Purpura Rhumatoïde. Service de Néphrologie et Rhumatologie Pédiatrique Hôpital Femme Mère Enfant Bron
|
|
- Alexandre Gascon
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Purpura Rhumatoïde Service de Néphrologie et Rhumatologie Pédiatrique Hôpital Femme Mère Enfant Bron
2 Introduction Vascularite petits vaisseaux non granulomateuse purpura vasculaire palpable + 1 des 4 suivants : douleurs abdominales diffuses dépôts d IgA sur une biopsie arthrite ou arthralgies atteinte rénale EULAR/PRES Consensus Criteria. Ann Rheum Dis 2006; 65: 936
3 Epidémiologie Incidence 10 cas / enfants / an 1500 cas pédiatriques / an en France 150 cas pédiatriques / an en Rhône Alpes adultes? Age moyen enfants : 6 ans < 8 ans : 75% < 10 ans : 90% garçons 1,5 : 1 fille Saulsbury. Lancet 2007; 369: 976 Peru. Clin Rheumatol 2008; 27:
4 Physiopathologie IgA1 paroi des vaisseaux et glomérules anomalie de la glycosylation (galactose déficients) complexes immuns IgA sériques dans ½ - 2/3 des cas dosage sans intérêt Facteur déclenchant 2/3 des cas : infection virale ou bactérienne Lau. Pediatr Nephrol 2010; 25: DIU Rhumatologie Pédiatrique 24 mars 2011
5 Atteinte cutanée 2/3 des cas contemporaine de l atteinte rénale ¼ des cas précède l atteinte rénale 8% fait suite à l atteinte rénale (jusqu à 12 mois) Purpura vasculaire zones pressions, déclive, symétrique en relief début par macules érythémateuse vascularite leucocytoclastique + dépôts d IgA Poussées répétées (2/3 des cas), favorisées par l orthostatisme non pronostiques / atteinte rénale mais reprendre la surveillance rénale Traitement? Dapsone si formes très invalidantes mais attention Saulsbury. Lancet 2007; 369: 976; Jauhola. Arch Dis Child 2010;95:871; Mazille. Arch Pediatr. 2011;18:
6 Atteinte cutanée
7 Atteinte cutanée
8 Atteinte digestive 50 à 70% des cas précède l atteinte cutanée dans ¼ des cas (jusqu à 2 semaines) douleurs abdominales diffuses ( par alimentation)
9 Atteinte digestive Risques Saignement (15-20%) Invagination intestinale aiguë Perforation Infarctus intestinal Entéropathie exsudative Pancréatite intérêt +++ de l échographie Chang. Acta Paediatr 2004; 93: 1427 Jauhola. Arch Dis Child 2010;95:871
10 Atteinte digestive Jeun ou semi-liquide Antalgiques Corticothérapie 2 mg/kg/j 7 jours puis et arrêt sur 7 à 14 jours Ronkainen. J Pediatrics 2006; 149: 241 Weiss. Pediatrics 2007; 120: 1079 Weiss. Pediatrics 2010; 126: 674
11 Atteinte articulaire 50 à 70% des cas précède l atteinte cutanée dans ¼ des cas douleurs articulaires non migratrices symétriques grosses articulations (genoux, chevilles) Fréquente inflammation locale Pas de séquelle
12 Atteinte articulaire Antalgiques repos corticoïdes (Ronkainen. J Pediatrics 2006; 149: 241) anti-inflammatoires? Saulsbury. Lancet 2007; 369: 976 Jauhola. Arch Dis Child 2010;95:871
13 Atteintes autres Testiculaire (10 à 20% des garçons) orchite, hématome, oedème corticothérapie orale Ha. Acta Paed 2007; 96:552
14 Atteinte rénale 40-50% des cas délai d apparition 80% des cas : 1er mois 98% avant 2 mois exceptionnelle après 6 mois F de risque : âge > 8 ans douleurs abdominales rechutes Hématurie (µ ou macro) +/- protéinurie insuffisance rénale HTA (exceptionnellement isolée?) Dépistage : bandelette urinaire (hémastix et albustix) 1 x / sem pendant 2 mois 1 x / mois pendant 4 à 10 mois
15 Atteinte rénale Prévention? pas d intérêt de la corticothérapie Jauhola. Arch Dis Child 2010;95:871 Chartapisak. Cochrane Database of Systematic Reviews 2009, Issue 3. Art. No.: CD005128
16 Atteinte rénale Hématurie macroscopique (25% des cas?) surveillance clinique (PA, poids, oedèmes) bandelette urinaire (albustix) biologie si pas de normalisation rapide (aspect des urines et albustix)
17 Atteinte rénale Glomérule normal x 400 Glomérule Purpura Rhumatoïde x 400
18 Atteinte rénale
19 Atteinte rénale pronostic Signes cliniques pronostiques à long terme Davin JC. cjasn 2011; 6: a. Goldstein AR. Lancet 1992, 339: , b. Bunchman TE. Pediatr Nephrol 1988; 2: c. Tarshish P. Pediatr Nephrol 2004, 19: 51 56, Halling SE. Pediatr Nephrol 2010; 25:1101 8
20 Histologie : pronostic ISKDC : Grade I : LGM Grade II : prolifération mésangiale pure Grade III V : GNEC Grade III < 50 % de croissants Grade IV 50 à 75 % de croissants Grade V > 75 % de croissants Grade VI : GNMP Suivi de 6 ans : maladie rénale active +/- IRC +/- IRT Classe II et III: 15% Classe IV 35% Classe IV 70% Classe VI : 66% Intérêt pronostic : score mésangial cellulaire, glomérulosclerose, proliferation endocapillaire, inflammation interstitielle, intégrité des capsules de Bowman, Croissants cellulaires vs fibreux, fibrose interstitielle, atrophie tubulaire Davin JC. cjasn 2011; 6: Haas M.In: Pathology of the Kidney, 6th Edition, Lippincott Williams & Wilkins, 2007, 423
21 Pronostic chez l adulte Etude rétrospective , 7 centres 250 patients > 15 ans suivi moy : 15 ans [13-21 ans] 30% sous IEC ou ARA2, 37% corticoides seuls et 19% corticoides+ endoxan Pillebout E. J Am Soc Nephrol 2002; 13:
22 Pronostic chez l adulte Pillebout E. J Am Soc Nephrol 2002; 13:
23 Atteinte rénale Indications de biopsie rénale? protéinurie Quand? Importance de la protéinurie Durée de la protéinurie (fibrose rapide) But? confirmation diagnostic si doute indication thérapeutique faire la part des lésions chroniques séquellaires actives aiguës
24 Atteinte rénale traitement? protéinurie Corticothérapie Bloqueurs du système rénine-angiotensine Inhibiteurs de l Enzyme de Conversion Bloqueurs des récepteurs de l Angiotensine Chartapisak. Arch Dis Child 2009; 94: 132-7
25 Atteinte rénale protéinurie Pu importante (> 1 gr/24h, > 120 mg/mmol de créat) persistante (> 8 jours) et récente < 15 jours et/ou prolifération extracapillaire à la biopsie bolus de solumédrol 1 gr/1,73m² x 3 puis prednisone 2 mg/kg/j x 1 mois 2 mg/kg/2j x 1 mois puis stop en 1 mois Niaudet P, Pediatr Nephrol 12: , 1998 Kawasaki Y. Pediatrics 111: , 2003 Andersen RF. Scand J Urol Nephrol 43: , 2009 Flynn JT. Am J Nephrol 21: , 2001 Kawasaki Y. Clin Rheumatol 2010,
26 Atteinte rénale Absence de réponse aux bolus? Plasmaphérèses Hattori M. Am J Kidney Dis 33: , 1993 Shenoy. Ped Nephrol 2007; 22: Ciclosporine (Park JM. Ped Nephrol 2011;26:411-7) Jauhola O. Ped Nephrol 2011;26: ) Mycophénolate mofétyl (Du Y. Ped Nephrol 2011 Nov 13. [Epub]) Azathioprine (Foster; J Pediatr 2000; 136: 370-5) Rituximab? (J Pediatr 2009;155:136-9, NDT 2011 ; 26: 2044) Cyclophosphamide???? Tarshish. Pediatr Nephrol 2004; 19: 51 Pillebout. Kidney Int 2010; 78: 495 Chartapisak. Cochrane Database of Systematic Reviews 2009, Issue 3. Art. No.: CD Davin. cjasn 2011; 6: 679
27 Cyclophosphamide???? Tarshish. Pediatr Nephrol 2004; 19: efg > 35 ml/min/1.73 m² Proteinurie > 40 mg/m²/h pendant > 1 mois Anatomopathologie (ISKDC classification) Randomisation 28 pts endoxan vs 28 pts placebo Cyclophosphamide 90 mg/m²/j per os 42 jours Suivi 6.5 ans Pas de différences (Pu, GFR, IRT)
28 Cyclophosphamide???? Pillebout. Kidney Int 2010; 78: centres français Randomisation Adulte P rhumatoide + atteinte sévère d un organe rein classe III (endocap diffuse) ou IV (extracap) rein : 39/54 pts 29 pts bolus de SM vs 25 pts bolus SM + endoxan SM : 7.5 mg/kg/j x 3J et Endox : 6 x 0,6 gr/m² IV Suivi médian : 60 mois
29 Cyclophosphamide???? Pillebout. Kidney Int 2010; 78: 495
30 Cyclophosphamide???? Pillebout. Kidney Int 2010; 78: 495 Critère de jugement principal : BVAS à 6 mois : pas de différence
31 Cyclophosphamide???? Pillebout. Kidney Int 2010; 78: 495 : Evolution rénale
32 Cyclophosphamide???? Pillebout. Kidney Int 2010; 78: 495 : Evolution rénale
33 Azathioprine? Foster BJ. J Pediatr 2000; 136: Série rétrospective 20 enfants traités entre 1965 et 1995 Pu > 1 gr/j corticot orale 1 à 2 mg/kg/j 1 mois puis /2J Azathioprine 1 à 4 mg/kg/j pdt 47± 17 sem [8-75] Suivi après ttt 5,4 ±, ans [1,5-24] Comparasion à uen série historique Meilleur évolution / protéinurie
34 Plasmaphérèses? Shenoy M. Pediatr Nephrol 2007; 22: Série rétrospective GFR < 70 ml/min/1,73m² ou Pu néphrotique (ISKD III) 2 NIgA et 14 P Roide 9 séances (échanges 90 ml/kg) en 2 semaines No IEC ni ARA2, ni corticoides, suivi moy : 4 ans [1-7,5]
35 Ciclosporine? Park JM. Ped Nephrol 2011;26: enfants + Pu néphrotique Série rétrospective Corticothérapie orale (1 à 2 mg/kg/j) pendant 14J [7-22] + ciclosporine (T0 : ) +IEC 29/29 rémission protéinurie Suivi moyen 3.7 ans Durée moyenne ciclosporine : 12 mois [2.6-55] Pu normalisée en 1.8 mois [1 sem-3,5 mois] 23/29 pas de récidive à l arrêt et 6/29 ciclosporine dépendance FG normale, sauf 1 IRT après 4 ans pt non adhérant et perdu de vue
36 Ciclosporine? Jauhola O. Ped Nephrol 2011;26: Protocole prospectif randomisé multicentrique Finlande 24 enfants Pu néphrotique et/ou grade III ISKD Début 4.5 mois après début 11 pts Csa T ng/ml 3 mois puis ng/ml vs 13 pts Bolus x 3 puis Cs po : 30 mg/m²/j 1 mois puis arrêt en 3 mois + enalapril 0,1-0,5 mg/kg/j Remission de Pu néphrotique
37 Ciclosporine? Jauhola O. Ped Nephrol 2011;26: /13 pts sous corticoides : addition de csa après 1.6 ans [0,2-2,7] réponse dans 5/6 cas 0/11 pts sous csa autre traitement 1 IRC et 1 IRT à 6 ans dans le groupe corticoides
38 Mycophénolate mofétil? Du Y. Ped Nephrol 2011 online Etude monocentrique prospective 12 enfants, échec corticothérapie orale (Pu néphrotique) PBR : néphropathie classe IIb à IV ISKD MMF 300mg/m² x2/j (durée moy mois) CT discontinue (4 à 6 mois) IEC 0,5mg/kg 1 an Rémission de la protéinurie Protéinurie négative en 11 mois ± 1.7, max 15 mois Diminution de l hyperfiltration glomérulaire ml/min/1.73m² à (p=0.0,32)
39 Mycophénolate mofétil? Du Y. Ped Nephrol 2011 online
40 Rituximab? J Pediatr 2009; 155: enfants + atteinte digestive sévère + atteinte rénale (1) ou neuro (2) Échec corticothérapie (bolus +po) ± endoxan (2pts) Remission après 5, 7 et 33 mois NDT 2011 ; 26: adulte Lesions cutanées + Pu 1 gr/24h sans hypoalbuminémie ni IR sévère + GNite ISKD classe III (15%), sans lésions chroniques 2 injections de 1 gr de Rituximab à 15 jours Remission à M22
41 Atteinte rénale Pu modérée (> 0,3 gr/24h, > 40 mg/mmol de créat) et persistante (> 8 à 15 jours) bloqueurs du SRA Rénitec 0,05 mg/kg/j et 2,5 mg/j puis progressive / 1 à 3 mois 1 mg/kg/j + suivi de la protéinurie et rediscussion de la corticothérapie / évolution
42 Atteinte rénale Evolution-risque d insuffisance rénale chronique < 1% des cas d IRT < 2 % des enfants avec atteinte rénale Facteurs de mauvais pronostic atteinte rénale non suivie et non prise en charge +++ importance +++ du suivi à la bandelette lésions chroniques fibreuses à la PEC importance de la protéinurie prolifération extracapillaire à la biopsie Si atteinte rénale : nécessité d un suivi prolongé +++ recherche protéinurie (tant que hématurie présente)
43 Evolution post-tx Risque de rechute : 2.5% et 11.5% à 5 et 10 ans Risque de perte du greffon par recurrence : 2.5% et 7.5% à 5 et 10 ans 6 centres France et Belgique Kanaan N. Clin J Am Soc Nephrol 2011; 6: Bon pronostic : survie du greffon = population générale registre Nord Américain Samuel JP. Clin J Am Soc Nephrol 6: , 2011.
44 Conclusion Diagnostic clinique Risque digestif+++ et rénal en phase aiguë rénal à terme Dépistage de l atteinte rénale / bandelette urinaire pendant 1 an Protéinurie Traitement de l atteinte rénale urgent corticothérapie forte dose bloqueurs du SRA +/- ciclosporine ou échanges plasmatiques
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailNEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE
NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE D r Eric OUHAYOUN Service de Médecine Nucléaire - P r J.P. Esquerré CHU Purpan Toulouse - France Néphrogramme isotopique Principe :
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailConférence De néphrologie. Lille Internat DCEM3 E. Faure
Conférence De néphrologie Lille Internat DCEM3 E. Faure 219 : Anomalies du bilan de l eau et du sodium (DCEM3 conf 2) 219 : Anomalies du bilan du potassium (DCEM3 conf 1) 219 : Désordres de l équilibre
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailControverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine
Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale
Plus en détailLa périartérite noueuse Maladie de Küssmaul-Maier
Maladie de Küssmaul-Maier La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailDr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014
Obésité et rhumatismes inflammatoires Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité 1 Obesity Trends* Among U.S. Adults BRFSS, 1985 (*BMI 30, or ~ 30 lbs overweight for
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailDocteur, j ai pris froid!
Dr j ai pris froid: Objectifs Docteur, j ai pris froid! Jean-Paul Humair Avec la contribution de MC Kramer Colloque SMPR 21.12.2011 Connaitre l épidémiologie des infections des voies respiratoire sup (IVRS)
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailLA GROSSESSE APRÈS TRANSPLANTATION RÉNALE. Session 3. Recommandations pour planifier une grossesse. Professeur Maryvonne Hourmant.
LA GROSSESSE APRÈS TRANSPLANTATION RÉNALE Professeur Maryvonne Hourmant. Service de Néphrologie-immunologie clinique. Hôtel-Dieu. - Nantes Un des objectifs d une femme insuffisante rénale jeune demandant
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailVASCULARITES NÉCROSANTES SYSTÉMIQUES
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE VASCULARITES NÉCROSANTES SYSTÉMIQUES Protocole national de diagnostic et de soins Novembre 2007 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailLa transplantation rénale (TR) est la stratégie optimale de prise en charge
D O S S I E R Transplantation Néphrologie rénale pédiatrique chez l enfant : où en est-on? 17 B. RANCHIN 1, L. BADET 2, E. JAVOUHEY 3, P. COCHAT 1 Transplantation rénale chez l enfant : où en est-on? La
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailSyndrome de Churg et Strauss
Syndrome de Churg et Strauss Auteurs : François Lhote*, Pascal Cohen**, Philippe Guilpain**, Loïc Guillevin** * Service de médecine interne, centre hospitalier de Saint-Denis, 93200 Saint-Denis. ** Département
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailNouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite
Communiqué de presse Bâle, 18 avril 2011 La FDA homologue Actemra dans le traitement de l arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS) Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette
Plus en détailGROSSESSE et lupus/sapl
GROSSESSE et lupus/sapl Nathalie Costedoat-Chalumeau Centre de référence maladies autoimmunes et systémiques rares Service Médecine Interne Hôpital Cochin Paris Rappels et définitions Critères cliniques
Plus en détailLupus Systémique. zahir.amoura@psl.aphp.fr
Lupus Systémique Pr. Zahir AMOURA Institut E3M Service de médecine interne 2, Hôpital de la Pitié, Paris. Centre National de Référence du lupus systémique et du syndrome des antiphospholipides zahir.amoura@psl.aphp.fr
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailPLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE
Journée Club NeuroVasculaire Ile-de-France 27 mai 2014 PLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE Eric PAUTAS Hôpital Charles Foix UFR Médecine G.H. Pitié-Salpêtrière-Ch.Foix Inserm U765
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailMaladie de Behçet Les Nouvelles Thérapeutiques
Maladie de Behçet Les Nouvelles Thérapeutiques 60ème Congrès de la SNFMI & 4ème Congrès Franco-Maghrébin de Médecine Toulouse, 9 12 Décembre 2009 Professeur Fifi OTMANI Service de Médecine CHU Mustapha
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détailPLACE DU RITUXIMAB DANS LE TRAITEMENT DES VASCULARITES AANCA : ETUDE RETROSPECTIVE MULTICENTRIQUE
ROYAUME DU MAROC UNIVERSITE SIDI MOHAMMED BENABDELLAH FACULTE DE MEDECINE ET DE PHARMACIE FES UNIVERSITESIDI MOHAMMED BENABDELLAH FES PLACE DU RITUXIMAB DANS LE TRAITEMENT DES VASCULARITES AANCA : ETUDE
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailPas anodine, la créatinine!
Pas anodine, la créatinine! F O R M A T I O N C O N T I N U E M. Rinfret se présente à votre cabinet pour son premier examen. «À 50 ans, j ai encore les reins solides!», vous dit-il. Isabelle Chapdelaine
Plus en détailRisque Cardiovasculaires au cours des Vascularites et des pathologies inflammatoires chroniques
Risque Cardiovasculaires au cours des Vascularites et des pathologies inflammatoires chroniques Dr Jérôme CONNAULT Service de Médecine Interne et Vasculaire CHU Nantes Société Algérienne de Médecine Interne
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde et biologie
Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailCirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Pré-Requis : Cirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005) Clinique : o Diagnostic d'une ascite PCEM2 o Insuffisance hépatocellulaire PCEM2
Plus en détailConduite à tenir devant des œdèmes chez l enfant. Véronique OYHARCABAL Centre Hospitalier de la Côte Basque
Conduite à tenir devant des œdèmes chez l enfant Véronique OYHARCABAL Centre Hospitalier de la Côte Basque Définition Œdèmes généralisés : Œdèmes de stase : Normoprotidiques Hypoprotidémiques Œdèmes inflammatoires
Plus en détailLA GROSSESSE AU COURS DES MALADIES
LA GROSSESSE AU COURS DES MALADIES AUTO-IMMUNES Dr Agathe Masseau Service de Médecine Interne, consultation grossesse-maladies auto-immunes, Hôpital Hôtel Dieu - Nantes Pendant des années, la grossesse
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009
PRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009 CHU BAB EL OUED DR OSMANE DR MAHIOU PR NAKMOUCHE Evolution du traitement de hépatite c Découverte du génome de l HVC 1989 1989 1989 Evolution du traitement
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailTYNDALL. 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. Bulletin d Informations. et d échanges N 24 MARS 2009
TYNDALL Bulletin d Informations 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 Site internet : www.inflamoeil.org SOMMAIRE 1. L éditorial de la Présidente 2. Des immunosuppresseurs
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détail1289($8;75$,7(0(176 '(69$6&8/$5,7(6
1289($8;75$,7(0(176 '(69$6&8/$5,7(6 M De Bandt. La découverte de la présence des ANCA, au cours de certaines formes de vascularites systémiques a il y a une quinzaine d année, a provoqué de nombreux travaux
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 7 janvier 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 7 janvier 2009 ZANEXTRA 20 mg/10 mg, comprimés pelliculés B/30, code CIP : 385 967.4 B/90, code CIP : 387 392.9 Laboratoires BOUCHARA RECORDATI Enalapril/Lercanidipine
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailEvolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT
Evolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT Marc Ladrière CHU Nancy Hôpital Brabois Adulte 19 mars 2015 Le rapport d activité
Plus en détail