Activité physique et cancer

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1 Activité physique et cancer Pr Maurice Schneider (Nice) Ligue contre le cancer Activité physique et cancer 1/3 des cancers : COLON SEIN ENDOMETRE ŒSOPHAGE REIN PEUVENT ÊTRE ATTRIBUÉS AU SURPOIDS OU À L OBESITÉ OU À UNE ACTIVITÉ PHYSIQUE INSUFFISANTE IARC 2002(Agence Internationale de Recherche sur le Cancer)

2 Activité physique L activité physique se définit comme «tout mouvement corporel produit par la contraction des muscles squelettiques, et dont le résultat est une augmentation substantielle de la dépense énergétique par rapport à la dépense de repos». Activité physique MET : Metabolic Equivalent Task 1 MET = dépense énergétique d un sujet au repos assis = consommation de 3,5 ml d oxygène / kilo/mn ou 1Kcal/kilo/heure Faible intensité : < de 3 METs/hr Activité modérée : 3 à 6 METs/hr (3,5-7kcal/min) Activité forte : >6 METs/hr (>7 kcal/min) Afssa 2007, Beck 2007, USEN 2007

3 Activité physique et cancer Activité modérée: 30 minutes ou plus/jour, 5 jours par semaine Activité intense : 60 minutes ou plus/jour, 3 jours par semaine Intensité: Exemples d'activités 1-Faible:Marche lente (4 km/h). Laver les vitres ou la voiture, faire la poussière, entretien mécanique. Pétanque, billard, bowling, frisbee, voile, golf, volley-ball, tennis de table (en dehors de la compétition)45 minutes 2-Modérée:Marche rapide (6km/h). Jardinage léger, ramassage des feuilles, port de charge de quelques kilos. Danses de salon. Vélo ou natation "plaisir", aqua-gym, ski alpin. 30 minutes 3-Elevée:Marche en côte, randonnée en moyenne montagne. Bêcher, déménager. Jogging (10 km/h), natation "rapide", VTT, saut à la corde, football, basket-ball, sports de combat, tennis (en simple), squash.20 minutes Source : Ministère de la santé, 2005, Activité physique : arguments scientifiques, pistes pratiques

4 Activité physique et cancer L action primordiale de l activité physique est la diminution de la fatigue que ressentent plus de 76 % des malades atteints de cancer, due à la maladie et aux traitements et l augmentation de la qualité de vie L activité physique diminue la fatigue de 30 % De 20 % pendant le traitement De 37 % après le traitement Cramp 2008; Velkuis 2010 ; Brown 2011; Kampshoff 2015 Action de l activité physique en dehors de la fatigue pendant et après le traitement Condition physique Qualité de vie Estime de soi Confiance en soi Force musculaire Poids (masse adipeuse) Anxiété Duijts 2011; Ferrier 2011 ; Speck 2010; Romaguera 2015

5 Activité physique et cancer Prévention Diminution du risque de cancer dans un certain nombre de localisations : Cancer du colon Cancer du sein cancer de l endomètre Cancer du poumon Cancer de la prostate Cancer du pancréas Lymphomes Activité physique et cancer Prévention Cancer du colon : Plus de 50 études ont montré que l activité physique(30 à 60 mn/jour) diminue le risque de 30 à 40 %, quelque soit l IMC: Indice de Masse Corporelle : Poids/(taille) 2 : Méta-analyse de 47 essais : RR femmes : 0,71 (0,57-0,88) RR hommes : 0,78 (0,68-0,91) Colorectal Dis 2005 Cancer du rectum, adénomes, polypes : non prouvé - Slattery 2004,Lee 2006, Mc Tiernan 2006

6 Activité physique et cancer Prévention CANCER DU SEIN : Plus de 60 études : Activité physique modérée ou intense = diminution du risque de 20 à 80 % en pré et post ménopause Effet plus important si activité physique dans l adolescence Meilleure protection pour une IMC normale (<25). - Slattery 2004,Lee 2006, Mc Tiernan 2006 Activité physique et cancer Prévention Etude E3N de la MGEN chez femmes entre 1990 et 2002 : 1 à 4 hr/sem activité physique modérée = Diminution du risque de 13 % par rapport aux femmes sédentaires 5 hr/sem d activité soutenue = diminution du risque de 38 % Ceci chez toutes les femmes : surpoids, sans enfant, avec traitement hormonal de la ménopause, ou antécédents familiaux de cancer du sein

7 E3N : cancer du sein : prévention

8 Activité physique et cancer CANCER DE L ENDOMETRE : Prévention 2O études : Diminution du risque de 20 à 40 % CANCER DU POUMON : Prévention : 21 études : réduction du risque de 20 %, plus chez les hommes que chez les femmes CANCER DE LA PROSTATE : Après traitement,une étude récente indique un ralentissement de la progression du cancer et une diminution des récidives après marche rapide 3 heures/semaine Augmentation de la survie si maintien de l IMC Cancer du Pancréas : diminution du risque de 11 % Lymphomes malins - IARC 2002, Tardon 2005,Giovannucci 2005, Davies 2011, Brizio 2015 Zhong 2015, Farris 2015, Boyle 2015 Activité physique et cancer pendant et après le traitement Action de l activité physique sur le risque de récidive, de décès et la survie dans le cancer du sein surtout chez les femmes dont la tumeur porte des récepteurs d hormones Même observation pour les cancers du colon concernant la récidive - Meyerhardt 2006; Lahaart 2015 ; Schmid 2014

9 Activité physique et cancer après le traitement Etude norvégienne sur le cancer du sein : Diminution du risque de décès toutes causes de 40 % chez les femmes en post-ménopause faisant 4 heures /semaine d AP de forte intensité par rapport aux femmes sédentaires Emaus 2010

10 Cancer du sein : pendant et après le traitement Une activité physique adaptée Augmente le taux de survie de 6 % à 5 et 10 ans surtout pour les tumeurs portant des récepteurs d hormones Améliore les fonctions cognitives Améliore la qualité de vie Holmes ; Pinto 2005; Hartman 2015; Gokal 2015 Henneghan 2015; Van Haart 2015 Cancer du sein : après le traitement Pierce femmes atteintes d un cancer du sein suivies pendant 6,7 ans, prenant plus de 5 fruits et légumes / jour plus une marche de 30 minutes/jour, 6 jours/semaine On note une augmentation significative de la survie en comparaison avec le groupe témoin sédentaire

11 Cancer du sein après le traitement : Ibrahim patientes : 2,8 à 8,9 MET-h/sem Mortalité par cancer de 34 % (HR 0,66) Mortalité toutes causes de 41 %(HR0,59) Récidives de 24 % (HR 0,76) Résultats si RO+ ; aucun gain si RO- Résultats encore plus importants en cas d activité > à 8 MET l année précédent le diagnostic Activité physique et cancer après le traitement Diminution du risque de récidive et de décès par cancer colorectal de 61 % chez les patients faisant 9 à 18 METs/h/sem d AP par rapport aux patients sédentaires Bénéfice de survie spécifique de 53 % chez les patients non métastatiques atteints de CCR faisant plus de 27 METs/h/semd AP par rapport aux sédentaires Meyerhardt 2006 et CALGB 2009 Je 2013; Hardikar 2015

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13 Obésité et cancer SURPOIDS, OBESITE : QUELLES METHODES D EVALUATION? L Indice de Masse Corporelle (IMC) Le Tour de taille IMC =Poids/(taille)2 *Adultes de 18 à 65 ans Obésité : Indice de Masse Corporelle à partir de 30 Limiter la prise de poids à moins de 5 Kg à l âge adulte

14 Surpoids et cancer du sein Kroenke 2005 :Après diagnostic, une prise de poids de 0,5 à 2kg/m2 augmente le taux de rechute et la mortalité Li : 2009 : Après le diagnostic, femme obèse + 7 boissons alcoolisées/semaine + fumeuse multiplie par 7,2 le risque de cancer du sein contro latéral Ewertz 2011 : IMC >30 = maladie plus avancée que < 25; risque de métastases à 10 ans augmenté de 46 %; risque de mortalité à 30 ans augmenté de 38 %; chimiothérapie et hormonothérapie moins effectifs > 10 ans Nichols 2011 : Après diagnostic, chaque augmentation de 5 kg de poids est associée à une augmentation de 12 % de toute cause de mortalité, à une augmentation de 13 % de mortalité spécifique par cancer et à une augmentation de 19 % de mortalité cardiovasculaire MS/ 01/

15 Le régime méditerranéen Le régime méditerranéen traditionnel (de type européen) se caractérise par l abondance des aliments d origine végétale comme le pain, les pâtes, les légumes, la salade, les fruits, divers types de noix ; sa principale source de matières grasses est l huile d olive ; le poisson, la volaille, les œufs et les produits laitiers y figurent en quantités faibles à modérées et la viande rouge y est peu abondante. Déclaration de Consensus Européen 1997 Régime méditerranéen et mortalité sujets grecs (20-86 ans) Diminution de la mortalité globale par rapport au groupe témoin : 25 % Diminution de la mortalité coronarienne : 33% Diminution de la mortalité par cancer : 24 % Trichopoulou et al. N Engl J Med 2003

16 Activité physique et cancer Mécanismes d action -Mécanismes évoqués : - Réduction du taux circulant des hormones sexuelles (oestrogènes et testostérone) efficace sur les cancers hormonodépendants -Diminution du taux de l insuline : sédentarité = insulinorésistance et augmentation de l insulinémie et du risque de cancer du colon - Diminution de la leptine et augmentation de l adinoleptine -Diminution du taux des facteurs de croissance : Insuline like growth - factor1 (IGF-1)facteur mitogène++ (cancers du colon, sein, prostate) -Diminution de l excès de graisse, du surpoids et de l obésité l excès de masse grasse favorise l insulinorésistance -Augmentation de la réponse immune -Diminution de l inflammation -Rapidité du trajet colique qui diminue l exposition aux cancérigènes Barrières à l activité physique L activité physique n est pas inclue dans le plan de traitement Les effets bénéfiques de l activité physique ne sont pas encore assez connus Les cancérologues ne prescrivent pas assez l activité physique chez les malades atteints de cancer Les patients ignorent souvent les effets bénéfiques de l activité physique

17 Recommandations Pour la prévention des cancers et d une manière plus générale pour maintenir et améliorer l état de santé (Inserm, 2008), il est recommandé : de limiter les activités sédentaires (ordinateur, télévision...). Le rapport IARC (2007) a estimé qu en 2000, 2200 décès par cancers étaient attribuables à l inactivité physique chez l adulte, pratiquer au moins 5 jours par semaine au moins 30 minutes d activité physique d intensité modérée comme une marche rapide ou de pratiquer 3 jours par semaine 20 minutes d activité physique d intensité élevée comme un jogging (OMS 2011) chez l enfant et l adolescent, pratiquer un minimum de 60 minutes par jour d activité physique d intensité modérée à élevée sous forme de jeux, d activité de la vie quotidienne ou de sport

18 Précautions Critères d exclusion : FE<40 %, Angor ou HTA non contrôlée Insuffisance respiratoire sévère Métastases osseuses, ostéoporose sévère Dénutrition Séances : Efforts progressifs, échauffement et retour au calme Pas de tabagisme avant et après, pas de douche immédiatement après, hydratation régulière Intervenants formés Conclusions Activité physique faisable sans danger Améliore la qualité de vie et la fatigue pendant le traitement De même après le traitement Améliore la survie Prophylaxie primaire Les mécanismes biologiques commencent à être connus Synergie activité physique et traitement? Quelle type d activité selon les patients?

19 Télévision Ordinateur

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