Le Conseil Municipal,
|
|
- Sabine Ratté
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MF/EG SEANCE DU 19 JANVIER / INSTALLATION CLASSÉE - DEMANDE D'AUTORISATION PRÉSENTÉE PAR LA SOCIÉTÉ MÉTALDINE TECHNIPARTS EN VUE DE POURSUIVRE L'EXPLOITATION DES INSTALLATIONS DE TRAITEMENT DES MÉTAUX, APPLICATION ET SÉCHAGE DE PEINTURE ET DE CLIMATISATION 33-35, RUE ROGER SALENGRO À VÉNISSIEUX (DIRECTION ADMINISTRATION GÉNÈRALE) Le Conseil Municipal, Vu le rapport en date du 29 décembre 2003 par lequel M. le Maire expose ce qui suit : «La Société Métaldine International France dont le siège social est à Vénissieux, est spécialisée dans la fabrication de pièces mécaniques pour moteurs diesels. Le siège social international du groupe est implanté à Plymouth (USA). Le site met en œuvre plusieurs activités dont le travail mécanique des métaux et du caoutchouc, des chaînes de traitement de surfaces avant application de peintures glycérophtaliques en cabine, des cabines d application de colle et un atelier de presse à injecter. Le site occupe 270 personnes et le travail s effectue en continu 24h/24h et 7 /7. Le Conseil municipal est appelé à formuler son avis sur cette demande concurremment, avec les Services techniques et les autorités compétentes concernées. Le Conseil d'arrondissement de Lyon 8 e est concerné par le périmètre de l enquête publique défini par arrêté préfectoral. A ce titre, il est appelé à émettre au préalable son avis. I - PRESENTATION DU PROJET L évolution des activités sur le site impose une régularisation administrative au regard de la nomenclature des Installations Classées pour la Protection de l Environnement. Ce dossier concerne notamment : - le traitement des métaux, - une installation de réfrigération / compression, - l application et le séchage de peinture et de colle.
2 2004/ II - ETUDE D'IMPACT 1. POLLUTION DE L EAU L usine est alimentée par l eau de ville (160 M3 quotidien) et par un pompage de complément en puits (69 M3) Les chaînes de traitement de surfaces : Les pièces mécaniques à traiter passent successivement dans des tunnels (rampes d aspersion) pour subir un dégraissage et un rinçage avant d être séchées dans un tunnel de séchage. Le volume cumulé des bains représente litres pour le traitement et litres pour le rinçage. Les bains de traitement sont tous à base d acide phosphorique à des taux de dilution différents. Les cuves et les circuits sont nettoyés une fois par an par une société spécialisée qui évacue environ 30 à 50 M3 par an de déchets traités dans un centre de traitement agréé. Les bains de rinçage sont évacués actuellement en continu dans le réseau d assainissement. Mais il est prévu d ici fin 2003 de traiter la totalité des effluents issus des activités de production. Cabines de peinture : Elles sont au nombre de six, trois sont équipées de filtres à rideaux d eau et trois de filtres à sec. fermé. Les rideaux d eau sont alimentés par un bac de 4000 litres en circuit L appoint du rideau nécessite 130 litres d eau par jour et par cabine. Les bains de traitement et les bacs des cabines à rideau d eau sont évacués comme des déchets par des sociétés agréées. 2 POLLUTION DE L AIR Les rejets d effluents gazeux 1) Extraction des cabines de peinture L air rejeté contient des poussières et des Composés Organiques Volatils (COV) issus des solvants. Les concentrations en poussières sont inférieures aux valeurs limites mais les rejets en COV sont nettement supérieurs aux normes. Des dispositions doivent être mises en œuvre d ici octobre 2004 afin de respecter les valeurs limites d émissions.
3 2004/ ) Gaines d extraction des encolleuses Les rejets en COV sont supérieurs aux normes fixées par arrêté du 2 février L entreprise dispose d un délai jusqu à fin 2004 pour se mettre en conformité avec la réglementation. Dés que ces dispositions seront adoptées, elles feront l objet de nouvelles mesures des rejets atmosphériques. 2. NUISANCES SONORES L ensemble des installations en fonctionnement émet un fond sonore conséquent. L usine fonctionne jours et nuits 7j/7. Le niveau sonore en limite de propriété ne doit pas dépasser 70 dba le jour et 60 dba la nuit. La campagne de mesures effectuées par une société spécialisée fait apparaître que ces mesures sont respectueuses des valeurs admises. 3. GESTION DES DECHETS a) Les Déchets Industriels Banals Ils sont composés de cartons, papiers et bois et ils font l objet d un recyclage. b) Les Déchets Industriels Spéciaux Ce sont tous les produits issus de l activité de production (boues de peinture, suspension aqueuse, déchets liquides contenant des solvants et des colles, l écrémage des bains des tunnels de traitement de surface, les déchets de caoutchouc). Ils sont stockés dans des contenants adaptés à chaque type de déchets et évacués par différentes sociétés spécialisées pour recyclage, incinération ou valorisation. III ETUDE DES DANGERS Risques liés aux produits Aucun des produits stockés n est classé Très toxique ou Toxique excepté la colle utilisée pour le collage du caoutchouc. La préparation colle/solvant s effectue manuellement dans une cabine avec une hotte d extraction, ensuite le mélange (homogénéisation) est effectué automatiquement.
4 2004/ La zone d application des colles est fermée et en dépression. Le fonctionnement des pistolets applicateurs est asservi au fonctionnement de l extracteur afin d éviter toute concentration de solvants dans l atelier. Risques d incendie et d explosion Les peintures contiennent aussi des solvants volatils inflammables (xylène) Afin de prévenir tous risques, les bidons prêts à l emploi sont placés dans une zone mise en dépression grâce à un extracteur d air dans la zone d application. Les cabines de peinture possèdent aussi leur propre système d asservissement (pistolets/extracteurs) De plus les quantités de produits mises en œuvre dans les ateliers sont telles, par rapport au volume de ceux-çi, que les concentrations de vapeur ou effluents gazeux émis sont inférieurs aux valeurs admises comme dangereuses. IV PREVENTION DES DANGERS L ensemble du site est équipé de tous les moyens nécessaires, de lutte contre l incendie et l entrepôt est réalisé en matériaux incombustibles. Les détections incendie, fumées et les alarmes d intrusion sont reportées auprès d une société de télésurveillance. Les bâtiments de production sont équipés d une centrale de gestion de détection de fumées et de gaz. Cependant il est constaté que : a) Les eaux de rinçage sont rejetées en continu dans le réseau sans traitement normes b) Les rejets en Composés Organiques Volatils sont supérieurs aux Considérant que la mise aux normes des installations en cause ne sera effective que fin 2004, je vous propose Mesdames et Messieurs, d émettre, sous réserve des conclusions de l enquête publique, des avis du CHSCT et des communes concernées un avis défavorable à la demande d autorisation formulée par la Société Métaldine-Techniparts tant que les mises aux normes n ont pas été effectuées. Vu la loi du 19 juillet 1976 modifiée ; Vu l article 8 du décret du 21 septembre 1977 modifié ; Vu l arrêté préfectoral du 29 octobre 2003 ;
5 2004/ Vu l avis du Conseil du 8 e arrondissement ; Ouï l avis de sa Commission Déplacements Voirie - Sécurité ; E M E T un avis défavorable à la demande d autorisation formulée par la Société Métaldine-Techniparts tant que les mises aux normes n ont pas été effectuées. (Et ont signé les membres présents) Pour extrait conforme, L Adjoint délégué,
CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel
N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L
Plus en détailASSURANCES DE DOMMAGES INCENDIE DE L ANALYSE AU COÛT DU RISQUE
ASSURANCES DE DOMMAGES INCENDIE DE L ANALYSE AU COÛT DU RISQUE 25 septembre 2013 Patrick Biot - agréé CNPP 1 AGREPI? ASSOCIATION DES INGÉNIEURS & CADRES SPÉCIALISTES DE LA MAÎTRISE DES RISQUES INCENDIE
Plus en détailLe Conseil Municipal,
MF/EG SEANCE DU 13 FÉVRIER 2006 2006/6197 - INSTALLATION CLASSÉE POUR L'ENVIRONNEMENT SOUMISE À AUTORISATION - DEMANDE D'AUTORISATION PRÉSENTÉE PAR LA SOCIÉTÉ OMNITHERM EN VUE DE MODIFIER LES INSTALLATIONS
Plus en détailMétallerie / Serrurerie
Votre activité peut être liée à celles de traitement de surface/polissage et de décapage. Si vous êtes dans ce cas, reportezvous aux fiches correspondantes. 1 Les déchets Les déchets issus de votre activité
Plus en détailDossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.
Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE DE SECURITE
MODELE N 2 Document disponible sur http://www.auvergne.pref.gouv.fr/protection_civile/etablissements _recevant_public/sec_incendie_erp/procedure.php NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE Etablissement Recevant
Plus en détailBORDEREAU DE SUIVI DES DECHETS
BORDEREAU DE SUIVI DES DECHETS Pour une meilleure traçabilité Une nouvelle réglementation vient clarifier les règles de traçabilité du circuit des déchets dangereux Chambre de Métiers et de l'artisanat
Plus en détailFORMULAIRE DE DEMANDE D AUTORISATION CLASSE 2
INFORMATIONS GENERALES Page 1 / 14 1. INFORMATIONS GENERALES N du dossier : Art. 7.7.b «La nature et l emplacement de l établissement, l objet de l exploitation, les installations et procédés à mettre
Plus en détailEmis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014
Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.
Plus en détailEcoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets
Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Présentation d Ecoval Maroc 2 Sommaire Présentation d Ecoval Maroc Perception du Marché de déchets Objectifs de la plateforme Ecoval
Plus en détailLe traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011
Le traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011 Plan de la présentation Partie I Pourquoi le TMB? Partie II Variantes techniques Partie III Conclusions pour
Plus en détailCRMA Limousin > Nettoyage à sec : quelle réglementation? Nettoyage à sec : quelle réglementation?
CRMA Limousin > Nettoyage à sec : quelle réglementation? Nettoyage à sec : quelle réglementation? Sommaire page 2 > A { Qu est ce qu une Installation Classée pour la Protection de l Environnement (ICPE)?
Plus en détailUnion des Métiers et des Industries de l Hôtellerie. Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie. ERP et IGH de Type O
Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie JURIDIQUE Date : 31/01/2012 N : 04.12 Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie ERP et IGH de Type O L arrêté du 25 octobre 2011 portant
Plus en détailENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84
ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS L exemple de l agence 13/84 Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 Présentation Rappel de l engagement ISO 14001 de l ONF Quelques généralités sur la gestion
Plus en détailVEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30
VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 Incendie Code du Travail R4216-1 à R4216-7 ; R4216-11 à R4216-34 Code du Travail R4225-8 Code du Travail R4227-34 à R4227-36 Code du Travail R4227-1
Plus en détailRéflexe Prévention Déchets
Réflexe Prévention Déchets Secteur des Travaux Publics 2 ème ½ journée Plan de la présentation 1. La prévention, de quoi parle-t-on? Concept, bénéfices attendu, illustrations 2. Produits innovants et retours
Plus en détailTableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées
Codes l'environnement Décret 95-22 du 9 janvier relatif à la limitation du bruit des aménagements et transports terrestres mai relatif au bruit des 97-110 du 12 relative à la prise en compte du bruit dans
Plus en détailTOULOUSE : ZAC de Garonne - Chemin de Chantelle - 31200 - Tél : 05 34 51 12 00
TOULOUSE : ZAC de Garonne - Chemin de Chantelle - 31200 - Tél : 05 34 51 12 00 L entreprise Professionnel dans la collecte, le traitement et la valorisation de déchets industriels depuis plus de 80 ans
Plus en détailL ENVIRONNEMENT DANS L ARTISANAT
L ENVIRONNEMENT DANS L ARTISANAT PLOMBERIE / CHAUFFAGE COMMENT ELIMINER VOS DECHETS? Le Code de l Environnement stipule que tout producteur ou détenteur de déchets est responsable de l élimination de ses
Plus en détailGUIDE DE L'ENTREPRISE : ENVIRONNEMENT / HYGIENE / SECURITE. Restauration
Vous voulez démarrer une activité de restauration ambulante ou sédentaire. Cette fiche rassemble l essentiel de la réglementation en matière d'environnement, d hygiène et de sécurité ainsi que quelques
Plus en détailLe développement durable clé en main
Le développement durable clé en main Le développement durable au cœur de la stratégie d Assa Abloy 2 de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,
Plus en détailAutomobile & Mécanique agricole. Sources CNIDEP, IBGE
Automobile & Mécanique agricole Sources CNIDEP, IBGE I. Etapes de la fabrication (ou du service) et procédés utilisés L essentiel de l activité d une carrosserie consiste à réparer puis à remettre en peinture
Plus en détailQuelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé
Quelques dates clés s pour TYM TYM : entreprise familiale créé éée e en 1963 1976 : achat de Transports Trainpo 1979 :Construction des premiers entrepôts 3000 m2 1979 à 1988 : Construction de 18000 m2
Plus en détailInstallations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3
SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 II. MODE OPERATOIRE... 3 A. MATERIEL UTILISE... 3 1) Sonomètre... 3 2) Calibreur... 3 B. METHODE DE MESURE... 4 C. POSITIONNEMENT DU MATERIEL... 4 III. CAMPAGNE DE MESURE...
Plus en détailSOLO MIDI AVD DUO NETTOYAGE HAUTE PERFORMANCE DE PIECES EN MILIEU AQUEUX EXPERTS DANS LA TECHNOLOGIE, LA CHIMIE ET LE PROCESS DU NETTOYAGE DE PIECES
SOLO MIDI AVD DUO NETTOYAGE HAUTE PERFORMANCE DE PIECES EN MILIEU AQUEUX EXPERTS DANS LA TECHNOLOGIE, LA CHIMIE ET LE PROCESS DU NETTOYAGE DE PIECES NETTOYAGE EFFICACE DES PIECES MECANIQUES DE PRECISION
Plus en détailPARTICIPATIONS FINANCIERES H.T. DES ADHERENTS POUR L ANNEE 2010 ADOPTEES PAR LE COMITE SYNDICAL DU 19 FEVRIER
ANNEXE COMPETENCES A LA CARTE DE LA BRANCHE EAU PARTICIPATIONS FINANCIERES H.T. DES ADHERENTS POUR L ANNEE 2010 ADOPTEES PAR LE COMITE SYNDICAL DU 19 FEVRIER 2010 Page 1 /14 26/02/2010 OPTION MAINTENANCE
Plus en détailService Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09
CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE
Plus en détailGestion des déchets dangereux dans les entreprises
Actualités Gestion des déchets dangereux dans les entreprises Avril 2012 - Fiche n 1 Rédigée par Margot Liatard CCIR Champagne-Ardenne Qu est ce qu un déchet dangereux? Les déchets dangereux sont des déchets
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE D INSTALLATION & D UTILISATION
NOTICE TECHNIQUE D INSTALLATION & D UTILISATION Plafond filtrant Lumispace Il est important de lire attentivement cette notice avant la maintenance du plafond Lumispace Ce document doit être remis au client
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailRESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
DIRECTION GENERALE ADJOINTE CHARGEE DE L AMENAGEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Service études et prospective RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
Plus en détailP R É F E C T U R E D E L A S E I N E - M A R I T I M E DIRECTION DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE
P R É F E C T U R E D E L A S E I N E - M A R I T I M E DIRECTION DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE Affaire suivie par : Mme Gisèle ATOUBA 02 32 76 53 91 mél : 02 32 76 54 60 gisele.atouba@seine-maritime.pref.gouv.fr
Plus en détailNotice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 relatif au bordereau de suivi des déchets dangereux
Notice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 Décret n 2005-635 du 30 mai 2005 Arrêté du 29 juillet 2005 Notice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 relatif au bordereau de suivi des déchets
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailRÉDUIRE LES EFFETS DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES SUR L ENVIRONNEMENT
DIRCTION D LA COMMUNICATION CORPORAT D O S S I R D PRSS Lyon / Mars 2013 RÉDUIR LS FFTS DU TRANSPORT ROUTIR D MARCHANDISS SUR L NVIRONNMNT Pour réduire les effets sur l environnement tout au long du cycle
Plus en détailPRÉFÈTE DU CHER. La Préfète du Cher, Chevalier de la Légion d Honneur,
Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations Pôle de la Protection des Populations Service de la Protection de l Environnement Installation classée soumise à autorisation
Plus en détailCarrefour ARRAS. Expertise réalisée par : Vincent Cordonnier
Carrefour ARRAS Expertise réalisée par : Vincent Cordonnier Page / 4 Site : Carrefour ARRAS Expertise Identité complète Responsable : M. Bidon Paul rue des Sachets 600 ARRAS Date d'audit : 06/05/00 Consultant
Plus en détailEpreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE
SUJET DE CONCOURS COMMUN AUX CENTRES DE GESTION : CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE DE 1ERE CLASSE SESSION 2014 SPECIALITE «ENVIRONNEMENT, HYGIENE» Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014
Plus en détailpur et silencieux dentaire
pur et silencieux dentaire de l air pur JUN-AIR a produit son premier compresseur il y a 50 ans et développé la technologie et le design qui ont fait du compresseur JUN-AIR le choix numéro UN des cabinets
Plus en détailRÉPUBLIQUE FRANÇAISE. Ministère de l intérieur, de l outre-mer, des collectivités territoriales et de l immigration NOR :IOCE ARRÊTÉ DU
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l intérieur, de l outre-mer, des collectivités territoriales et de l immigration NOR :IOCE ARRÊTÉ DU portant approbation de diverses dispositions complétant et modifiant
Plus en détailAutorisation pour le négoce ou le courtage de déchets. Informations pour remplir le formulaire de demande
Autorisation pour le négoce ou le courtage de déchets Informations pour remplir le formulaire de demande Administration de l environnement Division des déchets 1, Avenue du Rock n Roll L-4361 Esch/Alzette
Plus en détailEPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80
Maître d'ouvrage : EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Objet : Récupération des eaux pluviales pour le jardin partagé des Sardières CAHIER DES CHARGES
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailDEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement
DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement Liieu--diitt «lle Cognett» Commune de VAUX--SUR--SEULLES
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 13 NOVEMBRE 2012
Département de l Isère Arrondissement de la Tour du Pin Canton de Morestel Commune de PASSINS EXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 13 NOVEMBRE 2012 Le treize novembre deux
Plus en détailMEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE
République Française Institut National de la Recherche Agronomique Centre de Recherche de Clermont-Ferrand Theix Lyon MARCHES PUBLICS DE TRAVAUX MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE Document à remplir et
Plus en détailCODE DU TRAVAIL. Nombre de dégagements réglementaires. Nombre total d'unités de passage Moins de 20 personnes 1 1. 1 + 1 dégagement accessoire (a)
CODE DU TRAVAIL Art. R. 235-4.- Les dispositions de la présente section s'appliquent aux établissements mentionnés à l'article R. 232-12. Les bâtiments et les locaux régis par la présente section doivent
Plus en détailL enfouissement des déchets ultimes
L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)
Plus en détailSoyez. Pour un logement
Soyez Pour un logement Sommaire LE CHAUFFAGE 2 LA VENTILATION 2 LES EQUIPEMENTS MENAGES 3 L ECLAIRAGE ET L ELECTRICITE 4 L EAU 4 TRIE DES DECHETS 5 LA CONSOMMATION DURABLE 6 LE TRANSPORT 7 Ce guide va
Plus en détailBONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION
BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION Constats partagés : - Les déchets de chantier et de maintenance sont plutôt bien traités et suivis. - Les déchets de bureaux sont bien suivis sur les gros
Plus en détailChoisir et utiliser un détecteur de gaz pour le travail en espace clos.
entreposage Choisir et utiliser un détecteur de gaz pour le travail en espace clos. Un détecteur de gaz contribue à déterminer les mesures de prévention et l équipement de protection nécessaires dans le
Plus en détailARRETE PREFECTORAL. portant enregistrement de l'entrepôt de stockage de matériels électriques de la société GEMFI à Châteaubourg
PREFECTURE Direction de la Coordination Interministérielle et de l'action Départementale Bureau des installations classées ARRETE PREFECTORAL portant enregistrement de l'entrepôt de stockage de matériels
Plus en détailCompagnie de Distribution des Hydrocarbures(CDH) Dépôt Pétrolier de Villette de Vienne (38) Incident «Fuite GO» Vendredi 23 juillet 2010
PRESENTATION CLIC FINORGA Compagnie de Distribution des Hydrocarbures(CDH) Dépôt Pétrolier de Villette de Vienne (38) Incident «Fuite GO» Vendredi 23 juillet 2010 Villette de Vienne - 15 Décembre 2010
Plus en détailVulcano Pièges Fourmis
FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges
Plus en détailProMix 2KE. Doseur multicomposant compact d entrée de gamme UNE QUALITÉ CERTIFIÉE. UNE TECHNOLOGIE D AVANT-GARDE.
ProMix 2KE Doseur multicomposant compact d entrée de gamme UNE QUALITÉ CERTIFIÉE. UNE TECHNOLOGIE D AVANT-GARDE. Dosage simple et flexible Mélange facilement et de manière régulière les peintures à deux
Plus en détailLes immeubles résidentiels et commerciaux disposent
LES AMÉNAGEMENTS USUELS DES IMMEUBLES Les immeubles résidentiels et commerciaux disposent normalement d installations et d aménagements relativement similaires qui répondent aux normes applicables et aux
Plus en détailRÈGLEMENT NUMÉRO: 1 8 1 5
PROVINCE DE QUÉBEC COMTÉ DE DEUX-MONTAGNES RÈGLEMENT NUMÉRO: 1 8 1 5 RÈGLEMENT RÉGISSANT LES SYSTÈMES D ALARME ET LES FAUSSES ALARMES. À une séance ordinaire du Conseil municipal de la Ville de Saint-Eustache
Plus en détailProgramme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation
G1 Recrutements des assistants de recherche et de formation...2 G1.1 Assistant gestion de données patrimoniales...2 G1.2 Assistant technique en génie climatique...2 G1.3 Assistant technique en électricité...2
Plus en détailCOMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
COMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Objet du Marché : Procédure adaptée pour «entretien des espaces verts de la commune de Pont à Marcq» Année 2013 Maître d ouvrage : Commune
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailEnviroPro Questionnaire de Souscription
Instructions Ce questionnaire est un document confidentiel, sa signature n engage pas le demandeur à souscrire un contrat d assurance. Ce questionnaire peut être accompagné de la copie du dossier de demande
Plus en détailque ce conseil ordonne et statue par le présent règlement portant le numéro 2003-04-7775 ce qui suit, à savoir:
CANADA Province de Québec Ville de Fossambault-sur-le-Lac RÈGLEMENT NO: 2003-04-7775 Sur les alarmes et systèmes d alarme Séance spéciale du conseil municipal de la Ville de Fossambault-sur-le-Lac, tenue
Plus en détailSmart LES PROMOTIONS ALTO EN CADEAU. Du 1 er Avril au 31 Juillet 2015. www.alto-fr.com. Votre Nettoyeur de vitres Nilfisk Smart Offert *
LES TIONS ALTO Du 1 er Avril au 31 Juillet 2015 EN CADEAU Votre Nettoyeur de vitres Nilfisk Smart Offert * POUR TOUT ACHAT d une laveuse ou d une balayeuse ALTO siglée d un dans cette brochure (P.7 et
Plus en détailSANIBROYEUR, SANICOMPACT ET SANIPOMPE SILENCIEUX. pour créer des sanitaires partout dans la maison 50 ANS D INNOVATIONS!
2008 50 ANS D INNOVATIONS! WC SALLE DE BAINS CUISINE BUANDERIE CHAUDIÈRE CLIMATISEUR SANIBROYEUR, SANICOMPACT ET SANIPOMPE SILENCIEUX pour créer des sanitaires partout dans la maison SFA c est facile pour
Plus en détailALARME DOMESTIQUE FILAIRE
ALARME DOMESTIQUE FILAIRE DOSSIER RESSOURCES Académie de LYON BAC Pro Électrotechnique, Énergie, Équipements Communicants Page 1 sur 15 SOMMAIRE Introduction... page 3/15 Le sous-système : maquette alarme
Plus en détailNOTICE DE SECURITE. SANS LOCAUX A SOMMEIL (Effectif reçu supérieur à 19 personnes) Arrêté du 22/06/1990
NOTICE DE SECURITE POUR LES ERP DE 5 E CATEGORIE SANS LOCAUX A SOMMEIL (Effectif reçu supérieur à 19 personnes) Arrêté du 22/06/1990 Documents obligatoires à joindre à cette notice de sécurité pour le
Plus en détailCONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES
CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES Compétence du socle : Compétence 6 : Les compétences sociales et civiques. Contribution attendue : Utiliser un produit chimique
Plus en détail4 LAVER ET SECHER LAVER ET SECHER
4 5 Un soin adapté aux différentes charges La seule façon de vous assurer que tous vos bénéficient du plus grand soin à chaque lavage est d avoir un lave-linge capable de s adapter aux besoins spécifiques
Plus en détailLES CONDITIONS D EXERCICE DE LA POLICE DES ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC PREALABLE
LES CONDITIONS D EXERCICE DE LA POLICE DES ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC PREALABLE A/ Une réglementation et un contrôle spécifiques - une réglementation fondée sur le Code de la Construction et de
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détail5211 Entretien général d immeubles. Fiches descriptives. Reconnaissance des acquis et des compétences FP2009-12
Formation professionnelle et technique et formation continue Direction de la formation continue et du soutien 5211 Entretien général d immeubles Fiches descriptives Reconnaissance des acquis et des compétences
Plus en détailElectrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document
Electrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document présenté à la Conférence sur la sécurité et la fiabilité
Plus en détailFICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc
FICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc Le ROL est un document à usage des intervenants de terrain non techniciens du bâtiment.
Plus en détailBâtiment SERRURIER- MÉTALLIER
Bâtiment SERRURIER- MÉTALLIER SERRURIER- MÉTALLIER Le serrurier-métallier travaille tout type de construction métallique : serrurerie, rampe d escalier, porte, fenêtre, véranda, pont, passerelle, pylône...
Plus en détailCes formations peuvent être réalisées en formation traditionnelle ou en UMLF (Unité Mobile Légère de Formation).
Romuald BONON au 06 35 44 83 70 Mail : r.bonon@seimafor.fr Incendie (de l extincteur à Equipier de 2 nde intervention) Sauveteur Secouriste du Travail Evacuation Utilisation du Défibrillateur Automatique
Plus en détailSociété BIS RECYCLAGE Saint-Jory (31) Audit de conformité réglementaire de la gestion des DEEE
Saint-Jory (31) Audit de conformité réglementaire de la gestion des DEEE 1 INFORMATIONS GENERALES SUR LE SITE...1 2 ELEMENTS TECHNIQUES...2 2.1 PRINCIPALES CARACTERISTIQUES TECHNIQUES... 2 2.2 ELEMENTS
Plus en détailBOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes
1. ENTRETIEN À L OUVERTURE D UNE SALLE D OPÉRATION NON UTILISÉE AU DELÀ DE 24 H Nettoyer les surfaces (table d opération, table d instruments, éclairage opératoire, appareil d anesthésie), avec un chiffon
Plus en détailLes technologies alternatives au nettoyage de vêtements et d articles textiles au perchloréthylène
Fiche introduction Les technologies alternatives au nettoyage de vêtements et d articles textiles au perchloréthylène Introduction L activité de pressing a pour vocation de nettoyer, pour le compte de
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailEtat des risques naturels et technologiques
Etat des risques naturels et technologiques En application des articles L125-5 et R125-26 du code de l'environnement. Commande n 3505 Date de réalisation : 23 septembre 2011 (Valable 6 mois) Mode COMMANDE
Plus en détailEt la ventilation créa l eau chaude
VENTILATION DOUBLE EFFET VMC BBC + CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE Les P r o d u i t s 75 % D ÉCONOMIES SUR LA CONSOMMATION LIÉE À L EAU CHAUDE CHAUFFAGE DE L EAU JUSQU À 62 C AVEC LA POMPE À CHALEUR 10 %
Plus en détailPOLITIQUE ADMINISTRATIVE ET PROCÉDURE GESTION DES MATIÈRES DANGEREUSES
Cégep de Saint-Jérôme Politique M A 1 3 2002 POLITIQUE ADMINISTRATIVE ET PROCÉDURE GESTION DES MATIÈRES DANGEREUSES Responsable : Coordonnateur des ressources matérielles Approbation : Comité exécutif
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailPOUR L INSTALLATION TEMPORAIRE DE TRIBUNES ET GRADINS EXTERIEURS ET INTERIEURS
RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES POUR L INSTALLATION TEMPORAIRE DE TRIBUNES ET GRADINS EXTERIEURS ET INTERIEURS 1. Base Les prescriptions de protection incendie AEAI sont la
Plus en détailChapitre 11 Gestion d une affaire
Chapitre 11 Gestion d une affaire GENERALITES SUR LA GESTION D UNE AFFAIRE p. 2 1-PREPARATION DE L AFFAIRE A : Le cahier des charges p.2 Exercice 1 B : Le devis estimatif p.6 Exercice 2 C : Conception
Plus en détailConcevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents
Concevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents 1 Ce document a été rédigé fin 009, dans le cadre du groupe de travail ECOPULVI, animé par l Institut Français de
Plus en détailTJ 5 AIDE-MÉMOIRE JURIDIQUE
Aération et assainissement des lieux de travail TJ 5 AIDE-MÉMOIRE JURIDIQUE L Institut national de recherche et de sécurité (INRS) Dans le domaine de la prévention des risques professionnels, l INRS est
Plus en détailCode du bâtiment. Code national du bâtiment - Canada 2010
Code du bâtiment 3.2.6. Exigences supplémentaires pour les bâtiments de grande hauteur (Voir l annexe B.) 3.2.6.1. Domaine d application 1) La présente sous-section s applique à tout bâtiment : a) abritant
Plus en détailSYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 -
SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 - OBJECTIF DE L ETUDE L objectif de cette étude est de répertorier tous les risques professionnels dans un pressing (base de l évaluation des
Plus en détailREUNION DU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE ORDINAIRE DU 19 OCTOBRE 2012. *************
REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE ORDINAIRE DU 19 OCTOBRE 2012. ************* ETAIENT PRESENTS : Messieurs VIAULT G., Maire ; OLLAR Ph., ROUSSEAU Ch., DUFOUR T., Adjoints ; BOURBONNAIS O., Mmes NOBLET
Plus en détailwww.btsag.com 31 Coûts complets
www.btsag.com 31 Coûts complets Claude Terrier btsag.com 1/24 11/10/2010 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre
Plus en détailARTICLE 1 - Réglementation et rôle de la Collectivité
CCPG - 135 Rue de Genève BP 441 01174 GEX Cedex Tel : 04 50 42 26 41 / Fax : 04 50 42 65 01 - dechets@ccpg.fr CONTRAT DE COLLECTE DES DÉCHETS ASSIMILÉS «DIB-DAC» ARTICLES L.2224-14 ET L.2333-78 DU CGCT
Plus en détail19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS
19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS Rapport de présentation / Diagnostic Dossier de PLU approuvé 255 19.1 LES ORDURES MENAGERES ET EMBALLAGES MENAGERS RECYCLABLES La prestation de collecte des
Plus en détailRÈGLEMENT # 302 Règlement concernant les alarmes applicable par la Sûreté du Québec
RÈGLEMENT # 302 Règlement concernant les alarmes applicable par la Sûreté du Québec CONSIDÉRANT QUE le Conseil municipal juge nécessaire et d intérêt public de réglementer la possession, l utilisation
Plus en détailNettoyeur d escalier mécanique et de trottoir roulant
Mode d emploi Modèle X46 Nettoyeur d escalier mécanique et de trottoir roulant ATTENTION LIRE CES INSTRUCTIONS AVANT D UTILISER LA MACHINE 03-7845-0000 Iss.1 07/04 Fig 1 Fig 2 2 Table des matières Page
Plus en détailGuide utilisateur. Sommaire
Guide utilisateur Sommaire Glossaire 3 Les touches et les voyants 4 Les codes d accès 5 Les signaux sonores 6 Mise sous surveillance totale 7 Arrêt 7 Mise sous surveillance partielle 8 SOS et Feu 8 Carillon
Plus en détailMél : Nom de l ACMO : Mél ACMO :
Etat des lieux en hygiène et sécurité dans un établissement scolaire Rectorat Inspection en Hygiène et sécurité Dossier suivi par M. Gilbert ROUSSEAU Téléphone 05 57 57 39 82 Fax 05 57 57 87 40 Mél: Gilbert.rousseau@acbordeaux.fr
Plus en détailProgrammes Prioritaires Nationaux : Fumées de soudage. Y. CAROMEL - Contrôleur de sécurité
Programmes Prioritaires Nationaux : Fumées de soudage Y. CAROMEL - Contrôleur de sécurité Règles essentielles de ventilation appliquées aux activités de soudage Y. CAROMEL - Contrôleur de sécurité Règles
Plus en détailREGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF. ❶ Dispositions générales
REGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Le règlement du service définit les obligations mutuelles entre le service public de l'assainissement non collectif (SPANC) et ses usagers qui sont
Plus en détail