Laura R. Née le mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 1
|
|
- Lucille Paquin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Laura R. Née le mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 1
2 Antécédents Personnels : -fracture du coude gauche ostéosynthésée en déc Pas d allergie -Contraception orale oestro-progestative -vaccinations à jour. Familiaux : -décès de sa mère (AVP)il y a 15 ans -sœur : arthrite à staphylocoque de la hanche gauche en nov 2006 suite à un panaris du 1 er orteil gauche mal traité mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 2
3 Anamnèse 16 février : angine érythémato-pultacée traitée par antibiothérapie(une semaine). Début avril asthénie avec apparition fin avril d une dyspnée d effort d aggravation progressive. 18 mai 2007: constatation d adénopathies jugulo-carotidienne et sous angulo-maxillaire gauches, douloureuses, apyrexie. Consultation auprès du médecin traitant qui prescrit devant le syndrome anémique et les ADP, un bilan objectivant une pancytopénie avec blastose sanguine à17 %, associée àune CIVD Hospitalisation du 16 au 17 mai en onco-hématologie à Montluçon où un nouveau bilan est prescrit. Elle reçoit 2 CG, une héparinothérapie puis est transferée à Bousquet le 18 mai mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 3
4 Examen clinique Altération modérée de l état général avec asthénie, petite anorexie sans amaigrissement (poids : 64 kg). Apyréxie, constantes hémodynamiques stables avec tachycardie régulière. Pâleur cutanéo-muqueuse. Ausculation cardio-pulmonaire sans particularité Hypertrophie et érythème amygdaliens. Adénopathie jugulo-carotidienne gauche de 2 cm de grand axe, et sous angulo-maxillaire gauche de 3 cm de grand axe, douloureuses à la palpation, rénitentes, non fixées. Chapelet ganglionnaire infracentimétrique controlatéral. Abdo SDI, pléthorique, difficulté de palpation de la rate et du foie. Examen neurologique strictement normal mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 4
5 Examens complémentaires NFS : pancytopénie et blastose sanguine -GB : 4410/mm3 dont 12%PNN et 43% de blastes -Hb : 7,7g/dl -Pq : 48000/mm3 BC : CIVD -TP 73% -Fib : 1.2g/l -D-dimères : 6962ng/ml -PDF : 160µg/ml iono sanguin, créatininémie, bilan hépatique et phosphocalcique, LDH, et uricémie normaux; Ponction lombaire normale Sérologies prétransfusionnelles normales; Radiographie pulmonaire normale; Echographie cardiaque normale; Echographie abdominale retrouvant une hépatosplénomégalie (foie mars sur cm, rate 10 DES sur pédiatrie 7 cm)homogène. Clermont Ferrand 5
6 Myélogramme -Moelle de richesse inférieure à la normale envahie par 91 % de cellules blastiques, aspect cytologique compatible avec une LAM1(myéloblastique sans différenciation) -Positives au MPO pour 10% d entre elles. -Immunophénotypage médullaire : phénotype type LAM, 80% de cellules blastiques CD 34+ ( 3 marqueurs myéloïdes CD13, CD33, CD117, existence de marqueurs T CD2 et CD7) -Cytogénétique : translocation(7;11) mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 6
7 Evolution Traitement initial: héparinothérapie, pose d un cathéter veineux central le 19 mai, et induction de type LAM (protocole ELLAM02) comprenant 7 jours d ARACYTINE et 5 de MITOXANTRONE. Devant un épisode d aplasie fébrile les 19 et 20 mai antibiothérapie probabiliste par FORTUM, AMIKLIN, VANCOMYCINE. Myélogramme d évaluation à J15 montre la persistance de 28 % de blastes, nouveau myélogramme à J 20 : 75% de blastes. Traitement de consolidation entrepris à J21 comprenant ARACYTINE et AMSACRINE. Typage HLA de sa sœur effectué en vue d une allogreffe ultérieure dès rémission complète, compte tenu des facteurs de mauvais pronostic que sont : -la mauvaise réponse au traitement d induction, -la présence de blastes exprimant le phénotype T -la translocation(7;11) mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 7
8 Au total Leucémie aigüe myéloblastique sans différenciation (type LAM1 de la classification de FAB) chez une jeune femme de 18 ans avec facteurs de mauvais pronostic, incluse dans le protocole de traitement ELLAM mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 8
9 Alexis B. Né le mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 9
10 Antécédents Antécédents personnels : -pas d allergie -vaccinations à jour -pas de traitements Antécédents familiaux : -mère : hyperthyroïdie, -père : lombalgies chroniques -frère 21 ans -sœur 13 ans en bonne santé mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 10
11 Anamnèse Apparition fin février d une asthénie associée à un ictère conjonctival. Fin avril aggravation progressive de l asthénie, puis dyspnée d effort stade I, ictère cutanéo-muqueux. Consultation auprès du MT le 23 mai qui prescrit un bilan sanguin, celui-ci révèle une pancytopénie avec blastes circulants. Hospitalisation au CH d Annecy le 24 mai réalisation d un myélogramme concluant à une LAM6. Transfert à Bousquet le 25 mai pour rapprochement familial mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 11
12 Examen clinique Altération modérée de l état général avec asthénie, pas d anorexie ni d amaigrissement (poids : 64 kg); Apyréxie; Ictère cutanéo-muqueux; Ausculation cardio-pulmonaire sans particularité; Absence d ADP périphériques ; Abdo SDI, HMG à 2 travers de doigt, pas de SMG palpable; Examen neurologique normal mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 12
13 Examens complémentaires NFS Hb : 11.6 g/dl GB : 4190/mm3 dont 838 PNN 50% de blastes Pq : /mm3 Ferritine normale Hémolyse : (lyse des érythroblastes) -hapto<0.20 ( ) -LDH : 520UI/l( ) -Bilirubine totale à 121mg/l(5-25) -Electrophorèse de l Hb normale -Absence de déficit en G6PD ou PK mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 13
14 Examens complémentaires Bilan de coagulation, iono sanguin créatininémie, bilan hépatique phospho-calcique, et uricémie normaux; Ponction lombaire normale Sérologies prétransfusionnelles normales; Radiographie pulmonaire normale; Echographie cardiaque normale; Echographie abdominale en faveur d un hépatosplénomégalie homogène mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 14
15 Myélogramme -Moelle de richesse inférieure à la normale avec 50% d érythroblastes dystrophiques en faveur d une LAM 6 de type érythroblastique. -Positivité du MPO -Immunophénotypage : cellules immatures myéloïdes CD13+, CD33+, CD65+, CD117+, CD34+, HLA DR-,glycophorine A-, expression aberrante de l antigène CD7. érythroblastes(cd36+ CD35+ CD4-) -Cytogénétique : délétion intersticielle 7q mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 15
16 Evolution Traitement d induction débuté le 29 mai après prélèvement de sperme (CECOS) avec ARACYTINE 7 jours et CERUBIDINE 3 jours (protocole GOELAM). Aplasie fébrile le 9 et 10 juin, établissement d une antibiothérapie probabiliste. Allogreffe de moelle allogénique (frère compatible) prévue dès rémission complète compte tenu de la persistance d une blastose sanguine après le traitement d induction, de l expression aberrante CD7, de la delétion 7q de mauvais pronostic mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 16
17 Au total Erythroleucémie (type LAM 6 de la classification FAB) chez un patient de 19 ans avec facteurs de mauvais pronostic, incluse dans le protocole GOELAM mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 17
18 LEUCEMIES AIGÜES MYELOBLASTIQUES Ganaëlle Remérand mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 18
19 Définition La leucémie aigüe myéloblastique est une hémopathie maligne, résultant de la transformation leucémique d un précurseur hématopoïétique. Il existe un blocage de la différenciation cellulaire granuleuse, et prolifération clonale de cellules blastiques dans la moelle osseuse mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 19
20 Épidémiologie Incidence des leucémies aiguës : 3.8 cas/an/ habitants nouveaux cas par an, 2/3 d enfants Les LAM représentent 20% des leucémies aigües de l enfant, il n existe pas de pic d incidence (contrairement aux LAL pour lesquelles il se situe entre 2 et 5 ans) mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 20
21 Facteurs prédisposant Plusieurs affections constitutionnelles prédisposent au risque de leucémie aiguë. Ce risque est évalué à 25% chez les vrais jumeaux. Il s'accroît dans le cas d'une anomalie chromosomique ou dans le cas de défaut de réparation chromosomique. Facteurs génétiques Le risque augmente aussi en cas d un déficit immunitaire génétiquement déterminé. Anomalies chromosomiques constitutionnelles -Trisomie 21(RR multiplié par20), +++ -Syndrome de Klinefelter -Syndrome de Turner mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 21
22 Aplasie médullaire et cytopénie isolée -Maladie de Fanconi(arrêt de fonctionnement progressif de la moelle osseuse). -Erythroblastopénie de Blackfan- Diamond; -Amégacaryocytrose constitutionnelle; -Agranulocytose constitutionnelle; -Syndrome de Schwachman-Diamond (insuffisance pancréatique et dysmyélopoïèse) Syndromes de cassure chromosomique - Syndrome de Bloom(télangiectasies, un faible poids à la naissance et des troubles du développement, touche principalement les juifs Ashkénazes). -Ataxie télangiectasie; -Xeroderma Pigmentosum Déficits immunitaires -Déficits congénitaux en adénosine déaminase ou déficit immunitaire combiné sévère (DICS) [T-B-] / -Agammaglobulinémie type alymphocytose mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 22
23 Facteurs endogènes acquis Pathologies médullaires préexistantes -Etats pré-leucémiques, pour les LAM : myélodysplasies primitives(areb1, AR, ARSI), aplasie médullaire, maladie de Marchiafava-Micheli (hémoglobinurie paroxystique nocturne) -Syndromes myéloprolifératifs : acutisation de LMC avec translocation(9;22), splénomégalie myéloïde, maladie de Vaquez, TCE mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 23
24 Physiopathologie Hématopoïèse Les cellules souches «pluripotentes» ou «progéniteurs» La première différenciation d'une cellule souche totipotente, après sa mise en cycle cellulaire de division, se fait soit vers la lignée lymphoïde qui produit les lymphocytes, soit vers la lignée myéloïde qui aboutit aux polynucléaires. La cellule «totipotente» devient alors «pluripotente» La cellule souche lymphoïde Elle possède la potentialité de différenciation vers les deux types de lymphocytes T ou B. La cellule souche myéloïde «CFU-GEMM» (CFU : Colony Forming Unit GEMM = Granuleuse, Erythrocytaire, Macrophage et Mégacaryocyte-lignées dont elles gardent le potentiel de différenciation.) Cette cellule va poursuivre son programme de différenciation et donner naissance à des progéniteurs encore plus engagés. Les CFU-GM sont les «progéniteurs» des polynucléaires et des macrophages. Les CFU-G sont les «progéniteurs» des polynucléaires mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 24
25 14-15 mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 25
26 Leucémisation Certaines mutations génétiques aboutissent à un blocage de la maturation des cellules hématopoïétiques de la lignée granuleuse, qui ne deviennent donc pas fonctionnelles. De plus, elles réacquièrent la possibilité de s autorenouveler comme les cellules souches. Ce qui a pour conséquence une prolifération ininterrompue de blastes dans la moelle. D autre part, absence d apoptose des blastes qui s accumulent et entraînent une défaillance de l hématopoïèse normale. Les «blastes» passent alors dans la circulation et sanguine et sont à l origine de la dissémination de la maladie mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 26
27 Le blocage a lieu soit sur la lignée granulocytaire, donnant naissance aux leucémies «myéloïdes», soit sur la lignée lymphocytaire, aboutissant aux leucémies «lymphoïdes». En fonction du stade de maturation les cellules expriment différents marqueurs immunologiques dits «cluster of differenciation» ou CD. Selon l immunophénotypage des blastes on peut mettre en évidence le point de blocage de différenciation mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 27
28 14-15 mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 28
29 Signes cliniques Altération de l état général Asthénie, anorexie, amaigrissement modéré. Insuffisance médullaire -syndrome anémique pâleur, asthénie, fatigabilité, dyspnée au moindre effort, une tachycardie voire des malaises -syndrome hémorragique saignements sans cause traumatique : purpura pétéchial, bleus, ecchymoses. Saignements extériorisés gingivorragies, épistaxis, hématurie. -syndrome infectieux angines à répétition, bronchites récidivantes, gingivites. Les infections sont favorisées par la diminution des «polynucléaires» neutrophiles et souvent récidivent à l'arrêt du traitement antibiotique mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 29
30 Le «syndrome tumoral» -organomégalies (prédominent dans les LAL) : adénopathies(lam4, 5), splénomégalie, hépatomégalie(50% des LAM); -hyperplasie gingivale(lam4 et 5); -lésions cutanées (LAM5, LAL T), leucémides se présentant sous forme d infiltration violacée du derme et de l'hypoderme; -atteintes neurologiques, (syndrome méningé, paralysie des nerfs crâniens(lal surtout, LAM 4 et 5, et formes hyperleucocytaires), -tumeurs myéloblastiques isolées des parties molles au voisinage de la moelle épinière ou de l orbite(chloromes) -insuffisance rénale (LAM5) par augmentation du lysozyme mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 30
31 Signes cliniques mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 31
32 Les urgences thérapeutiques CIVD(LAM3) syndrome hémorragique sévère par coagulopathie de consommation et risaue thrombotique, dû à la libération de blastes dans la circulation sanguine. -Fibrinogénémie effondrée<1g/l -TQ allongé avec diminution des facteurs II etv -TCA allongé -TP sévère <20 000/mm3 -Élévation des D-dimères Leucostase détresse respiratoire par accumulation de leucocytes dans les poumons, dans les formes hyperleucocytaires avec leuco>100000/mm mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 32
33 Diagnostic positif La numération formule sanguine (NFS) -anémie normochrome, normocytaire, arégénérative - thrombopénie (< /mm 3 ) - hyperleucocytose avec neutropénie ou leucopénie. -pancytopénie d emblée -présence anormale de blastes circulants Le myélogramme C est l examen fondamental qui permet le diagnostic de la maladie et la caractérisation de son type. -Cytologie - Le pourcentage de blastes ( myéloblastes, des promyélocytes, des monoblastes dans les LAM), doit, par définition, être supérieur à 20%. Le plus souvent, le taux de blastes représente 60 à 90% des cellules de la moelle, de plus diminution quantitative des les lignées normales. -Corps d Auer (inclusions allongées azurophiles) pathognomonique des mars LAM1, , 3, 4. DES pédiatrie Clermont Ferrand 33
34 14-15 mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 34
35 -Cytochimie -Myélopéroxydase (MPO) positive dans les LAM1, 2, 3, 4, 6(leucémies myéloblastiques). -Estérases non spécifiques (ENS) positives dans les LAM4 et 5(leucémie monoblastiques). -Immunophénotypage (cf tableau) à noter que 25 %des LAM ont des marqueurs lymphoïdes, ces formes biphénotypiques sont de mauvais pronostic. Il existe souvent une corrélation avec les anomalies cytogénétiques comme la translocation(9;22), ou t(4;11) -cytogénétique Des anomalies cytogénétiques sont présentes dans plus de 70 % des cas de leucémies aiguës. Anomalie du nombre de chromosomes comme une «hyperploïdie» (chromosome surnuméraire), ou translocations entre chromosomes différents, par exemple t(9;22), t(4-11) ou t(8-21) qui peuvent affecter le pronostic de la maladie mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 35
36 14-15 mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 36
37 14-15 mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 37
38 Examens complémentaires -Ionogramme, bilan hépatique, créatininémie. -Uricémie -LDH -Bilan phosphocalcique -Un bilan complet de la coagulation pour anticiper d éventuels troubles de la coagulation. -La ponction lombaire Elle est réalisée de manière systématique pour vérifier la présence ou l'absence de «cellules blastiques» dans le liquide céphalorachidien. -Radiographie pulmonaire (ADP médiastinales, foyer infectieux, leucostase)+/- des sinus -Bilan préthérapeutique (prétransfusionnel, ECG, échographie cardiaque, écho abdominale, bilan infectieux et inflammatoire, typage HLA pour la détermination des groupes tissulaires effectué si une greffe de moelle est envisagée, CECOS) mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 38
39 Traitement Le traitement de chimiothérapie se décompose en plusieurs phases, variables selon le type de leucémie aiguë. Il va, d une part, supprimer plus de 99% des cellules malignes, et d autre part rétablir une hématopoïèse normale et un repeuplement de la moelle par des cellules saines. Phase 1 : traitement d induction destinée à l obtention d une rémission complète Phase 2 : traitement de consolidation après la rémission et/ou Phase 3 : traitement d intensification (chimiothérapie seule ou avec greffe de moelle allogénique ou autologue) Phase 4 : traitement d entretien (inutile en cas de greffe, discuté après certains types d intensification) mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 39
40 14-15 mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 40
41 Phase 1 : induction Objectif d obtenir, le plus rapidement possible, une rémission complète clinique et biologique : -Sédation des symptômes -Disparition des blastes : < 5% dans la moelle et le sang -Normalisation de la numération formule sanguine Cette phase du traitement dure de 4 à 6 semaines. Les protocoles usuels, comprennent, en général, deux médicaments administrés par voie intraveineuse avec cathéter sur 7 à 10 jours : -Un dérivé anthracyclinique, comme la daunorubicine, la rubidomycine (Cérubidine ), la doxorubicine (Adriblastine ). -La cytarabine (Aracytine ) de J1 à J mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 41
42 Phase2 : consolidation. Deux à trois cures intensives de chimiothérapie, «aplasiantes», qui reprennent le protocole initial et nécessitent une hospitalisation en milieu spécialisé sur 4 à 6 mois. Les produits utilisés sont les mêmes que ceux de la cure d'induction, on peut réaliser une association avec d autres produits comme levp16. Phase3 : Intensification Chimiothérapie complémentaire, à J20, en cas de «blastose médullaire» persistante (> 20 % ou blastes avec corps d Auer dans la moelle osseuse). Dans un grand nombre de protocoles on utilise l Aracytine (J1-J9) puis L-asparaginase(J2-J9) +/- amsacrine mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 42
43 Greffe de moelle osseuse C est une alternative à l intensification. Elle doit être réalisée précocément après RC (dans les 2 mois) pour éviter une rechute précoce et la toxicité cumulative des traitements avec le conditionnement de la greffe. -Autogreffe : les cellules souches qui seront réinjectées sont prélevées à la fin de l'aplasie du traitement de consolidation. -Allogreffe de moelle : (donneur familial HLA identique, ou registre de donneurs) avec conditionnement standard ou atténué avec irradiation corporelle totale(12 grays en 6 séances) et chimiothérapie par cyclophosphamide +/- busulfan mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 43
44 Phase4 : Traitement d entretien Son intérêt est certain en cas de d absence d intensification Comporte classiquement un traitement par 6-mercaptopurine (PURINETHOL), et méthotréxate pendant 2ans. Cas particulier Traitement neuro-méningé: indiqué dans les LAL, les LAM4, LAM 5 et les formes hyperleucocytaires à visée prophylactique, et dans les LAM avec atteinte méningée initiale Particularité des LAM 3 : elles peuvent être mises en rémission par l utilisation de l acide tout trans rétinoïque administré per os, il n y a pas d aplasie avec ce traitement qui agit par un mécanisme de différenciation mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 44
45 Traitements dits «d accompagnement» Chambre sous flux laminaire, isolement en cas de neutropénie Réanimation hématologique : transfusion de produits déleucocytés, phénotypés, CMV-, irradiés. Valeurs seuil: Hb <8g/dl Pq<20 000/mm3 Traitement des complications -Prévenir ou traiter le syndrome de lyse tumorale (hyperuricémie, hyperkaliémie, hyperphosphorémie, hypocalcémie) Hyperhydratation et diurèse alcaline, agents «hypo-uricémiants» : *allopurinol (Zyloric ), actif par voie orale *urate oxydase (Uricozyme ou Fasturtec ) par voie injectable. -CIVD : Héparine(100UI/kg/j), tranfusion plaquettaire, et de plasma frais si fibrinogène<0.5g/l. Prévention des infections fungiques (BACTRIM) et virales(zovirax) Antibiothérapie probabiliste (large spectre)parentérale en cas d aplasie fébrile (fortum et amiklin, + ou- vancomycine) Bains de bouche 6 fois par jour Support nutritionnel et vitaminique, nutrition parentérale mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 45
46 Pronostic Facteurs de mauvais pronostic: -âge<1 an -LAM secondaire -LAM 0, 5, 7 -LAM biphénotypiques -Cytogénétique : monosomie 7,trisomie 8, anomalies de la bande 11q23, t(9;22), t(45;11). -Syndrome tumoral important ou hyperleucocytose>50000/mm3 -Envahissement neuro-méningé au diagnostic -Non obtention d une aplasie non blastique à J15 -Non obtention d une rémission complète après une première ligne de chimiothérapie. Facteurs de bon pronostic : -LAM1, 2 t(8;21) -LAM 3, t(15;17) -LAM 4, inv mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 46
47 Conclusion Les LAM représentent 20% des leucémies de l enfant. Particularités cliniques (hypertrophie gingivale, atteinte neurologique ) Intérêt diagnostic et pronostic du myélogramme. Nouvelles thérapeutiques en cours d évaluation avec inclusions en protocoles d étude clinique (interlekine2 ) mars 2008 DES pédiatrie Clermont Ferrand 47
Leucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailINFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE
Livret LAM page 1 INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Dans certains cas les symptômes et le traitement peuvent différer de ce que y est présenté dans ce livret. A tout moment
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailIntroduction générale
Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailModule Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2
Module Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2 Hémoglobinopathies Drépanocytose, Thalassémie Anomalies du nombre de cellules sanguines Augmentation du nombre de cellules Maladie
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailQUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?
QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement
Plus en détail3 - Les SMD, notamment les SMD débutants, présentent souvent des difficultés de diagnostic pour le biologiste (cytologie).
1 Myélodysplasies (ou dysmyélopoïèses) Item n 161 :diagnostiquer une dysmyélopoïèse Les syndromes myélodysplasiques (SMD) sont des affections clonales des cellules souches hématopoïétiques, caractérisées
Plus en détailLes syndromes myélodysplasiques: Information aux patients
Les syndromes myélodysplasiques: Information aux patients the myelodysplastic syndromes foundation, inc. Publié par le Groupe Francophone des Myélodysplasies, la Société Française d Hématologie et la Myelodysplastic
Plus en détailHématologie et soins infirmiers. Dr Stéphane MOREAU Hématologie clinique CHU LIMOGES
Hématologie et soins infirmiers Dr Stéphane MOREAU Hématologie clinique CHU LIMOGES Diaporama confectionné en collaboration avec : Pr Bordessoule, Pr Jaccard, Dr Girault, Dr Turlure Réseau Hématolim Plan
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailL allogreffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
L allogreffe de Cellules Souches Hématopoïétiques L historique 1960 - Pr Jean DAUSSET Découverte des groupes HLA 1970 - Pr Georges MATHE Première greffe de moelle osseuse allogénique 1974 - Pr Donald THOMAS
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailLes syndromes myelodysplasiques
INFORMATION AUX PATIENTS Les syndromes myelodysplasiques Publié par le Groupe Français des Myélodysplasies, la Société Française d'hématologie et la Myelodysplastic Syndromes Foundation (Fondation Internationale
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailLEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC)
LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC) La leucémie myéloïde chronique (LMC) est une hémopathie maligne appartenant au groupe des syndromes myéloprolifératifs. Elle est caractérisée par la présence d un marqueur
Plus en détailLE CANCER C EST QUOI? QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE UN ORGANE NORMAL ET UN ORGANE ATTEINT PAR LE CANCER? Organe normal Organe précancéreux Cancer
LE CANCER C EST QUOI? Généralement, le cancer se présente sous la forme d une tumeur, d une masse, qui se développe dans un organe. Les tumeurs solides, qui représentent 90% de tous les cancers, se distinguent
Plus en détailLes syndromes myélodysplasiques
INFORMATION AUX PATIENTS Les syndromes myélodysplasiques Publiés par le Groupe Francophone des Myélodysplasies, la Société Française d Hématologie et la Myelodysplastic Syndromes Foundation (Fondation
Plus en détailUniversité Pierre et Marie Curie. Hématologie. Niveau DCEM3. Polycopié National. Mise à jour : 22 juin 2006
Université Pierre et Marie Curie Hématologie Niveau DCEM3 2006 Polycopié National Mise à jour : 22 juin 2006 2/120 Hématologie - Polycopié National 2006 Sommaire Sommaire 3 Sommaire 11 Chapitre 1 : Agranulocytose
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailMANUEL D INFORMATION DESTINÉ AUX MALADES ADULTES ATTEINTS D UNE LEUCÉMIE LYMPHOBLASTIQUE AIGUË. Réseau européen des leucémies (European LeukemiaNet)
MANUEL D INFORMATION DESTINÉ AUX MALADES ADULTES ATTEINTS D UNE LEUCÉMIE LYMPHOBLASTIQUE AIGUË Réseau européen des leucémies (European Net) Groupe de travail n 6 «leucémie lymphoblastique aiguë (Workpackage
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailLes greffes de cellules souches
A qui en parler? Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailComment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse:
La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison pour de nombreuses personnes atteintes de maladies graves du sang. Le don de moelle osseuse est un acte volontaire, anonyme et gratuit
Plus en détailTout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse
Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la
Plus en détailComplications de la transfusion
Complications de la transfusion Traditionnellement, les accidents transfusionnels sont décrits selon leur cause, immunologique, infectieuse, autre. Il est cependant plus didactique de les étudier selon
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Sang, plasma, plaquettes... Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors de son accouchement à reprendre des forces,
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailL HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros
L HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros Joël X. CORBERAND Service d Hématologie Biologique Hôpital Rangueil CHU de Toulouse L hémogramme est en tête des demandes d examens biologiques
Plus en détailLeucémie Lymphoïde Chronique
Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Coordination : Pierre Feugier, Nancy Avec le soutien de Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Sommaire Qu est-ce que la leucémie lymphoïde chronique?..........................
Plus en détailInformation à un nouveau donneur de cellules souches du sang
Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du
Plus en détailTransplantation de cellules souches du sang
Transplantation de cellules souches du sang Rapport d Immersion en communauté NICOLAS BRANDT-DIT-GRIEURIN DAMIEN POLET PHILIPPE REYMOND EHTESHAM SHAMSHER Sous la supervision de : Mme L. Soguel Prof. C.
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détailGUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE APLASIES MÉDULLAIRES
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE APLASIES MÉDULLAIRES Protocole national de diagnostic et de soins pour une maladie rare Février 2009 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailCellules souches hématopoïétiques
Cellules souches hématopoïétiques Pr Bernard Klein INSERM-UM1 U1040: BIOTHERAPY OF NORMAL AND CANCER STEM CELLS INSTITUTE FOR RESEARCH IN BIOTHERAPY http://irb.chu-montpellier.fr Hématopoïèse! Plaquettes
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailONCOLOGIE PÉDIATRIQUE
ONCOLOGIE PÉDIATRIQUE SURVOL ET PERSPECTIVES MARIE JUTRAS MAI 2014 Plan Modalités thérapeutiques Cancers pédiatriques les plus fréquents Impact des traitements à court et long termes 1 Introduction Grâce
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailL incompatibilité immunologique érythrocytaire
Fiches techniques des Effets Indésirables Receveurs L incompatibilité immunologique érythrocytaire Qu est ce que l incompatibilité immunologique erythrocytaire et quels en sont les mécanismes physiopathologiques?
Plus en détail14. TRANSPLANTATION DE CELLULES SOUCHES maj 2010 HEMATOPOIETIQUE
14. TRANSPLANTATION DE CELLULES SOUCHES maj 2010 HEMATOPOIETIQUE 14.1. INTRODUCTION. 3 14.2. INDICATIONS.. 3 14.3. SOURCES DE CSH 4 14.3.1. La moelle osseuse. 4 14.3.2. Le sang périphérique 4 14.3.3. Le
Plus en détailLIVRET D INFORMATION ET D AIDE À LA DÉCISION À L USAGE DES PARENTS ÉDITION 2008
Mon enfant va recevoir une allogreffe de moelle LIVRET D INFORMATION ET D AIDE À LA DÉCISION À L USAGE DES PARENTS ÉDITION 2008 Coordonné par Michel DUVAL et Dominique DAVOUS, en partenariat avec l Espace
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailSTAGE À L UNITÉ DE SOINS DES GREFFÉS (5CD)
STAGE À L UNITÉ DE SOINS DES GREFFÉS (5CD) An 1 (Clinique) An 2 (Clinique et Recherche) 3 (Recherche et Clinique) An Crédits : 6 Crédits : 6 Crédits : 3 Durée : 6 périodes Durée : 4 périodes Durée : 2
Plus en détailLes leucémies de l adulte. Un guide de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches
Les leucémies de l adulte Un guide de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches Impressum _Editeur Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse 40 case postale 8219 3001
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailInterpréter un résultat d hémogramme
Interpréter un résultat d hémogramme Dr Albert Steffen Médecine Interne Montpellier* Dr Yves Le Noc - MG SFDRMG Montreuil* *Aucun lien d intérêt 08/10/210 JNMG- Paris 1 Pourquoi cet atelier? Dix premiers
Plus en détailPrincipales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2
Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailMYELOFIBROSE PRIMITIVE (MP)
MYELOFIBROSE PRIMITIVE (MP) La myélofibrose primitive (MP) est le plus rare des syndromes myéloprolifératifs (600à 800 patients en France, de 3 à 7 nouveaux cas/million d habitants/an) ; elle touche habituellement
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détaill'institut Paoli-Calmettes (IPC) réunit à la Villa Méditerranée les 29 et 30 mai 2015
ANNONCE PRESSE Un donneur pour chaque patient en attente d'une greffe de moelle osseuse, de la chimère à la réalité grâce à la révolution de la greffe haplo mismatch Marseille, le 26 mai 2015. L'Institut
Plus en détailStratégies pour aider les patients et leurs aidants à VIVRE avec le SMD
Édition canadienne Stratégies pour aider les patients et leurs aidants à VIVRE avec le SMD par Sandra Kurtin Initiative internationale de la MDS Foundation pour la défense des intérêts des patients en
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailItem 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations)
Item 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations) Date de création du document 2008-2009 CAS CLINIQUE : CAS CLINIQUE N 1 Scénario : Monsieur A., vingt-cinq ans, étudiant vétérinaire, vient
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailPRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II
Le 23/09/13 SOGHOMONIAN Astrid, L2 Tissu sanguin et système immunitaire Pr Baccini 22 pages PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailLES LEUCEMIES DU CHAT ET DU CHIEN : CLASSIFICATION, DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT
ÉCOLE NATIONALE VETERINAIRE D ALFORT Année 2010 LES LEUCEMIES DU CHAT ET DU CHIEN : CLASSIFICATION, DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT THESE Pour le DOCTORAT VETERINAIRE Présentée et soutenue publiquement devant
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailSAUVEZ UNE VIE... EN DONNANT LA VIE!
SAUVEZ UNE VIE... EN DONNANT LA VIE! SUIVEZ-NOUS SUR : BANQUE PUBLIQUE DE SANG DE CORDON DʼHÉMA-QUÉBEC Lire ce code avec un téléphone intelligent pour accéder à la page S inscrire à la banque de sang de
Plus en détailROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches
ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches Le don de cellules souches Jean VIVIN 04/2013 1-Nature du problème : 2- Technique Les leucémies représentent
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailDons, prélèvements et greffes
Dons, prélèvements et greffes Donneur : d une vie à une autre... Chaque année, en France, plus de 10000 malades attendent une greffe afin de continuer à vivre ou d améliorer une existence lourdement handicapée.
Plus en détailGuide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille
Guide de Mobilisation de cellules souches pour mon Autogreffe Carnet d informations et de suivi Carnets pour d informations le patient et sa et famille de suivi pour le patient et sa famille AVEC LE SOUTIEN
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailL EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE
L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE NEUCHATEL, Suisse, 7 avril/prnewswire/ -- - LA LENALIDOMIDE est évaluée par l EMEA comme thérapie orale pour
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailDossier de presse. Le don de sang sur les lieux fixes de collecte. Juin 2013. Contact presse :
Dossier de presse Le don de sang sur les lieux fixes de collecte Juin 2013 Contact presse : EFS Île-de-France Pôle Relations institutionnelles et communication d image Audrey Larquier : audrey.larquier@efs.sante.fr
Plus en détail