BULLETIN MENSUEL DES PRIX
|
|
- Ségolène Benoît
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 BULLETIN MENSUEL DES PRIX Analyse des prix nominaux des principales denrées de base FAITS SAILLANTS Tchad : Bulletin n 3, Avril 212 Les marchés céréaliers tchadiens sont désormais entrés dans leur cycle saisonnier de hausse. La hausse de prix qui a repris en mars après la légère détente de février faisant suite aux ventes subventionnées de l ONASA et la mise sur les marchés des produits de contre saison s est raffermi en avril. Alors que la demande augmente en cette période où les ménages procèdent à la reconstitution de leur stock pour faire face à la période de soudure, l offre sur les marchés n a pas suivi créant un déséquilibre qui a entrainé une hausse des prix des céréales de base partout sur les marchés locaux. Cette hausse a été importante sur les marchés qui avaient jusque-là gardé de niveaux de prix relativement plus faibles. Malgré l amélioration des revenus tirés de la vente du bétail qui s est poursuivi en avril, le niveau élevé du prix des céréales continuent d affecter négativement le pouvoir d achat des ménages pasteurs. Comme pour les mois précédents, une détérioration des termes de l échange a été observée au cours du mois d avril 212 comparée au même mois en 211, même si une légère amélioration a été observée dans la bande soudanienne et le sahel est. Le prix moyen du kilogramme de mil en mars sur les principaux marchés urbains est : 39 FCFA dans la bande sahélienne et 225 FCFA dans la bande soudanienne. En hausse de 11,2% dans la bande sahélienne et de 6,6% dans la bande soudanienne par rapport au prix du mois de mars 212 ; En hausse de 29,5% et 33,5% respectivement dans la bande sahélienne et la bande soudanienne par rapport au prix du mois d avril 211 ; En hausse de 32,3% et 26,8% respectivement dans la bande sahélienne et la bande soudanienne par rapport à la moyenne d avril pour les cinq dernières années. Le prix moyen du kilogramme de sorgho en mars sur les principaux marchés urbains est : 226 FCFA dans la bande sahélienne et 26 FCFA dans la bande soudanienne. Celui-ci était : En hausse de 7,4% et 13,2% respectivement dans la bande sahélienne et la bande soudanienne par rapport au prix du mois de mars 212 ; En hausse de 31,3% et 38,7% respectivement dans la bande sahélienne et la bande soudanienne par rapport au prix du mois d avril 211 ; En hausse de 44,5% et 45,6% respectivement dans la bande sahélienne et la bande soudanienne par rapport à la moyenne d avril pour les cinq dernières années.
2 FCFA/Kg TENDANCE DES PRIX DES DENREES ALIMENTAIRES DE BASE Les ménages tchadiens dépendent, dans leur grande majorité, des céréales sèches que sont le mil, le sorgho et dans une moindre mesure, le maïs et le riz pour leur alimentation. Le suivi régulier des prix de ces produits sur les principaux marchés céréaliers et leur rapportage est important pour apprécier l accès alimentaire des populations concernées. 1. Mil Le mois d avril marque un bond assez important vers la période de soudure. L offre sur les marchés a été moyenne au cours de ce mois. Sur l ensemble des marchés considérés, les prix des différentes céréales ont connu des hausses assez importantes. Le prix du mil a connu une hausse se situant entre,34% à Mongo à 36,36% à Abéché 1. En moyenne, le prix du mil qui se situait 259 FCFA en mars s est renchéri de 11,87% pour atteindre une valeur de 289 FCFA en avril. Alors que beaucoup de régions avaient déjà connu d énormes difficultés d accès alimentaire depuis le mois de février compte tenu du niveau élevé des prix, en avril, c est l ensemble des régions du sud comme du sahel qui font face à des difficultés d accès aux principales denrées qui constituent la base de l alimentation des ménages tchadiens. La reprise de la hausse en mars se poursuit avec encore plus de vigueur en avril. Même les marchés d Abéché, de Sarh et de Moundou qui avaient connu de baisses/hausses moins importantes en début d année ont vu leur prix fortement augmenter, de 36,36%, 4,95% et 9,9% respectivement entre mars et avril. Sur les marchés de la bande sahélienne, le niveau de prix est relativement plus élevé que sur les marchés de la zone soudanienne. Les prix varient entre 28 et 335 FCFA dans la bande sahélienne et 212 à 24 FCFA dans la bande soudanienne. Toutefois, il n existe pas à proprement parler de grosses différences entre les marchés du bassin Est versus bassin Ouest, ni entre les marchés de la bande sahélienne versus les marchés de la bande soudanienne en ce qui concerne les variations observées en avril. Les différences ainsi observées sont le fait de quelques marchés qui influencent la tendance générale par la variation assez sensible de leur niveau de prix. Il se dégage globalement que sur les marchés où les niveaux des prix sont relativement bas (Abéché, Moundou, Moussoro, Sarh, Guéréda, Farchana), la hausse a été plus importante (de l ordre de 5 à 37%) que sur les marchés dont les prix sont déjà très élevés (Mao, Mongo, Ati, Goz Béida, Haraze ; de l ordre de à 2,5). Cela pourrait traduire un certain degré d interdépendance entre les différents marchés. L épuisement des stocks de production dans la plupart des ménages, la rareté des produits maraichers accroit la pression de la demande sur les marchés. La forte hausse des prix observée reflète ainsi ce niveau de demande alors que l offre des denrées alimentaires ne s est pas accrue dans les mêmes proportions Evolution du prix de détail à la consommation de mil à Abéché Moy. 5 ans Année 211 Année Sorgho En avril, le prix du sorgho également a connu une hausse plus importante que celle observée en mars. En moyenne, la hausse a été de 5,86% en avril contre 2,38% en mars. 1 Même s il existe des différences de prix parfois sensibles en confrontant les données issues de sources différentes sur certains marchés (cas de Moussoro), toutes ces sources montrent une tendance des prix des céréales en forte hausse au Tchad au cours du mois d avril 212. SIMPA/DSA/DPSA/PAM. Tchad : Bulletin Mensuel des Prix, Avril 212 1
3 FCFA/Kg FCFA/Kg Sur les grands marchés de consommation (dans les chefs lieu de région), le prix a augmenté entre 2,13% à Ati et 2,98% à Abéché. C est à Mao, N Djamena, Goz Béida, Guéréda, Iriba, Haraze que des baisses de prix ont été observées. Malgré la baisse observée sur certains marchés, les prix restent largement au-dessus de ceux observés en avril 211 et la moyenne quinquennale (27-211). Contrairement au mil où les écarts de prix observés sur les marchés de la bande soudanienne et ceux de la bande sahélienne sont assez importants et en faveur des marchés soudaniens, en ce qui concerne le sorgho, ces écarts sont très faibles et même sur certains marchés de la bande sahélienne, les prix sont légèrement plus faibles. On note aussi que les écarts de prix entre le sorgho et le mil demeurent assez importants, de l ordre de 84 FCFA au kilogramme, soit un équivalent de 8 4 FCFA pour un sac de 1 kg. Jusqu aux distributions gratuites/ventes subventionnées qui vont commencer en juin, le prix du sorgho relativement bon marché, va continuer à augmenter au cours du mois de mai voire en début juin jusqu au démarrage de ces distributions Evolution du prix de détail à la consommation de sorgho à Moundou Moy. 5 ans Année 211 Année Maïs En moyenne, le prix du maïs a connu une hausse de 5,26% entre le mois de mars et avril 212. Toutefois, les données sur lesquels se basent ces calculs portent sur un nombre limité de marchés ne permettant pas d apprécier le comportement réel des prix de cette céréale sur les marchés locaux tchadiens. On peut toutefois noter que malgré le manque de données, même avec les récoltes du maïs dans le Lac, zone de grande production du maïs au Tchad, le prix a continué à augmenter, de 6% environ sur le marché de Bol. Cette situation pourrait donner une idée du comportement des prix sur les autres marchés qui dépendent beaucoup du maïs du Lac pour leur approvisionnement. A titre d exemple, les marchés de Mao et de Moussoro, proches de la zone de production ont connu une augmentation de prix de 1% et 1% respectivement et ce, malgré que le niveau de prix y est déjà élevé. 4 Evolution du prix de détail à la consommation du maïs à Moussoro Moy. 5 ans Année 211 Année 212 SIMPA/DSA/DPSA/PAM. Tchad : Bulletin Mensuel des Prix, Avril 212 2
4 FCFA/Kg 4. Riz importé Le cours mondial du riz continue à être volatile malgré l apaisement des inquiétudes avec l annonce des perspectives d une mousson normale en Asie et un niveau d approvisionnement des marchés qui devrait se maintenir à un bon niveau 2. Toutefois, le prix du riz au Tchad s est comporté de manière différente en demeurant stable en moyenne. Aussi, comparativement aux céréales locales, le prix du riz a peu augmenté par rapport à leur niveau de 211 et la moyenne des cinq dernières années. Dans la bande sahélienne, en général le kilogramme du riz importé coûte moins cher en avril 212 par rapport à avril 211 situation imputable au conflit en Libye qui a entrainé un arrêt des approvisionnements en provenance de ce pays en janvier 211 et a suscité des hausses de prix l année dernière. Signalons aussi à ce niveau que les données disponibles portent sur un nombre restreint de marchés. Evolution du prix de détail à la consommation du riz importé à N'Djamena Moy. 5 ans Année 211 Année 212 Perspectives : avec la récente hausse des prix en avril, les difficultés d accès alimentaire sont ressenties par l ensemble des ménages tchadiens. L espoir d une baisse de prix en lien avec les récoltes de contre saison s est complétement dissipé. Sans une amélioration significative du niveau de l offre sur les marchés, il n est plus attendu des baisses de prix sur ces marchés et les prix, entrés désormais dans leur cycle normal de hausse, continueront à augmenter. Toutefois, avec la planification des distributions gratuites/ventes subventionnées qui en principe débuteront dans la plupart des régions au cours du mois de juin, la hausse des prix pourrait être légèrement atténuée. 2 Rapport mensuel du marché mondial du riz, CIRAD, avril 212. SIMPA/DSA/DPSA/PAM. Tchad : Bulletin Mensuel des Prix, Avril 212 3
5 Kg de mil/mouton Prix en FCFA EVOLUTION DES TERMES DE L ECHANGE BETAIL/CEREALES L analyse des termes de l échange permet d appréhender le niveau d accessibilité alimentaire des ménages éleveurs. On l exprimera en termes de quantité de céréales qu un éleveur peut obtenir en vendant un mouton ou un bovin. La campagne passée (21/211) s est caractérisée par une nette amélioration des revenus des éleveurs. En début d année 212, les prix ont continué à s apprécier sur l ensemble du pays, en particulier pour les petits ruminants. En avril, la hausse du prix du bétail continue à s observer sur certains marchés. Toutefois, sur les marchés du sahel Centre une baisse des prix a été rapportée depuis février. Pour le gros bétail par contre, la tendance est globalement à la baisse et en avril des signes d amaigrissement sont visibles sur les bêtes dans plusieurs zones ce qui pourrait entrainer une hausse de l offre et occasionner la baisse des prix au cours des prochains mois. Malgré la hausse des prix du bétail comparée au mois d avril 211, les termes de l échange bétail/céréales sont toujours défavorables à l éleveur à cause du niveau élevé des prix des céréales. Cette détérioration des termes de l échange est davantage accentuée dans la bande sahélienne Ouest et Centre en raison surtout du niveau élevé du prix des céréales. Dans le sahel Est ainsi que dans la bande soudanienne, on note une amélioration des termes de l échange entre avril 211 et avril 212 consécutive à l amélioration assez sensible du prix du mouton. 6 Evolution du prix du mouton sur les marchés tchadiens Mao Moussoro Mongo Guéréda Moundou Evolution des termes de l'échange mouton/mil Mao Moussoro Mongo Guéréda Moundou Avril 211 Mars 212 Avril 212 La détérioration perceptible de l embonpoint des animaux risquent d augmenter le niveau de l offre conduisant à une baisse des prix du bétail dans les mois qui suivent. Cela risque de détériorer l accès alimentaire des ménages pasteurs qui feront désormais face à une hausse du prix des céréales alors que leur source de revenu est négativement affectée. SIMPA/DSA/DPSA/PAM. Tchad : Bulletin Mensuel des Prix, Avril 212 4
6 FLUX TRANSFRONTALIERS La différence de prix entre les marchés locaux tchadiens et les marchés frontaliers soudanais, nigérians et camerounais d une part et, d autre part, l appréciation des taux de change sont des facteurs incitatifs pour les importations et les exportations des produits alimentaires et la vente du bétail. Depuis les récoltes en octobre, la valeur des monnaies nigériane et soudanaise se sont appréciées progressivement. La hausse a été de 5.1% et 3.8% respectivement entre octobre 211 et avril 212. Cette appréciation de la monnaie conjuguée à la hausse des prix des céréales au Soudan, est incitative pour l importation des céréales du Tchad par les commerçants soudanais. Si la présence des commerçants soudanais avait été signalé dans les zones de surplus du Ouaddaï et du Sila jusqu en début d année 212, le niveau de prix déjà élevé dans ces zones et les difficultés pour les importateurs de trouver des quantités conséquentes de céréales auraient mis fin à la poursuite des échanges. En revanche depuis la crise en Libye, c est le Soudan qui continue d approvisionner les marchés tchadiens en denrées transformées (huile, riz, pâtes alimentaires, sucreries, etc.). Du côté du Nigéria, malgré l amélioration de la monnaie qui devrait inciter à plus d exportation du bétail sur pied, le déclenchement du conflit interreligieux n a pas permis de développer les échanges entre les deux pays. Ce n est qu en avril que, timidement les échanges ont repris entre les deux pays. Les Tchadiens viennent y vendre du bétail, la peau et rapportent en retour des produits transformés. Des échanges réguliers ont lieu entre le Tchad et le Cameroun, échanges portant sur le sucre, la farine de blé, le riz importé, l huile qui entrent du marché camerounais de Kousseri. Même si la différence de prix est relativement faible, certains ménages continuent de s approvisionner sur le marché camerounais, en ce qui concerne le maïs. Une grande partie du bétail tchadien est aussi exporté vers le Cameroun, exportation dont le volume a augmenté depuis la fermeture de la frontière nigériane. CONCLUSION Alors qu il est attendu que les prix, même s ils ne baissent pas, se stabilisent en prenant en compte la disponibilité des produits de contre saison que sont le sorgho cultivé un peu partout au Sud-est du pays et dans le sahel centre et le maïs en mars avril dans le Lac, des hausses assez importantes au cours de ce mois d avril annoncent l entrée entrés dans la période de soudure ; La forte hausse des prix et le faible niveau de disponibilité céréalière sur les marchés tchadiens dans les zones de production du sahel est tendent à mettre fin aux échanges de céréales entre le Tchad et le Soudan. Cependant, du Soudan continuent à venir des produits transformés qui sont disponibles sur la plupart des marchés du sahel Est avec des prix légèrement supérieur aux produits transformés venant de la Libye. Le prix du bétail continue de s apprécier sur les marchés tchadiens, en particulier pour les petits ruminants. La reprise des échanges entre le Tchad et le Nigéria devrait permettre d améliorer les ventes à l extérieur diminuant l offre sur les marchés locaux qui aurait entrainé une baisse des revenus. Toutefois, la détérioration de l embonpoint des bêtes à cause du manque de pâturage est un facteur de risque important à prendre en compte dans l analyse de l accès alimentaire des ménages pasteurs. Nous remercions tous les collègues de terrain et les partenaires pour leurs contributions à la collecte des données. Vos suggestions sont les bienvenues pour l amélioration du contenu de ce document. Ce bulletin est le fruit d'un partenariat entre le Système d Information sur les Marchés des Produits Agricoles (SIMPA) de la Direction de la Production et des Statistiques Agricoles (DPSA) du Ministère de l Agriculture et de l Irrigation (MAI) et le Programme Alimentaire Mondial (PAM). Pour plus d information, contacter: Unite VAM, PAM: Madjioudal Allarabaye: Madjioudal.Allarabaye@wfp.org, Tel: Wilfred Nkwambi: Wilfred.Nkwambi@wfp.org BP 678 Ndjamena Chad. Tel: / SIMPA / DSA / DPSA: Ngaro Brousse : SIMPA: ngarobrousse@yahoo.fr, Tel : Tao Bouhouraye : DSA taobouhouraye@yahoo.fr, Tel : Direction de la Production et des Statistiques Agricoles : dpsa.maitchad@yahoo.fr SIMPA/DSA/DPSA/PAM. Tchad : Bulletin Mensuel des Prix, Avril 212 5
7 Prix des principaux produits alimentaires sur les principaux marchés urbains suivis au cours du mois d'avril 212 bassins commerçiaux bassin oriental bassin occidental Zone agro écologique Bande sahélienne Marchés Abéché Mongo Ati Mao Moussoro N'Djamena Moyenne bande sahélienne Produits Courant (Avr-12) Mar-12 PRIX Apr-11 Moy. 5 ans Varition des prix 1M 1A M5A Mi l Sorgho Ma ïs Ri z i mporté 6 8 Mi l Sorgho Ri z i mporté Mi l Sorgho Mi l Sorgho Ma ïs Ri z i mporté Mi l Sorgho Ma ïs Ri z i mporté Mi l Sorgho Ma ïs Ri z i mporté Mi l Sorgho Bande soudanienne Moundou Sarh Moyenne bande soudanienne Mi l Sorgho Mi l Sorgho Ma ïs 21 Mi l Sorgho Moyenne bassin ouest Moyenne bassin est Moyenne ensemble NB: Mi l Sorgho Mi l Sorgho Mi l Sorgho Ma ïs Ri z i mporté M: Variation des prix par rapport au mois précédent, 1A: Variation des prix par rapport au même mois l'année dernière, M5A: Variation des prix par rapport à la moyenne des cinq dernières années La couleur "ROUGE" indique une hausse importante des prix, La couleur "VERTE" indique une baisse importante des prix, La couleur "BLEUE" indique une hausse ou une baisse moins importante des prix qu'on peut qualifier de variation normale (comprise entre -5 et +5), La couleur " JAUNE" indique une stabilité des prix. N/A: Les données manquent pour effectuer les calculs SIMPA/DSA/DPSA/PAM. Tchad : Bulletin Mensuel des Prix, Avril 212 6
8 Prix des principaux produits alimentaires sur les marchés secondaires suivis au cours du mois d'avril 212 PRIX Varition des prix Marchés Produits Courant (Avr-11) Mar-12 Apr-11 Moy. 3 ans 1M 1A Moy. 3 ans Farchana Koukou Goz béïda Mi l Sorgho Ri z i mporté Mi l Sorgho Ma ïs Ri z i mporté Mi l Sorgho Ma ïs Ri z i mporté Mi l Guereda Sorgho Ri z i mporté Mi l Iriba Sorgho Ri z i mporté Mi l Haraze Sorgho Ma ïs Ri z i mporté Mi l Goré Sorgho Ma ïs Ri z i mporté Mi l Moyenne Sorgho Ma ïs Ri z i mporté NB: 1M: Variation des prix par rapport au mois précédent, 1A: Variation des prix par rapport au même mois l'année passée, Moy. 3 ans: Variation des prix par rapport à la moyenne des trois dernières années La couleur "ROUGE" indique une hausse importante des prix, La couleur "VERTE" indique une baisse importante des prix, La couleur "BLEUE" indique une hausse ou une baisse moins importante des prix qu'on peut qualifier de variation normale (comprise entre -5 et +5), La couleur "JAUNE" indique une stabilité des prix. SIMPA/DSA/DPSA/PAM. Tchad : Bulletin Mensuel des Prix, Avril 212 7
Résumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues
Résumé Cette étude a été lancée par l Organisation Internationale pour les Migrations à la demande du Gouvernement du Tchad par le biais du Ministère des Affaires Etrangères et de l Intégration Africaine.
Plus en détailSanté Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad
Santé Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad Notre projet en 2009 Prendre soin des orphelins, des nouveaux-nés, des femmes ayant des problèmes d allaitement, des prématurés et des enfants malnutris
Plus en détailDéc. 2 E (2010) 12 40'N 631 090 BA/ DC 3 AVA 021 55'E 1050x25 BGR (x) (*) 270
AIP TCHAD 14 AD 2-7-01 ASECNA RÉPERTOIRE DES AÉRODROMES ET PISTES / LIST OF AERODROMES AND RWY 05 MARS 2015 ABECHE VOIR 14 AD 2-7 ABOU - DEIA 11 28'N 480 011 BA DC 3 12 : AVA 019 17'E 1400x42 Balisage
Plus en détailEVALUATION D OPERATION
Measuring results, sharing lessons EVALUATION D OPERATION TCHAD, Interventions prolongées de secours et de redressement (IPSR), 200289, Assistance alimentaire ciblée en faveur des réfugiés et des personnes
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailBANQUE ALIMENT BETAIL Présenté par Seidi Mohamed Abdourahmane
Association : Conscientisation et Réflexion pour la Promotion de L Elevage. (ACRPE) Arrêté n 0033/MI/SP/D/DGAPJ/DLP BP : 24 Tahoua Tel : 96 59 05 77 E-mail : ass.acrpea@yahoo.fr BANQUE ALIMENT BETAIL Présenté
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailQui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.
Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes
Plus en détailOffre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD
Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Plan 1. Offre et demande potentielle dans la zone ECOWAS 2. Offre potentielle au Mali 3. Marché au nord du Mali (Gao Algérie) 4. Estimation
Plus en détailECHO ACD UNICEF TCHAD
N 004 - Mars 2015 Points saillants : Évaluation de la Gestion Efficace des Vaccins au Tchad - Mai 2015 Tenue de la deuxième téléconférence de suivi de la mise en œuvre des activités PEV/ACD Renforcement
Plus en détailComment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude
Note d information / Politiques agricoles n 13 Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude 27 mai 2013 / Sélection par l équipe technique RECA RECA Réseau
Plus en détailII. LE PRINCIPE DE LA BASE
II. LE PRINCIPE DE LA BASE Le comportement des opérateurs (position longue ou courte) prend généralement en compte l évolution du cours au comptant et celle du cours à terme. Bien qu ils n évoluent pas
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailPar Akoété Ega AGBODJI FASEG/Université de Lomé
CSI- Afrique Renforcement des interventions dans le domaine de la politique économique et sociale Atelier de développement des compétences des chercheurs des syndicaux Session 6 Les méthodes et procédures
Plus en détailRevenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières
Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le
Plus en détailESTIMATION DES VOLUMES ET DE LA VALEUR DU COMMERCE REGIONAL DES DENREES DE BASE
ESTIMATION DES VOLUMES ET DE LA VALEUR DU COMMERCE REGIONAL DES DENREES DE BASE Henri P. Josserand, PhD, Consultant Document préparé pour la conférence «Libre circulation des produits alimentaires», Accra
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailAssociation nationale de la meunerie française
Association nationale de la meunerie française LA MEUNERIE FRANCAISE : ses entreprises, ses marchés t tla t structure des entreprises de la meunerie française La meunerie française est composée de 373
Plus en détailGestion économique du produit agricole, dossier 3, Arnaud Diemer, IHEDREA, MCF Clermont-Ferrand LES MARCHES A TERME
LES MARCHES A TERME Institut des Hautes Etudes en Droit Rural et Economie Agricole 1 PLAN I ) CARACTERISTIQUES DES MARCHES A ) Objectifs B ) Fonctions C ) Conditions d existence D ) Types d intervention
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailLes stocks de proximité : enjeux, opportunités et limites. Le cas des pays du Sahel
Les stocks de proximité : enjeux, opportunités et limites. Le cas des pays du Sahel Roger Blein, Bureau Issala La crise alimentaire induite par la hausse des prix a relancé le débat sur la régulation des
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailRésultats et impacts
Résultats et impacts «Creusement d un puits pour une utilisation maraîchère à Fandène, Sénégal» Village de Diayane Localisation: Village de Diayane dans la commune de Fandene, département de Thiès, à 77
Plus en détailBureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Mars 2012 CONTEXTE. Evènements clés:
Bureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Mars 2012 Ce bulletin d information humanitaire, produit par le bureau régional OCHA pour l Afrique de l Ouest
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détail* Extraits d'un entretien effectué dans le Karyassa 'supres de membres d'un clan Tamashek, les Kel Taddak. Document présenté par Etienne Le Roy.
(< Le chez soi pour nous, c'est l'eau 11 Cet entretien a été réalisé chez les Tamashek par J.-M. Yung le 30 novembre 1988, et traduit U au pied de la dune n. Il nous a impressionné. Le choix des extraits
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailPoint de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du premier semestre 2014 en zone CEMAC
Point de conjoncture économique et prévisions macroéconomiques du premier semestre 2014 en zone CEMAC Commission de la CEMAC Département des Politiques Economique, Monétaire et Financière Direction des
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailCrédit intrant et crédit warrantage au Togo : Quels enseignements?
AGRONOMES ET VETERINAIRES SANS FRONTIERES Crédit intrant et crédit warrantage au Togo : Quels enseignements? Réflexion concernant les différentes modalités de crédit proposées dans le cadre du projet d
Plus en détailPRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON
Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20
Plus en détailDétail des cultures de l'exploitation en 2007
République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailLes émissions de GES au quotidien et les gains possibles
Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que
Plus en détailBureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Février 2012 CONTEXTE. Evénements clés:
Bureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Février 2012 Ce bulletin d information humanitaire, produit par le bureau régional OCHA pour l Afrique de l Ouest
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailEVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE Evaluation
Plus en détailFMB Forum 2012 sur le financement de l agriculture (Du 28 au 30 mars 2012) Kampala - Ouganda
FMB Forum 2012 sur le financement de l agriculture (Du 28 au 30 mars 2012) Kampala - Ouganda Plan 1. À propos de la FMB 2. Évolution de la FMB 3. Présentation et caractéristiques des produits 4. Facteurs
Plus en détailPLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE TOMINIAN
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPUBLIQUE DU MALI ---------------------- Un Peuple Un But Une Foi Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA) ----------------------- Projet de Mobilisation des Initiatives
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée
Plus en détailANALYSE DES INCITATIONS ET PENALISATIONS POUR LE MAÏS AU BURKINA FASO
ANALYSE DES INCITATIONS ET PENALISATIONS POUR LE MAÏS AU BURKINA FASO OCTOBRE 2012 Cette note est produite par le projet de suivi des politiques agricoles et alimentaires en Afrique (SPAAA). Il s'agit
Plus en détailPartie II Données, indicateurs et sources d information
Partie II Données, indicateurs et sources d information WFP / Name and Surname Table des matières de la Partie II 1 Introduction 45 2 Plan d analyse 46 3 Besoins d information 49 4 Informations contextuelles
Plus en détailPourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?
Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles? Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?
Plus en détailLa volatilité des marchés mondiaux des matières premières agricoles et l évolution des prix à la consommation de l alimentation en France
N 12 mars 2013 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix La volatilité des marchés mondiaux des matières
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailIMPACT DE LA MICRO FINANCE EN MILIEU RURAL EXPERIENCE DE LA CAISSE D EPARGNE ET DE CREDIT
IMPACT DE LA MICRO FINANCE EN MILIEU RURAL EXPERIENCE DE LA CAISSE D EPARGNE ET DE CREDIT D ODIENNE (CECO) PRESENTATION DE MONSIEUR TOURE GAOUSSOU PRESIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE LA CAISSE D EPARGNE
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE
L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE I- Champ de l étude L industrie agroalimentaire (IAA) regroupe l ensemble des industries de transformation de matières premières, d origine végétale ou animale, destinées à
Plus en détailN 200. 31 août 2012. Chers lecteurs des Bulletins de veille d Inter-réseaux,
N 200. 31 août 2012 Chers lecteurs des Bulletins de veille d Inter-réseaux, Avant la publication de ce 200 ème numéro, nous vous avions proposé de vous exprimer sur ce produit phare d Inter-réseaux : est-ce
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailL intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui
L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut
Plus en détailEtude sur les relations entre marchés et sécurité alimentaire au Burkina Faso
Analyse des contraintes d approvisionnement et des opportunités de commercialisation des produits agro-sylvo-pastoraux et halieutiques comme éléments d appréciation de la performance des marchés de proximité
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailProtocole d Accord de Coopération. Entre. Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS)
COMITE PERMANENT INTER-ETATS DE LUTTE CONTRE LA SECHERESSE DANS LE SAHEL AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE Protocole d Accord de Coopération Entre Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte
Plus en détailAmundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique
Trimestriel 27 Janvier 214 nº2 Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 213 Tendances > Progressif redémarrage de l activité attendue au 4 e trimestre 213, mais l évolution du PIB devrait rester
Plus en détailRevue des expériences Nigériennes. Présentée par Mr SANI Mahamadou Economiste Consultant Indépendant en Microfinance au Niger
Revue des expériences Nigériennes Présentée par Mr SANI Mahamadou Economiste Consultant Indépendant en Microfinance au Niger Plan de présentation Définition du warrantage Pourquoi le warrantage? Le cercle
Plus en détailComment les pauvres gèrent-ils le risque?
Comment les pauvres gèrent-ils le risque? Le présent dossier donne un aperçu de la manière dont les ménages pauvres gèrent les risques. Fondé sur les recherches effectuées via les journaux financiers dont
Plus en détailUTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT
Le cheval, UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT un moteur d insertion écologique, durable, économique, créatif... Une énergie renouvelable. Un brin d Histoire... Les années de Gloire et le déclin.
Plus en détailSPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE
SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins
Plus en détailPRESENTATION DE L AMAB ET DE SES PRODUITS
PRESENTATION DE L ET DE SES PRODUITS PRESENTATION L Assurance Mutuelle Agricole du Bénin en abrégé est une société d assurance mutuelle (SAM) à cotisations fixes avec conseil d administration, régie par
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITES DE MISE EN ŒUVRE DU DEVIS-PROGRAMME N 1 (DP1) ( Période du 1 er Octobre 2003 au 31 Décembre 2005)
Comité Inter- Etats de Lutte Contre la Sécheresse au Sahel (CILSS) Programme Régional de Promotion des Energies Domestiques et Alternatives au Sahel (PREDAS) EQUIPE TECHNIQUE NATIONALE (ETN) DU PREDAS
Plus en détailLES PERTES DE RENDEMENT PEUVENT ÊTRE ÉVITÉES
MONITORING À DISTANCE LES INSTALLATIONS PHOTOVOLTAÏQUES LIVRENT DES RENDEMENTS OPTIMAUX UNIQUEMENT SI ELLES FONCTIONNENT CORRECTEMENT. LES DÉFAUTS TECHNIQUES OU LES PANNES DUES À L USURE NE PEUVENT PAS
Plus en détailSavoir-faire. Décompte Champs Pâturages. -1 point 1 point 2. 2 points. 3 points. 4 points 5+ 4+ 8+ 4+ 8+ 7+ 6+ Céréales * Légumes *
Décompte Champs Pâturages Céréales * Légumes * Moutons Sangliers Bœufs * dans les champs et dans la réserve -1 point 0-1 0 0 0 0 0 0 1 point 2 1 1-3 1 1-3 1-2 1 2 points 3 2 4-5 2 4-5 3-4 2-3 -1 point
Plus en détailContrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT
Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT CONTEXTE GÉNÉRAL L amélioration de la compétitivité logistique des flux import-export, en termes de développement
Plus en détailAnnexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020
Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailMauvaise informa.on agricole = Cycle de pauvreté Producteurs. Commerçants. Gouvernements. Transformateurs
Mauvaise informa.on agricole = Cycle de pauvreté Producteurs Ne savent pas : Que planter? Où bien vendre? Comment vendre? Transformateurs Ne peuvent pas bien : Prévoir leurs appro. (stocks?) Planifier
Plus en détailMoyens de subsistance, Services Communautaires, Eau Hygiène & Assainissement
Moyens de subsistance, Services Communautaires, Eau Hygiène & Assainissement Enquête sur les Moyens de subsistances, les services communautaires et Eau, Hygiène & Assainissement réalisée auprès des ménages
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailLE RENFORCEMENT DES CAPACITÉS DES ACTEURS DES FILIÈRES AGRICOLES: L EXPERIENCE DU PROJET MISTOWA. Plan
LE RENFORCEMENT DES CAPACITÉS DES ACTEURS DES FILIÈRES AGRICOLES: L EXPERIENCE DU PROJET MISTOWA Plan Le Projet MISTOWA Activités et Outils Quelques résultats Leçons et recommandations MISTOWA En Bref
Plus en détailPLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE LOBOUGOULA
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPUBLIQUE DU MALI ---------------------- Un Peuple Un But Une Foi Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA) ----------------------- Projet de Mobilisation des Initiatives
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.
LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.
Plus en détail7,50 /kg. 5,55 /kg -18 % COCO PAGODE LIGHT. 8,45 /kg. 6,15 /kg -26 % -26 % 100 * et plus BANANES FIGUE ET FIGUE-POMME DU CAMEROUN.
85 FRANCE & BELGIQUE Commandes du mercredi 25/02 au mercredi 04/03/15 Livraisons du mardi 03/03 au vendredi 06/03/15 Cadeau-surprise offert dans toutes les commandes de 100 * et plus *hors frais de port
Plus en détailD où viennent nos semences. Visite virtuelle d un site de production de semences de maïs Monsanto
D où viennent nos semences Visite virtuelle d un site de production de semences de maïs Monsanto Monsanto a pour objectif de permettre aux agriculteurs de petites et grandes exploitations de produire davantage
Plus en détailPartie V Convention d assurance des cultures légumières
Partie V Convention d assurance des cultures légumières Légumes de transformation Moyenne du rendement agricole A. Dispositions générales La présente partie s applique à la betterave à sucre, à la betterave
Plus en détailRapport annuel Campagne agricole 2002-2003
Surveillance du système canadien de manutention et de transport du grain Rapport annuel Campagne agricole 2002-2003 2 Tableau de base de données Government of Canada Gouvernement du Canada ANNEXE 3 : TABLEAUX
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailLe warrantage ou crédit stockage : un moyen pour les paysans de mieux valoriser leurs produits et une sécurisation du financement rural
Le warrantage ou crédit stockage : un moyen pour les paysans de mieux valoriser leurs produits et une sécurisation du financement rural Janvier 2007 Cécile Beaure d'augères, Afdi Afdi (Agriculteurs français
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailGUIDE PRATIQUE SUR LES BANQUES DE CEREALES
Association pour le Développement des Activités de Production et de Formation (ADAF/Gallë) Badalabougou Rue Gama! Abdel Nasser Porte 211 BP : 3267 Bamako Tél/Fax : 00223 222-00-33 E-mail: adafgalle@afribone.net.ml
Plus en détailComité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.
Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailInsurance of agricultural Risks. Jeudi 30 Janvier 2014
Insurance of agricultural Risks Jeudi 30 Janvier 2014 1 Sommaire 1. Brève introduction d Al Amana Microfinance et de son historique dans le rural 2. Mécanisme d Assurance interne et comportement 3. Analyse
Plus en détailPLAN de CONTINGENCE CHOLERA
PLAN de CONTINGENCE CHOLERA ACF Mission Juin 2014 1 RESUME Le choléra est une maladie bactérienne bien connu depuis le 19 ième siècle. Son fort pouvoir contaminant par l eau, les selles et les contacts
Plus en détailLes bourses aux céréales : la commercialisation des céréales locales en réponse à l insécurité de l approvisionnement alimentaire
Les bourses aux céréales : la commercialisation des céréales locales en réponse à l insécurité de l approvisionnement alimentaire Mohamed Haïdara, coordinateur Afrique Verte Mali, afriqueverte@afribone.net.ml
Plus en détailRepublique Islamic de Mauritanie Honneur Fraternite Justice
Republique Islamic de Mauritanie Honneur Fraternite Justice Republique Islamique de Mauritanie Plan définitif de Mise en Œuvre Février 2015 TABLE DES MATIÈRES Partie 1: Informations d ordre géneral 3 Partie
Plus en détailPour une meilleure adéquation emploi / formation dans le secteur agroalimentaire au Burkina Faso
MINISTERE DES ENSEIGNEMENTS SECONDAIRE ET SUPERIEUR BURKINA FASO -------------------------- Unité - Progrès - Justice Pour une meilleure adéquation emploi / formation dans le secteur agroalimentaire au
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailLes Tarifs Extérieurs Communs de la CEDEAO et leurs conséquences sur APE. Bio Goura SOULE LARES Cotonou
Les Tarifs Extérieurs Communs de la CEDEAO et leurs conséquences sur l intégration régionale r et la négociation n des APE Bio Goura SOULE LARES Cotonou Plan de la présentation Le contexte généralg La
Plus en détailL autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière?
L autopartage en trace directe : quelle alternative à la particulière? Résultats de la première enquête sur l impact d un service d autopartage en trace directe (le cas d Autolib ) Cette étude réalisée
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détailTemps prévisionnel : 2 heures (1h pour la séance «notionnelle», 1h pour la séance «méthodologique»).
Exemple de séquence pédagogique : Eléments de programme traités : Thème 1 - Quelles sont les grandes questions économiques et leurs enjeux actuels? Notions : les besoins, les biens, la rareté. Sont abordés
Plus en détail