Caractérisation de l élevage bovin laitier en zone de montagne. Cas de la wilaya de Tizi-Ouzou

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1 Caractérisation de l élevage bovin laitier en zone de montagne. Cas de la wilaya de Tizi-Ouzou MOUHOUS A. (1), AYADI F. (1), OUCHENE A. (1) (1) Faculté des Sciences Biologiques et Agronomiques, Université Mouloud MAMMERI de Tizi-Ouzou, Algérie mouhousazeddine@yahoo.fr Introduction. En Algérie, le lait représente une part importante dans la ration alimentaire des populations, surtout celles à bas âge. Malgré une évolution moyenne de 2,6% de la production laitière depuis 2000 (FAOSTAT, 2011), cette dernière n arrive toujours pas à couvrir une demande sans cesse en croissance. Mais les importations demeurent la seule solution pour pallier au problème de la demande nationale en lait. L élevage bovin représente 50% de la valeur ajoutée agricole (MADR, 2007). En zone de montagne, il est considéré comme l un de plus important dans le secteur agricole. Son rôle dans l emploi est non négligeable dans une région où le chômage atteint 18% de la population active (DPAT, 2009). Dans une région où la superficie agricole utile est insuffisante (0,27 ha/hab) 1 la culture des fourrages est peu développée. L alimentation des vaches, basée essentiellement sur le concentré provenant du marché, constitue une contrainte au développement de ces élevages. Notre étude consiste à explorer les volets techniques et économiques des élevages bovins laitiers. L objectif principal de cette étude est de faire une caractérisation technique et socioéconomique des élevages bovins laitiers en zone de montagne, et l identification des contraintes et des potentialités des systèmes d élevages actuels. Matériels et méthodes. Une enquête a été menée entre janvier et juillet 2011, dans la région de Tizi-Ouzou. Elle a concerné un échantillon de 97 exploitations. Les méthodes d analyse utilisées sont d abord, les méthodes d analyse descriptives habituelles (fréquences, écart-types, etc..) et ensuite la méthode d analyse discriminante. Elle est réalisée par l analyse en nuée dynamique (K- Means) sur un ensemble de variables afférentes à (SAU, effectif bovin laitier et UTA 2 ). Pour estimer les performances économiques de la production laitière, certains paramètres ont été calculés à savoir ; les coûts variables, estimation de la valeur monétaire de la production laitière, et les marges brutes qui sont définies comme étant la différence entre le rendement et les charges variables (Desbois, 2000). Présentation de la zone d étude. La région de Tizi-Ouzou est située, dans la partie nord du pays. Elle couvre une superficie de 2 975,79 km², soit 0,13% du territoire national. L espace de la région d étude se forme par 5 ensembles physiques (Le massif kabyle, la zone des vallées, la chaine côtière, la chaine de Djurdjura et la dépression de Draa El Mizan) qui confèrent à la région le caractère montagneux. La Wilaya de Tizi-Ouzou compte une population de habitants. En 1 Ferrah, UTA : unité travail annuelle (main d œuvre)

2 termes numérique, l élevage bovin laitier est classé en deuxième position après l ovin, avec vaches (bovin local et amélioré). Sa capacité de production aurait atteint plus de 82 millions de litres (compagne agricole 2009/2010) (DSA, 2010). Résultats et discussions. Présentation des unités d exploitation. Le constat à faire, est qu en moyenne l âge des éleveurs est de 35 ans. Le nombre d ouvriers permanent dans l exploitation ne dépasse pas 2 UTA (tableau 1). Dans les élevages bovins laitiers au Maroc, Srairi (2004) signale un nombre d UTA similaire. Il faut signaler que ceux qui exercent l activité élevage, 52% d entre-deux ont un niveau scolaire qui ne dépasse pas le premier palier. Les universitaires ne suscitent pas leur engouement envers cette activité. Alimentation du troupeau. La pauvreté de la région en sol constitue une contrainte pour l extension des superficies cultivées en fourrage. De ce fait, les éleveurs sont forcés de se rabattre sur les marchés d aliments de bétail pour s approvisionner. Les animaux sont en stabulation quasipermanente. L essentiel de leur alimentation est assurée par le concentré qui est distribué quotidiennement et durant toute l année avec une moyenne de 7 kg/tête/jour. Les pâturages constituent une source alimentaire, surtout au printemps et en été. En moyenne, un troupeau passe sur les pâturages quelques 3,5 heures/jour. Les écart-types importants montrent que 24% des éleveurs ne font pas sortir les animaux aux pâturages, ils sont en stabulation entravée permanente. Typologie des élevages - Analyse discriminante des élevages L analyse en nuée dynamique (tableau 1) a montré 5 types d éleveurs bien distincts par rapport à la dotation en facteurs de production. Le premier groupe se constitue des types 1 et 2. Leurs dotation en facteurs de production est en dessous de la moyenne de l échantillon, ils représentent près de 70% des exploitations de l échantillon. Tableau 1: Moyennes des classes de ressources des éleveurs Classes/variables UTA SAU totale (ha) Effectif bovin laitier Echantillon 2 12,1 12,95 N=97 (0,11) (1,62) (1,52) Type 1 (N=43) 1 6,46 6,907 (0,07) (1,04) (0,51) Type 2 (N=24) 2 7,25 11,71 (0,12) (1,19) (1,30) Type 3 (N=18) 1 10,83 13,89 (0,00) (1,77) (3,24) Type 4 (N=9) 2 48,17 21 (0,17) (8,69) (3,91) Type 5 (N=3) (0,67) (8,96) (5,77)

3 Le deuxième groupe est représenté par le type 3. Près de 19% de l échantillon est considéré comme étant des éleveurs moyens. Enfin, le dernier groupe se constitue des types 4 et 5. Il représente plus de 12% de l échantillon. Quelques paramètres de la production et de gestion du lait. La productivité laitière est estimée à 10,52 litres/vache/jour pour l ensemble des éleveurs de l échantillon (tableau 2). Ce rendement se rapproche de celui signalé par Kadi et Djellal (2007) dans la même région d étude, qui est de 9,45. En outre, Adem (2003) rapporte un rendement de 9,49 litres/vache/jour. Il faut noter que près de 90% des élevages ont une productivité inférieure à la moyenne. Tableau 2: Comparaison interclasses de quelques paramètres de production laitière Classe/ Paramètres Type 1 Type 2 Type 3 Type 4 Type 5 Echantillon Productivité (litres/vache/jour) 10,54 9,93 9,69 12,66 13,5 10,52 (0,58) (1,00) (0,68) (1,68) (1,80) (0,42) Nombre traites/jour 1,88 1,92 1,89 1,89 2 1,9 (0,05) (0,06) (0,08) (0,11) (0,00) (0,03) Durée d exploitation du lait (mois) 9,56 9,33 9,11 9,22 9,33 9,38 (0,13) (0,10) (0,14) (0,15) (0,33) (0,07) Alimentation en concentré kg/vache/jour 6,83 (0,50) 6,33 (0,60) 7,22 (0,48) 8 (1,11) 10 (2,00) 6,99 (0,31) Par ailleurs, les vaches sont traites pratiquement 2 fois/jour. En outre, la durée d exploitation du lait de tous les élevages est la même, en moyenne 9,38 mois. Vente et auto-consommation du lait. La quantité de lait autoconsommée est la plus importante (6,9 litres/jour) dans les ménages les moins nantis (type 3). De même, la plus faible quantité de lait vendue est enregistrée dans les élevages du type 1 (en moyenne 74,04 litres/jour). Seuls les types 4 (239,22 litres/jour) et 5 (1126,66 litres/jour), qui sont les plus dotés en ressources de production, arrivent à dépasser la moyenne de l échantillon (143,29 litres/jour). Tableau 3: Autoconsommation et vente de lait dans les ménages (litres/jour/ménage) Classe/ Paramètres Type 1 Type 2 Type 3 Type 4 Type 5 Echantillon 6,9 5,42 5,72 5,88 6,66 6,22 Autoconsommation (0,97) (0,47) (0,61) (0,81) (1,67) (0,47 Vente Consommation per capita 74,04 119,65 128,44 239, ,66 143,29 (10,02) (21,90) (42,07) (40,62) (241,53) (22,38) 0,89 0,71 0,77 0,70 1,06 0,81 (0,14) (1,56) (4,56) (0,13) (0,34) (0,93) Par ailleurs, la moyenne générale de l autoconsommation atteint 4% de la production laitière. Pour les types 2,3 et 4, la part de la production consommée représente 4% de la production. Performance économique des élevages bovins laitiers.

4 L estimation du coût de production indique que les dépenses alimentaires représentent 90% du coût de production, et ce pour les différents types (tableau 4). De ce fait, l élevage exprime une relation très dépendante du marché. Pour les soins vétérinaires et la main d œuvre, qui représentent chacun d eux en moyenne 5%, il n y a pas de différence significative entre les différents groupes d éleveurs. Tableau 4: coûts, revenus et marges des producteurs laitiers. Type 1 Type 2 Type 3 Type 4 Type 5 vente , , , ( ,37) ( ,7) ( ,46) (51.961,62) ( ,88) Achat aliments , , , , ,66 (72.796,7) ( ,64) ( ,91) ( ,55) ( ,42) Coût totaux variables , , , , (80.102,72) ( ,14) ( ,64) ( ,65) ( ,8) Revenu monétaire net , , , (80.243,67) ( ,17) ( ,24) ( ,02) ( ,2) Subventions à la production de lait , Revenu monétaire avec subvention (40.623,21) ,65 ( ,09) (91.216,93) ,5 ( ,31) ( ,33) ( ,06) ( ,03) ,44 ( ,37) ( ,23) ( ,5) Par ailleurs, parmi les politiques incitatives à la production laitière que l Etat a mis en place, on évoque les subventions à la production de lait (15 DA/litre), pour les élevages agrées. Cette subvention contribue fortement au revenu net total. Il faut noter que les subventions à la production de lait constituent 53% du revenu total des éleveurs. En plus, pour les éleveurs du type 1,2 et 3, cette subvention représente 62% de leur revenu total. Pour les types 4 et 5, représentés par les éleveurs les plus nantis, la subvention de production laitière contribue à la formation du revenu total à hauteur de 42%. Conclusion. Les exploitations «bovins laitiers» sont gérées par des jeunes éleveurs dont l âge moyen est de 34 ans. Leurs niveaux d instruction arrivent tout de même à toucher le niveau secondaire. Les animaux sont en stabulation quasi-permanente. Pour l alimentation des animaux, la distribution du concentré est en moyenne 7 kg/vache/jour. La couverture sanitaire semble être maitrisée puisque on ne signale pas de maladies contagieuses qui peuvent dévaster tous les troupeaux. La structure des troupeaux montre que le nombre de femelles reproductrices varie de 6 à 80 avec une moyenne de près de 13 femelles/troupeau. La productivité de ces vaches atteint en moyenne 10,52 litres/jour avec deux traites/jour. 42% des troupeaux de l échantillon n atteignent pas ce niveau de productivité. L autoconsommation moyenne de lait atteint 6,22 litres/jour. Ceci représente 4% de la production laitière. L analyse des coûts de production indique que les dépenses alimentaires représentent 90% des coûts de production. Les revenus estimés sont en fonction des investissements consentis dans les élevages. En fin, les subventions à la production du lait représentent 53% du revenu moyen des éleveurs. Ce pourcentage diminue au fur et à mesure qu on passe d un type moins nantis à celui plus nantis. Il semble que l Etat, par le transfert de richesses, assure la moitié des revenus des éleveurs à travers les subventions.

5 Références bibliographiques Adem R 2003 : Les exploitations laitières en Algérie: structure de fonctionnement et analyse des performances technicoéconomiques : cas des élevages suivis par le C.I.Z. Belkheir B, Benidir M, Bousbia A et Ghozlane F. 2011: Typologie des exploitations bovines laitières en zone de montagne de la région de Tizi-Ouzou (Algérie). Livestock Research for Rural Development volume 23, article N Desbois, D., Evaluation micro-économique de la marge brute standard sur la base du RICA. Bureau du RICA / SCEES / DAF. DPAT, Annuaire statistiques de la Direction de la Planification et de l Aménagement du Territoire. Wilaya de Tizi- Ouzou DSA, Annuaire statistique agricole de la Wilaya de Tizi-Ouzou. Service des Statistiques. Direction des Services Agricoles de la Wilaya de Tizi-Ouzou FAOSTAT 2011 : évolution de la production de lait, Algérie. FERRAH Ali, 2005 : Aides publiques et développement de l élevage en Algérie. Contribution à une analyse d impact ( ). Cabinet GREDAAL.COM. Kadi SA, Djellal F et Berchiche M : Caractérisation de la conduite alimentaire des vaches laitières dans la région de Tizi-Ouzou, Algérie. Livestock Research for Rural Development volume 19, article N MADR (Ministère d agriculture et du développement rural) 2007 : Rapport de la situation agricole de l année p. Algérie. Srairi M.T 2004 : Typologie des systèmes d élevage bovin laitier au Maroc en vue d une analyse de leurs performances. Thèse de Doctorat ; Faculté universitaire des sciences agronomiques de Gembloux. Unité de Zootechnie. Belgique. Temmar N 2007: Fiche de synthèse «Le marché de lait en Algérie». Ambassade de France en Algérie, Mission économique, 5 p

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