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2 Volume 3, numéro 4 - décembre janvier 1997 ISSN # VACCINATION CONTRE L'HÉPATITE B UTILISATION DU VACCIN MONOVALENT CONTRE LA ROUGEOLE VACCIN VIVANT ORAL CONTRE LE CHOLÉRA TABLEAU DE PROPHYLAXIE ANTITÉTANIQUE DANS LE TRAITEMENT DES PLAIES ET CARTE AIDE-MÉMOIRE VOUS SOUPÇONNER UNE PRIMO-INFECTION AU VIH, QUE FAIRE? VACCINATION CONTRE L'HÉPATITE B Pour une troisième année consécutive, les infirmières des CLSC vaccinent les élèves de la quatrième année du milieu scolaire primaire contre l'hépatite B. En octobre dernier, les parents ont reçu l'information sur cette vaccination via un dépliant que leur enfant apportait à la maison. Le vaccin Recombivax-HBMD est utilisé pour la campagne cette année. La posologie est la suivante: les élèves âgés de 10 ans et moins reçoivent 0,25 ml et ceux âgés de 11 ans et plus 0,5 ml. Le calendrier vaccinal est resté le même. Après une première dose administrée, les données provisoires nous laissent entrevoir une proportion de 91,6 % d'enfants vaccinés. En , la couverture vaccinale a atteint 89,7 % pour les élèves de la quatrième année du primaire en Montérégie, comparativement à 87,7 % pour l'ensemble de la province. Ce résultat est supérieur à celui de l'année où le taux montérégien atteignait 80,7 %, comparativement à 81,9 % pour le taux québécois. Vous trouverez dans le tableau ci-dessous l'évaluation de la couverture vaccinale selon le nombre de doses administrées en VACCINATION CONTRE L'HÉPATITE B 4e ANNÉE DU PRIMAIRE

3 COUVERTURE VACCINALE SELON LE NOMBRE DE DOSES Nb d'élèves ayant reçu: Nombre % d'enfants vaccinés au moins 1 dose % au moins 2 doses % les 3 doses % Malheureusement, le taux baisse à mesure que le nombre de doses augmente. L'objectif pour l'année est de dépasser 90 % pour les trois doses de vaccin. Médecins, infirmières et autres professionnels de la santé sont invités à encourager les parents à faire vacciner leur enfant. Ce vaccin est efficace à 99 % chez les enfants et les adolescents. Utilisation du vaccin monovalent contre la rougeole La Direction de la protection de la santé publique du ministère de la Santé et des Services sociaux vient d'émettre une directive sur l'utilisation du vaccin mo-novalent contre la rougeole. À cet égard, comme nous avons en réserve une bonne quantité de vaccins monovalents contre la rougeole, la Direction recommande de continuer à utiliser le vaccin monovalent pour poursuivre le rattrapage chez les enfants âgés de 19 mois à 5 ans et ce, jusqu'à épuisement des réserves ou jusqu'à la date de péremption du produit, soit février Le protocole de vaccination contre la rougeole, émis pour le rattrapage en janvier 1996, demeure toujours en vigueur. Il est donc important que les intervenants continuent de profiter de toutes les occasions pour offrir la deuxième dose de vaccin contre la rougeole afin que tous les enfants aient complété leur vaccination au moment de l'entrée à l'école. Quant à la deuxième dose du vaccin contre la rougeole, la rubéole et les oreillons, prévue au calendrier régulier à l'âge de 18 mois, il faut continuer à utiliser le vaccin trivalent RRO tel que recommandé dans le protocole d'immunisation du Québec (PIQ). Merci de votre bonne collaboration à ces efforts dans le but d'éliminer la rougeole.

4 Puisse l'année 1997 apporter à chacun d'entre vous, la santé et l'accomplissement de vos projets les plus chers. De toute l'équipe en maladies transmissibles FLASH NOUVEAUTÉ Vaccin vivant oral contre le choléra Un nouveau vaccin contre le choléra, le CVD 103 HgR, fabriqué par Berna, vient d'être homologué et sera disponible sous le nom de Mutacol BernaMD. Il s'agit d'un vaccin vivant oral développé à partir d'une souche pathogène de Vibrio cholerae dont on a extrait le gène de la toxine par manipulation génétique. L'efficacité est prouvée envers le Vibrio cholerae sérogroupe 01 biotype classique ou El tor. Le taux de protection varie de 60 % à 100 % selon les biotypes. Ce vaccin ne protège pas contre le sérogroupe 0139 qui circule en Asie depuis quelques années. Les indications chez les voyageurs demeurent extrêmement limitées. Notez qu'il n'existe plus d'exigence internationale relative à l'immunisation contre le choléra. On peut envisager la vaccination lors d'un séjour dans des conditions sanitaires inadéquates, sans accès possible à l'eau potable et s'il y a un contact étroit avec la population indigène. Ce vaccin s'adresse aux voyageurs âgés de 2 ans et plus; un rappel est indiqué tous les 6 mois dans l'éventualité où le risque persiste. Le coût du produit est d'environ 30 $/dose.

5 Tableau de prophylaxie antitétanique dans le traitement des plaies et carte aide-mémoire Au cours du mois de décembre, tous les vaccinateurs de la Montérégie ont reçu la nouvelle version du tableau de la prophylaxie antitétanique dans le traitement des plaies. Ce tableau tient compte de l âge de la personne, de son immunisation antérieure et du type de plaie. Ce dernier a été révisé selon les dernières modifications apportées aux calendriers d immunisation contenus dans le protocole d immunisation du Québec (PIQ). Une carte aide-mémoire a été conçue pour remettre au client qui reçoit une prophylaxie contre le tétanos, la rage ou l hépatite B. Les professionnels de la santé peuvent se procurer gratuitement l'un ou l'autre de ces outils en communiquant avec madame France B. Robidoux au (514) poste 5447 ou Des frais de 4 $ par tableau et de 1 $ par jeu de 25 cartes aide-mémoire seront demandés aux personnes résidant hors de la Montérégie. Ce coût inclut les frais de transport. Vous soupçonnez une primo-infection au VIH, que faire? Une étude coordonnée par le Réseau sida et maladies infectieuses du Fonds de recherche en santé du Québec (FRSQ) est en cours actuellement dans la région de Montréal et les environs, afin de mieux cerner les éléments cliniques, immunologiques et virologiques durant cette étape déterminante de l'infection, et d'évaluer des traitements antirétroviraux administrés durant la primo-infection. Aussi nous vous suggérons de proposer à votre patient d'y participer. Votre patient a eu un comportement à risque d'infec-tion par le VIH dans les 3 derniers mois (relation sexuelle génitale, anale, orale non protégée ou échange de seringues pour s'injecter de la drogue, etc.) et il a présenté dans les 8 à 30 jours qui ont suivi, ou présente actuellement, un des symptômes et signes suivants : Fièvre (souvent = ou >38C ), léthargie, éruption cutanée, myalgies, maux de tête, douleurs rétroorbitaires chez 50 % des patients et plus.

6 Maux de gorge, adénopathies cervicales, arthralgies, ulcère oral chez 25 % à 50 % des patients. Sueurs nocturnes, perte de poids, expectorations, toux, ulcère anal ou génital, gingivite, amygdalite, conjonctivite, candidose orale, anorexie, nausées, vomissements, douleur abdominale, oesophagite, douleur thoracique, diarrhée, irritabilité, dépression, encéphalite, syndrome méningé, photophobie, neuropathie périphérique, étourdissements (vertiges), douleur dorsale, psychose, désorientation, confusion, dysurie, hématurie chez 5 % des patients et moins. Ce patient peut avoir présenté ou présente une infection aiguë au VIH. Néanmoins, dans 20 à 30 % des cas, les symptômes sont inexistants au moment de l'infection aiguë au VIH. Le diagnostic peut être confirmé dans un premier temps par le dosage de l'antigène P24 puis par un test de détection d'anticorps ELISA. Le suivi et les tests requis par l'étude pourront être faits par le médecin traitant, en association avec le groupe de recherche. Pour information ou inclusion d'un patient dans l'étude ou pour obtenir de la documentation sur la plupart des aspects de la primo-infection, veuillez contacter : Madame Sylvie Savard, Coordonnatrice, Étude primo-infection, 110, avenue des Pins Ouest, Montréal, Québec, H2W 1R7 Tél. : (514) ,

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