Économie Droit FICHES. 1re BAC. Objectif STMG. Marc JAILLOT. Bernard D ANGELO. Professeur agrégé d Économie et Gestion
|
|
- Nicolas Mongrain
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Objectif BAC FICHES 1re STMG Économie Droit Marc JAILLOT Professeur agrégé d Économie et Gestion Bernard D ANGELO Professeur agrégé d Économie et Gestion
2 Pour réviser efficacement! Des fiches synthétiques et complètes Les notions expliquées Économie Le cours Les échanges économiques 1 Les échanges entre les agents économiques A. Les échanges Fiche 3 L activité économique repose sur les échanges entre les différents agents économiques qui ont chacun des besoins spécifiques. Les échanges peuvent être des flux de biens et de services, des flux financiers, Flux des flux humains ou encore des flux d information. On distingue généralement Grandeur économique mesurée par rapport au temps. les flux réels (marchandises par exemple) des flux financiers (monnaie par exemple) ou d informations. L ensemble des échanges fait apparaître un vaste réseau complexe qui constitue le circuit économique. B. Le circuit économique Les interrelations multiples rendent difficile l élaboration d un schéma complet. Il est important de comprendre qu un circuit fonctionne par contrepartie. Ex. : Dans un même pays, la maîtrise de compétences spécifiques et/ou rares permet d obtenir des contreparties élevées (revenus, facturation). Les entreprises qui en ont besoin doivent donc établir un échange avec les individus les possédant. Les pays du golfe Arabique possèdent du pétrole en quantité importante dans leur sol et se sont spécialisés dans ce type de ressources qu ils commercialisent à travers toute la planète. Singapour investit énormément dans la recherche sur les nouvelles technologies, et les entreprises résidentes vendent des innovations ou des brevets aux autres entreprises ou aux ménages du monde entier. Les gains à échanger existent dès lors que l on peut trouver des ressources plus intéressantes et moins coûteuses chez d autres partenaires en France, au sein de l Union européenne ou à l international. B. Le développement des échanges Le développement des échanges permet d offrir plus de choix pour les consommateurs qui trouvent ainsi plus de réponses à leurs besoins. C est le cas des pays en fort développement dont les populations gagnent en pouvoir d achat (Chine, Brésil, Inde). Les quantités demandées seront alors plus importantes pour les entreprises qui peuvent réduire leurs coûts de production grâce aux économies d échelle. C est une des raisons qui poussent les entreprises à s ouvrir vers les marchés extérieurs et à croître pour plus de ventes et de bénéfices. Ex. : L ouverture du marché chinois crée des opportunités pour les entreprises françaises du luxe et du tourisme. Cela conduit aussi à une concurrence plus forte, en particulier sur les produits nécessitant une main-d œuvre conséquente. Ex. : Les agents «ménages» offrent leur travail en contrepartie d une rémunération. Les entreprises offrent des biens en contrepartie du paiement d une certaine quantité monétaire. Dépenses de Biens et consommation services Entreprises Ménages Travail Revenus monétaires (salaires) Le circuit économique est Les échanges peuvent re- Les échanges sont des constitué de flux entre les poser sur des flux de biens contreparties. agents. et services, de travail ou financiers. À retenir! 2 La justification des échanges 10 A. Les gains à échanger Les choix économiques imposent les échanges et les agents vont se spécialiser dans les compétences qu ils maîtrisent le mieux ou les ressources qu ils possèdent en quantité importante. Les agents tireront ainsi plus de profit, car ils seront les seuls à offrir ces produits ou ces compétences sur les marchés. 9 Un coin détachable pour se repérer lors de vos révisions à détacher Vu! Un petit mémo pour retenir l essentiel Des exemples pour bien comprendre Conception graphique Couverture : Mélissa Chalot Intérieur : Mélissa Chalot Réalisation Mise en pages : Patrick Leleux PAO Couverture : Sylvie Fécamp Édition : Stéphanie Jouzier ISBN : Hachette Livre 2015, 43, quai de Grenelle, Paris Cedex 15. Tous droits de traduction, de reproduction et d adaptation réservés pour tous pays.
3 Fiches Sommaire ÉCONOMIE Pages Les questions et enjeux économiques 1 Le problème économique Les agents économiques Les échanges économiques... 9 Création de richesses et performance 4 Les facteurs de production La combinaison des facteurs de production L organisation de la production L organisation du travail Les performances de l entreprise La mesure de la production de l entreprise La répartition des richesses 10 Les enjeux du partage de la valeur ajoutée La mesure de la production nationale Le revenu des agents Les revenus de transfert L affectation des revenus 14 La consommation La structure de la consommation L arbitrage entre consommation et épargne Niveau de vie et pouvoir d achat Le financement de l activité économique 18 La monnaie L inflation Le financement de l économie L autofinancement Le financement direct Les marchés financiers Le financement par les banques Les marchés concurrentiels 25 Le marché des biens et des services La loi de l offre et de la demande Les marchés concurrentiels L avantage concurrentiel L intervention de l État 29 Le rôle de l État L intervention de l État Les différents types d économie possibles Le budget de l État Les services publics La régulation des marchés
4 Sommaire DROIT Qu est-ce que le droit? 35 Pluralité et hiérarchie des règles de droit Les sources nationales directes du droit Les sources indirectes du droit les sources communautaires Comment le droit permet-il de régler des litiges? 39 Naissance du litige La preuve des droits subjectifs Les moyens de preuve Les principes de l action en justice Les différentes juridictions Quel tribunal saisir? Que peut-on faire face à une décision de justice? Les principes de déroulement d un procès Distinction entre la procédure civile et la procédure pénale Constitution de partie civile et procédures d urgence Qui peut faire valoir ses droits? 49 La personnalité juridique La personne physique La personne morale Le patrimoine Quels sont les droits reconnus aux personnes? 53 Les droits extrapatrimoniaux Le droit de propriété et ses limites L étendue du droit de propriété Biens corporels et biens incorporels Le brevet d invention La marque commerciale Quel est le rôle du contrat? 59 Le contrat Les clauses particulières Les conditions de validité des contrats Les effets du contrat Exécution et inexécution des contrats Inexécution des contrats synallagmatiques La responsabilité civile contractuelle Le contrat de consommation La protection du consommateur avant la formation du contrat La protection du consommateur lors de la formation du contrat La protection du consommateur lors de l exécution du contrat Les clauses abusives
5 Économie Le problème économique 1 Les besoins Fiche 1 A. L individu doit satisfaire ses besoins L individu a des besoins qu il cherche à satisfaire. Ces besoins sont nombreux et il existe souvent plusieurs solutions pour les satisfaire. Pour les besoins vitaux (se nourrir, se protéger des intempéries...), l individu va avoir recours aux produits proposés par les exploitants agricoles, les artisans ou les industries. Mais certains besoins ne nécessitent pas forcément un acte d achat, par exemple une marche à pied quotidienne aide les individus à se maintenir en bonne santé. B. Des besoins hiérarchisés n Le psychologue A. Maslow a hiérarchisé et découpé les besoins des individus en 5 catégories que l on découvre sous la forme de la «pyramide de Maslow». Pyramide des besoins Théorie élaborée à partir des observations réalisées dans les années 1940 par le psychologue Abraham Maslow sur la motivation. Besoin de réalisation Besoin d estime Besoins secondaires Besoin d appartenance Besoin de sécurité Besoins primaires Besoin physiologique n Les individus cherchent tout d abord à satisfaire leurs besoins «primaires» (se nourrir, se protéger), puis les besoins secondaires (appartenir à un groupe, être estimé par les autres, se dépasser). On parle de hiérarchisation pour expliquer qu un individu doit satisfaire un besoin inférieur avant de chercher à satisfaire un besoin supérieur. 5 à détacher Vu!
6 2 Des choix liés à la rareté A. La rareté n La rareté des ressources disponibles constitue l origine du problème économique. Tout n est pas disponible en quantité illimitée. Les biens les plus rares vont donc être très demandés et leur prix d acquisition va augmenter. n La courbe suivante illustre la variation du prix du produit en fonction de la quantité disponible de ce produit sur le marché : Demande des consommateurs Plus la demande des consommateurs augmente, plus les prix proposés vont être élevés. Prix B. Les ressources limitées des individus n Les individus disposent de ressources différentes, mais souvent limitées. Face à la rareté et aux prix des biens proposés, ils devront faire des choix appelés arbitrages. On dit que les individus doivent optimiser leurs choix sous contrainte de leurs ressources. n De leur côté, les entreprises vont tenter de s adapter aux besoins, et d y répondre en sélectionnant les biens et services à produire et en définissant les quantités appropriées. n L économie peut donc être considérée comme une science qui étudie la rareté et les choix réalisés par les consommateurs et les entreprises pour satisfaire les différents besoins des individus. nle problème économique À retenir! repose sur la rareté des ressources disponibles. nl individu cherche à maximiser la satisfaction de ses besoins. n La pyramide de Maslow permet d identifier cinq catégories de besoins. 6
7 Économie Les agents économiques Fiche 2 1 Les ménages et les entreprises A. Les ménages n Les ménages sont des unités de consommation constituées d un ou plusieurs individus partageant la même résidence. Cela peut être une famille avec plusieurs enfants ou un célibataire. Cela rejoint la notion de foyer regroupant des individus qui vivent sous le même toit. n La fonction économique principale des ménages est la consommation de biens et services. Cette consommation est rendue possible grâce aux revenus versés en contrepartie du travail effectué. L utilisation des services publics, gratuits ou payants, entre dans cette notion de consommation. Limiter la fonction des individus (devenus des «ménages») à la consommation est plutôt réducteur, et il faut prendre cette définition sous son seul aspect économique. n En France, environ un tiers des ménages est constitué de femmes ou d hommes célibataires et un quart est constitué de couple sans enfants. B. Les entreprises n Les entreprises sont des agents économiques qui ont pour principale activité la production de biens et de services. Ces produits seront vendus aux ménages (marché des particuliers) ou à d autres entreprises (marché des professionnels). L objectif est de créer de la richesse appelée valeur ajoutée, qui sera distribuée aux salariés, aux actionnaires ou à l entreprise elle-même pour son développement. n On distingue les sociétés non financières, qui produisent des biens et services classiques, des sociétés financières, qui proposent des services liés à la banque ou à l assurance. Leur objet est de faciliter la circulation de la monnaie (prêts, dépôts, produits bancaires) ou de garantir la protection des risques (assurances). 2 L État et les autres acteurs A. L État n L État regroupe l ensemble des administrations publiques, des collectivités territoriales et des organismes de Sécurité sociale : 7 à détacher Vu!
8 les administrations publiques sont représentées par les ministères. Certaines, comme les préfectures, sont des émanations déconcentrées de ces administrations ; les collectivités territoriales sont les régions, les départements et les communes. Elles sont autonomes et décentralisées ; les organismes de Sécurité sociale sont des services publics liés à la maladie, la retraite, la famille ou les accidents du travail. Administrations publiques État Collectivités territoriales Organismes de Sécurité sociale n La fonction principale de l État est de fournir aux ménages ou aux entreprises des services non marchands. Ces sont des missions d intérêt général assurées par les organismes publics et répondant à une demande des agents économiques. La justice, la défense nationale, la protection civile, les infrastructures routières sont des exemples de services publics. Pour être efficace, l État peut faire appel au secteur privé en lui confiant la gestion d un service public par «délégation». Ex. : La gestion des services d eau ou du transport public. État Forme d organisation politique et juridique d une société. Constitué d institutions qui exercent leur autorité sur un territoire défini. B. Le reste du monde Le reste du monde désigne tous les acteurs qui ne résident pas en France. Ce peut être des ménages à l étranger ou les entreprises installées dans d autres pays. Il est alors possible d identifier les relations économiques réalisées avec tous ces agents non résidents, extérieurs au pays. À retenir! nles ménages, les entreprises et les administrations résidentes en France sont appelées agents économiques. nl État a pour fonction principale de fournir des services non marchands. 8
9 Économie Les échanges économiques 1 Les échanges entre les agents économiques Fiche 3 A. Les échanges n L activité économique repose sur les échanges entre les différents agents économiques qui ont chacun des besoins spécifiques. Les échanges peuvent être des flux de biens et de services, des flux financiers, des flux humains ou encore des flux d information. On distingue généralement les flux réels (marchandises par exemple) des flux financiers (monnaie par exemple) ou d informations. Flux Grandeur économique mesurée par rapport au temps. n L ensemble des échanges fait apparaître un vaste réseau complexe qui constitue le circuit économique. B. Le circuit économique Les interrelations multiples rendent difficile l élaboration d un schéma complet. Il est important de comprendre qu un circuit fonctionne par contrepartie. Ex. : Les agents «ménages» offrent leur travail en contrepartie d une rémunération. Les entreprises offrent des biens en contrepartie du paiement d une certaine quantité monétaire. Dépenses de consommation Biens et services Entreprises Ménages Travail Revenus monétaires (salaires) 2 La justification des échanges A. Les gains à échanger n Les choix économiques imposent les échanges et les agents vont se spécialiser dans les compétences qu ils maîtrisent le mieux ou les ressources qu ils possèdent en quantité importante. Les agents tireront ainsi plus de profit, car ils seront les seuls à offrir ces produits ou ces compétences sur les marchés. 9 à détacher Vu!
10 Ex. : Dans un même pays, la maîtrise de compétences spécifiques et/ou rares permet d obtenir des contreparties élevées (revenus, facturation). Les entreprises qui en ont besoin doivent donc établir un échange avec les individus les possédant. Les pays du golfe Arabique possèdent du pétrole en quantité importante dans leur sol et se sont spécialisés dans ce type de ressources qu ils commercialisent à travers toute la planète. Singapour investit énormément dans la recherche sur les nouvelles technologies, et les entreprises résidentes vendent des innovations ou des brevets aux autres entreprises ou aux ménages du monde entier. n Les gains à échanger existent dès lors que l on peut trouver des ressources plus intéressantes et moins coûteuses chez d autres partenaires en France, au sein de l Union européenne ou à l international. B. Le développement des échanges Le développement des échanges permet d offrir plus de choix pour les consommateurs qui trouvent ainsi plus de réponses à leurs besoins. C est le cas des pays en fort développement dont les populations gagnent en pouvoir d achat (Chine, Brésil, Inde). Les quantités demandées seront alors plus importantes pour les entreprises qui peuvent réduire leurs coûts de production grâce aux économies d échelle. C est une des raisons qui poussent les entreprises à s ouvrir vers les marchés extérieurs et à croître pour plus de ventes et de bénéfices. Ex. : L ouverture du marché chinois crée des opportunités pour les entreprises françaises du luxe et du tourisme. Cela conduit aussi à une concurrence plus forte, en particulier sur les produits nécessitant une main-d œuvre conséquente. nle circuit économique est constitué de flux entre les agents. À retenir! nles échanges peuvent reposer sur des flux de biens et services, de travail ou financiers. n Les échanges sont des contreparties. 10
1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?
Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence
Plus en détailChapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts. Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA
Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA Objectif du chapitre Faire la différence entre les coûts et les charges Définir les inducteurs
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détailObservation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus
Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes
Plus en détailDEVOIR N 1 économie générale
PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le
Plus en détailPlan comptable des associations et fondations
Plan comptable des associations et fondations Classe 1 - Comptes de capitaux Classe 2 Comptes d immobilisations Classe 3 Comptes de stocks Classe 4 Comptes de tiers Classe 5 Comptes financiers Classe 6
Plus en détailDroit des sociétés 2015/16. Elise Grosjean-Leccia Christiane Lamassa Marie-Claude Rialland
Droit des sociétés 2015/16 Elise Grosjean-Leccia Christiane Lamassa Marie-Claude Rialland Dans la même collection Auto-entrepreneur 2015/2016 Droit de l immobilier 2015/2016 Droit des assurances 2015/2016
Plus en détailGérard Huguenin Gagner de l argent en Bourse
Gérard Huguenin Gagner de l argent en Bourse Groupe Eyrolles, 2007 ISBN 978-2-212-53877-9 L épargnant français est-il cigale ou fourmi? Le Français est plutôt fourmi. Les ménages français épargnent environ
Plus en détailChapitre 1 : La consommation et l épargne
Chapitre 1 : La consommation et l épargne - 7 - Dans ce chapitre vous allez : - Distinguer les différents types de consommation. - Découvrir de quels facteurs dépend la consommation. - Étudier ce qu est
Plus en détailELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE
Plus en détailTHÈME 1. Ménages et consommation
THÈME 1 Ménages et consommation 1 Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? SENSIBILISATION Étape 1 D où provient l argent des ménages? Revenus «primaires» Du travail
Plus en détailNOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER
NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER REMARQUES PRELIMINAIRES Les ménages n ont pas d obligation de tenir une comptabilité. En revanche, d une part, certaines situations liées à un état de dépendance
Plus en détailThème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie
Thème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie L activité économique repose sur trois rouages : Monnaie besoins production répartition consommation Échanges Marché 2 «La monnaie n
Plus en détailB.A.F.M. Brevet d Aptitude à la Formation des Moniteurs C.F.M.R.L. Centre de Formation de Moniteurs de la Région Lorraine
B.A.F.M. Brevet d Aptitude à la Formation des Moniteurs C.F.M.R.L. Centre de Formation de Moniteurs de la Région Lorraine 148, zone piétonne B.P. 50049 57601 FORBACH Cedex Tél : 03.87.29.35.71. Fax : 03.87.29.35.74.
Plus en détailQu est-ce que la Bourse?
Qu est-ce que la Bourse? Une bourse est un marché sur lequel se négocient des valeurs mobilières. Les émetteurs y offrent des titres que les investisseurs achètent ; ces derniers financent alors les agents
Plus en détailCommune de QUINT FONSEGRIVES 31130
31130 Marché Public de fournitures courantes et services Surveillance et Gardiennage des Bâtiments Communaux CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Procédure adaptée passée en application de l article
Plus en détailLe PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé
Loi1901.com présente : Le PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé (Prenant en compte les nouvelles dispositions du règlement N 99-01 du 16 février 1999 relatif aux modalités d établissement des comptes
Plus en détailCompte à Terme Solidarité du Crédit Municipal de Paris Conditions générales de fonctionnement s appliquant aux Comptes à Terme Solidarité
Compte à Terme Solidarité du Conditions générales de fonctionnement s appliquant aux Comptes à Terme Solidarité Article 1 : DEFINITION DU COMPTE A TERME (CAT) Le Compte à Terme Solidarité du est un compte
Plus en détailPrincipes anti-blanchiment de Wolfsberg pour les banques correspondantes
Principes anti-blanchiment de Wolfsberg pour les banques correspondantes 1 Préambule Le groupe de Wolfsberg d établissements financiers internationaux 1 s est accordé sur ces Principes qui constituent
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailVous conseiller pour les démarches clés
Vous conseiller pour les démarches clés Les principales formalités DANS LES 48 H DANS LA SEMAINE DANS LE MOIS DANS LES 6 MOIS Faire la déclaration de décès au service de l Etat Civil de la mairie pour
Plus en détailSuccès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base
Succès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base Les 10 Principes de Base Introduction Tout d abord, une bonne nouvelle: vendre en Russie n exige en général pas plus de préparation ni d informations
Plus en détailLA PYRAMIDE DES BESOINS VERSION 2.0
AGENCE DE COMMUNICATION INTERACTIVE LA PYRAMIDE DES BESOINS VERSION 2.0 MM Création 32 Avenue de Wagram 75 008 Paris Tél : 01 45 74 76 00 Fax : 01 45 74 95 06 E-mail : jn@mmcreation.com Site : www.mmcreation.com
Plus en détailPrestataires de services
Prestataires de services Découvrez les solutions d assurance et d assistance destinées à protéger votre activité professionnelle et à préserver votre vie privée. www.allianz.fr Avec vous de A à Z 2 Allianz,
Plus en détailles Contrats de mariage, les régimes matrimoniaux
Personnes et familles Vie familiale / vie à deux les Contrats de mariage, les régimes matrimoniaux www.notaires.paris-idf.fr Vie familiale, vie à deux LES CONTRATS DE MARIAGE ET LES RÉGIMES MATRIMONIAUX
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailL arbitrage entre consommation et épargne Activités pour l élève
L arbitrage entre consommation et épargne Activités pour l élève Introduction Document DU 1 REVENU : Du revenu PRIMAIRE primaire au AU revenu REVENU disponible DISPONIBLE SERVICES PUBLICS Education Santé
Plus en détailArticle. Bien-être économique. par Cara Williams. Décembre 2010
Composante du produit no 89-503-X au catalogue de Statistique Canada Femmes au Canada : rapport statistique fondé sur le sexe Article Bien-être économique par Cara Williams Décembre 2010 Comment obtenir
Plus en détailBulletin d information en économie de la santé n 32 - octobre 2000. questions 37% 24% Cadre et profession intellect. Profession intermédiaire
Bulletin d information en économie de la santé n 32 - octobre 2000 questions d économie de la santé analyses Repères La couverture complémentaire maladie finance 12 % des dépenses de santé et joue un rôle
Plus en détailCode des Usages de la Publicité sur le Lieu de Vente
Code des Usages de la Publicité sur le Lieu de Vente Le présent CODE des USAGES a pour objet de rassembler les usages et de préciser les conditions de vente et de prestations des PROFESSIONNELS qui créent,
Plus en détailLegis. Votre protection juridique
Legis Votre protection juridique Legis, gamme d assurances de protection juridique mobilité, privée et médicale du Groupe Mutuel Assurances GMA SA, vous aide à défendre vos intérêts lorsque vous êtes confronté
Plus en détailCOMMENT OUVRIR VOTRE COMPTE...
CONVENTION DE CONVENTION DE SERVICES SERVICES COMMENT OUVRIR VOTRE COMPTE... COMPLÉTEZ ET SIGNEZ le formulaire d ouverture de compte, le bordereau de transfert de portefeuille si nécessaire. JOIGNEZ LES
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailÉCONOMIE GÉNÉRALE FIIFO1
ÉCONOMIE GÉNÉRALE FIIFO1 2000-2001 MÉRÉ Aurélien AMC Economie - Page 1 INTRODUCTION GENERALE 3 NATURE DE L ACTIVITE ECONOMIQUE 3 L OBJET DE LA SCIENCE ECONOMIQUE 4 LES GRANDS COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE
Plus en détailSatinium CONTRAT D ASSURANCE VIE OU DE CAPITALISATION AVEC DÉLÉGATION D ARBITRAGE
Satinium CONTRAT D ASSURANCE VIE OU DE CAPITALISATION AVEC DÉLÉGATION D ARBITRAGE Afin de répondre à vos objectifs patrimoniaux, La Banque Postale vous propose Satinium, un contrat d assurance vie ou de
Plus en détailDéclaration d intention d aliéner ou demande d acquisition d un bien soumis à l un des droits de préemption prévus par le code de l urbanisme
Ministère chargé de l urbanisme Déclaration d intention d aliéner un bien (1) Demande d acquisition d'un bien (1) Déclaration d intention d aliéner ou demande d acquisition d un bien soumis à l un des
Plus en détailISATIS Antin FCPI 2014. Fonds Commun de placement dans l innovation Document à caractère promotionnel. Commissaire aux comptes
ISATIS Antin FCPI 2014 Fonds Commun de placement dans l innovation Document à caractère promotionnel Commissaire aux comptes Le capital investissement un enjeu majeur : pour notre économie, l emploi et
Plus en détailLes assurances du particulier. Place Reine Astrid 12-6820 FLORENVILLE. Tél : 061/31.22.33 - Fax : 061/31.53.03 info@verdun.be - www.verdun.
Les assurances du particulier Place Reine Astrid 12-6820 FLORENVILLE Tél : 061/31.22.33 - Fax : 061/31.53.03 info@verdun.be - www.verdun.be Verdun-Bastogne sa Depuis plus de 40 ans, nous mettons notre
Plus en détailANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4
409 ANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4 Les tableaux suivants présentent les éléments nécessaires à la confection des documents de synthèse figurant au compte de gestion. Ils permettent d associer
Plus en détailEn 2010, le ménage guadeloupéen recourt moins au. Endettement des ménages guadeloupéens : Faible recours aux crédits à l habitat
Pages économiques et sociales des Antilles-Guyane N 36 - mai 2013 Endettement des ménages guadeloupéens : Faible recours aux crédits à l habitat En Guadeloupe, en 2010, un ménage sur trois est endetté
Plus en détailQu est-ce qu une banque?
Qu est-ce qu une banque? Nathalie Janson 1 Financement de l Activité économique Développement des entreprises nécessite apport de fonds Les entreprises peuvent se financer de façon interne ou externe Les
Plus en détailREFERENTIEL D ACTIVITES PREPARATION DE LA VENTE ACCUEIL DES CLIENTS CONCLUSION D UNE VENTE TENUE DE CAISSE GESTION DE L ESPACE DE VENTE
REFERENTIEL D ACTIVITES NOM DU POSTE ACTIVITES PRINCIPALES ACTIVITES SPECIFIQUES VENDEUSE EN ELECTROMENAGER PREPARATION DE LA VENTE ACCUEIL DES CLIENTS CONCLUSION D UNE VENTE TENUE DE CAISSE GESTION DE
Plus en détailPROGRAMME DE DROIT CPGE Économique et commerciale, option technologique (ECT)
PROGRAMME DE DROIT CPGE Économique et commerciale, option technologique (ECT) 1. Les orientations générales L enseignement de droit est centré sur la maîtrise des mécanismes juridiques fondamentaux et
Plus en détail12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2013-T1 2013-T2 2013-T3 2013-T4 2014-T1 2014-T2 2014-T3 2014-T4 Fiche Synthèse Sectorielle juillet 2015 Activités juridiques, comptables,
Plus en détailLa séquence des comptes
La séquence des comptes Comptes des institutions sans but lucratif au service des ménages I: Compte de production P.2 Consommation intermédiaire B.1b Valeur ajoutée brute P.51c Consommation de capital
Plus en détailPrévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION. Infos INTRODUCTION : SOMMAIRE :
Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de la Dordogne - Infos Prévention n 15 Octobre 2010 Infos Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION SOMMAIRE : LES ENJEUX DE LA PREVENTION Introduction
Plus en détailINTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur
Université Montesquieu Bordeaux IV 1 ère année Licence AES Année universitaire 2012-2013 INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Questions préliminaires
Plus en détailIntroduction des. comptes d épargne libre d impôt
Introduction des comptes d épargne libre d impôt Comptes d épargne libre d impôt Une nouvelle façon d épargner Les comptes d épargne libre d impôt ont été introduits par le gouvernement fédéral dans le
Plus en détailASSOCIATION F.N.A.S.S.
Comptes annuels ASSOCIATION F.N.A.S.S. 12 RUE DE CAMBRAI - CS80011 59046 LILLE CÉDEX Exercice clos le 31 décembre 2013 SIRET : 783 713 688 00084 ASSOCIATION F.N.A.S.S. Exercice clos le 31 décembre 2013
Plus en détailProjet de mise en place de l Enquête Emploi du temps en Algérie
Projet de mise en place de l Enquête Emploi du temps en Algérie Mechti samia, Mokri samia, Roggaz Nacera Direction de la Population et de l Emploi, ONS Objectif L enquête Nationale sur l Emploi du temps
Plus en détailLe rôle du courtier principal
AIMA CANADA SÉRIE DE DOCUMENTS STRATÉGIQUES Le rôle du courtier principal Le courtier principal (ou courtier de premier ordre) offre aux gestionnaires de fonds de couverture des services de base qui donnent
Plus en détailPourquoi le Canada a besoin de services bancaires postaux
Pourquoi le Canada a besoin de services bancaires postaux Symposium international sur les services bancaires postaux John Anderson 613-290-0016 andersjs1@gmail.com «Ils sont des millions à ne pas avoir
Plus en détailResponsabilité pénale de l association
Responsabilité pénale de l association Infractions limitativement définies : Le code pénal prévoit la responsabilité pénale des personnes morales à raison des infractions réalisées pour leur compte et
Plus en détailCONVENTION DE PARTENARIAT AGENCES
CONVENTION DE PARTENARIAT AGENCES ENTRE, La société SHOPPING FLUX SARL, dont le siège social est situé : 21 avenue du Fort 92120 Montrouge Immatriculée au registre du commerce et des sociétés sous le numéro
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Décret n o 2014-1531 du 17 décembre 2014 relatif au taux des cotisations d allocations familiales et d assurance
Plus en détailBulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes
Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes N 2 bis du 2 avril 2009 C2008-113 / Lettre du ministre de l économie, de l industrie et de l emploi du 28 octobre
Plus en détailL Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels. Note de méthode
L Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels Note de méthode La place qu occupe Crédit Logement dans le marché des crédits immobiliers (hors les rachats de
Plus en détailCOMMENT OUVRIR VOTRE COMPTE CLUB D INVESTISSEMENT
CONVENTION DE CONVENTION DE SERVICES SERVICES COMMENT OUVRIR VOTRE COMPTE CLUB D INVESTISSEMENT COMPLÉTEZ ET SIGNEZ le formulaire d ouverture de compte, la fiche individuelle pour chaque membre (trésorier,
Plus en détailMa banque. Les prêts hypothécaires BCJ
Les prêts hypothécaires BCJ Ma banque Simple et avantageux, les prêts hypothécaires BCJ. Vous pensez qu il est plus avantageux d acheter son logement que de continuer à payer un loyer à fonds perdus?
Plus en détailN 24 avril 2015. Secrétariat de la CCMOSS 1/7
N 24 avril 2015 Secrétariat de la CCMOSS 1/7 ACTUALITES Publication d un «mode d emploi sur les achats socialement responsables»..... 3 D E F I N I T I O N Qu est-ce que le système de management environnemental
Plus en détailLES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1
LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et
Plus en détailSaint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud
PROVENCE-ALPES-COTE D'AZUR 17 rue Menpenti 13387 MARSEILLE CEDEX 1 Tél. : 4 91 17 57 57 Fax : 4 91 17 59 59 http://www.insee.fr TERRITOIRE CA POLE AZUR PROVENCE 5 communes, 2 chefs lieux de cantons, unité
Plus en détailLes seniors, une cible délaissée
Les seniors, une cible délaissée Pascale HEBEL, Franck LEHUEDE Aujourd hui, plus d un tiers de la population française a plus de 50. Depuis dix, la croissance de la part des seniors d la population s est
Plus en détailComment faire une demande d aide à l emploi et au revenu au Manitoba
Comment faire une demande d aide à l emploi et au revenu au Manitoba................... Emploi et Économie QU EST-CE QUE LE PROGRAMME D AIDE À L EMPLOI ET AU REVENU? Le Programme d aide à l emploi et au
Plus en détailMarché public LIGNE DIRECTRICE SUR LA FIXATION DES FRAIS DANS UNE PROCÉDURE DE PLAINTE TRIBUNAL CANADIEN DU COMMERCE EXTÉRIEUR
Canadian International Trade Tribunal Tribunal canadien du commerce extérieur TRIBUNAL CANADIEN DU COMMERCE EXTÉRIEUR Marché public LIGNE DIRECTRICE SUR LA FIXATION DES FRAIS DANS UNE PROCÉDURE DE PLAINTE
Plus en détailC V 1 Extrait du Plan Comptable Général
C.V Extrait du Plan Comptable Général C V 1 Extrait du Plan Comptable Général Sont reproduits les seuls comptes détaillés dans ce cours ou ceux qui nous semblent compréhensibles. Les comptes spécifiques
Plus en détailVous permettre d entreprendre avec assurance?
Vous permettre d entreprendre avec assurance? Le bureau Verdun s y engage Place Reine Astrid 12-6820 FLORENVILLE Tél : 061/31.22.33 - Fax : 061/31.53.03 info@verdun.be - www.verdun.be Verdun-Bastogne sa
Plus en détailPartie 2 : Qui crée la monnaie?
Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n
Plus en détailCOMMENT OUVRIR VOTRE COMPTE...
CONVENTION DE CONVENTION DE SERVICES SERVICES COMMENT OUVRIR VOTRE COMPTE... COMPLÉTEZ ET SIGNEZ le formulaire d ouverture de compte, le bordereau de transfert de portefeuille si nécessaire. JOIGNEZ LES
Plus en détailINITIATION A LA GESTION DE PATRIMOINE
INITIATION A LA GESTION DE PATRIMOINE L AUREP propose des séminaires sur mesure pour les conseillers en gestion de patrimoine junior et pour les collaborateurs des conseillers. Il s agit d une sensibilisation
Plus en détailASSUR Expat 1 er euro
ASSUR Expat 1 er euro Avec NOVALIS Mobilité, associez la couverture sociale de vos salariés à votre développement international Offre collective RETRAITE PRÉVOYANCE SANTÉ ÉPARGNE Pour votre entreprise,
Plus en détailGuide de planification successorale
Guide de planification successorale Guide de planification successorale renseignements personnels Nom et prénom à la naissance : Pour vous aider à effectuer la planification de votre succession, nous avons
Plus en détailLA DYNAMIQUE DES PRIX AGRICOLES évolutions fondamentales, financiarisation, spéculation
LA DYNAMIQUE DES PRIX AGRICOLES évolutions fondamentales, financiarisation, spéculation Michel Aglietta Université Paris Nanterre, Cepii et Groupama-am Evolutions fondamentales: Distinguer tendance de
Plus en détailLES CONDITIONS REQUISES POUR CREER UNE SARL
LES CONDITIONS REQUISES POUR CREER UNE SARL Hôtel Consulaire Nouveau-Port 20293 BASTIA Tél : 04.95.54.44.44 Fax : 04.95.54.44.47 DIRECTION DES SERVICES AUX ENTREPRISES CCI Bastia Haute Corse DSE Sous réserve
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailDOSSIER DE CREATION D'ENTREPRISE
DOSSIER DE CREATION D'ENTREPRISE BUSINESS PLAN Partie 1 : Présentation de votre projet 1 Vous êtes prêt à créer votre entreprise? Ce dossier va vous permettre de préciser et de mettre en forme votre projet
Plus en détailSommaire. La famille. L immobilier. Le couple. La gestion des biens du couple. La séparation. La gestion des biens des mineurs et des incapables
Sommaire La famille Le couple 1. Union 12 2. Mariage, Pacs, concubinage : que choisir? 13 La gestion des biens du couple 3. Biens meubles et immeubles 15 4. Régime primaire 17 5. Choix du régime matrimonial
Plus en détailNIC BURKINA FASO - CHARTE DE NOMMAGE DU POINT BF ******* REGLES D'ENREGISTREMENT POUR LES NOMS DE DOMAINE SE TERMINANT EN.BF
AUTORITE DE REGULATION DES COMMUNICATIONS ELECTRONIQUES ------------------ CONSEIL DE REGULATION Burkina Faso Unité - Progrès - Justice NIC BURKINA FASO - CHARTE DE NOMMAGE DU POINT BF ******* REGLES D'ENREGISTREMENT
Plus en détailGESTION DU PATRIMOINE
Jean-Marc AVELINE Christian PRISCO-CHREIKI GESTION DU PATRIMOINE, 2007 ISBN : 978-2-212-53808-3 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 1 PREMIÈRE PARTIE LES GRANDS PRINCIPES DE LA GESTION DE PATRIMOINE CHAPITRE
Plus en détailINDICATIONS COMPLÉMENTAIRES
eduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Science économique 4. La monnaie et le financement Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 4.3 : Qui crée la monnaie? INDICATIONS
Plus en détailC IV 3 Les documents de synthèse (présentation simplifiée)
C IV 3 Les documents de synthèse (présentation simplifiée) Voici les documents de synthèse conformes au Plan Comptable Général. Pour les rendre accessibles, nous n en avons reproduit que les lignes rencontrées
Plus en détailPlanification de la relève Troisième partie : La vente de l entreprise à un tiers
Planification de la relève Troisième partie : La vente de l entreprise à un tiers par LORI MATHISON Voici le dernier d une série de trois articles rédigés par Lori Mathison et publiés sur le Reper portant
Plus en détailESSEC Cours Wealth management
ESSEC Cours Wealth management Séance 9 Gestion de patrimoine : théories économiques et études empiriques François Longin 1 www.longin.fr Plan de la séance 9 Epargne et patrimoine des ménages Analyse macroéconomique
Plus en détailIle-de-France Bourgogne Rhône-Alpes PACA
10.3 Ile-de-France Bourgogne Rhône-Alpes PACA FIP éligible à la réduction et l exonération de l ISF Un placement bloqué sur 6,5 ans, soit jusqu au 31 décembre 2016 (pouvant aller jusqu à 8,5 ans, soit
Plus en détailLe compte épargne temps
2010 N 10-06- 05 Mi à jour le 15 juin 2010 L e D o i e r d e l a D o c 1. Définition Sommaire 2. Modification iue du décret n 2010-531 3. Principe du compte épargne temp Bénéficiaire potentiel Alimentation
Plus en détailPERP Gaipare Zen. Prévoir le meilleur pour votre retraite
PERP Gaipare Zen Prévoir le meilleur pour votre retraite On a tous une bonne raison d épargner pour sa retraite Composante de votre avenir, la retraite s envisage comme une nouvelle vie, synonyme de liberté.
Plus en détailC U R R I C U L U M V I T A E
Mme Anne Pélissier Faculté de Droit Centre du Droit de l Entreprise 39, rue de l Université 34060 MONTPELLIER cedex 2 e-mail : anne.pelissier@univ-montp1.fr C U R R I C U L U M V I T A E FONCTIONS Professeur
Plus en détailRISQUE SPORTIF ET ASSURANCE
RISQUE SPORTIF ET ASSURANCE 1 SOMMAIRE I. NOTION DE RESPONSABILITES A. La responsabilité civile 1. La responsabilité civile délictuelle 2. La responsabilité civile contractuelle B. La responsabilité pénale
Plus en détailDossier d adhésion au Fonds Mutuel de Solidarité
Dossier d adhésion au Fonds Mutuel de Solidarité Documents et informations à transmettre OBLIGATOIREMENT à l étude du dossier Par mail : k.berdoulat@unat.asso.fr et courrier associations, aux Fédérations
Plus en détailCitoyens américains vivant au Canada: 10 questions d ordre fiscal à se poser
Citoyens américains vivant au Canada: 10 questions d ordre fiscal à se poser Selon des informations récemment relayées par les médias canadiens, environ un million de ressortissants américains vivraient
Plus en détailwww.btsag.com 31 Coûts complets
www.btsag.com 31 Coûts complets Claude Terrier btsag.com 1/24 11/10/2010 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE
Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion I. PRESENTATION GENERALE 1. Les objectifs du programme Le système
Plus en détailDÉMARRER AU QUART DE TOUR
assurance de biens PRIMA AUTO DÉMARRER AU QUART DE TOUR DES GARANTIES QUI VONT PLUS LOIN CAPITAL INVALIDITÉ DU CONDUCTEUR jusqu à 1 MILLION (1) VÉHICULE DE REMPLACEMENT GRATUIT Pour aller de l indispensable
Plus en détailCONTRAT DE LICENCE D UTILISATION DU LOGICIEL MORPH M SOUS LA FORME MORPH M PYTHON
CONTRAT DE LICENCE D UTILISATION DU LOGICIEL MORPH M SOUS LA FORME MORPH M PYTHON Version du 3 mai 2007 PREAMBULE ARMINES via le Centre de Morphologie Mathématiques commun à ARMINES et l Ecole des Mines
Plus en détailACCORD ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA REPUBLIQUE FRANÇAISE ET LE GOUVERNEMENT DE LA REGION ADMINISTRATIVE SPECIALE DE HONG KONG DE LA REPUBLIQUE
ACCORD ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA REPUBLIQUE FRANÇAISE ET LE GOUVERNEMENT DE LA REGION ADMINISTRATIVE SPECIALE DE HONG KONG DE LA REPUBLIQUE POPULAIRE DE CHINE EN VUE D EVITER LES DOUBLES IMPOSITIONS
Plus en détailLe revenu et le pouvoir d achat
Le revenu et le pouvoir d achat Le revenu & le pouvoir d achat Le revenu d une personne est la somme d argent perçue en contrepartie du travail fourni, de ses placements, d un service rendu ou d une situation
Plus en détailRÉSUMÉ DES MESURES FISCALES DU BUDGET DU QUÉBEC DU 26 MARS 2015
LE RÉSEAU DES SERVICES DE COMPTABILITÉ ET DE FISCALITÉ DE L'UPA RÉSUMÉ DES MESURES FISCALES DU BUDGET DU QUÉBEC DU 26 MARS 2015 AVIS Prenez note que les mesures fiscales du budget du Québec ne sont pas
Plus en détail