Circovirose, maladie d apparition relativement récente chez le pigeon et désormais, largement répandue
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- Fabien Falardeau
- il y a 7 ans
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1 Circovirose, maladie d apparition relativement récente chez le pigeon et désormais, largement répandue La circovirose est de découverte récente en France. Elle a été diagnostiquée pour la première fois en décembre 1998 dans un élevage de pigeons de chair. Depuis, nous retrouvons régulièrement cette maladie dans tous types d élevages. Cette maladie est encore très largement méconnue chez les éleveurs de pigeons de fantaisie ou de pigeons voyageurs. 1. Les signes de la maladie : Les signes de la maladie varient en fonction du type d élevage Elevages type chair : La maladie évolue sur plusieurs mois de façon récurrente. Elle touche l une après l autre, pendant 1 à 2 mois, chaque zone de l élevage, disparaît dans un parquet et arrive dans un autre. L éleveur détecte une mortalité au plateau de pigeonneaux âgés de plus de 15 jours et un taux de pigeonneaux chétifs anormalement élevés. Une flambée de coccidiose (diarrhée, nids sales), de trichomonose, de coryza, de capillariose (amaigrissement extrêmement important) de salmonellose (arthrite, mortalités brutales) est constatée sur les pigeonneaux au nid. Les jeunes futurs reproducteurs ont des troubles respiratoires, rarement de la diarrhée. 1 / 9
2 Les reproducteurs sont peu touchés par la maladie. Parfois, on observe une recrudescence de la salmonellose (arthrites) Pigeons voyageurs et pigeons de fantaisie Le signe principal est une mortalité souvent rapide de jeunes pigeons. La diarrhée peut précéder la mort. Parfois, très peu de pigeons sont atteints (1 ou 2), les autres pigeons ne montrant aucun signe de maladie. Parfois, la mortalité atteint 20 à 30 % de l effectif des jeunes. On observe également, sur quelques pigeons, des anomalies du plumage et, plus rarement, du bec (becs croisés, ). Ce sont essentiellement les pigeonneaux de moins de 6 mois qui paient un lourd tribut à la maladie. La maladie sévit pendant 2 à 4 semaines puis disparaît. Il semble que les épidémies qualifiées auparavant d adénovirose (diarrhée d apparition brutale sur de très nombreux jeunes pigeons, vomissement, taux de mortalité très variable, guérison en 2 à 5 semaines, sans apparition de troubles nerveux) soient en fait déclenchées par le circovirus (associé ou non à un adénovirus) 2. Le diagnostic 2.1. Sur pigeon vivant, les signes observés ne permettent pas de faire le diagnostic. Tout au plus, lors de mortalité rapide de jeunes pigeons, avec ou sans diarrhée, la circovirose peut-elle être suspectée Sur un pigeon mort, une autopsie soignée permet d observer une anomalie 2 / 9
3 dans le développement de certains organes : rate, bourse de Fabricius et Thymus. Ces organes sont anormalement petits. Mais, d autres maladies virales (paramyxovirus, ) provoquent également une atrophie de ces organes. En fait, seul l examen microscopique de ces organes préparés selon un protocole rigoureux permet de confirmer la maladie. Cet examen n est généralement pas fait «en routine» ; seuls des laboratoires d histologie spécialisés réalisent cet examen sur prescription d un vétérinaire. Une autre technique d analyse permet de détecter par analyse génétique (technique PCR) les morceaux d ADN viral. Cette analyse est extrêmement sensible ; elle peut être pratiquée sur les organes mais aussi, avec une fiabilité moindre, sur les fientes de pigeons malades ou sur un écouvillon pharyngé. Actuellement, seul le laboratoire dirigé par Jean Pierre DUCAHTEL à Liège en Belgique, réalise cette analyse en routine. 3. Mode d action de la maladie 3.1. Brefs rappels concernant l immunité Lors d une contamination par un agent pathogène, l organisme réagit en sollicitant son système immunitaire dont l une des composantes la plus connue est la production d anticorps. Le temps de réaction de l organisme varie en fonction des agents en cause. Il est de l ordre de quelques semaines pour les bactéries et virus à quelques mois pour les parasites digestifs. Ce délai de mise en place de l immunité explique pourquoi les jeunes pigeons sont bien plus vulnérables aux maladies que les adultes; ils n ont pas encore eu le temps de s immuniser contre les maladies. Les organes qui sont le siège de l immunité sont essentiellement la rate quel que soit l âge et, pour les jeunes pigeons de moins de 6 mois, la bourse de Fabricius (organe situé à la base du cloaque) et le Thymus (organe situé tout le long de la trachée). Ces 2 organes disparaissent naturellement après l âge de 6 mois. 3 / 9
4 3.2. Mode d action du virus Le virus s attaque préférentiellement aux cellules de la bourse de Fabricius et du thymus et parfois à celles de la rate. Les cellules meurent et l organe s atrophie. Il y a alors une grave défaillance du système immunitaire et le pigeon devient particulièrement sensible aux agents infectieux présents dans l environnement. De plus, la vaccination d un pigeon en cours d infection par le circovirus peut être inefficace (par exemple, vaccination contre la maladie de Newcastle) Les maladies associées En fait, le circovirus n est pas directement responsable de la mort des pigeons puisque les organes touchés ne sont pas vitaux : l infection circovirale peut passer inaperçue dans une colonie. Parfois, un seul pigeon va en mourir. Par contre, si dans l élevage le microbisme est important, alors la maladie pourra être extrêmement virulente. Le passage viral permet l éclosion de la trichomonose, des vers Capillaria, de la coccidiose, de l aspergillose, de la salmonellose, de la colibacillose, de l adénovirose. Mais surtout, l association du circovirus et du paramyxovirus (maladie de Newcastle) est la plus redoutable. 4. Données récentes sur cette maladie (d après un article de Jean Pierre DUCHATEL in avian pathology, february (1), 30-34) 4 / 9
5 4.1. Données expérimentales observées dans une colonie de pigeons voyageurs infectée par le circovirus La circovirose est une maladie des jeunes pigeons (moins de 6 mois). Cependant, dans une colonie infectée, le virus est retrouvé sur 13 pigeons adultes parmi 20 testés en bonne santé. Le virus est trouvé pour l essentiel dans les voies respiratoires (cela explique les signes respiratoires rencontrés sur les pigeons sevrés) mais aussi, pour quelques uns d entre eux, dans les ovaires et les testicules. D autre part, toujours dans cette colonie infectée, le virus est retrouvé sur 8 embryons parmi 20 œufs examinés. L analyse étant réalisée après destruction de l œuf, il n est pas possible de connaître le taux d éclosabilité des œufs infectés. Enfin, le virus est retrouvé sur 4 jeunes de 15 jours parmi 19 apparemment sains ; mais, à 50 jours d âge, le virus est retrouvé sur 19 jeunes parmi 19!!! Le virus est donc extrêmement contagieux entre jeunes pigeons après le sevrage Ce qu il faut en conclure Ces données expérimentales extrêmement complètes permettent de mieux comprendre l évolution de la maladie en élevage. Nous avons observé des catastrophes sanitaires lors du regroupement de jeunes pigeons (courses «one loft») qui pourtant avaient été triés à leur arrivée dans le colombier d accueil (contagion très rapide du virus sur les jeunes sevrés). En élevage de pigeons de chair, la contagion se fait «en tâche d huile» nid par nid, bâtiment par bâtiment. Les adultes semblent réfractaires à la maladie mais ils contaminent leurs jeunes dans les nids. Par contre, la maladie est plus «explosive» sur les jeunes sevrés : 1 mois après le regroupement, les jeunes sont atteints de coryza qui peut aboutir, malgré les traitements, à 30% de mortalité au lieu des 3 à 5% habituellement constatés. Tous ces éléments que nous avions remarqués sont expliqués par les résultats expérimentaux ci dessus. 5 / 9
6 Par contre, l incidence du circovirus sur l éclosabilité des œufs infectés (œufs clairs, œufs noirs, mortalité au bêchage ou à l éclosion) reste à préciser. Il n est pas possible de connaître avec certitude, même par une analyse PCR, le statut des pigeons reproducteurs : des adultes hébergent le virus dans leurs poumons voire même les ovaires ou les testicules sans qu il soit détectable dans les fientes ou sur un écouvillon pharyngé. 5. Conclusions 5.1. Quand faut-il suspecter la maladie? Tout trouble chronique de l élevage des jeunes pigeons au plateau (amaigrissement, diarrhée, poids faibles au sevrage, ) = contamination par les parents ; coryza apparaissant 1 mois après le regroupement des jeunes sevrés = contagion entre jeunes pigeons, mais aussi, toute diarrhée d apparition brutale sur les jeunes pigeons par ailleurs valablement vaccinés contre la maladie de Newcastle, doivent faire penser à la circovirose. Par contre, les troubles évoluant sur des pigeons de plus de 6 mois ne sont pas en faveur de cette maladie. Il reste également à préciser l incidence de la maladie sur l éclosabilité Que faut-il faire alors? 6 / 9
7 Il faut rechercher tous les contaminants secondaires et lutter contre ces derniers (coccidiose, trichomonose, salmonellose, colibacilles, ). Une alimentation équilibrée, bien pourvue en vitamine et en oligo éléments permet d obtenir des oiseaux plus résistants (VITALORNIS, ) Le programme de vaccination contre la paramyxovirose et la salmonellose doit être irréprochable. Nous l avons vu, le circovirus peut nuire à la bonne prise vaccinale. Une double vaccination des pigeonneaux contre la paramyxovirose permet d y pallier. La première vaccination est réalisée très précocement après le sevrage. Une deuxième injection est réalisée 1 à 3 mois plus tard. Si l élevage devient vraiment trop catastrophique, il faut arrêter celui ci en cassant tous les œufs. Un nettoyage minutieux suivi d une désinfection rigoureuse (ORNICLEAN,..) permettent de remettre les compteurs à «presque» zéro! L élevage qui suit cet arrêt et cette désinfection est généralement très bon. Le 2é élevage est également correct. Ensuite, c est plus variable. La sélection «sanitaire» par élimination de certains couples est envisageable uniquement si seulement quelques couples sont concernés. Mais, nous avons vu qu il n est pas possible de repérer TOUS les reproducteurs infectés. Il n est donc pas envisageable d «éradiquer» la maladie par cette méthode. Le «stamping out» = élimination totale de toute la colonie suivie d un repeuplement n est, en aucun cas, la solution : le virus ne manquera pas de revenir dès l introduction des nouveaux pigeons même s ils proviennent d éleveurs «sérieux» Peu t on empêcher la maladie d apparaître? Du fait de l âge des jeunes pigeons lors des premiers concours, il est IMPOSSIBLE d empêcher l arrivée du circovirus dans une colonie de pigeons voyageurs. Dans ces colonies, la maladie apparaît tous les ans, 2 à 3 semaines après les premiers entraînements ou concours. 7 / 9
8 En pigeons d exposition, l âge aux premières «sorties» permet de limiter la contagion. Cependant, il existe de nombreux porteurs sains du virus même parmi les adultes. La contamination se fera donc inéluctablement au gré des expositions. Mais, la maladie n apparaîtra qu en fonction de l âge des pigeons infectés, de la reproduction, La mise en quarantaine des pigeons nouvellement introduits, des pigeons étrangers à la colonie, des pigeons perdus, le nettoyage et la désinfection des paniers servant au transport sont des mesures qui gardent toute leur importance. En pigeons de chair, la maladie est présente peu ou prou dans TOUS les élevages. Généralement le virus a été apporté un jour lors du renouvellement des couples de reproducteurs Perspectives «présentes» et à venir J ai observé des catastrophes sanitaires tant en élevage de pigeons de chair que lors du suivi des premiers «one loft» organisés en France pour des pigeons voyageurs. Ces «one loft» regroupent en un même lieu, construit spécialement à cet effet, des jeunes pigeons juste sevrés et provenant de très nombreuses colonies (presque autant de colonies différentes que de jeunes pigeons présents). Les pigeons sont ensuite entraînés ensemble puis lâchés en des lieux de plus en plus éloigné de leur colombier d adoption. Je m étais alors posé la question de la pérennité de telles manifestations (30% de «disparition» sur le premier one loft! ). Ces concours se déroulent actuellement de façon beaucoup plus sereine. Certes une partie des déboires pouvait être due à une relative inexpérience des soigneurs (qui oubliaient de trier sérieusement les pigeons à leur arrivée!). Mais, il est également possible que le virus ait modifié sa virulence. C est en tous cas ce qui est observé en élevage de pigeons de chair qui «vivent avec la maladie». Il n y a pas de vaccin disponible et il n y a pas de traitement agissant directement contre le virus quand la maladie est en évolution. Il faut donc en priorité empêcher le virus d entrer dans l élevage par des mesures d hygiène strictes. 8 / 9
9 Si, pour paraphraser Coluche, la contagion par le circovirus est «obligatoire» dans tout élevage de pigeons, la maladie n en est pas pour autant une fatalité : certaines colonies vivent bien avec le virus. Tous les facteurs permettant d expliquer la différence de virulence d une colonie à l autre ne sont pas identifiés. Cependant, il semble que les colonies bien suivies sanitairement soient moins affectées. Il n est cependant pas exclu que des facteurs de virulence soient propres au virus lui-même indépendamment de l environnement du pigeon. La perspective de la mise au point d un vaccin ne semble pas si éloignée ; mais, il faudra encore quelques années de recherches intensives avant qu il ne soit disponible. retour accueil 9 / 9
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