Les marchés inquiets de l économie américaine

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les marchés inquiets de l économie américaine"

Transcription

1 Les marchés inquiets de l économie américaine 5 février 2016 Faits saillants États-Unis : l année 2016 débute avec une croissance moins forte de l emploi. États-Unis : l ISM manufacturier a moins augmenté que prévu et demeure sous la barre des 50. Canada : le marché du travail a subi une perte de emplois en janvier. Canada : le solde du commerce international de marchandises s est amélioré en décembre. À surveiller Une légère hausse des ventes au détail américaines est anticipée. Marchés financiers Le pétrole reprend son emprise sur les Bourses. Le pessimisme gagne du terrain sur les marchés obligataires. Le dollar américain affiche un recul généralisé en raison du réajustement des anticipations de resserrement monétaire aux États-Unis. Graphique de la semaine Le dollar américain est sous pression Table des matières Statistiques clés de la semaine...2 États-Unis et Canada Marchés financiers...3 À surveiller cette semaine...4 États-Unis, Canada et Outre-mer Indicateurs économiques de la semaine...5 Tableaux Indicateurs économiques États-Unis...7 Indicateurs économiques Canada...8 Principaux indicateurs financiers...9 Indice Indice Taux de change effectif du dollar américain* Janv. Avril Juill. Oct. Janv * Moyenne pondérée du dollar américain contre l euro, le yen, la livre, le dollar canadien, la couronne suédoise et le franc suisse. Sources : Bloomberg et Desjardins, Études économiques François Dupuis ou , poste 2336 Vice-président et économiste en chef Courriel : desjardins.economie@desjardins.com Mathieu D Anjou Benoit P. Durocher Francis Généreux Jimmy Jean Hendrix Vachon Économiste principal Économiste principal Économiste principal Économiste principal Économiste senior Note aux lecteurs : Pour respecter l usage recommandé par l Office de la langue française, nous employons dans les textes et les tableaux les symboles k, M et G pour désigner respectivement les milliers, les millions et les milliards. Mise en garde : Ce document s appuie sur des informations publiques, obtenues de sources jugées fiables. Le Mouvement des caisses Desjardins ne garantit d aucune manière que ces informations sont exactes ou complètes. Ce document est communiqué à titre informatif uniquement et ne constitue pas une offre ou une sollicitation d achat ou de vente. En aucun cas, il ne peut être considéré comme un engagement du Mouvement des caisses Desjardins et celui-ci n est pas responsable des conséquences d une quelconque décision prise à partir des renseignements contenus dans le présent document. Les prix et les taux présentés sont indicatifs seulement parce qu ils peuvent varier en tout temps, en fonction des conditions de marchés. Les rendements passés ne garantissent pas les performances futures, et les Études économiques du Mouvement des caisses Desjardins n assument aucune prestation de conseil en matière d investissement. Les opinions et prévisions figurant dans le document sont, sauf indication contraire, celles des auteurs et ne représentent pas la position officielle du Mouvement des caisses Desjardins. Copyright 2016, Mouvement des caisses Desjardins. Tous droits réservés.

2 Statistiques clés de la semaine États-Unis L enquête auprès des entreprises indique qu il y a eu embauches nettes en janvier après des gains de postes en décembre et en novembre. Le secteur de la construction a créé emplois. Au sein de la fabrication, le nombre de travailleurs a progressé de après un gain de en décembre. Le secteur des ressources naturelles a effectué mises à pied nettes. Il s est créé postes dans les services du secteur privé, la plus faible croissance depuis mars Le taux de chômage a diminué de 5,0 % à 4,9 %, le premier résultat sous 5 % depuis février Le salaire horaire moyen a augmenté de 0,5 % en janvier après avoir stagné en décembre. La variation annuelle du salaire horaire moyen est passée de 2,7 % (révisé de 2,5 %) à 2,5 %. Le solde commercial américain s est légèrement détérioré en décembre. Ainsi, le solde est passé de -42,2 G$ US à -43,4 G$ US. Les exportations nominales ont diminué de 0,3 % et les importations ont progressé de 0,3 %. Sur l ensemble de 2015, les exportations ont diminué de 4,8 %, tandis que les importations ont reculé de 3,1 %. L indice ISM manufacturier a peu bougé en janvier, passant de 48,0 en décembre à 48,2. Toutefois, certaines des composantes présentent une bonne amélioration, dont les nouvelles commandes (+2,7 points) et la production actuelle (+0,3 point) qui sont toutes les deux revenues au-dessus de la barre des 50. On remarque néanmoins de nouvelles baisses du côté de l emploi (-2,1 points) et des exportations (-4,0 points). De son côté, l ISM non manufacturier a diminué en janvier, mais il demeure encore à un niveau plus élevé que l ISM manufacturier. Il a reculé de 2,3 points pour passer de 55,8 à 53,5. Cette plus forte baisse depuis décembre 2014 l amène à son plus bas niveau en deux ans. Les ventes d automobiles ont augmenté pour la première fois depuis octobre aux États Unis. Après une baisse de 4,7 % en décembre, elles ont progressé de 1,4 % en janvier. Le niveau annualisé est passé de à unités. Les dépenses de construction ont augmenté de seulement 0,1 % en décembre. Au sein du secteur privé, on observe une hausse de 0,9 % dans l habitation, mais une chute de 2,1 % dans le secteur non résidentiel. Les reculs les plus importants se trouvent dans les immeubles de bureaux (-1,9 %), dans le secteur commercial (-1,1 %) et dans le secteur manufacturier (-7,3 %). On remarque un gain de 2,2 % dans les dépenses publiques de construction non résidentielle, dont une hausse de 9,4 % pour les routes. Francis Généreux Économiste principal Canada Le marché du travail canadien a subi une perte de emplois en janvier. La mesure tendancielle calculée par Statistique Canada affiche un gain de emplois en janvier, ce qui constitue un ralentissement par rapport aux mois précédents. Le taux de chômage est passé de 7,1 % à 7,2 %. L Alberta est particulièrement touchée par cette hausse. Son taux de chômage est ainsi passé au-dessus de la moyenne nationale pour la première fois depuis Le solde commercial s est amélioré en décembre, passant de -1,59 G$ à -0,59 G$, grâce surtout à une hausse de 3,9 % des exportations durant le mois. Les résultats de décembre du commerce international de marchandises permettent également de faire le bilan du quatrième trimestre. Au total, le solde commercial exprimé en termes réels s est de nouveau amélioré, passant de 5,8 G$ de 2007 au troisième trimestre à 8,3 G$ de 2007 au quatrième trimestre. Le commerce extérieur contribuera donc positivement à la croissance économique du dernier trimestre de Par contre, cette amélioration provient essentiellement d une baisse de 9,6 % (à rythme trimestriel annualisé) des importations, tandis que les exportations ont reculé de 1,5 %. En milliers (20) Canada La tendance de l emploi s affaiblit Benoit P. Durocher Économiste principal (40) (40) Variation mensuelle de l emploi Tendance-cycle de l emploi selon Statistique Canada En milliers (20) Sources : Statistique Canada et Desjardins, Études économiques 2

3 Marchés financiers Importante chute du dollar américain L effet bénéfique de l annonce de la Banque du Japon n a pas duré longtemps. Même la Bourse japonaise a concédé tous les gains qu elle avait réalisés après la décision de jeudi dernier. Après avoir clôturé la dernière semaine à points, le S&P 500 a convergé vers les points. La Bourse américaine est ainsi revenue à réagir aux aléas du prix du pétrole. Celui-ci est retombé pour même passer brièvement sous 30 $ US mardi, avant de remonter quelque peu. Il s établissait sous 32 $ US au moment d écrire ces lignes. Le S&P/TSX a aussi chuté en première moitié de semaine, mais s est ressaisi dès jeudi. Les matériaux et la santé ont particulièrement bien performé cette semaine. Les taux obligataires mondiaux ont affiché de lourdes baisses durant la majeure partie de la semaine. Le taux américain de dix ans a glissé sous 1,90 %, celui de deux ans s établissait sous 0,75 % vendredi matin. Causant la tendance, plusieurs indicateurs d importance ont été publiés en deçà des anticipations des prévisionnistes, dont les indices ISM, les dépenses de construction et la création d emplois. De plus, le président de la Fed de New York, William Dudley, a indiqué que le resserrement des conditions financières constituait un élément que la Réserve fédérale devait prendre en considération à sa prochaine réunion. Le taux canadien de dix ans a moins diminué, mais il s établissait tout de même sous 1,20 % vendredi matin, et ce, en dépit des statistiques encourageantes sur le commerce extérieur. L inquiétude croissante à l égard de l économie américaine et le recul des anticipations de resserrement monétaire aux États Unis ont nui au billet vert. La séance de mercredi a été particulièrement difficile pour la devise américaine qui affichait toutefois un léger rebond vendredi matin avec certains indicateurs du marché du travail qui ont été encourageants. L euro s est apprécié à 1,12 $ US au cours de la semaine et s échangeait légèrement sous cette marque au moment d écrire ces lignes. La livre a temporairement dépassé la barre de 1,46 $ US, tandis que le taux de change japonais est retombé aux alentours de 117 /$ US. Même si les prix du pétrole ont moins progressé cette semaine, le dollar canadien a tout de même profité de la faiblesse de la devise américaine pour s apprécier aux environs de 0,73 $ US. Jimmy Jean Économiste principal Hendrix Vachon Économiste senior Marchés boursiers Indice Indice s&p 500 (gauche) s&p/tsx (droite) Marchés obligataires taux de dix ans En points de % En % -0,68 2,4 2,3-0,71 2,2-0,74 2,1 2,0-0,77 1,9 1,8-0,80 1,7-0,83 1,6 1,5-0,86 1,4-0,89 1,3 1,2-0,92 1, écart (gauche) états-unis (droite) canada (droite) Marchés des devises $ US/$ CAN $ US/ 0,730 1,125 0,725 1,120 1,115 0,720 1,110 0,715 1,105 0,710 1,100 0,705 1,095 0,700 1,090 1,085 0,695 1,080 0,690 1,075 0,685 1, dollar canadien (gauche) euro (droite) 3

4 À surveiller États-Unis Vendredi 12 février - 8:30 Janvier m/m Consensus 0,1 % Desjardins 0,2 % Décembre -0,1 % Vendredi 12 février - 10:00 Février Consensus 92,5 Desjardins 93,4 Janvier 92,0 Ventes au détail (janvier) Les ventes au détail ont fini l année 2015 sur une note décevante avec une baisse de 0,1 %. Plusieurs types de détaillants ont aussi affiché des reculs de leurs ventes. On s attend cependant à ce que la croissance soit revenue dès janvier. Le nombre d automobiles neuves vendues a augmenté de 1,4 % au cours du premier mois de l année. On prévoit toutefois que la nouvelle baisse des prix de l essence amènera une autre contraction de la valeur des ventes des stations-service. De leur côté, le regain de certains indices de confiance et la performance correcte des ventes hebdomadaires des magasins à succursales suggèrent une augmentation de 0,2 % des ventes excluant les automobiles et l essence. Somme toute, les ventes totales devraient afficher une hausse de 0,2 %. Si l on exclut seulement les automobiles, une stagnation est anticipée. Indice de confiance des consommateurs de l Université du Michigan (février préliminaire) L indice de confiance de l Université du Michigan a perdu, avec sa version finale de janvier, les gains que montrait sa version préliminaire. Ainsi, l indice est passé de 92,6 en décembre à 93,3 selon la première estimation de janvier puis à 92,0 selon la version finale. Cette baisse, qui provient surtout de la composante associée aux anticipations des ménages, contraste avec la meilleure performance d autres indices de confiance. En ce sens, on pouvait s attendre à ce que malgré les problèmes des marchés financiers, la diminution des prix de l essence conforte davantage les ménages. La poursuite de ce recul des prix au cours des dernières semaines ils sont maintenant plus bas qu à leur creux de janvier 2015 devrait normalement aider la confiance au cours du présent mois. Il n est pas inusuel de voir l indice du Michigan reproduire, avec un peu de retard, les mouvements de l indice du Conference Board. Toutefois, la poursuite de la grande volatilité des marchés financiers risque de limiter les gains possibles de la confiance. Ainsi, on ne s attend qu à une légère hausse, de 92,0 à 93,4, de l indice de l Université du Michigan. Canada Les données de janvier sur les mises en chantier ont été publiées le vendredi 5 février par la Société canadienne d hypothèques et de logement (SCHL) au lieu du lundi 8 février. Il y a donc rien de particulier à surveiller la semaine prochaine au Canada. Outre-mer Vendredi 12 février - 5:00 T t/t Consensus 0,3 % T ,3 % Zone euro : PIB réel (T4) La croissance a faibli au cours de 2015, passant d une croissance trimestrielle non annualisée de 0,5 % à l hiver à 0,4 % au printemps puis à 0,3 % à l été. Le consensus s attend à une croissance semblable entre le troisième et le quatrième trimestre. La France, qui a déjà publié une estimation préliminaire de sa croissance trimestrielle du PIB, a aussi affiché un gain de 0,3 %. L Allemagne et l Italie publieront aussi leurs résultats trimestriels vendredi prochain. 4

5 Indicateurs économiques Semaine du 8 au 12 février 2016 Jour Heure Indicateur Période Consensus États-Unis Données précédentes Lundi 8 Mardi 9 Mercredi 10 Jeudi 11 Vendredi :00 Stocks des grossistes (m/m) Déc. -0,1 % 0,0 % -0,3 % 10:00 Discours de la présidente de la Réserve fédérale, J. Yellen 13:30 Discours du président de la Fed de San Francisco, J. Williams 14:00 Budget fédéral (G$ US) Janv. 10,1 n.d. -17,5 8:30 Demandes d assurance-chômage 1-5 févr :00 Discours de la présidente de la Réserve fédérale, J. Yellen 8:30 Prix des exportations (m/m) Janv. n.d. -1,3 % -1,1 % 8:30 Prix des importations (m/m) Janv. -1,5 % -1,5 % -1,2 % 8:30 Ventes au détail Total (m/m) Janv. 0,1 % 0,2 % -0,1 % Excluant automobiles (m/m) Janv. 0,0 % 0,0 % -0,1 % 10:00 Discours du président de la Fed de New York, W. Dudley 10:00 Indice de confiance du Michigan préliminaire Févr. 92,5 93,4 92,0 10:00 Stocks des entreprises (m/m) Déc. 0,1 % 0,2 % -0,2 % Canada Lundi 8 Mardi 9 Mercredi 10 Jeudi 11 Vendredi 12 8:30 Permis de bâtir (m/m) Déc. n.d. 5,0 % -19,6 % 11:50 Discours d un sous-gouverneur de la Banque du Canada, T. Lane :30 Indice des prix des logements neufs (m/m) Déc. n.d. 0,2 % 0,2 % Note : Desjardins, Études économiques participent à toutes les semaines au sondage de la maison Bloomberg pour le Canada et les États-Unis. Environ 15 économistes sont consultés pour le sondage au Canada et près d une centaine du côté américain. Les simplifications m/m, t/t et a/a correspondent respectivement à des variations mensuelles, trimestrielles et annuelles. À la suite du trimestre, les simplifications p, d et t correspondent respectivement à première estimation, deuxième estimation et troisième estimation. Les heures indiquées sont à l heure normale de l Est (GMT - 5 heures). Prévisions de Desjardins, Études économiques du Mouvement des caisses Desjardins. 5

6 Indicateurs économiques Semaine du 8 au 12 février 2016 Pays Heure Indicateur Période Outre-mer Consensus m/m (t/t) a/a Données précédentes m/m (t/t) a/a Dimanche 7 Japon 18:50 Balance commerciale (G ) Déc. 305,3-271,5 Japon 18:50 Compte courant (G ) Déc , ,5 Lundi 8 Allemagne 2:00 Production industrielle Déc. 0,5 % -0,6 % -0,3 % 0,1 % Mardi 9 Allemagne 2:00 Balance commerciale (G ) Déc. 20,0 20,6 Allemagne 2:00 Compte courant (G ) Déc. 26,7 24,7 Royaume-Uni 4:30 Balance commerciale (M ) Déc Japon 18:50 Indice des prix à la production Janv. -0,7 % -2,8 % -0,3 % -3,4 % Mercredi 10 France 2:45 Production industrielle Déc. 0,3 % 1,7 % -0,9 % 2,8 % Italie 4:00 Production industrielle Déc. 0,3 % 1,4 % -0,5 % 0,9 % Royaume-Uni 4:30 Production industrielle Déc. -0,1 % 1,0 % -0,7 % 0,9 % Jeudi 11 Suède 3:30 Réunion de la Banque de Suède Févr. -0,35 % -0,35 % Vendredi 12 Allemagne 2:00 Indice des prix à la consommation final Janv. -0,8 % 0,5 % -0,8 % 0,5 % Allemagne 2:00 PIB réel préliminaire T4 0,3 % 1,4 % 0,3 % 1,7 % France 2:45 Création d emplois non agricoles préliminaire T4 0,0 % 0,2 % France 2:45 Salaires préliminaire T4 n.d. 0,0 % Italie 4:00 PIB réel préliminaire T4 0,3 % 1,2 % 0,2 % 0,8 % Royaume-Uni 4:30 Construction Déc. 2,0 % 0,8 % -0,5 % -1,1 % Zone euro 5:00 PIB réel T4 0,3 % 1,5 % 0,3 % 1,6 % Zone euro 5:00 Production industrielle Déc. 0,3 % 0,9 % -0,7 % 1,1 % Note : Contrairement au Canada et aux États-Unis, la divulgation des chiffres économiques outre-mer se fait de façon beaucoup plus approximative. La journée de publication des statistiques est donc indicative seulement. Les simplifications m/m, t/t et a/a correspondent respectivement à des variations mensuelles, trimestrielles et annuelles. (SA) : ajusté pour les saisonnalités, (NSA) : non ajusté pour les saisonnalités. Les heures indiquées sont à l heure normale de l Est (GMT - 5 heures). 6

7 trim. ann. 1 an Produit intérieur brut (G$ 2009) 2015 T ,7 1,8 2,4 2,4 1,5 2,2 Consommation (G$ 2009) 2015 T ,2 2,6 3,1 2,7 1,7 1,5 Dépenses gouvernementales (G$ 2009) 2015 T ,7 1,3 0,8-0,6-2,9-1,9 Investis. résidentiels (G$ 2009) 2015 T4 545,0 8,2 9,0 8,8 1,8 9,5 13,5 Investis. non résidentiels (G$ 2009) 2015 T ,8 1,6 2,9 6,2 3,0 9,0 Changement des stocks (G$ 2009) (1) 2015 T4 68, ,1 68,0 61,4 54,7 Exportations (G$ 2009) 2015 T ,5-0,8 1,1 3,4 2,8 3,4 Importations (G$ 2009) 2015 T ,1 3,4 5,0 3,8 1,0 2,2 Demande intérieure finale (G$ 2009) 2015 T ,6 2,5 2,8 2,5 1,2 1,9 Déflateur du PIB (2009 = 100) 2015 T4 110,3 0,8 1,1 1,0 1,6 1,6 1,8 Productivité du travail (2009 = 100) 2015 T4* 105,7-3,0 0,3 0,6 0,7-0,0 0,9 Coût unit. de main-d œuvre (2009 = 100) 2015 T4* 109,5 4,5 2,8 2,4 2,0 1,1 1,7 Indice coût de l emploi (déc = 100) 2015 T4 125,2 2,3 2,0 2,1 2,0 2,0 1,8 Solde du compte courant (G$) (1) 2015 T3-124, ,5-376,8-449,7-460,4 * Nouvelle statistique par rapport à la semaine précédente. (1) Statistique représentant le niveau au cours de la période. états-unis : indicateurs économiques trimestriels trim. de réf. niveau Variation (%) Variation annuelle (%) états-unis : indicateurs économiques mensuels Mois de réf. -1 mois -3 mois -6 mois -12 mois Indicateur avancé (2010 = 100) Déc. 123,7-0,2 0,8 0,7 2,7 Indice ISM manufacturier (1) Janv.* 48,2 48,0 49,4 51,9 53,9 Indice ISM non manufacturier (1) Janv.* 53,5 55,8 58,3 59,6 56,9 Confiance cons. Conf. Board (1985 = 100) (1) Janv. 98,1 96,3 99,1 91,0 103,8 Confiance cons. Michigan (1966 = 100) (1) Janv. 92,0 92,6 90,0 93,1 98,1 Dépenses de consommation (G$ 2009) Déc.* ,1 0,5 1,2 2,6 Revenu personnel disponible (G$ 2009) Déc.* ,4 0,8 1,8 3,1 Crédit à la consommation (G$) Nov ,4 1,7 3,5 6,8 Ventes au détail (M$) Déc ,1 0,3 1,0 2,2 Excluant automobiles (M$) Déc ,1 0,3 0,3 1,2 Production industrielle (2007 = 100) Déc. 106,0-0,4-1,4-0,6-1,8 Taux d utilis. de la capacité de production (%) (1) Déc. 76,5 76,9 77,9 77,5 79,0 Nouv. commandes manufacturières (M$) Déc.* ,9-2,3-4,9-3,9 Nouv. commandes biens durables (M$) Déc ,0-2,8-4,7-0,5 Stocks des entreprises (G$) Nov ,2-0,1 0,6 1,6 Mises en chantier résidentielles (k) (1) Déc Permis de bâtir résidentiels (k) (1) Déc Ventes de maisons neuves (k) (1) Déc. 544,0 491,0 457,0 469,0 495,0 Ventes de maisons existantes (k) (1) Déc Dépenses de construction totales (G$) Déc.* ,1-0,7 0,3 8,2 Surplus commercial (M$) (1) Déc.* Emplois non agricoles (k) (2) Janv.* ,0 693, Taux de chômage (%) (1) Janv.* 4,9 5,0 5,0 5,3 5,7 Prix à la consommation ( = 100) Déc. 237,8-0,1 0,1 0,0 0,7 Excluant aliments et énergie Déc. 244,4 0,1 0,5 0,9 2,1 Déflateur des dépenses de cons. (2009 = 100) Déc.* 109,7-0,1 0,0 0,1 0,6 Excluant aliments et énergie Déc.* 110,1 0,0 0,2 0,6 1,4 Prix à la production (2009 = 100) Déc. 109,6-0,2-0,3-0,8-1,1 Excluant aliments et énergie Déc. 109,2 0,1 0,1 0,2 0,3 Prix des exportations (2000 = 100) Déc. 119,9-1,1-2,0-4,3-6,5 Prix des importations (2000 = 100) Déc. 119,4-1,2-2,1-5,7-8,2 * Nouvelle statistique par rapport à la semaine précédente. (1) Statistique représentant le niveau du mois de la colonne; (2) Statistique représentant la variation depuis le mois de référence. niveau Variation (%) 7

8 trim. ann. 1 an Produit intérieur brut (M$ 2007) 2015 T ,3 1,2 2,5 2,2 1,7 3,1 Cons. des ménages (M$ 2007) 2015 T ,8 1,7 2,6 2,4 1,9 2,2 Cons. des gouvernements (M$ 2007) 2015 T ,6 0,9 0,3 0,3 0,7 1,3 Investis. résidentiels (M$ 2007) 2015 T ,5 2,1 2,5-0,4 5,6 1,6 Investis. non résidentiels (M$ 2007) 2015 T ,8-8,9 0,0 2,5 8,6 12,8 Changement des stocks (M$ 2007) (1) 2015 T3 740, Exportations (M$ 2007) 2015 T ,4 2,4 5,3 2,8 2,6 4,8 Importations (M$ 2007) 2015 T ,9-1,1 1,8 1,5 3,6 5,6 Demande intérieure finale (M$ 2007) 2015 T ,0 0,2 1,6 1,3 2,4 2,6 Déflateur du PIB (2007 = 100) 2015 T3 112,6 0,4-0,8 1,7 1,6 1,3 3,2 Productivité du travail (2007 = 100) 2015 T3 106,2 0,6-0,7 2,5 1,3-0,4 1,8 Coût unitaire de main-d œuvre (2007 = 100) 2015 T3 114,6-2,0 0,6 1,1 1,7 3,2 1,7 Solde du compte courant (M$) (1) 2015 T Taux d utilis. de la capacité de prod. (%) (1) 2015 T3 82, ,7 81,2 81,5 80,6 Revenu pers. disponible (M$) 2015 T ,4 3,3 3,0 4,8 4,1 3,7 Excédent d expl. net des sociétés (M$ 2007) 2015 T ,7-19,2 7,0 0,8-5,3 17,0 * Nouvelle statistique par rapport à la semaine précédente. (1) Statistique représentant le niveau au cours de la période. canada : indicateurs économiques trimestriels trim. de réf. niveau Variation (%) Variation annuelle (%) canada : indicateurs économiques mensuels Mois de réf. -1 mois -3 mois -6 mois -12 mois Produit intérieur brut (M$ 2007) Nov ,3-0,2 0,7 0,2 Production industrielle (M$ 2007) Nov ,5-2,0 0,8-3,2 Ventes des manufacturiers (M$) Nov ,0-1,7 0,8-0,5 Mises en chantier (k) (1) Déc. 173,0 212,0 233,3 201,2 178,9 Permis de bâtir (M$) Nov ,6-17,5-7,5-6,0 Ventes au détail (M$) Nov ,7 1,5 3,1 3,2 Excluant automobiles (M$) Nov ,1 0,8 1,3 0,8 Ventes des grossistes (M$) Nov ,8 1,2 2,2 4,2 Surplus commercial (M$) (1) Déc.* -584, ,7-966,5 Exportations (M$) Déc.* ,9 3,3 1,8 3,4 Importations (M$) Déc.* ,6-0,2 0,9 2,5 Emplois (k) (2) Janv.* ,7-5,3 8,9 10,5 Taux de chômage (%) (1) Janv.* 7,2 7,1 7,0 6,8 6,6 Rémunération hebdomadaire moyenne ($) Nov. 950,7-0,3 0,6 0,4 1,4 Nombre de salariés (k) (2) Nov ,1 22,3 4,9 11,5 Prix à la consommation (2002 = 100) Déc. 126,5-0,5-0,5-0,6 1,6 Excluant aliments et énergie Déc. 121,3-0,5-0,5 0,0 1,7 Excluant huit éléments volatils Déc. 126,1-0,4-0,4 0,1 1,9 Prix des produits industriels (2002 = 100) Déc. 109,8-0,2-1,0-1,0 1,1 Prix des matières premières (2002 = 100) Déc. 84,3-5,0-9,0-18,2-14,1 Masse monétaire M1+ (M$) Déc ,2 0,9 4,6 8,2 * Nouvelle statistique par rapport à la semaine précédente. (1) Statistique représentant le niveau du mois de la colonne; (2) Statistique représentant la variation depuis le mois de référence. niveau Variation (%) 8

9 Principaux indicateurs financiers Données précédentes (%) Dernières 52 semaines (%) 5 févr. 29 janv. -1 mois -3 mois -6 mois -12 mois haut Moyenne Bas états-unis Fonds fédéraux cible 0,50 0,50 0,50 0,25 0,25 0,25 0,50 0,29 0,25 Bons du Trésor 3 mois 0,28 0,32 0,20 0,08 0,06 0,02 0,35 0,08-0,02 Obligations 2 ans 0,74 0,79 1,02 0,89 0,72 0,63 1,08 0,71 0,48 Obligations 5 ans 1,27 1,33 1,56 1,73 1,57 1,48 1,79 1,53 1,25 Obligations 10 ans 1,87 1,93 2,12 2,32 2,17 1,96 2,48 2,15 1,84 Obligations 30 ans 2,70 2,76 2,91 3,09 2,82 2,53 3,24 2,88 2,47 Indice S&P Indice DJIA Cours de l or ($ US/once) Indice CRB 162,74 166,75 168,58 191,03 198,32 224,85 231,77 202,44 156,32 Pétrole WTI ($ US/baril) 31,54 33,66 33,20 44,32 43,87 51,66 61,36 47,05 26,68 canada Fonds à un jour cible 0,50 0,50 0,50 0,50 0,50 0,75 0,75 0,61 0,50 Bons du Trésor 3 mois 0,45 0,46 0,44 0,43 0,39 0,54 0,68 0,50 0,32 Obligations 2 ans 0,39 0,42 0,42 0,68 0,44 0,50 0,71 0,52 0,29 Obligations 5 ans 0,60 0,67 0,64 1,03 0,78 0,78 1,13 0,83 0,54 Obligations 10 ans 1,16 1,22 1,30 1,72 1,42 1,45 1,91 1,50 1,12 Obligations 30 ans 1,98 2,04 2,06 2,42 2,09 2,03 2,48 2,19 1,92 Écart de taux par rapport aux É.-U. (points de %) Fonds à un jour 0,00 0,00 0,00 0,25 0,25 0,50 0,50 0,32 0,00 Bons du Trésor 3 mois 0,17 0,14 0,24 0,35 0,33 0,52 0,67 0,42 0,06 Obligations 2 ans -0,35-0,37-0,60-0,21-0,28-0,13 0,13-0,19-0,64 Obligations 5 ans -0,67-0,66-0,92-0,70-0,79-0,70-0,39-0,70-1,00 Obligations 10 ans -0,71-0,71-0,82-0,60-0,75-0,51-0,36-0,65-0,90 Obligations 30 ans -0,73-0,72-0,85-0,67-0,73-0,50-0,50-0,69-0,90 Indice S&P/TSX Taux de change ($ CAN/$ US) 1,3877 1,3973 1,4170 1,3307 1,3130 1,2526 1,4579 1,2963 0,7206 Taux de change ($ CAN/ ) 1,5442 1,5142 1,5490 1,4293 1,4401 1,4173 1,5903 1,4297 0,8020 Outre-mer BCE Taux de refinancement 0,05 0,05 0,05 0,05 0,05 0,05 0,05 0,05 0,05 BoE Taux de base 0,50 0,50 0,50 0,50 0,50 0,50 0,50 0,50 0,50 BoJ Taux à un jour 0,10 0,10 0,10 0,10 0,10 0,10 0,10 0,10 0,10 Allemagne : Obligations 10 ans 0,30 0,27 0,51 0,70 0,66 0,37 0,99 0,54 0,08 R.-U. : Obligations 10 ans 1,56 1,57 1,76 2,04 1,97 1,64 2,19 1,85 1,51 Euro : Taux de change ($ US/ ) 1,1130 1,0837 1,0932 1,0741 1,0969 1,1316 1,1620 1,1032 1,0495 R.-U. : Taux de change ($ US/ ) 1,4467 1,4248 1,4520 1,5050 1,5497 1,5246 1,5884 1,5211 1,4158 CRB : Commodity Research Bureau ; WTI : West Texas Intermediate ; BCE : Banque centrale européenne; BoE : Banque d Angleterre; BoJ : Banque du Japon Note : Données prises à la fermeture des marchés, à l'exeption de la journée courante qui ont été prises à 11 h. 9

La Banque nationale suisse surprend les marchés

La Banque nationale suisse surprend les marchés La Banque nationale suisse surprend les marchés 16 janvier 2015 Faits saillants États-Unis : baisse décevante des ventes au détail en décembre. États-Unis : les prix de l essence font diminuer l inflation,

Plus en détail

La dette des ménages canadiens demeure très élevée

La dette des ménages canadiens demeure très élevée 12 septembre 2014 La dette des ménages canadiens demeure très élevée Faits saillants États Unis : accélération bienvenue des ventes au détail. Forte hausse du crédit à la consommation en juillet aux États

Plus en détail

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues

Plus en détail

COMPRENDRE LA BOURSE

COMPRENDRE LA BOURSE COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

Économie américaine : est-ce grave?

Économie américaine : est-ce grave? Université d été 28 - CÉRIUM Montréal, 4 juillet 28 Économie américaine : est-ce grave? Francis Généreux Économiste senior L économie gâche la fête! 1. Un portrait de l économie américaine I. Structure

Plus en détail

Perspectives économiques 2013-2014

Perspectives économiques 2013-2014 Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:

Plus en détail

Le poids de la consommation dans le Pib atteint des niveaux

Le poids de la consommation dans le Pib atteint des niveaux AMBASSADE DE FRANCE AUX ETATS-UNIS MISSION FINANCIÈRE FRENCH TREASURY OFFICE 11 RESERVOIR ROAD, NW WASHINGTON D.C. 7 TEL : () 9-33, FAX : () 9-39 E - M A I L : afny@missioneco.org 1 SEVENTH AVENUE, 3 TH

Plus en détail

BASE DE DONNEES - MONDE

BASE DE DONNEES - MONDE BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar

Plus en détail

Boussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!

Boussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,

Plus en détail

Situation financière des ménages au Québec et en Ontario

Situation financière des ménages au Québec et en Ontario avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur

Plus en détail

Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien

Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,

Plus en détail

Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada

Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des

Plus en détail

Présentation Macro-économique. Mai 2013

Présentation Macro-économique. Mai 2013 Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%

Plus en détail

Le CAC vu de Nouillorque (Sem 10, 6 mars. 15) Hemve 31

Le CAC vu de Nouillorque (Sem 10, 6 mars. 15) Hemve 31 Le CAC vu de Nouillorque (Sem 10, 6 mars. 15) Hemve 31 Le bulletin hebdomadaire, sur votre site http://hemve.eklablog.com/ La BCE et l emploi US font chuter l euro, Le Cac peut-il s affranchir de Wall

Plus en détail

Canada-Inde Profil et perspective

Canada-Inde Profil et perspective Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information

Plus en détail

Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue?

Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue? 28 avril 2015 Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue? Beaucoup d espoir repose sur les entreprises du centre du pays pour permettre à la croissance économique de

Plus en détail

RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE

RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE 2014 RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE Rapport adressé à Monsieur le Président de la République et au Parlement par Christian Noyer, gouverneur Sommaire La Banque de France a fait appel à des métiers

Plus en détail

Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux

Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux 7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour

Plus en détail

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses

Plus en détail

TABLE DES MATIERES. iii

TABLE DES MATIERES. iii RAPPORT DU COMITE DE POLITIQUE MONETAIRE N 1/2014 ii TABLE DES MATIERES LISTE DES ACRONYMES... iv RESUME ANALYTIQUE... v 1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE INTERNATIONAL... 1 1.1. Croissance du PIB mondial...

Plus en détail

L économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions

L économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions L économie ouverte Un modèle de petite économie ouverte V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile Quelques définitions Économie fermée Économie ouverte Exportations et importations Exportations nettes

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres

Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres Session d hiver 2008 de l ASGB Association suisse de l industrie des Graviers et du Béton Jongny, le 20 février 2008 Christoph Koellreuter, Fondateur

Plus en détail

Pouvoir d achat - 124. Revenu mensuel en Autriche. Tableau: Revenu mensuel en Autriche Valide au 31 mars 2009

Pouvoir d achat - 124. Revenu mensuel en Autriche. Tableau: Revenu mensuel en Autriche Valide au 31 mars 2009 Revenu mensuel en Autriche ans d expérience, a) célibataire et b) marié et père de 2 enfants c) et d) sans revenir chaque jour à la maison et preste 5 heures supplémentaires Tableau: Revenu mensuel en

Plus en détail

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération

Plus en détail

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance

Plus en détail

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1 Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada

Plus en détail

Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes

Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes N o 11 626 X au catalogue N o 26 ISSN 1927-548 ISBN 978--66-2984-5 Document analytique Aperçus économiques Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes par André Bernard Direction des

Plus en détail

[ les éco_fiches ] Situation en France :

[ les éco_fiches ] Situation en France : Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d

Plus en détail

Secteur de la construction au Canada

Secteur de la construction au Canada PIB en G$ CAD Survol des tendances de l industrie Secteur de la construction au Canada Principaux développements T2/214 214 Le PIB réel a atteint un sommet de 1 69 millions de dollars canadiens en novembre

Plus en détail

OUESSANT. Vivienne investissement. Printemps-été 2015. Rapport de gestion. L analyse quantitative au service de la gestion active

OUESSANT. Vivienne investissement. Printemps-été 2015. Rapport de gestion. L analyse quantitative au service de la gestion active Ce document est destiné à des investisseurs professionnels uniquement Vivienne investissement L analyse quantitative au service de la gestion active OUESSANT Rapport de gestion Printemps-été 2015 Vivienne

Plus en détail

A PLUS FINANCE FONDS DE FONDS

A PLUS FINANCE FONDS DE FONDS FINANCE FONDS DE FONDS A PLUS DYNAMIQUE A PLUS PATRIMOINE A PLUS TALENTS A PLUS OBLIGATIONS RAPPORT DE AU 30-06-2015 COMMENTAIRE DE 1 er SEMESTRE 2015 Le premier semestre 2015 a été caractérisé par le

Plus en détail

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds

Plus en détail

Marché mondial de l automobile

Marché mondial de l automobile Carlos Gomes 1..73 carlos.gomes@scotiabank.com En route vers des ventes mondiales records en 1 Les marchés développés mènent le bal Les ventes mondiales de voitures ont progressé de % pendant le premier

Plus en détail

Le présent chapitre porte sur l endettement des

Le présent chapitre porte sur l endettement des ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation

Plus en détail

mai COMMENTAIRE DE MARCHÉ

mai COMMENTAIRE DE MARCHÉ mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident

Plus en détail

Revue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16

Revue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16 9. Revue des Marchés Charles Gagné 2015-04-16 Les faits saillants 1. Inventaires de porcs aux É.-U. ( Hogs & Pigs) Croissance de 2 % du troupeau reproducteur 2. Baisse des exportations américaines Valeur

Plus en détail

Graphique 3 Le marché des copropriétés existantes est nettement excédentaire

Graphique 3 Le marché des copropriétés existantes est nettement excédentaire 9 janvier 1 Cycle de l immobilier résidentiel au Québec : bien différent de celui du Canada L an dernier, le marché de l habitation au pays a continué de défier à la hausse les pronostics tant au niveau

Plus en détail

Flash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011

Flash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011 Septembre 2011 Faits saillants Selon les données émises par la Chambre immobilière du Grand Montréal, la revente de résidences dans l agglomération de Montréal a atteint les 16 609 transactions en 2010,

Plus en détail

1 LA SITUATION ECONOMIQUE ET FINANCIERE

1 LA SITUATION ECONOMIQUE ET FINANCIERE LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE LA SITUATION ECONOMIQUE ET FINANCIERE. La situation économique dans la zone euro 0 0.. Les décisions de politique monétaire 0..2 Les marchés obligataires..3 Le marché

Plus en détail

INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec

INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec Édition 2013 Pour tout renseignement concernant l ISQ et les données statistiques dont il dispose, s

Plus en détail

La faiblesse du huard va persister

La faiblesse du huard va persister Septembre 215 La faiblesse du huard va persister L élargissement de la bande de flottement du yuan et la dévaluation subséquente d autres monnaies des marchés émergents ont propulsé l USD pondéré des échanges

Plus en détail

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010 75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en

Plus en détail

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février 25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre

Plus en détail

ATTIJARI MARKET RESEARCH FX & COMMODITIES TEAM

ATTIJARI MARKET RESEARCH FX & COMMODITIES TEAM 29 juin 2009 Forex Weekly Highlights I. Evénements clés et statistiques de la semaine du 22 juin 2009 Le retour de l aversion au risque a permis au billet vert d effacer un peu les pertes accumulées face

Plus en détail

BULLETIN STATISTIQUE MENSUEL

BULLETIN STATISTIQUE MENSUEL PEU DE DÉPARTS DU CANTON PARMI LES RÉSIDANTS EN 2014 En 2014, la population résidante du canton de Genève augmente de 8 334 personnes. Il s agit de la croissance la plus forte depuis les années soixante.

Plus en détail

2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?

2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Flash Stratégie Janvier 2015 2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Jean Borjeix Paris, le 20 janvier 2015 Dans ce document nous allons tout d abord rapprocher nos

Plus en détail

Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013

Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Daniel Denis kpmg.ca L environnement externe ÉCONOMIE CONSOMMATEUR TECHNOLOGIE DÉMOGRAPHIE Secteur de l assurance

Plus en détail

FINANCE & RISK MANAGEMENT TRAVAIL INDIVIDUEL I

FINANCE & RISK MANAGEMENT TRAVAIL INDIVIDUEL I FINANCE & RISK MANAGEMENT TRAVAIL INDIVIDUEL I ()*( TABLE DES MATIERES 1. EXERCICE I 3 2. EXERCICE II 3 3. EXERCICE III 4 4. EXERCICE IV 4 5. EXERCICE V 5 6. EXERCICE VI 5 7. SOURCES 6 (#*( 1. EXERCICE

Plus en détail

LE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE

LE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE DE LA GESTION PRIVÉE COMPTE RENDU DAVID DESOLNEUX DIRECTEUR DE LA GESTION SCÉNARIO ÉCONOMIQUE ACTIVITÉS La croissance économique redémarre, portée par les pays développés. Aux Etats-Unis, après une croissance

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée

Plus en détail

rapport CCE 2015-1250

rapport CCE 2015-1250 rapport CCE 2015-1250 La conjoncture économique dans la distribution Avril 2015 CCE 2015-1250 Rapport sur la conjoncture économique dans la distribution Avril 2015 Personnes de contact Gautier Gérome

Plus en détail

COMPTE DU RÉGIME DE PENSION DE LA GENDARMERIE ROYALE DU CANADA. Comptables agréés Toronto (Ontario) Le 29 avril 2005

COMPTE DU RÉGIME DE PENSION DE LA GENDARMERIE ROYALE DU CANADA. Comptables agréés Toronto (Ontario) Le 29 avril 2005 Rapport des vérificateurs Au conseil d administration de l Office d investissement des régimes de pensions du secteur public Compte du régime de pension de la Gendarmerie royale du Canada Nous avons vérifié

Plus en détail

Rapport de Russell sur la gestion active

Rapport de Russell sur la gestion active FÉVRIER 2015 La chute des prix du pétrole entraîne la plus importante variation des rendements des gestionnaires depuis 2008 : au Canada 65 % des gestionnaires canadiens à grande capitalisation ont devancé

Plus en détail

La politique monétaire. Lionel Artige HEC Université de Liège

La politique monétaire. Lionel Artige HEC Université de Liège La politique monétaire Lionel Artige HEC Université de Liège La politique monétaire d hier et d aujourd hui Hier Autrefois, les Etats battaient monnaie et les banques centrales dépendaient directement

Plus en détail

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE 1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment

Plus en détail

Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté

Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté 18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté

Plus en détail

En direct des Marchés

En direct des Marchés Bruxelles, le mercredi 8 juillet 2015 Madame, Monsieur, La réunion de la dernière chance hier est donc devenue celle de l avant-dernière chance et il faudra attendre dimanche pour connaitre la véritable

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

Perspective des marchés financiers en 2014

Perspective des marchés financiers en 2014 Perspective des marchés financiers en 2014 21/01/2014 13 ième édition 1 Outil d aide à la décision : The Screener OUTIL D AIDE À LA DÉCISION : THESCREENER Des analyses sur les valeurs boursières Disponible

Plus en détail

Conférence téléphonique. Tél.: (+33) 1 42 60 06 06 Fax: (+33) 1 42 60 06 22 www.prigest.com

Conférence téléphonique. Tél.: (+33) 1 42 60 06 06 Fax: (+33) 1 42 60 06 22 www.prigest.com Conférence téléphonique mercredi 6 octobre 2010 11 heures 223, rue Saint honoré 75001 PARIS Tél.: (+33) 1 42 60 06 06 Fax: (+33) 1 42 60 06 22 www.prigest.com THEMES DE LA CONFERENCE TELEPHONIQUE 1 ère

Plus en détail

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011 BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats

Plus en détail

RAPPORT SEMESTRIEL. ACER ACTIONS S1 au 30.06.2013. Acer Finance Société de Gestion agrément AMF n GP-95009

RAPPORT SEMESTRIEL. ACER ACTIONS S1 au 30.06.2013. Acer Finance Société de Gestion agrément AMF n GP-95009 RAPPORT SEMESTRIEL ACER ACTIONS S1 au 30.06.2013 Acer Finance Société de Gestion agrément AMF n GP-95009 8 rue Danielle Casanova 75002 Paris Tel: +33(0)1.44.55.02.10 / Fax: +33(0)1.44.55.02.20 acerfinance@acerfinance.com

Plus en détail

Macroéconomie. Monnaie et taux de change

Macroéconomie. Monnaie et taux de change Macroéconomie Monnaie et taux de change Marché des changes Le taux de change de en $ correspond au nombre de $ que l on peut acheter avec un exemple: 1 = 1,25 $ (1 $ = 0,8 ) Une appréciation du taux de

Plus en détail

Manuel de référence Options sur devises

Manuel de référence Options sur devises Manuel de référence Options sur devises Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX TMX Select Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique de Montréal Titres à

Plus en détail

Quels sont les risques sous-jacents liés au trading sur indice boursier?

Quels sont les risques sous-jacents liés au trading sur indice boursier? Indices boursiers Factsheet Introduction Trading sur indice boursier Les indices boursiers proposés sur les plateformes eforex de Swissquote sont des contrats sur dérivés de gré à gré (OTC) dont le sous-jacent

Plus en détail

Contexte pétrolier 2010 et tendances

Contexte pétrolier 2010 et tendances Contexte pétrolier 21 et tendances L incertitude du contexte économique, en particulier dans les pays occidentaux, est à l origine d une fluctuation marquée du prix du pétrole en 21 : minimum de 67 $/b

Plus en détail

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé

Plus en détail

STRATEGIE SEMAINE DU 27/10/14 AU 02/10/14

STRATEGIE SEMAINE DU 27/10/14 AU 02/10/14 STRATEGIE SEMAINE DU 27/10/14 AU 02/10/14 Environnement : Magnifique contre pied des marchés la semaine dernière. En effet, alors que la semaine d avant fut très mouvementée, notamment avec la journée

Plus en détail

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? 1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%

Plus en détail

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.2 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)

Plus en détail

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013 Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer

Plus en détail

RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415

RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge

Plus en détail

Cent quinzième session. Rome, 25-29 septembre 2006

Cent quinzième session. Rome, 25-29 septembre 2006 Août 2006 F COMITÉ FINANCIER Cent quinzième session Rome, 25-29 septembre 2006 Recommandations et décisions de la Commission de la fonction publique internationale et du Comité mixte de la Caisse commune

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)

Plus en détail

La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai

La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai 25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de

Plus en détail

DES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET

DES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des

Plus en détail

ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION

ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION ANNEE 2011 1 ANANTA PATRIMOINE S.A. (Genève) est une société de gestion affiliée à l O.A.R.G. (Organisme d Autorégulation des Gérants de patrimoine) sous le numéro d agrément

Plus en détail

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d

Plus en détail

Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014

Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 6 mars 2015 Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 La Banque nationale suisse (BNS) a

Plus en détail

DORVAL FLEXIBLE MONDE

DORVAL FLEXIBLE MONDE DORVAL FLEXIBLE MONDE Rapport de gestion 2014 Catégorie : Diversifié International/Gestion flexible Objectif de gestion : L objectif de gestion consiste à participer à la hausse des marchés de taux et

Plus en détail

Investir à long terme

Investir à long terme BMO Gestion mondiale d actifs Fonds d investissement Investir à long terme Conservez vos placements et réalisez vos objectifs Concentrez-vous sur l ENSEMBLE de la situation Le choix des bons placements

Plus en détail

Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques

Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Je ne caractériserais pas la récente correction du marché comme «une dégringolade». Il semble

Plus en détail

La situation économique et financière

La situation économique et financière Bulletin Institutionnel de SMA Gestion DOCUMENT RESERVE EXCLUSIVEMENT AUX CLIENTS PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF La situation économique et financière «Un certain nombre de participants ont

Plus en détail

PERSPECTIVES CANADIENNES : LA CROISSANCE RESTREINTE PAR LE CONTRÔLE DE LA DETTE

PERSPECTIVES CANADIENNES : LA CROISSANCE RESTREINTE PAR LE CONTRÔLE DE LA DETTE Prévisions économiques trimestrielles Services économiques TD PERSPECTIVES CANADIENNES : LA CROISSANCE RESTREINTE PAR LE CONTRÔLE DE LA DETTE Faits saillants Après avoir enregistré une vigoureuse reprise

Plus en détail

Chapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)

Chapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite) Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,

Plus en détail

Septembre 2013. Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse

Septembre 2013. Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse Septembre 2013 Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse Baromètre bancaire 2013 Executive summary 3 1 Evolution économique globale 1.1 Economie internationale 1.2 Suisse

Plus en détail

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Au Canada, en vertu de la loi, les prêteurs assujettis à la réglementation fédérale et la plupart des institutions financières assujetties à une

Plus en détail

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse

Plus en détail

LES NOUVEAUX INDICATEURS STATISTIQUES DU FMI

LES NOUVEAUX INDICATEURS STATISTIQUES DU FMI LES NOUVEAUX INDICAEURS SAISIQUES DU FI À la fin de 1994 et au début de l année 1995, la répétition et la sévérité des désordres sur les marchés de capitaux, et récemment la crise financière du exique

Plus en détail

Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions

Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions 27 novembre 213 N 5 Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions La Chine semble vouloir développer le poids du RMB comme monnaie internationale, aussi bien financière que

Plus en détail

MÉTHODOLOGIE POUR LE CALCUL DE L AMORTISSEMENT ET DE LA VALEUR DU STOCK NET DOMICILIAIRE DIVISION DE L INVESTISSEMENT ET DU STOCK DE CAPITAL

MÉTHODOLOGIE POUR LE CALCUL DE L AMORTISSEMENT ET DE LA VALEUR DU STOCK NET DOMICILIAIRE DIVISION DE L INVESTISSEMENT ET DU STOCK DE CAPITAL MÉTHODOLOGIE POUR LE CALCUL DE L AMORTISSEMENT ET DE LA VALEUR DU STOCK NET DOMICILIAIRE DIVISION DE L INVESTISSEMENT ET DU STOCK DE CAPITAL STATISTIQUE CANADA 15 FÉVRIER 2002 1 MÉTHODOLOGIE POUR LE CALCUL

Plus en détail

La publication, au second

La publication, au second Les entreprises industrielles françaises de plus en plus impliquées dans les NTIC Malgré l adoption accélérée des différents outils des nouvelles technologies de l information et de la communication (NTIC)

Plus en détail

PREM Opcimmo L épargne immobilière indirecte réinventée

PREM Opcimmo L épargne immobilière indirecte réinventée GESTION DE PATRIMOINE PREM Opcimmo L épargne immobilière indirecte réinventée Diversification compte-titres et assurance vie Action de l OPCI Opcimmo PREM Opcimmo L épargne immobilière indirecte réinventée

Plus en détail