Analyse de Fourier. Chapitre Espaces de Lebesgue
|
|
- Jean-Pascal Bessette
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre 4 Analyse de Fourier 4.1 Espaces de Lebesgue Dans cette section nous allons introduire brièvement les espaces L p (espaces de Lebesgue) avec certaines de leurs proporiétés qui seront utiles dans la suite. Pour p<+1, lesespacesl p se définissent comme l espace L 1 déjà vu dans le chapitre précédent. Pour cela on commence par définir les espaces des fonctions de puissance p-ème intégrable L p : Définition Soit (X, A,µ) un espace mesuré. Pour p 2 [1, +1[, on définit l espace des fonctions de puissance p-ème intégrable, noté L p (X), comme suit L p (X) = f : X! R : f est mesurable et X f p dµ < +1. Pour définir une norme dans l espace L p (X) nous avons besoin, comme pour l espace L 1, de modifier légèrement cet espace en introduisant la relation d équivalence suivante. On dit que deux fonctions f,g 2 L p (X) sont équivalentes, et on notera f g si f = g presque partout. Il est facile de voir qu il s agit bien d une relation d équivalence sur L p (X). Cela nous permet de définir : Définition On définit l espace vectoriel L p (X) comme étant le quotient de l espace L p (X) par la relation d équivalence introduite ci-dessus, i.e L p (X) =L p (X)/. Dans la suite, chaque élément [f] 2 L p (X) sera identifié avec l un de ses représentants qui est f. LapropositionsuivantenouspermetdedéfnirunenormecomplètesurL p (X) : Proposition Pour tout p 2 [1, +1[, la fonction N : L p (X)! [0, +1[ définie par N p (f) = X 1/p f p dµ est une norme sur L p (X). De plus L p (X) muni de la norme N p est un espace de Banach. 37
2 38 CHAPITRE 4. ANALYSE DE FOURIER Généralement, la norme N p définie ci-dessus est notée par k.k p,i.epourf 2 L p (X) on a 1/p kfk p = f dµ p. Maintenant on définit l espace L p pour p =+1 : X Définition Soit (X, A,µ) un espace mesuré et soit f : X! R mesurable. On dit que f est essentiellement bornée si elle est bornée presque partout, i.e s il existe C 2 [0, +1[ telle que f applec (p.p). On note l ensemble des fonctions essentiellement bornées par L 1 (X). En utilisant la relation d équivalence définie ci-dessus, on définit l espace quotient L 1 (X) =L 1 (X)/ avec la norme : kfk 1 =inf{c 2 [0, +1[ : f applec (p.p)}. On a l équivalent de la proposition ci-dessus : Proposition La fonction f 7! kfk 1 est une norme sur L 1 (X). De plus, lorsqu il est muni de cette norme, L 1 (X) est un espace de Banach. Nous donnons quelques propriétés très utiles des espaces L p.oncommenceparlafameuse inégalité de Hölder : Proposition (Inégalité de Hölder) Soit (X, A,µ) un espace mesuré et soient p, q 2 [1, +1] tels que 1 p + 1 q =1. Alors pour tout f 2 Lp (X) et tout g 2 L q (X), la fonction fg est intégrable et l on a : kfgk 1 applekfk p kgk q. Lorsque µ(x) < +1, lapropositionprécédenteapourconséquencelerésultatsuivant: Proposition Soit (X, A,µ) un espace mesuré tel que µ(x) < +1. Alors pour tout p, q 2 [1, +1] tel que p apple q, on a L q (X) L p (X). Plus précisement, on l inégalité suivante pour tout f 2 L q (X) : kfk p apple [µ(x)] 1 p/q kfk q. Exemple. Soit f : R! R définie par : f(x) = 1 x (1+ x ), avec >0. Montrerquef 2 Lp (R) si et seulement si p apple. En déduire que l hypothèse µ(x) < +1 dans la proposition précédente est nécessaire. 4.2 Convolution Dans la suite l ensemble sera muni de sa tribu et sa mesure de Lebesgue. Pour simplifier la notation l intégrale d une fonction f sur un ensemble A sera noté f(x)dx. A
3 4.2. CONVOLUTION 39 Définition Soient f,g :! R deux fonctions mesurables. On appelle produit de convolution de f et g la fonction notée f g définie formellement par f g(x) = f(x y)g(y)dy, x 2. Remarque On ne peut pas toujours définir le produit de convolution de deux fonctions. Il est nécessaire pour cela que l intégrale qui définit un tel produit existe. Il en résulte (comme on peut le vérifier facilement en utilisant le théorème de changement de variable) que lorsque le produit de convolution est bien défini, alors il est commutatif. La proposition suivante nous dit que le produit de convolution de deux fonctions intégrables est bien défini : Proposition Soient f,g 2 L 1 ( ). Alors pour presque tout x 2, on a f(x y)g(y) dy = f(y)g(x y) dy < +1. En particulier, le produit de convolution f g est bien défini presque partout sur et l on a avec f g = g f 2 L 1 ( ) kf gk L 1 ( ) applekfk L 1 ( )kgk L 1 ( ). Ainsi la convolution est une loi interne dans L 1 ( ) qui en fait une algèrre de Banach. Le résultat précédent est un cas particulier du résultat plus général suivant : Proposition (Inéglaité de Young) soient p, q, r 2 [1, +1] tels que 1 r = 1 p + 1 q 1. Alors pour tout f 2 L p ( ) et tout g 2 L q ( ), la produit de convolution f g est bien défini presque partout et l on a f g 2 L r ( ) avec l inégalité : kf gk r applekfk p kgk q. Exemple. Soit a, b 2 R avec a<bet soit f =1 [a,b]. Calculer f f. Qu observe-t-onencequi concerne la continuité f f? Parmi les utilisations importantes du produit de convolution est la régularisation des fonctions (les rendre plus lisses). Pour cela nous avons besoin de rappeler tout d abord quelques définitions : Définition Soit f :! R une fonction mesurable. On appelle support de f le plus petit fermé en dehors duquel f est nulle presque partout. Il est noté par supp(f). Lorsque supp(f) est compact on dit que f est à support compact. Lorsque f est une fonction continue sur,ilestfaciledevérifierquelesupportdef est donné par supp(f) ={x 2 : f(x) 6= 0}. Nous rappelons aussi quelques espaces connus de fonctions :
4 40 CHAPITRE 4. ANALYSE DE FOURIER Définition Si est un ouvert de et k 2 N, on note par C k ( ) l espace vectoriel des fonctions admettant des dérivées partielles continues sur jusqu à l ordre k (avec la convention qu une dérivée d ordre zéro d une fonction est la fonction elle même). On note par C 1 ( ) l espace des fonctions admettant des dérivées partielles continues de tout ordre sur. Nous avons une famille très utile de sous-espaces des espaces ci-dessus : Définition Pour tout k 2 N [ {1}, on note par C k c ( ) le sous-espace de C k ( ) constitué des fonctions à support compact. Plus précisément, C k c ( )={ f 2 C k ( ) : f est à support compact }. Exemple. Soit f : R! R définie par f(x) = ( e Vérifier que f 2 C 1 c ( ) et que supp(f) =[ 1, 1]. 1 1 x 2 si x < 1 0 si x 1. Nous avons le premier résultat de régularisation par des fonctions dans C k c ( ) : Proposition (Régularisation) Soit f 2 L p ( ) pour p 2 [1, +1], et soit g 2 C k c ( ) pour k 2 N [ {1}. Alors f g est bien défini sur et vérifie f g 2 C k ( ) \ L q ( ) pour tout q 2 [1, +1]. La proposition précédente est une première étape permettant d approcher des fonction peu régulière par des fonctions régulières. Pour cela nous avons besoin de la notion suivante : Définition On appelle approximation de l unité (ou de l identité ) dans toute suite de fonction ( j ) j dans L 1 ( ) vérifiant les conditions suivantes : i) j (x)dx =1 pour tout j 2 N. ii) sup j (x) dx < +1. j2n iii) Pour tout ">0, lim j (x) dx =0. j!+1 x >" Exemple. Les suites de fonctions suivantes sont des approximation de l unité dans : j n 1+j 2 x 2. 1) j (x) = 1 2) j (x) =j n '(jx), où ' 2 Cc 1 ( ) telle que '(x)dx =1. Comme le montre la proposition suivante, l appelation Approximation de l unité n est pas fortuite :
5 4.3. TRANSFORMÉE DE FOURIER 41 Proposition Soit ( j ) j une approximation de l unité dans et soit f 2 L p ( ) pour p 2 [1, +1[. Alors on a j f! j!+1 f dans Lp ( ). Remarque La conclusion de la proposition précédente est fausse si p =+1. Pour qu elle soit vraie on a besoin d hypothèses supplémentaires sur f. En combinant les résultats précédents on peut démontrer le théorème de densité suivant : Théorème Pour tout p 2 [1, +1[ et tout f 2 L p ( ), il existe une suite de fonctions f j 2 C 1 c ( ) qui converge vers f dans L p ( ). En d autres termes, l espace C 1 c ( ) est dense dans L p ( ) pour tout p 2 [1, +1[. 4.3 Transformée de Fourier Dans cette section nous allons introduire la transformée de Fourier et en donner quelques propriétés classiques. Comme la transformée de Fourier utilise des fontions à valeurs complexes, nous avons besoin de préciser quelques points sur les chapitres précédents. Toutes les notions vues précédemment (fonctions mesurables, fonctions intégrables, intégrale de Lebesgue... ) se généralisent facilement au cas des fonctions à valeurs complexes. En effet, il faut que chacune de ces propriétés soit vérifiée par la partie rélle et imaginaire si la fonction considérée est complexe, et l intégrale sera définie d une façon naturelle en considérant l intégrale de la partie réelle et celle de la partie imaginaire. De même, en tenant compte de ces remarques, les espaces de fonctions vus dans ce chapitre ainsi que les propriétés les concernant se généralisent d une façon naturelle au cas des fonctions complexes. Dans la suite, le produit scalaire de deux vecteurs x et y dans sera noté par x y, i.esi x =(x 1,,x n ) et y =(y 1,,y n ),ona x y = x 1 y x n y n. Définition Soit f 2 L 1 ( ). On définit la tranformée de Fourier de f, notée f, b par : bf( ) = e ix f(x)dx, 8 2. Dans la définition précédente l intégrale e ix f(x)dx est bien définie car la fonction x 7! e ix f(x) est intégrable sur puisque e ix f(x) = f(x) et f 2 L 1 ( ). Avant d énoncer la toute première propriété fondamentale de la transformée de Fourier, on introduit l espace C 0 ( ) des fonctions continues sur ayant une limite nulle à l infini. Plus précisément : C 0 ( )= f 2 C 0 ( ) : f(x)! 0. x!+1 Proposition (Lemme de Riemann-Lebesgue) Soit f 2 L 1 ( ). Alors b f 2 C 0 ( ) et vérifie l ingégalité k b fk 1 applekfk 1.
6 42 CHAPITRE 4. ANALYSE DE FOURIER D après la proposition précédente on peut définir un opérateur : F : L 1 ( )! C 0 ( ) en posant F (f) = b f. Il découle directement de la définition que F est linéaire, et en utilisant encore une fois la proposition précédente on voit que F est continu. Exemple. Calculer la transformée de Fourier de chacune des fonctions suivantes : 1) f : R! R définie par f =1 [a,b], où a, b 2 R avec a<b. 2) f : R! R définie par f(x) =e x. 3) f : R! R définie par f(x) =e 1 2 x2. Nous avons aussi quelques propriétés élémentaires découlant directement de la définition : Proposition Si f 2 L 1 ( ) est paire (respectivement impaire), alors b f est paire (respectivement impaire). Plus généralement, si L :! est une transformation orthogonale, alors : [f L = b f L. Nous donnons maintenant une proposition qui montre le bon comportement de la transformée de Fourier avec la convolution : Proposition Si f,g 2 L 1 ( ), alors : [f g = b f bg. Ce qui suit illustre une propriété caractéristique de la transformé de Fourier : celle-ci échange la dérivabilité avec la décroissance à l infini : Proposition Soit f 2 L 1 ( ). 1) Si f 2 C 1 ( ) alors d@ k f( ) =i k b f( ), 8k =1,...,n. 2) Si x f 2 L 1 ( ), alors b f 2 C 1 ( ) k b f( ) = d ixk f( ), 8k =1,...,n. Nous avons la formule d inversion qui permet de retrouver une fonction à partir de sa transformée de Fourier : Proposition Si f 2 L 1 ( ) et f b 2 L 1 ( ), alors on a pour presque tout x 2 : f(x) = 1 f( )e b ix (2 ) n d. En particulier, la transformée de Fourier F : L 1 ( )! C 0 ( ) est injective.
7 4.3. TRANSFORMÉE DE FOURIER 43 Transformée de Fourier sur L 2 Dans ce qui précéde nous avons défini la transformée de Fourier sur L 1 ( ).Cependant,cette définition ne s applique pas aux fonctions qui sont dans L 2 ( ) car la fonction x 7! e ix f(x) n est pas nécessairement intégrable sur lorsque f 2 L 2 (R). Nousdevonsdonctrouverun autre moyen pour définir une telle transformée tout en respectant la définition ci-dessus lorsque f 2 L 1 ( ) \ L 2 ( ). L espace L 2 (R 2 ) auneparticularitétrèsimportante:sanorme(voirsection1ci-dessus) provient d un produit scalaire (ou produit scalaire hermitien). En effet, la forme bilinéaire définie sur L 2 ( ) par hf,gi = f(x)g(x)dx, f, g 2 L 2 ( ) est un produitt scalaire sur L 2 ( ).Lorsqu ons intéresseàdesfonctionsàvaleurscomplexes, on doit modifier légèrement la formule précédente, en remplaçant g par g (conjuguée de g), c est àdireonpose hf,gi = f(x)g(x)dx, f, g 2 L 2 ( ) et l on obtient ainsi un produit scalaire hermitien sur L 2 ( ).Nousavonslerésultattrèsimportant suivant : Théorème L espace L 2 ( ) muni du produit scalaire (ou du produit scalaire hermitien) défini ci-dessus est un espace de Hilbert. Revenons à la transformée de Fourier définie précédemment sur L 1 ( ).Nousavonslethéorème suivant : Théorème (Plancherel-Parseval) Si f 2 L 1 ( ) \ L 2 ( ), alors f b 2 L 1 ( ) \ L 2 ( ) et l on a kfk b 2 2 =(2 ) n kfk 2 2 (formule de P lancherel). Plus généralement, on a pour tout f,g 2 L 1 ( ) \ L 2 ( ) : h b f,bgi =(2 ) n hf,gi (formule de P arseval). Le théorème précédent permet d étendre la transformée de Fourier définie sur L 1 ( ) à L 2 ( ) grâce à un résultat d analyse fonctionnelle qui permet d étendre des fonctions uniformément continues sur un ensemble dense d un espace métrique, à valeurs dans un espace métrique complet, en une fonction uniformément continue sur l espace tout entier. Plus précisément, nous utiliserons le résultat suivant : Proposition Soient (E,d) et (F, ) deux espace métriques tels que (F, ) soit complet et soit E 0 une partie dense de E. Soit T : E 0! F une application lipschitzienne de rapport k, i.e vérifiant pour une constante k 0 : (T (f),t(g)) apple kd(f,g), 8f,g 2 E 0. Alors T se prolonge en une unique application e T : E! F qui est lipschitzienne de rapport k, i.e vérifiant ( e T (f), e T (g)) apple kd(f,g), 8f,g 2 E. Plus généralement, si T : E 0! F est uniformément continue, alors T se prolonge en une unique application e T : E! F qui est uniformément continue.
8 44 CHAPITRE 4. ANALYSE DE FOURIER Nous allons appliquer la proposition précédente à T = F (la transformé de Fourier définie prédémment sur L 1 ( ))enprenante = L 2 ( ), E 0 = L 1 ( )\L 2 ( ) et F = L 2 ( ).Eneffet, en utilisant la formule de Plancherel ci-dessus, il nous reste juste à vérifier que L 1 ( ) \ L 2 ( ) est dense dans L 2 ( ).Maisceladécouledirectementduthéorème4.2.1commeonpeutlevérifier facilement. Théorème La transformée de Fourier définie précédemment F : L 1 ( )! C 0 ( ) se prolonge en une unique application linéaire, notée toujours F, de L 2 ( )! L 2 ( ) qui est bijective et vérifiant la formule de Parseval : hf (f), F (g)i =(2 ) n hf,gi, 8f,g 2 L 2 ( ), qui donne en particulier la formule de Plancherel : kf (f)k 2 2 =(2 ) n kfk 2 2, 8f 2 L 2 ( ). De plus, pour tout f 2 L 2 ( ) et R>0, si on pose F R (f)( ) = F (f) = lim F R(f) dans L 2 ( ). R!+1 x appler e ix f(x)dx, on a
Amphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues
Amphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues Département de Mathématiques École polytechnique Remise en forme mathématique 2013 Suite de Cauchy Soit (X, d) un espace métrique. Une suite
Plus en détailDualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies
Chapitre 6 Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Nous allons maintenant revenir sur les espaces L p du Chapitre 4, à la lumière de certains résultats du Chapitre 5. Sauf mention
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés 2012-2013 1 Petites questions 1) Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? 2) Si F et G sont deux tribus, est-ce que F G est toujours une tribu?
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé 2012-2013 1 Petites questions 1 Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? Réponse : Non, car le complémentaire de ], 0[ n est pas ouvert.
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailEspérance conditionnelle
Espérance conditionnelle Samy Tindel Nancy-Université Master 1 - Nancy Samy T. (IECN) M1 - Espérance conditionnelle Nancy-Université 1 / 58 Plan 1 Définition 2 Exemples 3 Propriétés de l espérance conditionnelle
Plus en détailContinuité d une fonction de plusieurs variables
Chapitre 2 Continuité d une fonction de plusieurs variables Maintenant qu on a défini la notion de limite pour des suites dans R n, la notion de continuité s étend sans problème à des fonctions de plusieurs
Plus en détailMesures gaussiennes et espaces de Fock
Mesures gaussiennes et espaces de Fock Thierry Lévy Peyresq - Juin 2003 Introduction Les mesures gaussiennes et les espaces de Fock sont deux objets qui apparaissent naturellement et peut-être, à première
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailApproximations variationelles des EDP Notes du Cours de M2
Approximations variationelles des EDP Notes du Cours de M2 Albert Cohen Dans ce cours, on s intéresse à l approximation numérique d équations aux dérivées partielles linéaires qui admettent une formulation
Plus en détailProduits d espaces mesurés
Chapitre 7 Produits d espaces mesurés 7.1 Motivation Au chapitre 2, on a introduit la mesure de Lebesgue sur la tribu des boréliens de R (notée B(R)), ce qui nous a permis d exprimer la notion de longueur
Plus en détailExamen optimisation Centrale Marseille (2008) et SupGalilee (2008)
Examen optimisation Centrale Marseille (28) et SupGalilee (28) Olivier Latte, Jean-Michel Innocent, Isabelle Terrasse, Emmanuel Audusse, Francois Cuvelier duree 4 h Tout resultat enonce dans le texte peut
Plus en détailMESURE ET INTÉGRATION EN UNE DIMENSION. Notes de cours
MSUR T INTÉGRATION N UN DIMNSION Notes de cours André Giroux Département de Mathématiques et Statistique Université de Montréal Mai 2004 Table des matières 1 INTRODUCTION 2 1.1 xercices.............................
Plus en détailEXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats)
EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats) On cherche à modéliser de deux façons différentes l évolution du nombre, exprimé en millions, de foyers français possédant un téléviseur à écran plat
Plus en détailConstruction de l'intégrale de Lebesgue
Université d'artois Faculté des ciences Jean Perrin Mesure et Intégration (Licence 3 Mathématiques-Informatique) Daniel Li Construction de l'intégrale de Lebesgue 10 février 2011 La construction de l'intégrale
Plus en détailCalcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach
Chapitre 7 Calcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach L objet de ce chapitre est de définir un calcul fonctionnel holomorphe qui prolonge le calcul fonctionnel polynômial et qui respecte
Plus en détailCours d Analyse 3 Fonctions de plusieurs variables
Université Claude Bernard, Lyon I Licence Sciences, Technologies & Santé 43, boulevard 11 novembre 1918 Spécialité Mathématiques 69622 Villeurbanne cedex, France L. Pujo-Menjouet pujo@math.univ-lyon1.fr
Plus en détailLa Licence Mathématiques et Economie-MASS Université de Sciences Sociales de Toulouse 1
La Licence Mathématiques et Economie-MASS Université de Sciences Sociales de Toulouse 1 La licence Mathématiques et Economie-MASS de l Université des Sciences Sociales de Toulouse propose sur les trois
Plus en détailn N = u N u N+1 1 u pour u 1. f ( uv 1) v N+1 v N v 1 1 2 t
3.La méthode de Dirichlet 99 11 Le théorème de Dirichlet 3.La méthode de Dirichlet Lorsque Dirichlet, au début des années 180, découvre les travaux de Fourier, il cherche à les justifier par des méthodes
Plus en détailCommun à tous les candidats
EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle
Plus en détailTests non-paramétriques de non-effet et d adéquation pour des covariables fonctionnelles
Tests non-paramétriques de non-effet et d adéquation pour des covariables fonctionnelles Valentin Patilea 1 Cesar Sanchez-sellero 2 Matthieu Saumard 3 1 CREST-ENSAI et IRMAR 2 USC Espagne 3 IRMAR-INSA
Plus en détailSuites numériques 3. 1 Convergence et limite d une suite
Suites numériques 3 1 Convergence et limite d une suite Nous savons que les termes de certaines suites s approchent de plus en plus d une certaine valeur quand n augmente : par exemple, les nombres u n
Plus en détailLes travaux doivent être remis sous forme papier.
Physique mathématique II Calendrier: Date Pondération/note nale Matériel couvert ExercicesSérie 1 : 25 septembre 2014 5% RH&B: Ch. 3 ExercicesSérie 2 : 23 octobre 2014 5% RH&B: Ch. 12-13 Examen 1 : 24
Plus en détailDe même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que
Introduction. On suppose connus les ensembles N (des entiers naturels), Z des entiers relatifs et Q (des nombres rationnels). On s est rendu compte, depuis l antiquité, que l on ne peut pas tout mesurer
Plus en détailContinuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détail3. Conditionnement P (B)
Conditionnement 16 3. Conditionnement Dans cette section, nous allons rappeler un certain nombre de définitions et de propriétés liées au problème du conditionnement, c est à dire à la prise en compte
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailNotes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Guy Desaulniers Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2014 Table des matières
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailCalcul différentiel. Chapitre 1. 1.1 Différentiabilité
Chapitre 1 Calcul différentiel L idée du calcul différentiel est d approcher au voisinage d un point une fonction f par une fonction plus simple (ou d approcher localement le graphe de f par un espace
Plus en détailExo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.
Eo7 Calculs de déterminants Fiche corrigée par Arnaud Bodin Eercice Calculer les déterminants des matrices suivantes : Correction Vidéo ( ) 0 6 7 3 4 5 8 4 5 6 0 3 4 5 5 6 7 0 3 5 4 3 0 3 0 0 3 0 0 0 3
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailDéveloppements limités. Notion de développement limité
MT12 - ch2 Page 1/8 Développements limités Dans tout ce chapitre, I désigne un intervalle de R non vide et non réduit à un point. I Notion de développement limité Dans tout ce paragraphe, a désigne un
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours
Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailNotes du cours MTH1101N Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101N Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Fausto Errico Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2012 Table des matières
Plus en détailExo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs
Eo7 Limites de fonctions Théorie Eercice Montrer que toute fonction périodique et non constante n admet pas de ite en + Montrer que toute fonction croissante et majorée admet une ite finie en + Indication
Plus en détailIntroduction à la. Points Critiques. Otared Kavian. et Applications aux Problèmes Elliptiques. Springer-Verlag
Otared Kavian Introduction à la Théorie des Points Critiques et Applications aux Problèmes Elliptiques Springer-Verlag Berlin Heidelberg NewYork London Paris Tokyo Hong Kong Barcelona Budapest Avant propos
Plus en détailDifférentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles
Différentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles Denis Vekemans R n est muni de l une des trois normes usuelles. 1,. 2 ou.. x 1 = i i n Toutes les normes de R n sont équivalentes. x i ; x 2
Plus en détailThéorie de la Mesure et Intégration
Ecole Nationale de la Statistique et de l Administration Economique Théorie de la Mesure et Intégration Xavier MARY 2 Table des matières I Théorie de la mesure 11 1 Algèbres et tribus de parties d un ensemble
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailCours d analyse numérique SMI-S4
ours d analyse numérique SMI-S4 Introduction L objet de l analyse numérique est de concevoir et d étudier des méthodes de résolution de certains problèmes mathématiques, en général issus de problèmes réels,
Plus en détailLEÇON N 7 : Schéma de Bernoulli et loi binomiale. Exemples.
LEÇON N 7 : Schéma de Bernoulli et loi binomiale. Exemples. Pré-requis : Probabilités : définition, calculs et probabilités conditionnelles ; Notion de variables aléatoires, et propriétés associées : espérance,
Plus en détailEquations aux Dérivées Partielles
Equations aux Dérivées Partielles Tony Lelièvre 29-2 Après avoir considéré dans le capitre précédent des équations d évolution pour des fonctions ne dépendant que du paramètre temps, nous nous intéressons
Plus en détailOM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables
Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables PCSI 2013 2014 Certaines partie de ce chapitre ne seront utiles qu à partir de l année prochaine, mais une grande partie nous servira dès cette année.
Plus en détailCalcul différentiel sur R n Première partie
Calcul différentiel sur R n Première partie Université De Metz 2006-2007 1 Définitions générales On note L(R n, R m ) l espace vectoriel des applications linéaires de R n dans R m. Définition 1.1 (différentiabilité
Plus en détailThéorème du point fixe - Théorème de l inversion locale
Chapitre 7 Théorème du point fixe - Théorème de l inversion locale Dans ce chapitre et le suivant, on montre deux applications importantes de la notion de différentiabilité : le théorème de l inversion
Plus en détailMéthodes de quadrature. Polytech Paris-UPMC. - p. 1/48
Méthodes de Polytech Paris-UPMC - p. 1/48 Polynôme d interpolation de Preuve et polynôme de Calcul de l erreur d interpolation Étude de la formule d erreur Autres méthodes - p. 2/48 Polynôme d interpolation
Plus en détailDéveloppements limités, équivalents et calculs de limites
Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailNotes de cours M2 Équations aux dérivées partielles elliptiques. Hervé Le Dret
Notes de cours M2 Équations aux dérivées partielles elliptiques Hervé Le Dret 4 mars 2010 2 Table des matières 1 Rappels en tous genres 7 1.1 Les théorèmes de convergence de Lebesgue............ 7 1.2
Plus en détailContexte. Pour cela, elles doivent être très compliquées, c est-à-dire elles doivent être très différentes des fonctions simples,
Non-linéarité Contexte Pour permettre aux algorithmes de cryptographie d être sûrs, les fonctions booléennes qu ils utilisent ne doivent pas être inversées facilement. Pour cela, elles doivent être très
Plus en détailThéorèmes du Point Fixe et Applications aux Equations Diérentielles
Université de Nice-Sophia Antipolis Mémoire de Master 1 de Mathématiques Année 2006-2007 Théorèmes du Point Fixe et Applications aux Equations Diérentielles Auteurs : Clémence MINAZZO - Kelsey RIDER Responsable
Plus en détailFiltrage stochastique non linéaire par la théorie de représentation des martingales
Filtrage stochastique non linéaire par la théorie de représentation des martingales Adriana Climescu-Haulica Laboratoire de Modélisation et Calcul Institut d Informatique et Mathématiques Appliquées de
Plus en détailChapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme
Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet
Plus en détailChapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque
Universités Paris 6 et Paris 7 M1 MEEF Analyse (UE 3) 2013-2014 Chapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque 1 Fonctions intégrables Définition 1 Soit I R un intervalle et soit f : I R + une fonction
Plus en détailThéorie de la Mesure et Intégration
Université Pierre & Marie Curie (Paris 6) Licence de Mathématiques L3 UE LM364 Intégration 1 & UE LM365 Intégration 2 Année 2010 11 Théorie de la Mesure et Intégration Responsable des cours : Amaury LAMBERT
Plus en détailProblème 1 : applications du plan affine
Problème 1 : applications du plan affine Notations On désigne par GL 2 (R) l ensemble des matrices 2 2 inversibles à coefficients réels. Soit un plan affine P muni d un repère (O, I, J). Les coordonnées
Plus en détailLogique. Plan du chapitre
Logique Ce chapitre est assez abstrait en première lecture, mais est (avec le chapitre suivant «Ensembles») probablement le plus important de l année car il est à la base de tous les raisonnements usuels
Plus en détailChapitre 2. Eléments pour comprendre un énoncé
Chapitre 2 Eléments pour comprendre un énoncé Ce chapitre est consacré à la compréhension d un énoncé. Pour démontrer un énoncé donné, il faut se reporter au chapitre suivant. Les tables de vérité données
Plus en détailFonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples
45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et
Plus en détailLeçon 01 Exercices d'entraînement
Leçon 01 Exercices d'entraînement Exercice 1 Etudier la convergence des suites ci-dessous définies par leur terme général: 1)u n = 2n3-5n + 1 n 2 + 3 2)u n = 2n2-7n - 5 -n 5-1 4)u n = lnn2 n+1 5)u n =
Plus en détailCours de Mécanique du point matériel
Cours de Mécanique du point matériel SMPC1 Module 1 : Mécanique 1 Session : Automne 2014 Prof. M. EL BAZ Cours de Mécanique du Point matériel Chapitre 1 : Complément Mathématique SMPC1 Chapitre 1: Rappels
Plus en détailModèles bi-dimensionnels de coques linéairement élastiques: Estimations de l écart entre leurs solutions.
Problèmes mathématiques de la mécanique/mathematical problems in Mechanics Modèles bi-dimensionnels de coques linéairement élastiques: Estimations de l écart entre leurs solutions. Cristinel Mardare Laboratoire
Plus en détailINTRODUCTION AUX ÉQUATIONS AUX DÉRIVÉES PARTIELLES Cours de maîtrise, L. Boutet de Monvel
EDP - Cours de Maîtrise LBdM 1 INTRODUCTION AUX ÉQUATIONS AUX DÉRIVÉES PARTIELLES Cours de maîtrise, L. Boutet de Monvel Ce polycopié regroupe les notes du cours d Équations aux dérivées partielle de la
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Maths MP Exercices Fonctions de plusieurs variables Les indications ne sont ici que pour être consultées après le T (pour les exercices non traités). Avant et pendant le T, tenez bon et n allez pas les
Plus en détailI. Ensemble de définition d'une fonction
Chapitre 2 Généralités sur les fonctions Fonctions de références et fonctions associées Ce que dit le programme : Étude de fonctions Fonctions de référence x x et x x Connaître les variations de ces deux
Plus en détailCours de mathématiques
DEUG MIAS premier niveau Cours de mathématiques année 2003/2004 Guillaume Legendre (version révisée du 3 avril 2015) Table des matières 1 Éléments de logique 1 1.1 Assertions...............................................
Plus en détailMesures et Intégration
Mesures et Intégration Marc Troyanov - EPFL - Octobre 2005 30 avril 2008 Ce document contient les notes du cours de Mesure et Intégration enseigné à l EPFL par Marc Troyanov, version 2005-2006. Table des
Plus en détailCapes 2002 - Première épreuve
Cette correction a été rédigée par Frédéric Bayart. Si vous avez des remarques à faire, ou pour signaler des erreurs, n hésitez pas à écrire à : mathweb@free.fr Mots-clés : équation fonctionnelle, série
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détailRaisonnement par récurrence Suites numériques
Chapitre 1 Raisonnement par récurrence Suites numériques Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Raisonnement par récurrence. Limite finie ou infinie d une suite.
Plus en détailINTRODUCTION. 1 k 2. k=1
Capes externe de mathématiques : session 7 Première composition INTRODUCTION L objet du problème est l étude de la suite (s n n définie par : n, s n = Dans une première partie, nous nous attacherons à
Plus en détailFonctions de plusieurs variables et applications pour l ingénieur
Service Commun de Formation Continue Année Universitaire 2006-2007 Fonctions de plusieurs variables et applications pour l ingénieur Polycopié de cours Rédigé par Yannick Privat Bureau 321 - Institut Élie
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailCorrigé du baccalauréat S Asie 21 juin 2010
Corrigé du baccalauréat S Asie juin 00 EXERCICE Commun à tous les candidats 4 points. Question : Le triangle GBI est : Réponse a : isocèle. Réponse b : équilatéral. Réponse c : rectangle. On a GB = + =
Plus en détailCorrigé du baccalauréat S Pondichéry 12 avril 2007
Corrigé du baccalauréat S Pondichéry 1 avril 7 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats 4 points 1 a Les vecteurs AB et AC ont pour coordonnées AB ; ; ) et AC 1 ; 4 ; 1) Ils ne sont manifestement pas colinéaires
Plus en détailIntroduction à la méthode des éléments finis
ÉCOLE NATIONALE SUPERIEURE DES MINES DE PARIS Introduction à la méthode des éléments finis Michel KERN 1 2004 2005 S3733 / S3735 1 Inria, Rocquencourt, BP 105, 78153 Le Chesnay, Michel.Kern@inria.fr 2
Plus en détailPremière partie. Préliminaires : noyaux itérés. MPSI B 6 juin 2015
Énoncé Soit V un espace vectoriel réel. L espace vectoriel des endomorphismes de V est désigné par L(V ). Lorsque f L(V ) et k N, on désigne par f 0 = Id V, f k = f k f la composée de f avec lui même k
Plus en détailSur certaines séries entières particulières
ACTA ARITHMETICA XCII. 2) Sur certaines séries entières particulières par Hubert Delange Orsay). Introduction. Dans un exposé à la Conférence Internationale de Théorie des Nombres organisée à Zakopane
Plus en détailThéorie de la mesure. S. Nicolay
Théorie de la mesure S. Nicolay Année académique 2011 2012 ii Table des matières Introduction v 1 Mesures 1 1.1 Sigma-algèbres................................. 1 1.2 Mesures.....................................
Plus en détail8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2
Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R
Plus en détail= 1 si n = m& où n et m sont souvent des indices entiers, par exemple, n, m = 0, 1, 2, 3, 4... En fait,! n m
1 épartement de Physique, Université Laval, Québec Pierre Amiot, 1. La fonction delta et certaines de ses utilisations. Clientèle Ce texte est destiné aux physiciens, ingénieurs et autres scientifiques.
Plus en détail1 Mesure et intégrale
1 Mesure et itégrale 1.1 Tribu boréliee et foctios mesurables Soit =[a, b] u itervalle (le cas où b = ou a = est pas exclu) et F ue famille de sous-esembles de. OditqueF est ue tribu sur si les coditios
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailIntégrales doubles et triples - M
Intégrales s et - fournie@mip.ups-tlse.fr 1/27 - Intégrales (rappel) Rappels Approximation éfinition : Intégrale définie Soit f définie continue sur I = [a, b] telle que f (x) > 3 2.5 2 1.5 1.5.5 1 1.5
Plus en détailDOCM 2013 http://docm.math.ca/ Solutions officielles. 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10.
A1 Trouvez l entier positif n qui satisfait l équation suivante: Solution 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10. En additionnant les termes du côté gauche de l équation en les mettant sur le même dénominateur
Plus en détailO, i, ) ln x. (ln x)2
EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On
Plus en détailENSAE - DAKAR BROCHURE D'INFORMATION SUR LE CONCOURS DE RECRUTEMENT D ÉLÈVES INGÉNIEURS STATISTICIENS ÉCONOMISTES (I S E) Option Mathématiques CAPESA
ENSEA - ABIDJAN ENSAE - DAKAR ISSEA - YAOUNDÉ BROCHURE D'INFORMATION SUR LE CONCOURS DE RECRUTEMENT D ÉLÈVES INGÉNIEURS STATISTICIENS ÉCONOMISTES (I S E) Option Mathématiques CAPESA CENTRE D APPUI AUX
Plus en détailAnalyse fonctionnelle Théorie des représentations du groupe quantique compact libre O(n) Teodor Banica Résumé - On trouve, pour chaque n 2, la classe
Analyse fonctionnelle Théorie des représentations du groupe quantique compact libre O(n) Teodor Banica Résumé - On trouve, pour chaque n 2, la classe des n n groupes quantiques compacts qui ont la théorie
Plus en détailSéminaire TEST. 1 Présentation du sujet. October 18th, 2013
Séminaire ES Andrés SÁNCHEZ PÉREZ October 8th, 03 Présentation du sujet Le problème de régression non-paramétrique se pose de la façon suivante : Supposons que l on dispose de n couples indépendantes de
Plus en détailNOTICE DOUBLE DIPLÔME
NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des
Plus en détailProgrammes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles
Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles Filière : scientifique Voie : Biologie, chimie, physique et sciences de la Terre (BCPST) Discipline : Mathématiques Seconde année Préambule Programme
Plus en détailEspace II. Algèbres d opérateurs et Géométrie non commutative.
Chapitre 2 Espace II. Algèbres d opérateurs et Géométrie non commutative. Dans le formalisme de la mécanique quantique, les observables ne sont plus des grandeurs ou fonctions numériques, que l on peut
Plus en détail