Troubles cognitifs et comportementaux du parkinsonien

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1 Troubles cognitifs et comportementaux du parkinsonien F.VIALLET, CH Aix en Provence F. TISON, CHU de Bordeaux Atelier 1 Novartis 10emes journées du CNNHG Biarritz, 6 octobre 2007

2 Cas clinique Homme né le 13/10/28, marié, 3 enfants, retraité Début en 1997 (69 ans) par un syndrome akinéto-rigide axial avec tremblement des MI dans un contexte de pathologie fonctionnelle et rhumatismale ancienne Traitement initial par Trihexiphenidyle, puis par L-Dopa en monothérapie (Levodopa-carbidopa augmenté en 2 ans à 1400mg/j) avec un bon résultat sur la mobilité et une tolérance satisfaisante Apparition dès 1998 de troubles cognitifs qui s aggravent, de troubles du comportement avec agressivité et de traits dépressifs, puis de chutes, faisant ajouter Méprobamate et IRS Fin 2000, aggravation comportementale, hallucinations (personnes dans la maison, ne reconnaît pas sa femme, trous dans le mur) et incontinence urinaire nocturne avec mise sous Tiapride, le tout conduisant à une demande d hospitalisation

3 Cas clinique (suite) Bilan initial en hôpital de jour fin janvier 2001 Score URSP moteur: 41/108; MMS:11/30; BREF: 3/18 EEG et Scanographie cérébrale: normaux Arrêt de Tiapride et début de Clozapine 12,5 mg/j avec réduction de la L- Dopa à 1200 mg/j Dès le mois de février, disparition des hallucinations et de l incontinence urinaire, amélioration de la marche et du sommeil, score URSP moteur: 33/108; MMS: 24/30 En mars, MMS à 18/30, évocation de l hypothèse de maladie à corps de Léwy et ajout d anticholinestérasique. En avril, MMS: 28/30 et URSP: 30/108; anticholinestérasique remplacé par Mémantine 2 ans après. Suivi URSP et MMS sur 78 mois et BREF sur 3 ans; seule la Clozapine a été ajustée à 50 mg/j après 9 mois puis à 62,5 mg/j

4 Cas clinique: suivi URSP, MMS, BREF URSP Mois

5 Cas clinique: suivi URSP, MMS, BREF MMS Mois

6 Cas clinique: suivi URSP, MMS, BREF BREF Mois

7 Démence associées à la maladie de Parkinson (DMP) ou Démence à corps de Lewy (DCL)? Le point de vue clinique Pr. François Tison CHU de Bordeaux, GH Sud

8 De quoi s agits agit-il il? Des causes les plus fréquentes de démence après la MA : DMP: prévalence 30%, incidence 4 X 6 population du même âge, DCL = 20 % des causes de démences De la combinaison d une démence et d un syndrome parkinsonien De synucleinopathies En général facile à différentier d une MA (démence temporo-hippocampique, altération mémoire et fonctions instrumentales). Mais cas «gris» : vasculaire, variant à corps de Lewy de MA.

9 DMP= De quoi s agits agit-il il? Critères res diagnostiques: Critères res «obligatoires» («central features») 1. D une maladie de Parkinson (UKPDSBB) 2. + une démence: déclin, progressif, au moins 1 fonction cognitive, impact ADL DCL = D une démence : déclin cognitif progressif altération de la vie sociale et/ou prof. Déficit de l attention, déficit aux test des fonction exécutives et visuospatiales prédominent

10 Peut-on différentier la démence d? OUI par le timing : règle des 1 an Mais cas ou SP et démences surviennent en apparence de manière simultanée NON le profil est plus similaire que différent : atteinte dysexécutive, attention, visuo-spatiale, langage, rappel (indiçage) Mais : plus d erreurs conceptuelles et attentionnelles dans la DMP?

11 Les outils du diagnostic: marqueurs neuropsychologiques

12 Le profil neuropsychologique est-il contributif? Larsen et al. Mov Disord 2006; 21: Profil DTA DMP DCL «Sous-cortical» 33% 56% 55% «Cortical» 67% 30% 26% Le bilan neurospsychologique contribue au diagnostic de démence et à en évaluer la sévérité, mais ne permet pas le diagnostic différentiel

13 De quoi s agits agit-il il? Critères res diagnostiques: Le coeur du diagnostic («core features») DMP: La nature des troubles cognitifs Les troubles comportementaux: apathie, dépression, hallucinations, psychose, SDE DCL: 1. La fluctuation de la cognition (variation prononcée de l attention et éveil) 2. Hallucinations récurrentes typiquement bien formées et détaillées 3. Syndrome parkinsonien spontané 2/3 probable DCL, 1/3 possible DCL

14 DCL : critères res évocateurs «suggestive» RBD Sensibilité sévère aux neuroleptiques SPECT/PET anormal (transporteur DA) Si > 1 possible devient probable Si pas de «core features» et > 1 = DCL possible

15 Les critères res de soutien «supportive» Syncopes et chutes répétées Perte transitoire de conscience inexpliquée Dysautonomie sévère (OH, incontinence) Hallucinations d autres modalités Délire systématisé Dépression Préservation temporale en IRM Perfusion SPECT/PET : prédominance postérieure EEG : ralentissement + «sharps» transitoires temporaux

16 La présence de troubles psycho- comportementaux a-t-elle a une valeur diagnostique? Syndrome psycho-hallucinatoire = une différence quantitative (DCL hallucinations ( 76% ) et délire (57%) > DMP 54 et 29%) que qualitative (Aarsland D Int J Clin Psychiatry 2001; 16: ) Sensibilité sévère aux neuroleptiques : commune mais plus fréquente dans DCL (53%) que DMP (39%) (Aarsland D Clin Psychiatry 2005; 66; 633-7) Les dopaminergiques seraient plus inducteurs dans la DCL

17 Existe-t-il il une différence dans les troubles moteurs? DMP : plus asymétrique au début DCL : signes moteurs moins sévères Plus de signes axiaux (marche et posture) et moins de tremblements typiques Les troubles de la marche et de l équilibre sont 15 x plus fréquents dans DMP et DCL que DTA. Si trouble de la marche dans démence: sensibilité 78% et spécificité 100% pour démence non Alzheimer (Allan L J Am Geriatr Soc 2005;53: ) Réponse significative à la L-Dopa : 1/3 des DCL (> 70 % DMP) (Molloy S JNNP 2005;76: )

18 Les outils du diagnostic: autres marqueurs Protéines du LCR: alpha-synucléine, bétaamyloide, tau, phospho-tau, NSE, Imagerie cérébrale: - DAT-scan: DCL vs MA - Débit (SPECT, TEP): DFT, PSP vs DCL, MA; DCB - IRM: Cortex:DFT; DCB; MA Sous-cortex et tronc cérébral: PSP,AMS

19 L imagerie peut-elle elle différentier DMP et DCL? 1.Non, pas à l échelle individuelle Mais 2. IRM : plus d atteinte corticale DCL> DMP en étude volumétrique 3D (Beyer MK, Neurology 2007;67: ) et plus d hypoperfusion postérieure en SPECT (Burn DJ, Curr Opin Neurol 2004;19: ) IRM SPECT

20 SPECT Marqueur des terminaisons dopaminergiques striatales Utile pour différentier DCL et DTA Inutile pour différentier DCL et DMP

21 (DaT-SCAN) McKieth I, Lancet Neurol 2007; 6: III. Eléments d incertitude diagnostique (uncertain PDD) IV. Eléments suggestifs d une autre maladie

22 La réponse r au traitement peut-elle elle différentier DMP et DCL? - Réponse aux anticholinestérasiques (Rivastigmine) : NON mais pas différentiées dans les essais- aggravation du tremblement dans 10% - Mémantine : données très partielles (11 patients ouvert Sabbagh MN J Alzheimer Dis 2005; 7: ) dans la DCL mais risque d induction psycho-hallucinatoire (Ridha B, Neurology 2005;65:481-2) - Lévodopa : rapport risque/bénéfice plus défavorable dans la DCL - Neuroleptiques: plus grande sensibilité de la DCL

23 En conclusion : 1. Plus de similitudes que de différences 2. Règle des 1 an: si démence précède, accompagne ou succède au syndrome parkinsonien dans l année = plutôt DCL 3. DCL = «Grosse démence - petit Parkisnon» DMP = «Gros Parkinson - petite démence» 4. Risque dopaminergique (L-Dopa, agonistes, neuroleptiques) plus élevé dans la DCL 5. Chez la majorité des patients DCL et DMP sont facile à différentier de la DTA. Mais cas «gris»: vasculaire ou «mixte» (variant à corps de Lewy de MA) jusqu à 30 % des cas

24 ETUDE ANATOMO-CLINIQUE DE 8 CAS: MPD ou DCL? Prélèvements encéphale post-mortem au CH du pays d Aix Analyse histologique à la Faculté de Médecine de Marseille

25 METHODOLOGIE Techniques classiques : Hématéineéosine, luxol fast blue PAS, technique argentique de Gallyas. Techniques immunohistochimiques : Ac anti alpha-synucléine, Ac anti protéine TAU et AT8, Ac anti protéine A-bêta, Ac anti ubiquitine.

26 CLASSIFICATION Critères neuropathologiques selon «Newcastle» Forme du tronc cérébral Forme limbique transitionnelle Forme néocorticale Zones cérébrales étudiées : Néocortex frontal et occipital. Système limbique : amygdale, hippocampe, noyau basal de Meynert. Tronc cérébral : locus niger et coeruleus, bulbe.

27 patients A1 A2 A3 A4 A5 A6 A7 A8 Caractéristiques principales des 8 cas age Durée maladie Formes néocorticales (neocortical) Intervalle moteur/cognitif Formes limbiques transitionnelles (limbic transitional) Age de début Formes du tronc cérébral (brainstem) Age de début des troubles cognitifs

28 Nature et répartition des lésions Forme du tronc cérébral Corps de Lewy prédominant dans le TC : -locus coreuleus -locus niger -bulbe Perte neuronale sévère dans la substance noire.

29 Nature et répartition des lésions Forme limbique transitionnelle CL prédominant dans le TC et le système limbique: -hippocampe -amygdale Perte neuronale dans la substance noire.

30 Nature et répartition des lésions Forme néocorticale CL intra cérébraux diffus : -néocortex -système limbique -tronc cérébral Raréfaction neuronale modérée.

31 Lésions associées Angiopathie cérébrale amyloïde : Plaques amyloïdes A-bêta Lésions de type Alzheimer : Dégénérescences neuro-fibrillaires TAU+ Neurites TAU+ Gliose Scléro-hyalinose

32 Répartition des corps de Lewy en fonction du type neuropathologique (densité des CL de 0 à ) Patients MP LIMBIQUE TRANSITIONNEL DCL A1 A2 A3 A4 A5 A6 A7 A8 Frontal Néocortex Occipital Meynert + Système limbique Hippocampe Amygdale Locus niger Tronc cérébral Locus coeruleus Bulbe

33 A1 locus niger α-synucléine neurite CL

34 A2 locus coeruleus ubiquitine CL

35 A4 locus niger α-synucléine neurite

36 A5 amygdale AT8 neurite neurite

37 A5 amygdale α-synucléine CL neurite

38 Etude du cas A7:clinique Patient né le 12/7/35, décédé en 10/03 de pneumopathie. Syndrome akinéto-rigide asymétrique ayant débuté à l âge de 48 ans avec thalamotomie VIM gauche après 5 ans d évolution, puis L-Dopa entre 900 et 1600 mg/j avec bonne eff/tol (scores URSP entre 23/108 (01/97) et 18/108 (08/03). Hallucinations inaugurales avec troubles du comportement après 16 ans d évolution bien contrôlées par 12,5 mg/j de clozapine. Déclin cognitif modéré après 18 ans: Mattis 91/144 (05/01) - MMS entre 25/30 (02/01) et 22/30 (08/03). min 17/30, max 28/30 - BREF entre 13/18 (03/01) et 9/18 (08/03). min 7/18, max 13/18 Acholin. : bonne eff. mais mauvaise tol.

39 Cas A7: neuropathologie Cortex cérébral: perte neuronale modérée et gliose, nombreuses plaques amyloides avec angiopathie mais pas de marquage tau et absence de DNF, très nombreuses inclusions de Léwy et neurites alphasynucléine + (score >5) Régions limbiques: plaques amyloides et angiopathie, discret marquage tau et AT8 dans CA, très nombreuses inclusions Léwy et neurites alphas+ dans CA et entorhinal Striatum, pallidum: normaux Noyau basal de Meynert: perte neuronale, inclusions de Léwy et neurites alphas+, rares DNF et marquage tau/at8, pas de plaque amyloide Amygdale: plaques amyloides et angiopathie, corps de Léwy et neurites alphas+, rares neurites tau/at8, pas de DNF Locus niger et coeruleus, N dorsal du vague et raphé médian: atteinte sévère avec perte neuronale, gliose, nombreux corps de Léwy et pré-léwy avec neurites alphas+, pas de marquage tau/at8 Conclusion: Synucléinopathie s inscrivant dans le cadre d une DCL (score élevé des inclusions Léwy dans les aires corticales) avec atteinte prononcée dans la région calcarine, nombreuses plaques amyloides et angiopathie amyloide sans expression tau, DNF exceptionnelles. Absence de maladie d Alzheimer associée

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43 A7 cortex entorhinal protéineabêta ACA

44 Continuum MPD DCL?? Evolution de la MP vers la MPD puis DCL? Place de l amyloidopathie?

45 Les outils du diagnostic: marqueurs cliniques Synucléinopathies: troubles du comportement moteur du sommeil paradoxal, somnolence diurne excessive, réponse à la L-Dopa - MPi, MPD: «intervalle moteur-cognitif» long - DCL: «intervalle moteur-cognitif» < 1 an - AMS: Dysautonomie, S. cérébelleux Tauopathies: peu ou pas de réponse à la L-Dopa - PSP: trouble oculomoteur, S. frontal - DCB: apraxie d exécution, myoclonies - FTDP17: histoire familiale

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