SOINS PALLIATIFS ET FIN DE VIE EN E.H.P.A.D. ET À DOMICILE PARTIE 2

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1 SOINS PALLIATIFS ET FIN DE VIE EN E.H.P.A.D. ET À DOMICILE PARTIE 2 Mazoyer A. Formation continue des équipes ouverte aux professionnels ambulatoires Septembre 2012 Ménigoute

2 2 SESSIONS Partie 1 - Juin 2012 : Définitions, lois et réflexions éthiques. Disponible en téléchargement sur Partie 2 - Septembre 2012 : gestion quotidienne de la fin de vie.

3 I RAPPELS ISSUS DE LA PREMIÈRE FORMATION Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile

4 SOINS PALLIATIFS Soins actifs pour maladie grave ou terminale. Prise en charge des patients et de leur entourage. Éviter ce qui est déraisonnable. Ne pas donner la mort intentionnellement.

5 LA LOI LÉONETTI Renforce les droits du malade. Droit d interrompre ou de ne pas entreprendre des traitements jugés inutiles, disproportionnés ou n ayant d autres effet que le maintien artificiel de la vie. Droit du refus de tout traitement Devoir de sauvegarder la dignité.

6 LA LOI LÉONETTI Devoir de prise en charge adaptée de la souffrance et de la douleur. Possibilité de soulager la souffrance même si risque d abréger la vie. en informant le malade et/ou la personne de confiance

7 II SOINS DE LA FIN DE VIE : IDÉES GÉNÉRALES Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile

8 IDEES GENERALES Pas de recette immuable Prise en charge individuelle au cas par cas Discuter et échanger entre professionnels pour trouver la juste attitude. Ne pas s isoler dans une pratique solitaire.

9 IDEES GENERALES Le plus important : Respect de la dignité Respect de l avis du patient Veiller au confort du patient

10 III L ALIMENTATION ET L HYDRATATION Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile

11 ANOREXIE PRISE EN CHARGE INITIALE Pour le patient qui n est pas en évolution terminale. Favoriser l appétit : Présentation et environnement attrayants Alimentation éventuellement enrichie : œufs, fromage fondu, poudre de lait entier, etc. Prévenir le médecin : Intérêt des traitements symptomatiques (antispasmodiques, anti-nauséeux). Traitements orexigènes.

12 ARRÊT DE L ALIMENTATION? Raisonnement au cas par cas. Arrêt de l alimentation ne veut pas dire arrêt des soins. Dialogue entre le patient, l équipe et la famille. Souvent source d anxiété pour l entourage.

13 ARRÊT DE L ALIMENTATION? Peut parfois apporter un confort. Anorexie fréquente en phase terminale. Après 48 H de jeûne, disparition de la faim (corps cétoniques anorexigènes). Le moindre apport (même une cuillère d une prise plaisir) rétablit la faim et peut provoquer un inconfort.

14 REFUS ALIMENTAIRE Toujours rechercher des causes organiques, psychologiques ou environnementales. Types de refus : Le refus d opposition : entrée en institution, soins douloureux ou pénibles Le refus de résignation : refus de continuer, situation d épuisement, sentiment d inutilité. Le refus d «acceptation» : acceptation du terme de sa vie qui permet à la personne de se réapproprier sa fin de vie.

15 HYDRATATION La perception de soif diminue avec l âge. Effets de la déshydratation sur le confort : Inconvénients : Bouche sèche Bénéfices : Antalgique Baisse de l œdème Baisse encombrement bronchique Importance de l avis du patient.

16 VOIES D HYDRATATION : Voie orale : La première Possible même si les autres voies sont utilisées Voie intraveineuse : Peu utilisée en soins palliatifs

17 VOIES D HYDRATATION : Voie sous-cutanée : Plus aisée que l IV en soins palliatifs Non systématique Limitée en quantité Voie intéressante pour nombre de traitements quand la prise par la bouche est impossible. Peut servir parfois pour hydrater en douceur. Mais il faut peser le pour et le contre

18 IV TROUBLES DU TRANSIT Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile

19 CONSTIPATION Fréquente chez la personne âgée et majorée par les traitements. Prévention : Activité physique minimale Éventuels massages du cadre colique Quelques fibres alimentaires Habitudes de défécation : horaires réguliers, position et lieu adaptée

20 CONSTIPATION Traitements si besoin en fonction du confort du patient. Fécalome = un classique du trouble du comportement, de la douleur abdominale ou de l agitation.

21 DIARRHÉE La fausse diarrhée du constipé est trompeuse Penser à une origine iatrogène

22 V SOINS DE BOUCHE Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile

23 SOINS DE BOUCHE Argument majeur de confort Surveillance quotidienne Soins après chaque repas ou plus Lutter contre la bouche sèche : eau gélifiée, eau, brumisateur, compresses humides Pas d antiseptique local sans avis Traiter les mycoses

24 VI PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile

25 DOULEURS LOI LÉONETTI Possibilité de soulager la souffrance même si risque d abréger la vie

26 DOULEURS ÉVALUATION Un changement d attitude peut être une douleur aigue (agressivité, apathie, etc.). Comprendre pour la prévenir : Son origine Son mécanisme Parfois favorisée par une souffrance psychologique et inversement

27 DOULEURS ÉVALUATION Toujours évaluer : EVA, EVS ou échelle numérique quand bonne communication. Doloplus quand problème de communication. Utiliser toujours la même échelle chez un patient donné.

28 DOULEURS FACTEURS FAVORISANTS Facteurs favorisants : Mobilisations Toilette Soins, etc. Penser à prévenir les moments douloureux par un traitement médicamenteux ou par des mesures non médicamenteuses.

29 DOULEURS TRAITEMENT Rassurer, écouter, c est déjà débuter une prise en charge de la douleur. Penser relaxation, kiné, musicothréapie Toujours signaler des difficultés de prise orale pour que le médecin s adapte.

30 DOULEURS TRAITEMENT Adapter avec le médecin l heure des prises aux événements potentiellement douloureux. Exemples : heure de prise en fonction de la vitesse d action du médicament - Prévoir une des prises de paracétamol 1H avant la toilette. - Prévoir une morphine rapide avant un pansement. - Emla avant une détersion (agit plus vite sur plaie que sur peau saine)

31 DOULEURS TRAITEMENT Les patchs (Durogésic ): Pour douleur chronique Met du temps pour agir (au moins 12 H) Effet après le retrait Agit plus vite si dénutrition ou fièvre Agit plus vite si dans zone de chaleur donc éviter ces zones. À ne jamais couvrir par un autre pansement

32 VII SOINS RESPIRATOIRES Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile

33 DYSPNÉE Position adaptée : ½ assise Dyspnée : évaluer sa gravité Cyanose Fréquence respiratoire élevée Avoir le réflexe saturation Rassurer et être présent Essayer relaxation, être calme Traitement variable selon la cause

34 TOUX Position adaptée Humidifier si sécheresse buccale (aérosols sérum physiologique) Si toux productive : kiné respiratoire parfois, scopolamine dans certains cas. Si toux sèche : intérêt parfois de certains sirops anti-tussifs.

35 VIII MOBILISATION ET TOILETTE Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile

36 MOBILISATION ET TOILETTE Pas assez de changements de position = escarres et risque de syndrome de glissement Trop de mobilisations = douleurs et fatigue Donc : Etre souple Tenir compte de l avis du patient Observer Penser confort

37 IX ESCARRES Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile

38 PRÉVENTION DES ESCARRES Niveau de risque : Braden Surveillance état cutané des zones à risques (visuelle et touché (chaleur)) Matelas adapté Éviter macération Pas de massage En soins palliatifs, être souple sur le temps entre 2 changements de position (en fonction de la douleur)

39 ESCARRES CONSTITUÉES Le but n est plus forcément la guérison et la cicatrisation. Un objectif : le confort. Une rougeur sur une zone d appui est une escarre stade I et justifie un pansement adapté.

40 ESCARRES CONSTITUÉES Pour limiter la douleur : moins de détersion mécanique changement de pansements plus espacés antalgiques locaux et généraux avant les soins Changements de positions plus espacés Lits et fauteuils adaptés Limiter les odeurs : pansements au charbon

41 X APPROCHE PSYCHOLOGIQUE Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile

42 SIGNES DE SOUFFRANCE PSYCHOLOGIQUE Angoisse existentielle Anxiété Trouble du sommeil Syndrome dépressif Douleur : cause et conséquence Importance de l écoute et de la communication verbale / non verbale Signaler au médecin

43 ANGOISSE EXISTENTIELLE On retrouve : Peur de l avenir Perte de repères Sentiment de révolte Parfois non verbale Souvent fluctuante Pour agir : Écoute continue dans la durée Respect des croyances religieuses

44 TROUBLES DU SOMMEIL À rechercher Insomnie d endormissement = anxiété Favorise l asthénie, l anorexie Actions : Environnement d endormissement favorable Heure adaptée aux habitudes de vie Respect des rites d endormissement Attention aux inversions nycthémérales

45 SYNDROME DÉPRESSIF Diagnostic délicat : plusieurs choses se mêlent Connaître les signes pour alerter : Anhédonie > 2 semaines Tristesse de l humeur Apathie Troubles alimentaires Clinophilie

46 SYNDROME DÉPRESSIF Actions : Ne pas nier la souffrance Encourager sans excès de sollicitation Identifier les aidants pouvant améliorer les choses Risque suicidaire : exceptionnel selon recommandations HAS

47 LE GLISSEMENT Souvent difficile à aborder pour le soignant Un choix difficile : Laisser faire Stimuler plus Pas de réponse toute faite Travail d équipe

48 XI L AGONIE ET LA PHASE TERMINALE Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile

49 AGONIE Phase terminale : durée mal définie Agonie : environ 48 à 72 H avant la mort Troubles de la conscience Troubles respiratoires Hypotension, cyanose Confusion Troubles musculaires, Asthénie majeure Hausse température

50 AGONIE Confort ++++ Soins de bouche et petite toilette jusqu au bout Faire moins de soins douloureux et contraignants (au cas par cas) Ne pas être traumatisant

51 AGONIE Préparer l environnement : Présence de l équipe et accompagnement Communication verbale et non verbale (toucher) Respect des croyances Favoriser l intimité du patient et des proches Prévenir : La famille : la préparer au décès / expliquer les démarches en cours. Le médecin : soulager la douleur, améliorer le confort, lever les traitements «futiles», etc.

52 XII ET AUSSI Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile

53 ET AUSSI Le prurit : Lutte contre facteur favorisantes (irritants) Lutte contre sécheresse cutanée Les œdèmes : Contentions Jambes sur-elévées Mesures médicamenteuses

54 XIII LES PROCHES Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile

55 LES PROCHES Informer et discuter : Expliquer les choses tout au long de la pathologie. Privilégier un cadre adapté. Selon les souhaits du patient. Évaluer souffrance du patient et des proches. Aider les proches à exprimer leur souffrance mais aussi leur fatigue Préparer le deuil : expliquer où en est la maladie

56 LES PROCHES Congé de solidarité familiale Pour ascendant ou descendant Demande par lettre AR 15 jours avant le début Certificat médical Non rémunéré Maximum 3 mois

57 XIV CONCLUSION Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile

58 conclusion Pas de recette toute faite Pas de prise en charge en solitaire Travail d équipe Penser réseaux EMSP ALISPAD

59 XV QUESTIONS ET DÉBAT Soins palliatifs et fin de vie en EHPAD et à domicile

60 Présentations et version texte à télécharger sur le site : rubrique «gériatrie formations EHPAD»

61 REFERENCES : Texte de la loi Léonetti : loi N du 2 avril 2005 relative aux droits des malades en fin de vie HAS modalités de prise en charge de l adulte nécessitant des soins palliatifs décembre Cours de capacité de gérontologie grand ouest années 2010/2012 Site de la Société Française d Accompagnement et de soins Palliatifs :

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