Ensuite, il faudra analyser les résultats, en tenant compte à la fois des facteurs matériels et des facteurs humains.
|
|
- Lucie Pruneau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L amélioration de la performance, l optimisation de la production sont des objectifs majeurs du MES. Toutes les fonctions du MES sont importantes, d où d ailleurs la notion de système, mais c est souvent vers l analyse de la performance, et en particulier le TRS, que les industriels se tournent en premier lieu. C est une évidence : pouvoir améliorer la performance c est d abord pouvoir la mesurer! Aussi c est souvent de cette fonction que les industriels attendent le retour sur investissement le plus rapide de la mise en place d un MES. C est tout à fait justifié, à condition de ne pas donner à l analyse de performance un sens trop strict, ce que nous allons voir dans la suite. Mais n anticipons pas trop Quand on parle d analyse de performance, on parle d indicateurs de performance, les KPI ou Key Performance Indicators en anglais, et très rapidement on en vient au TRS (OEE en anglais),
2 indicateurs tellement mis en avant que l on peut avoir l impression que l analyse de performance se limite au calcul du TRS, voire même que le MES tout entier revient à la mise en place et au suivi de cet indicateur. En fait, l amélioration de la performance, très liée à l amélioration continue, est une démarche dans laquelle s inscrit le MES tout entier. Une façon simple de la décrire est le modèle DMAIC : - Définir des indicateurs et des objectifs - les Mesurer - Analyser les causes - Improve, soit Améliorer ou Innover si l on veut garder l initiale - Contrôler ou piloter le procéder en fonction de ces améliorations Et le cycle peut être réitéré : il s agit d une démarche d amélioration continue, mise en avant dans les méthodes 6 sygma ou les démarches TPM (Total Productive Maintenance). Dans ce cycle, l analyse de performance va couvrir essentiellement les trois premières étapes, les deux autres étapes vont plus faire appel à la créativité de l équipe de production, au management et à l organisation. Revenons donc sur ces trois premières étapes. Tout d abord, définir les indicateurs et les objectifs. Ces indicateurs peuvent être des indicateurs de productivité, comme le célèbre TRS, des indicateurs de rentabilité, des indicateurs sur les consommations, l énergie, ou même des indicateurs environnementaux. Il va falloir ensuite suivre ces indicateurs, soit manuellement (ce que l on appelle le bâtonnage), de manière automatique ou de façon mixte. Ensuite, il faudra analyser les résultats, en tenant compte à la fois des facteurs matériels et des facteurs humains. Pour illustrer la démarche d analyse de performance, nous allons prendre l exemple du TRS, indicateur phare de la productivité. Mais tout d abord, pourquoi le TRS est-il autant mis en avant? Une des raisons du succès du TRS est la simplicité. Nous verrons qu il s agit d un indicateur relativement simple à comprendre et à mesurer.
3 Une seconde caractéristique du TRS, peut-être la plus importante, est qu il est indépendant de l industrie et de son niveau d activité. Sa définition a un sens pour toute industrie. Mais le TRS va plus loin : des indicateurs qui s exprimeraient en tonnes (corrigées ou non), en nombre de produits/heure, etc., ne permettraient pas de comparer aisément deux usines ou même deux lignes de production. Le TRS s exprime en pourcentage et permet donc la comparaison des lignes de production, des ateliers ou des usines, même si leur niveau de production est différent. Un point qui plait beaucoup aux gestionnaires ou au management, il s agit d un indicateur synthétique. TRS signifie d ailleurs Taux de Rendement Synthétique (en anglais OEE signifie Overall Equipment Efficiency). En un seul chiffre on peut caractériser la productivité d une ligne! En même temps, le TRS est de fait la conjonction de plusieurs indicateurs, qui vont permettre d analyser la productivité suivant différents axes : le taux de disponibilité, le taux d efficacité, et le taux de qualité. Un autre élément est que les données collectées pour le calcul du TRS permettent généralement le calcul d autres indicateurs connexes intéressants comme le TRG (Taux de Rendement Global), le TRE (Taux de Rendement Economique) ou des indicateurs liés à la maintenance comme le MTBF (temps moyen de bon fonctionnement) et le MTTR (temps moyen de réparation). Le TRS est également un indicateur normalisé. A l origine norme française, elle a été étendue au niveau européen. Même s il n est pas normalisé au niveau international, l OEE est aussi utilisé mondialement. Le TRS est aujourd hui largement diffusé et connu des industriels, et le succès engendre le succès. Les industriels qui souhaitent améliorer leur performance cherchent naturellement des points de repères et le TRS est une très bonne façon de commencer. Le calcul du TRS repose sur la décomposition du temps total de vie d un équipement ou d une installation. On distingue en premier lieu le temps d ouverture, c est à dire le temps pour lequel l accès à l équipement où à l installation est possible. Le temps en quelque sorte perdu par rapport au temps total correspond à la fermeture de l installation.
4 De ce temps d ouverture, on devra aussi déduire les arrêts planifiés. Suivant les organisations de travail, il pourra s agir des pauses, des repas, des arrêts pour la maintenance des équipements, des réunions, des essais, etc. On obtient ainsi ce que l on appelle le temps requis. Sur ce temps, on devra aussi déduire les temps perdus pour des problèmes, des pannes, des réglages, des changements d outils ou de production, que l on peut regrouper sous le terme de «perte de disponibilité» de l équipement. On obtiendra ainsi le temps où l équipement est en fonctionnement. On pourra d ailleurs calculer à ce niveau un premier taux en pourcentage qui est la Disponibilité opérationnelle (Do) de l équipement, qui représente le temps de fonctionnement sur le temps requis. Mais durant ce temps de fonctionnement, l équipement ne produit pas nécessairement à da cadence nominale. Ce peut être le fait d une baisse de cadence, de micro-arrêts ou de défauts machine, qui induisent une perte de performance. Le temps obtenu en les déduisant est le temps net. On peut calculer à ce niveau le taux de performance Tp, qui représente le temps net sur le temps de fonctionnement. Enfin ce temps net n est pas nécessairement consacré à la production de produits corrects. Un certain nombre de produits vont être mis au rebut ou retournés en production. Cette perte de qualité correspond à un temps qui peut être déduit du temps net. Le temps réellement consacré à la production de produits bons est appelé temps utile. Un troisième taux peut être calculé à ce niveau, le taux de qualité Tq, qui représente le temps utile sur le temps net. Le taux de rendement synthétique TRS se calcule comme le produit de ces trois derniers taux, disponibilité opérationnelle x taux de performance x taux de qualité. Il représente également le temps utile sur le temps requis. En plus des informations qui affectent la production au sein du temps requis, c est à dire du temps réellement maîtrisé par les équipes de production, les exploitants souhaitent souvent connaître l impact des arrêts planifiés de production, et donc calculer le ratio entre le temps utile et le temps d ouverture total. Ce ratio est le TRG, pour taux de rendement global. Dans la pratique, il est souvent calculé en même temps que le TRS et il arrive même assez souvent que ce que l on appelle TRS soit en fait le TRG.
5 On peut acquérir les données de différentes façons. Dans l exemple du TRS, ce sont principalement des temps qui sont à prendre en compte, et ils peuvent être acquis de façon plus ou moins automatisée. C est ce que nous représenterons sur un premier axe : l axe d automatisation de la collecte. La collecte peut consister en une saisie purement manuelle sur des fiches, qui va parfois consister à noircir des cases, ce que l on appelle le bâtonnage, en une saisie informatique, ou à l acquisition directe d informations au niveau des automatismes. Il est rare que toutes les informations soient acquises de la même façon. Par exemple, le temps d un arrêt sera comptabilisé directement par dialogue avec les automatismes mais son identification sera réalisée par saisie informatique. L acquisition des informations sera donc plus ou moins automatisée, ce que reflète cet axe. Si l on s intéresse au coût de la collecte et du traitement, on s aperçoit qu une saisie purement manuelle est la plus coûteuse, car elle nécessite une première saisie papier, puis une ressaisie sur Excel ou un autre outil qui va permettre le calcul. De son côté, la saisie informatique est évidemment plus coûteuse en temps homme qu une acquisition directe au niveau des automatismes, qui n en consomme aucun. Le coût de collecte augmente donc le long de l axe d automatisation de la collecte comme le montre la figure. Les charges de collecte des informations sont d autant plus importantes à prendre en compte qu elles pèsent essentiellement sur les opérateurs, dont les temps de réalisation des opérations de production sont généralement serrés. Ils risquent donc d avoir du mal à prendre en compte de nouvelles charges, et il ne faudrait pas aboutir à ce paradoxe que l analyse de la performance ait pour principal effet de la faire baisser! Par ailleurs, calculer un indicateur c est bien. Qu il soit juste c est mieux! Si la saisie des informations n est pas effectuée en temps réel, la collecte des informations sera différée. C est ce que nous représentons sur un second axe qui est celui du retard de collecte des données. Plus grande sera la proportion des informations acquises manuellement et plus ces données vont être collectées avec retard par rapport au moment où les événements se sont produits, plus le risque d erreur, par erreur de saisie ou oubli (combien de temps avait exactement duré cet arrêt de bourrage?) sera élevé. A l inverse, une acquisition des données en temps réel, essentiellement automatisée augmente la fiabilité des informations. Nous voyons donc que tant la recherche d obtention d indicateurs fiables que la réduction des coûts de collecte militent pour l acquisition de données en temps réel avec une connexion directe aux équipements.
6 Une fois les données acquises de manière fiable, il reste encore à calculer les indicateurs. Là, nous allons voir que, en exagérant un peu, «l enfer est dans les détails». Généralement, on va se focaliser sur les formules de calcul, plus ou moins complexes. En réalité, ce n est pas vraiment le problème : bien explicitée, une formule peut être facilement transcrite en code informatique. Les vraies difficultés viennent d ailleurs. Tout d abord, mesurer le TRS en instantané, ou sur la dernière demi-heure, est intéressant, mais vous allez être rapidement amenés à le comparer à celui de la veille, ou du mois précédent. Pour cela, il vous faut disposer d un filtrage par date souple, et facile à utiliser pour l exploitant. Une approche similaire est l approche par équipe, qui va permettre de comparer les performances de deux équipes différentes sur une même ligne. Dans les problèmes un peu plus délicats, on va trouver les arrêts à causes multiples. Par exemple, un bourrage survient, puis la machine cesse d être alimentée en amont. Sous quelle cause va être comptabilisé l arrêt. Il est facile de voir que si ce type d arbitrage n est pas fait correctement, on risque d attribuer l arrêt à une mauvaise cause, et de travailler à la réduire sans succès. On peut imaginer des priorités entre les arrêts, mais ce n est pas forcément la meilleure solution, car on perd une partie de l information. Un problème similaire est celui des fermetures d installation, ou des arrêts pour maintenance, qui peuvent survenir alors qu une cause de défaut est active. Là encore, l affectation correcte des temps est essentielle. Pour toutes ces raisons, le responsable d exploitation devra souvent être à même d effectuer des modifications a postériori de certaines informations pour les corriger. Au minimum il devra être capable de modifier des causes d arrêt ou de rebut, mais dans certains cas également des temps.
7 Une autre clé pour une analyse de performance efficace est de ne pas la restreindre à un périmètre trop réduit. Souvent, le calcul du TRS est mis en place sur une machine particulière, dont le débit conditionne en première approche celui de la ligne. C est le cas par exemple des machines de conditionnement, situées en bout de ligne. Il est vrai que ces machines sont généralement coûteuses, et que tout point de productivité perdu au niveau de ces machines a un coût élevé. Mais on peut aussi perdre de la productivité au niveau d une machine de conditionnement parce qu elle est insuffisamment alimentée, tout simplement parce qu une ligne de production est un système interdépendant. Il est alors essentiel que le TRS et son analyse soient faits au niveau de chaque machine de la ligne. Ne pas réduire trop le périmètre d analyse, c est aussi ne pas se limiter au TRS, qui va s attacher en partie au personnel mais surtout aux équipements. La performance est aussi à rechercher dans la réduction des pertes matières, qui peuvent engendrer d importantes pertes de marge, et aussi dans une meilleure gestion de l énergie consommée. Dans ces domaines, il y a moins d indicateurs standardisés comme le TRS. Tout cela va immanquablement vous conduire à définir vos propres KPI (indicateurs clés de production), et vous devrez disposer pour cela d un véritable système MES qui vous permettra de le faire. Enfin, quel que soient les indicateurs que vous aurez choisis et définis, vous devrez être capable de les faire évoluer et d en définir de nouveaux, pour vous placer dans la démarche d amélioration continue dont nous avons parlé en introduction.
8 Résumons ce que nous avons vu lors de cette présentation : - Tout d abord il est clair que le TRS est d un apport considérable pour toute entreprise qui souhaite mesurer et améliorer sa performance. La clé de son succès est sa relative simplicité et son universalité. - Nous avons vu ensuite qu une acquisition en temps réel des données était la clé à la fois de leur fiabilité, et d une perturbation minimale des opérateurs - Pour autant, simple ne veut pas dire simpliste. Pour tirer parti des mesures effectuées, il faut disposer d un outil qui permette de les analyser finement - Nous avons vu également que l analyse de performance ne devait pas se contenter d une analyse ponctuelle, avec un seul indicateur, mais devait définir d autres indicateurs clé de production - Tout ceci peut se résumer dans la nécessité de disposer d un véritable système MES qui permettra la mise en place d une démarche d amélioration continue.
TPM Totale Productive Maintenance
T.P.M ou Topo Maintenance Méthodes de maintenance TPM Totale Productive Maintenance 1 T.P.M ou Topo Maintenance 1. CONTEXTE GENERAL La TPM (de l anglais Total Productive Maintenance) est un système global
Plus en détailOperation Execution System (OES) Plateforme Stratégique Pour la performance Industrielle. Copyright 2006 Apriso Corporation 1
Operation Execution System (OES) Plateforme Stratégique Pour la performance Industrielle 1 Anciens Processus vs. Nouveaux Processus Ancien Nouveau InitiativesStratégiques 80% REBUT vs. 20% VALEUR 80% VALEUR
Plus en détailGESTION LOGISTIQUE GESTION COMMERCIALE GESTION DE PRODUCTION
GESTION LOGISTIQUE GESTION COMMERCIALE GESTION DE PRODUCTION Votre contact : Pierre Larchères 06 30 35 96 46 18, rue de la Semm - 68000 COLMAR p.larcheres@agelis.fr PRESENTATION GENERALE LES PROGICIELS
Plus en détailLa dégringolade des marchés financiers et les assureurs
GUYLAINE POTTIER CONSULTANTE EN ASSURANCE AUUDDI ITT EETT COONNSSEEI ILL UNNEE EEXXPPEERRTTI ISSEE OOBBJ JEECCTTI IVVEE AAUU SSEEUULL BBEENNEEFFI ICCEE DDEESS EENNTTRREEPPRRI ISSEESS Pibrac, le 5 novembre
Plus en détailLE LEAN MANUFACTURING
LE LEAN MANUFACTURING LEAN signifie littéralement : «maigre», «sans gras». On le traduit parfois par «gestion sans gaspillage» ou par «au plus juste». LEAN est un qualificatif donné par une équipe de chercheurs
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailAméliorer la performance des ressources de la production par la TPM
Dossier paru dans la tribune de l'industrie des Editions WEKA N 29 Mars 2006 Améliorer la performance des ressources de la production par la TPM La mise en place d'une démarche TPM nécessite plusieurs
Plus en détailSéance 4. Gestion de la capacité. Gestion des opérations et de la logistique 4-530-03
Gestion des opérations et de la logistique Séance 4 4-530-03 Gestion de la capacité Points importants présentés au dernier cours Les principaux types d aménagement Étude du travail et l amélioration des
Plus en détailChoisir une pointeuse, badgeuse ou système de gestion des temps
Choisir une pointeuse, badgeuse ou système de gestion des temps Ce guide a été conçu pour vous assister dans votre démarche de sélection d un système de gestion des temps. Nous souhaitons ici vous faire
Plus en détailITIL V3. Transition des services : Principes et politiques
ITIL V3 Transition des services : Principes et politiques Création : janvier 2008 Mise à jour : août 2009 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé
Plus en détailLean. Historique et Principes La réalité terrain La complémentarité Lean-MES. Francis MOUREY SPC consultants
Lean Historique et Principes Francis MOUREY SPC consultants C. R. Allen, 1919 TWI, 1940 Jidoka Jidoka T. Ohno JIT Kaizen S. Shingo TPS House,, Cho, 70 s Méthodes japonaises J. Womack & D. Jones K. Ishikawa,
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailManagement par les processus Retour sur Investissement. Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE
Management par les processus Retour sur Investissement Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE 1 Programme Cours Module Type de Cours Duree Planning Objectifs et définitions du "Management par le process" CM 1.5
Plus en détailDEVENEZ UN POKER-KILLER AU TEXAS HOLD EM!
DEVENEZ UN POKER-KILLER AU TEXAS HOLD EM! NIVEAU DEBUTANT http://www.poker-killer.com/ 1 INTRODUCTION Je m'appelle david Jarowsky, 53 ans. Je n ai jamais été le premier de la clase, ni quelqu un d extraordinaire.
Plus en détailLes quatre chantiers :
Tweet Voir aussi : Les programmes de performance, La méthode Kaizen, Le Lean en 10 points. Le Lean est une démarche systématique dont l'objectif est d'éliminer toutes les sources de gaspillages dans les
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Le tableau de bord, outil de pilotage de l association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône-Alpes) Difficile d imaginer la conduite d un bateau sans boussole
Plus en détailChapitre 1 : Évolution COURS
Chapitre 1 : Évolution COURS OBJECTIFS DU CHAPITRE Savoir déterminer le taux d évolution, le coefficient multiplicateur et l indice en base d une évolution. Connaître les liens entre ces notions et savoir
Plus en détailProjectManagement. Gestion de projets pour les sociétés de conseil et de services
ProjectManagement Gestion de projets pour les sociétés de conseil et de services 1. Notre Société 2. Aperçu général de ProjectManagement 3. ProjectManagement : Marketing 4. ProjectManagement : Vente 5.
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE
Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion I. PRESENTATION GENERALE 1. Les objectifs du programme Le système
Plus en détailBAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois
BAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique
Plus en détailSTRICTEMENT CONFIDENTIEL
MOIS / ANNEE ETUDE DE VALORISATION Société «EDIVAL» STRICTEMENT CONFIDENTIEL BUREAUX 31, Rue de Brest 69002 LYON Tél : +33 (0)8 71 55 11 98 SIÈGE SOCIAL 94, Rue Saint Lazare 75009 PARIS Tél : +33 (0)1
Plus en détailEfficacité des Modules Maintenance dans les ERP.
Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP. Les progiciels ERP (Entreprise Ressource Planning) proposent l ensemble des modules permettant de gérer une entreprise. Mais le module Maintenance est souvent
Plus en détailTP1 Méthodes de Monte Carlo et techniques de réduction de variance, application au pricing d options
Université de Lorraine Modélisation Stochastique Master 2 IMOI 2014-2015 TP1 Méthodes de Monte Carlo et techniques de réduction de variance, application au pricing d options 1 Les options Le but de ce
Plus en détailIntroduction. Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas :
Introduction Le CRM se porte-t-il si mal? Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas : «75 % de projets non aboutis» «La déception du CRM» «Le CRM : des
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailAméliorer la Performance des Fournisseurs
Les Solutions SQA de Solumina L Assurance Qualité Fournisseur Figure 1 Influence sur les affaires de nos clients actuels. Réduire des Stocks lors des Inspections Le Système de Contrôle Qualité Fournisseurs
Plus en détailCritères de choix pour la
LIVRE BLANC Critères de choix pour la mise en œuvre d un CRM Un guide pas à pas pour sélectionner le bonpartenaire d intégration de CRM adapté à vosbesoins. INTRODUCTION Vous avez fait votre travail, recherché,
Plus en détailComment améliorer la performance de la paie?
Comment améliorer la performance de la paie? La performance est aujourd hui un enjeu majeur des cabinets Le 67 e Congrès de l ordre des experts-comptables, qui s est tenu à Paris début octobre, a mis en
Plus en détailAccélérateur de votre RÉUSSITE
Accélérateur de votre RÉUSSITE SAP Business Objects est une suite décisionnelle unifiée et complète qui connecte ses utilisateurs en éliminant les difficultés d accès à l information. Mobile Devices Browsers
Plus en détail«Identifier et définir le besoin en recrutement»
«Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité
Plus en détailLes leviers de performance du pilotage du processus achats/fournisseurs
Les leviers de performance du pilotage du processus achats/fournisseurs Synthèse Petit-déjeuner «Démat-finance» Octobre 2012 SOMMAIRE I. LA PERFORMANCE DU PROCESSUS ACHATS FOURNISSEURS 2 II. GRANDS ENSEIGNEMENTS
Plus en détail) ) ) ) Structure et optimisation des coûts de la conformité Analyse comparée de PCI DSS et ISO 27001 CNIS EVENT. 27 avril 2011.
Structure et optimisation des coûts de la conformité Analyse comparée de PCI DSS et ISO 27001 CNIS EVENT 27 avril 2011 Paris ) ) ) ) Ce document est la propriété de Provadys SAS et ne peut être reproduit
Plus en détailManuel d utilisation
Manuel d utilisation TABLE DES MATIERES LA DESCRIPTION 2-3 LA CONFIGURATION 4-13 La zone «Configuration» 6-9 La zone «Informations sur la base de données» 10-11 La zone «Outils» 11-13 LE FONCTIONNEMENT
Plus en détailWHITEPAPER. Quatre indices pour identifier une intégration ERP inefficace
Quatre indices pour identifier une intégration ERP inefficace 1 Table of Contents 3 Manque de centralisation 4 Manque de données en temps réel 6 Implémentations fastidieuses et manquant de souplesse 7
Plus en détailLa fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.
Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord
Plus en détailIntroduction. Les obstacles à l analyse web. Le marquage
Introduction L analyse web ou Web Analytics est une discipline récente dont on commence à entendre parler au milieu des années 2000. La Web Analytics Association 1 le définit comme la mesure, la collecte,
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailFonctions homographiques
Seconde-Fonctions homographiques-cours Mai 0 Fonctions homographiques Introduction Voir le TP Géogébra. La fonction inverse. Définition Considérons la fonction f définie par f() =. Alors :. f est définie
Plus en détailPré-requis Diplôme Foundation Certificate in IT Service Management.
Ce cours apporte les connaissances nécessaires et les principes de gestion permettant la formulation d une Stratégie de Services IT ainsi que les Capacités organisationnelles à prévoir dans le cadre d
Plus en détailQUESTIONNAIRE DE PRE-AUDIT. Rubrique n 1 : Présentation de l entreprise
QUESTIONNAIRE DE PRE-AUDIT MISE A NIVEAU DE L ENTREPRISE PAR LE GENIE INDUSTRIEL Pré-audit réalisé le... Rédacteur(s). Rubrique n 1 : Présentation de l entreprise Renseignements généraux - Identité de
Plus en détailSage 2013 Tout droit réservé. Société par Actions Simplifiée au capital de 6 250 000 euros - Siège social : 10, rue Fructidor 75834 Paris cedex 17 -
Les défis commerciaux de la PME en 2014 Sage 2013 Tout droit réservé. Société par Actions Simplifiée au capital de 6 250 000 euros - Siège social : 10, rue Fructidor 75834 Paris cedex 17 - RCS Paris 313
Plus en détailLa mondialisation des tâches informatiques
Chapitre 1 La mondialisation des tâches informatiques Quel que soit le domaine que l on observe, les économies engendrées par l outsourcing, aussi appelé offshore ou délocalisation, sont considérables.
Plus en détailBaccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008
Baccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats f est une fonction définie sur ] 2 ; + [ par : 4 points f (x)=3+ 1 x+ 2. On note f sa fonction dérivée et (C ) la représentation
Plus en détailFormation des enseignants. Le tensiomètre. Objet technique modélisable issu de l environnement des élèves
Le tensiomètre Objet technique modélisable issu de l environnement des élèves Un peu d'histoire C'est en 1628 que W. Harvey découvrit la circulation du sang. C'est pourtant seulement en 1730 que la pression
Plus en détailDEVENIR ANIMATEUR CERTIFIE DE LA DEMARCHE LEAN
DEVENIR ANIMATEUR CERTIFIE DE LA DEMARCHE LEAN Certification CQPM réf : 2008 07 69 0272 Animateur de la démarche LEAN pour l amélioration de la performance et des processus. BUTS DE LA FORMATION : Etre
Plus en détail!-.!#- $'( 1&) &) (,' &*- %,!
0 $'( 1&) +&&/ ( &+&& &+&))&( -.#- 2& -.#- &) (,' %&,))& &)+&&) &- $ 3.#( %, (&&/ 0 ' Il existe plusieurs types de simulation de flux Statique ou dynamique Stochastique ou déterministe A événements discrets
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailFORMAT FORMA ION SUR LA ION SUR LA GESTION DE PROJET & MS PROJECT
FORMATION SUR LA GESTION DE PROJET & MS PROJECT Présentation rapide Jamal Achiq Consultant - Formateur sur le management de projet, MS Project, et EPM Certifications: Management de projet : «PRINCE2, Praticien»
Plus en détailRésumé. Sommaire. Étapes indispensables à une exploitation des équipements essentielles avec l utilisation de ressources limitées
Livre Blanc Comment réduire les risques et les coûts grâce à une GMAO performante Étapes indispensables à une exploitation des équipements essentielles avec l utilisation de ressources limitées Résumé
Plus en détailITIL V2. La gestion de la disponibilité
ITIL V2 La gestion de la disponibilité Création : novembre 2004 Mise à jour : août 2009 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL a été réalisé en 2004 et la traduction
Plus en détailMaps Tableau de bord avec MindManager et Power Markers
Maps Tableau de bord avec MindManager et Power Markers Nick Duffill, Harport Consulting traduction Martine Jésus Qu est-ce exactement qu une map tableau de bord? Qu est-ce qu une map tableau de bord? N
Plus en détailWEBANALYTICS Sur le chemin de l excellence
WEBANALYTICS Sur le chemin de l excellence Une démarche centrée sur l évaluation de sa propre performance! 2004-2008 Philippe FLOC H Strategic Consulting Tous droits réservés Reproduction interdite WEBMETRICS
Plus en détailITIL V2. La gestion des incidents
ITIL V2 La gestion des incidents Création : novembre 2004 Mise à jour : août 2009 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL a été réalisé en 2004 et la traduction des
Plus en détail3. Le pilotage par le cash
Cependant, l allocation du capital engagé ne peut pas toujours être opérée à des niveaux très fins. Il est néanmoins intéressant de tenter de le répartir sur de plus grands périmètres (diverses activités
Plus en détailBac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)
Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre
Plus en détailLa Business Intelligence & le monde des assurances
Conseil National des Assurances Séminaire - Atelier L information au service de tous Le 09 Novembre 2005 La Business Intelligence & le monde des assurances Karim NAFIE Regional Presales Manager EEMEA Operations
Plus en détailAtelier " Gestion des Configurations et CMDB "
Atelier " Gestion des Configurations et CMDB " Président de séance : François MALISSART Mercredi 7 mars 2007 (Nantes) Bienvenue... Le thème : La Gestion des Configurations et la CMDB Le principe : Échanger
Plus en détailB - La lecture du bilan
8.2 La lecture des comptes annuels B - La lecture du bilan Référence Internet Saisissez la «Référence Internet» dans le moteur de recherche du site www.editions-tissot.fr pour accéder à ce chapitre actualisé
Plus en détailL unique CFD AutoStop
L unique CFD AutoStop Une solution alternative aux certificats Avertissements : Les CFD sont des produits spéculatifs à effet de levier pouvant mener à une perte totale voire supérieure à l investissement
Plus en détailCRM PERFORMANCE CONTACT
CRM PERFORMANCE CONTACT PREMIUM 3ème génération Un concentré de haute technologie pour augmenter de 30 % vos rendez-vous Le Vinci, 2 place Alexandre Farnèse 84000 Avignon Tél : + 33 (0)4 90 13 15 88 Télécopie
Plus en détailÉcriture de journal. (Virement de dépense)
Écriture de journal (Virement de dépense) SERVICE DES FINANCES Équipe de formation PeopleSoft version 8.9 Août 2014 TABLES DES MATIERES AVERTISSEMENT... 3 INTRODUCTION... 4 RAISONS JUSTIFIANT LA CRÉATION
Plus en détailMieux connaître et gérer votre patrimoine immobilier avec SAP Real Estate Management
Mieux connaître et gérer votre patrimoine immobilier avec SAP Real Estate Management Agenda 1. Pourquoi un système d information pour la gestion immobilière? 2. Présentation de la solution SAP REM 3. Reporting
Plus en détailQUICK GUIDE #1. Guide du pilotage par la performance pour les distributeurs automobiles
QUICK GUIDE #1 Guide du pilotage par la performance pour les distributeurs automobiles INTRODUCTION Vous managez des concessions automobiles et c est une responsabilité qui demande un contrôle quotidien
Plus en détailLE CONCEPT VADWAY et le «CONTRÔLE DE GESTION»
Le concept de VAD (Valeur Ajoutée Directe), est à la base de nos missions portant sur le «Contrôle de gestion», appliqué aux PME. 1. LE CONCEPT LA VALEUR AJOUTEE DIRECTE (VAD) Rappel : L entreprise achète,
Plus en détailLES ETAPES DE LA CREATION
LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES
Plus en détailPar : Abdeljalil Chaouki, Conseiller de maintenance industrielle
Par : Abdeljalil Chaouki, Conseiller de maintenance industrielle Institut Technologique de Maintenance industrielle Tél. : 418 962-9848 poste 222 Téléc. : 418 968-8205 abdeljalil.chaouki@itmi.ca www.itmi.ca
Plus en détailTPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut?
TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? Vérification du statut de PME par les micro, petites et moyennes entreprises au sens du règlement REACH Ce document est traduit et librement adapté
Plus en détailNIMEGUE V3. Fiche technique 3.07 : Sauvegarde / Restauration manuelle
NIMEGUE V3 Fiche technique 3.07 : Sauvegarde / Restauration manuelle Version au 2 mai 2011 Toute donnée mémorisée sur un ordinateur, quelque soit le support, peut-être supprimée/effacée suite à un dysfonctionnement
Plus en détailLA GESTION COMMERCIALE DES VEHICULES
LA GESTION COMMERCIALE DES VEHICULES Sommaire Sommaire... 2 1. Création d un document... 3 1.1. Entête du document... 4 1.2. Recherche du véhicule / matériel... 5 1.3. Lignes fréquentes... 6 1.4. Intégration
Plus en détailPiloter un projet avec MS Project
Business Management and Global Internet Center Intitulé de l atelier : Piloter un projet avec MS Project Programme de 05 jours Formation animée par l Expert International Monsieur Alexandre FAULX-BRIOLE
Plus en détailCegid Business Place Produflex
CegidBusinessPlaceIndustrie Cegid Business Place Produflex Produflex GRC Gestion Commerciale Gestion de Production SAV Isoflex SGDT Paie GRH EDI SCM Comptabilité Finance Gérez en toute fluidité l ensemble
Plus en détailChapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1
Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une
Plus en détailHébergement de base de données MySQL. Description du service (D après OGC - ITIL v3 - Service Design- Appendix F : Sample SLA and OLA)
Hébergement de base de données MySQL. Description du service (D après OGC - ITIL v3 - Service Design- Appendix F : Sample SLA and OLA) Source : commundit:_ex:catalogue_services:db:sla_dit_mysql.docx Distribution
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailLA SOLUTION DE GESTION D'AFFAIRES
LA SOLUTION DE GESTION D'AFFAIRES DES PRESTATAIRES DE SERVICES INDUSTRIELS Sous-traitance & Maintenance Industrielle Ingénierie, Etudes Techniques Energies Nouvelles Fabrication d'équipements «NaviOne
Plus en détailGUIDE COMPLET APP STORE OPTIMIZATION. Comment bien référencer son application dans les stores?
GUIDE COMPLET APP STORE OPTIMIZATION Comment bien référencer son application dans les stores? TABLE DES MATIERES PARTIE 1 : L APP STORE OPTIMIZATION, C EST QUOI? PARTIE 2 : ANALYSE DE LA CONCURRENCE PARTIE
Plus en détaile-business, EAI et Business Intelligence Le triptyque gagnant profondément les structures des organisations et par conséquence
e-business, EAI et Business Intelligence Le triptyque gagnant Alain Fernandez Consultant indépendant, il intervient depuis plus de 15 ans auprès des grands comptes et des PME sur la conception des systèmes
Plus en détailwww.opex-management.com
Paris Luxembourg Bruxelles Casablanca PROGRAMME des formations certifiantes Lean Management et Lean Six Sigma De nouvelles compétences pour les collaborateurs De nouveaux leviers de compétitivité pour
Plus en détailCAC, DAX ou DJ : lequel choisir?
CAC, DAX ou DJ : lequel choisir? 1. Pourquoi cette question Tout trader «travaillant 1» sur les indices s est, à un moment ou un autre, posé cette question : «je sais que la tendance est bien haussière
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailMagisoft. Progiciel de gestion intégré modulaire (Gestion de Production Gestion Commerciale CRM) Gestion de Production
Progiciel de gestion intégré modulaire Gestion de Production Fichiers Permanents Définition des : - familles et sous familles articles, familles et sous familles clients. - Produits finis, semi-finis,
Plus en détailGestion des risques liés aux systèmes d'information, dispositif global de gestion des risques, audit. Quelles synergies?
Gestion des risques liés aux systèmes d'information, dispositif global de gestion des risques, audit. Quelles synergies? gil.delille@forum-des-competences.org Agenda Les enjeux liés aux systèmes d information
Plus en détailInterface COMPTABILITEEXPERT
Interface COMPTABILITEEXPERT Structures des types d'enregistrement de l'exportation d'immobilisations au format ASCII La COMPTABILITEEXPERT peut importer des fichiers textes dont vous trouverez les caractéristiques
Plus en détailJean-Philippe ROY Consultant PROCONSEIL
Piloter la performance par les indicateurs de performance intégrés aux tableaux de bord de l entreprise Jean-Philippe ROY Consultant PROCONSEIL 40, boulevard Edgar Quinet - 75014 Paris - France - Tel +33(0)1
Plus en détailJe découvre Lina Maintenance
Je découvre Lina Maintenance Une interface simple et ergonomique pour optimiser la maintenance de vos équipements 1 Sommaire Présentation 4 La plateforme Lina 5 Référentiel 6 Agenda et données personnelles
Plus en détailAccédez au test ici http://myspeed.visualware.com/index.php
Test de vitesse VoIP Pourquoi faire le test? Un test de vitesse VoIP est un moyen efficace d évaluer la capacité de votre connexion Internet à prendre en charge un système de téléphonie VoIP. D autres
Plus en détailContexte organisationnel des ERP Séance 1 : Changements sur les tâches
Contexte organisationnel des ERP Séance 1 : Changements sur les tâches Régis Meissonier Maître de Conférences École Polytechnique Université Montpellier II regis.meissonier@univ-montp2.fr Cas introductif
Plus en détailGuide No.2 de la Recommandation Rec (2009).. du Comité des Ministres aux États membres sur la démocratie électronique
DIRECTION GENERALE DES AFFAIRES POLITIQUES DIRECTION DES INSTITUTIONS DEMOCRATIQUES Projet «BONNE GOUVERNANCE DANS LA SOCIETE DE L INFORMATION» CAHDE (2009) 2F Strasbourg, 20 janvier 2009 Guide No.2 de
Plus en détailProposition n o 8 Assemblée régionale Région 2 Montréal-Laval
Suivi du Conseil syndical de novembre 2010 Proposition n o 8 Assemblée régionale Région 2 Montréal-Laval Proposé par le confrère Yvon Brault Appuyé par le confrère Réal Quesnel Que le SFPQ produise rapidement
Plus en détailChapitre 14 Cours à terme et futures. Plan
hapitre 14 ours à terme et futures Plan Différences entre contrat à terme et contrat de future Fonction économique des marchés de futures Rôle des spéculateurs Futures de matières premières Relation entre
Plus en détailLa gestion des problèmes
Chapitre 6 La gestion des problèmes Les incidents se succèdent, toujours les mêmes. Des petits désagréments la plupart du temps, mais qui finissent par pourrir la vie. Toute l équipe informatique se mobilise
Plus en détailGestion prospection Suivi commercial
4. GESTION PROSPECTION SUIVI COMMERCIAL q PRINCIPE Le but des différentes fonctions qui suivent est de suivre efficacement vos prospects et clients. 4.1 Les évènements 4.2 Les clés de classement 4.3 Les
Plus en détailLES INDICATEURS CLÉ DE PERFORMANCE : DÉFINIR ET AGIR
Online Intelligence Solutions LES INDICATEURS CLÉ DE PERFORMANCE : DÉFINIR ET AGIR Comment intégrer les KPI à sa stratégie d entreprise? Par Jacques Warren WHITE PAPER WHITE PAPER A PROPOS DE JACQUES WARREN
Plus en détailMaîtriser la diffusion de son catalogue e-commerce
Maîtriser la diffusion de son catalogue e-commerce Lorraine Un site marchand est sans cesse en recherche de moyens pour développer son activité. Au-delà de l optimisation de la boutique, il est possible
Plus en détailConvention de «management fees»: qu en est-il aujourd hui?
81 rue du pré Catelan 59110 La Madeleine Tél : 03 20 39 33 47 Fax : 03 20 63 92 21 lille@valoxy.fr www.valoxy.fr Convention de «management fees»: qu en est-il aujourd hui? Attention aux prestations de
Plus en détailFormation des superviseurs de zone, des enquêteurs et des opérateurs de saisie
4 Formation des superviseurs de zone, des enquêteurs et des opérateurs de saisie Ce chapitre apporte des conseils pratiques sur la conduite d ateliers de formation pour les superviseurs de zone, les enquêteurs
Plus en détailInformations rapides, actions rapides
Analyse des ventes Informations rapides, actions rapides La gestion des ventes pour les enseignes de la distribution, quel que soit le domaine d activité, devient de plus en plus complexe et prend de plus
Plus en détailLe technicien porte un regard de spécialiste sur l instrument. De par sa formation et, à l inverse du musicien son approche n est pas subjective.
L analyse technique Le technicien porte un regard de spécialiste sur l instrument. De par sa formation et, à l inverse du musicien son approche n est pas subjective. L expertise Déterminer précisément
Plus en détail