Prévisions pour le trimestre octobre-novembre-décembre 2016 sur l Europe et la France métropolitaine

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1 Les prévisions saisonnières pour le trimestre octobre-novembre-décembre 2016 Qu'est-ce que la prévision saisonnière? La prévision saisonnière a pour objectif de déterminer le climat moyen sur les trois mois à venir, à l'échelle d'une région comme l Europe de l Ouest. Contrairement aux prévisions à échéance de quelques jours, l information n est pas détaillée ni chiffrée, mais présentée sous forme de prévisions qualitatives qui renseignent sur les grandes tendances (plus chaud ou plus froid, plus sec ou plus humide que la normale). Les climatologues analysent les résultats de modèles numériques comparables à ceux utilisés pour réaliser les prévisions à court terme, mais intégrant la modélisation des océans. Dans certains cas, aucun scénario dominant ne se dégage : faute d éléments probants susceptibles d'influencer le climat des prochains mois, il est impossible de privilégier une hypothèse. Les performances des prévisions saisonnières sont très variables. Elles sont meilleures pour la température que pour les précipitations, et, pour la température, meilleures en hiver qu'en été. La fiabilité de ces prévisions est bien meilleure outre-mer qu en métropole, en particulier pour les précipitations. En savoir plus : notre dossier «la prévision saisonnière» Prévisions pour le trimestre octobre-novembre-décembre 2016 sur l Europe et la France métropolitaine Situation générale : Les modèles s'accordent sur un contexte de circulations plutôt anticycloniques sur l hémisphère Nord. Mais la position géographique de ces hautes pressions diffère notablement selon les modèles. Dans ces conditions, il est donc très difficile de privilégier une circulation atmosphérique plutôt qu'une autre. Il semble cependant assez improbable que le contexte des 3 mois à venir soit favorable à un trimestre plus venteux et perturbé que de coutume. Pour les températures : Sur l essentiel du contient européen, aucun scénario n est privilégié. Un scénario plus chaud que la normale est probable sur les régions méditerranéennes et sur le nord de l'europe.

2 Figure 1 : Synthèse pour les températures des prévisions. Pour chaque zone géographique délimitée par les pointillés : en bleu : la proportion de simulations correspondant à des températures inférieures à la normale ; en gris : celle des simulations correspondant à des températures proches de la normale ; en rouge : celle des simulations suggérant des températures supérieures à la normale. Pour les précipitations : Sur une large partie de l Europe, aucune tendance n est privilégiée. Un scénario plus sec que la normale semble néanmoins se dessiner sur l'extrême sud-ouest du continent (moitiéouest de la péninsule Ibérique). Un scénario plus humide que la normale est probable sur les contrées voisines de la mer du Nord et de la mer Baltique.

3 Figure 2 : Synthèse pour les précipitations des prévisions probabilistes. Pour chaque zone géographique délimitée par les pointillés : en orange, la proportion de simulations correspondant à des précipitations inférieures à la normale ; en gris celle des simulations correspondant à a des précipitations proches de la normale ; en vert, celle des simulations suggérant des précipitations supérieures à la normale Après le fort Niño de 2015/2016, comment évoluera l océan Pacifique au cours des prochains mois? Dans l'océan Pacifique, au niveau de l équateur, les modèles prévoient des températures de surface de la mer légèrement inférieures à la normale (voir Figure 3). Cette prévision marque le glissement probable dans le courant de l'automne vers une situation «neutre» ou de faible «la Niña». L ensemble des modèles disponibles de part le monde indique une probabilité légèrement supérieure à 50% de connaître un épisode «la Niña» (mais de faible intensité). La probabilité de rester dans une phase «neutre» est cependant également assez élevée (probabilité de l'ordre de 45%). Si le phénomène «la Niña» devait effectivement voir le jour, les impacts régionaux de cet épisode pourraient ne pas être les mêmes que ceux observés classiquement lors de ce phénomène. Les températures de surface de la mer plus froides que la normale devraient en effet rester cette fois confinées au centre de l océan Pacifique équatorial.

4 Figure 3: 3 Prévision des anomalies moyennes de température de surface de la mer par le multimodèles EUROSIP pour le trimestre octobre-novembre-décembre L ellipse bleue signale la zone où les températures de surface de la mer devraient être inférieures à la normale. Outre-mer : Océan Atlantique : Antilles et Guyane : Des conditions plus chaudes que la normale sont probables. L incertitude est forte pour les précipitations pour lesquelles aucun scénario n est privilégié. Saint-Pierre et Miquelon : Des conditions plus chaudes que la normale sont probables. Les précipitations devraient être supérieures à la normale. Océan Indien : La Réunion et Mayotte : Si à Mayotte un scénario plus sec que la normale est attendu, aucune tendance ne se dégage pour les précipitations sur la Réunion. Aucun scénario ne se dégage pour les températures. Océan Pacifique :

5 Nouvelle-Calédonie : Des conditions plus chaudes et plus humides que la normale sont probables. Wallis et Futuna : Des conditions plus chaudes que la normale sont probables. Aucun scénario ne se dégage pour les précipitations pour le trimestre prochain. Polynésie : Pour Les Marquises, au nord, aucun scénario n est privilégié, ni pour les températures, ni pour les précipitations. La partie centrale de la Polynésie (archipels des Tuamotu et de la Société) devrait en revanche connaître un trimestre plus chaud et plus humide que la normale. Dans les îles Australes, au sud, les prévisions indiquent que les températures devraient être supérieures à la normale ; aucun scénario ne se dessine pour les précipitations. Le prochain bulletin sera publié fin octobre Les prévisions utilisées par Météo-France dans cette analyse sont issues des résultats de l'ensemble multi-modèles EUROSIP composé des modèles de Météo-France (MF), du Centre Européen de Prévision Météorologique à Moyen Terme (ECMWF), du Met Office britannique (Met Office), du National Centers for Environmental Prediction américain (NCEP) ainsi que de l'expérience multi-modèles menée en Corée du Sud sous l égide de l OMM (LC-LRFMME). Commentaire [c1] : Apparem ment la JMA n a toujours pas été intégrée dans le multi-modèles EUROSIP. François VINIT Commentaire [c2] : LC- LRFMME : Lead Center for Long Range Forecast Multi Model Ensemble François VINIT

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