LES STRUCTURES DE PRODUCTI0N EN FRANCE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LES STRUCTURES DE PRODUCTI0N EN FRANCE"

Transcription

1 LES STRUCTURES DE PRODUCTI0N EN FRANCE évolution du nombre d exploitations en france (yc dom) Source : SSP - Enquêtes cheptels de novembre et Recensements Agricoles 2000 et 2010 Exploitations ayant des ovins ayant des brebis allaitantes ayant des brebis laitières âge des éleveurs de brebis en france en 2010 Source : SSP - Recensement Agricole 2010 Age du chef Brebis allaitantes Brebis laitières d exploitation % des éleveurs % des brebis % des éleveurs % des brebis moins de 40 ans 15 % 23 % 27 % 31 % ans 24 % 32 % 34 % 36 % ans 31 % 34 % 31 % 29 % plus de 60 ans 30 % 12 % 8 % 4 % répartition 2010 du cheptel et des exploitations détenant des brebis allaitantes en fonction de la taille du troupeau Source : SSP - Recensement Agricole 2010 Nombre d exploitations % du total Effectifs de brebis allaitantes % des brebis 1 à 19 brebis % % 20 à 99 brebis % % 100 à 199 brebis % % 200 à 499 brebis % % 500 à 999 brebis % % plus de brebis 202 0,4 % % répartition 2010 du cheptel et des exploitations détenant des brebis laitières en fonction de la taille du troupeau Source : SSP - Recensement Agricole 2010 Nombre d exploitations % du total Effectifs de brebis laitières % des brebis 1 à 19 brebis % ,2 % 20 à 99 brebis % % 100 à 199 brebis % % 200 à 499 brebis % % 500 à 999 brebis % % plus de brebis 22 0,4 % % En France, les recensements agricoles ont lieu tous les 10 ans. Ces enquêtes exhaustives réalisées auprès des exploitations agricoles de tout le territoire constituent alors une photographie complète de l agriculture française. Entre deux recensements agricoles, des «enquêtes structure» sont effectuées sur un échantillon d exploitations plus réduit afin d actualiser les données relatives aux structures des exploitations agricoles. La dernière enquête structure a été réalisée en 2013 mais les résultats n étaient pas disponibles au moment de la mise sous presse de ce dépliant. Les dernières données de structure disponibles sont donc celles issues du Recensement Agricole de 2010 (RA 2010). Les résultats des enquêtes cheptels (annuelles) permettent de suivre l évolution du nombre d exploitations.

2 LE CHEPTEL OVIN EN FRANCE évolution du cheptel (1 000 têtes) Sources : SSP et Eurostat Enquêtes cheptels de novembre Total ovins Brebis et agnelles saillies Brebis allaitantes Brebis laitières répartition régionale du cheptel reproducteur français en novembre 2013 Source : SSP (Enquête cheptel 2013) Brebis et agnelles saillies allaitantes Régions têtes % France Midi-Pyrénées % PACA % Poitou-charentes % Auvergne % Limousin % Rhône-Alpes % Brebis et agnelles saillies laitières Régions têtes % France Midi-Pyrénées % Aquitaine % Languedoc % Corse 94 6 % cheptels régionaux de brebis et agnelles saillies en novembre 2013 (1 000 têtes) et évolution par rapport à 2012 (en %) du cheptel de brebis et agnelles saillies entre novembre 2012 et novembre 2013 Stable à +3% % à stable 632-4% à -2% % à -4% -8% à -6% Sources : GEB - Institut de l Elevage d après SSP Cartographie Cartes & Données - Articque 97

3 LA VIANDE OVINE EN FRANCE n abattages répartition des abattages contrôlés d ovins Source : SSP têtes tonnes équivalent carcasse (téc) Poids carcasse moyen (kg) Agneaux ,0 17,8 Ovins de réforme ,1 25,7 TOTAL de l agneau à l assiette Source : Institut de l Élevage Poids vif 34 kg Perte au transport, attente, jeûne : 4 % Perte au ressuyage : 2 % Poids carcasse froide 17 kg Rendement abattage : 50 % Perte maturation : 1% Carcasse commercialisée 16,8 kg 80 % viande nette commercialisable 10 % déchets + gras 10 % os Part des morceaux dans la carcasse arrière : 55% avant : 45% Gigot 4,2 kg 25 % Carré découvert 1 kg 6 % Selle 1,5 kg 9 % Poitrine 2,2 kg 13 % Filet 1,7 kg 10 % Épaule 3,2 kg 19 % Carré couvert 1,8 kg 11 % Collier 1,2 kg 7 % organisation de la production française de viande ovine en 2012 Source : Coop de France Nombre d organisations de producteurs commerciales 44 Nombre d adhérents Nombre de brebis détenues Part des groupements dans la production contrôlée d ovins 60 %

4 n prix à la production et coût de production prix moyen pondéré des agneaux ( /kg de carcasse) Source : FranceAgriMer Moyenne annuelle PMP 6,18 6,24 Indice en base 100 = ,3 107,4 Attention! La méthode de calcul du PMP a changé depuis la mise en place du nouveau système de cotations ovines «entrée abattoir» (troisième semaine de 2013). La comparaison de la cotation de l agneau français avec 2012 doit donc être analysée avec prudence. ipampa ovins viande Source : Institut de l Élevage Cotation de l agneau français (PMP) Euros/kg de carcasse 7,0 6,5 6, , ,0 J F M A M J J A S O N D Source : GEB - Institut de l Élevage d après FranceAgriMer Moyenne 2012 Base 100 = 2010 IPAMPA Ovins viande Indice aliments achetés (25 % de l IPAMPA ovins viande) 123,9 Indice «Énergie et lubrifiants» 115,9 (7% de l IPAMPA ovins viande) 112,7 126,1 122,5 Moyenne ,1 130,1 118,8 Juin ,6 n échanges d ovins vivants (hors reproducteurs) importations françaises d ovins vivants Source : Douanes françaises Provenance Agneaux (1 000 têtes) Ovins de réforme (1 000 têtes) Espagne Pays-Bas Royaume-Uni ,8 Roumanie Allemagne Irlande ,3 Hongrie TOTAL exportations françaises d ovins vivants Source : Douanes françaises Destination Agneaux (1 000 têtes) Ovins de réforme (1 000 têtes) Espagne Italie Libye Liban TOTAL

5 n échanges de viande ovine importations de viande ovine en 2013 (1 000 téc*) Source : Douanes françaises Provenance Viande fraîche et Viande congelée réfrigérée avec os sans os avec os sans os * Coefficient carcasse utilisé = 1,3 pour les viandes désossées TOTAL Royaume-Uni % Irlande % Espagne % TOTAL UE % Nouvelle-Zélande % TOTAL Pays Tiers % TOTAL % exportations de viande ovine en 2013 (1 000 téc*) Source : Douanes françaises Destination Viande fraîche et Viande congelée réfrigérée avec os sans os avec os sans os TOTAL Italie 0 0 2,4 0 2,4-3 % Belgique 0 0,2 0,9 0,3 1,5 + 7 % Royaume-Uni 0,2 0,3 0,7 0 1,2-41 % Espagne 0,3 0 0,1 0 0, % TOTAL UE 28 0,9 0,7 4,7 0,4 6,7-8 % TOTAL Pays Tiers 0,2 0,1 0,3 0,0 0,6-10 % TOTAL 1,1 0,8 5,0 0,5 7,3-8 % * Coefficient carcasse utilisé = 1,3 pour les viandes désossées échanges français en valeur en 2013 (viande + vif) Source : Douanes françaises Importations : 532 millions d euros Millions d euros Exportations : 69 millions d euros Millions d euros Royaume- Uni Irlande NZ Espagne Autres 0 Espagne Italie Belgique Royaume- Uni Autres

6 n bilan français en viande ovine bilan français en viande ovine Sources : SSP, Douanes françaises téc Abattages contrôlés - importations en vif + exportations en vif = Production Indigène Contrôlée + importations de viande ovine - exportations de viande ovine = Consommation Indigène Contrôlée Taux d auto-approvisionnement 45% 45% téc 120 Production 100 indigène contrôlée Exports vif Abattages 80 Exports viande 7 Imports vif 5 Consommation indigène contrôlée En 2013, le taux d'autoapprovisionnement français était de 45%, mais seulement 41% de la viande ovine consommée en France était issue des aba ages na onaux. Imports viande 106 Source: GEB - Ins tut de l'élevage d'après SSP et Douanes françaises

7 n consommation de viande ovine provenance de la viande ovine consommée en france en 2013 Source : GEB - Institut de l Élevage d après SSP et Douanes françaises 5% 8% 10% 11% 25% 41% France (abattages) Royaume-Uni Irlande Nouvelle-Zélande Espagne Autres consommation indigène contrôlée de viande en france Source : SSP téc Taux d autoapprovisionnement En kg équivalent carcasse par habitant Viande ovine % 45 % 3,8 2,7 Viande bovine % 93% 26,4 24,0 Viande caprine % 135 % 0,1 0,1 Porc % 106 % 31,8 28,8 Volaille % 110 % 23,4 26,0 Cheval % 49 % 0,4 0,3 achats de viande d agneau par les ménages français en 2013 Source : Panel Kantar Répartition en volume des achats de ménages par circuit de distribution 2013/2012 Volumes achetés - 2,5 % Prix au détail + 0,9 % 3 % 33 % 64 % Hypers + Supers Hard discount Autres (dont boucheries) Achats des ménages par classe d âge Taux de pénétration* Volume acheté Achats des ménages par classe de revenu Taux de pénétration* Volume acheté < 35 ans 32 % 6 % Aisés 61 % 17 % ans 47 % 19 % Moyens supérieurs 56 % 30 % ans 66 % 35 % Moyens inférieurs 55% 41 % > 65 ans 74 % 40 % Modestes 48 % 12 % * Le taux de pénétation est la part de la population étudiée qui a acheté de l agneau en 2013.

8 LE LAIT DE BREBIS EN FRANCE collecte française de lait de brebis* Sources : FranceAgriMer et Interprofessions En millions de litres (%) Rayon de Roquefort 171,1 162,0-5,3 % Pyrénées-Atlantiques 6,6 6,6-0,8 % Corse 55,1 57,2 + 3,8 % Hors bassins 26,5 32,9 + 24,0 % TOTAL 259,3 258,6-0,3% * Campagne laitière : novembre à octobre fabrications de fromages de brebis* Sources : FranceAgriMer et Interprofessions tonnes (%) Roquefort 18,9 18,5-1,8 % Autres fromages Rayon 20,5 18,4-10,2 % Pyrénées Atlantiques + hors bassins 16,6 17,1 + 2,9 % Corse 2,1 2,1-2,5 % TOTAL 58,2 56,1-3,5% * Campagne laitière : de novembre à octobre prix du lait de brebis payé aux producteurs Source : Interprofessions En /litre /2012 Corse 1,220 1,220 = Rayon de Roquefort - classe 1 1,169 1,155-1,2 % Pyrénées Atlantiques 1,019 1, ,1 % Rayon de Roquefort - moyenne 0,903 0, ,8 % ipampa lait de brebis Source : Institut de l Élevage Base 100 = (%) IPAMPA Lait de brebis 112,8 114,7 + 2 % Indice Aliments achetés 104,2 106,0 + 2 % (27% de l IPAMPA lait de brebis) Indice «Energie et lubrifiants» (8% de l IPAMPA lait de brebis) 100,1 100,6 = achats de fromages de brebis par les ménages français en 2013 Source : Panel Kantar 4% 10% 18% 32% 36% Pâtes pressées non cuites Pâtes persillées (Roquefort) Pâtes fraiches Pâtes molles Fromages fondus D après le panel Kantar, 46 % des fromages de brebis achetés par les ménages français en 2013 étaient des fromages AOC.

9 LE SECTEUR OVIN DANS L UE ET DANS LE MONDE En 2013, la France a produit 10 % de l offre de viande ovine de l Union européenne à 28, derrière le Royaume-Uni qui en a assuré 35 % et l Espagne 14 %. cheptel, production et consommation de viande ovine dans l ue en 2013 Sources : Eurostat et estimations GEB Pays Cheptel reproducteur* (1 000 têtes) Part Abattages brebis (1 000 téc) laitières Poids carcasse moyen des agneaux (kg) Conso. annuelle (kg/hab) Royaume-Uni = 0 % % 4,6 Espagne % 22 % % 2,0 Roumanie % 90 % % 3,2 Grèce % 95 % % 5,9 Italie % 84 % % 1,2 France** % 28 % % 2,7 Irlande % 0 % % 3,7 Portugal % 21 % % 2,0 Allemagne % 1 % % 0,8 Bulgarie % 93 % % 1,2 TOTAL UE % 40 % % 1,9 * Cheptel de début d année 2013 = Cheptel de brebis et agnelles saillies recensées en décembre 2012 ** Données ne prenant en compte que les abattages contrôlés cheptel, production et consommation de viande ovine dans le monde en 2013 Sources : FAO et statistiques nationales Pays Cheptel ovin total (millions de têtes) Abattages (1 000 téc) Poids carcasse moyen des agneaux (kg) Conso. (1 000 téc) Conso. Autosuffisance (1 000 téc) Autosuffisance Conso. annuelle (kg/hab) Chine* % 1,6 Australie 76-1% % 12,6 Nouvelle-Zélande 31-1% % 16,3 Turquie % % 3,4 Argentine 15-1% % 1,1 Uruguay 8 = % 2,0 * Données 2012

10 LES ÉCHANGES MONDIAUX DE VIANDE OVINE importations européennes de viande ovine en 2013 (1 000 téc*) Source : Eurostat Provenance Viande fraîche et Viande congelée réfrigérée TOTAL avec os sans os avec os sans os Nouvelle-Zélande 57,8 36,7 40,9 14, % Australie 5,3 5,4 5,1 0, % Amérique du Sud 3,6 3, % TOTAL 67,5 46,0 48,8 15, % * Coefficient carcasse utilisé = 1,3 pour les viandes désossées exportations européennes de viande ovine en 2013 (1 000 téc*) Source : Eurostat Viande fraîche et Viande congelée Destination réfrigérée TOTAL avec os sans os avec os sans os Hong-Kong 14,1 4,5 0,5 0,1 19, % Norvège 0,9 0,2 1,3 0 2, % Suisse 0,2 0,8 0,5 0,9 2, % Algérie 0,2 0 1,1 0 1, % Ghana 0,9 0, , % TOTAL 19,4 6,5 5,3 1,2 32, % * Coefficient carcasse utilisé = 1,3 pour les viandes désossées exportations néozélandaises de viande ovine en 2013 (1 000 téc*) Source : NZ Statistics Viande fraîche et Viande congelée Destination réfrigérée TOTAL avec os sans os avec os sans os Asie 157,0 15,3 0,8 1, % dont Chine 135,3 7,9 0, % UE 28 56,4 38,1 39,8 14, % USA 11,6 1,7 5,3 2, % Arabie Saoudite 14,6 0 0, % Canada 6,4 2,8 1,7 0, % TOTAL 276,4 64,0 55,8 20, % * Coefficient carcasse utilisé = 1,3 pour les viandes désossées exportations australiennes de viande ovine en 2013 (1 000 téc*) Source : Trade Map Destination Viande fraîche et Viande congelée réfrigérée TOTAL avec os sans os avec os sans os Asie 145,5 33,1 11,4 5, % dont Chine 99,2 7,7 5, % Moyen-Orient 40,2 14,6 47,7 1, % USA 18,8 9,8 17,8 6, % UE 28 6,5 6,5 5,2 0, % Océanie 15,5 1,3 0,4 1, % TOTAL 251,2 72,1 86,3 18, % * Coefficient carcasse utilisé = 1,3 pour les viandes désossées

11 Versement de l Aide Ovine en 2013 évolution du nombre de bénéficiaires de l aide ovine et montants unitaires versés Sources : Ministère de l Agriculture, ASP * Aide de base Nombre d exploitations Nombre de brebis ( 1 000) Majoration Nombre d exploitations Nombre de brebis ( 1 000) * Chiffres provisoires en euros/brebis Aide de base 20,58 20,76 21,00 21,00 Majoration 3,00 3,00 3,22 3,83 RÉFORME DE LA PAC : Nouvelles modalités de versement de l Aide Ovine à partir de 2015 Critères d éligibilité à l aide de base : - Détenir au moins 50 brebis - Avec un taux de productivité minimal de 0,4 agneau vendu par brebis et par an Montant de l aide de base : L enveloppe attribuée à l aide de base correspond au solde de l enveloppe nationale attribuée à l aide ovine (125 millions d euros avant transfert du 1 er au 2 ème pilier et baisse budgétaire) après prélèvement des montants pour les majorations. Le montant prévisionnel de l aide de base est ainsi estimé à 18 /brebis (avant stabilisateur). Un complément de 2 /brebis sera en outre accordé aux 500 premières brebis de l exploitation (avec application du principe de transparence des GAEC). Majoration «contractualisation» (dans le cadre de l accord interprofessionnel) : Maintien des modalités existantes, pour un montant unitaire de 3 /brebis. Introduction d une nouvelle majoration «Productivité ou démarche qualité» : Critères d éligibilité : - Être éligible à l aide de base - Avoir un taux de productivité supérieur à 0,8 agneau vendu par brebis et par an OU Être engagé dans une démarche qualité (certification en agriculture biologique, SIQO ou CCP). OU Être un nouveau producteur (versement de la majoration pendant les 3 années suivant l installation). Montant unitaire de la majoration : 6 /brebis PUBLICATION de L INSTITUT de L ÉLEvAGE ET de LA CNE Réalisation : Isabelle Guigue Références : ISSN : Consultable sur : Crédit photo : Michel Meuret (INRA) GEB - Institut de l Élevage. 149 rue de Bercy, Paris cedex 12

12 Chiffres clés 2014 PRODUCTIONS OVINES LAIT ET VIANDE GEB

Comité Coproduits. Situation des marchés (V e quartier) 30 juin 2015. Montreuil

Comité Coproduits. Situation des marchés (V e quartier) 30 juin 2015. Montreuil Comité Coproduits Situation des marchés (V e quartier) juin 21 Montreuil LE MARCHE DES PRODUITS TRIPIERS Production de produits tripiers tonnes Evolution sur mois 21/21 Abats de bovins : + 2,2 % Abats

Plus en détail

à la Consommation dans le monde à fin 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012 Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du

Plus en détail

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4 Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux

Plus en détail

Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28

Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

Principaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)

Principaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale) 55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États

Plus en détail

BASE DE DONNEES - MONDE

BASE DE DONNEES - MONDE BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar

Plus en détail

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005. Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs

Plus en détail

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.

Plus en détail

Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry *

Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * 1) Base de données 2) Sources et définitions * Alix de Saint Vaulry est économiste au CEPII, responsable de la production de la base de données

Plus en détail

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve

Plus en détail

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement

Plus en détail

Formulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015

Formulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015 MINISTÈRE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT Direction départementale des territoires Direction départementale des territoires et de la mer Direction de l alimentation, de l agriculture

Plus en détail

POURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR

POURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR POURQUOI VISIOLYS? EXPERTISE STRATÉGIE ÉCONOMIE Visiolys est né de la volonté commune des deux entreprises de conseil en élevage Clasel et Eilyps de se projeter dans un monde en pleine mutation, de permettre

Plus en détail

La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations

La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42

Plus en détail

Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires

Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires > ÉDITION avril 2015 RAPPORT AU PARLEMENT FranceAgriMer 12 rue Henri Rol-Tanguy / TSA 20002 / 93555 Montreuil cedex www.franceagrimer.fr https://observatoire-prixmarges.franceagrimer.fr MINISTÈRE DE L

Plus en détail

Le prélèvement SEPA Quels impacts pour votre entreprise?

Le prélèvement SEPA Quels impacts pour votre entreprise? Vous êtes chef d entreprise, profession libérale, professionnel, expert comptable, Directeur Administratif et Financier. L harmonisation de Moyens de Paiement vous concerne Le prélèvement SEPA Quels impacts

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales»

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les chaînes d activité mondiales (CAM) Les chaînes d activité recouvrent la gamme complète des fonctions et des tâches

Plus en détail

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans

Plus en détail

OBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE

OBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.

Plus en détail

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation

Plus en détail

Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai. Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge?

Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai. Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge? Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge? Le Tour du Monde en 8 heures Poitiers, le 21 juin 2011 Agenda

Plus en détail

Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008

Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008 AFRITAC de l Ouest (AFW) Abidjan Côte d Ivoire SÉMINAIRE Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008 Institut national de la

Plus en détail

L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE

L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE Source: Eurostat, 2014, sauf indication contraire Les données se rapportent aux ressortissants de pays tiers, dont le lieu de résidence habituel se trouvait dans un pays hors

Plus en détail

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue

Plus en détail

Aux services secrets de sa majesté : l accompagnement personnalisé dans l implantation à l international 18 mars 2014

Aux services secrets de sa majesté : l accompagnement personnalisé dans l implantation à l international 18 mars 2014 Aux services secrets de sa majesté : l accompagnement personnalisé dans l implantation à l international 18 mars 2014 Groupe Crédit Agricole Une Banque Universelle de Proximité à votre service Métiers

Plus en détail

SOUSCRIPTION DU CONTRAT : TERRITORIALITE

SOUSCRIPTION DU CONTRAT : TERRITORIALITE SOUSCRIPTION DU CONTRAT : TERRITORIALITE AVERTISSEMENT : La souscription réalisée par une personne domiciliée hors de France ou par un ressortissant d un Etat autre que la France sur le territoire national

Plus en détail

Compétitivité internationale des industries françaises des filières animales

Compétitivité internationale des industries françaises des filières animales Compétitivité internationale des industries françaises des filières animales Carl Gaigné Directeur de Recherche INRA RMT Economie des filières animales Compétitivité des filières animales françaises 10/12/13

Plus en détail

PROGRAMME ERASMUS+ Toute mobilité Erasmus+, financée ou non par la bourse, doit faire l objet de justification sur la base des documents suivants

PROGRAMME ERASMUS+ Toute mobilité Erasmus+, financée ou non par la bourse, doit faire l objet de justification sur la base des documents suivants PROGRAMME ERASMUS+ Le programme Erasmus+ concerne les mobilités réalisées dans le cadre d un des accords Erasmus de Sciences Po Grenoble dans les pays suivants : 27 Etats membres de l Union Européenne

Plus en détail

Quel est le temps de travail des enseignants?

Quel est le temps de travail des enseignants? Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans

Plus en détail

Tarif des envois de Mails Prix HT, TVA 20 %

Tarif des envois de Mails Prix HT, TVA 20 % Tarif des envois de Mails Prix HT, TVA 20 % AVEC sélection par code ape et/ou code postal 10 000 mails Offre d'essai 19,90 100 000 mails Prix unitaire 120,00 1 par entreprise maxi 10 000 mails Prix unitaire

Plus en détail

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales

Plus en détail

FISCALITÉ COMPARÉE : LA TRANSMISSION D ENTREPRISE. Master 223 Droit du patrimoine professionnel Université Paris Dauphine

FISCALITÉ COMPARÉE : LA TRANSMISSION D ENTREPRISE. Master 223 Droit du patrimoine professionnel Université Paris Dauphine FISCALITÉ COMPARÉE : LA TRANSMISSION D ENTREPRISE Master 223 Droit du patrimoine professionnel Université Paris Dauphine Clément DORNIER Caroline FERTÉ Audrey LEGRAND Marie-Anne MILAN 1 UN ÉVENTAIL DE

Plus en détail

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins

Plus en détail

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de

Plus en détail

LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS

LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS > Les synthèses de FranceAgriMer février 2013 numéro LAIT / 1 LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS 12 12 rue rue Henri Henri Rol-Tanguy / TSA / TSA 20002 20002

Plus en détail

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du

Plus en détail

BOURSES SCOLAIRES. au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER

BOURSES SCOLAIRES. au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER BOURSES SCOLAIRES au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER ÉTABLISSEMENT PUBLIC NATIONAL À CARACTÈRE ADMINISTRATIF SOUS

Plus en détail

Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD

Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Plan 1. Offre et demande potentielle dans la zone ECOWAS 2. Offre potentielle au Mali 3. Marché au nord du Mali (Gao Algérie) 4. Estimation

Plus en détail

Région Haute-Normandie. Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie

Région Haute-Normandie. Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie Région Haute-Normandie Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie Novembre 2013 ! "# $"% &%'' $ (')#!*+,*'-#&+,./ 0 $1&/2+,(.'1&/2+,(.'' 3,/,// 4 (553 5#+' 2 '+ 0 6 #

Plus en détail

TARIFS DE COURTAGE. OFFRE ZONEBOURSE.COM / INTERACTIVE BROKERS Au 7 juillet 2015

TARIFS DE COURTAGE. OFFRE ZONEBOURSE.COM / INTERACTIVE BROKERS Au 7 juillet 2015 TARIFS DE COURTAGE OFFRE ZONEBOURSE.COM / INTERACTIVE BROKERS Au 7 juillet 2015 La présente brochure a pour objet de vous présenter les principales conditions tarifaires appliquées aux services financiers

Plus en détail

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur

Plus en détail

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Octobre 2012 RESULTATS DE L ANALYSE DES COUPLES PAYS/SECTEURS PORTEURS EN FAVEUR DU COMMERCE EXTERIEUR DE LA FRANCE SOMMAIRE Résumé 2

Plus en détail

Objet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu

Objet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu Final Objet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu La réunion du Groupe consultatif de la viande bovine a eu lieu le mercredi 8 septembre 2010 à Bruxelles sous

Plus en détail

Réforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014

Réforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014 Réforme de la PAC 2015 Réunion d information Septembre 2014 DE NOMBREUX DEFIS POUR LA PAC : LES PROPOS DE D. CIOLOS Juillet 2010 Le contexte : -> fin de la programmation 2007-2013 -> contexte de crise

Plus en détail

Kit Demande de Bourse Etude Erasmus 2014-2016

Kit Demande de Bourse Etude Erasmus 2014-2016 CESI-ERA- 1415 - Informations Programme Erasmus ERASMUS 2014-2016 Période d Etude Note d information aux élèves Les élèves de l ei.cesi et d exia.cesi peuvent bénéficier d une bourse Erasmus : - pour une

Plus en détail

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des

Plus en détail

Les réformes de la PAC

Les réformes de la PAC www.supagro.fr Les réformes de la PAC Sophie Thoyer thoyer@supagro.inra.fr Centre international d études supérieures en sciences agronomiques La PAC d aujourd hui (2006 2014) En 2014, comment sont attribuées

Plus en détail

Régimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan

Régimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan Régimes publics de retraite État de la situation Perspectives des différents régimes publics de retraite 79 e congrès de l ACFAS 10 mai 2011 Plan Portrait des régimes publics de retraite La pression démographique

Plus en détail

Statistique Agricole. Mémento. L essentiel sur : le territoire. le contexte européen. le contexte européen. les structures. les productions animales

Statistique Agricole. Mémento. L essentiel sur : le territoire. le contexte européen. le contexte européen. les structures. les productions animales Mémento Décembre 2014 Statistique Agricole L essentiel sur : le contexte européen le contexte européen le territoire FRANCE - Édition 2014 les productions animales les structures les données économiques

Plus en détail

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS. Texte n DGI 2011/25 NOTE COMMUNE N 16/2011

BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS. Texte n DGI 2011/25 NOTE COMMUNE N 16/2011 BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS DIFFUSION GENERALE N 2011/26/06 0.1.0.0.1.2. Documents Administratifs (IMPOTS) Texte n DGI 2011/25 NOTE COMMUNE N 16/2011 O B J E T : Commentaire des dispositions

Plus en détail

Les comptes nationaux et le SEC 2010

Les comptes nationaux et le SEC 2010 Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction

Plus en détail

Atlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris

Atlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris Atlas économique de Paris 213 du greffe du tribunal de commerce de Paris Sommaire INTRODUCTION... 3 PARTIE 1 PARIS DANS SA GLOBALITÉ... 4 GÉOGRAPHIE DES ENTREPRISES PARISIENNES... 5 DENSITÉ DES ENTREPRISES

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES DE VENTE

CONDITIONS GENERALES DE VENTE 1/ Cartes Kertel Rechargeables CONDITIONS GENERALES DE VENTE 1-1/ CARTES FRANCE MONDE RECHARGEABLES: Les cartes "classiques" KERTEL (ci-après "les Cartes") sont des cartes de télécommunication, permettant

Plus en détail

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe

Plus en détail

Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011

Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011 COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 366 Novembre 2012 Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2011, le prix du gaz a augmenté dans tous

Plus en détail

Compétitivité française : Quelques constats

Compétitivité française : Quelques constats Compétitivité française : Quelques constats Gilbert Cette Banque de France et Université d Aix-Marseille Gilbert Cette 1 Sommaire 1.1 Dégradation alarmante 1.2 Dégradation stoppée 1.3 En particulier vis-à-vis

Plus en détail

De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités

De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités Organisateurs : Partenaires : Des outils d accompagnement Des outils de financement Zoom

Plus en détail

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut

Plus en détail

Dream Yacht Charter, Vente et Gestion de bateaux Offre le choix à ses propriétaires

Dream Yacht Charter, Vente et Gestion de bateaux Offre le choix à ses propriétaires Dream Yacht Charter, Vente et Gestion de bateaux Offre le choix à ses propriétaires Les programmes de gestion Dream Yacht Charter Propriété active /Dream Yacht Performance Dream Yacht Garanti Dream Yacht

Plus en détail

Les banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse

Les banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse Communiqué presse Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 19 juin 2014 Les banques suisses 2013 Résultats s enquêtes la Banque nationale suisse

Plus en détail

Taux de risque de pauvreté ou d exclusion sociale le plus élevé en Bulgarie, le plus faible en République tchèque

Taux de risque de pauvreté ou d exclusion sociale le plus élevé en Bulgarie, le plus faible en République tchèque 168/2014-4 Novembre 2014 Risque de pauvreté ou d'exclusion sociale dans l'ue28 Plus de 120 millions de personnes menacées de pauvreté ou d exclusion sociale en 2013 Soit près d une personne sur quatre

Plus en détail

THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES

THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES I. SECTEURS D ACTIVITES - Aéronautique - Agriculture - Assurances - Banques (épargne, office des chèques postaux) - Bâtiment et génie civil - Communications - Postes - Télécommunications

Plus en détail

FORMALITES DOUANIERES

FORMALITES DOUANIERES FORMALITES DOUANIERES En France métropolitaine, pour les envois intra-métropole et vers les pays de l Union Européenne, toute vente de marchandise est soumise à la TVA. En revanche, les marchandises exportées

Plus en détail

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition

Plus en détail

RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR?

RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR? RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR? Une question européenne mais traitée dans chaque Etat membre L avenir des systèmes de retraite et ses conséquences sur la zone euro, internationalise

Plus en détail

DES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET

DES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des

Plus en détail

LES CONTRATS EN AVICULTURE. Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1

LES CONTRATS EN AVICULTURE. Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1 LES CONTRATS EN AVICULTURE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1 CONTEXTE, OBJECTIFS ET MÉTHODE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 2 CONTEXTE Déficit de compétitivité français

Plus en détail

Les Journées Régionales de la Création & Reprise d Entreprise 8 ème ÉDITION

Les Journées Régionales de la Création & Reprise d Entreprise 8 ème ÉDITION Les Journées Régionales de la Création & Reprise d Entreprise 8 ème ÉDITION S.M.A.R.T. Production 2004-2005 - Tous droits de reproduction réservés. Par les mêmes organisateurs : 40 ateliers gratuits sur

Plus en détail

Mobilité de l enseignement supérieur

Mobilité de l enseignement supérieur Mobilité de l enseignement supérieur Guide financier 2014 1 SOMMAIRE Introduction... 3 Le calcul de la subvention par l agence... 4 Utilisation de la subvention par l établissement... 7 Exemple d allocation

Plus en détail

Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens

Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale

Plus en détail

DIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à :

DIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à : Le Manitoba en bref Le Manitoba : Province du Canada depuis 1870. Manitoba signifie «lieu où vit l Esprit» dans les langues des peuples autochtones de la province. Chef politique : Premier ministre (Greg

Plus en détail

Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur

Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Panorama élaboré à partir d une étude Ernst & Young pour la MDER mai 2004 Sommaire Organisation de la filière en PACA p. 3 Chiffres clés p. 4 Productions

Plus en détail

au 1er novembre 2013

au 1er novembre 2013 au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale

Plus en détail

PJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni

PJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen

Plus en détail

Des territoires laitiers contrastés

Des territoires laitiers contrastés Agreste Primeur 308 Numéro 308 - décembre 203 Les exploitations laitières bovines en France métropolitaine Télécharger les données au format tableur Des territoires laitiers contrastés 77 000 exploitations

Plus en détail

Institut des comptes nationaux. Statistique du commerce extérieur. Bulletin mensuel 2015-01

Institut des comptes nationaux. Statistique du commerce extérieur. Bulletin mensuel 2015-01 Institut des comptes nationaux Statistique du commerce extérieur Bulletin mensuel 2015-01 Contenu de la publication Les règlements européens cités dans la notice méthodologique en fin de publication prescrivent

Plus en détail

Vos lignes téléphoniques fixes Analogiques, numériques (T0/T2) ou IP (Trunk SIP)

Vos lignes téléphoniques fixes Analogiques, numériques (T0/T2) ou IP (Trunk SIP) OFFRE ANNIVERSAIRE Profitez des promotions exceptionnelles Vos lignes téléphoniques fixes Analogiques, numériques (T0/T2) ou IP (Trunk SIP) Avec appels illimités vers les fixes et les mobiles en France

Plus en détail

DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes

DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes 14 ème journée d étude des productions porcines et avicoles,

Plus en détail

REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L ECONOMIE ET COMMERCE

REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L ECONOMIE ET COMMERCE MENAA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L ECONOMIE ET COMMERCE AUDIT DES PRIX ET DU COMMERCE TRIANGULAIRE RAPPORT PHASE 2 13 juin 2013 Sommaire 2 AVERTISSEMENT... 4 RESUME DES PRINCIPALES CONCLUSIONS

Plus en détail

Les Français ais et à la consommation

Les Français ais et à la consommation Les Français ais et le crédit à la consommation Introduction Crédit Agricole Consumer Finance, acteur majeur du crédit à la consommation en Europe, publie un sondage réalisé par Opinionway sur les Français

Plus en détail

Bienvenue dans votre FIBENligne

Bienvenue dans votre FIBENligne Bienvenue dans votre FIBENligne Retrouvez dans votre FIBENligne toutes les nouveautés FIBEN et l ensemble des services que la Banque de France met à votre disposition pour vous aider dans votre maîtrise

Plus en détail

GUIDE TARIFAIRE Pour les particuliers carte SIM prépayée AfoneMobile (cartes et recharges par internet et/ou par téléphone)

GUIDE TARIFAIRE Pour les particuliers carte SIM prépayée AfoneMobile (cartes et recharges par internet et/ou par téléphone) Tarifs applicables au 31/10/2011 pour toute nouvelle souscription GUIDE TARIFAIRE Pour les particuliers carte SIM prépayée AfoneMobile (cartes et recharges par internet et/ou par téléphone) AfoneMobile

Plus en détail

Monographie de l industrie caprine au Québec

Monographie de l industrie caprine au Québec Monographie de l industrie caprine au Québec Monographie de l industrie caprine au Québec MONOGRAPHIE DE L INDUSTRIE CAPRINE AU QUÉBEC Nous remercions les personnes qui ont rendu possible la réalisation

Plus en détail

LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI»

LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI» LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI» La SOPARFI n'est pas régie par une loi spécifique, mais se définit comme une société de capitaux luxembourgeoise soumise à une fiscalité tant directe

Plus en détail

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et

Plus en détail

- Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui

- Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui Plan du cours : - Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui - I. Les théories du commerce international - les avantages comparatifs (Ricardo) - les dotations de facteurs (HOS)

Plus en détail

Veufs MARS 2015. Veuvage, vos droits. B Retraite de réversion. B Allocation de veuvage. B Autres prestations

Veufs MARS 2015. Veuvage, vos droits. B Retraite de réversion. B Allocation de veuvage. B Autres prestations Veufs MARS 2015 Veuvage, vos droits B Retraite de réversion B Allocation de veuvage B Autres prestations Veuvage, vos droits À la perte de votre conjoint, de nombreuses démarches sont à accomplir. L Assurance

Plus en détail

CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.

CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail. CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.com Espèces locales et territoire, un destin commun? Pâturage

Plus en détail

OBSERVATION ET STATISTIQUES

OBSERVATION ET STATISTIQUES COMMISSARI GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 461 Novembre 2013 Prix du gaz et de l électricité en France et dans l Union européenne en 2012 OBRVION ET STISTIQU ÉNERG En 2012, le prix du gaz a augmenté

Plus en détail

La fiscalité française source d attractivité pour les non-résidents propriétaires d une résidence secondaire?

La fiscalité française source d attractivité pour les non-résidents propriétaires d une résidence secondaire? Page 1 sur 5 Communiqué de presse Le 28 août 2014 6ème ÉDITION DE L OBSERVATOIRE BNP PARIBAS INTERNATIONAL BUYERS «Investing & Living abroad» 2014 La fiscalité française source d attractivité pour les

Plus en détail

Le ver est dans le fruit Délais et retards de paiement, impayés et défaillances d entreprises : nos prévisions pour 2015

Le ver est dans le fruit Délais et retards de paiement, impayés et défaillances d entreprises : nos prévisions pour 2015 Les défaillances d entreprises dans le monde Le Bulletin Économique N 1211-1212 CE DOCUMENT est un extrait de notre Bulletin économique N 1211-1212 (octobre novembre 2014). Pour recevoir ce numéro et vous

Plus en détail

Tomate. TOMATE ronde Belgique extra 57-67mm colis 6kg 1.62. TOMATE ronde Belgique extra 67-82mm colis 6kg 1.60

Tomate. TOMATE ronde Belgique extra 57-67mm colis 6kg 1.62. TOMATE ronde Belgique extra 67-82mm colis 6kg 1.60 Tomate moyen mini maxi Euro Euro Euro Cavaillon 17/01/13 (Production) unité : le kg* qté:tonne* TOMATE ronde Sud-Est grappe 2.50 2.20 Perpignan 17/01/13 (Production) unité : le kg* TOMATE cocktail Roussillon

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail