Choisir un endroit où l entretien pourra se dérouler sans être dérangé. Eviter de le faire dans la chambre du patient. Se libérer de ses autres
|
|
- Ève Larochelle
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1
2
3 Choisir un endroit où l entretien pourra se dérouler sans être dérangé. Eviter de le faire dans la chambre du patient. Se libérer de ses autres tâches pour la durée de l entretien. Prévoir une marge au cas où l entretien serait un peu plus long que prévu (30 à 45 min). Prévoir le temps nécessaire pour la rédaction des notes.
4 Prendre connaissance des rapports antérieurs, de la note de la garde, du médecin traitant, Pendant l entretien, se consacrer uniquement au patient, ne pas lire les notes précédentes ou consulter des résultats sur d anciens rapports en même temps.
5 Référentiel entretien d accueil. Anamnèse Bio-psycho-sociale Exploration des motifs d admission Evaluation des compétences Choix des priorités Explication du traitement ( collaboration médicale) Instauration du traitement Volet administratif ( diet, rpm, brochure, ) Rédaction de la macrocible d entrée et première analyse clinique
6 Il s agit ici d une prise de contact avec un nouveau patient hospitalisé pour la première fois dans votre service. Dans le cas d une réhospitalisation d un patient connu on pourra se baser sur l alliance déjà établie pour faciliter les choses
7 Se présenter et expliquer le fonctionnement du service ainsi que les modalités de la prise en charge infirmière (planification des entretiens, nombres, urgences, règlement d ordre intérieur, cadre, règles, contrat, ) Compléter les formulaires administratifs avec le patient (diététique, rpm, ) Adopter un style chaleureux et empathique, le patient doit «sentir» que l on s intéresse à lui
8 Exploration des antécédents psychiatriques et somatiques, de la capacité à réaliser ses avq, de la situation sociale, professionnelle et familiale. Analyser le ou les motifs d admission sans entrer dans les détails, ils seront explorés en détails lors des entretiens de références ou d aide au diagnostique. Etablir une hiérarchie dans les problèmes en fonction de leur gravité (risque de suicide ou de passage à l acte, risque de symptômes de sevrage, symptômes les plus gênants )
9 Explorer les facteurs déclenchants l hospitalisation : qui a décidé du séjour, le patient pense t il que sa place est à l hôpital S informer sur le traitement pris à domicile et sur la régularité de son suivi. Explorer les aspects systémiques ( personnes ressources, qualité des relations, ) Le patient se sent-il à l aise avec d autres personnes Comment rendre les choses moins difficiles? Comment le patient a-t-il vécu l entretien? A-t-il du mal se confier?
10 Demander au patient s il a des questions ou un point sur lequel il souhaite des précisions, éventuellement faire un résumé de ce qui à été dit pendant l entretien. L inviter à venir vers vous si une question se pose après l entretien. Terminer l entretien chaleureusement. Et souhaiter un bon séjour.
11
12 Prendre connaissance des TC antérieures et adapter les objectifs de l entretien. Consulter les autres intervenants : psychiatre, psychologue, As, Rappeler le RDV au patient le matin Respecter la programmation
13 Choisir un endroit où l entretien pourra se dérouler sans être dérangé. Eviter de le faire dans la chambre du patient. Se libérer de ses autres tâches pour la durée de l entretien. Prévoir une marge au cas où l entretien serait un peu plus long que prévu (30 à 45 min). Prévoir le temps nécessaire pour la rédaction des notes.
14 Pendant l entretien, se consacrer uniquement au patient, ne pas lire les notes précédentes ou consulter des résultats sur d anciens rapports en même temps.
15 Il a pour but de démarrer ou poursuivre le travail sur les problèmes mis en évidences auparavant et d évaluer l impact du traitement aussi bien psychologique que pharmacologique. Dans le cas où des exercices avaient été prescrit au patient ils seront aussi évalués lors de ce type d entretien
16 Il s agit ici d un entretien qui a été programmé par l infirmier référent soit au terme de l entretien d accueil soit suite à l entretien précédent.
17 Planification: idéalement 2 x sem par exemple : lundi-jeudi ou mardi-vendredi de façon à ce que les tâches prescrites puissent avoir été réalisées (choisir des tâches évolutives et réalisables) Commencer l entretien par l évaluation de ces tâches, si elles sont réussies: renforcement positif, sinon: exploration sans critique des difficultés ( ce ne doit pas être vécu comme un échec autant pour le patient que pour l infirmier.
18 Les entretiens doivent être liés entre-eux dans un continuum de soins, cependant si l on s aperçoit que le patient décroche il faudra s y adapter ( ralentir ou accélérer ) Les éléments nouveaux ne seront pas traités en urgence sauf cas exceptionnels. Faire régulièrement le point de l évolution et s assurer de l adhésion du patient ( cf EM) En cas de tensions entre le thérapeute et le patient, toujours les nommer et les explorer ( elles sont «normales»)
19
20 Résumé de l hospitalisation et évaluation des résultats En accord avec le psychiatre: passage en revue des examens médicaux et explication Vérification de la mise en place du suivi ambulatoire Explication du traitement et travail sur la compliance Valorisation et encouragements Clôture de l analyse clinique et rédaction de la macrocible de sortie
21 Il s agit ici de clôturer l hospitalisation quelle qu ait été sa durée et la manière dont elle se termine (dans la mesure du possible même si elle prend fin sur une sortie exigée ou si l équipe met fin au séjour du patient).
22 Passer en revue les différentes cibles et discuter des résultats, en déduire le travail restant à poursuivre en ambulatoire. Si cela n a pas été fait par le médecin et avec son accord, passer en revue les résultats des examens subis ( si nécessaire demander des explications) S assurer que le patient a un RDV avec la personne qui assure le suivi ambulatoire
23 Insister sur l importance de l observance du traitement et donner les dernières informations éventuelles sur celui-ci (se documenter si nécessaire). Terminer l entretien chaleureusement, encourager le patient à adhérer au suivi extérieur et lui souhaiter une bonne évolution.
24 Dans le cas d une sortie exigée ou d une fin de séjour décidée par l équipe: faire ressortir les points positifs et préparer une éventuelle prochaine hospitalisation dans de meilleures conditions. Rédiger les dernières notes, vérifier le dossier infirmier, compléter les derniers résultats des TC, rédiger la macrocible de sortie
25
26 Se renseigner en détails sur les faits Consulter l équipe sur les mesures à prendre Vérifier que la transgression fait partie d un règlement /contrat signé par le patient et se munir du document
27 Il s agit ici de confronter un patient ayant commis une transgression du cadre (règlement général ou contrat particulier) et d appliquer les mesures prévues.
28 Remettre le cadre en place Garder la cohérence de la prise en charge Appliquer le plan de soins prévu Eviter le clivage (cohésion d équipe) Présenter la décision de l équipe Responsabiliser le patient
29 Ne pas démarrer l entretien par l exploration de la transgression. S informer de l état de santé du patient. Orienter progressivement vers la transgression et les conditions dans lesquelles cela s est produit. Confronter le patient règlement/contrat Discuter des mesures à prendre telles que précisées dans le contrat ou discutées en équipe
30 Dans le cas où la décision est de mettre un terme au séjour, le médecin doit être présent pour le notifier au patient. Si une nouvelle prise en charge future est envisageable, le signaler au patient en précisant qu il vaut mieux arrêter un séjour qui bat de l aile et en programmer un nouveau que de «rafistoler» quelque chose qui ne fonctionne pas; Se baser sur l alliance thérapeutique pour que le séjour ne soit pas perçu comme un échec
31
32 Discussion en équipe des diagnostiques envisagés Révision des critères diagnostiques Analyse des résultats des différents examens Lectures des rapports antérieurs Consultation de la famille Avis médecin traitant
33 Il s agit ici d évaluer un patient pour lequel un diagnostique formel n a pas été posé par le médecin et pour lequel différentes orientations sont possibles aussi bien sur l axe 1 que sur l axe 2. Les informations obtenues sont transmises au psychiatre pour lui permettre d éclairer son avis quant au diagnostique du patient.
34 Recueillir des informations et les transmettre au psychiatre pour l aider à orienter le diagnostique. Explorer la symptomatologie en détails pour rédiger une analyse clinique pertinente (TC)
35 Référentiel entretien d aide au diagnostique p2 Avant l entretien Discussion avec le médecin, la psychologue et l équipe, partage d infos pouvant orienter l entretien - Prise de connaissance de résultats des examens réalisés et discussion avec le médecin 2) Pendant l entretien Exploration des symptômes et évaluation de leur aggravation / amélioration Evaluation de la conscience morbide Evaluation de l efficacité du traitement Evaluation de l apparition d éventuels effets secondaires Rédaction de la transmission ciblée
36 Il s agit par définition d un entretien imprévu et pratiqué dans l urgence par un infirmier qui n est sans doute pas le référent. Donc il convient de se documenter sur le cas du patient et de lire les différentes notes. Il faut aussi vérifier si un traitement si nécéssaire est prévu.
37
38 Gérer une crise aigüe Prévenir un passage à l acte Evaluer la nécéssité d un traitement supplémentaire Assurer la continuité des soins
39 Dans la mesure du possible programmer l entretien rapidement Créer un climat de confiance Veiller à la sécurité Prendre le temps d écouter Ne pas déborder sur d autres sujets que ceux qui causent la crise Renvoyer au référent dès que possible
40
Conseils pour réaliser un tableau de sortie
Conseils pour réaliser un tableau de sortie Ne pas oublier d adapter le langage au patient ou à l institution! Attention au langage trop scientifique ; mais rester cependant clair et précis ; faire passer
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailCon ditions complément aire s. Edition janvier 1997
H O S P I TAL «Royal Plus» (H1). Varia nte Economy Assurance des frais hospitaliers pour la couvert u re complémentaire des frais en division privée c h a m b re à 1 lit dans tous les hôpitaux de Suisse
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailLiège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085
Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailEstelle Marcault. 20/01/2012 URC Paris Nord 1
Estelle Marcault 20/01/2012 URC Paris Nord 1 Définition du Monitoring Surveillance de l avancement d un essai clinique Garantie que la conduite de l essai, les enregistrements et les rapports sont réalisés
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailLe case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers
XIIe Congrès Européen Lausanne, le 22 novembre 2013 Le case management de transition (CMT) Une illustration de pratique avancée en soins infirmiers Cécile Morgan & Patricia Jaunin, Infirmières spécialisées
Plus en détailNEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF
NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF ASSOCIATION LOI 1901 CONVENTION CONSTITUTIVE SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DU RESEAU ET OBJECTIFS POURSUIVIS ARTICLE 2 AIRE GEOGRAPHIQUE DU RESEAU ET POPULATION CONCERNEE ARTICLE
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailAssurance complémentaire santé OMS
Notice d information Edition 2014 Assurance complémentaire santé OMS BÉNÉFICIAIRES Le Groupement de Prévoyance et d Assurance des Fonctionnaires Internationaux (GPAFI) est une association à but non lucratif
Plus en détailUne infirmière re clinicienne en et soins de. Stomathérapie. fonction? L infirmière. re «clinicienne?» Rôle de l infirmil. ressource?
Une stomathérapie et soins de plaies : intérêt d une d telle fonction? Marie Magdeleine lefort ULB Erasme re «clinicienne?» re praticienne «nurse practitioner» Prise en charge de pathologies spécifiques
Plus en détailEnjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur
Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur Jessica FRIPPIAT Psychologue clinicienne Service d Hémato-oncologie Unité de Psychologie Hôpital Universitaire des enfants Reine Fabiola
Plus en détailLe soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé
Recommandations pour la pratique clinique Le soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé Recommandations Mai 2011 Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 35 allée
Plus en détailAQAssurance de la qualité
AQAssurance de la qualité Guide d Évaluation de l exercice Assurance de la qualité : Guide de l Évaluation de l exercice Pub. No. 54046 Copyright Ordre des infirmières et infirmiers de l Ontario, 2014.
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailJe m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale
Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Ma mutuelle paye un montant fixe chaque mois à ma maison médicale LE FORFAIT est un contrat entre patient, maison médicale et
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailDOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)
DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux
Plus en détailDemande de règlement au titre de l assurance invalidité hypothécaire Assurance-crédit Contrat n o 51007
Demande de règlement au titre de l assurance invalidité hypothécaire Assurance-crédit Contrat n o 51007 Représentant de BMO Banque de Montréal Prénom Nom de famille Timbre de la succursale domiciliataire
Plus en détailtestez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détailGestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional
Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut
Plus en détailUne protection d assurance de premier choix et de qualité suisse. Notre offre pour les expatriés
Une protection d assurance de premier choix et de qualité suisse Notre offre pour les expatriés Bienvenue chez le leader de l assurance-maladie en Suisse. Vous pouvez compter sur notre longue expérience
Plus en détailLignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6
Lignes directrices Pour l expertise en matière de garde d enfants et des droits d accès février 2oo6 INTRODUCTION................. 3 PRÉAMBULE.................. 3 I. AMORCE DU PROCESSUS........... 4 A.
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détaildroits des malades et fin de vie
DOCUMENT à CONSERVER ET À EMPORTER si VOUS êtes HOSPITALISé droits des malades et fin de vie La loi Leonetti Le respect de la personne Le rôle de votre médecin L accès aux soins palliatifs Photo couverture
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous?
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? Sommaire Edito Votre prise en charge à 100 % Comment cela
Plus en détailLes ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique
Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Préparé par: Rose-Anne Buteau, Inf. Ph D. (c) Sylvie Garand-Rochette, M.Sc.. Monique Thibault,
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque
PRADO, le programme de retour à domicile Insuffisance cardiaque Acteurs locaux CPAM/ELSM de Couverture Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DU CENTRE DE SOINS SPECIALISE LE CHÂTEAU DU BOY. Lanuéjols 48000 MENDE
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DU CENTRE DE SOINS SPECIALISE LE CHÂTEAU DU BOY Lanuéjols 48000 MENDE SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p. 3 PARTIE 1 PRESENTATION DE L ETABLISSEMENT
Plus en détailSECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES
Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée
Plus en détailDoit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?
Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de
Plus en détailPSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE
UNIVERSITE MONTPELLIER 1 DIPLOME UNIVERSITAIRE PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE Option A: Psychosomatique, thérapies de relaxation. Option B: Psychosomatique et psychothérapies
Plus en détailLes procédures médico-légales d hospitalisation
Les procédures médico-légales d hospitalisation D. CAILLOCE SAMU 87 Contexte de l hospitalisa0on sous contrainte (1) Par%cularité de la discipline psychiatrique où le malade n a pas forcément conscience
Plus en détailPROCEDURE SUR DEMANDE D UN TIERS OU EN CAS DE PERIL IMMINENT
PROCEDURE SUR DEMANDE D UN TIERS OU EN CAS DE PERIL IMMINENT Thème ANCIENNES DISPOSITIONS NOUVELLES DISPOSITIONS Appellation Hospitalisation sur demande d un tiers Soins psychiatriques sur demande d un
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailInformatisation du dossier infirmier dans les hôpitaux : état des lieux
Informatisation du dossier infirmier dans les hôpitaux : état des lieux B. Folens, M. Lardennois, N. Besri 2 Contexte Plan pluriannuel destiné à améliorer l attractivité de la profession infirmière (28
Plus en détailGARANTIE D ASSISTANCE 2015
GARANTIE D ASSISTANCE 2015 DOMAINE D APPLICATION 1. BENEFICIAIRES 2. PRISE D EFFET ET DUREE DES GARANTIES 3. COUVERTURE GEOGRAPHIQUE 4. FAITS GENERATEURS 5. MODALITES DE MISE EN OEUVRE POUR CONTACTER L
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détailLe dispositif d annonce. Information destinée aux patients atteints de cancer. édition actualisée Octobre 2009
Le dispositif d annonce Information destinée aux patients atteints de cancer G R A N D P U B L I C 2 édition actualisée Octobre 2009 Sommaire Introduction 1 Le dispositif d annonce 2 Le temps médical L
Plus en détailVIVRE ET TRAVAILLER EN SUISSE
VIVRE ET TRAVAILLER EN SUISSE + LE SYSTÈME DE SÉCURITÉ SOCIALE EN SUISSE + LE SYSTÈME SOCIAL Le système suisse de sécurité sociale est relativement complexe: chaque branche a ses particularités. Cela tient
Plus en détailAujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs.
MANAGERS : COMMENT PRENEZ-VOUS EN CHARGE LES CONFLITS? AUTO-EVALUEZ-VOUS! Dans un contexte économique morose et qui perdure, nous sommes confrontés à un grand nombre de difficultés et de frustrations.
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailI N A M I Institut National d'assurance Maladie Invalidité
I N A M I Institut National d'assurance Maladie Invalidité CIRCULAIRE AUX KINESITHERAPEUTES 2008/1 SOINS DE SANTE Correspondant : Tél. : 02/739.74.79 E-mail : kine@inami.fgov.be Website : www.inami.be
Plus en détailDOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES
DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice
Plus en détailDécouvrez les garanties
Découvrez les garanties la mutuelle santé et la couverture prévoyance qui s adaptent à vos besoins Découvrez vos garanties MGENERATION Initiale santé prévoyance Pack se soigner autrement action sociale
Plus en détailREFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES
REFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES Le médecin et le pharmacien bien que fréquentant souvent des facultés
Plus en détailSection narrative du plan d'amélioration de la qualité (PAQ) pour les organismes de soins de santé de l'ontario
Section narrative du plan d'amélioration de la qualité (PAQ) pour les organismes de soins de santé de l'ontario Centre d accès aux soins communautaires du Nord-Est Approuvé par le conseil d administration
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailL enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé
L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé 3 e conférence sur les traitements de la dépendance aux opioïdes Genève, 19 octobre 2012 Nicolas Bonnet, directeur du Respadd Anne
Plus en détailAssistance-voyage mondiale et service de conseils-santé
Assistance-voyage mondiale et service de conseils-santé ManuAssistance Assistance-voyage mondiale Votre couverture collective vous suit partout Lorsque vous voyagez au Canada ou dans un autre pays, vous
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailConseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail
Conseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail Document réalisé avec l aide de Philippe BIELEC, Ingénieur Conseil à la Direction des risques professionnels de la
Plus en détailCGA. Assurance des soins. (Conditions générales d assurance) Visana SA, sana24 SA, vivacare SA. Med Call (LAMal) Valable dès 2014
CGA (Conditions générales d assurance) Visana SA, sana24 SA, vivacare SA Valable dès 2014 Assurance des soins Med Call (LAMal) Table des matières Page 3 4 5 6 6 6 7 7 1. Principes 2. Prestations 3. Primes
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailÀ tout moment. une mutuelle sur qui compter
À tout moment une mutuelle sur qui compter Harmonie Mutualité, votre partenaire santé Votre entreprise vous permet de bénéficier d une complémentaire santé collective Harmonie Mutualité. En nous rejoignant,
Plus en détailSERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES. Livret d Accueil - 1 -
SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES Livret d Accueil - 1 - Sommaire Contrat de soins p 3 Contrat de séjour d occupation de l appartement Règlement intérieur d occupation de l appartement p 6 Fiche sociale
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailModalités de prise en charge d un appel de demande de soins non programmés dans le cadre. Centre de régulation médicale. Mars 2011
Modalités de prise en charge d un appel de demande de soins non programmés dans le cadre de la régulation médicale Mars 2011 Définitions Processus médical de prise en charge Centre de régulation médicale
Plus en détailAssistance médicale à la procréation. Informations pour les couples donneurs. Le don. d embryons
Assistance médicale à la procréation Informations pour les couples donneurs Le don d embryons Sommaire Le don d embryons, qu est-ce que c est? 2 Qui peut en bénéfi cier? Qui peut donner les embryons et
Plus en détailProchaine rencontre: jeudi 15 mai, 10h00/12h00 Maison des Habitants Centre-ville - 2 rue du Vieux Temple - Grenoble
Prochaine rencontre: jeudi 15 mai, 10h00/12h00 Maison des Habitants Centre-ville - 2 rue du Vieux Temple - Grenoble mortderuegrenoble.wordpress.com La «barque-mémoire» et «la passerelle», construits en
Plus en détailLe Domicile Collectif FTVS ( Foyer de Transition à la Vie Sociale)
Le Domicile Collectif FTVS ( Foyer de Transition à la Vie Sociale) Son histoire 1972 Situé à Villefranche-sur-Saône, le FTVS était un service de transition professionnelle vers le milieu ordinaire. 1993
Plus en détailLa gestion des situations de crise
agir sur le climat scolaire La gestion des situations de crise Enjeux et procédures Daniel Simon EMS Académie de Montpellier 06 32 82 73 73 daniel.simon@ac-montpellier.fr Sommaire Propos liminaires Avant
Plus en détailLe parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique
Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques
Plus en détailFMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36
FMC GMBS -02 MARS 2010 PROJET D EDUCATION THÉRAPEUTIQUE DE PROXIMITÉ DU PATIENT DIABÉTIQUE DIAPASON 36 PROJET RÉGIONAL «ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE ET MALADIES CHRONIQUES» DÉBUT EN 2007 DANS LE LOIRET, LE
Plus en détailN.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4
Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3
Plus en détailServices complémentaires en Outaouais
Services complémentaires en Outaouais La réalisa4on et le succès d un main4en à domicile d une personne âgée en perte d autonomie est un travail d équipe. Les acteurs de ce=e équipe sont d abord la personne
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailMutualité Chétienne de Liège 130. Place du XX Août 38 4000 LIEGE Tél. : (04) 221 73 11 Fax : (04) 221 74 09
Organisation Avantages Détails Accompagnants à l'hôpital Intervention de 6,20 euros par jour pour les frais de la personne qui loge dans la chambre du patient, 15 euros par jour si c'est un enfant de moins
Plus en détailCahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier
DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailL articulation Hôpital de jour Accueil de jour
les hôpitaux de jour dans les filières de soin : un dispositif en marche L articulation Hôpital de jour Accueil de jour Dr Nathalie SCHMITT Dr Jacques HILD CH Colmar L articulation Hôpital de jour Accueil
Plus en détailNOM DE L ELEVE :.. Dossier à rendre complété avant le 16 Mars 2015 (afin de vous éviter le temps des formalités lors de la pré-rentrée).
Dossier à rendre complété avant le 16 Mars 2015 (afin de vous éviter le temps des formalités lors de la pré-rentrée). NOM DE L ELEVE :.. Prénom : I. DOCUMENTS A RETOURNER A L ETABLISSEMENT Réservé à l
Plus en détailNote de recommandation Médecins du Monde. Concertation sur la Réforme de l Asile. Octobre 2013
Note de recommandation Médecins du Monde Concertation sur la Réforme de l Asile Octobre 2013 Introduction Cette note de contribution est rédigée dans le cadre de la concertation sur la Réforme de l Asile,
Plus en détailBien-être et Performance Collective Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble
Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble Comment concilier «bienêtre» et «performance collective»? Comment aider les opérationnels à assumer leur responsabilité managériale,
Plus en détailL observatoire «Entreprise et Santé»
LA SOCIÉTÉ D ÉTUDES ET DE CONSEIL L observatoire «Entreprise et Santé» Viavoice Harmonie Mutuelle en partenariat avec Le Figaro et France Info Enquête auprès des salariés et des dirigeants d entreprise
Plus en détailAssurance invalidité de courte durée. Guide du salarié
Assurance invalidité de courte durée Guide du salarié Assurance invalidité de courte durée Le présent guide contient les formulaires à remplir pour demander des prestations d invalidité et certains renseignements
Plus en détailIntroduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles
Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Cet outil offre aux conseillers en orientation professionnelle : un processus étape par étape pour réaliser une évaluation informelle
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détail