais qui enregistraient encore au troisième trimestre une croissance positive sur un an, basculent désormais dans le groupe des régions concernées par des pertes d emplois, avec des baisses de, % à, %. Les régions du nord-ouest et du centre subissent particulièrement le retournement conjoncturel avec une baisse de l emploi sur un an comprise entre 1, % et 1,3 % L emploi dans les régions du Nord- Est (Champagne-Ardenne, Lorraine et Franche-Comté) demeure toujours mal orienté avec des diminutions comprises entre - 1, % et - 1,9 %. Les DOM sont également touchés par le retournement conjoncturel. Seule la Guyane connaît une croissance positive de l emploi sur un an (+, %) grâce aux secteurs de la construction (+ 7, %) et de l action sociale (+ 1 %). La baisse d emploi dans l intérim affecte l ensemble des régions, allant jusqu à % en Champagne- Ardenne et Franche-Comté. A l inverse, certains secteurs tirent à la hausse l emploi : les activités informatiques en Bretagne (+ 13, %) et en Midi-Pyrénées (+ 1, %), l hébergement et la restauration en Aquitaine (+ 1,9 %), en Rhône-Alpes (+ 1, %) et en Ilede-France (+ 1, %). Arnaud Boulliung Sophie Gobillard Mihaela Mosu-Nasr Elodie Sévin Département des études statistiques et de l observation des cotisants (DESOC) 7 ACOSS STAT N 79 MARS 9
8 Encadré : Sources et méthodologie Les Bordereaux Récapitulatifs de Cotisations (BRC) sont remplis par les établissements employeurs du régime général exerçant leur activité en France (Métropole et Dom) qui déclarent aux Urssaf leurs cotisations sociales, les différentes assiettes salariales (plafonnée, déplafonnée, CSG) donnant lieu à cotisations ou à allégements, ainsi que leurs effectifs salariés. Cette déclaration est mensuelle si l effectif de l entreprise est supérieur à 1 salariés et en principe trimestrielle en deçà de ce seuil. La base Séquoia centralise depuis janvier 1997 ces déclarations et comporte environ comptes mensuels et 1 3 comptes trimestriels actifs (plus du double en comptabilisant les comptes actifs au moins une fois depuis 1997). Elle est alimentée par des extractions mensuelles. L extraction qui a lieu deux mois après la fin d un trimestre comprend la quasi-totalité des déclarations. Les bordereaux arrivant postérieurement à ces mois sont estimés dans un premier temps par l Acoss à partir des informations des périodes précédentes, puis cette estimation est affinée ultérieurement au regard de l ensemble de la chronique des déclarations. Les données présentées ici sont donc provisoires pour le dernier trimestre et comprennent de légères révisions sur l historique, essentiellement sur le trimestre précédent. Les données sont également désaisonnalisées pour corriger notamment l impact des versements de primes et les fluctuations saisonnières de l emploi. Ces désaisonnalisations peuvent également conduire à des révisions des périodes antérieures. Les coefficients saisonniers sont revus une fois par an. Le champ couvre l ensemble des cotisants du secteur concurrentiel qui comprend tous les secteurs d activité économique sauf les administrations publiques, l éducation non marchande (établissements d enseignement relevant de l Etat ou des collectivités locales), la santé non marchande et l emploi par les ménages de salariés à domicile. Il est très proche de ceux de l Unedic (hors grandes entreprises nationales) et de l Insee (qui inclut l emploi à domicile). Pour le secteur de l agriculture, la branche du recouvrement n a qu une couverture marginale par rapport à la Mutualité Sociale Agricole (MSA). Cette dernière est présente également dans le domaine des industries agroalimentaires (IAA), du commerce de gros et des services financiers, pour lesquels la couverture des Urssaf n est donc pas totale. La nouvelle nomenclature d activité NAF (articulée sur la nomenclature européenne NACE et la nomenclature internationale) est entrée en vigueur depuis le 1 er janvier. Elle a été rétropolée sur l ensemble des établissements depuis janvier 1997, permettant ainsi de disposer de séries détaillées. Les tableaux et graphiques reposent sur un classement en 3 secteurs agrégés, mais les commentaires peuvent s appuyer sur des niveaux plus fins (jusqu à 73 niveaux détaillés). L assiette salariale totale ou l assiette déplafonnée désigne l ensemble des rémunérations sur lesquelles repose le calcul des cotisations des assurances sociales, des accidents du travail et des allocations familiales, c est-à-dire le salaire de base auquel s ajoutent des compléments légaux, conventionnels ou attribués à l initiative de l employeur, sous forme de commissions, de primes, de rémunération des heures supplémentaires, de gratifications et d avantages en nature. Elle se distingue de l assiette «Contribution Sociale Généralisée» (CSG) qui comprend également les sommes allouées au titre de l intéressement et de la participation et certaines indemnités n entrant pas dans l assiette déplafonnée. L effectif salarié est un effectif en fin de trimestre ; chaque salarié compte pour un, indépendamment de sa durée de travail. Cet effectif réel en fin de mois diffère d autres notions d emploi faites en ETP ou qui excluent certaines catégories de salariés dont les emplois aidés. Cet effectif donne lieu à de nombreuses vérifications par les Urssaf et l Acoss. L effectif moyen est égal à la demisomme des effectifs de fin de trimestre. Le salaire moyen par tête (SMPT) est calculé en rapportant la masse salariale du trimestre à l effectif moyen observé sur le trimestre ; il est divisé par trois pour obtenir une grandeur mensuelle. Indicateurs présentés : Le glissement trimestriel (GT) compare les données du trimestre avec celles du trimestre précédent. Le glissement annuel (GA) compare les données du trimestre avec celles du trimestre correspondant de l année précédente. ACOSS STAT N 79 MARS 9
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de
Plus en détailLe Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE
Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue
Plus en détailETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00
ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA
Plus en détailDares Analyses. publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques
Dares Analyses octobre 2012 N 074 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Les salaires par secteur et par branche professionnelle en 2010 : une accélération
Plus en détailSITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON
ACO S S STA T SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON N - JANVIER 5 Le 1er juillet 3, une réduction unique des cotisations patronales de Sécurité sociale
Plus en détailZone d'emploi de Lyon
Lyon - Zone d'emploi Territoire de référence (TR): FicheOMPREL Somme des 8 zones d'emploi de la RUL Edition 2012 / 2013 Cette fiche socio-économique est générée à partir de l observatoire Baseco Rhône-Alpes
Plus en détailPanorama. de l économie sociale et solidaire
Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France
Plus en détailListe des variables du Fichier Activité professionnelle des individus (localisation à la zone d'emploi du lieu de travail)
Liste des variables du Fichier Activité professionnelle des individus (localisation à la zone d'emploi du lieu de travail) Nom de variable ZELT Libellé Zone d'emploi du lieu de travail Précisions sur modalités
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS
Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux
Plus en détailISF et intermédiation : Collecte 2009
ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour
Plus en détailEdition février 2015. CEGEDIM CD, droits réservés : GDR_201502
1 Edition février 215 Chaque mois, CEGEDIM CD propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé (fiabilisation & enrichissement), pour vous
Plus en détailAvant propos. Ce rapport présente les résultats de la vague 2013 de l'enquête "Besoins en main-d'œuvre" (BMO) pour la région Ile-de-France.
Avant propos Ce rapport présente les résultats de la vague 2013 de l'enquête "Besoins en main-d'œuvre" (BMO) pour la région Ile-de-France. Le champ de cette vague est le même que celui de l enquête 2012,
Plus en détailChaque mois, IMS Health propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé
Chaque mois, IMS Health propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé (fiabilisation & enrichissement), pour vous accompagner dans la compréhension
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailLa Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 -
La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région - Juillet 2010 - Votre besoin en Capital Vous êtes dirigeant (ou futur dirigeant) d entreprise et vous souhaitez : Créer ou
Plus en détailÉVOLUTION DES EFFECTIFS SALARIES
Mise à jour 2014 ÉVOLUTION DES EFFECTIFS SALARIES L ACCOS a recensé 30 463 établissements employant 343 976 salariés en Seine-et-Marne fin 2013, soit sur un an, une légère hausse de + 0.12 % du nombre
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2013 Version définitive Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47
Plus en détailBilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et
Plus en détailAvant propos. Ce rapport présente les résultats de la vague 2015 de l'enquête "Besoins en main-d'œuvre" (BMO) pour la région Ile-de-France.
2015 Avant propos Ce rapport présente les résultats de la vague 2015 de l'enquête "Besoins en main-d'œuvre" (BMO) pour la région Ile-de-France. Le champ de cette vague est le même que celui de l enquête
Plus en détailLes enjeux du quotidien
Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailBaromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010
Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Opportunités de croissance ou créations d entreprise, plus de 44 000 commerces ou industries
Plus en détail12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2013-T1 2013-T2 2013-T3 2013-T4 2014-T1 2014-T2 2014-T3 2014-T4 Fiche Synthèse Sectorielle juillet 2015 Activités juridiques, comptables,
Plus en détail9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs
DONNÉES AU 31/12/2006 SOURCE INSEE-CLAP 1 - DÉCEMBRE 2008 Panorama de l'économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Ce document est la première publication réalisée par l Observatoire national de l
Plus en détailDéveloppement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,
Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs
Plus en détailBienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre
Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer
Plus en détailLes prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards
Plus en détailSECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL
SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailpublication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques
Dares Indicateurs mars 2013 N 016 publication de la direction de l'animation de la recherche, étu et statistiques Les tensions sur le marché du travail au 4 E 2012 Au 4 e 2012, l indicateur de tension
Plus en détailObservatoire de l Eolien
Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE
Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des
Plus en détailLES AUTO-ENTREPRENEURS EN 2013 : LEUR NOMBRE CONTINUE DE PROGRESSER MAIS LEUR CHIFFRE D AFFAIRES MOYEN DIMINUE
Fin, on dénombre 911 000 autoentrepreneurs (AE). Ils représentent 51 % de l ensemble des travailleurs indépendants (hors secteur agricole) immatriculés depuis la création du dispositif le 1 er janvier
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013
12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE
TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Pour ce palmarès 2015, 140 banques de métropole et d outre-mer ont été passées à la loupe. Les tarifs analysés? Ceux en
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015
02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée
Plus en détailConstruction de logements
COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n 640 Mai 2015 Construction de logements Résultats à fin avril 2015 (France entière) OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Rappel À compter des
Plus en détailEnquête sur le devenir des diplômés de licence professionnelle
Enquête sur le devenir des diplômés de licence professionnelle Vous pouvez répondre à ce questionnaire en vous connectant sur Internet avec le code ci-contre : http://enquetes.u-bordeaux.fr/orpea/lp2012/questionnaire.htm
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com
Plus en détailInformatisation des données transfusionnelles
Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser
Plus en détailQuelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013
Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats
Plus en détailORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France
Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur La santé au travail dans les régions de France Collection
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée
Plus en détail56 rue Laffitte - 75320 PARIS CEDEX 09 Tél. : 01 55 07 85 85 Site internet : www.sett.org
56 rue Laffitte - 75320 PARIS CEDEX 09 Tél. : 01 55 07 85 85 Site internet : www.sett.org I II L emploi intérimaire s est contracté de 2,7% en 2003 L évolution de l emploi intérimaire est soumise aux fluctuations
Plus en détailENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires
ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES
Plus en détailArtiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013)
Observatoire des Métiers et de l Artisanat Région Centre Juin 214 Artiscope Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 213 (2ème Semestre 213 - Année 213) La révision
Plus en détail21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5
21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent
Plus en détailpublication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques
Dares Analyses FÉVRIER 2014 N 016 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques L EMPLOI DANS LES TRÈS PETITES ENTREPRISES EN DÉCEMBRE 2012 Les entreprises
Plus en détailDares Analyses. PARTICIPATION, INTÉRESSEMENT ET ÉPARGNE SALARIALE EN 2012 Le plan d épargne entreprise devient le dispositif le plus répandu
Dares Analyses JUILLET 2014 N 053 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques PARTICIPATION, INTÉRESSEMENT ET ÉPARGNE SALARIALE EN 2012 Le plan d épargne
Plus en détailLES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013
LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,
Plus en détailBaromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011
Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre établi à partir des sources suivantes: 2010 - Données transmises par la Direction
Plus en détailRéseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE
L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE [Mise à jour : 10 mai 2014] 1 L équipe Siège UBIFRANCE Paris Michel Bauza Chef de Département UBIFRANCE siège, Paris Téléphone fixe 01 40 73 35
Plus en détailL EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013
Février 2015 - N 15.004 L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 En résumé : En 2013, l emploi intermittent du spectacle concerne 254 000 salariés, 111 000 employeurs relevant du
Plus en détailLe marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel
Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le nouveau paradigme de l IT IDC Visit us at IDC.com and follow us on Twitter: @IDC 2 L arrivée de nouvelles technologies insuffle
Plus en détailL EMPLOI D AIDE A DOMICILE ENJEUX ECONOMIQUES. Cécile BAZIN. Henitsoa RAHARIMANANA Alexis GUYONVARCH - Jacques MALET. et la CCMSA
L EMPLOI D AIDE A DOMICILE ENJEUX ECONOMIQUES 3 ème édition - Décembre 2011 Cécile BAZIN Henitsoa RAHARIMANANA Alexis GUYONVARCH - Jacques MALET Etude réalisée en coopération avec l ACOSS-URSSAF et la
Plus en détail"La santé des étudiants en 2009"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie
Plus en détailForm. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie
Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans
Plus en détailLA FILIÈRE ÉCO-ACTIVITÉS EN ÎLE-DE-FRANCE
Monographie économique LA FILIÈRE ÉCO-ACTIVITÉS Le plan filières des éco-activités en Île-de-France, piloté par le pôle de compétitivité Advancity, est mis en œuvre en partenariat avec la Chambre de commerce
Plus en détailDépendance et rayonnement. des établissements franciliens
ILE -DE- FRANCE études études Mai 2006 Dépendance et rayonnement des établissements franciliens Document réalisé dans le cadre du Schéma Directeur Régional de l'ile-de-france Julie Roy Insee Ile-de-France
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 30 janvier 2009 Des packages plus chers que les services à la carte dans plus de 50 % des banques, des prix globalement à la baisse
Plus en détailLES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2
LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations
Plus en détailI) Evolution de la demande d emploi mensuelle
Document rédigé le 27/04/2015 LES ESSENTIELS DE L EMPLOI - Chiffres de mars 2015 Plan : I) Evolution de la demande d emploi mensuelle (pages 1 et 2) - Catégorie A - Catégorie ABC - Entrées et sorties/offres
Plus en détailREGION HAUTE-NORMANDIE
Évaluation des effets d une fusion de la Région Haute-Normandie et de la Région Basse-Normandie REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la région Haute-Normandie et de la région Basse-Normandie
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailRapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires
Rapport d activité 2014 Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires EN En 2014 3 668 emplois créés ou consolidés 907 projets accompagnés et 20,9 M mobilisés en Jean Jacques Martin Président
Plus en détail3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT
3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 - L offre d hébergement Définitions Dans ce chapitre sont présentés les parcs d hébergement marchand et non marchand qui constituent l offre touristique française. Le
Plus en détailN 13 S É N A T. 30 octobre 2014 PROJET DE LOI
N 13 S É N A T SESSION ORDINAIRE DE 2014-2015 30 octobre 2014 PROJET DE LOI relatif à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral. (procédure
Plus en détailq u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998
Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé analyse Repères Depuis plusieurs années, l IRDES étudie le marché de la couverture complémentaire et a élaboré, en 1998,
Plus en détailENQUETE BESOIN EN MAIN-D ŒUVRE 2012 Bassin de Saint Etienne
ENQUETE BESOIN EN MAIN-D ŒUVRE 2012 Bassin de Saint Etienne 6 804 projets de recrutement en 2012 1 Sommaire 1 L ESSENTIEL 2 LES METIERS PORTEURS 3 LES METIERS NON SAISONNIERS 4 LES METIERS DIFFICILES 5
Plus en détailLes crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014
Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression
Plus en détailLe tableau de bord. dans les entreprises
Le tableau de bord des TIC dans les entreprises novembre 2010 oc Tableau de bord des TIC dans les entreprises - novembre 2010 Le tableau de bord des TIC dans les entreprises NOVEMBRE 2010 1 Le tableau
Plus en détailmain-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement
Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d
Plus en détailMédiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance
Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance
Plus en détail1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE
1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,
Plus en détailMICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL
ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération
Plus en détailAssurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014
Assurances de biens et de responsabilité Etude Mars 2014 Tempêtes, grêle et neige : Résultats de l année 2012 Ce document est la propriété exclusive de la FFSA et du GEMA et est protégé par le droit d'auteur.
Plus en détailProtocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013
Protocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013 Harmonie Mutuelle, mutuelle soumise aux dispositions du livre
Plus en détailLa mobilité. Au service des Outre-mer
La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première
Plus en détailObservatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014
Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014 Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Rappel Méthodologique Modes de réception TV À partir de 2014 : Niveau national et régional Enquête
Plus en détailLa confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai
25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de
Plus en détailMutualité Fonction Publique 62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13
62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13 DIRECTION DE LA SANTE Département Relations avec les Professionnels de Santé Dossier suivi par : Monique LEFRANCOIS Réf. : 19/2005/ML/MPD Paris, le 22 décembre
Plus en détailrapport de l observatoire des TArifs bancaires
2013 rapport de l observatoire des TArifs bancaires 2013 rapport de l observatoire des tarifs bancaires Préambule La loi de régulation bancaire et financière du 22 octobre 2010 a confié au Comité consultatif
Plus en détailPolitique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens
au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailRAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE
Page 1 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Page 2 Page 3 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Sommaire Sommaire... 3 Edito... 4 Champ d application et d observation... 6 Établissements..14 Effectifs...
Plus en détailGESTION, ADMINISTRATION
GESTION, ADMINISTRATION A vec 73 5 emplois et 9,8 % des actifs, les métiers de la gestion et de l administration des entreprises constituent le troisième domaine professionnel dans la région, un rang identique
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailau 1er novembre 2013
au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailDe nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements
COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse
Plus en détailBREF Thématique L EMPLOI DES SENIORS EN ILE-DE-FRANCE
BREF Thématique N 25 mai 2011 Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l emploi d Ile de France L EMPLOI DES SENIORS EN ILE-DE-FRANCE LES PRINCIPAUX
Plus en détailPRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN
PRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN Commission Animation territoriale CNIG 28/01/2014 Marie-Louise ZAMBON IGN (chef du service des programmes à la direction des programmes civils
Plus en détailRésultats du sondage
Résultats du sondage L agence française du programme européen «Jeunesse en action» (PEJA), dans le cadre de ses petits déjeuners «Prêt à l emploi!», a diffusé un questionnaire exclusif, réalisé en ligne
Plus en détailIndices des prix du transport de fret et de l entreposage au quatrième trimestre 2014
COMMISSARIAT Général au développement durable n 621 Mars 2015 Indices des prix du transport de fret et de l entreposage au quatrième trimestre 2014 OBSERVATION ET STATISTIQUES transport Les prix du transport
Plus en détailF.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000
F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 PARIS, le 11 Avril 2000 PROCES VERBAL REUNION AFFAIRES GENERALES DU 24 MARS 2000 Présents : MM. SIMON, MERIC, VILLEROT, MARLIOT, Mmes
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détail