FORMATION PRATIQUE. Stimulation collagénique par lumière pulsée. Véronique Beghein

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1 ES TH ÉTIQUE FORMATION PRATIQUE Stimulation collagénique par lumière pulsée Véronique Beghein Tél./Fax : +32(0) GSM : +32 (0)

2 1 Table des matières Introduction... 2 Anatomie de la peau... 2 Fonctions de la peau... 3 Le tissu conjonctif du derme... 4 Les facteurs d altération de la peau... 7 Intérêts de la lumière pulsée... 7 Le W>O75 en pratique... 12

3 2 Introduction L utilisation de la lumière, que ce soit par Lampe Flash (Lumière Pulsée Intense) ou par Laser, représente aujourd hui une des technologies qui permettent une réparation des peaux abîmées par les effets du temps (âge) ou par différents facteurs environnementaux : il s agit de la photoréjuvénation cutanée. D une façon générale, la réjuvénation cutanée nécessite parfois d avoir recours à plusieurs méthodes différentes pour aboutir à un meilleur résultat, la lumière n est qu un outil faisant partie de l arsenal disponible (injections de comblement, toxine botulique, radiofréquence, peelings, ). Après un rappel anatomique et fonctionnel de la peau, puis des technologies Laser et Lampe Flash, nous verrons comment la lumière parvient à stimuler la peau pour lui redonner un aspect rajeuni. Anatomie de la peau La peau est un organe constitué de trois couches de tissus différents : l épiderme le derme l hypoderme 1. L épiderme Il s agit de la partie la plus superficielle de la peau. Il comprend lui-même plusieurs couches de cellules, dont les principales sont : les kératinocytes : ils synthétisent une protéine, la kératine, imperméable, qui participe à la protection de l organisme vis-à-vis du monde extérieur les mélanocytes, cellules produisant la mélanine, pigment qui donne la couleur de la peau les macrophages : ils participent aux défenses immunitaires. L épiderme contient aussi de nombreuses terminaisons nerveuses mais pas de vaisseaux sanguins. Enfin, l épiderme est recouvert d un film hydrolipidique à base de sébum, ayant également un rôle protecteur. 2. Le derme

4 3 Le derme se situe entre l épiderme et l hypoderme. Il se différencie en deux zones : l une superficielle, ou derme papillaire, composé de fibroblastes, de fibres de collagène non organisées et de fibres d élastine fines l autre, profonde, ou derme réticulaire, composé de fibroblastes, de fibres de collagène organisées en faisceaux et de fibres d élastine plus grosses. Son épaisseur varie de 0,3 à 3 mm selon la zone de peau concernée. Le derme renferme également des cellules du système immunitaire, des vaisseaux sanguins, des ramifications nerveuses (servant à percevoir le toucher, la chaleur, la douleur, la pression), le follicule pileux ainsi que les glandes sébacées (sécrétion du sébum) et sudoripares (sécrétion de la sueur). 3. L hypoderme Il constitue la partie la plus profonde de la peau. Il se compose essentiellement de cellules graisseuses, ou adipocytes. On y trouve également de nombreux vaisseaux sanguins et ramifications nerveuses. Fonctions de la peau On reconnaît à la peau quatre fonctions principales. 1) Maintien de la température corporelle De nombreux récepteurs sensibles à la température extérieure se situent au sein de la peau et permettent de déclencher, lorsque celle-ci varie dans un sens ou dans l autre, des mécanismes de maintien de la température corporelle interne à 37 C. 2) Protection de l organisme La peau participe à la défense de l organisme, d une part en tant qu enveloppe externe imperméable, d autre part grâce à la présence de nombreuses cellules du système immunitaire. 3) Réservoir sanguin La présence de nombreux vaisseaux sanguins au niveau de la peau constitue un véritable réservoir de sang disponible notamment en cas de besoin d afflux de sang vers des organes plus nobles (cœur, cerveau) dans certaines circonstances de défaillance vitale (malaise vagal par exemple). 4) Synthèse de la vitamine D

5 4 La peau participe au métabolisme de la vitamine D sous l influence des rayons ultraviolets du soleil. Le tissu conjonctif du derme A. Généralités Le tissu conjonctif est présent dans la quasi-totalité des organes. Il représente ainsi les 2/3 de la masse corporelle. Il se compose de cellules et d un espace intercellulaire appelé matrice extracellulaire. B. Les cellules Les cellules du tissu conjonctif du derme sont principalement représentées par des fibroblastes et par des cellules immunes, c est-à-dire faisant partie du système de défense immunitaire. Les FIBROBLASTES Ce sont les cellules de base de tous les tissus conjonctifs. Il s agit de cellules étirées, fusiformes. Les fibroblastes sont chargés de synthétiser les molécules précurseurs du collagène et de l élastine, ainsi que les molécules qui constituent la matrice extracellulaire. En fin de vie, ils se transforment en fibrocytes. Les CELLULES IMMUNES

6 5 Elles participent à l élimination des déchets et à la défense de l organisme vis-à-vis de tout corps étranger. Il s agit principalement des macrophages, des plasmocytes, des mastocytes. Macrophage C. La Elle comprend : des fibres de l eau des molécules solubles. L eau et les molécules solubles constituent le liquide interstitiel. Les FIBRES Fibres de collagène On rencontre dans le tissu conjonctif du derme deux types principaux de fibres qui lui confèrent des propriétés physiques particulières. Les fibres de collagène sont inextensibles et permettent au derme d avoir une résistance à l étirement. Les fibres d élastine sont élastiques et donnent ainsi de la souplesse à la peau.

7 6 Fibres d élastine Les MOLECULES SOLUBLES On distingue trois types de molécules solubles dans la matrice extracellulaire du tissu conjonctif du derme. Les polysaccharides, molécules complexes formées à base de sucres et d acides aminés, dont les principaux sont les glycoaminoglycanes (GAG), tel l acide hyaluronique. Les protéines d adhérence comme la fibronectine permettent l adhésion des cellules et leur migration. Les protéines de structure sont représentées essentiellement par : LE COLLAGENE : c est la protéine la plus abondante de l organisme il en existe plus de 20 types différents, le type 1 étant le plus fréquent, notamment au niveau du tissu conjonctif du derme il s organise en microfibrilles puis en fibres puis en faisceaux. l ELASTINE : composant principal des fibres élastiques elle s organise en fines fibres allongées. D. Fonctions du tissu conjonctif du derme On reconnaît classiquement 5 rôles fondamentaux au tissu conjonctif du derme Soutien et cohésion : assurés par la présence des fibres de collagène Mouvement : grâce aux fibres d élastine Défense : du fait des cellules immunes

8 7 Nutrition et échanges : fonctions dévolues à la richesse du liquide interstitiel Croissance et réparation : grâce aux fibroblastes. Les facteurs d altération de la peau Plusieurs facteurs peuvent endommager les qualités de la peau. peau) La génétique (certaines mutations géniques sont responsables d un vieillissement prématuré de la L âge : l activité des fibroblastes diminue à partir de 30 ans pour disparaître vers 40 ans Les rayons UV (naturels ou artificiels) La pollution atmosphérique Certains toxiques : tabac, alcool, drogues, Certains troubles hormonaux L hygiène de vie : état d hydratation, fatigue, stress, Ces différents agents agresseurs sont responsables de la perte des fonctions naturelles du tissu conjonctif du derme, ce qui contribue à l apparition des ridules, des rides, et du relâchement cutané. Intérêts de la lumière pulsée a) Rappel technologique Le secteur professionnel dispose actuellement de deux technologies utilisant la lumière : les lasers et les lampes flashs, encore appelées "lumière pulsée intense" (IPL). La LUMIERE Lasers et lampes flashs travaillent globalement sur un même mode : l émission de lumière et l absorption de cette lumière par une cible. La lumière est constituée d un ensemble de particules élémentaires, les photons, qui se déplacent suivant une onde électromagnétique. La lumière se compose d une ou plusieurs longueurs d onde. Une longueur d ondes donnée, exprimée en nanomètres (nm), est absorbée par une seule couleur de cible. Ainsi, la notion de lumière introduit à la notion de couleur.

9 8 Le spectre de lumière visible par l œil humain s étend de 380 nm à 780 nm. En dessous de 380 nm, on trouve les rayons ultraviolets, au-dessus de 780 nm, ce sont les rayons infrarouges. LES LASERS Un laser émet une lumière appelée «monochromatique», c est -à-dire une seule et unique longueur d ondes. La valeur de cette longueur d onde varie en fonction du type de laser (Diode, YAG, Alexandrite, A- Colorant ) En pratique, certains Lasers sont utilisés actuellement pour traiter les rides et le relâchementcutané. LES LAMPES F LASH Une lampe flash émet une lumière «polychromatique», c est -à-dire une multitude de longueurs d ondes, encore appelée «plage de longueurs d ondes». Cette plage de longueurs d ondes est plus ou moins étendue/limitée en fonction du ou des filtres placés entre la source de lumière (lampe) et la peau.

10 9 Toutes les Lampes Flashs disponibles sur le marché ne sont pas de qualité équivalente car ce sont quatre paramètres qui permettent de dédier une efficacité clinique à une machine dans un contexte de sécurité maximale. Ces 4 paramètres sont : la "fluence" ou quantité d'énergie délivrée durant la totalité du flash Ce paramètre est souvent mis en avant par les distributeurs de Lampes Flashs pour vanter l efficacité d une machine; toutefois, celui-ci ne garantit en rien sa qualité si les trois autres paramètres ne sont pas performants le "pulse time" ou durée totale du flash Le pulse time est à bien différencier du temps effectif d'allumage du tube En effet, un flash global peut se composer : Soit d'un flash unique Soit de plusieurs sous flashs

11 En pratique, à fluence équivalente, plus le pulse time est court, plus le risque d effets secondaires (brûlures) est important ; de même, lorsque le temps d allumage effectif du tube est bref à pulse time égal. 10 la qualité et la valeur de la filtration de la lumière émise La filtration se définit comme «la gamme de longueurs d'ondes autorisées en extrémité terminale du système optique». Chaque structure cutanée absorbant une ou plusieurs longueurs d'ondes, le choix de la filtration détermine la cible cutanée destinée à absorber l'énergie lumineuse émise pour la convertir en énergie thermique. Plus la filtration est efficace et adaptée, moindres seront les effets secondaires d'absorption non spécifiques, et donc les brûlures. Globalement, à filtration identique, plus le pulse time est long (conjointement à un temps effectif d'allumage le plus proche de la valeur du pulse time), plus la mélanine cutanée est épargnée, d'où une réduction des risques de brûlure immédiate au moment du flash. la "forme" du flash ou variation de l'énergie lumineuse émise pendant la durée du flash. Actuellement on distingue sur le marché 2 formes principales de flash : La forme classique Obtenue avec un banc de condensateurs surdimensionnés, les condensateurs ne se déchargent dans le tube qu'à hauteur de 30 ou 40 % maximum de leur capacité. La forme dite «bas de gamme» Obtenue avec un banc de condensateurs réduit au maximum, ceux-ci se déchargent intégralement dans le tube au moment du flash ce qui peut entraîner une très forte variation de l intensité lumineuse au cours d un flash.

12 11 En pratique, on retiendra que pour une fluence et un pulse time donnés, plus la courbe présente un plateau constant, meilleure sera l homogénéité de l intensité lumineuse au cours du flash, donc meilleure sera la tolérance cutanée. b) Notion de phototype Le phototype est déterminé par la qualité de la réponse de la peau d'un sujet donné à l'action des rayons du soleil. On décrit chez l Homme 6 phototypes en fonction de la couleur de la peau, de la couleur des cheveux, de la présence ou non de taches de rousseur, de la capacité de l'individu à être victime de coups de soleil ou au contraire de sa capacité à bronzer : Phototype I : peau laiteuse (rousse), brûle toujours, ne bronze jamais, très nombreuses taches de rousseur Phototype II : peau claire, brûle toujours, acquiert parfois un léger hâle, nombreuses taches de rousseur Phototype III : peau claire à mate, brûle parfois, bronze toujours (bronzage moyen), quelques taches de rousseur possibles Phototype IV : peau mate, ne brûle jamais, bronze toujours (bronzage foncé), pas de taches de rousseur Phototype V : peau brune, ne brûle jamais, bronze toujours (bronzage très foncé), pas de taches de rousseur Phototype VI : peau noire, ne brûle jamais, pas de taches de rousseur. c) Notion de pigmentation Il est important de bien différencier la notion de phototype et celle de pigmentation de la peau. Chaque phototype correspond entre autres à un type de pigmentation naturelle de la peau. Contrairement au phototype, la pigmentation peut être modifiée sous l influence de nombreux facteurs, dont : Les UV naturels ou artificiels Les nouvelles lampes flash permettent une utilisation sur peau bronzée. Toutefois, il convient d écarter un éventuel coup de soleil au cours du mois qui précède une séance. Les pigmentants Par voie externe = les autobronzants

13 12 S il y a une différence majeure entre la pigmentation obtenue par les UV et la pigmentation obtenue par autobronzants, c est que dans ce dernier cas, ce sont uniquement les couches superficielles de l épiderme qui changent de couleur. L inconvénient majeur est que l on crée ainsi une sorte de masque opaque (pigmenté)à la surface de la peau, qui va bloquer toute pénétration de lumière avec pour conséquence une importante diminution de l efficacité des flashs émis et un très fort échauffement de ce masque susceptible d entrainer des brûlures superficielles de l épiderme. En résumé, il convient de ne pas utiliser de technologie de lumière dans le cadre d une peau traitée avec des autobronzants. Par voie interne : les compléments alimentaires Face à la multiplicité des compléments alimentaires destinés à modifier l aspect et la couleur de la peau, il est déconseillé de flasher lors de leur prise. Au moment d une séance, il est donc important et primordial d apprécier la pigmentation réelle de la peau sur la zone à traiter et de considérer les marques éventuelles ayant amené une intensification de la pigmentation naturelle initiale. d) La stimulation collagénique par lampe flash Nous rappelons que pour être efficace, la lumière a besoin d une cible. Dans le cadre de la prise en charge des rides et du relâchement cutané, la cible est représentée par l eau contenue dans le derme. Le flash de lumière va générer un échauffement de l eau du derme ayant deux conséquences : une contraction des fibresde collagène, responsable d un effet tenseur une stimulation des fibroblastes, responsable d une augmentation de la synthèse de collagène, d élastine et de GAG, permettant d obtenir une effet volumateur. Le W>O75 en pratique I. Indications La machine W>O75 est réservée aux personnes de phototype I à IV. Elle permet le traitement : du relâchement cutané des rides et ridules (en dehors des rides d expression)

14 13 des pores dilatés, grain de peau épais et teint terne Elle peut être utilisée au niveau du visage, du cou, du décolleté et des mains. II. Contre -indications Les sujets de phototype V et VI. Les rides d expression : celles-ci sont mieux prises en charge par les injections de comblement ou la toxine botulique. Les contre-indications habituelles de la lumière pulsée : la grossesse un antécédent d allergie solaire un coup de soleil de moins d un mois une séance d UV haute pression de moins de 10 jours une affection dermatologique une infection au niveau de la zone à flasher la présence d un tatouage au niveau de la zone à flasher les médicaments photosensibilisants le diabète la prise de compléments alimentaires favorisant le bronzage l utilisation d autobronzant l épilepsie des troubles tensionnels mal contrôlés pacemaker, défibrillateur III. Règles d utilisation Pour la prise en charge du visage, il convient de demander à la cliente de mettre ses coques oculaires spécifiques AVANT L APPLICATION DU GEL, et de s assurer que celles-ci sont bien positionnées. La peau doit être débarrassée de tout résidu cosmétique. Une crème hydratante peut être appliquée sur la peau après la séance. Il faut exiger de la cliente qu elle ne pratique aucun autre soin esthétique sur la zone traitée par lumière pulsée pendant la période initiale des 8 semaines. IV. Protocole de soin Il convient de prévoir une séance toutes les semaines pendant 8 semaines puis un séance d entretien tous les deux mois.

15 14 L utilisation de produits cosmétiques (crème hydratante, antirides,...) est à conseiller, tout comme la protection solaire en cas d exposition. Il s agit d une technique indolore, utilisable en toute saison. Il n y a aucune éviction sociale.

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