Les soldats canadiens dans les tranchées de France et de Belgique
|
|
- Danièle Moreau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les soldats canadiens dans les tranchées de France et de Belgique Entre l arrivée du contingent canadien en France en février 1915 et la fin des opérations militaires en novembre 1918, quelque hommes et femmes endossèrent l uniforme et partirent pour l Europe, dont sur le front Ouest. Plus de ne revinrent jamais et autant restèrent handicapés à vie. La Grande Guerre marqua profondément les Canadiens non seulement au regard des pertes subies mais aussi parce que nombre d entre eux en firent la traumatisante expérience. Sur le front du Nord de la France, Le capitaine William Withrow n est pas l archétype du guerrier. Quartier-maître du 2 e bataillon de pionniers, il est mort le 4 mai 1917, à 48 ans, en assistant à un match de baseball. En revanche, par sa mission, Withrow est un exemple caractéristique de la méthode adoptée pour mener les opérations lors de la Première Guerre mondiale. Membre du corps du génie canadien, son rôle dans les préparatifs de l assaut de la crête de Vimy dans le Pas-de-Calais, qui se déroula du 9 au 12 avril 1917, fut de superviser la réalisation de cartes géographiques afin que les troupes lancées dans la bataille puissent plus facilement s orienter lors des combats. Il était membre d un Corps d armée canadien composé de spécialistes, où, au sein d un même peloton d infanterie, les tâches entre carabiniers, mitrailleurs et grenadiers étaient précisément définies. En outre, par son engagement, Withrow est aussi un exemple dans la mesure où tous ceux qui participèrent à cette bataille s étaient enrôlés volontairement dans l armée. Les premiers à quitter leur terre natale pour servir sur le front Ouest furent, en effet, des volontaires. Toutefois, à la suite de batailles acharnées comme celle d Ypres (Belgique) en 1915, où le contingent canadien perdit le tiers de ses effectifs, et celle de la Somme en 1916, où 30% des soldats de quatre divisions furent tués, blessés, ou fait prisonniers, le gouvernement canadien constata que les volontaires ne suffisaient plus à compenser les pertes humaines.
2 Ayant promis une armée d un demi-million d hommes, il annonça donc, le 18 mai 1917, son intention d imposer la conscription. Pour ce faire, le gouvernement conservateur de Robert Borden annonça une élection dans laquelle un parti dit unioniste allait affronter le parti libéral de Wilfrid Laurier. Victorieux, les unionistes imposèrent la conscription au début de L année 1917 est donc à l origine de l apparition de divisions dans le pays. Chez les anglophones, elle fut l année de la victoire de Vimy, où, après plusieurs mois de préparation, quatre divisions canadiennes d infanterie prirent la crête après une bataille qui ne dura que quelques jours. Seule vraie victoire des offensives du printemps, Vimy fut une source de fierté pour la majorité des Canadiens. Mais pour les francophones, 1917 fut aussi l année de l élection du gouvernement qui imposa la conscription. Ainsi l historiographie de la Première Guerre mondiales reste aujourd hui encore marquée par ces mémoires divergentes. Pour les soldats du Corps d armée canadien, 1917 représenta tout autre chose. Les batailles de 1915 et 1916 avaient fait de nombreuses victimes dans leurs rangs. Aussi, à la fin de cette période, leur commandant, le général britannique Julian Byng, chercha un moyen pour lancer une attaque sur le front Ouest tout en essayant d éviter de lourdes pertes. Sachant que les Français avaient connu un certain succès tactique lors de la contre-offensive qu ils avaient lancée vers la fin de 1916, il envoya à Verdun le commandant de la 1 ère division, Arthur Currie. Il en résulta la spécialisation au sein du peloton que nous avons déjà évoquée. Cette sous-unité, comprenant une trentaine d hommes, fut divisée en quatre sections : une de carabiniers, une autre de grenadiers, une troisième de grenadiers à fusil (utilisant leurs carabines pour lancer leurs grenades) et une dernière de mitrailleurs armés d un fusil-mitrailleur nommé Lewis. Cette réorganisation permit d adopter une tactique plus sophistiquée de feu comme de mouvement. Par exemple, face à un point fort, le mitrailleur tentait d obliger l ennemi à s abriter pendant que les grenadiers à fusil balayaient les tranchées avec leurs bombes en attendant l assaut des grenadiers et des carabiniers. Cette stratégie se révéla utile à Vimy. L opération fut, en effet, un succès après un jour de combats dans les secteurs des 1 ère, 2 e, et 3 e divisions, et après deux jours sur le front de la 4 e division. S élevant à plus de dix mille hommes, les pertes, certes considérables, représentaient 13% des effectifs, soit moins de la moitié du bilan d Ypres ou de la Somme. Ce succès fut le premier d une série de victoires, les Canadiens prenant la cote 70 en août et les hauteurs de Passchendaele (Belgique) en novembre. Même si cette dernière bataille devint par la suite l archétype de la souffrance sur le front Ouest les blessés étaient menacés de disparaître dans la boue -, d un point de vue purement tactique, le Corps d armée canadien avait atteint ses objectifs dans des conditions extrêmement difficiles avec un taux de pertes de 20%. L enlisement dans les tranchées Cependant, ces questions de tactique et de statistiques étaient loin des préoccupations des soldats. Lors d un assaut, la doctrine opérationnelle était certes de première importance, mais il ne faut pas oublier que les attaques furent assez rares. Le front Ouest était surtout caractérisé par la routine et l enlisement dans les tranchées. Les bataillons d infanterie se relayaient pour passer plusieurs jours sur la ligne de front, ensuite en réserve, enfin à l arrière avant de recommencer la rotation. Sur le front, les soldats restaient cependant sur le qui-vive prêts à repousser toute attaque que l ennemi pouvait lancer. Mais ils devaient aussi s atteler à des dizaines de tâches quotidiennes. Les tranchées, les barbelés et les abris qui faisaient partie des positions défensives devaient être en permanence entretenus, travail qui se faisait surtout la nuit afin d éviter les tirs de l artillerie et des mitrailleuses ennemies. De plus, il fallait patrouiller le no-man s land pour s assurer que l ennemi ne s en servait pas pour préparer une attaque ou un coup de main. Lors de telles sorties, on vérifiait également que les barbelés placés devant les positions canadiennes étaient toujours en état de ralentir ou de canaliser un assaut allemand.
3 Dans une tranchée à Vimy, avril L illustration L événement le plus dangereux sur la ligne de front était le raid, une opération de petite envergure souvent menée par une poignée d hommes, mais parfois par toute une compagnie. L objectif était de détruire les abris de l ennemi, de faire quelques prisonniers, et d empêcher des opérations. Lors d un raid, les combattants traversaient le no-man s land, courant d une cachette à l autre pour pénétrer les lignes ennemies ; ils lançaient des grenades ou des bombes, emmenaient quelques prisonniers, puis rejoignaient leur base. Parfois, les opérations étaient plus complexes. Elles commençaient par un bombardement d artillerie pour isoler le secteur visé, puis les mitrailleuses lourdes entraient en action afin de forcer l ennemi à se terrer au fond de sa tranchée ; l infanterie montait alors à l assaut selon la même tactique que lors d une bataille rangée. Lors de la préparation d une offensive telle que la prise de la crête de Vimy, des raids de ce type pouvaient se produire presque tous les soirs. La vie en réserve était beaucoup moins mouvementée. Les troupes occupant ces lignes se préparaient à une contre-attaque au cas où les Allemands réussiraient à prendre une section du front canadien. Étant donné que l Empire allemand se battait sur deux fronts et qu après l échec du plan Schlieffen en 1914, il concentrait ses troupes contre la Russie, son armée attaquait rarement sur le front Ouest. Les bataillons de réserve n étaient pas pour autant au repos. Ils avaient maintes tâches à accomplir comme creuser des boyaux par lesquels les troupes avec leur matériel se dirigeaient soit vers le front, soit ver la zone arrière. C est dans ce dernier secteur que les soldats avaient peut-être enfin l occasion de souffler, même si, lorsqu un bataillon était officiellement au repos, les corvées ne manquaient pas. De plus, c est dans la zone arrière que les troupes apprenaient ou perfectionnaient leur métier, ou encore suivaient des cours de spécialisation pour devenir mitrailleur ou grenadier. Malgré tout, ces périodes leur offraient quelques jours de répit pendant lesquels ils retrouvaient un semblant de vie normale. Ils allaient dans les estaminets prendre de la bière ou du vin et déguster un repas plus agréable que l ordinaire de l armée où le bœuf en conserve figurait trop souvent au menu. C était aussi pour eux l occasion de retrouver une présence féminine et d oublier, dans cette parenthèse, la peur, la boue, le vacarme. Des liens se nouaient, des histoires se tissaient, éphémères ou plus durables, qui, il faut le dire, ne furent pas sans conséquences sur la santé des soldats. Quelques Canadiens durent suivre des traitements médicaux pour la gonorrhée et pour la syphilis au cours de la guerre, sur les soldats qui servirent en France et en Belgique. En ce qui concerne les opérations, après trois offensives du type bite and hold prendre et tenir- en 1917, l année suivante, le Corps d armée canadien opéra de façon continue. D août à novembre, il lutta sans relâche sur le canal du Nord, à Amiens, Drocourt-Quéant, Cambrai et Valenciennes.
4 La fin de la guerre le trouva à Mons, où l armée expéditionnaire britannique, la fameuse British Expeditionary Force, avait mené ses premiers combats en C est en pénétrant dans cette ville que les Canadiens apprirent que l ennemi avait accepté de signer l Armistice. Cavalerie canadienne à Vimy- Defense/National Archives of Canada Envoi d un message par pigeon voyageur, front de l Ouest, mai L illustration MEMOIRE DE PIERRE En hommage à ses soldats tombés au champ d honneur, le Canada a édifié des mémoriaux. En France : - À Vimy, un imposant monument domine un parc-mémorial - Au bois de Bourlon (6km d Arras), un mémorial érigé sur une colline honore les Canadiens morts lors des combats qui permirent de franchir le canal du Nord. - À Courcelette (30km d Amiens), un bloc de granit au cœur d un parc est dédié aux combattants de la Somme en Au Quesnel (25km de Cambrai), hommage est rendu aux exploits du Corps canadien lors de la bataille d Amiens en août À Dury (16km d Arras), est inscrit dans la pierre le souvenir des opérations qui ont abouti à la percée de la ligne Drocourt-Quéant. - À Beaumont-Hamel (28km d Arras), un caribou en bronze, emblème du Newfoundland Regiment, veille sur la mémoire de tous les Terre-Neuviens qui ont pris part à la Grande Guerre. - À Monchy-le-Preux (7km d Arras), un caribou regarde vers la colline où, en avril 1917, une poignée de Terre-Neuviens repoussa l ennemi. - À Masnières (10km de Cambrai), un caribou honore les morts du Newfoundland Regiment engagé dans la bataille de Cambrai en À Gueudecourt (30km d Arras), le gouvernement de Terre-Neuve a érigé une statue de caribou pour ses hommes tombés pendant les combats du Transloy en 1916.
5 En Belgique - À Passchendaele (40km de Lille), un mémorial est dédié aux Canadiens qui, dans la boue ou sous une pluie d obus, ont perdu la vie dans ce lieu à l automne À Saint-Julien (7km d Ypres), un impressionnant bloc de granit surmonté d un soldat en méditation évoque la résistance des Canadiens durant les premières attaques au gaz toxique en avril 1915 dans la région. - À Courtrai (30km de Lille), un caribou commémore le franchissement de la Lys par le Royal Newfoundland Regiment en octobre À la cote 62 Bois du sanctuaire (3km d Ypres), s élève un bloc de granit blanc du Québec à la mémoire des Canadiens qui ont défendu Ypres. - À Ypres (42km de Tourcoing), le monument commémoratif de la Porte de Menin est dédié aux soldats du Commonwealth tombés en Belgique, dont des milliers de Canadiens. Source : Bill Rawling Historien, Ministère de la défense nationale du Canada Source : Les Chemins de la Mémoire *****************
L Histoire en photos Ressources: Photos officielles du Première Guerre mondiale
Drainage des tranchées Dans la France du Nord et la Belgique gorgées de pluie, les tranchées, pendant une bonne partie de l année, n étaient plus que des fossés boueux. La vie y devenait encore plus pénible
Plus en détailChap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement
Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement Chanson : Nuit et brouillard de Jean Ferrat http://www.youtube.com/watch?v=94yoxycqo6s
Plus en détailété 1914 dans la guerre 15/02-21/09/2014 exposition au Musée Lorrain livret jeune public 8/12 ans
été 1914 Nancy et la Lorraine dans la guerre exposition 15/02-21/09/2014 au Musée Lorrain livret jeune public 8/12 ans 1 3 2 4 5 6 7 9 8 1870-1914 : une guerre attendue? Août 1914 : partis pour un été
Plus en détailBOURSES D ÉTUDES ACCESSIBLES À LA COMMUNAUTÉ DES FC
BOURSES D ÉTUDES ACCESSIBLES À LA COMMUNAUTÉ DES FC Diverses bourses d études sont accessibles aux membres actifs et libérés des Forces canadiennes et à leur famille. Bien que toutes les bourses ci-après
Plus en détailFiche pédagogique 7 : Paris, ville bombardée
Fiche pédagogique 7 : Paris, ville bombardée Paris, ville bombardée Paris n a pas été occupée par les Allemands durant la Première Guerre mondiale. Elle est restée une ville de l arrière. Pourtant, les
Plus en détail1 ère partie - Avant la libération, le contexte historique
A l'est - En janvier 1944, débute l'offensive soviétique qui entraîne la retraite de la Wehrmarcht de ses alliés. En juillet 1944, l'armée rouge, désormais supérieure en effectifs et en armements, pénètre
Plus en détailLAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES
LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans
Plus en détailLa Théorie des Contraintes Appliquée à la Première Guerre Mondiale. Yves REHBY, CFPIM, CIRM
La Théorie des Contraintes Appliquée à la Première Guerre Mondiale Yves REHBY, CFPIM, CIRM Rappel Historique La Bataille de Verdun Phase 1: 21 février 30 Avril Commandant en chef : Pétain un défenseur
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailLe Québec, terre de traduction
Le Québec, terre de traduction S il est un endroit au monde où les traducteurs ont un marché établi, c est bien le Canada. Et le Québec, au sein du Canada, jouit d une situation encore plus privilégiée.
Plus en détailC était la guerre des tranchées
C était la guerre des tranchées Jacques Tardi Format 23,2 x 30,5 cm 128 pages C et album consacré, comme son titre l indique, à la vie dans les tranchées pendant la Première Guerre mondiale est constitué
Plus en détail1914-18 Hohrodberg - Linge
Circuit Historique 1914-18 Hohrodberg - Linge Une réalisation Dr Marc Georges Président de la CCVM Le Mot du Président : Les 350 kilomètres de sentiers balisés de la vallée de Munster constituent, pour
Plus en détailSa Majesté la Reine du chef du Canada, représentée par la ministre des Anciens Combattants, 2005. No de cat. V32-36/2005 ISBN 0-662-68646-2
Série du Souvenir Une journée pour se souvenir Toutes les photos sont une gracieuseté des Archives nationales du Canada, sauf : pages 3, 21, 22, 24 et 25 : MAC photographies Sa Majesté la Reine du chef
Plus en détailHISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS
HISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS DOCUMENT : 1979. 29489 (1). «L'Actualité. L'union fait la force. Jeu stratégique». Sans éditeur. Vers 1915. PLACE
Plus en détailLa Libération du Nord-Pas de Calais
La Libération du Nord-Pas de Calais I Une Libération éclair : 1 er au 5 septembre 1944 A La libération de la région et de la Belgique en 5 jours, du 1 er au 5 septembre : une ruée fulgurante des Alliés,
Plus en détail«En avant les p tits gars» Chanté Par Fragson. 1913. Mais que chantait-on en Décembre 1913, à quelques mois du déclenchement de la grande tragédie?
«En avant les p tits gars» Chanté Par Fragson. 1913. Mais que chantait-on en Décembre 1913, à quelques mois du déclenchement de la grande tragédie? Paroles : «En avant les p tits gars». Fragson. 1913.
Plus en détailRéunion des musées nationaux Grand Palais. Musée & compagnie
Réunion des musées nationaux Grand Palais Musée & compagnie 2014 Musée & Cie, la billetterie des professionnels Un service personnalisé s adaptant à vos contraintes Une commande unique portant sur plus
Plus en détailTout connaître. sur l assurance et les dommages causés par l eau
Tout connaître sur l assurance et les dommages causés par l eau Les dommages causés par l eau : première cause de réclamation en assurance habitation Les dommages causés par l eau représentent environ
Plus en détailLISTE DES CENTRES D ARCHIVES CHARGES DE L ADMINISTRATION DES ARCHIVES MILITAIRES DEPARTEMENTS ET TERRITOIRES D'OUTRE MER
MINISTÈRE DE LA DÉFENSE DIRECTION DE LA MÉMOIRE, DU PATRIMOINE ET DES ARCHIVES SERVICE HISTORIQUE DE LA DÉFENSE Centre des archives du personnel militaire LISTE DES CENTRES D ARCHIVES CHARGES DE L ADMINISTRATION
Plus en détailL Allemagne déclare la guerre à la France. L Allemagne déclare la guerre à la Belgique qui a rejeté l ultimatum de la veille.
1914 28 juin : L archiduc héritier du trône d Autriche-Hongrie, François Ferdinand, et son épouse, sont assassinés à Sarajevo (Bosnie-Herzégovine) par Gavrilo Prinzip. Cet événement sert de prétexte à
Plus en détailConseil canadien de la magistrature Voies de fait et autres infractions contre la personne n entraînant pas la mort
Conseil canadien de la magistrature Voies de fait et autres infractions contre la personne n entraînant pas la mort Table des matières Infraction 244...3 Décharge d une arme à feu avec intention (Art.
Plus en détailLE CONSEIL GÉNÉRAL DE LA LOIRE présente. 1914, cent ans après. Livret de l enseignant
LE CONSEIL GÉNÉRAL DE LA LOIRE présente 1914, cent ans après Livret de l enseignant Une action des Archives départementales de la Loire Le projet 1914, cent ans après est organisé par le Conseil général
Plus en détailSoldat de métier au Détachement de reconnaissance de l armée 10
Soldat de métier au Détachement de reconnaissance de l armée 10 1 2 3 4 5 6 7 8 Engagement & mission I Processus de sélection & profil exigé I Instruction I Vie quotidienne au travail I Contact Le détachement
Plus en détailDossier de Presse PERGAUD
Dossier de Presse PROJET RHIZOME MASTER 1 PSM 2014 / 2015 UFR STGI MONTBÉLIARD Valentin Besson, Aymeric Bouchereau Romain Dax, Raphaël Guix Daria Gushchina, Arthur Yilmaz 00 / AVANT PROPOS Le dossier de
Plus en détailDivision Espace et Programmes Interarméeses. État tat-major des armées
Division Espace et Programmes Interarméeses LE MINDEF en quelques mots 295 000 personnes, militaires et civils. 7000 personnes engagées en opérations extérieures, 80% au sein d une coalition internationale
Plus en détailSécurité de l information : un cas réel d intrusion à l UQAM. Présentation GRICS RN2010 25 novembre 2010
Sécurité de l information : un cas réel d intrusion à l UQAM Présentation GRICS RN2010 25 novembre 2010 Plan de la présentation Mise en contexte D incident à crise de sécurité informatique L art de la
Plus en détail- QUESTIONNAIRE HISTORIQUE
- QUESTIONNAIRE HISTORIQUE HISTOIRE DES GARDES POMPES ET DU BATAILLON 1) De quel pays, Du Périer a-t-il rapporté la pompe à incendie pour laquelle il a obtenu un privilège royal en 1699? Hollande 2) Quel
Plus en détailMANQUEMENT CONTRACTUEL DANS L INFORMATIQUE GESTION EXPERTE DES INFORMATIQUES
MANQUEMENT CONTRACTUEL DANS L INFORMATIQUE GESTION EXPERTE DES LITIGES POUR LES PRESTATAIRES INFORMATIQUES Avec plus de 15 ans d expérience et des équipes de souscription et de sinistres dédiées aux prestataires
Plus en détailHistoire Leçon 15 La marche vers la guerre ( 1938 / 1939) Dates : 1936 : remilitarisation de la Rhénanie 1938 : Anschluss de l Autriche
Histoire Leçon 15 La marche vers la guerre ( 1938 / 1939) 1936 : remilitarisation de la Rhénanie 1938 : Anschluss de l Autriche Septembre 1939 : début de la deuxième guerre mondiale Anschluss : annexion
Plus en détailEl Tres de Mayo, GOYA
Art du visuel / «Arts, ruptures, continuités» Problématique : «Comment l expression du sentiment surgit-elle dans l art au XIX è siècle?» El Tres de Mayo, GOYA Le Tres de Mayo, Francisco Goya, huile sur
Plus en détailBILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS DU VALAIS ROMAND (CPI)
Département de l'éducation, de la culture et du sport Service de l enseignement Inspectorat de la scolarité obligatoire BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS
Plus en détailCORRIGE DU LIVRET THEMATIQUE NIVEAU SECONDAIRE
LE MUR DE L ATLANTIQUE PAGES 4-5 Le Mur était constitué de blockhaus de toutes sortes : des batteries d artillerie équipées de canons, des radars, des obstacles pour défendre les plages Reportez, pour
Plus en détailANNÉE D INITIATION AU LEADERSHIP À L INTENTION DES AUTOCHTONES (AILA) RENSEIGNEMENTS ET QUESTIONNAIRE À L INTENTION DES POSTULANTS PARTIE I
RENSEIGNEMENTS ET QUESTIONNAIRE À L INTENTION DES POSTULANTS RENSEIGNEMENTS ET INSTRUCTIONS GÉNÉRALES PARTIE I 1. Ce document se divise en trois parties. La Partie I (pages I-1/2 à I-2/2) présente des
Plus en détailAlcool au volant : tous responsables? La question de la co-responsabilité sera enfin posée au Tribunal de Saint Nazaire
DOSSIER DE PRESSE 01/09/2014 Alcool au volant : tous responsables? La question de la co-responsabilité sera enfin posée au Tribunal de Saint Nazaire Avec l appui de la Ligue Contre la Violence Routière,
Plus en détailLa petite histoire des ponts de l île Perrot
La petite histoire des ponts de l île Perrot Les acteurs Gustave Boyer M. Gustave Boyer demeure, à la lumière des faits et gestes décrits dans les archives de Sainte- Jeanne-de-Chantal, le grand maître
Plus en détailEntrée. 1. Retrouve les deux fosses où sont présentés les uniformes du soldat français pour compléter ce tableau :
Salle 2 Niveau 2 Service éducatif B A - 1914-1916 1916 - Entrée Le plan peut t aider à retrouver certains éléments utiles pour tes recherches. 1. Retrouve les deux fosses où sont présentés les uniformes
Plus en détailStatistiques sur les armes à feu Tableaux mis à jour
A U S E R V I C E D E S C A N A D I E N S Statistiques sur les armes à feu Tableaux mis à jour Statistiques sur les armes à feu Tableaux mis à jour Kwing Hung, Ph. D. Conseiller en statistique et méthodologie
Plus en détailProjet. de la Découverte à la Performance, un Club pour Toutes les Pratiques
Projet Sportif de la Découverte à la Performance, un Club pour Toutes les Pratiques 2 Projet Sportif Pourquoi un projet sportif? Don Bosco est devenu, depuis l ouverture de la nouvelle salle en 2007, l
Plus en détail243 La Belgique, le contrôle démocratique et la prolifération nucléaire
La Belgique, le contrôle démocratique et la prolifération nucléaire >Luc Barbé chercheur-associé à Etopia. barbe@telenet.be Le fait que les premières bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki aient été
Plus en détailRemise de l Ordre National du Mérite à M. David LASFARGUE (Résidence de France 7 novembre 2014) ----------
Remise de l Ordre National du Mérite à M. David LASFARGUE (Résidence de France 7 novembre 2014) ---------- Cher David Lasfargue, Mesdames, Messieurs, C est toujours un honneur et un plaisir pour un Ambassadeur
Plus en détailRestauration du bureau de Georges Clemenceau à l Hôtel de Brienne
Restauration du bureau de Georges Clemenceau à l Hôtel de Brienne 17 novembre 2014 Sommaire 100 ans après le déclenchement de la Grande Guerre, le bureau de Georges Clemenceau restauré Le bureau de Georges
Plus en détailLes Chemins de mémoire 14-18
NORD PAS DE CALAIS Les Chemins de mémoire 14-18 4 Parcours pour découvrir les sites et évènements de la Grande Guerre. Sommaire Mémorial canadien de Vimy En parcourant les «Chemins de mémoire de la Grande
Plus en détailLES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN VOLUME 4 NUMÉRO 9 AVEC LA COLLABORATION DE
LES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN VOLUME 4 NUMÉRO 9 AVEC LA COLLABORATION DE 2 2014, CEFRIO NETendances LES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN TABLE
Plus en détailA Eperlecques, le Blockhaus de 100 000 m3 était destiné à devenir une base de lancement de fusées V2.
Les élèves de troisième ont découvert les principaux faits de la Seconde Guerre Mondiale (1939-1945) qui se sont déroulés dans notre région, le Nord-Pas-de-Calais. Cette visite sert d introduction à l
Plus en détailHistoire de charpente
Histoire de charpente Le 15 juin 2012 la restauration de la toiture de l église de Murtin a débuté. Malgré sa hauteur honorable, la grue installée sur la place s est retrouvée bloquée par le coq dominant
Plus en détailMagic Manouches. Enfants voyageurs et auteurs de BD s échangent des histoires. Éditions Flblb / Les Alliers
Magic Manouches Enfants voyageurs et auteurs de BD s échangent des histoires Éditions Flblb / Les Alliers 2015, Centre Social Les Alliers & Éditions FLBLB ISBN : 978-2-35761-084-2 Dépôt légal : premier
Plus en détailLes Cahiers du DESS MRH
DESS Management des Ressources Humaines http://www.dessmrh.org ➎ Les Cahiers du DESS MRH Les travailleurs handicapés dans L entreprise 6 - L accompagnement du travailleur handicapé http://www.e-rh.org
Plus en détailLes portes du palais s ouvrent à vous! Le fonds de recherche Diane Asselin pour la recherche en immunothérapie. Casino contre le Cancer
Les portes du palais s ouvrent à vous! La quatrième édition du Casino contre le Cancer aura lieu le vendredi 25 septembre 2015. C est dans l ambiance du château de Versailles que le Cercle des jeunes ambassadeurs
Plus en détailDonnées générales à propos de l Estonie
Données générales à propos de l Estonie Nom complet: République d Estonie Surface: 45,227 km² Capitale: Tallinn Autres grandes villes: Tartu, Narva et Pärnu Division régionale: il y a 15 comtés, 33 villes
Plus en détailMODULE GESTION DU SYSTÈME D INFORMATION DE L ENTREPRISE
Université d Oran Es SENIA Faculté Des Sciences Economiques, des Sciences de Gestion et des Sciences Commerciales MODULE GESTION DU SYSTÈME D INFORMATION DE L ENTREPRISE MONSIEUR BENCHIKH Maître de Conférence
Plus en détailJEAN-PAUL JALBERT, A.V.C., Pl. Fin. jalbertjp@videotron.ca né le 10 juillet 1946
jalbertjp@videotron.ca né le 10 juillet 1946 546, Rue du Sous-bois Tél. domicile : (418) 836-2273 Lévis, Québec Cellulaire : (418) 657-0416 G7A 1C8 Télécopieur : (418) 836-3054 PROFIL DE CARRIÈRE Planificateur
Plus en détailE-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard»
E-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard» Par Daniel Held, Dr. Es Sc. écon. et Benoit Moransais, lic. ès Sc. écon., associés du cabinet Qualintra SA, Genève Le «balanced scorecard»
Plus en détailcompl mentaire des dossiers réalisés dans le cadre du Concours national de la Résistance notamment de ceux réalis
Introduction L ensemble ensemble documentaire qui suit est complémentaire compl mentaire des dossiers réalisés r dans le cadre du Concours national de la Résistance R sistance et de la Déportation, D notamment
Plus en détailOù et quand cette photo a-t-elle été prise? Comment le devinez-vous?
Les textes de l exposition «Dictature et démocratie» et le questionnaire pédagogique sont assez longs. Nous vous conseillons donc de répartir les fiches de travail entre vos élèves et de mettre les réponses
Plus en détailChapitre 2 L inexécution des contrats: la responsabilité contractuelle
Chapitre 2 L inexécution des contrats: la responsabilité contractuelle La responsabilité contractuelle est la sanction de l inexécution ou de la mauvaise exécution du contrat. Elle est prévue par l article
Plus en détailNom : Prénom : Date :
J observe le livre dans son ensemble, je le feuillette et je réponds aux 1) Je complète la carte d identité du livre. Titre du livre Nom de l auteur Nom de l illustrateur Editeur Collection Genre 2) Qui
Plus en détailLe Grand Troupeau de De Jean Giono.
Cornus Louis 1èreS 3 Lycée Paul Cézanne Le Grand Troupeau de De Jean Giono. Le Grand Troupeau est roman écrit de l année 1929 jusqu à l année 1931 par l auteur pacifiste Jean Giono. Il a été publié en
Plus en détailBOURSES D ÉTUDES ACCESSIBLES À LA COMMUNAUTÉ DES FC
BOURSES D ÉTUDES ACCESSIBLES À LA COMMUNAUTÉ DES FC Diverses bourses d études sont accessibles aux membres actifs et libérés des Forces canadiennes et à leur famille. Bien que toutes les bourses ci-après
Plus en détailThème 3 : La Seconde Guerre mondiale, une guerre d anéantissement (1939-1945)
Proposition de mise en œuvre des nouveaux programmes d histoire-géographie en 3 ème 2 ème partie : guerres mondiales et régimes totalitaires (1914-1945) Thème 3 : La Seconde Guerre mondiale, une guerre
Plus en détailM. Jean-Yves Le Drian, Ministre de la défense. Discours pour les vingt ans du lancement du satellite Hélios IA
MINISTÈRE DE LA DÉFENSE M. Jean-Yves Le Drian, Ministre de la défense Discours pour les vingt ans du lancement du satellite Hélios IA A Toulouse, le 9 juillet 2015 Seul le prononcé fait foi Page 1 sur
Plus en détail«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23.
«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23. Pour faire suite au récit des disciples sur le chemin d Emmaüs et pour
Plus en détailI) La politique nazie d extermination
I) La politique nazie d extermination La Seconde guerre mondiale a été marquée par l extermination de 10 millions de personnes par les nazis. Les Juifs en particulier ont été les victimes d un génocide
Plus en détailpar Maxime Lalonde-Filion
ANALYSE DES IMPACTS ÉNERGÉTIQUES ET ENVIRONNEMENTAUX ASSOCIÉS À L'IMPLANTATION MASSIVE DES VÉHICULES HYBRIDES ÉLECTRIQUES RECHARGÉS PAR LE RÉSEAU (PLUG-IN HYBRID ELECTRIC VEHICLE : PHEV) AUX ÉTATS-UNIS
Plus en détailDES BROUILLAGES SUR LA LIGNE : LES RELATIONS ÉCONOMIQUES ENTRE LA FRANCE ET LA BELGIQUE
DES BROUILLAGES SUR LA LIGNE : LES RELATIONS ÉCONOMIQUES ENTRE LA FRANCE ET LA BELGIQUE Publié dans Septentrion 2010/3. Voir www.onserfdeel.be ou www.onserfdeel.nl. Les relations économiques entre la France
Plus en détailDossier de Presse 5 juin 2008 20. L Oeuvre de Vauban à Besançon
Dossier de Presse 5 juin 2008 20 L Oeuvre de Vauban à Besançon Dossier de Presse 5 juin 2008 21 Besançon : des défenses façonnées par un méandre dominé > 21 27 La citadelle Historique La position stratégique
Plus en détailCOMPRENDRE CE QU EST L OTAN
COMPRENDRE CE QU EST L OTAN LES ORIGINES DE L ALLIANCE Au lendemain de la seconde guerre mondiale, l Europe de l Est et l Europe de l Ouest se sont trouvées séparées par les divisions idéologiques et politiques
Plus en détailVous propose ses visites guidées animées par des artistes. adaptées en team-building
Vous propose ses visites guidées animées par des artistes adaptées en team-building Fort du succès populaire des Visites-Spectacles L Esprit de Montmartre et L Enigme des Passages Couverts, nous vous proposons
Plus en détailVISITE DE L EXPOSITION AU THÉÂTRE DE PRIVAS :
VISITE DE L EXPOSITION AU THÉÂTRE DE PRIVAS : Tania Mouraud : Glamour-ing, 2000 C est un film vidéo qui montre un acteur de théâtre qui se maquille avant d aller sur scène. Ça se passe en Inde. L acteur
Plus en détailLa liberté guidant le peuple sur les barricades
La liberté guidant le peuple sur les barricades Eugène DELACROIX 1830 Une étrange lumière Le soleil brille à travers la fumée de la poudre. Les écrits nous disent que nous sommes en début de matinée et
Plus en détailPASS ARAN. Maison du Valier - Gite Eylie 9 h 25 mn Dénivelée +1642m -1582 m
PASS ARAN Maison du Valier - Gite Eylie 9 h 25 mn Dénivelée +1642m -1582 m Maison du Valier 950m 0h Tél 05 61 01 01 01 Suivre vers le Nord le GR 10 (balisage rouge et blanc) qui remonte au parking pour
Plus en détailAteliers Offre Entreprise
Repas d affaire Team building, Incentive Ateliers Offre Entreprise Séminaires Recrutement le plaisir de la cuisine au quotidien Boutiques en Belgique Anderlecht Bruxelles Charleroi Nivelles Waterloo Wijnegem
Plus en détailLivret de l exposition
Livret de l exposition 1914 28 juin : Assassinat de l archiduc François Ferdinand et de sa femme, héritiers de l empire Austro-Hongrois à Sarajevo. 1 août : Mobilisation générale en France et en Allemagne.
Plus en détailSECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR
SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises
Plus en détail#Club Pierre. Marché des bureaux en Ile-de-France. 9 Juillet 2015 DTZ Research
#Club Pierre Marché des bureaux en Ile-de-France 9 Juillet 2015 DTZ Research Un 2 ème trimestre meilleur que le 1 er.. Demande placée de bureaux en Ile-de-France, en milliers de m² 3 000 2 500 2 000 1
Plus en détailINF 202 MANUEL D'EMPLOI DE LA SECTION D'INFANTERIE. Approuvé le : 18 juin 1999 Edition 1999 Sous le n 5382/EAI/CETEI
INF 202 MANUEL D'EMPLOI DE LA SECTION D'INFANTERIE Approuvé le : 18 juin 1999 Edition 1999 Sous le n 5382/EAI/CETEI SOMMAIRE AVANT PROPOS 1 Partie LE COMBAT DU FANTASSIN ET DU TRINOME. Chapitre 1 - Le
Plus en détailCe projet de loi fixe un plafond pour le budget de la Défense et un plancher pour le budget de l Aide internationale.
NOTES EXPLICATIVES Ce projet de loi crée les Forces d autodéfense du Québec. Il vise à modifier la politique québécoise de défense nationale dans le sens d une renonciation au droit de belligérance, sauf
Plus en détailCes efforts ont déjà contribué significativement à l atteinte des objectifs de l OTAN depuis 2014.
Dès le début de la crise ukrainienne et compte tenu de la menace potentielle perçue par ses alliés d Europe centrale et du Nord à leurs frontières, l OTAN a pris un ensemble de mesures politiques et militaires
Plus en détailDésormais la clé, c est vous. ASSA ABLOY, the global leader in door opening solutions*
Désormais la clé, c est vous. ASSA ABLOY, the global leader in door opening solutions* *ASSA ABLOY, le leader mondial des solutions de sécurisation des accès Nouvelle gamme Entrez dans l ère du digital
Plus en détailTable des matières. Il est réconfortant de savoir que votre famille est préparée. Vous préparer pour une panne
Êtes-vous prêt? Êtes-vous prêt? Nous avons tous vécu l expérience d une panne de courant. Bien que la plupart d entre elles ne durent pas longtemps, chaque famille doit dresser un plan d urgence, au cas
Plus en détailNOTRE PREMIÈRE PENSION DE VIEILLESSE 1915-1927
Sommaire La nation que représente le Canada n était plus la même à la fin de la Première Guerre mondiale (1914-1918). La demande en temps de guerre a entraîné un accroissement de la production industrielle.
Plus en détailCentre d information sur les renseignements et le terrorisme au Centre d études spéciales
5 novembre 2008 Centre d information sur les renseignements et le terrorisme au Centre d études spéciales Escalade dans la bande de Gaza : pour éviter l enlèvement de soldats, Tsahal est engagé dans des
Plus en détailRéaménagement de la place d Armes Idée maîtresse et proposition d aménagement Présentation à la Table de concertation 12 avril 2010 (révision 21 juin
Réaménagement de la place d Armes Idée maîtresse et proposition d aménagement Présentation à la Table de concertation 12 avril 2010 (révision 21 juin 2010) PLAN DE PRÉSENTATION 1. CONTEXTE 2. RETOUR ÉLÉMENTS
Plus en détailDéléguée ou délégué : une fonction officielle
Déléguée ou délégué : une fonction officielle OCTOBRE 2007 Fédération des professionnelles et professionnels de l éducation du Québec (CSQ) site web: www.fppe.qc.ca ES-ND-0708-04 (6.3.2) La clause ou l
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détail2 - Être Marin. 3 - Être Marin
2 - Être Marin 3 - Être Marin 2 - Être Marin 3 - Être Marin Nom : Prénoms : Date d'engagement : Matricule : 6 - Être Marin Être marin 5 - Être Marin I Être marin Etre marin, c est un mode de vie Le marin
Plus en détailDiscours de présentation du prix John-Leslie Dany Girard, B.A.A., FCGA Président du Conseil, CGA-Canada
Discours de présentation du prix John-Leslie Dany Girard, B.A.A., FCGA Président du Conseil, CGA-Canada Dîner des membres du Conseil d administration de CGA-Canada Hôtel Intercontinental Montréal Le vendredi
Plus en détailÀ titre de professionnel en sécurité informatique, monsieur Clairvoyant intervient à différents niveaux lors de projets en sécurité informatique.
Eric Clairvoyant Consultant senior en gouvernance, audit et sécurité des T.I. ecclairvoyant@hotmail.com Summary À titre de professionnel en sécurité informatique, monsieur Clairvoyant intervient à différents
Plus en détailÉnergie et Mondialisation
Énergie et Mondialisation Il est fréquent d affirmer que de nombreuses questions énergétiques ou environnementales ne peuvent être posées correctement qu au niveau mondial. Résolument ancré dans le réseau
Plus en détailIntroduction. Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas :
Introduction Le CRM se porte-t-il si mal? Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas : «75 % de projets non aboutis» «La déception du CRM» «Le CRM : des
Plus en détailSubordonnée circonstancielle de cause, de conséquence et de but
DE MATÉRIEL CONSÉQUENCE POUR ET DE BUTALLOPHONES 1 Notion de phrase Subordonnée circonstancielle de cause, de conséquence et de but 1 LA SUBORDONNÉE CIRCONSTANCIELLE DE CAUSE La subordonnée circonstancielle
Plus en détailNe vas pas en enfer!
Ne vas pas en enfer! Une artiste de Corée du Sud emmenée en enfer www.divinerevelations.info/pit En 2009, une jeune artiste de Corée du Sud qui participait à une nuit de prière a été visitée par JésusChrist.
Plus en détailHÔTEL CHAVANNES-DE-BOGIS
HÔTEL CHAVANNES-DE-BOGIS BEST WESTERN vous propose mille et une nuits GLISSEZ SUR LE REFLET DES ÉTOILES SOIRÉE / BUFFET / ANIMATION / DJ / COTILLONS À MIDI, LES SOIRS OU POUR LE TEA-TIME ON TOMBE, ON RIGOLE,
Plus en détailÉthique de la fin de vie
Éthique de la fin de vie Marta SPRANZI Faire vivre ou laisser mourir? Deux enquêtes récentes se penchent sur les dilemmes moraux et médicaux qui se posent dans les services de réanimation néonatale et
Plus en détailLES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE
LES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE Au I er siècle après Jésus-Christ, la ville romaine d Arles (photo ci-dessous) est entourée de remparts. Elle comporte de grandes rues principales appelées Cardo et Decumanus.
Plus en détailRègles Aménagées Tournoi à 3
Aménagées Tournoi à 3 Moins 9 ans mixtes 2004 et après Temps de jeu 2 x 9' 5' 5+1 (sur les 2 mi-temps) Jeu sur terrain MINI HAND Taille des ballons Taille 0 (48/50) 1 ère et le 2 ème mi-temps : 1 GB différent
Plus en détailArticle. «Monument québécois à la mémoire des héros du Long-Sault» Jacques Folch-Ribas. Vie des Arts, n 50, 1968, p. 38-41.
Article «Monument québécois à la mémoire des héros du Long-Sault» Jacques Folch-Ribas Vie des Arts, n 50, 1968, p. 38-41. Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : http://id.erudit.org/iderudit/58250ac
Plus en détailCampagne. aprem GELAUCOURT. les. à la. août 25. septembre 15 16. DOSSIER DE PRESENTATION Éditions précédentes Programme prévisionnel 2012
Grand Prix Européen et National du fleuriement Expoition Métier d Art Café Concert Pain cuit à l ancienne Animation pour enfant Jardin Remarquab 8 9 août 25 26 eptembre 15 16 DOSSIER DE PRESENTATION Édition
Plus en détailLe rôle de leadership du chef Tecumseh dans la défense du Haut-Canada
Le rôle de leadership du chef Tecumseh dans la défense du Haut-Canada Aperçu de la leçon Le leadership est une qualité importante en temps de guerre. Qu est-ce qui fait un leader? Le chef Tecumseh a joué
Plus en détailB.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales. Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché
B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché Première partie : Analyse du marché à partir des annexes 1
Plus en détail