Madagascar GéoGraphie, climat et population
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- Jean-Luc Milot
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1 1 Madagascar Géographie, climat et population Madagascar occupe une superficie de km 2. Administrativement, l île est divisée en six provinces et chaque province en Fivondronana (anciennes préfectures ou souspréfectures) au nombre de 102. Trois traits généraux dominent la topographie de Madagascar: un relief accidenté, une dissymétrie est-ouest et une opposition entre les hautes terres et les régions côtières. Du point de vue géomorphologique, le socle très plissé et très arasé, qui couvre toute la partie centrale et la partie orientale du pays, se distingue de la couverture sédimentaire à intercalations volcaniques modérément inclinée sur toute la partie occidentale, depuis Antsiranana jusqu à l extrême sud. Les sols se répartissent selon trois régions: le versant oriental où prédominent des sols ferralitiques «jaune sur rouge», des sols de teintes jaunâtres formés sur des alluvions et des sols tourbeux riches en sulfure; un domaine des hauts plateaux à influence occidentale: prédominance des sols ferralitiques rouges formés sur alluvions à hydromorphie moins marquée que dans les régions orientales et des sols tourbeux (dans la dépression du lac Alaotra et dans la plaine d Antananarivo); la zone occidentale et méridionale où des sols ferrugineux tropicaux, calcimorphes ou méditerranéens reposent en majorité sur le socle. La forêt couvrait millions d hectares en 1996, soit 23 pour cent de la superficie totale. On note cependant que de 1997 à 2000, la Direction générale des eaux et forêts a enregistré la destruction par les feux de brousse de près de 3.74 millions d hectares, les superficies reboisées ne couvrant que ha pendant cette même période. Trois types de végétation se partagent le pays: la forêt ombrophile dans les régions sans saison sèche sur le versant oriental; la forêt tropophile de l ouest correspondant au climat à saison sèche, mais avec des précipitations estivales abondantes; la brousse xérophile à épineux et succulents rencontrée dans le sud-ouest, région relativement sèche. En 2002, les superficies cultivées (terres arables et cultures permanentes) occupaient 3.55 millions d hectares soit 6 pour cent du territoire (tableau 1). Les cultures vivrières sont les activités agricoles de base et dominent la région des hautes terres centrales, la partie médiane de l ouest et la partie orientale. Les cultures de rente (industrielles ou d exportation) occupent la partie orientale, le nord, le sud et l ouest. Madagascar reçoit en moyenne mm de précipitations par an. Il faut toutefois noter qu il existe de fortes disparités entre les régions en matière de pluviométrie, et que certains endroits de l île souffrent de pénuries d eau. Quatre zones climatiques sont observables:
2 2 L irrigation en Afrique en chiffres Enquête AQUASTAT 2005 TABLEAU 1 Caractéristiques du pays et population Superficies physiques Superficie du pays ha Superficie cultivée (terres arables et cultures permanentes) ha en % de la superficie totale du pays % terres arables (cultures temporaires + prairies et jachères temp.) ha cultures permanentes ha Population Population totale habitants dont rurale % Densité de population habitants/km 2 Population active habitants en % de la population totale % féminine % masculine % Population active dans le secteur agricole habitants en % de la population active % féminine % masculine % Économie et développement Produit intérieur brut (PIB) millions de $EU/an valeur ajoutée du secteur agricole (% du PIB) % PIB par habitant $EU/an Indice de développement humain (la valeur la plus élevée = 1) Accès aux sources améliorées d eau potable Population totale % Population urbaine % Population rurale % La province de Toamasina et une partie de la province d Antsiranana dans l est ont un climat tropical humide: la pluviométrie est supérieure à mm/an avec un ou deux mois secs, et la température du mois le plus frais est de 15ºC. Les provinces d Antananarivo et de Fianarantsoa dans la région de Tsaratanana dans les hautes terres ont un climat tropical d altitude (900 à m): la pluviométrie est supérieure à mm/an avec quatre ou cinq mois secs et la température du mois le plus frais est comprise entre 10ºC et 15ºC. La province Mahajanga et la partie nord de la province Toliary dans la région côtière ouest ont un climat tropical sec: la pluviométrie est inférieure à 800 mm/an avec huit mois secs. La partie sud de la province de Toliary a un climat semi-aride: la pluviométrie est inférieure à 400 mm/an avec huit mois secs et la température du mois le plus frais est de 20ºC. D une manière générale, à l exception de la côte est et de l île de Nosy Be, le contraste entre une saison chaude et humide (octobre à mars) et une saison plus fraîche et moins pluvieuse (avril à septembre) est très net. Dans la zone nord-est la hauteur de pluie peut dépasser les mm, alors que dans le sud on enregistre une sécheresse très marquée et prolongée. Sur la côte est, la pluie est répartie pendant toute l année. Madagascar est frappé chaque année par des cyclones tropicaux. La période cyclonique se situe le plus souvent entre les mois de décembre et mars. La population totale était estimée à 17.9 millions d habitants en 2004, soit une densité de 30 habitants/km 2 (tableau 1). Le taux de croissance démographique pour 2001 était de 2.8 pour cent. La population habite à 73 pour cent en milieu rural. Le taux d accès des populations aux sources améliorées d eau potable était évalué à 45 pour cent en 2002; il varie de 75 pour cent en milieu urbain à 34 pour cent en milieu rural. Le taux de pauvreté est important: de 73.3 pour cent en 1997 et 71.3 pour cent en
3 Madagascar à l échelle du pays, ces taux sont respectivement de 76 pour cent et 75 pour cent en milieu rural. Fin 2001 la prévalence du VIH/SIDA atteignait 0.3 pour cent pour les adultes (15-49 ans). Économie, agriculture et sécurité alimentaire En 2000, l agriculture contribuait pour environ 29 pour cent au PIB et à 40 pour cent aux exportations, représentant le moyen de subsistance de 75 pour cent de la population. La population active en agriculture, en 2004, constituait 72 pour cent de la population active totale (tableau 1). En 2000, environ 91 pour cent de la valeur des exportations de produits agricoles étaient imputable aux produits des cultures de rentes (café, girofle, vanille, etc.). Ressources en eau et utilisation de l eau Ressources en eau Les ressources en eau renouvelables sont estimées à 337 km 3 /an. Les ressources en eau de surface renouvelables sont évaluées à 332 km 3 /an, les ressources souterraines à 55 km 3 /an, avec une partie commune entre eaux de surface et eaux souterraines estimée à 50 km 3 /an. Les principaux fleuves et rivières drainent près de km 2 de bassins versants, soit 57 pour cent de la superficie totale du pays. Les 13 retenues les plus importantes ont une capacité totale d environ 493 millions de m 3, dont 108 millions sont destinés à l irrigation et 385 millions à l hydro-électricité. Utilisation de l eau Le prélèvement en eau renouvelable était estimé en 2000 à km 3 dont km 3 pour l agriculture (95.6 pour cent), km 3 pour la consommation domestique (2.8 pour cent) et km 3 pour l industrie (1.6 pour cent) (tableau 2 et figure 1). L irrigation utilise l eau de surface, vu le coût élevé d exploitation des eaux souterraines. Les puits et les forages sont essentiellement destinés à l approvisionnement en eau potable. On dénombre puits et forages dans tout le pays; ils desservent quelque 1.36 million d habitants ruraux. TABLEAU 2 L eau: ressources et prélèvement Les ressources en eau renouvelables Précipitations moyennes mm/an m 3 /an Ressources en eau renouvelables internes m 3 /an Ressources en eau renouvelables réelles totales m 3 /an Indice de dépendance 0 % Ressources en eau renouvelables réelles totales par habitant m 3 /an Capacité totale des barrages m 3 Prélèvements en eau Prélèvement total en eau m 3 /an - agricole m 3 /an - domestique m 3 /an - industriel m 3 /an par habitant m 3 /an en % des ressources en eau renouvelables réelles totales % Ressources en eau non conventionnelles Volume d eaux usées produit m 3 /an Volume d eaux usées traité m 3 /an Réutilisation des eaux usées traitées m 3 /an L eau dessalée produite m 3 /an Réutilisation des eaux de drainage m 3 /an
4 4 L irrigation en Afrique en chiffres Enquête AQUASTAT 2005 FIGURE 1 Prélèvements en eau Total: km 3 en 2000 Collectivités 2.8 % Industrie 1.6 % Agriculture 95.6 % FIGURE 2 Techniques d irrigation Total: ha en 2000 Irrigation par aspersion 0.2 % Irrigation de surface 99.8 % Développement de l irrigation et du drainage Évolution du développement de l irrigation Madagascar possède un potentiel irrigable de près de ha: ha de périmètres formels équipés, ha d extensions de ces périmètres, qui ne sont pas encore équipés mais sont considérés irrigables, ha de périmètres familiaux, plus ha résultant de l inventaire effectué par SOGREAH en Ces derniers sont des plaines irrigables gravitairement à partir de barrages de retenue ou de dérivation, ou de prises directes au fil de l eau et se limitent à des superficies de plus de ha d un seul tenant. Le dernier périmètre aménagé date de 1990, s étend sur 820 ha et est destiné à la riziculture. Depuis lors, les interventions se sont concentrées sur la réhabilitation d équipements d irrigation existants. Depuis 1985, le Programme périmètres irrigués a pu réhabiliter (ou réaliser des réparation urgentes dues aux dégâts cycloniques) 145 périmètres irrigués, soit plus de ha de plaines rizicoles. Le Fonds européen de développement (FED), la Caisse française de développement (CFD) et la Banque mondiale (BM) en ont été les principaux bailleurs de fonds. Dans la plaine de Basse Betsiboka, le Groupe de banques allemandes (KfW) et la Banque africaine de développement (BAD) ont aussi réhabilité certains périmètres irrigués, et dans le périmètre de Bas-Mangoky près de ha sont en cours de remise en état grâce à des fonds octroyés par la BAD. Par ailleurs, plusieurs projets multisectoriels prévoient également, parmi leurs activités, la construction et la réhabilitation des micropérimètres, essentiellement rizicoles. Tels sont le Projet de mise en valeur du haut Bassin du Mandrare (PHBM) dans le sud et le Projet d amélioration et de développement agricole du nord-est (PADANE), financés par le FIDA, le Programme spécial pour la sécurité alimentaire (PSSA) sur financement PNUD-FAO, le Projet de soutien au développement rural (PSDR), le Fonds d intervention pour le développement (FID) financé par la Banque mondiale, et le Programme d appui à la sécurité alimentaire (PASA) financé par l Union européenne (UE). L irrigation à maîtrise totale/partielle, avec une superficie totale de ha, est essentiellement gravitaire à partir des eaux de surface (tableau 3). Les ouvrages d alimentation les plus courants sont les prises au fil de l eau et les barrages de dérivation. Seuls ha dans la plaine de Basse-Betsiboka (Marovoay) sont irrigués par 13 stations de pompage, et ha de canne à sucre par aspersion dans la plaine de Morondava Dabara (figure 2). Le secteur irrigué est généralement présenté en (figure 3 et 4): Grands périmètres irrigués (GPI) de surface unitaire supérieure à ha. Petits périmètres irrigués (PPI) entre 200 ha et ha. Micro-périmètres irrigués (MPI) inférieurs à 200 ha. Périmètres familiaux (PF) (quelques centaines de m 2 ) qui couvriraient une superficie totale de ha. Ils se distinguent par des aménagements de
5 Madagascar 5 TABLEAU 3 Irrigation et drainage Potentiel d irrigation ha Contrôle de l eau 1. Irrigation, maîtrise totale/partielle: superficie équipée ha - irrigation de surface ha - irrigation par aspersion ha - irrigation localisée - ha partie irriguée à partir des eaux souterraines % partie irriguée à partir des eaux de surface % 2. Zones basses équipées (marais, bas-fonds, plaines, mangroves) - ha 3. Irrigation par épandage de crues - ha Superficie totale équipée pour l irrigation (1+2+3) ha en % de la superficie cultivée % augmentation moyenne par an sur les 8 dernières années % superficie irriguée par pompage en % de la superficie équipée % partie de la superficie équipée réellement irriguée % 4. Marais et bas-fonds cultivés non équipés - ha 5. Superficie en cultures de décrue non équipée ha Superficie totale avec contrôle de l eau ( ) ha en % de la superficie cultivée % Périmètres en maîtrise totale/partielle Critère Périmètres d irrigation de petite taille < 200 ha ha Périmètres d irrigation de taille moyenne ha ha Périmètres d irrigation de grande taille > ha ha Nombre total de ménages en irrigation - Cultures irriguées dans les périmètres en maîtrise totale/partielle Production totale de céréales irriguées tonnes en % de la production totale de céréales % Superficie totale en cultures irriguées récoltées ha Cultures annuelles/temporaires: superficie totale - ha - riz ha - canne à sucre ha - coton ha - autres cultures annuelles - ha Intensité culturale des cultures irriguées % Drainage - Environnement Superficie totale drainée - ha - partie de la superficie équipée pour l irrigation drainée - ha - autres surfaces drainées (non irriguées) - ha superficie drainée en % des terres arables et cultures permanent2s - % Superficie protégée contre les inondations - Superficie salinisée par l irrigation - ha Population touchée par les maladies hydriques liées à l eau - habitants conception et construction rudimentaire, sans intervention gouvernementale. Les canaux y sont en terre, les ouvrages hydrauliques en bois, et les prises d eau de simples saignées pratiquées sur les berges des canaux. Les parcelles ne sont pas protégées contre les crues ni contre les ruissellements des eaux des bassins versants. Sont très rares, pour ne pas dire inexistants, les systèmes d exhaure manuelle ou l irrigation par pompage. Ces infrastructures sont temporaires et doivent donc être réparées ou reconstruites à chaque début de campagne, surtout après une saison de pluie abondante. Il n est pas rare de voir de tels périmètres abandonnés à cause des dégâts provoqués aux installations par les crues ou de l ensablement des parcelles. On les rencontre dans des dépressions fermées et leur superficie ne dépasse guerre 10 ha d un seul tenant. Ils ne font pas l objet de recensements reproduits sur un plan cadastral.
6 6 L irrigation en Afrique en chiffres Enquête AQUASTAT 2005 Milliers d'hectares FIGURE 3 Typologie des périmètres irrigués en maîtrise totale/partielle Total: ha en 2000 Périmètres familiaux (< 10 ha) 28 % Grand périmètres (> ha) 10 % Micro périmètres (< 200 ha) 45 % Petits périmètres ( ha) 17 % FIGURE 4 Répartition par province des périmètres irrigués (GPI + PPI) Total: ha en Antananarivo Coton Canne à sucre Riz Antsiranana Fianarantsoa Mahajanga Toamasina FIGURE 5 Cultures irriguées Total: ha en 2000 (intensité culturale 100%) Toliary GPI PPI Total Milliers d'hectares On tend à présent à classer les périmètres suivant la complexité des infrastructures hydro-agricoles et le mode de gestion et d entretien du périmètre plutôt que suivant le critère de superficie. On distinguera dès lors: i) les périmètres partenaires où l État intervient dans la gestion et l entretien des ouvrages non transférés aux Associations d usagers de l eau (AUE); ii) les périmètres autonomes où seules les AUE sont responsables de la gestion de l entretien de leur périmètre. Dans cette nouvelle classification, tous les GPI sont classés dans les périmètres dits partenaires, tous les MPI et les PF dans les périmètres dits autonomes, et les PPI se trouvent suivant le cas soit dans la première soit dans la deuxième catégorie. Les cultures irriguées sont essentiellement (tableau 3 et 4 et figure 5): le riz: ha en 2000 (périmètres familiaux estimés à ha) sur une superficie totale cultivée évaluée entre et ha; le coton: ha sur ha cultivés; le reste ( ha) se répartit en cultures de décrue sur ha et en cultures pluviales sur ha; la canne à sucre: ha dans des exploitations à caractère industriel (dont ha irrigués par aspersion) sur ha cultivés. Rôle de l irrigation dans la production agricole, l économie et la société On note que sur la superficie totale cultivée en riz, 10 pour cent sont en riz pluvial et 11 pour cent sur tavy 1, soit environ ha. En 2002, la production du paddy dans le pays s élevait à tonnes sur une superficie totale emblavée de ha, soit un rendement de 2 tonnes/ha. Le blé et les légumes sont cultivés dans les bas-fonds ou sur les rizières après la récolte de riz (cultures en contre-saison). Elles ne sont pas irriguées, mais profitent de l humidité résiduelle du sol et de la faible profondeur de la nappe phréatique. En 1995, ha de terres étaient emblavés en blé, en 2002 le blé ne couvrait plus qu une 1 La culture de riz sur «tavy» est une culture de montagne sur brûlis, pratiquée principalement dans la zone côtière de la falaise orientale. On revient rarement sur une même parcelle déjà utilisée. Le défrichement se réalise en septembre octobre, la mise à feu en novembre, le semis par poquets en décembre, et la récolte en juin. Le rendement, très faible, est compris entre de 0,6 et 0,8 t/ha. Le riz «tavy» est associé à d autres cultures telles que la maïs ou le haricot.
7 Madagascar 7 TABLEAU 4 Répartition des périmètres irrigués par province et culture Province Type Superficie de riz (ha) Superficie de coton (ha) Superficie de canne à sucre (ha) Nbre Equipé Irrigué Nbre Equipé Irrigué Nbre Equipé Irrigué Equipé Irrigué Antananarivo PPI GPI Antsiranana PPI GPI Fianarantsoa PPI GPI Mahajanga PPI GPI Toamasina PPI GPI Toliary PPI GPI TOTAL PPI GPI MPI? PF? TOTAL? Total (ha) superficie totale de ha produisant tonnes de blé. Les cultures vivrières telles que manioc, patates douces et maïs sont toutes pluviales. En 2000, les productions se chiffraient à: tonnes de manioc sur ha, tonnes de patates douces sur ha, et tonnes de maïs grain sec sur ha. Environ 54 pour cent du programme d investissement prévus pour l agriculture étaient consacrés au secteur irrigué. Gestion de l eau, politiques et dispositions législatives régissant l utilisation d eau en agriculture Institutions Les principales institutions participant à la gestion de l eau sont: Le Ministère de l agriculture, de l élevage et de la pèche (MAEP) est le principal intervenant dans le secteur irrigué, avec sa Direction d appui aux investissements ruraux (DAIR) chargée de coordonner et de mettre en œuvre la politique du MAEP en matière d aménagement hydro-agricole et d équipement en milieu rural. Elle comprend les services suivants: i) le Service d appui à la gestion des ouvrages et des équipements (SAGOE); ii) le Service de l irrigation et de l aménagement rural (SIAR); iii) le Service de la promotion de la mécanisation agricole (SPMA). La Direction des eaux et forêts (DEF), sous la tutelle du Ministère des eaux et des forêts et de l environnement (MEFE) intervient dans les aménagements des vallées forestières. La Direction de l eau et de l assainissement (DEA) du Ministère de l énergie et des mines (MEM). Le Centre national de recherche appliquée au développement rural (FOFIFA) est rattaché au Ministère de la recherche scientifique. Le Ministère chargé des finances et du budget coordonne les investissements alloués aux projets de développement rural en général dont les projets d aménagement hydro-agricoles. Au niveau des régions existent les Directions régionales du développement rural (DRDR), à la tête desquelles se trouve la Direction générale du développement des régions (DGDR), qui à son siège à Antananarivo. Leur organisation comprend plusieurs services, dont le Service de l agriculture, le Service du génie rural, le Service
8 8 L irrigation en Afrique en chiffres Enquête AQUASTAT 2005 de la pêche, et le Service de l élevage. Plusieurs organisations non gouvernementales (ONG) participent également au développement de l irrigation et à la réhabilitation d ouvrages de micro-hydraulique. Le financement provient soit de l ONG elle-même, ou de bailleurs de fonds internationaux. Gestion de l eau Avant 1985, la gestion des grands périmètres était assurée par des Sociétés d État et celle des petits périmètres par les Services du génie rural. Actuellement l entretien, la gestion et la police sont passés aux mains des bénéficiaires constitués en AUE; cependant les infrastructures restent propriété de l État. Un manuel servant de guide pour la conduite de la gestion et l entretien des réseaux a été élaboré à l intention des AUE. En 2002, 505 AUE ont été mises en place et 48 transferts de gérance des réseaux aux AUE ont pu être effectués sur deux GPI et 29 PPI. Depuis 1994, toute action menée sur les périmètres irrigués est basée sur des méthodes participatives qui prévoient l intervention d acteurs locaux (paysans bénéficiaires, élus) depuis le stade de l étude jusqu à celui de la réception définitive des travaux. Financement L eau proprement dite n est pas payante, mais les AUE supportent les frais relatifs à l entretien de leurs périmètres et au fonctionnement de leur bureau, frais qu elles déterminent elles-mêmes en fonction de leur programme de travail. L État assure l encadrement technique et l entretien des gros ouvrages dits stratégiques non transférés, et intervient dans les gros travaux de réparation rendus nécessaires par les inondations. Un Fonds d entretien des réseaux hydro-agricoles (FERHA) a été créé, et des mesures d accompagnement (détaxation des intrants agricoles) sont appliquées. Politiques et dispositions législatives Les textes de loi régissant l utilisation de l eau en agriculture sont: La déclaration de politique sectorielle de l eau qui vise: - La protection, la conservation et l utilisation rationnelle et intégrée des ressources en eau du pays, car ces ressources sont menacées et commencent à s épuiser du fait de leur exploitation incontrôlée; - la réglementation et le contrôle de leur utilisation par l État; - le désengagement de l État vis-à-vis des activités d exploitation, tout en conservant la gestion des grandes infrastructures; il jouera un rôle de promoteur et de responsable de l élaboration et de la mise en œuvre de la politique sectorielle de l eau et de l assainissement; - la confirmation du principe de non-gratuité de l eau. Le Code de l eau: Loi N du Cette loi érige l eau en patrimoine de la nation. L eau est un bien public relevant du domaine public dont chaque collectivité est le garant dans le cadre de ses compétences. À ce titre, le code de l eau fixe les conditions permettant d assurer la gestion intégrée des ressources en eau et met en place un cadre institutionnel pour promouvoir le développement rationnel du secteur de l eau et de l assainissement. Dans ses articles 29 à 31 figurent les dispositions relatives à l eau d irrigation. La Loi N du fixe les modalités du transfert de la gestion des périmètres irrigués aux AUE, suite au désengagement de l État vis-à-vis de la gestion de l entretien et de la police des réseaux hydro-agricoles, ce qui a déterminé la création des AUE. Les associations sont tenues de couvrir les coûts engendrés par la prise en main de ces fonctions. En 1994, le MAEP a défini une nouvelle orientation du développement du secteur irrigué ayant pour objectifs d assurer la pérennité des infrastructures agricoles en vue: i) de permettre l intensification agricole et la diversification
9 Madagascar 9 des systèmes agricoles, ii) de promouvoir la spécificité régionale et iii) de réduire la contribution financière de l État au secteur irrigué. Pour ce faire, s impose la mise en place et le soutien des AUE, la sécurisation foncière, la participation effective des AUE aux actions d aménagement et la protection de l environnement des périmètres irrigués. Par la suite, des arrêtés ministériels ont été publiés portant approbation des cahiers des charges contenant des prescriptions spéciales relatives au transfert de gérance des périmètres irrigués aux associations reconnues: l arrêté N 1708/97 du pour les PPI, N 4292/97 du pour les GPI modifié par N 1366/98 du , et N 4293/97 du pour les MPI modifié par N 1365/98 et N 1369/98 du Environnement et santé L utilisation des produits phytosanitaires et des engrais (minéraux ou organiques) est encore minime, de même que le risque de contamination des aquifères. Un décret préconise la réalisation d une étude d impact sur l environnement avant tout projet de construction, y compris les aménagements hydro-agricoles. Le passage des canaux à proximité des villages offre aux habitants riverains la possibilité d utiliser les eaux pour l usage domestique (lessive, bains, etc.) mais provoque une pollution accrue de l eau. De plus, les eaux stagnantes le long des canaux et dans les rizières sont des milieux de propagation du paludisme et de la bilharziose, notamment le long des zones côtières (Tamatave, Morondava, Mangoky) et pendant la saison chaude. Perspectives pour la gestion de l eau en agriculture La filière riz reste la filière dominante du secteur irrigué. En matière de développement rural, l irrigation est l une des principales préoccupations. L objectif est l autosuffisance alimentaire et particulièrement l autosuffisance en riz, principal aliment de la population (de 114 à 145 kg/an par habitant). La concrétisation de la politique de développement de l irrigation se traduit par la réhabilitation physique des périmètres irrigués existants et la mise en place et la formation des AUE. Le problème de la pérennisation des acquis existe toujours car le niveau d autogestion des AUE reste faible. La valorisation des investissements consentis ne pourra se faire que si un minimum d encadrement technique de ces AUE est assuré par l administration pendant la période de transition. Les moyens dont dispose l État pour réaliser les travaux d entretien des gros ouvrages sont encore limités. La recherche et la procédure d obtention des financements nécessaires à la réparation des dégâts causés par les cyclones prennent souvent du temps et retardent de beaucoup la réalisation des travaux. La mise en place effective et la mobilisation accélérée des fonds d entretien des réseaux hydro-agricoles, ainsi que la mise en place d un Conseil national de secours, résoudront certainement ces problèmes. Les atteintes à l environnement (déforestation, feux de brousse) constituent également des contraintes majeures à la pérennité des périmètres. Enfin, depuis quelques années, la réhabilitation des infrastructures n est plus l unique composante des projets, mais s accompagne d éléments liés à l aquaculture, à l élevage, aux cultures maraîchères, aux pistes et à l amélioration des conditions d hygiène en milieu rural. Principales sources d information Agrar und Hydrotechnik Gmbh Revue sectorielle de l irrigation: Études institutionnelles. Aldegheri, M., Battistini, R., Bourgat, F., Dunque, G., Koechlin, J., Petit, M., Roederer, P Atlas de Madagascar. Andrianarisoa, Christian Revue DMD n du 04/10/2002. Banque mondiale Étude sectorielle de l agriculture irriguée. Division agriculture, Département des pays des grands lacs et de l océan Indien, Région Afrique. Washington DC. Battistini R., Hoerner J.M Géographie de Madagascar.
10 10 L irrigation en Afrique en chiffres Enquête AQUASTAT 2005 Bensaid, R Amélioration de la productivité durable. Rapport consultatif de programmation du 5 ème cycle du PNUD. FAO, Rome. Comité de coordination du projet de réhabilitation des périmètres irrigués Plan d action Ministère de la production agricole et de la reforme agraire. Direction de l eau et de l assainissement Tableau de bord, appui à la mise en place d un système national intégré de suivi de pauvreté de l INSTAT. Ministère de l énergie et des mines. Direction de la planification et de l information agricoles Statistiques agricoles: Annuaire Ministère de l agriculture. FAO Projet de réhabilitation des petits périmètres irrigués. FAO/CI rapport N 9/93 CP- MAG 35. Rome. Institut national de la statistique Enquête prioritaire auprès des ménages en Institut national de la statistique Recensement général de la population et de l habitat en Ministère d État à l agriculture et au développement rural Déclaration de politique pour le développement du sous-secteur irrigué. Office national pour l environnement Tableau de bord environnemental. ORSTOM Cartes des conditions géographiques de la mise en valeur agricole de Madagascar - Potentiel des unités physiques.
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