CONSTRUCTIONS PARASISMIQUES. << Génie Parasismique - Comportement des structures sous séisme>>

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CONSTRUCTIONS PARASISMIQUES. << Génie Parasismique - Comportement des structures sous séisme>>"

Transcription

1 CONSTRUCTIONS PARASISMIQUES << Génie Parasismique - Comportement des structures sous séisme>> Philippe Guéguen Université Joseph Fourier Grenoble

2 Pérou Kobe, Mw=7.3 Le béton armé est un matériau parasismique

3 Premiers codes parasismiques: 1950 Réglementation parasismique en France: Premières recommandations suite au Séisme d Agadir (Maroc) Décret d application rendant obligatoire les règles PS92 (expérience de el Asnam, Mexico, Spitack...) : Causes des victimes : Causes des victimes Glissements de terrain Incendies induits Destruction bâti béton armé Destruction bâti bois Autres Destruction bâti maçonnerie Glissements de terrain Incendies induits Destruction bâti béton armé Destruction bâti bois Autres Destruction bâti maçonnerie D après Coburn and Spence, 2002

4 Zonage tectonique Période de retour et séisme caractéristique Nombre de séisme/an Courbe Guttenberg Richter Données RéNaSS Magnitude log10 N = a-bm 25 zones sources en France D après GEOTER λm=λ0 e -βm Taux d occurrence annuel des séismes de magnitude supérieure à M λm=λmmin [1-k +ke -β(m-mmin) ] avec Mmin M Mmax. k=[1-e -β(mmax-mmin) ] -1 fonction de densité de probabilité

5 Mouvement du sol Variabilité observée M=5.4, d=30 km, sédiment (Pousse et al. 2005) P(C>C* M,R)=1 - Φ[(lnC*-lnC)/σC] probabilité pour qu un couple magnitude/distance (M,R) engendre un mouvement du sol C supérieur au mouvement C* (Φ fonction probabilité normale standard) λ[c>c*]= i λmi Pj(C>C* M,R) P(M R)dMdR P(M R) la probabilité qu un séisme de magnitude M se produise à la distance R (produit des probabilités qu un séisme se produise sur la zone source i et qu il soit localisé à R du site)

6 Occurrence du mouvement C>C* Condition d indépendance des séismes Modèle de distribution de type Poissonnien P=1-e -λ[c>c*] t λ[c>c*]=-[ln(1-p)]/t probabilité P qu un événement se réalise est liée à la fréquence annuelle de dépassement λ[c>c*] et au temps d exposition t P=2% pendant t=50 ans donne λ[c>c*] = soit 1/2475 ans 2475 est la période de retour λ[c>c*] = est la fréquence annuelle d un événement (C>C*) contre laquelle on doit se protéger Cela ne signifie pas que le mouvement du sol C revient tous les 2475 ans

7 Dossier administratif La réglementation Française (EC8, 2011) impose pour le bâti courant : P ( 10%) = risque accepté ou toléré t (50) = durée de vie d un ouvrage à construire Période de retour de 475 ans. On prend moins de risque pour les bâtiments importants On a plus de chance d avoir un mouvement du sol de 0.4 à Nice qu à Paris

8 Réponse sismique d une structure E,I L F=m.Ü U F = k.u k = 3.E.I/L 3 F [N] U [m] k [N/m] Ü [m/s 2 ] Force Déplacement Raideur Accélération E= Module Young - Matériaux I= Moment Inertie - Géométrie

9 L oscillateur simple F U F U F = k.u U=f(t) ü = f(t,earthq.) k =f(e,i,l, fondation) ξ k Statique Dynamique Dynamique Oscillations libres Oscillations forcées

10 Réponse d un oscillateur simple à un chargement dynamique quelconque U ü = f(t,earthq.) k =f(e,i,l, boundaries conditions) ξ k Pulsation propre Amortissement critique üg: Mouvement du sol contre lequel se protéger Résolution mathématique ü(t), u(t), u(t) déplacement en fonction du temps Méthode du spectre de réponse : ümax, umax contre lesquels se protéger

11 Réponse d un oscillateur simple à un chargement dynamique quelconque Phénomène résonance 25 Amplification factor D % 5 % 10 % 20 % 100 % Frequency ratio! ß G. Hivin, IUT GC, Grenoble La réponse dynamique va dépendre de la fréquence et de l amortissement de la structure ET de la fréquence de la sollicitation

12 Réponse d un oscillateur simple à un chargement dynamique quelconque Effet de l amortissement 1 2 % 1 5 % Amplitude 0!0.5 0!0.5! ! % 1 20 % Amplitude 0!0.5 0!0.5! Times! sec! Times! sec G. Hivin, IUT GC, Grenoble

13 Le spectre de réponse: approche réglementaire T1 0 T2 T3 T4 Structure très raide Structure raide Structure souple Structure très souple Accélération maxi subie par la masse de l oscillateur simple ümax [m/s 2 ] a2 a1 Allure d un spectre réglementaire caractéristique d un séisme a3 a4 T1 T2 T3 T4 T période propre des différentes structures

14 Le spectre de réponse: approche réglementaire ü[m/s 2 réglementaire ü[m/s 2 Nice ü[m/s 2 Sol dur lissé Poitier Sol mou réel T [s] T [s] T [s] ü[m/s 2 Hôpital ü[m/s 2 Amortissement élevé Maison individuelle Amort. faible T [s] T [s]

15 Conception des structures Minimiser les forces d'inertie: Diminuer la masse F=m.ü Diminuer l'accélération de réponse (modifier les raideurs) ü[m/s 2 T=2π m/k k=3ei/l 3 Ü2 Ü1 Sollicitation 1 T2 T1 T1 T2 T [s] G. Hivin, IUT GC, Grenoble

16 Ü1 Ü2 Ü1 Ü2 Conception des structures Minimiser les forces d'inertie: Diminuer la masse F=m.ü Diminuer l'accélération de réponse (modifier les raideurs) ü[m/s 2 Sollicitation 2 Sollicitation 1 T2 T=2π m/k k=3ei/l 3 T1 T1 T2 T [s] G. Hivin, IUT GC, Grenoble

17 Conception des structures Augmenter la dissipation d'énergie: augmenter l'amortissement externe ou interne (dispositifs spéciaux ou plastification contrôlée des matériaux) ü[m/s 2 Amortissement élevé T1 ζ1 T1 ζ2 Ü2 Ü1 Amortissement faible T1 T [s] G. Hivin, IUT GC, Grenoble

18 Conception des structures Augmenter le stockage d'énergie: augmenter la résistance mécanique dans le domaine élastique Effort Linéaire Non linéaire: endommagement ü[m/s 2 Zone IV Ü2 Ü1 Ü2 Ü1 Zone I #T1 Déformation T1 T [s]

19 Conception des structures Découpler le mouvement de la structure de celui du sol : G. Hivin, IUT GC, Grenoble

20 La réalité est plus compliquée qu un oscillateur simple élastique ü[m/s 2 Effort Linéaire Non linéaire: Destruction endommagement U1 U2 F1 F2 F1 > F2 T1 < T2 Déformation T1 T2 Bâtiment Millikan, Californie : séisme de San Fernando M6.6 (1971) T [s] Fréquence avant séisme Fréquence structure Fréquence pendant séisme Fréquence après séisme Mouvement Structure 0 20 Temps - secondes Temps - secondes 60 80

21 La réalité est plus compliquée qu un oscillateur simple élastique m1ü m1ü12 m2ü m2ü22 Déplacement étage 1: α1m1ü11 + α2m2ü12 Déplacement étage 2: α1m1ü12 + α2m2ü22 T1 T2 Ü 2 Ü 1 T 2 T 1 Période T [s] G. Hivin, IUT GC, Grenoble

22 La réalité est plus compliquée qu un oscillateur simple élastique Privilégier la régularité en plan et en élévation

23 La réalité est plus compliquée qu un oscillateur simple élastique Intégrer l environnement du bâtiment

24 La réalité est plus compliquée qu un oscillateur simple élastique S assurer de la tenue des éléments secondaires

25 Conclusions Construire parasismique c est avant tout savoir contre quoi se protéger On sait construire parasismique (exemple du Japon) Difficultés actuelles: Evaluation du bâti existant Vieillissement des infrastructures Merci pour votre attention

1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme

1. Introduction 2. Localiser un séisme 3. Déterminer la force d un séisme 4. Caractériser le mécanisme de rupture d un séisme Partie II Les paramètres des séismes Séisme: libération d énergie destructrice à partir de la magnitude 5 Prévision sismique: déterminer l aléa sismique Étude du mécanisme de rupture de la faille 1. Introduction

Plus en détail

CONCEPTION PARASISMIQUE DES BATIMENTS (STRUCTURES) INTRODUCTION A LA DYNAMIQUE DES STRUCTURES

CONCEPTION PARASISMIQUE DES BATIMENTS (STRUCTURES) INTRODUCTION A LA DYNAMIQUE DES STRUCTURES COURS DE CONSTRUCTION PARASISMIQUE VOLUME 2 CONCEPTION PARASISMIQUE DES BATIMENTS (STRUCTURES) INTRODUCTION A LA DYNAMIQUE DES STRUCTURES Introduction à la conception PS des structures - Approche qualitative

Plus en détail

LE GÉNIE PARASISMIQUE

LE GÉNIE PARASISMIQUE LE GÉNIE PARASISMIQUE Concevoir et construire un bâtiment pour qu il résiste aux séismes 1 Présentation de l intervenant Activité : Implantation : B.E.T. structures : Ingénierie générale du bâtiment. Siège

Plus en détail

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à

Plus en détail

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Matière : Couleur : Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Gris Recommandations d usage : Pression (dépend du facteur de forme) Déflexion Pression statique maximum :. N/mm ~ % Pression dyn. maximum :. N/mm

Plus en détail

SECTION GÉOTECHNIQUE DÉPARTEMENT DE GÉNIE CIVIL UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE

SECTION GÉOTECHNIQUE DÉPARTEMENT DE GÉNIE CIVIL UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE ANALYSE DYNAMIQUE DES PENTES ARGILEUSES ET DES REMBLAIS CONSTRUITS SUR DES DÉPÔTS D ARGILE SECTION GÉOTECHNIQUE DÉPARTEMENT DE GÉNIE CIVIL UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE ANALYSE DYNAMIQUE DES PENTES ARGILEUSES

Plus en détail

Exemples de Projets SAFI

Exemples de Projets SAFI Exemples de Projets SAFI Analyse sismique simplifiée (CNB-95) Société Informatique SAFI Inc. 3393, chemin Sainte-Foy Ste-Foy, Québec, G1X 1S7 Canada Contact: Rachik Elmaraghy, P.Eng., M.A.Sc. Tél.: 1-418-654-9454

Plus en détail

Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme

Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme * Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme Le programme, lancé en 2009** et coordonné par FCBA, a pour objet d affiner les connaissances sur le comportement au séisme des habitats

Plus en détail

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports

Plus en détail

n 180 secousses sismiques et équipements électriques photographie Eric MELMOUX

n 180 secousses sismiques et équipements électriques photographie Eric MELMOUX n 180 photographie secousses sismiques et équipements électriques Eric MELMOUX Ingénieur diplômé en 1981 de l INSA de LYON option génie mécanique, il obtient la même année un DEA "vibrations". Après 10

Plus en détail

Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO <jiayin.gao@univ-paris3.fr> 20 mars 2014

Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO <jiayin.gao@univ-paris3.fr> 20 mars 2014 Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO 20 mars 2014 La phonétique acoustique La phonétique acoustique étudie les propriétés physiques du signal

Plus en détail

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes. Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de

Plus en détail

Les outils de la gestion patrimoniale Le logiciel «Casses»

Les outils de la gestion patrimoniale Le logiciel «Casses» Les outils de la gestion patrimoniale des réseaux r d eau. d Le logiciel «Casses» Eddy RENAUD Périgueux le 3 septembre 2008 L équipe «Réseaux» du Cemagref CEMAGREF Groupement de Bordeaux Unité «Réseaux,

Plus en détail

SSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité :

SSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité : Titre : SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre [...] Date : 15/1/011 Page : 1/6 Responsable : Nicolas GREFFET Clé : V6.0.16 Révision : 8101 SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite

Plus en détail

Anticiper la gestion d'un séisme dommageable Anticipare la gestione dei danni di un terremoto

Anticiper la gestion d'un séisme dommageable Anticipare la gestione dei danni di un terremoto Atelier 1 groupe de travail sismique franco-italo-suisse du projet Interreg Alcotra RiskNET Atelier 1 gruppo di lavoro sismico franco-italo-svizzero del progetto Interreg Alcotra RiskNET Anticiper la gestion

Plus en détail

Le risque sismique : ce qui change

Le risque sismique : ce qui change Le risque sismique : ce qui change Conséquences de la publication des décrets Intervenant Service Date Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement www.developpement-durable.gouv.fr

Plus en détail

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30

Plus en détail

Etat des risques naturels et technologiques

Etat des risques naturels et technologiques Etat des risques naturels et technologiques En application des articles L125-5 et R125-26 du code de l'environnement. Commande n 3505 Date de réalisation : 23 septembre 2011 (Valable 6 mois) Mode COMMANDE

Plus en détail

Calcul élémentaire des probabilités

Calcul élémentaire des probabilités Myriam Maumy-Bertrand 1 et Thomas Delzant 1 1 IRMA, Université Louis Pasteur Strasbourg, France Licence 1ère Année 16-02-2006 Sommaire La loi de Poisson. Définition. Exemple. 1 La loi de Poisson. 2 3 4

Plus en détail

Le point de vue du contrôleur technique

Le point de vue du contrôleur technique Le point de vue du contrôleur technique mars 2010 P-E Thévenin Contrôle technique en zone sismique le contrôle technique missions et finalité contrôle technique obligatoire les attestations PS de contrôle

Plus en détail

Filtres passe-bas. On utilise les filtres passe-bas pour réduire l amplitude des composantes de fréquences supérieures à la celle de la coupure.

Filtres passe-bas. On utilise les filtres passe-bas pour réduire l amplitude des composantes de fréquences supérieures à la celle de la coupure. Filtres passe-bas Ce court document expose les principes des filtres passe-bas, leurs caractéristiques en fréquence et leurs principales topologies. Les éléments de contenu sont : Définition du filtre

Plus en détail

Glissière linéaire à rouleaux

Glissière linéaire à rouleaux LRX Guidage linéaire Introduction Rail de guidage Joint Graisseur Corps Rouleaux cylindriques Joint Cage Couvercle d extrémité Les guides linéaires à rouleaux de la série LRX offrent une haute fiabilité

Plus en détail

Information. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges?

Information. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges? Compétences générales Avoir des piles neuves, ou récentes dans sa machine à calculer. Etre capable de retrouver instantanément une info dans sa machine. Prendre une bouteille d eau. Prendre CNI + convocation.

Plus en détail

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer

Plus en détail

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une

Plus en détail

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers

Plus en détail

LA PROBLEMATIQUE SISMIQUE EN CONSTRUCTION BOIS

LA PROBLEMATIQUE SISMIQUE EN CONSTRUCTION BOIS > LA PROBLEMATIQUE SISMIQUE EN CONSTRUCTION BOIS Opération collective MI-SISBOIS Petit déjeuner thématique du 13 février 2013 / REMIREMONT Baptiste MORON - CRITTBOIS En partenariat avec: Financé par: L

Plus en détail

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques

Plus en détail

1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T

1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T 1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T 2. RECHERCHE DE SITES 2.1 Les objectifs 2.2 Les contraintes environnementales liés à l aménagement du territoire liées au transport liés aux documents d urbanisme 3.

Plus en détail

Evaluation quantitative du risque - critères d acceptabilité

Evaluation quantitative du risque - critères d acceptabilité Evaluation quantitative du risque - critères d acceptabilité Urbanisme Aménagement du Territoire Evaluation des Risques Risques & Développement Eric LEROI (Urban-planning Land-use planning Risk assessment)

Plus en détail

Projet ANR. Bruno Capra - OXAND. 04/06/2015 CEOS.fr - Journée de restitution (Paris) B. CAPRA

Projet ANR. Bruno Capra - OXAND. 04/06/2015 CEOS.fr - Journée de restitution (Paris) B. CAPRA Projet ANR Bruno Capra - OXAND MEFISTO : Maîtrise durable de la fissuration des infrastructures en bétons Contexte Problématique des Maîtres d Ouvrages Evaluation et prédiction de la performance des ouvrages

Plus en détail

TP 7 : oscillateur de torsion

TP 7 : oscillateur de torsion TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)

Plus en détail

Institut technologique FCBA : Forêt, Cellulose, Bois - construction, Ameublement

Institut technologique FCBA : Forêt, Cellulose, Bois - construction, Ameublement Renforcer la compétitivité des entreprises françaises des secteurs forêt, bois, pâte à papier, bois construction, ameublement face à la mondialisation et à la concurrence inter-matériaux Institut technologique

Plus en détail

LES PROGRAMMES 2012-2013

LES PROGRAMMES 2012-2013 Ce fascicule n intègre pas les programmes des départements et options, qui seront mis en place en 2013-2014 LES PROGRAMMES 2012-2013 La scolarité, à l École des Mines d Alès, est composée d un tronc commun,

Plus en détail

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 Plancher collaborant Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 V1/2011 caractéristiques du profil DÉTAIL GÉOMÉTRIQUE DU 22 728 104 épaisseur (mm) 0,5 0,7 poids (dan/m 2 ) 5,3 7,4 APPLICATION CONSEILLÉE

Plus en détail

Construire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques

Construire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques La construction face au risque sismique Nouvelle réglementation Auch 27 novembre 2012 Construire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques Albane RAMBAUD Sandrine MARNAC CETE du Sud Ouest / DALET

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

possibilités et limites des logiciels existants

possibilités et limites des logiciels existants possibilités et limites des logiciels existants Dominique Groleau CERMA, UMR CNRS 1563, Ecole d Architecture de Nantes Journée thématique SFT- IBPSA, Outils de simulation thermo-aéraulique du bâtiment.

Plus en détail

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SÉRIE SCIENTIFIQUE

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SÉRIE SCIENTIFIQUE BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SÉRIE SCIENTIFIQUE ÉPREUVE DE SCIENCES DE L INGÉNIEUR ÉPREUVE DU VENDREDI 20 JUIN 2014 Session 2014 Durée de l épreuve : 4 heures Coefficient 4,5 pour les candidats ayant choisi un

Plus en détail

Utilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique

Utilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique Utilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique Eric CRESCENZO 1 Evagelos HRISTOFOROU 2 1) IXTREM 9 rue Edouard Denis Baldus, F-711 CHALON SUR SAONE Tél

Plus en détail

Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale

Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale David BONACCI Institut National Polytechnique de Toulouse (INP) École Nationale Supérieure d Électrotechnique, d Électronique, d Informatique,

Plus en détail

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE Le schéma synoptique ci-dessous décrit les différentes étapes du traitement numérique

Plus en détail

MACONNERIE/GROS OEUVRE

MACONNERIE/GROS OEUVRE GIDE AVANT METRE MACONNERIE/GROS OEVRE MET 2 ORDRE D EXECTION Infrastructure Maçonnerie soubassement : murs, poteaux, poutres, chaînages, enduit d étanchéité, escaliers Maçonnerie superstructure : Dallage

Plus en détail

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine

Plus en détail

Vis à billes de précision à filets rectifiés

Vis à billes de précision à filets rectifiés sommaire Calculs : - Capacités de charges / Durée de vie - Vitesse et charges moyennes 26 - Rendement / Puissance motrice - Vitesse critique / Flambage 27 - Précharge / Rigidité 28 Exemples de calcul 29

Plus en détail

Projet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com

Projet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,

Plus en détail

L olivier Assurances Licence 3 Econométrie Lyon II

L olivier Assurances Licence 3 Econométrie Lyon II 15 novembre 2013 L olivier Assurances Licence 3 Econométrie Lyon II Pascal Gonzalvez 1 L olivier Assurances et le Groupe Admiral Segmentation et tarification en assurance auto Autres applications de la

Plus en détail

1- Semestre 1 : Domaine : Science et technologie Filière : Technologie Spécialité/option : Génie civil / Gestion des projets d ingénierie civil

1- Semestre 1 : Domaine : Science et technologie Filière : Technologie Spécialité/option : Génie civil / Gestion des projets d ingénierie civil 1- Semestre 1 : Domaine : Science et technologie Filière : Technologie Spécialité/option : Génie civil / Gestion des projets d ingénierie civil Unité d Enseignement VHS V.H hebdomadaire Coeff. Créd Mode

Plus en détail

La valorisation des terres excavées

La valorisation des terres excavées La valorisation des terres excavées Matinée "Matières premières et matériaux du BTP " Céline Blanc c.blanc@brgm.fr BRGM / Direction Eau, Environnement et Ecotechnologies Lundi 2 décembre, 2013 Contexte

Plus en détail

PMI-MASTER Smart. PMI portatif. Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable

PMI-MASTER Smart. PMI portatif. Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable PMI portatif PMIP Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable ORTABI Trois possibilités de transport...... pour répondre à vos besoins Portabilité et commodité Grâce à

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

1 Mise en application

1 Mise en application Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau

Plus en détail

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004 Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)

Plus en détail

RESIF Une infrastructure de recherche pour l'observation des déformations de la terre site web : http://www.resif.fr

RESIF Une infrastructure de recherche pour l'observation des déformations de la terre site web : http://www.resif.fr RESIF Une infrastructure de recherche pour l'observation des déformations de la terre site web : http://www.resif.fr Catherine Péquegnat Univ. Grenoble Alpes, ISTerre, F-38041 Grenoble, France CNRS, ISTerre,

Plus en détail

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h

DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme

Plus en détail

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé

Plus en détail

SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE

SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L - 72 FOURNITURE DE SEMELLES ELASTIQUES POUR LA FIXATION DE VOIE "TYPE BOTZELAER" EDITION: 04/2001 Index 1. INTRODUCTION... 3 1.1. DOMAINE

Plus en détail

SYSTEMES D ALERTE SISMIQUE

SYSTEMES D ALERTE SISMIQUE SYSTEMES D ALERTE SISMIQUE Fusce vitae purus sed lectus egestas dignissim. Morbi in pede a justo posuere ornare. Préparons nous d autres séismes arrivent! Page 5 Mots Clés : Alerte Spécifique : Système

Plus en détail

SDLS08 - Modes propres d'une plaque carrée calculés sur base réduite

SDLS08 - Modes propres d'une plaque carrée calculés sur base réduite Titre : SDLS08 - Modes propres d'une plaque carrée calculé[...] Date : 03/08/2011 Page : 1/6 SDLS08 - Modes propres d'une plaque carrée calculés sur base réduite Résumé : Ce cas test a pour objectif de

Plus en détail

Fonction réciproque. Christelle MELODELIMA. Chapitre 2 :

Fonction réciproque. Christelle MELODELIMA. Chapitre 2 : UE4 : Evaluation des méthodes d analyses appliquées aux sciences de la vie et de la santé Analyse Chapitre 2 : Fonction réciproque Christelle MELODELIMA Année universitaire 2011/2012 Université Joseph

Plus en détail

Ceinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus)

Ceinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus) Orthèse lombaire et abdominale Mother-to-be (Medicus) Prévention Soutient courbe lombaire Supporte poids du ventre Ajustable Soulage les maux de dos en position debout (Beaty et al. 1999) Ceinture Home

Plus en détail

Une fréquence peut-elle être instantanée?

Une fréquence peut-elle être instantanée? Fréquence? Variable? Instantané vs. local? Conclure? Une fréquence peut-elle être instantanée? Patrick Flandrin CNRS & École Normale Supérieure de Lyon, France Produire le temps, IRCAM, Paris, juin 2012

Plus en détail

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca

Plus en détail

Quantité de mouvement et moment cinétique

Quantité de mouvement et moment cinétique 6 Quantité de mouvement et moment cinétique v7 p = mv L = r p 1 Impulsion et quantité de mouvement Une force F agit sur un corps de masse m, pendant un temps Δt. La vitesse du corps varie de Δv = v f -

Plus en détail

RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS

RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS a RESUME NON TECHNIQUE DE L'ETUDE DES DANGERS Synthèse de l'inventaire des accidents pour le secteur d'activité de la société MARIE DIDIER AUTOMOBILES Il ressort de l inventaire des accidents technologiques

Plus en détail

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS

Plus en détail

Master MIS 2ème année, parcours Génie Civil Année 2007-2008

Master MIS 2ème année, parcours Génie Civil Année 2007-2008 S 37 S 38 S 39 S 40 S 41 Lundi 10 septembre 2007 Lundi 17 septembre 2007 Lundi 24 septembre 2007 Lundi 1 octobre 2007 Lundi 8 octobre 2007 M. Pillier cours 1/5 M. Pillier cours 3/5 10h00 présentation des

Plus en détail

Chapitre 3. Les distributions à deux variables

Chapitre 3. Les distributions à deux variables Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles

Plus en détail

SSLS116 - Chargement membranaire d une plaque excentrée

SSLS116 - Chargement membranaire d une plaque excentrée Titre : SSLS116 - Excentrement de plaque. Chargement membr[...] Date : 11/03/2010 Page : 1/12 Manuel de Validation Fascicule V3.03 : Statique linéaire des plaques et coques Document : V3.03.116 SSLS116

Plus en détail

Premier ordre Expression de la fonction de transfert : H(p) = K

Premier ordre Expression de la fonction de transfert : H(p) = K Premier ordre Expression de la fonction de transfert : H(p) = K + τ.p. K.e τ K.e /τ τ 86% 95% 63% 5% τ τ 3τ 4τ 5τ Temps Caractéristiques remarquables de la réponse à un échelon e(t) = e.u(t). La valeur

Plus en détail

Exemple d acquisition automatique de mesures sur une maquette de contrôle actif de vibrations

Exemple d acquisition automatique de mesures sur une maquette de contrôle actif de vibrations Exemple d acquisition automatique de mesures sur une maquette de contrôle actif de vibrations Valérie Pommier-Budinger Bernard Mouton - Francois Vincent ISAE Institut Supérieur de l Aéronautique et de

Plus en détail

Géoréférencement et RGF93

Géoréférencement et RGF93 Géoréférencement et RGF93 Théorie et concepts - Fiche T3 Les projections coniques conformes 9 zones T3 Décembre 2008 2008/54 Historique Ces projections ont été définies par l'ign, suite à une recommandation

Plus en détail

6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité

6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité 6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité Comité consultatif du secteur financier Rapport 2010-2011 77 Au cours des années 2010 et 2011, le CCSF a porté

Plus en détail

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant

Plus en détail

Projet de synthèse de l'électronique analogique : réalisation d'une balance à jauges de contrainte

Projet de synthèse de l'électronique analogique : réalisation d'une balance à jauges de contrainte J3eA, Journal sur l enseignement des sciences et technologies de l information et des systèmes, Volume 4, HorsSérie 2, 20 (2005) DOI : http://dx.doi.org/10.1051/bibj3ea:2005720 EDP Sciences, 2005 Projet

Plus en détail

INBTP-TECHNOBAT-LECON_011

INBTP-TECHNOBAT-LECON_011 CIRCULATIONS VERTICALES INBTP-TECHNOBAT-LECON_011 1 PROGRAMME LECONS LECON_001 [T] Présentation Notions de Technobat LECON_002 [T] Technobat Tropicale Les classes énergétiques LECON_003 [T] Les matériaux

Plus en détail

Développement de lois et de structures de réglages destinées à la téléopération avec retour d effort

Développement de lois et de structures de réglages destinées à la téléopération avec retour d effort Développement de lois et de structures de réglages destinées à la téléopération avec retour d effort Thomas Delwiche, Laurent Catoire et Michel Kinnaert Faculté des Sciences Appliquées Service d Automatique

Plus en détail

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent

Plus en détail

Annexe A. Annexe A. Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3 A.3

Annexe A. Annexe A. Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3 A.3 Annexes Annexe A : Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3... A.2 Annexe B : Format des fichiers générés et utilisés par CADBEL... A.11 Annexe C : Calcul de la résistance au flambement

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

Tremblements de terre : comment limiter les dégâts?

Tremblements de terre : comment limiter les dégâts? Tremblements de terre : comment limiter les dégâts? Le 17 août 1999, la population du nord-ouest de la Turquie a soudainement senti la terre trembler violemment. Ce tremblement de terre allait causer la

Plus en détail

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce

Plus en détail

CABLECAM de HYMATOM. Figure 1 : Schéma du système câblecam et détail du moufle vu de dessus.

CABLECAM de HYMATOM. Figure 1 : Schéma du système câblecam et détail du moufle vu de dessus. CABLECAM de HYMATOM La société Hymatom conçoit et fabrique des systèmes de vidéosurveillance. Le système câblecam (figure 1) est composé d un chariot mobile sur quatre roues posé sur deux câbles porteurs

Plus en détail

Solutions logicielles de gestion énergétique coopérante smart building in smart grid

Solutions logicielles de gestion énergétique coopérante smart building in smart grid Séminaire «Les jeunes entreprises innovantes au service de l habitat et de la ville du futur» Solutions logicielles de gestion énergétique coopérante smart building in smart grid Sébastien Cadeau-Belliard

Plus en détail

Etat des risques naturels, miniers et technologiques

Etat des risques naturels, miniers et technologiques Etat des risques naturels, miniers et technologiques En application des articles L125-5 et R125-26 du code de l'environnement. Référence : 15/IMO/0204 Date de réalisation : 16 avril 2015 (Valable 6 mois)

Plus en détail

Version default Titre : Opérateur MECA_STATIQUE Date : 17/10/2012 Page : 1/5 Responsable : Jacques PELLET Clé : U4.51.

Version default Titre : Opérateur MECA_STATIQUE Date : 17/10/2012 Page : 1/5 Responsable : Jacques PELLET Clé : U4.51. Titre : Opérateur MECA_STATIQUE Date : 17/10/2012 Page : 1/5 Opérateur MECA_STATIQUE 1 But Résoudre un problème de mécanique statique linéaire. Cet opérateur permet de résoudre soit : un problème mécanique

Plus en détail

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des

Plus en détail

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions

Plus en détail

Chapitre 2 Caractéristiques des ondes

Chapitre 2 Caractéristiques des ondes Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée

Plus en détail

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations

Plus en détail

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti .0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des

Plus en détail

Relais statiques SOLITRON MIDI, Commutation analogique, Multi Fonctions RJ1P

Relais statiques SOLITRON MIDI, Commutation analogique, Multi Fonctions RJ1P Relais statiques SOLITRON MIDI, Commutation analogique, Multi Fonctions RJ1P Relais statique CA Multi fonctions - 5 sélections de modes de fonctionnement: angle de phase, trains d ondes distribuées et

Plus en détail

Attestation d'utilisation AEAI n 20743

Attestation d'utilisation AEAI n 20743 Attestation d'utilisation AEAI n 20743 Groupe 401 Gaines techniques pour l'installation de conduits de fumée Fermacell GmbH FERMACELL AESTUVER EI 90-RF1 Description Système de gaine continue à 4 côtés,

Plus en détail

Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques

Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études

Plus en détail

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un

Plus en détail

ANNEXE 4-5 Réponses aux questions fréquemment posées sur la réglementation nationale

ANNEXE 4-5 Réponses aux questions fréquemment posées sur la réglementation nationale ANNEXE 4-5 Réponses aux questions fréquemment posées sur la réglementation nationale Réponses aux questions sur la nouvelle réglementation parasismique applicable aux bâtiments CLASSIFICATION DES BÂTIMENTS

Plus en détail

TP2 ACTIVITE ITEC. Centre d intérêt : AUBE D UN MIRAGE 2000 COMPORTEMENT D UNE PIECE. Documents : Sujet Projet Dossier technique - Document réponse.

TP2 ACTIVITE ITEC. Centre d intérêt : AUBE D UN MIRAGE 2000 COMPORTEMENT D UNE PIECE. Documents : Sujet Projet Dossier technique - Document réponse. ACTIVITE ITEC TP2 Durée : 2H Centre d intérêt : COMPORTEMENT D UNE PIECE AUBE D UN MIRAGE 2000 BA133 COMPETENCES TERMINALES ATTENDUES NIVEAU D ACQUISITION 1 2 3 * * Rendre compte de son travail par écrit.

Plus en détail

NOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES

NOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES NOUVELLES RÈGLES SOMMAIRES POUR LE STOCKAGE DES PRODUITS PÉTROLIERS Depuis septembre 2006, suivant le décret de Juillet 2004 STOCKAGE AU REZ-DE-CHAUSSEE OU EN SOUS-SOL D'UN BATIMENT Les réservoirs et équipements

Plus en détail

SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM

SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation

Plus en détail