Approches sociologiques des problèmes de santé mentale : inégalités sociales et bien être

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1 Approches sociologiques des problèmes de santé mentale : inégalités sociales et bien être 11 novembre 2010 Baptiste Godrie, Université de Montréal PSY1000

2 Introduction Malades du web. Problème psychologique ou social? Angle des inégalités sociales et du bien être.

3 PLAN Trois temps de la critique sociologique dans le champ de la santé mentale (psychiatrisation, étiquetage social, médicalisation et souffrance sociale). Liens santé mentale et pauvreté : le cas des personnes sans domicile. Un exemple de recherche: h Au delà dlàdes étiquettes (2010).

4 I. Sociologies de la santé mentale Un thème peu traité par les fondateurs de la sociologie. La naissance de la sociologie de la santé mentale.

5 A L institution totalitaire : une critique de la société éépsychiatrique Robert Castel (1977) ; Anti psychiatrie, Cooper (1978)[1967] ; Szasz (1975)[1961] Contexte de critique des institutions (prisons, asiles, pensionnats, mouroirs). Un classique : Goffman, E. (1968) [1961]. Asiles. Études sur la condition sociale des malades mentaux et autres reclus, Paris : Éditions i de Minuit. i Prologements : Rosenhan (1988).

6 Asiles (1968) [1961]. Goffman ne s intéresse pas à la folie comme objet. Une analyse de l institution totalitaire. La dépersonnalisation.

7 Adaptations primaires et secondaires. «Du point de vue des psychiatres, il ne semble pas y avoir d adaptations secondaires possibles pour les internés : tout ce qu un malade peut être amené à faire peut être interprété comme un élément de son traitement ou la conséquence des mesures de surveillance qui lui sont appliquées ; tout ce qu il fait de son propre chef peut s interpréter comme un symptôme de dérangement mental ou, au contraire, d amélioration.» (Goffman, 1968 : 261).

8 Rosenhan, «Être sain dans un environnement malade» (1988). L hôpital ne départage pas les malades des personnes en santé. «Une fois qu unun individu a été caractérisé comme anormal, l ensemble de ses comportements et des autres aspects de sa personnalité est marqué par cette étiquette» (p. 140).

9 B Théories de l étiquetage et interactionnisme i i symbolique Becker, Outsiders (1985) [1963] ; Goffman, Stigmates. Les usages sociaux du handicap (1975) [1963] ; et Rosenhan (1988). Sous quelles conditions certaines situations sont jugées déviantes ou pathologiques? Le stigmate est défini «en terme de relations g et non d attributs» (Goffman, 1975 : 12).

10 Par son comportement, le fou dérange et révèle le fonctionnement des règles sociales. «[ ] si le malade persiste dans son comportement symptomatique, ti il provoque nécessairement un ravage dans l organisation et dans les esprits des membres [ ]. Et le ravage continuera même quand tous les membres seront convaincus que le gêneur est complètement fou car, par elle même, cette définition ne les dispense pas de vivre dans un système social où il joue un rôle destructeur» (Mise en scène de la vie quotidienne, 1973 [1959] : 322).

11 C Contrôle social et médicalisation Foucault (1961) à Otero (2005). «Au carrefour des discours scientifiques, des normes sociales et de l action des groupes d intérêts particuliers (clients, patients, usagers et leurs familles, industrie pharmaceutique, gouvernements, corporations professionnelles, disciplines scientifiques, etc.) se définissent des modèles de comportement «adaptés», qu il s agit de valoriser et de reconduire, et des modèles de comportement «adaptés», qu il faut réadapter, gérer ou mieux encore, prévenir par leur dépistage «à la source», que celle ci soit biologique, psychologique, psychosociale, comportementale ou sociale» (Otero, 2005 : 6).

12 Individualisme, performance et souffrance sociale Ehrenberg, La fatigue d être dêtre soi (1998). La dépression est une vulnérabilité sociale et non psychologique. Souffrance sociale et santé mentale sont «l expression publique de tensions d un dun type d individu auquel on demande certes toujours de la discipline et de l obéissance, mais surtout de l autonomie, de la capacité à décider et à agir par lui même» (Ehrenberg, 2005 : 19).

13 Médicalisation de la société La dépression est la deuxième cause de consultation d un médecin (hors hôpitaux). 93millions 9,3 de consultations au Canada en 2003 (derrière l hypertension et devant le diabète). 78 % des consultations pour dépression conduisent à la prescription i de médicaments (cité par Otero, 2005).

14 Santé mentale et inégalités sociales Un préjugé tenace : les personnes à la rue ont toutes des problèmes de santé mentale. 13 à 15% des personnes qui vivent dans la rue sont atteintes de troubles mentaux sévères (Culhane). Deux thèses opposées : sélection sociale et causalité sociale il (Dorvil, 2007).

15 Au delà des étiquettes : conditions de vie, aide sociale et bien être Une recherche du CREMIS entre Trajectoire de logement de 40 personnes à l aide sociale. Situation de pauvreté Statut paradoxal de la parole des personnes avec des problèmes de santé mentale. Étiquetage et non reconnaissance.

16 Travail précaire et burn out. Aide sociale : des démarches qui «rendent fou». Rejets et acceptations de l étiquette «Inaptitude à lemploi l emploi». Une tournée théâtrale créer des espaces de débats. Agir sur les rapports sociaux à l origine des conditions.

17 En guise de conclusion La santé mentale : une réalité complexe. Des sociologies de la santé mentale Des critiques ii adressées à certains courants de la psychiatrie et de la psychologie. De la parole individuelle à la parole collective. L accent sur les rapports sociaux.

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