RAPPORT SUR L ÉVALUATION EN TEMPS RÉEL DES PROGRAMMES D ACTION CONTRE LA MALADIE À VIRUS EBOLA EN GUINÉE, EN SIERRA LEONE ET AU LIBÉRIA

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1 RAPPORT SUR L ÉVALUATION EN TEMPS RÉEL DES PROGRAMMES D ACTION CONTRE LA MALADIE À VIRUS EBOLA EN GUINÉE, EN SIERRA LEONE ET AU LIBÉRIA RÉSUMÉ SUCCINCT

2 RÉSUMÉ SUCCINCT 3.1 CONTEXTE L évaluation en temps réel a été réalisée à la demande du Secrétariat de la Fédération internationale en vue de faire le point sur la riposte de la Croix-Rouge à la crise d Ebola en Guinée, en Sierra Leone et au Libéria de mars 2014 à ce jour. Le but de cette évaluation est d examiner, en particulier, les questions de mise en œuvre, l accent étant mis sur l amélioration de la réponse actuelle et future aux besoins des populations touchées. Le champ d étude comprend l évaluation des activités visant à améliorer l action auprès des populations touchées, des parties prenantes, des partenaires et des donateurs, en prenant appui sur les enseignements tirés jusqu à présent de cette épidémie. L équipe d évaluation a entrepris d apporter des réponses aux questions posées dans le mandat au sujet des programmes Ebola mis en place par la Croix-Rouge dans les trois pays concernés. Les visites sur le terrain ont été menées sur des sites clés dont la Guinée, la Sierra Leone, le Libéria et Nairobi. L équipe a eu des entretiens avec des employés des Sociétés nationales, des délégués de la Fédération internationale, des chefs des opérations, des volontaires, des représentants des parties prenantes clés et du personnel des différents ministères de la Santé. Une séance de compte rendu avec le personnel de la Fédération internationale et des Sociétés nationales participant à l action contre l Ebola a eu lieu à l issue de chaque mission. L équipe a eu des entretiens avec les principaux acteurs du Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge et du secteur de l humanitaire collaborant aux programmes Ebola de la Croix-Rouge afin d obtenir davantage d informations. 3.4 OBSERVATIONS GÉNÉRALES SUR L ACTION CONTRE L EBOLA L équipe d évaluation en temps réel a constaté que les délégués, le personnel des Sociétés nationales et les volontaires étaient très dévoués et travaillaient avec une immense détermination dans des conditions difficiles. Les volontaires, leur travail, ainsi que l organisation et l encadrement de la riposte à cette épidémie font honneur au Mouvement. Les activités menées par la Croix-Rouge ont joué un rôle essentiel pour prévenir la progression de l épidémie et les poursuivre constituera un outil majeur pour l élimination de l Ebola. Elles ont été conduites par les volontaires dans la discrétion, sans recevoir l attention dont ont bénéficié d autres organisations également engagées dans cette lutte. C est particulièrement le cas des équipes qui assurent des enterrements dignes et sécurisés. Ces activités ont joué un rôle fondamental dans l interruption de la transmission d Ebola dans de nombreuses parties de la Guinée, de la Sierra Leone et du Libéria. Le travail effectué par la Croix-Rouge a instauré des normes qui feront référence dans l évaluation de la riposte à de futures flambées épidémiques. Un excellent travail a également été accompli dans les quatre autres piliers. Certaines des personnes interrogées auraient souhaité que la Croix-Rouge soit en mesure d établir, dans d autres domaines, des évaluations plus complètes de la performance. Toutefois, ne pas engager plus de ressources que disponibles, même face à l urgence de cette situation, constitue un bon principe de gestion. Les activités menées dans le cadre des programmes des pays ont été étendues, avec l aide de la Gestion régionale, dans des domaines où s offraient des possibilités de coopération avec les autres acteurs participant à la lutte contre Ebola. 1

3 Parallèlement, l existence d un vaste réseau de volontaires dans les trois pays et le fait de pouvoir recruter sans trop de difficultés ont conféré à la Croix-Rouge un avantage comparatif par rapport à toutes les autres organisations. La détermination des volontaires à travailler dans des circonstances très difficiles illustre parfaitement leur engagement ainsi que le leadership des Sociétés nationales et de la Fédération internationale. L équipe d évaluation en temps réel a constaté, dans tous les endroits où elle s est rendue, que les volontaires étaient traités avec respect et attention par la direction. L évolution imprévisible de cette épidémie, couplée à la faiblesse des systèmes dans les trois pays sortant d un conflit, a fait de la situation un défi particulier. L épidémie est difficile à endiguer en Guinée et en Sierra Leone. Bien que le Libéria ait obtenu d excellents résultats, il n est pas parvenu à éradiquer l épidémie et la situation pourrait encore se détériorer. Il semble que l épidémie va persister pendant une bonne partie de l année La situation est particulièrement préoccupante en Guinée où la réponse a été problématique et où l intervention de la Croix-Rouge est la plus limitée. La propagation continue de la maladie dans des zones rurales reculées ne cesse d accroître la complexité de l action contre l épidémie, et prolongera probablement le temps qu il faudra pour arriver à zéro cas. Cette épidémie est d un tout autre ordre que les catastrophes dans lesquelles la Fédération internationale intervient généralement. Elle n a pas commencé par une dévastation suivie de la reconstruction des services et des moyens de subsistance, mais s est propagée en passant par des chemins inexplorés. Les méthodes efficaces de gestion des catastrophes utilisées par la Fédération internationale devraient être réexaminées à la lumière de cette épidémie pour déterminer comment d autres modèles de gestion auraient pu renforcer l action de la Croix-Rouge. Une approche modifiée de l intervention en cas de catastrophe, faisant appel à différents ensembles de compétences et à différentes approches, pourrait être mise au point pour de futures épidémies. Des enseignements pourraient être tirés de l action de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge face au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), au choléra, à la méningite, au syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS), à la grippe H1N1 et à la rougeole. L équipe a abordé l évaluation en mettant l accent sur l appréciation des moyens mis en œuvre par la Fédération internationale pour sauver des vies. Compte tenu des schémas de l épidémie et de son évolution actuelle, l équipe a cherché à savoir ce qui pourrait être fait de plus, dans le cadre du mandat de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, pour enrayer la flambée actuelle. Les quatre évaluateurs se sont rendus dans les trois pays et ont travaillé en équipes. Les conclusions et les recommandations sont exposées pour chaque pays. Celles qui s appliquent à tous les sites sont présentées ci-après. Nous sommes très reconnaissants au personnel des Sociétés nationales et aux délégués de la Fédération internationale pour le temps et les ressources qu ils ont consacrés sans compter aux évaluateurs. L épidémie actuelle d Ebola fera sans nul doute l objet de multiples examens a posteriori visant à mettre en évidence les enseignements tirés et des informations susceptibles d orienter la riposte à la prochaine flambée épidémique, qu elle soit d Ebola ou d une maladie émergente/réémergente. La Fédération internationale participera certainement à tout examen et à toute évaluation multi-organisations, mais nous suggérons qu elle engage, avec l assistance des Sociétés nationales concernées, une évaluation interne des réponses apportées dans les secteurs dont elle est chargée. Cette évaluation pourrait porter sur les très nombreuses questions organisationnelles ainsi que sur les problèmes liés à la lutte contre l épidémie. 2

4 Ceux qui ont joué un rôle de leadership dans les opérations sur le terrain et ceux, qui au siège, remplissent des fonctions de soutien pourraient ainsi examiner toutes les phases de la réponse. L expérience acquise dans le cadre de la gestion de cette épidémie devrait être considérée comme une occasion de renforcer les capacités de la Fédération internationale et des Sociétés nationales en matière de gestion des catastrophes. 3.5 RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES INTERSITES Parmi les recommandations spécifiques à chaque pays que l équipe a formulées, certaines sont communes à tous les pays sous diverses formes. Les observations et les recommandations que l équipe d évaluation en temps réel applique aux trois pays sont présentées ci-après. 1. Accroissement des ressources épidémiologiques et de santé publique. L action est menée par une équipe de gestion des catastrophes très solide, mais les capacités techniques en matière d épidémiologie et de santé publique sont insuffisantes, celles-ci étant pourtant essentielles pour faire face à une catastrophe de santé publique. Le déploiement de ces capacités pourrait aider à anticiper les schémas de l épidémie et à utiliser les informations déjà obtenues par le biais des activités de la Croix-Rouge, de façon à mieux préparer et à déployer les moyens d action et les ressources. La dépendance à l égard d autres sources, s agissant de la collecte d informations et des orientations à donner à l action contre l épidémie, entrave les efforts de la Croix-Rouge et entraîne potentiellement des retards dans les secours. Cela limite l aptitude de la Croix-Rouge à anticiper un élément clé dans une épidémie imprévisible. L OMS et les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) possèdent, en matière épidémiologique, d excellentes capacités pour analyser les données collectées par d autres. La Croix-Rouge devrait être en mesure d analyser ses propres données en vue de suivre les résultats de ses activités et de recenser les besoins insatisfaits, sans dépendre entièrement d autres organisations qui n ont peut-être pas la même démarche opérationnelle qu elle sur le terrain. Tel est déjà le cas de certaines organisations humanitaires. 2. Meilleure utilisation des informations. Cette action donne lieu à de nombreux flux d informations, à la fois par voie électronique et sur papier. Disposer de toutes les données relatives aux projets en format électronique constituerait une étape importante, qui permettrait d utiliser ces informations pour créer des «tableaux de bord». Ces tableaux de bord pourraient être consultés en temps réel n importe où. De plus, mettre en place un processus par lequel les décideurs pourraient utiliser ces données pourrait améliorer le processus de prise de décision. 3. Support and duty of care for volunteers. Cela revêt plusieurs formes : a. Prévention de l infection par le virus Ebola. Il est fréquent que les normes de protection ne soient pas respectées. Une supervision étroite et une nouvelle formation en matière de contrôle qualité sont capitales. b. La sécurité physique des volontaires est menacée dans certaines communautés, notamment en Guinée. Une surveillance plus étroite des régions à risque ainsi qu une collaboration avec le gouvernement et les organisations opérant dans ces régions sont conseillées en vue de favoriser l échange d informations. 3

5 c. Mise en place d un soutien psychologique à l intention des volontaires, en particulier ceux qui travaillent dans des conditions dangereuses et ceux qui sont exposés à la discrimination sociale en raison du travail qu ils effectuent. Les dispositifs existants sont de nature ponctuelle et ne sont pas uniformisés. Le soutien psychologique fait partie du «devoir de protection». d. Le besoin de soutien moral se fait sentir dans de nombreux endroits. On pourrait y répondre par des incitations non financières et des marques de reconnaissance. Il faudrait prévoir des moyens d exprimer de la reconnaissance aux volontaires une fois que l épidémie sera vaincue. Il faut aussi bien comprendre les problèmes liés à la fatigue et à la baisse de moral pour mettre au point des programmes de soutien appropriés. e. Paiement rapide des incitations financières. Des retards ont été constatés dans de nombreux endroits et ceux-ci portent atteinte au moral. Le processus de paiement de ces incitations devrait être examiné afin d assurer le respect les délais. 4. Localisation des contacts. Dans de nombreuses régions, les volontaires ont entrepris de localiser les contacts et de collaborer avec les autorités de santé locales. Il est temps maintenant d envisager de transformer ces efforts en recherche active de cas avec les autorités locales quand cela est possible, car il est nécessaire d assurer une surveillance bien plus étroite des communautés pour mettre fin à l épidémie. Les volontaires constituent une excellente ressource potentielle pour ces activités. Dans certaines régions, la majorité des nouveaux cas concernent des personnes ne figurant pas sur une liste des contacts, ce qui démontre les limites d une simple recherche des contacts. 5. Accent accru sur la communication. La mobilisation sociale et la communication avec bénéficiaires ont été bien assurées dans de nombreux endroits. Un accent accru sur la communication en vue d un changement des comportements individuels et la sensibilisation des médias de masse permettraient non seulement de réduire les risques pour les individus mais aussi d accroître la prise de conscience du rôle de la Croix-Rouge dans l action contre l Ebola. Certains budgets de la communication sont sous-utilisés. 6. Phase de relèvement. Bien qu il soit généralement considéré que la phase de relèvement est distincte de celle de l intervention d urgence après une catastrophe, il existe de nombreuses raisons d engager des efforts de relèvement dès à présent. Nombre de foyers ont besoin d une assistance qu ils ne reçoivent pas, et des problèmes de moyens de subsistance sur le long terme devraient survenir rapidement. 7. Unité régionale de gestion de l épidémie. L équipe d évaluation en temps réel a considéré que l Unité régionale de gestion de l épidémie était un excellent concept, fournissant des ressources techniques aux pays touchés, mais a estimé que l Unité manquait des compétences techniques requises pour soutenir les programmes des pays. Les domaines spécifiques dans lesquels les besoins des pays ont excédé les ressources disponibles sont la communication et la gestion de la santé publique et des informations. 8. Plans d intervention d urgence. Les Plans d intervention d urgence ont mis l accent sur les indicateurs de résultats. Accorder une plus grande importance au processus et aux indicateurs de résultats lors de la planification contribuerait à améliorer la qualité des services fournis. 4

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