NEPHROQUIZZ. 40 QCM et petites questions pour réviser
|
|
- Noëlle Carignan
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 NEPHROQUIZZ 40 QCM et petites questions pour réviser
2 Question 1 Les 5 patients dont vous vous occupez ont tous une natrémie à 125 mmol/l. Attribuez à chaque patient la ou les prescriptions qui vous semblent justifiées. 1. Mr M, 70 ans hospitalisé pour insuffisance cardiaque décompensée. Sa créatinine plasmatique est à 90 mmol/l. Dans les urines: Na: 18 mmol/l et K: 35 mmol/l. 2. Mme D, 35 ans hospitalisée pour diarrhées profuses au retour d Afrique. Sa pression artérielle est à 130/70 en position couchée et à 100/60 en position debout. Sa créatinine plasmatique est à 90 mmol/l. Dans les urines : Na: 18 mmol/l et K: 35 mmol/l. 3. Mr T, 55 ans, hospitalisé pour syndrome néphrotique. Il a pris 8 kg et a de volumineux oedèmes remontant jusqu aux lombes. Sa créatinine plasmatique est à 90 mmol/l. Dans les urines : Na: 18 mmol/l et K: 35 mmol/l. 4. Mme V, 58 ans, grande fumeuse, hospitalisée pour exploration d une opacité pulmonaire de l apex droit. Son examen clinique est normal. Sa créatinine plasmatique est à 70 mmol/l. Dans les urines : Na: 80 mmol/l et K: 35 mmol/l. A. Restriction hydrique B. Restriction sodée C. Diurétiques de l anse D. Soluté salé isotonique (9 g/l) E. Aucune de ces mesures car il s agit d une hyponatrémie iso-osmotique. Réponse : 1: B, C. 2: D. 3 : B, C. 4 : A 2
3 Question 2 Parmi les signes ECG suivants, lesquels peuvent être en rapport avec une hyperkaliémie (CM)? A. Bloc auriculo-ventriculaire B. Fibrillation auriculaire C. Fibrillation ventriculaire D. Inversion de l onde T E. Allongement du QRS Réponse : A, C, E
4 Question 3 Quelles sont les causes possibles du trouble acidobasique suivant (CM)? ph artériel = 7,30 PaCO2 = 26 mm Hg (3.5 kpa) Dans le plasma: Na= 140 mmol/l, K= 4 mmol/l, Cl = 103 mmol/l, HCO3 = 17 mmol/l A. Une acido-cétose diabétique B. Une diarrhée avec perte digestive de bicarbonates C. Une intoxication par l ethylène glycol D. Une acidose tubulaire E. Une acidose lactique Réponse : TA = 20 (élevé). A, C, E
5 Question 4 Quelles sont les propositions exactes (CM)? A. L hématurie est définie par la présence de plus de 10 hématies/mm3 B. La présence d hématies déformées oriente vers une cause urologique C. Une protéinurie > 1 g/j est toujours le signe d une atteinte glomérulaire D. La microalbuminurie correspond à une albuminurie comprise entre 30 et 300 mg/24h E. Il existe un syndrome néphrotique quand les 2 conditions suivantes sont réunies: protéinurie > 3 G par 24h et albuminémie < 30 g/l Réponse : A, D, E
6 Question 5 Les néphropathies glomérulaires sont classées en 5 grands syndromes. A quel syndrome correspond chacun des 5 patients décrits ci-dessous (dans chaque cas, la protéinurie est majoritairement composée d albumine)? A. Une femme de 66 ans avec depuis deux semaines une HTA, des lésions cutanées infiltrées, une créatinémie à 580 mmol/l (Créatininémie normale 2 mois auparavant), une hématurie (80 hématies/mm3), et une protéinurie (2,2 g/24h). B. Une femme de 55 ans avec une insuffisance rénale diagnostiquée au stade chronique et une HTA. La créatininémie est à 300 mmol/l. Il n y a pas d hématurie. La protéinurie est à 1,5 g/24h. C. Un homme de 35 ans avec HTA, une hématurie microscopique connue depuis 10 ans, une protéinurie chiffrée à 0,6 g/24h et une créatininémie à 120 mmol/l. D. Un adolescent admis pour oedèmes de survenue brutale, HTA, urines foncées, hématurie de fort débit, protéinurie à 1 g/l et insuffisance rénale aiguë (créatininémie= 120 mmol/l) E. Un homme de 60 ans avec oedèmes des membres inférieurs depuis 3 mois et HTA récente. La créatininémie est à 60 mmo/l. Il existe une protéinurie (5 g/24h) et une albuminémie à 19 g/l. Il n y a pas d hématurie. Réponse : A : GNRP, B: GNC, C: HU récidivante, D: Sd néphritique, Sd néphrotique
7 Question 6 Devant une hématurie microscopique, découverte de façon fortuite à la bandelette, chez un homme de 25 ans, asymptomatique et sans antécédent, quels sont parmi les examens suivants ceux que vous prescrivez en première intention? A. ECBU B. Cystoscopie C. Echographie rénale D. Dosage de la protéinurie des 24 heures E. Scanner rénal (uro-scanner) Réponse : A, C, D
8 Question 7 Quelles sont les propositions exactes concernant le traitement de la néphropathie diabétique? A. En cas de néphropathie au cours du diabète de type 1, les IEC ne sont prescrits que lorsqu il y a une hypertension artérielle B. Dans la néphropathie du diabète de type 2, les ARA2 réduisent la vitesse de progression de l atteinte rénale C. Le contrôle glycémique dans le DT2 a pour objectif une HbA1c < 7,5% D. L objectif de réduction de la protéinurie est < 1 g/24h. E. La cible tensionnelle optimale au cours de la néphropathie diabétique est < 130/80 mmhg Réponse : B, E
9 HAS Janvier 2013 Objectifs glycémiques : «vive le 7» mais, objectif plus ambitieux dans le cadre d une prise en charge précoce
10 HAS Janvier 2013 Objectifs glycémiques : < 8% dans les situations plus complexes
11 Question 8 En l absence de contexte clinique évident, quels sont les 2 critères les plus fiables pour différencier une IRA d une IRC devant une élévation de la créatininémie? A. La mesure de la taille des reins B. La sévérité de l HTA C. L existence d une acidose métabolique D. L obtention d un dosage plus ancien de la créatinine E. L anémie Réponse : A, D
12 A. Patient de 75 ans avec cardiopathie ischémique et artériopathie oblitérante des membres inférieurs. Coronorographie de contrôle 10 jours plus tôt. HTA. Livedo. Créatininémie=400 mmol/l. Dans les urines: protéinurie (+), hématurie (+), leucocyturie (-). B. Patient de 65 ans. Deuxième cure de chimiothérapie (Cisplatine) en cours. Pression artérielle normale. Créatininémie=400 mmol/l. Dans les urines: protéinurie (+), hématurie (-), leucocyturie (-). C. Patient de 50 ans. Fièvre et altération de l état général depuis 2 mois. Une sinusite maxillaire a été diagnostiquée il y a 1 mois et traitée 15 jours par Augmentin, sans efficacité. HTA. Oedèmes des membres inférieurs. Créatininémie=400 mmol/l. Dans les urines: protéinurie (+++), hématurie (+++), leucocyturie (-) D. Patient de 60 ans. Sciatique récente résolutive après prise d antiinflammatoires non stéroidiens pendant 10 jours. Pression artérielle normale. Créatininémie=400 mmol/l. Dans les urines: protéinurie (+), hématurie (-), leucocyturie (++) E. Patient de 40 ans. Accident du travail (écrasement du membre inférieur droit). Pression artérielle normale. Créatininémie=400 mmol/l. CPK= (N<130). Dans les urines: protéinurie (+), hématurie (+), leucocyturie (-) Réponse : A: IRA par embols de cholestérol; B: IRA par Sd de lyse. C: IRA par vascularite D: IRA par NIA. E: IRA par rhabdomyolyse Question 9 Associez à chacun des cas décrits ci-dessous le diagnostic d IRA qui vous paraît le plus probable (dans chaque cas, l échographie rénale est normale).
13 Question 10 Parmi les indices suivants, lesquels sont en faveur d une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle? A. Un rapport U/P de la créatinine < 30 B. Un rapport U/P de la créatinine > 30 C. Une créatininémie à 800 mmol/l D. Un rapport Na/K urinaire < 1 E. Une fraction d excrétion du sodium < 1% en l absence de traitement diurétique F. Une fraction d excrétion de l urée > 50%. Réponse : A, D, E
14 Question 11 Concernant les stades de la maladie rénale chronique, quelle est la proposition exacte? A. Le stade 3 correspond à une maladie rénale chronique sévère B. Le stade 1 correspond à l insuffisance rénale aiguë C. Les anomalies phosphocalciques sont fréquentes au stade 3 D. L anémie est constante au stade 3 E. La progression est la même quelle que soit la cause de la maladie Réponse : C
15 Question 12 Quelles sont les propositions vraies concernant le retentissement osseux de l IRC (CM)? A. L hypocalcémie est secondaire à l hyperparathyroïdie B. L hypocalcémie est secondaire à la carence en vitamine D C. L hyperphosphatémie est secondaire à l hyperparathyroïdie D. L hyperphosphatémie est secondaire à la baisse de la filtration glomérulaire E. L acidose métabolique aggrave les lésions osseuses Réponse : B, D, E
16 Question 13 Quelles sont les propositions vraies concernant le retentissement de l IRC (CM)? A. L IRC augmente le risque d intoxication par l eau B. l HTA a habituellement une composante volodépendante au cours de l IRC C. Un ph artériel à 7,20 est habituel au stade 5 de la maladie rénale chronique D. L acidose métabolique observée au cours de l IRC peut être corrigée par l apport de bicarbonates E. Les thiazidiques sont les diurétiques de référence au cours de l IRC à partir du stade 4 de maladie rénale chronique Réponse : B, D
17 Question 14 Quelles sont les propositions exactes, concernant la cible de PA chez les patients avec MRC? A. < 140/90 chez les pts avec PU > 0.5G/24h B. < 140/90 chez les pts sans diabète ni PU C. < 130/80 chez les patients avec PU > 0.5 g/24h D. < 130/80 chez tous les patients E. < 125/75 chez les patients avec PU > 0.5 g/24h Réponse : B, C
18 Question 15 Quelle est la cible de protéinurie souhaitée au cours de l insuffisance rénale chronique? A. 1 g/l B. 1 g/24h C. 0,5 g/l D. 0,5 g/24h E. 0,3 g/24h Réponse : D
19 Question 16 Parmi les éléments cliniques et biologiques suivants, quels sont les trois qui orientent vers une HTA liée à une sténose artérielle rénale? A. Insuffisance rénale survenue sous traitement par inhibiteur de l enzyme de conversion B. Flash OAP avec fonction ventriculaire gauche normale C. Triade «céphalées, palpitations, sueurs» D. Souffle abdominal E. Acidose hyperkaliémique Réponse : A, B, D
20 Question 17 Chez un hypertendu récent, le bilan initial (avant la prescription d'un traitement) recommandé par l'has en 2005 comporte : A. Dosage de la créatininémie B. Echocardiogramme C. Dosage de la kaliémie D. Recherche de protéinurie à la BU E. Echographie rénale Réponse : A, C, D Et aussi : glycémie à jeun, cholestérol, HDL, LDL, triglycérides, ECG
21 Question 18 Parmi les éléments suivants, deux sont évocateurs d'une néphropathie vasculaire, lesquels? A. Hypertension artérielle sévère B. Protéinurie massive C. Anémie hémolytique avec schizocytes D. Oedème des membres inférieurs E. Hématurie Réponse : A, C
22 Question 19 Concernant la polykystose rénale de l'adulte, quelles sont les affirmations correctes? A. Il s'agit d'une maladie autosomique dominante B. L'atteinte hépatique est précoce et se complique de cirrhose C. L anémie est précoce D. L HTA est précoce E. Un anévrysme cérébral est présent chez 50% des patients Réponse : A, D
23 Question 20 Devant une insuffisance rénale chronique, quels sont les trois arguments en faveur d une néphropathie interstitielle chronique?(cm) A. Une albuminurie > 3g/j B. Un antécédent de reflux vésico-urétéral C. Une HTA sévère D. Un obstacle chronique E. La présence d une leucocyturie isolée Réponse : B, D, E
24 Question 21 Quelle est la cause la plus fréquente d insuffisance rénale aiguë?(cs) A. L HTA maligne B. La nécrose tubulaire aiguë C. Les vascularites rénales D. La maladie des emboles de cholestérol E. La néphrite interstitielle aiguë allergique Réponse : B
25 Question 22 Mme T., âgé de 66 ans, consulte pour oedèmes des membres inférieurs. Elle n a aucun antécédent hormis un tabagisme chiffré à 50 PA. Son poids est passé de 75 à 81 kg en 2 mois. La pression artérielle est à 130/85 mm Hg. Elle n a pas de fièvre. Les examens suivants sont réalisés: Examens sanguins Protidémie : 55 g/l Glycémie : 4, 8 mmol/l Créatinine plasmatique : 75 mmol/l, Electrophorèse des protéines plasmatiques : albuminémie 18 g/l, gamma-globulines : 4 g/l. Pas de pic monoclonal. Examens urinaires Protéinurie : 11 g/l, composée majoritairement d albumine (70%) ECBU : leucocytes 5/mm3, hématies 5/mm3, urines stériles Radiographie du thorax : opacité de 2 cm au niveau du lobe supérieur droit. A. Dans quel syndrome de néphropathie s intègre ce tableau? B. Quelle est la cause la plus probable de la néphropathie? C. Quel diagnostic pneumologique vous paraît le plus probable concernant l image pulmonaire. D. Une biopsie rénale est programmée pour confirmer le diagnostic. La veille de la biopsie, la patiente se plaint d une douleur lombaire gauche contemporaine d un épisode d hématurie macroscopique. Quel diagnostic vous parait le plus probable E. Quelles sont les complications possibles de son atteinte rénale Réponse : A: SNo pur; B: GEM; C: Néoplasie; D: Thrombose veine rénale; D : thrombose, dyslipémie, infections, dénutrition, HTA, IRC
26 Question 23 Quelles sont les propositions exactes issues de l analyse d une bandelette urinaire (CM) : A. Devant une élévation de la créatininémie, en l absence d infection, la présence d une leucocyturie oriente vers une néphropathie interstitielle B. Devant une élévation de la créatininémie, en l absence d infection, la présence d une leucocyturie oriente vers une néphropathie vasculaire C. La présence de nitrites est un des signes de la tuberculose des voies urinaires D. Une protéinurie quantifiée à (+++) oriente vers une néphropathie interstitielle E. La bandelette urinaire détecte l albumine, mais ne détecte pas les autres protéines éventuellement présentes dans l urine. Réponse : A, E
27 Question 24 Parmi les signes biologiques suivants, un seul n est pas habituellement présent lors d une insuffisance rénale chronique. Lequel (CS)? A. Anémie normochrome normocytaire non régénérative B. Alcalose métabolique C. Hyperkaliémie D. Hyperuricémie E. Hyperphosphorémie Réponse : B
28 Question 25 Parmi les signes suivants, lesquels sont en faveur d une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle (CM)? A. L hypotension orthostatique B. L existence d un pli cutané C. Une rétinopathie hypertensive au FO D. La diminution de la taille des reins E. La présence d urines concentrées Réponse : A, B, E
29 Question 26 Quelles sont les deux propositions exactes concernant la nécrose tubulaire aiguë (CM)? A. Il s agit d une cause rare d insuffisance rénale aiguë organique B. La protéinurie est constante C. Les états de choc sont une des causes les plus fréquentes de nécrose tubulaire aiguë D. Elle évolue en règle vers l insuffisance rénale chronique terminale E. L apport d eau et de sel prévient la néphrotoxicité des produits de contraste iodés Réponse : C, E
30 Question 27 Parmi les signes suivants, lesquels évoquent une hyperhydratation extra-cellulaire? (CM) A. Les oedèmes B. L hypotension orthostatique C. L hypertension artérielle D. L augmentation de l hématocrite E. La prise de poids Réponse : A, C, E
31 Question 28 Devant toute insuffisance rénale aiguë, deux examens sont indispensables en urgence. Lesquels? A. L ECG B. Le fond d œil C. Le frottis sanguin D. L échographie rénale E. Les tests hépatiques Réponse : A, D
32 Question 29 Quelle est la pathologie rénale qui ne s accompagnera pas d IRA?(CS) A. L HTA maligne B. La nécrose tubulaire aiguë C. La polykystose rénale D. La maladie des embolies de cholestérol E. La néphrite interstitielle aiguë allergique Réponse : C
33 Question 30 Parmi les signes suivants, lesquels sont en faveur d une insuffisance rénale aiguë obstructive? (CM) A. La présence de douleurs lombaires ou pelviennes B. Une hypotension orhostatique C. Un globe vésical D. La présence d urines concentrées E. Des antécédents de lithiase Réponse : A, C, E
34 Question 31 Parmi les proches énumérés ci-dessous, un seul ne peut pas être donneur de rein pour Mme M.. Lequel? (CS) A. Le concubin de Mme M. B. Le cousin germain de Mme M. C. Le nouveau voisin de Mme M. D. La grand-mère de Mme M. E. Le copain d avant de Mme M. Réponse : C
35 Question 32 Un sujet de 17 ans a une protéinurie permanente depuis un mois, avec cytologie urinaire normale. Le dosage pondéral est de 7,3 g/24 h. Le diagnostic le plus probable est (CS) : A. une tubulopathie congénitale B. un syndrome néphrotique C. une glomérulonéphrite aiguë D. une protéinurie orthostatique E. une atteinte rénale en rapport avec un pic monoclonal Réponse : B
36 Question 33 On vous montre les données suivantes concernant un homme de 58 ans: pression artérielle à 140/85 mm Hg, créatininémie à 180 mmol/l, protidémie à 83 g/l, protéinurie négative à la bandelette mais dosée à 3g/L, calcémie à 2,75 mmol/l. Compte tenu de l orientation diagnostique, quel examen prescrivez-vous en priorité (CS): A. une recherche d ANCA B. une biopsie rénale C. une immunoélectophorèse sanguine et urinaire D. un angio-scanner rénal E. un Doppler des artères rénales Réponse : C
37 Question 34 Mme J., âgée de 45 ans, consulte pour oedèmes des membres inférieurs. Elle a une asthénie importante depuis plusieurs mois. Une hypothyroïdie vient d être diagnostiquée, et elle a été opérée d un syndrome du canal carpien il y a quelques semaines. La pression artérielle est à 100/68 mm Hg. Les examens suivants sont réalisés: Protidémie : 50 g/l Glycémie : 4, 6 mmol/l Créatinine plasmatique : 70 mmol/l, Electrophorèse des protéines plasmatiques : albuminémie 19 g/l, gamma-globulines : 4 g/l. Présence d un pic monoclonal. Examens urinaires Protéinurie : 7 g/l, composée majoritairement d albumine ECBU : leucocytes 5/mm3, hématies 5/mm3. Quel est le diagnostic le plus probable? A. Lupus érythémateux disséminé B. Vascularite à ANCA C. Glomérulopathie extra-membraneuse D. Amylose AL E. Tubulopathie myélomateuse Réponse : D
38 Question 35 Mr H., âgé de 30 ans, caucasien, est adressé par la médecine du travail pour découverte d une hématurie microscopique. Il a présenté douze ans auparavant un épisode d hématurie macroscopique indolore, sans caillots et spontanément résolutive. Il pèse 80 kg. L examen clinique est normal. Les examens biologiques sont les suivants : Protidémie : 72 g/l Glycémie : 4, 5 mmol/l Créatinine plasmatique : 100 mmol/l, Protéinurie : 0,6 g/l, composée majoritairement d albumine - ECBU : leucocytes 5/mm3, hématies 30 /mm3 A. Quels sont les arguments en faveur de l origine glomérulaire de l hématurie? B. Dans quel syndrome de néphropathie glomérulaire classez-vous cette atteinte rénale? C. Quel est le diagnostic le plus probable? D. Calculez la clairance de la créatinine selon Cockcroft. Qu en déduisezvous? E. Quel traitement prescrivez-vous? Pourquoi? Réponse : A: HU récidiavante et ses caractéristiques, PU; B: HU récidivante; C: Berger ; D: 100 en CG (80 en MDRD) surestimée et subnormale, E: tt symptomatique Néphroprotection et surveillance
39 Question 36 Mr L., âgé de 50 ans, consulte pour fièvre et altération de l état général depuis 2 mois. Une sinusite maxillaire a été diagnostiquée il y a 1 mois et traitée 15 jours par Augmentin, sans efficacité. Il vous est adressé pour insuffisance rénale. CRP: 80 mg/ml Glycémie : 4, 5 mmol/l Créatinine plasmatique : 550 mmol/l, Protéinurie : 1,2 g/l, composée majoritairement d albumine - ECBU : leucocytes 5/mm3, hématies 60 /mm3 Echographie rénale : normale A. Caractérisez l atteinte rénale du patient B. Quelles sont les maladies responsables d une telle atteinte rénale? C. Quel est votre premier diagnostic? D. Quel test immunologique est indispensable pour conforter votre diagnostic? Réponse : A: GNRP, B: Goodpasture, maladie à immuns complexes, vascularites C: GPA ou MPA; D: ANCA
40 Question 37: Quel test immunologique demandezvous en cas de GEM dite idiopathique? Réponse : dosage des anti-pla2r Question 38: Devant ce résultat de biopsie rénale, quel diagnostic évoquez-vous? Absence de proliferation cellulaire au sein des glomérules. Dépots granuleux d IgG et de C3 sur le versant externe de la membrane basale glomérulaire. Interstitium et vaisseaux normaux Réponse : GEM
41 Question 39: Devant ce résultat de biopsie rénale, quel(s) diagnostic(s) évoquez-vous? tous les glomérules sont le siege d une proliferation épithéliale avec lesions de nécrose fibrinoïde. L IF ne met pas en evidence de depots immuns. Réponse : GN extra-capillaire Question 40: Une jeune femme atteinte d un lupus vient d avoir une biopsie rénale dont voici le résultat : Plus de la moitié des glomérules sont le siège d une prolifération endo-et-extracapillaire. En IF, il existe des depôts abondants et diffus constitués d IgG, d IgA, d IgM, de C3 et de C1q. Certains de ces dépôts sont sur le versant externe de la membrane basale glomérulaire. Que concluez-vous? Réponse : GN lupique endo et extracapillaire stade IV
42
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailConférence De néphrologie. Lille Internat DCEM3 E. Faure
Conférence De néphrologie Lille Internat DCEM3 E. Faure 219 : Anomalies du bilan de l eau et du sodium (DCEM3 conf 2) 219 : Anomalies du bilan du potassium (DCEM3 conf 1) 219 : Désordres de l équilibre
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailInsuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë
Insuffisance rénale Définition o Insuffisance rénale aiguë Se traduit par un brusque arrêt de la filtration des déchets du sang et de la production d urine. Associée à un déséquilibre de l organisme en
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailLITHIASE URINAIRE USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091. Uroscan. Rx abdominal
USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091 Catégorie de personnes visées : usager pour lequel un diagnostic clinique de lithiase urinaire a été évoqué par son médecin traitant Indication : répondre
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailPrincipales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2
Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailNEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE
NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE D r Eric OUHAYOUN Service de Médecine Nucléaire - P r J.P. Esquerré CHU Purpan Toulouse - France Néphrogramme isotopique Principe :
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailL ORDONNANCE CHEZ L IRC: PIEGES ET BALISES. Dr Parotte M-C Néphrologue CHPLT Verviers 27 Avril 2013
L ORDONNANCE CHEZ L IRC: PIEGES ET BALISES Dr Parotte M-C Néphrologue CHPLT Verviers 27 Avril 2013 => QUELLE EST LA FONCTION RENALE DE MON PATIENT? MDRD: COCKROFT: Clairance créatinine ml/min = [140-âge
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailPREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser
Plus en détail4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie
4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie Infection pulmonaire du sujet âgé A. Barrel CH Darnetal Omedit Rouen 20 juin 2013 Cas clinique Mme H. Patiente
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Artériopathie oblitérante des membres inférieurs Mars 2007 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2 avenue
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailM me Emma Thurie voit rouge!
L hématurie démasquée M me Emma Thurie voit rouge! Nancy Nadeau et Anne-Patricia Prévost 1 Vous recevez M me Emma Thurie,une Sénégalaise de 34 ans immigrée au Québec il y a dix ans.elle vous consulte parce
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailRecommandations SFC/ALFEDIAM sur la prise en charge du patient diabétique vu par le cardiologue
RECOMMANDATIONS SFC/ALFEDIAM Recommandations SFC/ALFEDIAM sur la prise en charge du patient diabétique vu par le cardiologue Recommandations, argumentaire, références B. Charbonnel, B. Bouhanick, C. Le
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailLES FACTEURS DE RISQUE
LES FACTEURS DE RISQUE C EST QUOI UN FACTEUR DE RISQUE? C est une caractéristique lié à une personne, à son environnement à sa culture, à son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus importante
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailPas anodine, la créatinine!
Pas anodine, la créatinine! F O R M A T I O N C O N T I N U E M. Rinfret se présente à votre cabinet pour son premier examen. «À 50 ans, j ai encore les reins solides!», vous dit-il. Isabelle Chapdelaine
Plus en détailORDONNANCE COLLECTIVE
ORDONNANCE COLLECTIVE Assurer le suivi des personnes recevant un Page 1 de 12 O.C. 6.5 Professionnels visés : Les infirmières qui possèdent la formation, les connaissances et les compétences nécessaires,
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailGROSSESSE et lupus/sapl
GROSSESSE et lupus/sapl Nathalie Costedoat-Chalumeau Centre de référence maladies autoimmunes et systémiques rares Service Médecine Interne Hôpital Cochin Paris Rappels et définitions Critères cliniques
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques
Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions
Plus en détailPRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES. collectives D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES collectives D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION
Plus en détailPROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres
COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailLes formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.
1 FM4 PAGE 1/4 Les formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.747 si : L âge de l emprunteur est < 50 ans & le capital assuré*
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailDiabète Maladies thyroïdiennes. Beat Schmid Endocrinologie Hôpital cantonal de Schaffhouse
Diabète Maladies thyroïdiennes Beat Schmid Endocrinologie Hôpital cantonal de Schaffhouse Les hormones Porteuses d'informations chimiques (communication entre diverses cellules) Transport vers les organes
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailmaladies des artères Changer leur évolution Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs
maladies des artères Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs maladies des artères : comment, pourquoi? La principale maladie de nos artères, appelée athérosclérose,
Plus en détailLe déficit en MCAD. La maladie. Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD. Qu est-ce que le déficit en MCAD?
Le déficit en MCAD Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailLivret d information destiné au patient MIEUX COMPRENDRE LA FIBRILLATION ATRIALE ET SON TRAITEMENT
Livret d information destiné au patient MIEUX COMPRENDRE LA FIBRILLATION ATRIALE ET SON TRAITEMENT Introduction Votre médecin vous a diagnostiqué un trouble du rythme cardiaque nommé fi brillation atriale.
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailItem 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations)
Item 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations) Date de création du document 2008-2009 CAS CLINIQUE : CAS CLINIQUE N 1 Scénario : Monsieur A., vingt-cinq ans, étudiant vétérinaire, vient
Plus en détailBilan avant un marathon:
Bilan avant un marathon: leçons de 5 études de terrain. Epidémio, ECG, EE, Echo, marqueurs. Jean-Michel Chevalier Bordeaux Armées Mise à jour juin 2010 1- Facteurs de risque CV chez 4037 marathoniens 3209
Plus en détailTRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE
TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE RECOMMANDATIONS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, mai 2005 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France
Plus en détailLE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS
LE POINT TOX Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion N - Juillet 213 Dans ce bulletin d information, nous vous présentons l évolution temporelle du nombre d intoxications à la Réunion recensées
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Guide du parcours de soins Titre cardiopa GUIDE DU PARCOURS DE SOINS Insuffisance cardiaque Guide téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé 2 avenue du Stade de France - F 93218 Saint-Denis
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détail