En oncologie pédiatrique, les soins

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "En oncologie pédiatrique, les soins"

Transcription

1 Dossier mt pédiatrie 2012 ; 15 (1) : La loi Leonetti en oncologie pédiatrique à domicile : réflexion autour d un cas clinique Leonetti law in home care pediatric oncology : closer examination about on a clinical case doi: /mtp Matthias Schell Virginie Colombet Véronique Veyet Maïté Castaing Institut d Hématologie et d Oncologie Pédiatrique, 1 place Joseph Rénaut, Lyon cedex 08, France <matthias.schell@lyon.unicancer.fr> mtp Tirés à part : M. Schell Résumé. Les soins à domicile en oncologie pédiatrique et particulièrement dans des situations palliatives sont encore relativement peu développés. Nous essayons d illustrer par un cas clinique l interface, l application et l interprétation de la loi Leonetti dans ce champ de soins palliatifs pédiatriques à domicile. Des réflexions autour de la notion de «futilité» et de «traitement déraisonnable» dans ce cas d une chimiothérapie palliative et le questionnement autour des «directives anticipées» en pédiatrie à travers la démarche de nonréanimation. Mots clés : pédiatrie, soins palliatifs, domicile, non-réanimation, Samu, chimiothérapie palliative, loi Leonetti Abstract. Home care and in particular palliative home care in paediatric oncology is not yet often performed. About a case discussion, we try to illustrate the particular aspects of the anticipation concerning the «do-not-resuscitate order» as well as the question about autonomy and palliative chemotherapy, in the relationship to the Leonetti law relative to the patients rights at end of life. Key words: paediatric palliative care, DNR, home care, palliative chemotherapy, Leonetti law En oncologie pédiatrique, les soins à domicile sont encore relativement peu développés. A l Institut d Hématologie et d Oncologie pédiatrique à Lyon nous avons, au sein d une structure d hospitalisation à domicile (HAD), une cellule de coordination pédiatrique spécifiquement dédiée pour organiser et coordonner des soins d oncologie pédiatrique à domicile. Outre cette spécificité, une des particularités de notre structure est de coordonner les interventions à échelle régionale. Elle se base exclusivement sur la collaboration avec les libéraux en ce qui concerne la réalisation des soins. Cette cellule a un historique de 10 ans de fonctionnement et prend en charge des enfants et leurs familles dans de situations de plus en plus complexes. Ainsi, pour beaucoup de familles, la prise en charge coordonnée à domicile est réalisée non seulement en phase curative, mais également dans des situations palliatives et terminales. Qu en est-il de la loi Leonetti dans le champ des soins palliatifs à domicile? Le propos de cet article est de tenter une réponse à cette question en partant d un cas clinique en oncologie pédiatrique. Situation clinique en oncologie pédiatrique Le cas clinique d Antoine... Antoine est actuellement âgé de 17 ans. Il a une sœur de 11 ans et vit dans une maison à 1 heure de route de Lyon. Ses antécédents en oncologie pédiatrique sont assez lourds. Il a présenté un sarcome d Ewing du membre inférieur gauche à l âge de 14 ans et 3 mois. Il s agissait alors d un sarcome localisé qui a été traité selon le protocole international «Euro Ewing» par des cures de chimiothérapie préopératoire, une chirurgie conservatrice qui a permis une exérèse complète. La réponse Pour citer cet article : Schell M, Colombet V, Veyet V, Castaing M. La loi Leonetti en oncologie pédiatrique à domicile : réflexion autour d un cas clinique. mt pédiatrie 2012 ; 15(1) : doi: /mtp

2 La loi Leonetti en oncologie pédiatrique à domicile : réflexion autour d un cas clinique histologique à la chimiothérapie préopératoire a montré beaucoup de nécrose induite par le traitement. Antoine a par la suite reçu,de façon protocolaire la chimiothérapie postopératoire des bons répondeurs. Six mois après la fin du traitement, il va récidiver au niveau bi-pulmonaire. Il recevra alors une chimiothérapie de rattrapage avec diminution radiologique des métastases, chirurgie d exérèse et intensification thérapeutique en raison de cette bonne chimio-sensibilité. Actuellement à l âge de 17 ans, Antoine récidive au niveau cervico-médiastinal pulmonaire et ostéomédullaire. Devant la forte demande des parents et du fait de l historique d une bonne chimio-sensibilité, Antoine a été inclus dans un essai thérapeutique de phase II. Devant la progression de la maladie sous chimiothérapie, cet essai thérapeutique a été interrompu. La progression de la maladie a nécessité l instauration d une pompe PCA (patient controlled anlagesia) de morphine et de la kétamine devant des fortes douleurs osseuses. Antoine reçoit alors une irradiation palliative à visée antalgique. Il existe à ce moment une forte demande familiale «d essayer encore une autre chimiothérapie». L équipe hospitalière cependant avait bien expliqué qu une nouvelle chimiothérapie ne permettait plus de guérir et, qu au vu de l histoire d Antoine, une progression serait probable. Devant cette demande insistante et compte tenu du relativement bon état général, une chimiothérapie palliative a finalement été instaurée. Par ailleurs, au décours des discussions sur la thérapie, Antoine nous avait demandé de bénéficier surtout du retour à domicile. Il a insisté en demandant un traitement qui lui permettait de profiter d avantage de la vie chez lui. Notre cellule de coordination a été alors interpellée pour l organisation du retour à domicile. Antoine a demandé, qu une cure de chimiothérapie sur deux se passe à la maison et de ne pas venir à l hôpital pour de simples adaptations des soins de support comme la PCA de morphine par exemple. Sur ce point, les parents ont décidé de suivre l avis de leur enfant et de favoriser son désir. A ce moment, Antoine participait encore à une scolarité partielle à l hôpital et à domicile avec un état général et une autonomie conservée. Réflexions autour du «traitement spécifique déraisonnable» Pour le cas d Antoine, qu en est-il de cette chimiothérapie palliative au regard de la loi Leonetti? Peut-on parler de «traitement déraisonnable»? Selon la loi du 22 avril 2005, les professionnels de santé ont l obligation de ne pas faire subir aux patients des traitements déraisonnables par la poursuite d actes qui «apparaissent inutiles, disproportionnés ou n ayant d autre effet que le seul maintien artificiel de la vie» [1, 2]. De plus, cette loi impose aux équipes soignantes de respecter la volonté d un patient de refuser tout traitement et d organiser les procédures permettant une limitation ou un arrêt des traitements. Dans notre cas, c est Antoine et surtout ses parents qui sont demandeurs d une chimiothérapie. Les questions que l on peut se poser ici sont alors : «Qu est-ce que une chimiothérapie déraisonnable?», «Où commence le déraisonnable?» et surtout, «Pour qui est-ce déraisonnable?». Il nous semble par ailleurs important de nous poser la question de la place de la parole d un adolescent mineur. À 17 ans, il a une maturité dans la réflexion d autant plus affinée que l histoire de sa maladie est longue et a déjà favorisé l expression de ses désirs et de ses choix, comme le retour à domicile par exemple. La chimiothérapie palliative, devrait répondre à plusieurs objectifs : tout d abord elle vise à traiter la pathologie sous-jacente, limitant ainsi l apparition de douleurs et permet même dans certains cas de diminuer les antalgiques. Outre ces effets organiques, elle donne du temps au patient et à sa famille : du temps pour pouvoir entendre, comprendre, puis intégrer que cette maladie ne sera pas curable. Il nous semble en effet que la demande de traitement supplémentaire de la part des patients et de leurs parents relève, d une part, de l impossibilité d entendre et d accepter, consciemment ou pas, que la maladie n est pas guérissable et, d autre part, d une croyance que ce traitement va être efficace cette fois-ci. De ce fait, le temps de ces cures et intercures de chimiothérapie palliative peut servir à favoriser les entretiens et permettre un cheminement en mettant en avant l intérêt commun du patient : ne pas nuire, clarifier la notion de l utilité ou non d un traitement. Ainsi le patient et ses parents pourront avancer et comprendre que certains traitements ou investigations, encore demandés il y a quelque temps, ne seront plus utiles. La notion de traitement déraisonnable est difficile à faire accepter en pédiatrie, particulièrement en oncologie pédiatrique où il existe des stratégies curatives pour beaucoup d enfants. La notion qu une chimiothérapie peut faire plus de mal que de bien, et surtout amener les parents à accepter l inacceptable est un travail difficile qui demande du temps. Dans notre cas, l équipe soignante sentait qu Antoine avait «moins envie» d un nouveau traitement que ses parents mais qu il ne pouvait pas l exprimer explicitement. Dans la mesure où la loi ne définit pas ce qui est déraisonnable dans une situation donnée, il nous semble qu elle nous incite tous, soignants, patients et proches à réfléchir autour de cette notion. En effet, quand le traitement spécifique dans une situation palliative en oncologie pédiatrique ne permet plus d améliorer suffisamment des symptômes, toutes les personnes concernées (patient, parents et soignants) devraient avoir intégré la 30

3 notion d un traitement inutile ou disproportionné et d un commun accord convenir de ne plus poursuivre le traitement en question et surtout de ne pas entreprendre un autre. C est un travail qui, dans une histoire longue de la maladie, exige du temps, du dialogue, des relectures de l expérience. Aucune décision ne peut être bâclée quand on sait par ailleurs le poids de regret et de culpabilité possible des parents, au moment du deuil. Éviter des gestes disproportionnés et une obstination déraisonnable : la démarche d une non-réanimation en amont de la situation de crise La situation médicale d Antoine et le retour à domicile contiennent bien entendu le risque d un échappement thérapeutique avec des aggravations cliniques de type «crises douloureuses» ou encore «agitation» et «crise de panique par décompensation respiratoire». De plus, en cas de progression de la maladie, la chimiothérapie palliative devra être arrêtée. L anticipation des possibles événements futurs est un point clé dans l organisation du retour à domicile. À notre avis ces prescriptions anticipées doivent être discutées avec le patient et ses parents. En effet, mettre à disposition des médicaments, sans en avoir parlé au patient et ses proches est générateur d angoisse. Durant ces discussions, l anticipation renvoie inéluctablement vers la notion d aggravation et vers une réflexion autour des attitudes à promouvoir le cas échéant. Ces discussions contiennent à la fois un message difficile à entendre, celui de la future aggravation, et à la fois un message quelque part rassurant, celui de savoir quoi faire. En soins palliatifs à domicile, d autres aspects plus difficiles doivent être abordés durant ces entretiens : d abord celui du maintien ou non à domicile, du lieu de décès et d hospitalisation le cas échéant, et la notion d une nonmutation en réanimation et de l absence de réalisation de gestes de réanimation [3]. Ces aspects ont été abordés avec Antoine et ses parents. La discussion autour de la non-réanimation fait partie des entretiens les plus difficiles en oncologie pédiatrique et probablement en médecine. Il s agit d un entretien encore plus difficile qu une annonce de cancer chez l enfant et/ou l adolescent. En effet l annonce d un cancer, particulièrement en pédiatrie, inclut un projet thérapeutique et la vision d un avenir possible, alors que l entretien d une non-réanimation reste, quant à elle, «sans projet». Un autre facteur qui peut compliquer le cheminement des parents est le fait qu un tel entretien aura probablement lieu dans un contexte de planification du retour à domicile. Celui-ci représente pour le patient et son entourage un projet constructif avec une orientation vers la vie. Il est alors évident qu une telle annonce risque d être en décalage avec la famille voire même de créer ou de renforcer une certaine angoisse et incompréhension de la part des familles. Plus particulièrement au début, cet entretien peut être vécu comme une «préparation de la mort» et être en décalage avec la perception de l accompagnement et de l engagement du respect de l enfant et son entourage. Il peut alors être perçu comme un discours technique et décisionnel avec une projection claire vers la fin de vie, et «faire violence» dans cette étape du retour à domicile. Un élément clé pour réussir cet entretien est probablement d en avoir soi même compris l importance. Son but est d aider les parents/adolescents à intégrer que la mutation en service de Réanimation n est pas une solution à l évolution de la maladie et qu elle n est pas bénéfique, mais nuisible pour le patient. En effet il ne s agit pas de mener un entretien pour convaincre ni pour expliquer que cette démarche est logique, mais bien d un entretien permettant à l enfant et sa famille un cheminement pour finalement intégrer et s approprier cette démarche. Arrivés à ce stade, ils comprennent qu il s agit d une décision qui s attache à l ultime respect de la vie, en essayant d éviter une obstination déraisonnable et un acharnement thérapeutique. C est donc une anticipation douloureuse certes, mais destiné à éviter des souffrances supplémentaires. La loi de 2005 parle bien de directives anticipées que chaque patient peut rédiger au cas où il ne serait plus dans l état d exprimer sa volonté [1, 2]. Il nous semble que notre démarche bien qu elle soit initiée par les soignants, va dans le sens de cette loi. Cette démarche se situe même en amont de l obstination déraisonnable et tente à éviter une mutation inutile et des gestes nuisibles et déraisonnables. Elle vise de ce fait à éviter des discussions difficiles dans les services de réanimation, après que des gestes agressifs et déraisonnables, parce que non efficaces, aient été posés. Il nous semble que cette démarche respecte la collégialité en incluant le patient lui-même. Il reste ainsi sujet dans sa propre prise en charge et jusqu au bout. Cette démarche se place en amont des situations de crise. En effet, au moment même d une situation de détresse, il sera certainement encore plus difficile, voire même impossible de permettre un cheminement du patient et de ses proches, car la situation non préparée incite l action pour lutter contre la situation de détresse et ne laisse pas beaucoup de place à la réflexion, ni au cheminement. Autrement que prévue par le texte de la loi, cette démarche est non seulement incitée et menée par les soignants, mais également rédigée par eux, dans une lettre dite «de nonréanimation» distribuée à tous les acteurs potentiels de la prise en charge. Il nous semble très important de rédiger cette lettre seulement après avoir conduit l entretien avec le patient et ses proches. En effet, le risque de faire cette démarche collégiale exclusivement entre soignants risque de provoquer une incompréhension de la part du patient et ses proches qui ne peuvent pas comprendre 31

4 La loi Leonetti en oncologie pédiatrique à domicile : réflexion autour d un cas clinique pourquoi tel ou tel geste n a pas été réalisé. Contrairement aux craintes que l on peut avoir comme soignant de mener des entretiens avec des enjeux d une telle importance, il nous semble que bien compris et bien mené, un apaisement voire une augmentation de confiance pour ce retour à domicile s installe en fin d entretien, et permet ainsi aux familles de «passer à autre chose». À la fin seulement de cet entretien, nous expliquons aux patients et à la famille notre souhait d informer le Samu local du retour à domicile et de les informer des directives anticipées en particulier la demande de ne pas transférer le patient en soins intensifs et de limiter les gestes de réanimation. En effet, malgré cette démarche, et même si elle est bien comprise par le patient et ses proches, un accès de panique peut les pousser à appeler le centre «15» plutôt qu un médecin sur son téléphone portable. En l absence de communication auprès de nos collègues de la régulation du Samu, l intervention de leur part risque à coup sûr d inclure des gestes disproportionnés, surtout s il s agit d enfant. En revanche, une fois informés, leur intervention apporte une réactivité et une compétence visant l aide adaptée à leur enfant, en fin de vie certes, mais avant tout dans une situation de détresse ultime. Outre la réflexion autour des prescriptions anticipées, le matériel nécessaire ainsi que la mise à disposition et la formation des soignants le cas échéant fait partie de la coordination du retour à domicile. De plus, l organisation des passages des soignants et le type d évaluation clinique ainsi que la fréquence doivent être décidés. Afin d assurer une prise en charge de qualité, une bonne communication entre les acteurs, une surveillance clinique adaptée, un ajustement rapide des traitements et des réactions très professionnels de tous les acteurs, notre cellule de coordination a l habitude de proposer des rencontres entre professionnels au cabinet du médecin traitant. Ainsi nous créons une équipe autour d un patient à chaque fois, avec une optique de qualité et d une même philosophie de soins, avec une réactivité et une compétence semblables à celle de l hôpital. Ainsi Antoine a été pris en charge à domicile dans le cadre d une collaboration entre notre cellule de coordination, le médecin traitant et un cabinet d infirmières libérales. Des entretiens réguliers ont pu être réalisés concernant la prise en charge des symptômes et notamment de la douleur sans que le patient ait été obligé de repasser par l hôpital pour une adaptation du traitement. Dans la mesure où le médecin coordonnateur de l HAD est également cancérologue pédiatre, un déplacement à domicile a permis de valider l arrêt de la chimiothérapie devant la progression importante de la maladie après un cheminement et un accompagnement de la part des soignants dans ce sens. Antoine va présenter des accès de panique devant des problèmes respiratoires en lien avec la progression de la maladie. Dans un premier temps, il refuse la mise en place du Midazolam à domicile et demande de l oxygène qui semble avoir un effet rassurant. Durant cette discussion, nous clarifions que la mise en place du scope et de la saturation n est pas utile dans la mesure où Antoine sentira mieux ses besoins que n importe quel paramètre biologique. Devant la progression de la maladie et une dyspnée de plus en plus présente, Antoine demande une prise en charge à l hôpital de référence qui est à une heure de route du domicile alors que l hôpital de proximité est à 5 minutes. Du fait d avoir informé le Samu du projet en amont, les collègues ont pu réaliser un transport dans de bonnes conditions dans le lieu souhaité de l adolescent et sa famille. Durant ce transport bien délicat, aucun geste qu on aurait pu qualifier comme obstination déraisonnable n a été réalisé et bien entendu, aucun passage aux urgences ou en réanimation n a été engagé. Antoine va décéder 36 heures après son admission dans le lieu qu il a choisi. En conclusion Bien qu Antoine soit mineur et que la loi ne s applique pas directement à cette situation en oncologie pédiatrique à domicile, il nous semble que la réflexion autour de l utilité d un traitement s applique bien au traitement de chimiothérapie en cancérologie pédiatrique. La réflexion de la démarche d une non-réanimation se situe même à notre avis en amont d un traitement qui pourrait être qualifié comme obstination déraisonnable, dans la mesure où nous arrivons à éviter les gestes de réanimation et la mutation dans un service de réanimation en incluant le patient même dans cette démarche. Il est donc clair que la réflexion que suscite la loi Leonetti a toute sa place dans notre pratique : Le traitement de chimiothérapie en fin de vie, déraisonnable, ou pas? La mutation ultime en service de réanimation, obstination nuisible ou pas? Quant aux directives anticipées, même non initiées par le patient lui-même, elles lui laissent sa place de sujet en lui donnant le temps et la parole, ainsi qu à ses parents. Nous sommes dans une application, non pas de la lettre de la loi Leonetti mais, en l adaptant à la spécificité pédiatrique, nous sommes bénéficiaires de la réflexion qu elle provoque et nous pouvons entrer dans la culture palliative qu elle initie. Conflits d intérêts : aucun. 32

5 Références 1. JORFTEXT &dateTexte = Schell M, Marec-Bérard P, Glastre C, et al. L anticipation de la non-réanimation en soins palliatifs pédiatrique à domicile : le Samu comme partenaire de soins? Bull Cancer 2009 (S29-S35) ; 96 : S

Droits des malades en fin de vie. Connaître la loi Leonetti et l appliquer

Droits des malades en fin de vie. Connaître la loi Leonetti et l appliquer Droits des malades en fin de vie Connaître la loi Leonetti et l appliquer Lorsque la médecine trouve ses limites et que la personne, avec ses proches, se situe dans la perspective d une échéance annoncée,

Plus en détail

Assises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS

Assises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS INTRODUCTION (Présentation de l'association François-Xavier Bagnoud) L'Association L'association qui porte le nom de François-Xavier Bagnoud est une

Plus en détail

Droits des personnes malades en fin de vie

Droits des personnes malades en fin de vie R S L S Droits des personnes malades en fin de vie Dr. R. Mislawski Médecin coordonnateur, Docteur en droit Sommaire Introduction 1 Domaine de la loi 2 Conditions de fond de mise en œuvre de la loi 3 Critères

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!

LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

LE MALADE EN FIN DE VIE

LE MALADE EN FIN DE VIE LE MALADE EN FIN DE VIE Un précepte, donc à suivre scrupuleusement, est celui de ne jamais abandonner un malade même en état de mort imminente et de tout mettre en œuvre pour relever les forces, et soulager

Plus en détail

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les

Plus en détail

Quelles attitudes en fin de vie? Acharnement? Euthanasie? Soins palliatifs?

Quelles attitudes en fin de vie? Acharnement? Euthanasie? Soins palliatifs? Quelles attitudes en fin de vie? Acharnement? Euthanasie? Soins palliatifs? Dr Christophe TRIVALLE Service de Gérontologie et Soins Palliatifs Hôpital Paul Brousse «Nombre de débats actuels initiés par

Plus en détail

droits des malades et fin de vie

droits des malades et fin de vie DOCUMENT à CONSERVER ET À EMPORTER si VOUS êtes HOSPITALISé droits des malades et fin de vie La loi Leonetti Le respect de la personne Le rôle de votre médecin L accès aux soins palliatifs Photo couverture

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE

PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE POSITION DU CONSEIL NATIONAL DE L ORDRE DES INFIRMIERS Décembre 2013 POSITION DE L ORDRE NATIONAL DES INFIRMIERS «PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE» Le Président de la

Plus en détail

Infirmieres libérales

Infirmieres libérales Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites

Plus en détail

La notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION

La notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION La notion de soutien dans le cadre d une équipe belge de soins palliatifs à domicile INTRODUCTION Le concept d équipe de soutien dans les soins palliatifs à domicile belges est récent. On évoque aussi

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier. Portfolio de l étudiant

Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier. Portfolio de l étudiant Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier Annexe VI Portfolio de l étudiant Nom et prénom de l étudiant : Institut de formation en soins : Date d entrée dans la formation : Nom et prénom

Plus en détail

ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE

ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE Instructions Merci : de répondre complètement à toutes les questions, d écrire lisiblement, de signer et dater

Plus en détail

LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone

LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone SOMMAIRE 1. La mort aux urgences 2. Les Limitations et Arrêts des Thérapeutiques

Plus en détail

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte

Plus en détail

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6

Plus en détail

SUPPLEMENT AU DIPLÔME

SUPPLEMENT AU DIPLÔME SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des

Plus en détail

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin

Plus en détail

Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux

Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux Cette enquête est réalisée en partenariat avec le Groupe Polyhandicap France (GPF) et

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)

Plus en détail

LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE

LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE

Plus en détail

Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC

Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations

Plus en détail

Le contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation

Le contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une

Plus en détail

Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?

Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se

Plus en détail

Déclarations anticipées concernant mes soins de santé et ma fin de vie

Déclarations anticipées concernant mes soins de santé et ma fin de vie Déclarations anticipées concernant mes soins de santé et ma fin de vie Nom et prénom: Adresse: Numéro de registre national: Mes valeurs et convictions personnelles Outre les déclarations anticipées expressément

Plus en détail

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude

Plus en détail

Education Thérapeutique (ETP)

Education Thérapeutique (ETP) Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline

Plus en détail

Le prélèvement d organes anticipé/prémédité. Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon

Le prélèvement d organes anticipé/prémédité. Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon Le prélèvement d organes anticipé/prémédité Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon Déclaration des conflits d intérêt Médecin de la coordination

Plus en détail

NOTRE HÔPITAL S ENGAGE. Au-delà du soin, vous comprendre. Au-delà du soin, vous comprendre

NOTRE HÔPITAL S ENGAGE. Au-delà du soin, vous comprendre. Au-delà du soin, vous comprendre NOTRE HÔPITAL Au-delà du soin, vous comprendre S ENGAGE 4, rue Kléber 3, rue Barbès 92300 Levallois-Perret Tél. : 01 47 59 59 59 www.ihfb.org Au-delà du soin, vous comprendre UNE NOUVELLE IMAGE DE NOUVELLES

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation

Plus en détail

Les procédures médico-légales d hospitalisation

Les procédures médico-légales d hospitalisation Les procédures médico-légales d hospitalisation D. CAILLOCE SAMU 87 Contexte de l hospitalisa0on sous contrainte (1) Par%cularité de la discipline psychiatrique où le malade n a pas forcément conscience

Plus en détail

Éthique de la fin de vie

Éthique de la fin de vie Éthique de la fin de vie Marta SPRANZI Faire vivre ou laisser mourir? Deux enquêtes récentes se penchent sur les dilemmes moraux et médicaux qui se posent dans les services de réanimation néonatale et

Plus en détail

Le Centre de documentation du C.H.T. Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa.

Le Centre de documentation du C.H.T. Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa. Le Centre de documentation du C.H.T Est situé au rez de chaussée du Bâtiment T 7 Avenue Paul Doumer BP J5-98849 Nouméa Horaires : Ouvert du lundi au Jeudi : 8h00-16h00 et le vendredi : 8h00-15h00 Pour

Plus en détail

Soins palliatifs en salle de naissance. Pierre Bétrémieux CHU de Rennes 9 octobre 2009 Chantilly

Soins palliatifs en salle de naissance. Pierre Bétrémieux CHU de Rennes 9 octobre 2009 Chantilly Soins palliatifs en salle de naissance Pierre Bétrémieux CHU de Rennes 9 octobre 2009 Chantilly La loi du 22 avril 2005 S applique au nouveau-né Rappelle l interdit de l obstination déraisonnable Et l

Plus en détail

Tout sur les nouvelles cotations des perfusions

Tout sur les nouvelles cotations des perfusions Tout sur les nouvelles cotations des perfusions L arrêté de modification du livre III de la liste des actes et prestations relatif aux perfusions est paru au Journal officiel du 30 septembre 2014. Dans

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E

CAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,

Plus en détail

Présentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes

Présentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes Présentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes par Dominique Folscheid et Brice de Malherbe, co-directeurs du département d Ethique biomédicale,

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

La raison d être des systèmes d information

La raison d être des systèmes d information La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi

Plus en détail

Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine

Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Patrick Niaudet Président du Conseil d Orientation de l ABM Servie de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris Mon intervention ne

Plus en détail

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie

Plus en détail

Patients atteints de maladie grave ou en fin de vie

Patients atteints de maladie grave ou en fin de vie Document réservé aux professionnels de santé - État des connaissances - Mai 2009 Repères pour votre pratique Patients atteints de maladie grave ou en fin de vie Soins palliatifs et accompagnement Les progrès

Plus en détail

CRITERES DE REMPLACEMENT

CRITERES DE REMPLACEMENT ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires

Plus en détail

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de

Plus en détail

Don d organes. Notre pays a une nouvelle loi sur la transplantation depuis juillet 2007.

Don d organes. Notre pays a une nouvelle loi sur la transplantation depuis juillet 2007. Don d organes Donner ses organes et ses tissus à son décès est un geste généreux qui permet de sauver la vie de plusieurs personnes et d en aider de nombreuses autres à recouvrer la santé. La transplantation

Plus en détail

L infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.

L infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique. Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un

Plus en détail

PROJET DE TÉLÉMEDECINE

PROJET DE TÉLÉMEDECINE PROJET DE TÉLÉMEDECINE ISIFC 2 ème année Année universitaire 2011-2012 LA TÉLÉSURVEILLANCE Louis ACHA Rafaël MINACORI ISIFC Génie biomédical 23,rue Alain SAVARY 25000 Besançon Cedex Tél : 03 81 66 66 90

Plus en détail

INSTITUT REGIONAL DE FORMATIONS SPECIALISEES EN SANTE HOUPHOUET BOIGNY INSTITUT DE FORMATION D INFIRMIERS PUERICULTEURS 416 chemin de la Madrague Ville 13314 MARSEILLE Cedex 15 Tél : 04 91 96 67 18 Réanimation

Plus en détail

Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu-

Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement

Plus en détail

DOSSIER DE PRÉSENTATION

DOSSIER DE PRÉSENTATION DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département

Plus en détail

La prématernelle La Boîte à Surprises (École La Mission) 46 Heritage Drive Saint-Albert, AB T8N 7J5 Tél: (780) 459-9568 lm@centrenord.ab.

La prématernelle La Boîte à Surprises (École La Mission) 46 Heritage Drive Saint-Albert, AB T8N 7J5 Tél: (780) 459-9568 lm@centrenord.ab. La prématernelle La Boîte à Surprises (École La Mission) 46 Heritage Drive Saint-Albert, AB T8N 7J5 Tél: (780) 459-9568 lm@centrenord.ab.ca Complément du formulaire d inscription 2015-2016 Ce formulaire

Plus en détail

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures

Plus en détail

ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE

ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE Ministère de la Santé et des Solidarités Direction de l Hospitalisation et de l Organisation des Soins ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE > FICHES DE RECOMMANDATIONS 1 re édition

Plus en détail

Modalités de prise en charge d un appel de demande de soins non programmés dans le cadre. Centre de régulation médicale. Mars 2011

Modalités de prise en charge d un appel de demande de soins non programmés dans le cadre. Centre de régulation médicale. Mars 2011 Modalités de prise en charge d un appel de demande de soins non programmés dans le cadre de la régulation médicale Mars 2011 Définitions Processus médical de prise en charge Centre de régulation médicale

Plus en détail

LE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1

LE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1 LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011

Plus en détail

HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR

HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR CHANTAL COUVREUR Sociologue, Docteur en Santé Publique Présidente de «Mediteam» Si l on s intéresse à l histoire des soins palliatifs, on constate

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

RESSOURCEMENT SUR MESURE

RESSOURCEMENT SUR MESURE RESSOURCEMENT SUR MESURE Le Centre Assomption de Lourdes propose d avril à octobre la formule innovante du RESSOURCEMENT SUR MESURE La nouvelle équipe d animation, composée de sœurs et de laïcs, répond

Plus en détail

FICHE 3 Situations les plus fréquentes devant lesquelles l étudiant pourra se trouver Notions de situations clés, prévalentes

FICHE 3 Situations les plus fréquentes devant lesquelles l étudiant pourra se trouver Notions de situations clés, prévalentes LIVRET «ACCUEIL ET RESSOURCES» DU TERRAIN DE STAGE UNITE DE SOINS INTENSIFS DE CARDIOLOGIE Institut de Formation en Soins Infirmiers DES ETUDIANTS ENNFIRMIERS GUIDE D ELABORATION FICHE 1 Identification

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

Ken Bell s Sommaire des Abréviations

Ken Bell s Sommaire des Abréviations Ken Bell s Sommaire des Abréviations AUG: CSAM: DSA: PUI: RCP: RIA: SCR: Arrêt Urgence Général CERN Safety Alarm Monitoring Défibrillateur Semi-Automatique Plan Urgence D Intervention Réanimation Cardio-Pulmonaire

Plus en détail

Des dispositifs de prise en charge et d accompagnement de la maladie d alzheimer

Des dispositifs de prise en charge et d accompagnement de la maladie d alzheimer La lettre de L observatoire Des dispositifs de prise en charge et d accompagnement de la maladie d alzheimer Novembre 203 - Numéro double 28-29 La fin de vie suscite depuis plusieurs années des questionnements

Plus en détail

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan

Plus en détail

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme

Plus en détail

PEUT ON PRESCRIRE HORS AMM? LE POINT DE VUE DU CLINICIEN

PEUT ON PRESCRIRE HORS AMM? LE POINT DE VUE DU CLINICIEN PEUT-ON PRESCRIRE HORS AMM 17 PEUT ON PRESCRIRE HORS AMM? LE POINT DE VUE DU CLINICIEN P. Albaladejo, B. Caillet, Département d Anesthésie-Réanimation de Bicêtre Hôpital de Bicêtre, 78, rue du Gal Leclerc,

Plus en détail

Cécile Bergeron, B. Sc. inf. cécile.bergeron@rrsss16.gouv.qc.ca. Anne Plante, M.Sc. Inf., CSIO, CSIP anne.plante@rrsss16.gouv.qc.

Cécile Bergeron, B. Sc. inf. cécile.bergeron@rrsss16.gouv.qc.ca. Anne Plante, M.Sc. Inf., CSIO, CSIP anne.plante@rrsss16.gouv.qc. Direction québécoise de cancérologie Les pratiques exemplaires en cancérologie Session d information aux nouveaux patients recevant de la chimiothérapie (version abrégée) 30 novembre 2012 Cécile Bergeron,

Plus en détail

générale dans les différents pays, de la santé des populations et d équité dans les soins de santé.

générale dans les différents pays, de la santé des populations et d équité dans les soins de santé. Quel est le rôle du don dans le monde de la santé? Chapitre 3 de l Amour dans la Vérité Colette Raffoux Le don est-il nécessaire, quel rôle a-t-il dans l agir de la santé? Dans l encyclique Caritas Veritae,

Plus en détail

OUVERTURE ET MISE EN PLACE

OUVERTURE ET MISE EN PLACE OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite

Plus en détail

Démence et fin de vie chez la personne âgée

Démence et fin de vie chez la personne âgée Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit

Plus en détail

1 of 5 02/11/2012 14:03

1 of 5 02/11/2012 14:03 1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça

Plus en détail

PSYCHOLOGUE AU DOMICILE : PRATIQUES SINGULIERES OU PLURIELLES?

PSYCHOLOGUE AU DOMICILE : PRATIQUES SINGULIERES OU PLURIELLES? PSYCHOLOGUE AU DOMICILE : PRATIQUES SINGULIERES OU PLURIELLES? Françoise ELLIEN, Psychologue-Psychanalyste Psychanalyste Directrice du réseau de santé ville-hôpital SPES XII ème Congrès National de la

Plus en détail

Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III

Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,

Plus en détail

La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement

La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement n Professeur Michel Broyer. Hôpital Necker Enfants malades, Paris Membre du

Plus en détail

Le don de moelle osseuse

Le don de moelle osseuse Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don

Plus en détail

Association «La vie entre les mains»

Association «La vie entre les mains» Association «La vie entre les mains» 2011 Rapport d activité des soins esthétiques Année 2011 «L Association la vie entre les Mains» Oeuvre à l Institut Claudius Regaud, Centre Régional de lutte contre

Plus en détail

livret d accueil s ervice d o ncologie vous informer, c est aussi notre rôle

livret d accueil s ervice d o ncologie vous informer, c est aussi notre rôle s ervice d o ncologie livret d accueil vous informer, c est aussi notre rôle centre hospitalier de tourcoing - 135, rue du président coty - 59208 tourcoing cedex www.ch-tourcoing.fr DSIO - Qualité - Communication

Plus en détail

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION

Plus en détail

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail. Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité

Plus en détail

La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral

La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre

Plus en détail

Séjours - Missions - Études - Stages - WHV. www.asfe-expat.com. ASFE, l'assurance santé sans frontières

Séjours - Missions - Études - Stages - WHV. www.asfe-expat.com. ASFE, l'assurance santé sans frontières Séjours - Missions - Études - Stages - WHV www.asfe-expat.com ASFE, l'assurance santé sans frontières L'assurance Jeunes Loin de votre pays, en mission, en stage / études, vous vous posez naturellement

Plus en détail

La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs

La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre

Plus en détail

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date

Plus en détail

LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat

LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation

Plus en détail

La version électronique fait foi

La version électronique fait foi Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.

Plus en détail

Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant

Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement

Plus en détail

Le dispositif d annonce. Information destinée aux patients atteints de cancer. édition actualisée Octobre 2009

Le dispositif d annonce. Information destinée aux patients atteints de cancer. édition actualisée Octobre 2009 Le dispositif d annonce Information destinée aux patients atteints de cancer G R A N D P U B L I C 2 édition actualisée Octobre 2009 Sommaire Introduction 1 Le dispositif d annonce 2 Le temps médical L

Plus en détail