DOSSIER DE PRESSE. Programme «Manger mieux, Bouger plus en Aquitaine»: améliorer la santé des Aquitains, prévenir les maladies chroniques et l obésité
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- Marie-Hélène Martin
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1 DOSSIER DE PRESSE Programme «Manger mieux, Bouger plus en Aquitaine»: améliorer la santé des Aquitains, prévenir les maladies chroniques et l obésité 9 janvier
2 Sommaire 1. Programme «Manger mieux, Bouger plus en Aquitaine» Zoom sur les actions mises en place par l ADAPEI Gironde et le Centre de réeducation et de réadaptation fonctionnelle Les Embruns La charte «Etablissements actifs du Programme National Nutrition Santé (PNNS)» Contacts presse : Agence Régionale de Santé d Aquitaine Service communication Véronique SEGUY / Séverine HUGUET Tél : /44 14 veronique.seguy@ars.sante.fr/severine.huguet@ars.sante.fr 2
3 1. Programme «Manger mieux, Bouger plus en Aquitaine», alimentation et activité physique pour la santé et la qualité de vie L alimentation et l activité physique sont des déterminants clés du bien-être et de certaines pathologies répandues (maladies cardio-vasculaires, hypertension, obésité, diabète, et certains cancers). De multiples actions en la matière sont menées sur le territoire aquitain, impliquant une grande diversité d acteurs. L ARS a donc souhaité, au travers du programme régional «Manger mieux, Bouger plus en Aquitaine» (MMBPA), renforcer les synergies des acteurs impliqués et étoffer les actions. Cette volonté de mobilisation commune s est traduite dès l élaboration du programme, piloté par la Commission de coordination dans les domaines de la prévention, de la santé scolaire, de la santé au travail et de la protection maternelle et infantile. Elle réunit les principaux décideurs et financeurs, et a été élargie pour ce pilotage aux représentants des usagers, au travers du Collectif inter associatif sur la santé (CISS) Aquitaine. L élaboration s est également appuyée sur une enquête pour recueillir, la perception et les propositions d acteurs aquitains qui mènent des actions de terrain en matière d alimentation et/ou d activité physique : acteurs de l activité physique et sportive, de l alimentation (production, distribution, restauration, consommation), du champ sanitaire et médico-social, du champ social, socio-éducatif, socio-culturel, de la prévention et promotion de la santé, du champ de la recherche ainsi que des élus et institutionnels. Le programme a été validé lors de la Commission du 19 septembre La mise œuvre de ce programme, animée par l ARS, la Direction régionale de la jeunesse et des sports et de la cohésion sociale (DRJSCS), la Direction régionale de l alimentation, de l agriculture et de la forêt (DRAAF) et le Rectorat, repose sur une gouvernance partagée associant institutions (Etat, collectivités, régimes d assurance maladie) et acteurs de terrain (associations, réseaux). Principes et objectifs Pour améliorer la santé et la qualité de vie des Aquitains, en agissant sur l alimentation et l activité physique, le programme MMBPA est guidé par quatre grands principes : Il reconnaît les effets sur la santé de chacun des déterminants «alimentation» et «activité physique» (les effets propres de l activité physique sur la santé sont à présent étayés scientifiquement) ainsi que leurs effets conjugués (nutrition), Il reconnaît l alimentation et l activité physique comme composante non médicamenteuse de certaines prises en charge, Il s inscrit dans une démarche positive de santé : les actions visent le bien-être physique mais aussi mental et social ; les interventions s attachent à ne pas induire ou renforcer une «préoccupation excessive à l égard du poids», Il s appuie sur une approche «multiniveaux» de l alimentation et de l activité physique : afin de permettre aux Aquitains de concrétiser des habitudes de vie favorables à leur santé, ce programme doit leur permettre de «savoir», de «vouloir», mais aussi de «pouvoir». Les environnements conditionnent les choix et la capacité à agir, ainsi les actions à mettre en place doivent viser les compétences individuelles mais aussi des environnements (physiques, sociaux) favorables. 3
4 Dans une logique de parcours de santé, le programme vise à : Promouvoir la qualité de vie, le bien-être par l alimentation et l activité physique, Prévenir les maladies chroniques (surpoids/obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires, cancers,..), Repérer, dépister et prendre en charge les troubles nutritionnels (surpoids/obésité, dénutrition), en s attachant à ne pas creuser les inégalités de santé en matière de nutrition. Concrètement, le programme propose des stratégies d interventions aux différentes périodes de la vie, comme l illustrent les exemples d actions déjà engagées : Agir en périnatalité et petite enfance - Pour les femmes enceintes et allaitantes, promouvoir et développer l action coordonnée individualisée autour des parents attendant un enfant. - Projet Nutricrèche : accompagnement des équipes de crèches et ateliers avec les parents - Développer, promouvoir le label «maternité engagée en santé publique». Agir auprès des enfants et des adolescents - Proposer l accompagnement des équipes socio-éducatives pour favoriser des projets d éducation nutritionnelle comme le projet «J aime Manger, Bouger», proposés aux milieux scolaires (collèges, lycées, centres de formations d apprentis, instituts thérapeutiques éducatifs et pédagogiques...) et péri/extra scolaires. - Former à l utilisation de l outil d éducation nutritionnelle pour les 6-11 ans : «Le petit cabas». - Pour les adolescents, développer un outil d intervention de «saine gestion du poids» (travail sur l image du corps, l estime de soi, en lien avec la nutrition) et promouvoir l activité physique, ex : projet «Bouge, une priorité pour ta santé»). - Développement d un portail web "restauration collective" pour accompagner les collectivités (approvisionnement, qualité nutritionnelle des repas, éducation alimentaire, etc ) et mise à disposition le logiciel loginut (conçu pour permettre aux restaurants scolaires de concevoir des menus respectueux des recommandations nutritionnelles et des proportions de produits issus de l agriculture biologique, des produits locaux et de saison). Agir auprès des adultes et familles - Pour les personnes en situation de handicap, accès aux activités physiques et sportives via la plateforme «sport et handicap : pour une pratique sportive partagée». - Renforcer l'estime et l'acceptation de soi des personnes en difficulté sociale afin d'engager une démarche vers des habitudes nutritionnelles favorables pour leur santé, c est l objectif du projet «Nutrition, image de soi : un pas vers l équilibre» initié en Dordogne. Il comporte des ateliers et des formations pour développer et pérenniser ce type d actions auprès d un public en voie de réinsertion sociale et/ou professionnelle. - Pour les étudiants et les résidents d habitat jeunes, des initiatives combinant éducation, développement des compétences culinaires et accès facilité à des fruits et légumes frais 4
5 ont été soutenues. Elles visent, au-delà des comportements alimentaires favorables, l autonomisation des jeunes. - Développer les jardins collectifs : une journée régionale «Jardins collectifs : quelles opportunités pour votre territoire?» a été organisée par l ARS, la Direction régionale de l alimentation, de l agriculture et de la forêt (DRAAF), la Direction régionale de l environnement, de l aménagement et du logement (DREAL), l Institut national de la recherche agronomique (INRA) et la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB) le 17 juin Cette journée a permis de sensibiliser les collectivités à l opportunité que représentent les jardins collectifs (outil de cohésion sociale, d éducation, d autoproduction alimentaire, etc..) et de les guider dans leur projet de création d'un jardin. - Lancer un appel à projets «alimentation/précarité». Agir auprès des personnes âgées - Développer la pratique des activités physiques et sportives (via le «Plan sport santé bien être» signé entre l ARS et la Direction régionale de la jeunesse et des sports et de la cohésion sociale - DRJSCS). - Pour les personnes âgées en établissement d hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), la recherche action NABUCCOD (Nutrition, Alimentation et Santé Bucco- Dentaire) inclut les différents facteurs de la dénutrition des personnes (état bucco dentaire, alimentation, activité physique). Des interventions auprès des résidents et des formations ont été menées. Des recommandations de bonnes pratiques et des outils ont été élaborés. - Diffuser les outils visant l amélioration de l alimentation en institution ou à domicile («recueil d actions pour l amélioration de l alimentation en établissements hébergeant des personnes âgées», «guide d amélioration du service de portage de repas à domicile des personnes âgées» et brochure «Bien manger chez soi»). - En complément, des actions visent à renforcer la synergie et la qualité des actions menées en Aquitaine. Renforcer la mobilisation et la coordination des acteurs aquitains - L ARS Aquitaine a mis en place deux centres spécialisés obésité (CSO), l un pour le Nord Aquitaine (territoires 24, 33 et 47), l autre pour le Sud Aquitaine (territoires 40, Navarre Côte-Basque et Béarn Soule) qui ont pour mission une prise en charge multidisciplinaire des obésités sévères et l organisation d un parcours de santé lisible, accessible et coordonné, de la prévention aux soins et aux soins de suite et de réadaptation. Le REPPOP (Réseau de prévention et de prise en charge de l obésité pédiatrique) assure le volet enfants et adolescents pour les deux CSO. - Inciter et accompagner l'engagement des acteurs à agir en matière d'alimentation et d'activité physique en organisant un colloque collectivités au Salon «Vivons sport» par exemple. - Développer des outils de communication pour faire connaître le programme (site internet, flyer, encarts dans publications existantes, etc.) et les ressources à disposition des acteurs de terrain. - Appel à projets «sport, santé, bien-être» reconduit en
6 Appuyer les acteurs aquitains dans l amélioration de leurs actions - Améliorer la visibilité des actions menées sur le territoire en développant et promouvant l outil de géolocalisation d actions OSCARS. - Promouvoir les outils d évaluation des actions engagées dans le cadre du programme régional. 6
7 2. Zoom sur les actions mises en place par l ADAPEI Gironde et Les Embruns (centre de rééducation et de réadaptation fonctionnelle -CRRF) L ADAPEI Gironde et Les Embruns sont deux établissements engagés en matière de promotion de l alimentation et de l activité physique. Ce sont les 2 premiers établissements aquitains à signer la charte «Etablissements actifs du Programme National Nutrition Santé (PNNS)». Actions mises en place par l ADAPEI GIRONDE L ADAPEI Gironde est une association qui regroupe 47 établissements accueillant des personnes en situation de déficiences intellectuelles (pour en savoir plus : Sur la base d une étude réalisée début 2013 par des infirmières, il est ressorti par exemple qu au sein des Etablissement et Services d'aide par le Travail (ESAT) 59% des usagers sont en surpoids (Indice de masse corporelle - IMC > à 25), dont 29% sont en obésité (IMC > à 30). Ainsi, beaucoup de personnes en situation de handicap intellectuel : - ne pratiquent pas suffisamment d activité physique pour différentes raisons (défaut d accessibilité, manque d estime de soi, manque de motivation, manque d argent, solitude ) - ont une alimentation déséquilibrée, pouvant être liée à un phénomène de groupe "manger autant ou plus que l autre", finir son assiette même si on n a plus faim, comportement addictif face aux aliments gras et sucrés, manger devant la télé, pour combler l ennui, à cause du stress, pour se rassurer - peuvent avoir des troubles liés aux traitements médicamenteux. Face à ce constat, l ADAPEI a souhaité développer un projet nutrition pour éduquer et sensibiliser les personnes qu elle accompagne, au bien-fondé d un équilibre alimentaire associé à la pratique d une activité physique régulière, dans et hors institution. Ce projet, élaboré dans le cadre d un comité de pilotage santé au sein de l ADAPEI, prend la forme d animations, organisées par Cap Sciences ou par l instance régionale d éducation et de promotion de la santé (IREPS Aquitaine), de formations, de rencontres des acteurs de la nutrition à tous les niveaux. Il s agit de multiplier et diversifier les actions au sein des établissements autour des axes principaux suivants : Restauration collective et salles de pause Travaux engagés avec les sociétés de restauration collective pour adapter les menus (diversité des entrées en limitant la charcuterie, gâteaux en privilégiant les fruits et des préparations moins sucrées, pas de sel sur les tables, proposition de menus dirigés, aménagement des salles de restauration pour en faire des lieux agréables,.) et choix sur certains sites de cuisines intégrées. Des réflexions autour des salles de pause ont également permis d équiper certains sites de tables de ping-pong, de servir des smoothies plutôt que des sodas au bar,. Création de Clubs Santé Ils sont animés par une infirmière, une diététicienne ou une psychologue, autour de la nutrition. Exemples : marche nordique, ateliers cuisine 7
8 Partenariat avec l Association d Activité Physique Adaptée (APA) Les professeurs d APA favorisent l activité physique des personnes accueillies à travers de jeux tout en stimulant les fonctions cognitives et en les sensibilisant à l intérêt de faire une activité régulière pour leur santé. Mise en place d une formation nutrition destinée aux collaborateurs de l ADAPEI Formation à la nutrition auprès des salariés (moniteurs, éducateurs, infirmiers, cadres ) pour partager des connaissances communes autour des recommandations en matière de nutrition. Création d un jeu de l oie «JEu SAIS» sur le thème de la nutrition» Ce jeu permet de favoriser l apprentissage, l appropriation et la mémorisation en matière de nutrition de manière ludique et de susciter le dialogue sur 4 thèmes : les familles alimentaires, l'équilibre alimentaire et la santé, l'hygiène et l'alimentation, Manger/bouger/rester en forme. Les questions sont faciles à lire et à comprendre pour les participants. L'intégralité des réponses se trouve dans un livret explicatif. Partenariat avec Cap Sciences Cap Sciences propose sur les différents établissements de l ADAPEI l animation d ateliers "Self inforepas". Chaque participant est invité à prendre un plateau et à composer son repas parmi une sélection d entrées, de plats et de desserts puis passe à la caisse. Le "ticket" livre automatiquement les apports énergétiques et les valeurs nutritionnelles du plateau. Chaque personne va ensuite comparer son profil à celui des autres et au profil type d un repas équilibré puis échange sur ses résultats. Partenariat avec l'ireps Aquitaine Formation des éducateurs à l'utilisation de la mallette pédagogique "Le petit cabas" qui vise à fournir les moyens de réaliser des actions pédagogiques sur le thème de l alimentation et de l activité physique et de promouvoir des comportements favorables à la santé. Objectifs de ces actions : - Modifier les comportements alimentaires et adopter des habitudes nutritives saines et équilibrées, - Inciter l'ensemble des salariés a participer au projet, au suivi des usagers et des enfants, - Prévenir les risques cardio-vasculaires, métaboliques et articulaires, les problèmes de peau, - Encourager les personnes handicapées à pratiquer une activité physique régulière afin de réduire et limiter les répercussions liées à la sédentarité (surpoids et obésité) et améliorer l'image de soi. 8
9 Actions mises en place par le CRRF Les embruns Le Centre de Rééducation et Réadaptation Fonctionnelle Les Embruns (CRRF Les Embruns) est un établissement de santé privé à but non lucratif géré par une association loi Il accueille en soins de suite et de réadaptation des enfants/adolescents/adultes atteints de troubles du système locomoteur et du système nerveux (80 lits, 116 salariés). Il propose également des programmes d éducation thérapeutique du patient (pour en savoir plus : Entre janvier 2014 à mai 2014, 90 patients ont été repérés comme étant en surpoids (IMC>29), l établissement déjà investi en matière de nutrition depuis de nombreuses années, notamment au travers d un programme d éducation thérapeutique nutrition a souhaité développer un projet d établissement qui s est traduit notamment par la mise en œuvre des actions suivantes : Atelier nutritionnel et de cuisine thérapeutique Un atelier nutritionnel et de cuisine thérapeutique a été proposé aux patients. Lors du dépistage réalisé en consultation médicale, les patients avec un Indice de masse corporelle (IMC) supérieur à 25.1 pour les adultes et à 27 pour les personnes âgées sont invités à consulter la diététicienne. Cette dernière propose au patient de participer à un atelier nutritionnel et de cuisine thérapeutique qui se déroule au sein de l établissement. Cet atelier est ouvert au patient et à l aidant de son choix s il le souhaite. Ateliers d activité physique adaptée et troubles musculo-squelettiques (TMS) Un gymnase a été réhabilité pour permettre aux patients et au personnel soignant d avoir accès à des ateliers d activité physique adaptée, activités qui existaient déjà au sein de l établissement mais dont les capacités d accueil ont été augmentées. Une école du dos et des séances de gymnastique préventive en balnéothérapie ont également été mises en place dans le cadre de la prévention des TMS. Parcours de marche extérieur Des ateliers de marche nordique ont été proposés à des patients Parkinsoniens et un parcours de marche extérieur sécurisé et équipé a été ouvert, utilisable en étant accompagné par un kinésithérapeute ou de manière autonome par les patients. Organisation d une journée sport et santé Cette journée a été organisée le 11 juin 2014, sur le thème de l activité physique et de la santé autour du handicap. Les ateliers ont été assurés par les intervenants du site. Cette journée a ciblé les patients présents, les anciens hospitalisés mais aussi le personnel de l établissement. Création d une salle à manger commune Cette salle permettra de faciliter le dépistage des troubles de la déglutition pour les patients aux pathologies neurologiques. 9
10 Objectifs de ces actions : - Améliorer le dépistage et le suivi de la surcharge pondérale, - Permettre et développer l accès à des personnes obèses et en surpoids à l activité physique et adaptée, - Développer des actions et des environnements favorables pour les patients et le personnel de l établissement, - Faire de l établissement un acteur du territoire pour promouvoir le bien-être par l alimentation, l activité physique et prévenir les maladies chroniques, - Améliorer la connaissance, le repérage et l orientation des personnes à risque. 3. La Charte «Etablissements actifs du Programme National Nutrition Santé (PNNS)» Depuis 2001, les pouvoirs publics ont mis en œuvre une politique nutritionnelle de santé publique au travers du Programme national nutrition santé (PNNS). En agissant sur les deux versants de la nutrition, à savoir l alimentation et l activité physique, la promotion d un bon état nutritionnel contribue à la réduction des facteurs de risques des maladies les plus fréquentes dont souffre la population : maladies cardio-vasculaires, nombreux cancers, obésité, diabète Ces maladies ont des conséquences dramatiques sur le plan humain, social et économique. Pour être réellement efficaces, les actions mises en œuvre pour améliorer l état nutritionnel des individus, doivent valoriser une alimentation favorable pour la santé, source de plaisir et de convivialité et (re)valoriser le plaisir de pratiquer une activité physique. La réussite du PNNS repose sur la capacité de mobilisation des multiples acteurs sociétaux, notamment ceux qui sont en contact direct avec les individus. Le lieu de travail (ou d accueil des patients pour les établissements de santé ou médico-sociaux) constitue un des terrains privilégiés pour toucher une très large population. La pertinence d intégrer les entreprises privées et publiques comme des acteurs majeurs de santé publique, sur une base volontaire, repose sur le fait que, souvent, les salariés ou les usagers se restaurent sur place. La promotion d une bonne nutrition, adaptée au contexte propre de l entreprise ou de l établissement, peut contribuer à faciliter l adoption par chacun de comportements favorables pour la santé ce qui bénéficie à l individu, à sa famille, à son entreprise ou à l établissement. Les chartes d engagement des établissements actifs du PNNS offrent l opportunité de s inscrire dans une démarche citoyenne en proposant des actions à destination des salariés et des usagers, allant dans le sens des objectifs du PNNS et s appuyant sur le cadre de référence offert par le PNNS. L idée est de permettre aux établissements de mettre en œuvre les actions à leur portée, ouvrant sur un véritable dialogue sur ces questions au sein de la structure. 10
11 L établissement signataire adhère à la présente charte et s engage à : Article 1 > Devenir un acteur de la nutrition en développant ou en favorisant le développement d actions qui contribuent à l atteinte des objectifs du PNNS. Article 2 > Promouvoir les conditions d une nutrition conforme aux repères du PNNS en favorisant le dialogue au sein de l entreprise ou de l établissement. Article 3 > Mettre en place, chaque année, un minimum de trois actions dans trois des sept domaines d intervention suivants : l offre alimentaire, l offre d activité physique, l information-éducation, la formation, le soutien à la participation à la recherche, et, en lien avec la médecine du travail, le dépistage, la facilitation de la prise en charge des pathologies liées à la nutrition. Article 4 > Veiller à ce que, pour les actions mises en œuvre pour la promotion de la nutrition, soient utilisées exclusivement les recommandations issues des référentiels du PNNS, et que les affiches, documents écrits ou diffusés par voie informatique soient porteurs du logo du PNNS. Article 5 > Nommer un référent «établissement actif du PNNS» qui mentionnera chaque année à l agence régionale de santé les actions mises en place et prévues pour l année suivante. Article 6 > Afficher le logo «établissement actif du PNNS» de façon explicite sur les documents informant du programme ou des actions menées au sein de l établissement. Article 7 > Le PNNS fournira au niveau régional ou national les outils et les conseils utiles à la mise en place des actions ; il mettra à disposition des établissements signataires sur un site Internet les actions mises en œuvre et transmises par les signataires, afin de permettre leur mutualisation. 11
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