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1 APS Partie II La santé : est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d infirmité. Notion de santé=médical, physique + bien être, épanouissement de soir, qualité de vie. Les frontières entre bonne et mauvaise santé ont de plus en plus floues Continuum (degré de santé, de maladie 4 dimensions de la santé : - dimension physique - dimension psychique - dimension sociale - dimension d intégration à l environnement C est un processus évolutif, une influence mutuelle entre ces différentes dimensions. Santé= processus, recherche, d équilibre tout au long d une vie 4 facteurs influencent la santé : - l hérédité (caractères biologiques, 16%) - Les facteurs socioculturels (mode de vie, origine, 53%) - Soins de santé (plus ou moins développé, accessibles, participent au bien-être mais ont peu d influence sur la santé que d autres facteurs 10%). - Environnement physique (21%, polution de l air/eau) Les différents déterminants de la santé Les déterminants «non-maîtrisables» par l individu (origine sociale, patrimoine génétique) doivent nous amener à une réflexion sur certains propos hygiénistes et culpabilisant au niveau individuel. Les personnes ne sont pas responsables à 100%, on ne peut pas maîtriser sa génétique ou son milieu social. Certains encarts publicitaires culpabilisants sont à côté de la plaque. Les professionnels de la santé doivent intégrer cette responsabilité individuelle tout en prenant compte des différents facteurs de santé et proposer des solutions adéquates pour préserver et améliorer la santé et la qualité de vie. Qualité de vie : Perception qu a un individu de sa place dans l existence, dans le contexte, de la culture et du système de valeurs dans lesquels il vit, en relation avec ses objectifs, ses attentes, ses normes et ses inquiétudes. La qualité de vie comporte 4 dimensions essentielles : - La santé psychologique (et le bien-être) - La santé physique (et les capacités fonctionnelles) - Les relations et les activités sociales 1

2 - Le bien-être matériel L autonomie fonctionnelle comme objet de santé (lié à la prob du vieillissement) = processus d équilibre entre l individu et son environnement. L autonomie fonctionnelle est préservée aussi longtemps que le niveau de performance atteint est supérieur au seuil minimal de performance nécessaire pour s adapter à la situation. Plus la réserve de fonctionnalité est importante, plus l adaptabilité est importante. Si les capacités d adaptation sont dépassées par la situation : dépendance fonctionnelle Activité physique : tout mouvement corporel produit par la contraction des muscles squelettiques entraînant une augmentation de la dépense d énergie au dessus de la dépense au repos. Activité sportive (concept de sport) : Activité revêtant la forme d exercices et/ou de compétitions facilités par des organisations sportives. 4 facteurs permettant d identifier le niveau d AP d un individu : - l intensité - la durée - la fréquence - la contexte 5 contextes : - loisirs - jardinage/bricolage - Tâches ménagères - transports - Activités occupationnelles (rémunéré ou non) Difficultés de mesurer les activités de la vie courante (activités modérés), de connaître leur intensité, leur durée, leur fréquence etc. Dépend de trop de facteurs différents. Exercice physique : mouvement corporel planifié, structuré et répétitif accompli pour améliorer ou entretenir une ou plusieurs composantes de la condition physique. Condition physique : ensemble d attributs relatifs à l aptitude à accomplir une activité physique, que les gens possèdent ou acquièrent. Effectuer les tâches quotidiennes avec vigueur et vivacité, sans ressentir de fatigue et en conservant suffisamment d énergie pour participer à des activités de loisirs ou réagir à des situations d urgence. Condition physique : - pour les habiletés : o puissance musculaire o vitesse o agilité 2

3 o équilibre o temps de réaction - pour la santé : o endurance cardiorespiratoire o endurance musculaire o force musculaire o flexibilité o composition corporelle Les notions d inactivité physique et de sédentarité sont moins clairement définies : - L inactivité physique= quantité d activité physique trop faible pour maintenir une condition physique suffisante. - La sédentarité= occupations spécifiques dont la dépense énergétique est proche de la dépense de repos. Activités physiques favorables à la santé : toutes formes d AP qui améliorent la santé et la capacité fonctionnelle sans dommage ni risque excessif. Facteurs de risques : est un élément appartenant à l individu ou provenant de l environnement susceptibles de provoquer une maladie, un traumatisme ou toute autre atteinte à l intégrité ou au développement de la personne. Ils comprennent : 1. risques biologiques 2. Risques liés à l environnement physique 3. risques liés à l organisation sociale 4. Risques liés aux comportements individuels et sociaux. Aussi tout ce qui peut atteindre l intégrité de la personne. L activité physique a un effet bénéfique sur la santé, elle contrebalance la sédentarité. Balance énergétique qui doit être équilibrée entre énergie dépensée et énergie absorbée. En suisse, la consommation d énergie n a quasiment pas changée entre 1960 et maintenant. Grosse augmentation en France, au Canada et aux USA. La dépense énergétique totale Métabolisme de base= fonctionnement des organes et des tissus corporels. Pendant le sommeil la dépense énergétique peut diminuer de 4 à5% par rapport au métabolisme basal Thermogénèse = voies métaboliques impliquées dans la mise en réserve des nutriments : thermogénèse postprandiale + sensibilité aux conditions climatiques Métabolisme musculaire= activité musculaire Quantité DE totale = ƒ(activité physique) + ƒ(pratiquant) 3

4 Dépense énergétique & Activité musculaire Dépense énergétique d origine humaine dans les manufactures est passée de 30% < 1% entre 1850 et et 1990 la dépense calorique quotidienne a diminué de 1700 kj ou 406 kcal (hommes) et 1200 kj ou 287 kcal (femmes) (Hollmann, 1996) Elle varie de 15% (très sédentaire) à 50%(pratique physique à forte intensité)de la dépense énergétique totale sur 24 h. Dépense énergétique (kcal ou Joules) = Intensité Durée Fréquence Par les dépenses totales de santé, on cherche à : 1) de promouvoir la santé et de prévenir les maladies, 2) de traiter les maladies et de réduire la mortalité prématurée, 3) de soigner des personnes atteintes de maladies chroniques nécessitant des soins infirmiers, 4) de prendre en charge des personnes atteintes de troubles de santé, d'incapacité et de handicap nécessitant des soins infirmiers, 5) d'aider des patients à mourir avec dignité, 6) de garantir et de gérer la santé publique, 7) de fournir et d'administrer des programmes de santé, des assurances santé et d'autres ressources de financement. En 2005, le total des dépenses pour la prévention et la promotion de la santé a atteint 1,13 milliard de francs en Suisse, soit environ 2,2 % du budget alloué au système de santé (51,73 milliards). La Suisse se trouve en dessous de la moyenne de l'ocde (2,7 %). Les USA dépensent près de 15% de leur PIB. Une bonne répartition des budgets pour la santé? Exemple aux USA dans les années 70 : 90% des dépenses systèmes de soins contribuent à réduire seulement 11% de la morbidité. 1.5% des facteur " Mode de vie " contribution potentielle à la réduction de la morbidité de 43% Impact économique de l inactivité physique En Angleterre (2002) Coût annuel de l inactivité physique = 3 à12 milliards d Euro (système de santé+ absentéisme + perte due aux décès prématurés) Au Canada (2004) Coût annuel de l inactivité physique = 5.3 milliards de $ canadiens soit 2.6% des dépenses de santé (1999 : 2.1 milliards de $). 150 millions de dollars pourraient être économisés si réduction de 10% de l inactivité physique Suisse (2001) Coût annuel de l inactivité physique = 2.4 milliards de CHF de frais de traitements direct et indirect Mais dépenses évitées grâce à l activité physique = 4 milliards CHF de frais de traitements direct et indirect 4

5 Activité physique et effet économique Les dépenses moyennes en soins médicaux des personnes actives sont inférieures de 30% à celles des personnes actives (USA). Étude prospective : 2400 volontaires américains de 50 ans et +Peu ou pas actifs actifs (30 min 3 j ou + par sem.) = réduction de 2200 $/an au bout de 2 ans (par rapport aux personnes restées inactives). Activité physique et productivité au travail - Le rendement du personnel au travail peut s améliorer de 4 à15 % grâce à la participation régulière à l AP, - le personnel qui fait de l activité physique prend 27 % de moins de journées de maladie. - les programmes d activité physique peuvent réduire de 25 % le nombre de blessures au travail. - Le personnel qui fait de l activité physique rapporte de 14 % à25 % de moins de journées d invalidité. Le coût de l indemnisation des travailleurs par personne peut diminuer de 45 % si les membres du personnel sont régulièrement actifs. Approches de la prévention Selon l OMS, la prévention médicale regroupe l ensemble des actions tendant à éviter l apparition, le développement ou la complication d une maladie ou la survenue d un accident. La prévention primaire : éviter l apparition de la maladie en agissant sur les causes ; l action portant sur les facteurs de risque des maladies avant leur survenue (ex. vaccination) La prévention secondaire : détecter la maladie ou la lésion qui la précède à un stade où l on peut intervenir utilement ; dépister les maladies, éviter l apparition des symptômes cliniques ou biologiques (ex. dépistages de certains type de cancers). La prévention tertiaire : diminuer les récidives, les incapacités et de favoriser la réinsertion sociale ; limiter les complications et séquelles d une maladie.généralement pratiquée pendant ou après les soins et s attache à limiter la gravité des conséquences de la pathologie (ex. récidives d infarctus du myocarde). SUISSE : Loi fédérale sur la prévention et la promotion de la santé(lprév) approuvée le 30 sept 2009 par le conseil fédéral But: La présente loi vise à protéger les personnes contre les maladies transmissibles, très répandues et particulièrement dangereuses. Elle contribue à diminuer les effets de ces maladies sur la population et l économie nationale. Elle vise : a. à promouvoir la culture sanitaire de tous; b. à créer les conditions susceptibles d améliorer le comportement sanitaire de groupes spécifiques de la population; c. à réduire les inégalités en matière de santé; d. à améliorer le pilotage et la coordination des mesures de prévention, de promotion de la santé et de détection précoce de la Confédération, des cantons ou de tiers; 5

6 e. à prendre en compte les déterminants de la santé et à associer tous les domaines politiques concernés lors de la planification et de la mise en œuvre des mesures de prévention, de promotion de la santé et de détection précoce; f. à assurer la qualité et l efficacité des mesures de prévention, de promotion de la santé et de détection précoce, et à encourager leur efficacité. 6

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