SKW. Sécurité des détergents et lessives pour l homme et l environnement. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband
|
|
- Claude Rancourt
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 SKW Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband Association suisse des cosmétiques et des détergents The Swiss Cosmetic and Detergent Association Sécurité des détergents et lessives pour l homme et l environnement
2 Législation de protection de l homme et de l environnement 3 Evaluation du risque d une substance 4 Essais de sécurité des fabricants 4 Programme d essais pour la détermination de la compatibilité avec l environnement 5 Détermination de l élimination et de la concentration dans l environnement 6 Détermination de la toxicité 6 Les détergents et les lessives sont sûrs 6 Glossaire 7
3 Législation de protection de l homme et de l environnement Les détergents et lessives sont utilisés quotidiennement par des millions de personnes. L industrie des lessives doit s assurer que les produits qu elle fabrique apportent non seulement un bon service, mais n ont pas d effets préjudiciables sur l homme, les animaux et l environnement. Bien que les lois définissent un cadre déterminé, l autocontrôle est d une grande importance. Il est dans l intérêt de chaque fabricant de s assurer aussitôt que possible de la compatibilité envers l homme et l environnement des différentes substances utilisées, de même que des produits finis, en particulier dans l industrie des lessives où le développement des produits dure souvent plusieurs années avant de poursuivre des investissements dans le développement. Aucune entreprise ne peut se permettre face à la dure concurrence existante de ne pas scrupuleusement satisfaire aux obligations de précaution. Les détergents et lessives doivent être sûrs pour l homme et l environnement. Cette exigence de sécurité est, en Suisse, réglementée dans différentes lois. La base de la législation applicable est la loi de la protection de l environnement (LPE) et celle sur les produits chimiques (Lchim). Toute une série d ordonnances s y réfère: _ Ordonnance sur la protection des substances et des préparations dangereuses (Ordonnance sur les produits chimiques, OChim) Ordonnance concernant la mise sur le marché et l utilisation des produits biocides (Ordonnance sur les produits biocides, OPBbio) Ordonnance sur la réduction des risques liés à l utilisation de substances, de préparations et d objets particulièrement dangereux (Ordonnance sur la réduction des risques liés aux produits chimiques, ORRChim) Ordonnance sur la protection des substances et des préparations dangereuses (Ordonnance sur les produits chimiques, OChim) L utilisation des substances et préparations y est en particulier réglementée. L autoresponsabilité/ l autocontrôle du fabricant y joue un rôle important. Les étiquetages précis décrits, de même que les prescriptions d application, les avertissements, les conseils d élimination, etc. sont importants. Ordonnance concernant la mise sur le marché et l utilisation des produits biocides (Ordonnance sur les produits biocides, OPBbio) Les produits biocides sont destinés à prévenir la présence ou à rendre non dangereux des organismes nocifs déterminés par voie chimique ou biologique. Des exigences particulières existent pour eux. Les agents actifs biocides nécessitent des examens très approfondis avant une utilisation. D autre part des preuves d efficacité doivent être apportées; tous les produits doivent être enregistrés et la publicité autorisée est strictement réglementée. Ordonnance sur la réduction des risques liés à l utilisation de substances, de préparations et d objets particulièrement dangereux (Ordonnance sur la réduction des risques liés aux produits chimiques, ORRChim) Une série de substances particulièrement dangereuses est réglementée dans l ORRChim. C est ainsi par exemple que l interdiction de l utilisation de phosphates dans les lessives de textiles existant depuis 1986 est maintenue. L indication de la composition des produits est prescrite de façon détaillée. D autre part l ordonnance contient une réglementation renforcée des exigences de dégradabilité des agents tensio-actifs dans les détergents (voir publication online cds: Les lessives sont-elles dégradables? ). Voir à cet effet _3 Sécurité des détergents et lessives pour l homme et l environnement
4 Evaluation des risques d une substance Avant d être utilisée dans un produit, chaque substance est soumise à une évaluation des risques par étapes. Une comparaison de la quantité utilisée et l évaluation de la nocivité, respectivement de la non-nocivité pour l homme et l environnement est tout d abord déterminée. Les sollicitations terme de l environnement à court de même que les accidents imprévisibles pouvant susciter une pollution relativement élevée font l objet d une évaluation. Mais des expositions durables comme elles peuvent se présenter du fait de l usage et de l application le sont également. Essais de sécurité des fabricants L homme peut entrer en contact avec une lessive de différentes façons: contacts directs par la peau en se lavant les mains ou en dosant le produit, indirectement par le linge porté, l absorption par erreur ou des projections dans les yeux. Toutes ces possibilités doivent être incorporées dans le programme de sécurisation. Un vaste programme de contrôle subdivisé en trois parties se déroule simultanément au développement d un produit. Partie I Prééclaircissement des effets négatifs possibles sur des systèmes de test biologiques. Il s agit ici, à côté d essais sur des cultures de cellules, aussi d essais sur animaux qui sont légalement prescrits pour réduire le risque pour l homme et l environnement. Les questions suivantes sont entre autres éclaircies: Quelle est la toxicité de la substance pour l homme (toxicité aigue)? _ en cas d absorption par erreur _ en cas de projection dans les yeux _ en cas de contact avec la peau La substance est-elle absorbée dans le corps par la peau? _ en cas de contact unique _ en cas de contacts répétés (quotidiennement jusqu à 28 jours) La substance a-t-elle un effet irritant ou caustique sur la peau, les yeux ou les muqueuses? La substance suscite-t-elle davantage de réactions allergiques? Partie II Confirmation des résultats dans un laboratoire d étude de la peau propre à l entreprise et sur des personnes volontaires pour effectuer des tests sous la surveillance de spécialistes. Des tests avec des patchs et de lavage des mains font partie de tels essais. On examine par exemple si la compatibilité avec la peau est d autre part influencée par le frottement mécanique lors du lavage des mains. A cet effet on frotte pendant une minute un gant imbibé de la substance à essayer sur le dos des mains puis on l y place pendant une durée déterminée. Cette procédure est réalisée quatre fois en deux jours. Puis la peau et les matrices des ongles sont examinées. _4 Sécurité des détergents et lessives pour l homme et l environnement
5 Partie III Etudes cliniques pratiques Une substance ou un produit ayant passé cette dernière phase d essai dans le laboratoire d étude de la peau, une autre mesure de précaution est souvent prise, l étude clinique pratique. Ceci signifie qu entre 100 et 150 personnes se portent volontaires pour utiliser les produits pendant une durée déterminée. Des médecins expérimentés surveillent l étude et l évaluent. Ce n est que lorsque cette dernière mesure de précaution et simultanément lorsque tous les autres programmes d essais relatifs à la compatibilité avec l environnement sont terminés (voir chapitre suivant) que le produit est mis sur le marché. Néanmoins, même pendant la commercialisation, le produit continue à être observé et les questions relatives aux effets secondaires supposés sont examinées très attentivement. Toutes ces données sont transmises aux centres d information et de traitement des intoxications pour donner au médecin contacté en cas d urgence une information complète et rapide. Quelques produits, comme par exemple des détergents pour lave-vaisselle irritants, sont pourvus de mesures de sécurité correspondantes telles qu avertissements et fermetures spéciales protégées pour les enfants. Toutes ces importantes mesures, avant et pendant la phase d essai et finalement pendant la commercialisation garantissent au consommateur qu aucun risque n existe pour la santé, aussi bien dans le cas d une utilisation conforme à la destination du produit qu en cas d abus prévisible. En ce qui concerne les essais sur animaux Le législateur prescrit que les fabricants doivent effectuer des essais toxicologiques pour la protection de l homme et de l environnement. Ces essais ne sont réalisés dans le cadre d une expérimentation animale que si aucune méthode alternative validée n est possible. De nouveaux procédés de test permettent d autre part aujourd hui de traiter les animaux avec soin. Programme d essais pour la détermination de la compatibilité avec l environnement Normalement, après leur usage, les substances des produits ménagers sont évacuées dans les eaux usées. En Suisse plus de 95% des ménages sont raccordés à une station d épuration. D importants tests sont nécessaires dans différents domaines environnementaux pour pouvoir déterminer la compatibilité avec l environnement d une substance. Les essais sur les détergents et les lessives sont en règle générale réalisés avec leurs différents composants: après l usage du produit, les proportions se modifient et par conséquent les tests sur le produit fini ont peu de signification pour le comportement dans l environnement. La sécurité environnementale est évaluée sur la base de deux aspects: 1. la concentration environnementale maximale escomptable, respectivement l élimination d une substance de l environnement. 2. la toxicité d une substance, c est-à-dire les répercussions possibles de celle-ci sur les différents catégories de la faune (par ex. les poissons). Des modèles de calcul compliqués, dans lesquels, en dehors de la quantité globale utilisée de détergent, la décomposition et d autres mécanismes influents tels que l hydrolyse et la photodégradation, les facteurs de dilution, la densité de la population, l influence de l industrie et la qualité du traitement des eaux usées sont pris en considération comme bases. _5 Sécurité des détergents et lessives pour l homme et l environnement
6 Détermination de l élimination et de la concentration environnementale Alors que des grandeurs mathématiques telles que la densité de la population peuvent être rapidement déterminées, d autres, comme l élimination d une substance d un domaine environnemental déterminé, nécessitent plus de temps. A cet effet des produits chimiques sont suivis le plus précisément possible pendant leur cycle de vie. Pour certains, ceci ne dure pas très longtemps car ils sont détruits dès le processus de lavage. Par exemple les enzymes décomposées par le lavage. D autres substances parviennent par le réseau d égouts dans l installation d épuration où elles passent successivement les étages d épuration mécanique, biologique et chimique. La détermination de la dégradabilité biologique est un instrument de mesure important pour apprécier l élimination d une substance de l environnement. C est-à-dire la décomposition d une substance en minuscules particules et finalement sa transformation en dioxyde de carbone, eau et minéraux (voir à cet effet la publication online cds Les lessives sont-ils dégradables? ). L eau traitée provenant de l installation d épuration parvient alors dans des cours d eau dits récepteur, en règle générale il s agit de rivières. D autres processus de transformation interviennent: poursuite de la dégradation biologique, adsorption, c est-à-dire dépôt sur les substances en suspension contenues dans l eau et leur accumulation, par exemple dans le lit de la rivière ou du ruisseau. On détermine avec des essais par sondage quelles substances sont encore contenues et dans quelle concentration dans les eaux. Des boues dites d épuration subsistent après le processus de traitement. Alors qu antérieurement ces boues d épuration étaient fréquemment utilisées par l agriculture comme engrais, généralement on les incinère aujourd hui en récupérant de l énergie. Détermination de la toxicité Il s agit de déterminer, lorsque la concentration environnementale a été calculée, de quelle façon celle-ci se répercute sur les différents organismes. D importants tests sont réalisés sur des organismes typiques d un domaine environnemental déterminé, par exemple les vers de terre pour le sol, la puce d eau et les poissons pour les rivières, pour pouvoir déterminer si les concentrations escomptables dans l environnement sont préjudiciables. On différencie des tests de courte et longue durée. Dans les tests de courte durée, l organisme testé est exposé pendant une période de 1-4 jours à différentes concentrations élevées de la substance chimique. On souhaite déterminer la concentration mortelle dans le cas d un effet momentané. Les tests de longue durée doivent garantir qu aucun effet préjudiciable n apparaît, même dans le cas d une action plus importante. Les durées de vie de même que les répercussions sur la croissance et la propagation sont examinées. L organisme testé est dans ce but exposé pendant une période de plusieurs semaines ou plus à des concentrations de niveaux différents mais non mortelles de la substance. Les détergents et les lessives sont sûrs Chaque substance et chaque produit sont intensivement examinés avant d entrer en contact avec l homme ou l environnement. Les vastes mesures prescrites avant et pendant la phase d essai et finalement au cours de la commercialisation veillent à ce que les lessives et les détergents fassent partie des produits de consommation les plus sûrs d usage quotidien. La dégradabilité dans le sol est tout d abord examinée par des tests en laboratoire des sols ayant reçu des boues d épuration. Cependant, étant donné que dans un environnement naturel règnent toujours d autres conditions que celles simulées dans des tests en laboratoire standardisés, des essais à l extérieur sont aussi nécessaires. _6 Sécurité des détergents et lessives pour l homme et l environnement
7 Glossaire Epuration des eaux usées L épuration des eaux usées intervient dans des installations d épuration (STEP) dans lesquelles les eaux usées passent par trois étages: 1. Etage d épuration mécanique Les déchets grossiers, comme par exemple les morceaux de bois, sont retenus par des grilles, le sable est récupéré par dessableurs et les substances en suspension telles que les graisses et huiles éliminées par des séparateurs. 2. Etage d épuration biologique Dans le traitement biologique des eaux usées, les bactéries de la boue d épuration sont responsables de la dégradation des substances organiques. Il faut, par exemple, que les agents tensio-actifs soient dégradés au minimum à hauteur de 90% (pour plus de détails à ce sujet, voir la publication online cds Les lessives sont-elles dégradables? ). 3. Etage d épuration chimique L étage d épuration chimique sert principalement à la précipitation des phosphates. Une réaction chimique, lors de laquelle le phosphore est précipité sous la forme de flocons et peut ainsi être éliminé, est obtenue par l adjonction d un agent chimique dans les eaux. Irritant Une substance, qui lorsqu elle est appliquée sur une peau saine, suscite la destruction du tissu principal sur la totalité de son épaisseur à la suite d un effet jusqu à quatre heures, est irritante. Biocide Substances actives annihilant les animaux, plantes ou micro-organismes (bactéries) nuisibles ou réduisant leur effet. Micro-organismes du sol Organismes microscopiques vivant dans le sol (microbes) dont font partie les bactéries, virus, champignons, levures, algues et organismes unicellulaires. Enzymes Les enzymes sont des protéines ou des protides analogues à ceux présents dans le lait ou la viande. Ce sont des substances organiques comparables à un catalyseur pour favoriser les transformations chimiques. Ainsi par exemple la séparation des graisses, des protides et hydrates de carbone. Expositions L influence des polluants sur l environnement dans des conditions locales. Substances tensio-actives Les substances tensio-actives (également intitulées agents tensio-actifs) veillent à la diminution de la tension superficielle de l eau, les textiles pouvant être ainsi mieux mouillés. D autre part les substances tensio-actives décollent la saleté et évitent qu elle ne se redépose sur le linge. Hydrolyse Réaction chimique dans laquelle la liaison chimique est cassée sous l effet d eau. Catalyseur Substance suscitant par sa présence une réaction chimique ou en accélère son déroulement mais qui ellemême ne subit aucune modification. Molécules La plus petite unité d une liaison chimique en présentant encore les propriétés caractéristiques. Phosphates Malgré l adoucissement de l eau par la machine, des ions de calcium et de magnésium sont apportés en grandes quantités par les restes alimentaires. Les phosphates lient ces ions de dureté. D autre part ils veillent à ce que les saletés insolubles dans l eau soient finement réparties dans le bain de rinçage et maintenues en suspension. Photodégradation ou photolyse Division d une molécule sous l effet de la lumière. Irritant Lorsqu une substance provoque une nette irritation après avoir été appliquée sur une peau saine après une durée d au maximum quatre heures. Agents tensio-actifs Voir substances tension-actives. Toxicité Effet d une substance toxique, un poison. Concentration environnementale Concentration d une substance dans l environnement. _7 Sécurité des détergents et lessives pour l homme et l environnement
8 Publications disponibles auprès du SKW _ La lessive aujourd hui, SKW, 2005 _ Hygiene im Haushalt Gesunde Sauberkeit nach Mass, IKW, FCIO, SKW, 2004 _ Waschen & Geschirrspülen, IKW, FCIO, SKW, 2002 _ Haushalt & Pflege, IKW, 2003 _ Körper & Pflege, IKW, FCIO, SKW, 2002 Publications online (état 2005) _ Les enzymes dans la technologie des détergents, SKW, 2005 _ Agents de blanchiment Que sont-ils et que font-ils, SKW, 2005 _ Lavage mécanique de la vaiselle, SKW, 2005 _ Sécurité des détergents et lessives pour l homme et l environnement, SKW, 2005 _ Soigner le linge ménager l environnement, SKW, 2005 _ Les produits de lessive sont-ils dégradables?, SKW, 2005 _ Waschen & Geschirrspülen, IKW, FCIO, SKW, 2002 _ Haushalt & Pflege, IKW, 2003 _ Körper & Pflege, IKW, FCIO, SKW, 2002 Remerciements pour le soutien Texte _ Dr. Beat Müller _ Dr. Ernst Stähli 2. édition, décembre 2005, SKW
9 SKW Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband Breitingerstrasse 35 Postfach CH-8027 Zürich Téléfon +41 (0) Téléfax +41 (0)
SKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband
SKW Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband Association suisse des cosmétiques et des détergents The Swiss Cosmetic and Detergent Association Les enzymes dans la technologie des détergents Les enzymes
Plus en détailFICHE DE DONNEE SECURITE
Degy Anti-fourmis 28/03/12 page1/6 FICHE DE DONNEE SECURITE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PREPARATION ET DU FOURNISSEUR Désignation commerciale: DEGY ANTI-FOURMIS Utilisation de la préparation : Produit
Plus en détailA B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent
1L : Physique et chimie dans la cuisine Chapitre.3 : Chimie et lavage I. Les savons et les détergents synthétiques 1. Propriétés détergentes des savons Le savon est un détergent naturel, les détergents
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailVulcano Pièges Fourmis
FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION
Plus en détailCahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde
Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?
Plus en détailSECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99.
FICHE TECHNIQUE SANTE-SECURITE Selon la règlementation (CE) n 1907/2006 Date de la modification: 07/10/14 www.restek.com SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G
KR-G Page 1 de 5 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1.1 Identificateur de produit : Nom du produit : KR-G 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance
Plus en détailFiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3
Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détailNouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats.
Nouveaux produits antiparasitaires aux extraits naturels pour chiens et chats. - VETOFORM - Laboratoire DAZONT Contact presse Johann Fourmond / Marie Gesrel Agence RELEASE PRESSE Tel : 02 99 65 05 47 Port
Plus en détail1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants
Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage
PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage I) Qu'est-ce qu'un savon et comment le fabrique-t-on? D'après épreuve BAC Liban 2005 Physique-Chimie dans la cuisine Chapitre 3 1/6 1- En vous
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailSECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise
SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise Identificateur de produit Nom commercial Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations
Plus en détailPH Moins 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE. Postbus 12 5373 ZG Herpen Pays-Bas +31 (0) 486 416 959
1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom de product Acide phosphorique 59% Article no. Substance/préperation substance L utilisation de la substance ajustement du ph
Plus en détailL entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?
L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.
Plus en détailAcides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6
Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailFICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC
1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit TRANSOIL 140 Page 1/6 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Non concerné 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA
Plus en détailCHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT
CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants
Plus en détailwww.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E
www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détailVotre installation septique l essentiel à savoir!
Votre installation septique l essentiel à savoir! Saviez-vous que... les eaux usées des résidences non raccordées à un réseau d égout doivent être évacuées et traitées par une instal lation septique aussi
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE. 1 Identification de la Substance / du Mélange et de la Société / l Entreprise
FICHE DE DONNEES DE SECURITE MAURAN SAS Modèle conforme au Règlement Européen n 453/2010 NOM PRODUIT : Indice et Date de mise à jour : Page : 1/7 1 Identification de la Substance / du Mélange et de la
Plus en détailCompléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011
Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Date de révision : 04/08/2015 Version n 3 SECTION 1. IDENTIFICATION DU MELANGE ET DE LA SOCIETE 1.1 Identificateur de produit Nom : XROL 15 Code produit : 905 1.2 Utilisation
Plus en détailLes objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de :
GUIDE EXPLICATIF POUR LES CITOYENS RÈGLEMENT SUR L UTILISATION DES ENGRAIS ET DES PESTICIDES Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : Réduire l apport par ruissellement
Plus en détailFiche de données de sécurité. 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations déconseillées
Conforme aux règlements 1907/2006/EC et 1272/2008/EC FDS DEGY Fourmi 1 ère version 23/03/10 - Page 1/9 Fiche de données de sécurité 1. IDENTIFICATION DU MELANGE ET L ENTREPRISE 1.1 Identificateur de produit
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailLV51. Sunlight Professional Soft. Adoucissant professionnel pour tout type de linge. Description. Propriétés principales.
Sunlight Professional Soft Adoucissant professionnel pour tout type de linge LV51 Description Sunlight Professional Soft est un adoucissant spécialement formulé pour une utilisation en blanchisserie industrielle
Plus en détail1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE
1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom commercial Fournisseur Service des renseignements Renseignements en cas d'urgence Andermatt Biocontrol AG Stahlermatten 6,
Plus en détailFiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3
Nom commercial : GESAL PROTECT SPRAY ANTI-FOURMIS ET Date: 13.0.2010 Nr. Article- Produit : 49142 Page: Page 1 sur En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032
Plus en détailFabriquer ses produits ménagers naturels. Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013
Fabriquer ses produits ménagers naturels Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013 Fabriquer ses produits ménagers naturels Programme Intérêt de fabriquer ses produits Les principaux ingrédients
Plus en détailSECTION 1- Identification de la substance/du mélange et de la société / entreprise
Famille : AMENDEMENT MINERAL BASIQUE ENGRAIS AVEC ADDITIF AGRONOMIQUE NF U 44-204 Amendement calcaire, dolomie et gypse NFU 44-203 avec préparation microbienne : RHIZOCELL (AMM n 1110014) AGRI-BIOTECH
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailEst-elle bonne à boire?
Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailOffre de formation. itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux. https://inscription.cnfpt.
2015 Offre de formation itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux Inscription en ligne aux stages https://inscription.cnfpt.fr/ Délégation régionale Basse-Normandie
Plus en détailLe Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux. Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux?
Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux? Qu est-ce qu un Tout le monde produit des déchets dangereux via ses activités quotidiennes
Plus en détailEVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE
EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE Cette évaluation doit être systématique, quelle que soit l activité de l entreprise, même s il n y a pas d exposition a priori du fait des activités de travail. L'objectif
Plus en détailRAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX
Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement
Plus en détailLES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE
LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE Tous les jours, des milliers de Néo-Brunswickois travaillent près de produits chimiques dangereux. Même si
Plus en détailHygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009
Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage Jeudi 28 mai 2009 Alain LEFEBVRE - Cadre supérieur de santé Hygiéniste 1 Le bio nettoyage
Plus en détailCOMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE
1/8 COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE AVIS 36-2006 Concerne : Contrôle de la composition des denrées alimentaires (dossier Sci Com 2005/25) Le Comité scientifique
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailEnterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.
FICHE PRATIQUE LES PRODUITS BIOCIDES Enterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.fr/een La Chambre de commerce et
Plus en détailSuivi environnemental de réalisation (SER)
Assainissement définitif de la décharge industrielle de Bonfol Suivi environnemental de réalisation (SER) Commission d information et de suivi, séance du 11.12.2009 Grégoire Monin, directeur de CSD Porrentruy,
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS
01. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ Nom commercial Code produit Usage envisagé LAMB97201 A UTILISER COMME INSECTICIDE UNIQUEMENT Le produit doit être utilisé conformément à l'étiquette Apparence
Plus en détailPrise de position sur les biosimilaires. Résumé
Prise de position sur les biosimilaires Résumé Les médicaments biotechnologiques, appelés également biomédicaments, occupent une place importante dans le traitement de maladies comme le cancer, la polyarthrite
Plus en détailCLP : Obligations, impacts et opportunités pour les entreprises
CLP : Obligations, impacts et opportunités pour les entreprises Forum de la Sécurité et Santé au Travail Luxexpo, 27 mars 2014 Laurène CHOCHOIS Helpdesk REACH & CLP Luxembourg www.reach.lu - www.clp.lu
Plus en détailFORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011)
FORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011) Interlocuteur Eurofins Biosciences : Lionel GROSJEAN Eurofins Biosciences Responsable Formation Conseil RHD
Plus en détailbiocides : définitions d et frontières res réglementaires
Les produits Conférence «Biocides» MEDDTL - ANSES 10/04/2012 biocides : définitions d et frontières res réglementaires Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention des nuisances
Plus en détailProduits pour hygiène en cuisine nettoyage de bâtiments détergents pour textiles
Produits vaisselle HalaGastro F11 Détergent pour lave-vaisselle avec chlore actif. Concentration d'utilisation: 0.3 0.5%, ph à 1.0%: 11.7 10600410-0002 10600410-0004 10600410-0007 Bidon 12 kg Bidon 25
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Arrêté du 9 octobre 2013 relatif aux conditions d exercice de l activité d utilisateur professionnel
Plus en détailPROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31
Code : PR-DSI-000-31 PROCÉDURE Instance responsable : Direction des soins infirmiers Approuvée par : Diane Benoit Présentée et adoptée au comité de direction le : 16 janvier 2013 Entrée en vigueur le :
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailRAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE
RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
FICHE DE DONNEES DE SECURITE (Septembre 2009) Rubrique 1 : IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Cette FDS est conforme aux règlementations françaises à la date de révision ci-dessus. PRODUIT Nom
Plus en détailRegistre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ
Programme Lait canadien de qualité des Producteurs laitiers du Canada Registre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ Utiliser avec le Registre et le Calendrier de DGI pour des dossiers
Plus en détailL organisation de chantier
L organisation de chantier POSOW is a project co-financed by EU under the Civil Protection Financial Instrument developed in cooperation with ISPRA, Cedre, Sea Alarm and CPMR and coordinated By REMPEC
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailFICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL
LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détailSolvants au Travail. Guide pour travailler en sécurité avec les solvants.
Solvants au Travail Guide pour travailler en sécurité avec les solvants. Qu est-ce qu un solvant? De nombreux produits chimiques utilisés pour dissoudre ou diluer d autres produits ou matériaux sont appelés
Plus en détailEau (N CAS) 7732-18-5 67.5 Non classifié Urea (N CAS) 57-13-6 32.5 Non classifié. Version : 1.0
Date de révision : 15 mai 2015 Date de parution : 15 mai 2015 Remplace la version datée du : 06/09/2013 RUBRIQUE 1 : IDENTIFICATION 1.1. Identificateur du produit Forme du produit : Mélange Nom du produit
Plus en détaillire les Étiquettes et trouver les sucres cachés
lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés Objectif : Sensibiliser les élèves à ce qui se trouve dans leur nourriture et les aider à se méfi er des sucres cachés. Matériel Feuille à imprimer : Chaîne
Plus en détailAnnexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets
Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets ARTICLE 1 OBLIGATIONS GENERALES 1. La présente Annexe s'applique aux activités
Plus en détailSOFTSOAP LIQUID HAND SOAP PUMP SEA MINERAL / SAVON HYDRATATANT POUR LES MAINS POMPE MINERAL MARIN
SECTION 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Nom du produit : SOFTSOAP LIQUID HAND SOAP PUMP SEA MINERAL / SAVON HYDRATATANT POUR LES MAINS POMPE MINERAL MARIN Numéro de la FS 200000028817 No.-CAS
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
Page 1 de 8 FICHE DE DONNEES DE SECURITE RUBRIQUE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Cette FDS est conforme aux réglementations françaises à la date de révision ci-dessus. PRODUIT Nom du produit:
Plus en détailPuissant et écologique à la fois
Puissant et écologique à la fois La technologie innovante de désinfection et d oxydation à l ozone économique et écologique www.prominent.com L ozone Un puissant désinfectant La plus-value à la clé : une
Plus en détailAVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Le Directeur général Maisons-Alfort, le 1 er avril 2014 AVIS de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la demande d autorisation de mise
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailSECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailADJOINT TECHNIQUE DE 1 ère CLASSE CONSEILS PRATIQUES A L ATTENTION DES CANDIDATS FILIERE TECHNIQUE
Examen professionnel ADJOINT TECHNIQUE DE 1 ère CLASSE CONSEILS PRATIQUES A L ATTENTION DES CANDIDATS FILIERE TECHNIQUE Cette note contient des informations indicatives visant à aider le candidat à se
Plus en détailPARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR
PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR SOMMAIRE COMMENT SE FAIT LA RECHERCHE SUR UN NOUVEAU MÉDICAMENT?...p. 3 À QUOI SERT LA RECHERCHE?...p. 4 QUELLES SONT LES GARANTIES?...p.
Plus en détailHYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE
HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailStatuts. Breitingerstrasse 35 Postfach, CH-8027 Zürich Tel +41 (0)43 344 45 80 Fax +41 (0)43 344 45 89 info@skw-cds.ch www.skw-cds.
Statuts Breitingerstrasse 35 Postfach, CH-8027 Zürich Tel +41 (0)43 344 45 80 Fax +41 (0)43 344 45 89 info@skw-cds.ch www.skw-cds.ch Art. 1 Nom et siège Il existe sous le nom Schweizerischer Kosmetik-
Plus en détailLa gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais
14 besoins fondamentaux selon Virginia Henderson La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais Journée EHPAD Ile de France 03 avril 2014 Nouara Baghdadi pour le groupe de travail Nord Pas de Calais
Plus en détailNotre ligne de produits lessive et nettoyants de Suisse
Notre ligne de produits lessive et nettoyants de Suisse Page Lessives poudres 4 Lessives liquides 5 Lessives spéciales 6 7 Aides au lavage 8 Adoucissants 9 Nettoyants ménagers 10 11 Nettoyants vaisselle
Plus en détailCRMA Limousin > Nettoyage à sec : quelle réglementation? Nettoyage à sec : quelle réglementation?
CRMA Limousin > Nettoyage à sec : quelle réglementation? Nettoyage à sec : quelle réglementation? Sommaire page 2 > A { Qu est ce qu une Installation Classée pour la Protection de l Environnement (ICPE)?
Plus en détailDIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL
L 66/16 DIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 22 février 1999 relative au rapprochement des législations des États membres sur les denrées et ingrédients alimentaires traités par ionisation
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailAnne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs
La gestion du ph du sol Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval Le chapitre 3 Les rédacteurs Anne Vanasse (responsable) Marc Hébert Lotfi Khiari Sébastien Marchand Abdo Badra Hélène Moore 1 Introduction
Plus en détailLES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015
LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 1 SOINS DE BOUCHE ENTRETIEN DES PROTHESES DENTAIRES L état bucco-dentaire est souvent préoccupant
Plus en détailLe but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION
LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant
Plus en détailCompléments alimentaires et cosmétiques Aspects légaux de l étiquetage
Compléments alimentaires et cosmétiques Aspects légaux de l étiquetage Roos De Brabandere VITASANA 2009 Contenu Compléments alimentaires - quelle législation est-elle d application? - exigences légales
Plus en détailne définition de l arbre.
LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement
Plus en détail