CONSOMMATIONS, PRODUCTIONS D ENERGIE ET EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE ASSOCIEES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CONSOMMATIONS, PRODUCTIONS D ENERGIE ET EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE ASSOCIEES"

Transcription

1 214 CONSOMMATIONS, PRODUCTIONS D ENERGIE ET EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE ASSOCIEES Panneaux photovoltaïques Louis Lumière Direction de l environnement et de l énergie Communauté urbaine de Cherbourg Octobre 215

2 2

3 SOMMAIRE I. Introduction... 6 II. Synthèse... 8 A. La situation générale... 8 B. Les grands postes de consommation... 9 C. Les énergies utilisées... 1 D. L impact climatique Les émissions de gaz à effet de serre L efficacité énergétique Les énergies renouvelables III. Le patrimoine bâti A. Les consommations et dépenses globales d énergie B. Les consommations et dépenses de chauffage C. La situation par type d équipements D. Les émissions de gaz à effet de serre... 2 E. Conclusion IV. Les véhicules communautaires A. Les consommations et dépenses globales de carburant B. Les consommations et dépenses par catégorie C. Les émissions de gaz à effet de serre et de polluants Définition des Véhicules à faibles émissions Acquisition de véhicules à faibles émissions Etiquette énergie des véhicules particuliers... 3 D. Les déplacements en train E. Les déplacements en vélo F. Conclusion V. La signalisation routière A. Le bilan des consommations et dépenses B. Les émissions de gaz à effet de serre C. Conclusion VI. Tableau récapitulatif des indicateurs A. Données générales Production d énergie

4 2. Consommation d énergie Dépenses d énergie Emissions de gaz à effet de serre Autre B. Patrimoine bâti Production d énergie Consommation d énergie Dépenses d énergie Emissions de gaz à effet de serre Autre C. Véhicules communautaires Consommation d énergie Dépenses D énergie Emissions de gaz à effet de serre Autre D. Signalisation routière Production d énergie Consommation d énergie Dépenses d énergie Emissions de gaz à effet de serre Autre VII. Annexes... 4 Annexe 1 : fiches de synthèse du patrimoine bâti... 4 LES BUREAUX LES SITES INDUSTRIELS LES DECHETERIES ET LE CENTRE DE TRI LES STATIONS D EPURATION LES STATIONS DE RELEVEMENT DES EAUX USEES LES STATIONS DE RELEVEMENT DES EAUX PLUVIALES LES AUTRES EQUIPEMENTS LIES A L ASSAINISSEMENT LES UNITES DE PRODUCTION D EAU POTABLE LES CHATEAUX D EAU ET RESERVOIRS LES AIRES DES GENS DU VOYAGE

5 LES AUTRES EQUIPEMENTS Annexe 2 : facteurs d émission des kilowattheures finaux Annexe 3 : facteurs d émission de la combustion des carburants Annexe 4 : description du patrimoine bâti... 6 Annexe 5 : liste des véhicules Annexe 6 : Diagnostics de performance énergétique VIII. Liste des figures... 8 IX. Liste des tableaux X. Glossaire

6 I. INTRODUCTION La maîtrise de l énergie est une préoccupation pour tous, dans le but d en réduire la facture mais également pour limiter les émissions de certaines catégories d énergie ayant un impact sur le changement climatique. Avec la mise en place de l Agenda 21 et l élaboration du Plan climat énergie territorial, la Communauté urbaine de Cherbourg s inscrit dans cette dynamique d amélioration de son efficacité énergétique. Depuis 25, le présent rapport permet de prendre connaissance des consommations et dépenses d énergie, des émissions de gaz à effet de serre induites et également de la production, et de la vente le cas échéant, d énergie renouvelable. A partir d indicateurs précis, il permet d engager la Communauté urbaine dans une démarche d évaluation de ses politiques énergétiques et d amélioration continue par la connaissance des dépenses et émissions de gaz à effet de serre liées aux consommations d énergie. Le rapport concerne les consommations, exprimées en énergie finale, les productions et les dépenses d énergie de la Communauté urbaine. Ces coûts sont indiqués en euros TTC, y compris l abonnement pour les énergies concernées, mais hors frais d entretien, d exploitation ou de maintenance. Après une présentation générale des données sur l énergie des services gérés et exploités en régie, trois points sont détaillés : - le patrimoine bâti ; - les véhicules communautaires ; - la signalisation routière. Des tableaux récapitulatifs reprenant les données de 212 à 214 permettent de suivre annuellement les indicateurs de production d énergie, de consommations, de dépenses et d émissions de gaz à effet de serre. Les consommations, productions et dépenses concernent l année civile 214. Les énergies sont toutes rapportées en kwh PCI 1, de manière à pouvoir les comparer. Les correspondances entre les émissions de gaz à effet de serre et les consommations d énergie sont indiquées en annexe. Enfin, les émissions de gaz à effet de serre consécutives aux consommations d énergie s expriment en équivalent CO 2, de manière à respecter le code de l environnement articles R à R relatifs au bilan des émissions de gaz à effet de serre et au plan climat-énergie territorial. Le code de l environnement, et notamment l article L , impose aux collectivités territoriales de plus de 5 habitants la réalisation d un bilan d émissions de gaz à effet de serre de leur 1 PCI : pouvoir calorifique inférieur. 6

7 patrimoine et compétences, à actualiser tous les 3 ans. La Communauté urbaine a réalisé en 211 un bilan carbone de ses activités, respectant les conditions d élaboration de ce bilan et couvrant l ensemble du périmètre, à savoir : Scope 1 : les émissions directes de gaz à effet de serre provenant des sources fixes ou mobiles (consommations de carburants, gaz, fioul, fuites de gaz frigorigène, procédés industriels ) ; Scope 2 : les émissions indirectes de gaz à effet de serre associées à l énergie (production, transport et consommations d électricité, de vapeur ou de chaleur) ; Scope 3 : les autres émissions indirectes (achat de produits ou services, immobilisation de biens, déchets, déplacement domicile travail ). La rédaction de ce rapport pour les services gérés en régie permet de couvrir les scopes 1 et 2, sachant que le scope 3 est facultatif. Le bilan des gaz à effet de serre de la Communauté urbaine est en cours d actualisation. 7

8 II. SYNTHESE A. LA SITUATION GENERALE En 214, les dépenses d énergie s élèvent à ,89, soit 4,12% du budget de fonctionnement global de la Communauté urbaine de Cherbourg, pour une consommation de kwh. Consommations kwh Dépenses Emissions de gaz à effet de serre Total , ,7 tco 2 Par agent ,8 6,3 tco 2 Par habitant ,8 39,32 kgco 2 Tableau 1 : Consommations, dépenses et émissions de gaz à effet de serre en 214 Pour la première fois depuis 29, les consommations comme les dépenses amorcent une baisse (-2%). Le coût moyen de l énergie se stabilise à,11 /kwh (-1%) kwh Consommation annuelle Dépenses annuelles Figure 1 : Evolution des consommations et dépenses d'énergie Suivant la même tendance, les émissions de gaz à effet de serre sont en baisse de 4% et atteignent 3 32 tco 2. 8

9 B. LES GRANDS POSTES DE CONSOMMATION Les besoins en énergie peuvent se répartir suivant 3 catégories : le patrimoine bâti, les véhicules communautaires et la signalisation routière. Poste de consommation Consommations kwh Dépenses Emissions de gaz à effet de serre tco 2 Patrimoine bâti , ,19 Véhicules , ,33 Signalisation routière ,55 19,2 Tableau 2 : Consommations, dépenses et émissions de gaz à effet de serre par poste de consommation Le poids est variable selon que l on considère les consommations, les dépenses ou les émissions de gaz à effet de serre. En effet, les écarts consommations/coûts, que l on peut constater pour le patrimoine bâti et les véhicules s expliquent par des différences de coûts unitaires selon les énergies. De même, les variations entre les consommations et les émissions de gaz à effet de serre dépendent du poids en CO 2, différent selon les énergies. Consommations 1% Dépenses 1% Emissions de gaz à effet de serre,6% 43% 28% 34% 57% 71% 65% Patrimoine bâti Véhicules Signalisation routière Figure 2 : Répartition des consommations, dépenses d énergie et émission de gaz à effet de serre selon les postes de consommation 9

10 C. LES ENERGIES UTILISEES Selon les postes de consommation, les énergies utilisées vont être différentes. En 214, la Communauté urbaine a eu recours à 8 sources d énergie, dont le détail est indiqué dans le tableau suivant. Afin de faciliter les comparaisons, l ensemble des consommations a été rapporté en kwh, y compris les carburants, en tenant compte des équivalences énergétiques de la Base Carbone. Les coûts correspondent à l achat d énergie, hors investissement et entretien. Consommations (kwh) Dépenses ( ) Coût de l énergie ( /kwh) Gaz à effet de serre (tco 2 ) Electricité , ,4 Gaz naturel ,66 542,2 Patrimoine Fioul ,82 43,7 Bâti Energie ,,, renouvelable Gazole , ,2 Véhicules Gazole non routier ,99 394,8 Essence ,159 64,3 GPL ,124 8,1 Signalisation routière Electricité ,117 18,2 Total , Tableau 3 : Consommations, dépenses et émission de gaz à effet de serre selon l énergie L électricité est l énergie la plus consommée (53% du total). Plus coûteuse que la moyenne, elle représente également le poste de dépense prépondérant (58%). En revanche, le gazole, deuxième énergie la plus utilisée, représente le poste d émissions de gaz à effet de serre le plus important (43%). Le prix moyen de l énergie est stable (-1%) à,11 /kwh. Le gaz naturel, consommé exclusivement par le patrimoine bâti, reste l énergie la moins couteuse (6,6 c par kilowattheure) alors que l essence, utilisée par les véhicules légers, est l énergie la plus onéreuse (15,9 c /kwh). 1

11 Consommations 1% % 6% Dépenses 6% 2%,2% 21% 27% 1% 7% 11% 53% %,5% 7% 58% Emissions de gaz à effet de serre 2% % 12% 26% Electricité Gaz naturel Fioul Energie renouvelable Gazole 43% 16% % 1% GNR Essence GPL Figure 3 : Répartition des consommations, dépenses d énergie et émission de gaz à effet de serre par énergie D. L IMPACT CLIMATIQUE Avec l adoption en 28 du paquet énergie climat, l Europe s est fixé comme objectifs pour 22 de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 2% par rapport à 199, de baisser ses consommations d énergie de 2% et de porter à 23% sa part d énergie renouvelable dans sa consommation finale. Chaque organisation, à son échelle, se doit d y contribuer. La Communauté urbaine ne dispose pas des données de 199, les comparaisons seront donc effectuées sur l année 27, pour laquelle l ensemble des informations est disponible. 11

12 1. LES EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE Les émissions de gaz à effet de serre de la Communauté urbaine ont deux origines différentes : Les émissions d origine fossile, liées à la consommation d énergie, qui dépendent à la fois de la quantité d énergie consommée et du type d énergie t CO 2 ont ainsi été émises en 214 ; Les émissions d origine biogénique qui font partie du cycle court du carbone. De ce fait, elles sont considérées par le GIEC 2 comme neutre par rapport à l effet de serre. La production de méthane dans les stations d épuration entre dans ce cadre. A titre d information, 265 t CO 2 biogéniques ont été émises par les stations d épuration par le brûlage du biogaz en chaudière (valorisation) ou à la torchère. Au total, m 3 de biogaz ont été consommés dont m 3 brûlés à la torchère. Cela représente un taux de valorisation de 74%. Dans le cadre de ce rapport, seules les émissions d origine fossile sont comptabilisées. Par rapport à 26, les émissions de gaz à effet de serre de la Communauté urbaine sont en hausse de 14%, en revanche elles sont en baisse de 4% par rapport à 213. Cela s explique notamment par la baisse des émissions du patrimoine bâti t CO Figure 4 : Evolution des émissions de gaz à effet de serre d origine fossile de la Communauté urbaine 2. L EFFICACITE ENERGETIQUE La Communauté urbaine dispose de deux leviers pour diminuer ses consommations d énergie : d une part, la sensibilisation et la formation des agents afin d inciter chacun à adopter des 2 Groupe intergouvernemental d experts sur l évolution du climat 12

13 comportements plus sobres en termes de consommations d énergie, et d autre part, améliorer l efficacité énergétique de ses équipements. Le dispositif des certificats d économies d énergie (CEE) constitue l un des instruments de la politique de maîtrise de la demande énergétique. Ce dispositif repose sur une obligation de réalisation d économies d énergie imposée par les pouvoirs publics aux vendeurs d énergie. Les certificats sont obtenus à la suite d'actions entreprises en propre par les opérateurs ou par l achat à d autres acteurs ayant mené des opérations d'économies d'énergie. La Communauté urbaine s est emparée du dispositif dès son lancement et vend les CEE obtenus suite à ses travaux d amélioration énergétique sur la plateforme EMMY. Ainsi, cela lui permet de tendre à diminuer ses consommations d énergie tout en bénéficiant d un financement par la vente de ses CEE. Ainsi en 214, les travaux réalisés en 213 ont pu être valorisés. Il s agit des travaux d amélioration énergétique du bâtiment du service d ordures ménagères (isolation, changement de chaudière, ventilation ) mais également de l optimisation énergétique de certains équipements installés au cycle de l eau (mise en place de variateurs électroniques de vitesse sur moteurs asynchrones, compresseurs basse pression à vis) kwh CUMAC ont été obtenus et ont été mis en vente. CEE (kwh CUMAC) Gains ( HT) suite à la vente 1 ère période , 2 ème période Transition 2 e /3 e période , , , En cours Tableau 4 : Obtention et vente des certificats d économies d énergie par année 3. LES ENERGIES RENOUVELABLES La Communauté urbaine dispose de cinq unités de production d énergie renouvelable. Il s agit de trois installations de panneaux solaires photovoltaïques et de deux installations de récupération du biogaz des stations d épuration : panneaux solaires photovoltaïques mis en place en 212 sur la toiture des locaux d activités Louis Lumière. La production est intégralement vendue. En 214, cela représentait kwh vendus pour un gain de 5 453,23, soit une augmentation de 64% par rapport à 213 ; panneaux solaires photovoltaïques placés en 213 sur le château d eau du Monturbet. La production est destinée à être consommée sur place, en vue d alimenter l éclairage de mise en valeur du site. En 214, 156 kwh ont été produits ; 13

14 panneaux solaires photovoltaïques installés en 213 sur la toiture de la station d épuration des Mielles. La production est intégralement vendue. En 214, kwh ont été produits par cette installation et vendus pour un gain de 3 15,97 ; chaudière au biogaz et cogénération pour la station d épuration des Mielles : chauffage des locaux pour la chaudière, utilisation de la chaleur pour le maintien à température des boues du digesteur et vente de l électricité produite à EDF pour la cogénération kWh ont été produits par cette valorisation du biogaz kWh ont été consommés sur place et 966 7kWh électriques ont été vendus pour un gain de ,9. chaudière au biogaz pour la station d épuration des Rivières : le système de valorisation et les usages sont similaires à la station des Mielles kwh ont été consommés sur place par la chaudière. En revanche, le site étant encore en travaux, la cogénération n est pas encore opérationnelle. Au total, kwh ont été produits en 214, kwh utilisés sur site et kwh électriques vendus à EDF. Cela représente une hausse de la production d énergie renouvelable de 11% par rapport à 213, qui s explique par la reprise partielle de la production de la station d épuration des Rivières, ainsi que par la mise en fonctionnement des panneaux photovoltaïques de la station des Mielles Production (kwh) Figure 5 : Evolution de la production d énergie renouvelable de la Communauté urbaine Sur la base du coût moyen du gaz naturel, énergie de substitution, cette énergie thermique renouvelable représente une économie supérieure à 1. Par ailleurs, la production électrique vendue à EDF a permis un gain de (frais d utilisation du réseau déduits). Les émissions de gaz à effet de serre évitées grâce à la valorisation du biogaz et à la production d électricité photovoltaïque s élèvent à 456 tonnes de CO 2 (378 tco 2 directes par la consommation sur place de chaleur et 78 tco 2 indirectes par l injection d électricité renouvelable dans le réseau). 14

15 Par rapport à la consommation totale d énergie de la Communauté urbaine, la part d énergie renouvelable est de nouveau en hausse et atteint 12,5%, en intégrant l électricité renouvelable vendue. Les efforts doivent se poursuivre pour atteindre l objectif des 23% en % 2% 15% 1% 5% % % d'enr Objectif 22 Figure 6 : Evolution de la part des énergies renouvelables sur les consommations de la Communauté urbaine Par ailleurs, l article L du code général des collectivités territoriales transfert à la communauté urbaine l entretien et la gestion de la chaufferie bois du quartier des Provinces et son réseau de chaleur (en délégation de service publique). Sur la saison de chauffe 213/214, MWh PCI de chaleur ont été vendus, dont kwh issus de la combustion de bois, qui est une énergie renouvelable. Enfin, depuis 211, la SPEN, prestataire de la Communauté urbaine en charge du traitement des déchets, valorise le biogaz de décharge par un système de cogénération. Les déchets produits par la Communauté urbaine ont permis la production de MWh électriques et MWh thermiques, pour un total de MWh. A partir du taux moyen d émission des énergies thermiques en Basse Normandie et électriques au niveau national, on peut estimer à 52 tco 2 la quantité de gaz à effet de serre non émise dans l atmosphère grâce à cette valorisation. Ces productions n étant pas directement rattachées au patrimoine opérationnel de la communauté urbaine, elles ne sont pas comptabilisées dans les données annuelles de ce rapport. Les productions d énergie, issues du patrimoine de la Communauté urbaine, de la chaufferie bois des Provinces et du centre d enfouissement technique, permettent donc de participer à l intégration d énergie renouvelable dans le mix énergétique français. 15

16 III. LE PATRIMOINE BATI Le patrimoine bâti de la Communauté urbaine regroupe différents types de bâtiments : des bureaux, des sites industriels, des déchèteries, un centre de tri, des stations d épuration, des stations de relèvement d eaux usées et d eaux pluviales, des usines de potabilisation de l eau, des châteaux d eau, des aires d accueil pour les gens du voyage et divers autres équipements. Une description sommaire de ces bâtiments est disponible en annexe. A. LES CONSOMMATIONS ET DEPENSES GLOBALES D ENERGIE En 214, l ensemble du patrimoine bâti a consommé 14,57 millions de kilowattheure, pour une dépense globale de ,65. Les consommations sont en baisse de 2% par rapport à 213 et les dépenses de 1%. Totalité du bâti Par agent Consommations (kwh) ,22 Dépenses ( ) , ,21 Tableau 5 : Consommations et dépenses d énergie du patrimoine bâti MWh Electricité Gaz naturel Fioul Energie renouvelable Propane total Figure 7 : Evolution des consommations par énergie depuis 26 16

17 Electricité Gaz naturel Fioul Energie renouvelable Propane total Figure 8 : Evolution des dépenses par énergie depuis 26 Pour la première fois depuis 29, les consommations globales d énergie sont en baisse. De même, les dépenses, en hausse constante depuis 27, amorcent une diminution en 214. Les évolutions sont toutefois variables selon les énergies. Electricité : Les consommations d électricités sont stables (+1%) mais les dépenses s accroissent de 5%, en raison d une augmentation du prix unitaire (,112 /kwh, soit une hausse de 4%). Gaz naturel : Le gaz naturel présente une baisse de consommation de 25%, par l effet combiné d un hiver doux, de la baisse des besoins pour la station d épuration des Mielles et par le déménagement de l Hôtel de Communauté (chauffé au gaz naturel) vers les locaux rue des Bastions (chauffés au fioul domestique). Quant aux dépenses, elles chutent de 36%, suite à la baisse des consommations, mais également en raison de la fin des tarifs réglementés de gaz naturel qui a conduit la Communauté urbaine à mettre en concurrence l achat de cette énergie. La collectivité a adhéré à un groupement de commandes de l UGAP, ce qui lui a permis de profiter de tarifs en moyenne 27% moins élevés sur le cout de la molécule par rapport aux tarifs réglementés. Le marché a débuté le 1 er octobre 214 et les 3 mois de chauffe à ce tarif ont entrainé un cout annuel moyen en baisse de 14% (à,66 /kwh). Fioul domestique : Cette énergie reste largement minoritaire. Elle fait cependant l objet d une forte hausse en 214 suite au déménagement vers la rue des Bastions en 213, tel qu indiqué précédemment. Le cout moyen du fioul domestique est néanmoins en baisse de 8% pour atteindre,82 /kwh. Energies renouvelables : La consommation d énergie renouvelable par le patrimoine de la Communauté urbaine est en hausse de 16%, principalement due à la reprise de l utilisation du biogaz par la chaudière de la 17

18 station d épuration des Rivières suite aux travaux. Le détail de production, consommation et vente est précisé dans le chapitre II-D-3 «Les énergies renouvelables». Consommations (kwh) Dépenses ( ) Coût de l énergie ( /kwh) Electricité ,16,112 Gaz naturel ,88,66 Fioul domestique ,61,82 Energie renouvelable ,, Tableau 6 : Consommations et dépenses selon les énergies Répartition des consommations en % 11% Répartition des dépenses en %,8% %,9% Electricité Gaz naturel 11% 15% Fioul Energie renouvelable 73% 88% Figure 9 : Répartition des consommations et dépenses d énergie du patrimoine bâti Dans le mix énergétique des bâtiments de la Communauté urbaine, l électricité reste largement majoritaire, avec 73% de la consommation et 88% des dépenses. Elle est utilisée comme énergie spécifique, mais aussi pour chauffer certains locaux. Le gaz naturel, avec 15% de la consommation et 11% des dépenses globales d énergie, sert principalement dans le cadre du process de la station d épuration des Mielles ainsi que pour le chauffage des bureaux et accessoirement pour les réfectoires. Le fioul est largement minoritaire (,9% des consommations et,8% des dépenses). Enfin, la part de consommation d énergies renouvelables passe à 11% sans générer de dépenses. B. LES CONSOMMATIONS ET DEPENSES DE CHAUFFAGE En 214, le chauffage a fonctionné du 1er janvier au 19 mai puis du 7 octobre au 31 décembre, soit 224 jours pour la totalité de la saison de chauffe. 18

19 Les consommations de chauffage des bâtiments ne peuvent être comptabilisées que lorsqu ils sont chauffés au gaz naturel, au fioul ou s ils disposent d un sous-compteur électrique dédié au chauffage. Pour cette raison, seul le chauffage des bureaux, sites industriels et centre de tri est pris en compte. Chauffage Par jour de chauffe Par degré jour Consommations (kwh) ,59 623,6 Dépenses ( ) 15 85,7 472,54 46,73 Tableau 7 : Consommations et dépenses d énergie pour le chauffage Le chauffage représente 63% des consommations d énergie des locaux concernés, soit kwh, et 46% de leurs dépenses, soit 15 85,7. Ces consommations sont en baisse de 7% en raison d un hiver plus doux et les dépenses de 16% par rapport à 213, liées à la diminution du prix du gaz naturel et du fioul. Le coût moyen du chauffage est ainsi de,75 /kwh, ce qui représente une baisse de 1%. Il reste inférieur au prix global moyen de l énergie du patrimoine bâti, ce qui s explique par le fait que la majorité des consommations de chauffage provient du gaz naturel, moins cher que l électricité. Enfin, chaque jour de chauffe entraîne une dépense de 472,54 pour une consommation de 6 35,59 kwh. C. LA SITUATION PAR TYPE D EQUIPEMENTS Les process industriels des usines de traitement des eaux usées, de potabilisation de l eau et de traitement des déchets, intégrés dans le patrimoine bâti, sont très énergivores. En effet, 85% des consommations, 84% des dépenses et 71% des émissions de gaz à effet de serre du patrimoine bâti sont directement imputables à ces productions. Ainsi, les consommations et dépenses d énergie sont très variables selon les types de bâtiments. Les stations d épuration et les usines de production d eau potable sont les ouvrages les plus consommateurs, suivi de loin par les autres sites industriels et les bureaux. Le profil des consommations par type d équipements reste similaire à celui des années précédentes. 19

20 MWh Bureaux Sites industriels Déchéteries Centre de tri Stations Stations de d'épuration relèvement Production d'eau potable Réservoirs Aires d'accueil Divers Figure 1 : Consommations globales d énergie du patrimoine bâti selon les usages En termes de dépenses, la valorisation du biogaz des stations d épuration permet de réduire l impact financier des consommations de ces sites. Ce sont néanmoins les plus coûteux, suivi par les usines de production d eau potable. Les sites industriels gardent la 3ème position en termes de dépenses. On peut toutefois observer que les stations de relèvement, les réservoirs et les sites de traitement des déchets, par leur usage exclusif d électricité, voient leur niveau de dépenses se rapprocher fortement des bureaux malgré des consommations plus faibles Bureaux Sites industriels Déchéteries Centre de tri Stations Stations de d'épuration relèvement Production d'eau potable Réservoirs Aires d'accueil Figure 11 : Dépenses globales d énergie du patrimoine bâti selon les usages Divers D. LES EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE La répartition par émission de gaz à effet de serre des bâtiments est différente de celle des consommations car ces émissions dépendent de la quantité d énergie consommée, mais également de la nature de ces énergies. Ainsi, les stations d épuration, qui consomment des énergies renouvelables, voient leurs impacts amoindris, même si elles sont les plus émettrices, alors que les bureaux ou les sites industriels, qui consomment des énergies fossiles fortement émettrices (gaz 2

21 naturel ou fioul), ont un poids plus important par rapport à leur consommation. Par ailleurs, les sites qui ne consomment que de l électricité ont un impact moins fort, du fait du faible poids en émission de gaz à effet de serre de l électricité en France. C est le cas des sites de production d eau potable tco Bureaux Sites industriels Déchéteries Centre de tri Stations Stations de d'épuration relèvement Production d'eau potable Réservoirs Aires d'accueil Figure 12 : Emissions de gaz à effet de serre globales liées aux consommations d énergie du patrimoine bâti selon les usages Divers En 214, les consommations d énergie du patrimoine bâti ont entraîné l émission de tco 2, soit l équivalent de 2,7 tco 2 par agent. Par rapport à 213, ces émissions sont en baisse de 1%. En moyenne, toutes énergies confondues, chaque kilowattheure consommé a induit l émission de 97 g de CO 2, ce qui est inférieur de 8% aux taux d émissions de l année précédente. Cela s explique par un usage plus important d énergie renouvelable (biogaz) et moins élevé de gaz naturel. E. CONCLUSION Le patrimoine bâti est responsable d une grande part des consommations et dépenses en énergie de la Communauté urbaine. Néanmoins, les efforts réalisés sur la production puis l utilisation ou la vente d énergie renouvelable par les différents sites ont permis de réaliser des économies de fonctionnement tant financières qu en termes d émissions de gaz à effet de serre. Une synthèse par typologie de bâtiment est disponible en annexe I. 21

22 IV. LES VEHICULES COMMUNAUTAIRES Dans ce chapitre, et afin de faciliter la compréhension, les consommations sont exprimées en litres de carburant. Les ratios sont calculés par rapport aux kilomètres pour les véhicules lourds et légers, et en heure d utilisation pour les engins. A. LES CONSOMMATIONS ET DEPENSES GLOBALES DE CARBURANT En 214, la flotte de la Communauté urbaine était constituée de 231 véhicules et engins ayant parcouru km pour les premiers et ayant fonctionné h pour les seconds. Les consommations de carburant sont stables (-,1%) à L mais les dépenses, de , sont en baisse de 4%. Flotte Pour 1km Consommations (L) ,25 28,35 Dépenses ( ) ,69 36,7 Tableau 8 : Consommations et dépenses d énergie de la flotte de véhicule 7 6 L Essenc e Gazole GPL Figure 13 : Evolution des consommations de carburant depuis 26 22

23 Essence Gazole GPL GNR Total Figure 14 : Evolution des dépenses de carburant depuis 26 Depuis 211, la tendance des consommations est à la baisse (-1,6% en cumulé). Cette diminution de consommation associée à un cout du carburant moins élevé au niveau national, entraine une baisse des dépenses depuis 212 (-1%). Les évolutions sont toutefois variables selon les carburants. Consommations (L) Dépenses ( ) Coût de l énergie ( /L) Essence , 1,473 Gazole ,85 1,269 GPL ,56,851 GNR ,28,99 Tableau 9 : Consommations et dépenses par carburant Répartition des consommations de carburant en % 4% Répartition des dépenses de carburant en % 5% 2% Essence,5% 17% 1% Gazole GPL GNR 75% 78% Figure 15 : Répartition des consommations et dépenses d énergie de carburant 23

24 Gazole : Les consommations de gazole sont stables (-,4%). En revanche, les dépenses baissent de 5%, dû à la diminution des prix au niveau national. En moyenne en 214, le cout est de 1,269 /L. Il s agit du carburant le plus utilisé (75% des consommations et 78% des dépenses), principalement dû au fait que l ensemble des poids lourds de la flotte consomme du gazole. Gazole non routier (GNV) : Le gazole non routier, réservé à des usages techniques (curage, nettoyage, compostage, travaux routiers ), est principalement utilisé par les engins. Son utilisation, directement liée aux travaux effectués, est en augmentation de 3% et son coût de 2%. Son prix moyen est de,99 /L du fait d une fiscalité avantageuse. Le recours à ce carburant reste important : 2% des consommations et 17% des dépenses. Essence : Cette énergie est largement minoritaire : 4% des consommations et 5% des dépenses, accentué par une baisse importante de son usage en 214 (-14%) et du coût global (-16%). Elle est néanmoins le carburant le plus onéreux avec 1,473 /L. GPL : Enfin, le GPL est le carburant le moins utilisé (moins de 1%) malgré une augmentation importante de son utilisation (+19%), induisant une hausse de 2% de ses dépenses. Son coût est le plus bas, à,851 /L. 19 véhicules circulent au GPL, en bicarburation avec l essence. Le taux moyen d utilisation du GPL est faible par rapport à l essence : 35% en 214. On note cependant des disparités entre les différents véhicules et usagers. 3 fonctionnent exclusivement à l essence, ce qui constitue tout de même une amélioration par rapport aux 7 véhicules concernés en ont un usage minoritaire du GPL (moins de 5%), dont 4 font partie du pool de véhicules mis à disposition des agents. Les 7 autres consomment du GPL en majorité (de 57 à 78%). Année Consommation de GPL (L) Consommation d essence (L) % d utilisation de GPL % % % % % % % % % % Tableau 1 : Taux d utilisation du GPL par rapport à l essence pour les véhicules équipés 24

25 B. LES CONSOMMATIONS ET DEPENSES PAR CATEGORIE Le nombre de kilomètres parcourus par catégorie correspond sensiblement à la répartition des véhicules. Cependant, les consommations et dépenses sont très largement dominées par les poids lourds. En effet, on peut constater que 77% des consommations et des dépenses de carburant de la flotte automobile sont directement imputables aux poids lourds alors qu ils ne parcourent que 34% du kilométrage total. Les évolutions de cette catégorie vont donc avoir un impact fort sur les données de l ensemble de la flotte. Répartition des véhicules 23% Répartition de la distance parcourue 17% 3% 34% 1% 7% 18% 1% 12% 8% 19% 12% Répartition des consommations de carburant 4% 3% 3% Répartition des dépenses de carburant 4% 3% 3% 8% 5% 8% 5% 77% 77% Véhicules particuliers Véhicules société Fourgonnettes Cabines bennes Fourgons Poids Lourds Figure 16 : Répartitions des véhicules, du kilométrage, des consommations et dépenses de carburant selon les catégories 25

26 La valeur moyenne des consommations aux 1 km est très variable selon les catégories de véhicules. Ainsi, les véhicules particuliers, de société et les fourgonnettes représentent les classes les moins consommatrices (de 7,5 à 7,93 L/1km), alors que les poids lourds ont la moyenne la plus élevée avec 64,75 L/1km. Ces derniers sont donc en partie responsables de la moyenne élevée de consommation de l ensemble de la flotte. Concernant les coûts, la répartition est similaire : de 9,56 /1km pour les véhicules particuliers à 81,92 /1km pour les poids lourds. Nombre de véhicules Distance parcourue km Consommations (L) Pour Total 1km Dépenses ( ) Pour 1 Total km Véhicules particuliers , ,84 9,56 Véhicules Véhicules société , ,46 9,6 légers Fourgonnettes , ,14 1,53 Fourgons , ,22 14,92 Cabines bennes ,2 27 2,62 19,32 Poids Lourds , ,43 81,92 Engins ,98 - Tableau 11 : Consommations et dépenses de carburant selon les catégories de véhicules Depuis quelques années, la tendance des consommations aux 1 km est à la baisse pour les véhicules légers. Elle se maintient pour les véhicules particuliers et les fourgonnettes. En revanche, on observe une légère hausse pour les véhicules de société, fourgons, cabines bennes et poids lourds en 214. Une nouvelle sensibilisation aux principes de la conduite souple pourrait permettre de limiter cette hausse, voire amorcer une nouvelle baisse L/1 km Véhicules particuliers Véhicules société Fourgonnettes Fourgons Cabines bennes L/1 km Poids Lourds Figure 17 : Evolution de la consommation moyenne par catégorie de véhicules 26

27 Les dépenses sont influencées par les consommations mais également par le prix du carburant à la pompe. Ainsi la baisse du coût au niveau national a entrainé une diminution des dépenses aux 1 km pour l ensemble des catégories, celle-ci étant renforcée pour les types de véhicules présentant également une baisse des consommations /1 km Véhicules particuliers Véhicules société Fourgonnettes Fourgons Cabines bennes /1 km Poids Lourds Figure 18 : Evolution des dépenses moyennes par catégorie de véhicules Enfin, les engins ont fonctionné h en 214, pour une consommation moyenne de 6,8 L/h et des dépenses de 6,69 /h. Les typologies d engins sont très variées et leurs usages très dépendants des travaux engagés. Les comparaisons entre eux et d une année à l autre ne sont donc pas significatives. Le détail de dépenses et de consommations par véhicule est disponible en annexe. C. LES EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE ET DE POLLUANTS Les véhicules sont à l origine de deux types d émissions dans l atmosphère : - le dioxyde de carbone, principal gaz à effet de serre ayant un impact sur l environnement ; - les polluants issus de la combustion ayant un impact sur la santé (dioxydes d azote et de soufre, particules fines, monoxyde de carbone), polluants faisant l objet d une surveillance réglementaire par l ASQA AirCOM. 27

28 Les véhicules communautaires ont été responsables de l émission de tco 2 en 214, ce qui est stable par rapport à l année précédente. La plus grande part est induite par la consommation de gazole (1 41 tco 2 ), suivi du GNR (395 tco 2 ), de l essence (64 tco 2 ) et enfin du GPL (8 tco 2 ). Il s agit de la plus grosse source d émission de gaz à effet de serre de la Communauté urbaine. tco Figure 19 : Emissions de gaz à effet de serre globales des véhicules Si l on rapporte ces données brutes d émission de gaz à effet de serre aux distances parcourues, on obtient un taux de 892 gco 2 /km parcouru. En ce qui concerne les émissions par litre, il est de 3,2 kgco 2 /L. Ces taux sont stables par rapport à l année précédente. 1. DEFINITION DES VEHICULES A FAIBLES EMISSIONS L article L du code de la route indique que «sous réserve des contraintes liées aux nécessités du service, [ ] les collectivités territoriales et leurs groupements, lorsqu ils gèrent directement ou indirectement une flotte de plus de vingt véhicules, acquièrent ou utilisent, lors du renouvellement de leur parc automobile, dans la proportion minimale de 2%, des véhicules fonctionnant à l énergie électrique, au gaz de pétrole liquéfié ou au gaz naturel. Cette mesure s applique à l ensemble des véhicules desdits parcs automobiles à l exception de ceux dont le poids total autorisé en charge excède 3,5 tonnes». Par ailleurs, l article L du code de l énergie précise l institution d un fonds d aide à l acquisition de véhicules propres. Le décret institue une aide à l acquisition des véhicules propres et définit une classification du véhicule propre en prenant en compte l impact gaz à effet de serre. Depuis le 1er novembre 213, les émissions de gaz à effet de serre des véhicules ne doivent pas excéder 9 g/km pour être considérés comme propres. Ce taux est de 11 g/km pour les véhicules hybrides. 28

29 2. ACQUISITION DE VEHICULES A FAIBLES EMISSIONS La Communauté urbaine acquiert régulièrement des véhicules à faibles émissions, malgré les difficultés que cela peut représenter (absence de modèles «propres» correspondant à certains besoins spécifiques, appels d offres infructueux, coûts plus importants ). Jusqu en 26, les voitures propres acquises étaient des véhicules circulant au GPL. En 28, la direction responsable des achats a intégré le taux d émission de CO 2 comme critère de sélection des véhicules propres. Sur les 8 véhicules légers ajoutés à la flotte en 214, 1 a un taux d émission de CO 2 de 9g/km, et donc considéré comme «propre». Un autre est également classé en A mais avec un taux d émission de 95gCO 2 /km, donc non faiblement émetteur, et 3 en catégorie B. Aucun ne circule au GPL. Le pourcentage d acquisition de véhicule propre est donc de 13% pour l année 214. Acquisition totale de véhicules légers Acquisition de véhicules légers propres % d acquisition de véhicules propres Tableau 12 : Pourcentage d acquisition de véhicules propres Le pourcentage de véhicules propres par rapport aux acquisitions annuelles varie chaque année : de % jusqu à 1% en 28 Grâce à ces acquisitions régulières et à la mise en réserve de véhicules anciens plus polluants, la proportion de véhicules propres augmente régulièrement au sein de la flotte de véhicules légers de la Communauté urbaine et atteint ainsi 26% en % de véhicules propres Figure 2 : Evolution de la proportion de véhicules propres dans la flotte de véhicules légers 29

30 3. ETIQUETTE ENERGIE DES VEHICULES PARTICULIERS Les véhicules particuliers sont soumis à l affichage d une étiquette énergétique lors de leur vente. Sur la base de cette classification, avec le nombre de kilomètres parcourus par année, les consommations et le carburant utilisé par chaque véhicule, il est possible d estimer la classe dans laquelle se situent les véhicules en conditions réelles d utilisation. Ce calcul intègre également le mode de conduite des véhicules, le comportement de chaque conducteur influençant les consommations Classe A Classe B Classe C Classe D Classe E Classe F Classe G Figure 21 : Nombre de véhicules particuliers par classe énergétique La majorité des véhicules se situe en classes D et E, avec 34 voitures sur 45. La tendance globale à l amélioration depuis quelques années est à la fois due au comportement de conduite des agents et à l acquisition de véhicules moins émetteurs de gaz à effet de serre. Il est tout de même à noter que seul le véhicule hybride se trouve dans la classe B alors que plusieurs voitures acquises depuis 28 se situent théoriquement dans cette catégorie. Les émissions moyennes réelles à l usage sont supérieures aux valeurs théoriques du fait que ces dernières sont calculées à partir de consommations sur banc d essai dans des conditions optimales de conduite alors que la situation réelle est très différente (circulation en ville sur de courtes distances principalement). Les véhicules en classe B/C sont également les moins coûteux et les moins consommateurs en moyenne : 6,78 /1km et 5,9 L/1km contre 9,6 /1km et 7,11 L/1km pour les catégories D et E, ou 14,28 /1km et 9,95 L/1km pour les catégories F et G. 3

31 D. LES DEPLACEMENTS EN TRAIN En 214, 246 déplacements ont été réalisés en train pour un total de km. La majorité de ces déplacements est à destination de Paris (144 voyages) puis Caen (39 voyages) et Lyon (21 voyages). Les 42 déplacements restants sont à destinations variées (Alençon, Avignon, Strasbourg, Amsterdam, Metz, Dunkerque, La Souterraine, Rouen). Ces déplacements ont coûté ,8 à la Communauté urbaine et ont induit l émission de 917,4 kg eqco 2, soit 2 fois moins chers que si les déplacements avaient été réalisés en voiture, pour des émissions 17 fois inférieures. E. LES DEPLACEMENTS EN VELO En 214, 9 vélos à assistance électrique sont disponibles pour les déplacements professionnels des agents de la Communauté urbaine. Ils ont été distribués de la manière suivante : services techniques Quai de Caligny (4 vélos) ; site technique des Fourches (2 vélos) ; site technique de la Polle (1 vélo) ; services administratifs Hôtel de Communauté (2 vélos) ; 1 32 km ont été parcourus avec 5 des vélos à assistance électrique, tous sites confondus. Concernant les 4 autres vélos, le changement de batterie a entrainé la perte des données de kilométrage, il n est donc pas possible de connaitre la distance totale parcourue, ni l économie financière et en termes de gaz à effet de serre par l usage du vélo en lieu et place d une voiture. F. CONCLUSION Les véhicules communautaires sont responsables de la majorité des émissions de gaz à effet de serre de la Communauté urbaine, mais de moins d un tiers des consommations. Concernant les dépenses, elles maintiennent leur tendance à la baisse. L acquisition de véhicules plus performants et moins consommateurs lors du renouvellement de flotte, l utilisation de moyens de déplacement alternatifs à la voiture (vélos à assistance électrique, train) sont autant de facteurs qui contribuent à la diminution des consommations moyennes des différents types de véhicules. L ensemble de ces éléments associé à la baisse au niveau national du coût du carburant contribuent à la diminution des dépenses de ce poste. 31

32 V. LA SIGNALISATION ROUTIERE La Communauté urbaine a en charge la signalisation routière, c est à dire les feux tricolores, les feux piétons, les feux clignotants Au total en 214, 12 carrefours sont équipés de signalisation tricolore, dont 19 passages pour piétons et un passage à niveau SNCF, ce qui représente 67 feux tricolores, 693 répétiteurs trafic et 91 signaux piétons. 183 feux piétons sont également pourvus de signaux sonores. A. LE BILAN DES CONSOMMATIONS ET DEPENSES En 214, kwh ont été consommés par les feux de signalisation routière, soit 19 kwh par feu. Depuis 2 ans, les lampes à incandescence des feux de signalisation ont progressivement été remplacées par des LED (diodes électroluminescentes), ce qui a conduit à une forte baisse des consommations depuis le début de cette campagne. Actuellement, les feux piétons de première génération sont en cours de rénovation dans le but de réduire encore les consommations. Cette opération, débutée en 1993, aura permis d économiser plus de 1,9 millions d euros (sur la base des dépenses de 1993). Totalité de la signalisation Par feu Consommations (kwh) , Dépenses ( ) ,55 11,73 Tableau 13 : Consommations et dépenses d énergie de la signalisation routière En revanche, en raison d une augmentation du coût de l électricité, les dépenses sont en hausse de 3% par rapport à 213, pour atteindre ,55 en 214, soit 11,73 par feu. Le coût énergétique passe alors à,117 /kwh (+ 9%). Ainsi, en dépit des efforts fournis pour diminuer les consommations, on observe depuis 21 une augmentation régulière des dépenses. 32

33 Consommation MWh Dépenses ( ) Consommations (kwh) Dépenses ( ) Figure 22 : Evolutions des consommations et dépenses d énergie annuelles des feux de signalisation B. LES EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE En 214, aucune énergie issue d une source renouvelable n est utilisée pour les feux de signalisation. L intégralité de l énergie consommée par la signalisation routière est d origine électrique. Les émissions totales de gaz à effet de serre liées à l énergie s élèvent à 18,3 tonnes de CO 2, produites par la consommation d électricité, ce qui représente une baisse identique à la consommation. C. CONCLUSION Le poste «signalisation routière» présente un bilan particulièrement intéressant, aussi bien en termes de consommation que d émissions de gaz à effet de serre. En effet, les campagnes menées depuis 1993 pour remplacer les lampes des feux de signalisation par des LED ont entraîné des diminutions de consommations qui ont engendré une réduction des émissions de gaz à effet de serre. Ces baisses de consommations ainsi que les modifications des puissances souscrites ont permis d atténuer l effet de l augmentation du prix de l énergie, même si les dépenses sont en hausse depuis 21. L objectif «facteur 4» en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre est très largement atteint pour ce poste. 33

34 VI. TABLEAU RECAPITULATIF DES INDICATEURS A. DONNEES GENERALES 1. PRODUCTION D ENERGIE Nombre d unité de production d énergie renouvelable Production annuelle d énergie renouvelable (kwh) Quantité d énergie renouvelable vendue (kwh) Gain des ventes d énergie renouvelable ( ) CONSOMMATION D ENERGIE Consommations annuelles (kwh) Consommations annuelles rapportées au nombre 7 235,21 246,11 245,29 d habitants (kwh/habitant) 8 Consommations annuelles par agent (kwh/agent) , , ,1 Répartition des consommations par type d énergie - électricité 49% 51% 53% - gaz naturel 9% 14% 11% - propane % % % = 15 - fioul (habitat),1%,3% 1,% - énergie renouvelable 13% 7% 7% = - essence 1,2% 1% 1% = - gazole 22% 21% 21% = - GPL,3%,1%,1% = - Gazole non routier 5,9% 6% 6% = Répartition des consommations par grand poste de consommation 16 - patrimoine bâti 7% 71% 71% - signalisation routière 1% 1% 1% = - véhicules communautaires 29% 28% 28% = 34

35 3. DEPENSES D ENERGIE Dépenses annuelles ( ) Dépenses annuelles rapportées au nombre d habitants 21 ( /habitant) 22,91 25,4 24,8 22 Dépenses annuelles par agent ( /agent) 3 727, , ,8 28 Coût de l énergie ( /kwh),97,12,11 Répartition des dépenses par type d énergie - électricité 52% 53% 58% - gaz naturel 7% 11% 7% - propane % % % = 29 - fioul (habitat),1%,3%,5% - énergie renouvelable % % % = - essence 2% 2% 2% = - gazole 32% 27% 27% = - GPL,3%,1%,2% - Gazole non routier 6% 6% 6% = Répartition des dépenses par grand poste de consommation 3 - patrimoine bâti 58% 64% 65% - signalisation routière 1% 1% 1% = - véhicules communautaires 41% 35% 34% Part de la dépense en énergie dans le budget de 31 fonctionnement 3,37% 3,81% 4,12% 4. EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE Emissions de gaz à effet de serre par an (tco 2/an) Répartition des émissions de gaz à effet de serre par grand poste de consommation (%) 33 - patrimoine bâti 38% 45% 43% - signalisation routière,6% 1% 1% = - véhicules communautaires 61% 54% 57% 35 Emissions de gaz à effet de serre par agent (tco 2 /agent) 5,9 6,6 6,3 Emissions de gaz à effet de serre par habitant 36 (kgco 2 /habitant) 36,1 4,6 39,3 49 Emissions de gaz à effet de serre évitées (tco 2 ) AUTRE Nombre de degrés jours unifiés Nombre d habitants Nombre d agents

36 B. PATRIMOINE BATI 1. PRODUCTION D ENERGIE Nombre d unité de production d énergie renouvelable Production annuelle d énergie renouvelable (kwh) Quantité d énergie renouvelable vendue (kwh) Gain des ventes d énergie renouvelable ( ) CONSOMMATION D ENERGIE Consommations annuelles (kwh) Consommations annuelles par m 2 (kwh/m 2 ) Consommations annuelles par agent (kwh/agent) Consommations de chauffage (kwh) Consommations de chauffage par m 2 (kwh/m 2 ) Consommations de chauffage par jour de chauffe (kwh/j) Consommations de chauffage par degré jour (kwh/dju) Répartition des consommations par type d énergie - électricité 69% 7% 73% - gaz naturel 12% 2% 15% 15 - propane,% % % = - fioul,2%,5% 1,% - énergie renouvelable 19,% 9% 11% 3. DEPENSES D ENERGIE Dépenses annuelles ( ) , , ,65 18 Dépenses annuelles par m 2 ( /m 2 ) 1,78 1,74 11, 22 Dépenses annuelles par agent ( /agent) 2 165, , ,21 23 Dépenses de chauffage ( ) , , ,7 24 Dépenses de chauffage par m 2 ( /m 2 ) 6,43 6,31 6,29 26 Dépenses de chauffage par jour de chauffe ( /j) 452,48 55,82 472,54 28 Coût de l énergie /kwh,81,91,92 29 Répartition des dépenses par type d énergie - électricité 88% 83% 88% - gaz naturel 12% 17% 11% - propane % % % = - fioul,2%,4%,8% - énergie renouvelable % % % = 36

37 4. EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE Emissions de gaz à effet de serre par an (tco 2 /an) Emissions de gaz à effet de serre par kwh consommé (gco 2 /kwh) 35 Emissions de gaz à effet de serre par agent (tco 2 /agent) 2,2 2,98 2,69 49 Emissions de gaz à effet de serre évitées (tco 2 ) AUTRE Nombre de jours de chauffe (jours) C. VEHICULES COMMUNAUTAIRES 1. CONSOMMATION D ENERGIE Consommations annuelles (L) Consommations annuelles par agent (L/agent) 1 125, , ,52 14 Consommations de carburant aux 1 km par type de véhicule (L) - véhicules particuliers 7,39 7,11 7,5 - véhicules de société 7,43 7,28 7,46 - fourgonnettes 8,4 8,18 7,93 - fourgons 11,69 11,68 11,74 - cabines benne 14,75 15, 15,2 - poids lourds 62,86 64,61 64,75 - engins (L par h) 6,12 6,8 6,77 15 Répartition des consommations par type d énergie - essence 5% 4% 4% = - gazole 74% 75% 75% = - GPL 1% 1% 1% = - gazole non routier 2% 2% 2% = 37

38 2. DEPENSES D ENERGIE Dépenses annuelles ( ) , , ,69 22 Dépenses annuelles par agent ( /agent) 1 515, , ,83 27 Dépenses de carburant aux 1 km par type de véhicule ( ) - véhicules particuliers 1,75 1,4 9,56 - véhicules de société 1,9 9,89 9,6 - fourgonnettes 12,36 11,31 1,53 - fourgons 16,89 15,56 14,92 - cabines benne 21,31 19,95 19,32 - poids lourds 9,78 85,96 81,92 - engins ( par h) 5,9 6,81 6,69 28 Coût de l énergie ( /L) 1,346 1,27 1, Répartition des dépenses par type d énergie - essence 5% 5% 5% = - gazole 8% 79% 78% - GPL 1%,4%,5% - gazole non routier 14% 16% 17% 3. EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE Emissions de gaz à effet de serre par an (tco 2 ) 1 877, , ,32 34 Emissions de gaz à effet de serre par litre consommé (kgco 2 /L) 3,19 3,2 3,2 = 35 Emissions de gaz à effet de serre par agent (tco 2 /agent) 3,6 3,6 3,6 = 37 Emissions de gaz à effet de serre par kilomètre parcouru en 1 87, , ,74 vélo et véhicules (gco 2 /km) 4. AUTRE Nombre de véhicules Nombre de vélos à assistance électrique = 41 Nombre d agents par rapport au nombre de véhicules (Agents/véhicule) 2,24 2,27 2,27 = 42 Nombre total de kilomètres parcourus en véhicules (km) Nombre de kilomètres parcourus par type de véhicule par an (km) - véhicules particuliers véhicules de société fourgonnettes fourgons cabines benne poids lourds Nombre d heures de fonctionnement des engins Nombre de kilomètres parcourus en train Nombre de kilomètres parcourus en vélo Proportion de véhicules «propres» dans la flotte de véhicules légers (%) 27,1% 26,7% 26,% 38

39 D. SIGNALISATION ROUTIERE 1. PRODUCTION D ENERGIE Nombre d unité de production d énergie renouvelable = 2 Production annuelle d énergie renouvelable (kwh) = 2. CONSOMMATION D ENERGIE Consommations annuelles (kwh) Consommations annuelles par feu de signalisation (kwh/feu) DEPENSES D ENERGIE Dépenses annuelles ( ) , , ,55 2 Dépenses annuelles par feu de signalisation ( /feu) 11,7 11,83 12,7 28 Coût de l énergie ( /kwh),1,18, EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE Emissions de gaz à effet de serre par an (tco 2 ) 19,41 19,25 18,25 34 Emissions de gaz à effet de serre par kwh consommé (gco 2 /kwh) = 5. AUTRE 39 Nombre de feux de signalisation (feux tricolores, signaux piétons, répétiteurs trafic)

40 VII. ANNEXES ANNEXE 1 : FICHES DE SYNTHESE DU PATRIMOINE BATI 4

41 LES BUREAUX Descriptif Les bâtiments administratifs sont répartis en 3 pôles : Pôle administration et ressources (PAR) : situé place Napoléon et rue Noël, 78 agents sur 3 76 m². Ces sites étant en travaux depuis septembre 213, les agents sont installés dans des bâtiments administratifs rue des Bastions et rue de l Avant-Port. Pôle développement et solidarité (PDS) : situé rue Tour Carrée, 19 agents sur 612 m² ; Pôle opérations et services techniques (POST) : situé quai de Caligny, 93 agents sur m². Consommations et dépenses d énergie Consommations (kwh) Evolution des consommations et dépenses d'énergie de l'ensemble des bureaux Dépenses ( ) Les consommations totales des bureaux s élèvent à kwh en 214, pour des dépenses de ,78. Les consommations sont en baisse de 23% et les dépenses de 18%, en raison principalement d un hiver doux qui a entrainé une diminution des consommations de chauffage. Consommations Dépenses Coût de l énergie Consommations (kwh) Dépenses ( ) Coût de l énergie ( /kwh) Ensemble des bureaux ,78,11 PAR ,22,113 POST ,88,96 PDS ,68,84 Le coût de l énergie atteint,11 /kwh en 214, ce qui représente une hausse de 7%, principalement due à l augmentation du prix de l électricité, ainsi qu à une part plus importante de cette énergie dans les consommations globales de ces sites. Répartition des énergies Trois énergies sont utilisées sur ces sites : le gaz naturel et le fioul, pour le chauffage des locaux, et l électricité pour les autres usages ainsi que pour le chauffage des Consommations (kwh) bureaux rue de l Avant-Port. Les coûts du gaz naturel et du fioul sont en baisse (-4 et -7%), en revanche, l électricité voit son prix légèrement augmenter (1%). Dépenses ( ) Coût unitaire ( /kwh) Electricité ,1,146 Gaz naturel ,81,7 Fioul ,96,82 41

42 Consommation (kwh) Consommation par site et par énergie PAR POST PDS gaz naturel fioul électricité Dépenses ( ) Dépenses par site et par énergie PAR POST PDS gaz naturel fioul électricité Chauffage Le chauffage est assuré par du gaz naturel pour le POST, le PDS et la Rue Noël, par du fioul pour le site des Bastions et par de l électricité pour les bureaux rue de l Avant-Port. En 214, les consommations de chauffage se sont élevées à kwh pour ,61. Cela représente 64% des consommations totales d énergie et 48% des dépenses. L hiver plus doux a entrainé une diminution de 31% des consommations de chauffage et de 3% des dépenses. Performances énergétiques et émissions de gaz à effet de serre Emissions (tco 2 ) Emissions de gaz à effet de serre En 214, aucun des bâtiments administratifs n utilise d énergie renouvelable. Les émissions totales de gaz à effet de serre s élèvent à 137,4 tonnes de CO 2. Les données de consommations d énergie et d émissions de gaz à effet de serre permettent de réaliser des diagnostics de performances énergétiques (DPE) des différents bâtiments tels que définis dans le code de l énergie. Seuls les bâtiments disposant d une année complète ont fait l objet d un DPE, synthétisés dans le tableau suivant : Consommations Emissions de CO 2 d énergie primaire kwh EP /m² Classe kg CO 2 /m² Classe PAR Rue des Bastions 221 D 36 D PDS Rue Tour Carrée 29 C 31 D POST Quai de Caligny 177 C 21 C Les DPE sont disponibles en annexe. 42

43 LES SITES INDUSTRIELS Descriptif Les sites industriels sont au nombre de 3 : Le centre industriel des Fourches (intégrant la maison des syndicats) : 151 agents sur m2 ; Le centre industriel de la Polle : 112 agents sur m2 ; Le site du Breton : 2 agents sur 787 m2. Consommations et dépenses d énergie Consommations (kwh) Evolution des consommations et dépenses d'énergie des sites industriels Consommations Dépenses Dépenses ( ) Les consommations totales des sites industriels s élèvent à kwh en 214, pour des dépenses de ,33. Les consommations sont en hausse de 14%. Cette évolution s explique par une régularisation des consommations de gaz du site des Fourches, suite au remplacement d un compteur défectueux. Pour la 4ème année consécutive, les dépenses sont en baisse (-2% en 214). Coût de l énergie Consommations (kwh) Dépenses ( ) Coût de l énergie ( /kwh) Ensemble des sites ,33,81 Les Fourches ,57,77 La Polle ,69,85 Le Breton ,7,22 Le coût moyen de l énergie atteint,81 /kwh en 214, ce qui représente une baisse de 13% par rapport à 213, principalement due à la diminution du prix du gaz naturel. Ce coût est 2,5 fois plus élevé pour le site du Breton qui ne consomme que de l électricité. Répartition des énergies Deux énergies sont utilisées sur ces sites : le gaz naturel, pour le chauffage des Fourches et de la Polle, et l électricité pour les autres usages ainsi que pour le site du Breton. Le coût du gaz naturel baisse de 15%, en revanche, l électricité voit son prix légèrement augmenter (2%). Consommations (kwh) Dépenses ( ) Coût unitaire ( /kwh) Gaz naturel 88 71, 51 48,6,63 Electricité , ,27,138 43

44 Consommation (kwh) Consommation par site et par énergie Les Fourches La Polle Le Breton gaz naturel électricité Dépenses ( ) Dépenses par site et par énergie Les Fourches La Polle Le Breton gaz naturel électricité Chauffage Le chauffage des sites des Fourches et de la Polle est assuré par du gaz naturel. En 214, les consommations pour cet usage se sont élevées à kwh pour 51 48,6, soit 76% des consommations totales d énergie pour 59% des dépenses. Sur l ensemble des sites, les consommations de gaz sont en baisse à l exception d un des compteurs des Fourches, en raison d une régularisation d un défaut de comptage en 212/213. Performances énergétiques et émissions de gaz à effet de serre En 214, aucun des sites industriels n utilise d énergie renouvelable. Les émissions totales de gaz à effet de serre s élèvent à 214,81 tonnes de CO 2. La hausse s explique par l augmentation des consommations de gaz. Tout comme les bureaux, les DPE réalisés pour les ateliers sont disponibles en annexe et sont synthétisés dans le tableau suivant : Emissions (tco 2 ) Emissions de gaz à effet de serre Consommations d énergie primaire Emissions de CO 2 kwh EP /m² Classe kg CO 2 /m² Classe Site des Fourches Site de la Polle Atelier des eaux (vie) 116 C 24 C Atelier de l'assainissement 137 C 25 C Atelier de la signalisation 129 C 25 C Atelier de la voirie (vie) 135 C 25 C Atelier du nettoiement 378 E 63 E Bâtiment mécanique 288 E 43 D Bâtiment OM 288 E 43 D Ambassadeur / logement 242 D 8 B 44

45 LES DECHETERIES ET LE CENTRE DE TRI Descriptif Le tri et le traitement des déchets s effectuent sur 3 sites : La déchèterie de Querqueville ; La déchèterie d Octeville ; Le site du Becquet, regroupant une déchèterie, la plate-forme de compostage et le centre de tri. Consommations et dépenses d énergie Consommations (kwh) Evolution des consommations et dépenses d'énergie du centre de tri et des déchèteries Consommations Dépenses Dépenses ( ) Les consommations totales des déchèteries et du centre de tri s élèvent à kwh en 214, pour des dépenses de ,34. Les consommations sont en baisse de 13% et les dépenses de 7%. Coût de l énergie Consommations (kwh) Dépenses ( ) Coût de l énergie ( /kwh) Ensemble des sites ,34,141 Déchèterie de Querqueville ,48,148 Déchèterie d Octeville ,85,158 Site du Becquet ,1,14 L intégralité de l énergie consommée est d origine électrique, ce qui explique son coût élevé (14,1c /kwh), en augmentation de 6% par rapport à 213. Le site du Becquet étant équipé de matériels fortement consommateurs, il est responsable de 9% des consommations et dépenses de l ensemble de ces sites. Chauffage Le centre de tri est chauffé à l électricité. Sur la base des consommations hiver/été, il est possible d estimer celles imputables au chauffage des locaux. En 214, le centre de tri a consommé kWh pour 2 45,4 pour cet usage, ce qui représente 38% des consommations et 37% des dépenses d énergie de ce site. L hiver plus doux a entrainé une diminution de 34% des consommations de chauffage et de 32% des dépenses. 45

46 Emissions de gaz à effet de serre et énergie renouvelable En 213, aucun des sites n utilise d énergie issue d une source renouvelable. Les émissions totales de gaz à effet de serre liées à l énergie pour les déchèteries et le centre de tri s élèvent à 34,5 tonnes de CO 2, produites par la consommation d électricité, dont 31 tonnes de CO 2 pour le seul site du Becquet. Les baisses de consommations depuis 21 entrainent une diminution des émissions de gaz à effet de serre. Emissions de gaz à effet de serre Emissions (tco 2 ) 6, 5, 4, 3, 2, 1,, Par ailleurs, la Communauté urbaine participe indirectement à la production d énergie renouvelable et à la réduction des émissions de gaz à effet de serre par le mode de traitement de ses déchets ménagers. En effet, depuis 211, la SPEN, prestataire en charge du traitement des déchets, valorise le biogaz de décharge par un système de cogénération. Ainsi, les déchets produits par la Communauté urbaine ont permis la production de MWh électriques et MWh thermiques, pour un total de MWh. A partir du taux moyen d émission des énergies thermiques en Basse Normandie, et électriques au niveau national, on peut estimer à 52 tco 2 la quantité de gaz à effet de serre non émise dans l atmosphère grâce à cette valorisation. 46

47 LES STATIONS D EPURATION Descriptif Les eaux usées de la Communauté urbaine sont traitées par deux stations d épuration : La station les Mielles, à Tourlaville, a traité m 3 d eaux usées en 214 ; La station les Rivières, à Equeurdreville-Hainneville, en cours de travaux en 214, en a traité m 3. Consommations et dépenses d énergie Consommations (MWh) Bilan global des consommations et dépenses d'énergie des stations d'épuration Consommations Dépenses Dépenses ( ) En 214, kwh ont été consommés par les stations d épuration, soit une diminution de 1% par rapport à 213. Sur le graphique apparaît nettement la mise en service progressive du nouveau process pour la station des Mielles, visant à améliorer la qualité environnementale des rejets. Les dépenses, en augmentation régulière depuis 29, amorcent une baisse de 4% en 214 et atteignent ,16. Cela s explique en partie par l augmentation du recours au biogaz produit sur place au dépend du gaz naturel. Coût de l énergie Consommations (kwh) Par m 3 Total d eau traité Dépenses ( ) Par m 3 Total d eau traité Coût de l énergie ( /kwh) Ensemble des sites , ,16,81,74 Station Les Mielles , ,95,97,71 Station Les Rivières , ,21,51,86 Les stations d épuration sont les sites les plus consommateurs de la communauté urbaine, cependant leur coût énergétique est le plus bas du patrimoine bâti (7,4c /kwh en moyenne) en raison de la production et de la consommation d énergie renouvelable. Répartition des énergies Trois types d énergie sont utilisés sur les stations d épuration : l électricité en usage spécifique, le biogaz pour le chauffage des boues et des locaux et Consommations (kwh) Dépenses ( ) Coût unitaire ( /kwh) Electricité ,18,97 Biogaz ,, Gaz naturel ,98,67 47

48 enfin le gaz naturel en substitution du biogaz. Consommation (MWh) Bilan des consommations par site et par énergie Les Mielles Les Rivières biogaz gaz naturel électricité Dépenses ( ) Bilan des dépenses par site et par énergie Les Mielles Les Rivières biogaz gaz naturel électricité Energies renouvelables Trois installations d énergies renouvelables sont mises en place sur les stations d épuration : une valorisation du biogaz sur chacune des stations, ainsi que des panneaux solaires photovoltaïques pour la station des Mielles. Les productions d énergies renouvelables (autoconsommées et vendues) s élèvent à kwh, soit 32% des consommations globales de ces sites. Cette production est en hausse de 11%. La valorisation du biogaz (autoconsommation et vente) a permis la production de kwh d énergie renouvelable. Pour la station des Mielles, le biogaz a été utilisé par l unité de cogénération qui a permis la production de kwh thermiques et kwh électriques vendu à EDF pour un gain de ,9. L énergie thermique de la cogénération sert au chauffage des boues d épuration. Pour la station des Rivières, en 214, le biogaz a été utilisé par la chaudière, pour une quantité de kwh. L électricité produite par les panneaux solaires photovoltaïques de la station des Mielles est intégralement vendue. En 214, cela représente kwh pour un gain de 3 15,97. Emissions de gaz à effet de serre Les consommations de gaz naturel et d électricité ont entrainé l émission de 655 tco 2, soit une baisse de 16% par rapport à 213, qui s explique par la baisse des consommations de gaz naturel. L utilisation d énergie renouvelable a également permis d éviter l émission de 428 tonnes de CO 2 (351 t CO 2 directes par la consommation sur place de chaleur et 77 tco 2 indirectes par l injection d électricité renouvelable dans le réseau). Emissions (tco 2 ) Emissions de gaz à effet de serre Par ailleurs, la valorisation du biogaz limite très fortement les émissions directes de méthane brûlé en torchère. Ainsi sur une production de m3 de biogaz sur la station des Mielles, seuls m3, soit 26%, sont brûlés à la torchère, les 74% restants sont valorisés. 48

49 Descriptif LES STATIONS DE RELEVEMENT DES EAUX USEES 14 stations de relèvement des eaux usées sont en fonctionnement. La station Quai Alexandre III, dont le compteur électrique mesure les consommations des eaux usées et pluviales, est traitée dans la partie suivante. Consommations et dépenses d énergie Consommations (kwh) Evolution des consommations et dépenses d'énergie de l'ensemble des stations de relèvement des eaux usées Consommations Dépenses Dépenses ( ) En 214, m 3 d eau usées ont été relevés par les stations, entrainant une consommation totale de kwh pour des dépenses de ,45. 3 stations (Batavia, Digues et Pont de Carreau) cumulent 89% de l eau relevée ainsi que 86% des consommations et 83% des dépenses globales. Coût de l énergie Volume Hauteur de Consommations Dépenses Prix de relevé relèvement l énergie Total (m3) (m) Wh/m.m 3 Total ( ) c /m.m 3 ( /kwh) (kwh) Ens. des stations , ,45,9,155 Digues , , ,25,1,145 Batavia , ,2 16 1,89,8,154 Pont de Carreau , , ,43,7,147 Collignon , , ,68,12,162 Quincampoix , , ,94,16,171 Malakoff , ,4 524,17,8,19 Place Divette , ,74 47,58,9,191 Etienne Dolet , , ,,2,183 La Cité de la Mer , ,73 381,65,19,243 Hameau de la Mer , ,37 364,66,89,363 La Jouannerie , ,77 58,46,24,243 France , 64 21,19 23,88,72,338 Saint Gilles 9 16, ,7 458,7,32,263 La Postellerie , ,64 239,79,56,284 49

50 L intégralité de l énergie consommée est d origine électrique. Néanmoins, le coût va dépendre de nombreux facteurs, comme la hauteur de relèvement, la quantité d eau relevée, les consommations et l abonnement. Ainsi, pour une moyenne de,155 /kwh, le coût s échelonne selon les stations de,145 à,363 /kwh. Cela représente une baisse globale de 2% pour l ensemble des sites. Emissions de gaz à effet de serre En 213, aucun des sites n utilise d énergie issue d une source renouvelable. Les émissions totales de gaz à effet de serre liées à l énergie pour les stations de relèvement des eaux usées s élèvent à 25 tonnes de CO 2, soit une hausse de 22% directement liée à l augmentation des consommations. Emissions de gaz à effet de serre Emissions (tco 2 )

51 Descriptif LES STATIONS DE RELEVEMENT DES EAUX PLUVIALES La Communauté urbaine dispose de trois stations de relèvement des eaux pluviales (Javain, Carnot et Alexandre III). Javain et Carnot ont la même fonction (elles pompent le Trottebecq), et sont alimentées par un seul point de comptage. Par ailleurs, les volumes de la station Alexandre III regroupent les eaux usées et les eaux pluviales. Consommations et dépenses d énergie Consommations (kwh) Evolution des consommations et dépenses d'énergie des stations de relèvement des eaux pluviales Consommations En 214, m3 d eau pluviales ont été relevés par les stations, entraînant une consommation totale de kwh pour des dépenses de ,36. Les dépenses ont augmenté de 14% alors que les consommations ont baissé de 4%. Cela s explique notamment par l augmentation du prix de l électricité, ainsi que par l augmentation de 21% du coût de l abonnement pour Javain. La part de l abonnement est prépondérante dans les dépenses d énergie de ces équipements : elle représente 57% des dépenses pour la station Alexandre III et 31% pour celle de Javain. Coût de l énergie Dépenses Volume prélevé (m 3 ) L intégralité de l énergie consommée est d origine électrique. L augmentation des prix a entrainé une hausse des couts moyens de 19% pour atteindre,46 /kwh. Emissions de gaz à effet de serre Consommations (kwh) Dépenses ( ) Prix de l énergie ( /kwh) Ensemble des stations ,36,46 Alexandre III ,47,712 Javain/Carnot ,89,367 Dépenses ( ) Aucun des sites n utilise d énergie issue d une source renouvelable. Leurs émissions totales de gaz à effet de serre liées à l énergie s élèvent à 6,9 tonnes de CO 2 Emissions (tco2) Emissions de gaz à effet de serre

52 Descriptif LES AUTRES EQUIPEMENTS LIES A L ASSAINISSEMENT En plus des stations d épuration et de relèvement, l assainissement compte également 2 bassins de dépollution (la Saline et Becquerel) ainsi que différentes stations de mesure. Consommations et dépenses d énergie Consommations (kwh) Evolution des consommations et dépenses d'énergie des autres équipements liés à l'assainissement Dépenses ( ) En 214, 3 51 kwh ont été consommés sur ces sites, principalement par les bassins (à 58%). Les dépenses s élèvent à 1 344,57, répartis à 47% pour les bassins et à 53% pour les stations. Consommations Dépenses Coût de l énergie Consommations (kwh) Dépenses ( ) Prix de l énergie ( /kwh) Ensemble des sites ,57,383 Bassin de dépollution Becquerel ,61,354 Bassin de dépollution de la Saline ,41,268 Station de mesure Rue Alfred de Musset 1 1,94 136,45 Station de mesure Rue du Breton ,26,348 Station de mesure boulevard de la Hague ,4,345 Station de mesure Rue René Fouquet ,8,362 Station de mesure Rue Bonhomme 32 98,51 3,88 L intégralité de l énergie consommée est d origine électrique. Son coût est très hétérogène selon les sites du fait des faibles consommations. Le coût de l abonnement est alors prépondérant dans les dépenses (53%) Emissions de gaz à effet de serre Aucun des sites n utilise d énergie issue d une source renouvelable. Leurs émissions totales de gaz à effet de serre liées à l énergie s élèvent à,23 tonnes de CO 2. Emissions (tco2) Emissions de gaz à effet de serre,25,2,15,1,5,

53 LES UNITES DE PRODUCTION D EAU POTABLE Descriptif La Communauté urbaine dispose de 4 unités de production d eau potable, qui comprennent les usines de potabilisation, les captages ou forages, ainsi que divers équipements nécessaires à leur bon fonctionnement : - la Divette : usine de la Vallée de Quincampoix, m3 d eau traités ; - le Val Saint Jean : usine du Val Saint Jean, forages des Charmettes et du Bas Cloquant, m3 d eau traités ; - la Traisnellerie : usine de la Traisnellerie, forages de la Rousselerie, de la Simonerie et de Tonneville, m3 d eau traités ; - enfin, l Asselinerie : m3 d eau traité. Consommations et dépenses d énergie Consommations (kwh) Evolution des consommations et dépenses d'énergie des unités de potabilisation Consommations Dépenses Dépenses ( ) En 214, m3 d eau potable ont été traités par les usines de potabilisation, soit 2% de plus qu en 213, pour des consommations de kwh (-3% par rapport à 213) et des dépenses de ,58 (+3%). L usine de la Divette à elle seule traite 76% du volume total. Sa part de consommation s élève à 84% de l ensemble des unités de potabilisation et 8% pour les dépenses. Coût de l énergie Volume d eau traité (m3) Consommations (kwh) Total Par m3 d eau traité Total ( ) Dépenses Par m3d eau traité (c ) Prix de l énergie ( /kwh) Ensemble des sites ,47* ,58 5,4*,15 La Divette ,5* ,78 5,2*,1 le Val Saint Jean , ,82 3,42,134 la Traisnellerie , ,35 4,42,15 l Asselinerie , ,63 9,58,126 * hors consommations liées au chauffage et activités administratives L intégralité de l énergie consommée est d origine électrique. Pour une moyenne de,15 /kwh, le coût s échelonne selon les unités de production de,1 à,15 /kwh. Cela représente une augmentation globale de 6% pour l ensemble des sites. 53

54 Emissions de gaz à effet de serre En 214, aucun des sites n utilise d énergie issue d une source renouvelable. Les émissions totales de gaz à effet de serre liées à l énergie s élèvent à 249,7 tonnes de CO 2. Emissions de gaz à effet de serre Emissions (tco2)

55 Descriptif LES CHATEAUX D EAU ET RESERVOIRS Associés aux usines de potabilisation de l eau, la Communauté urbaine gère également divers châteaux d eau et réservoirs, alimentés de manière gravitaire ou à l aide de pompes. Consommations et dépenses d énergie Consommations (kwh) Evolution des consommations et dépenses d'énergie des châteaux d'eau et réservoirs Dépenses ( ) En 214, les châteaux d eau et réservoirs ont utilisé kwh d énergie électrique, soit une augmentation de 5%, après plusieurs années de baisse. Les dépenses s accroissent de 9% et atteignent 65 68,74, en hausse régulière en raison de l augmentation continue du prix de l énergie Consommations Dépenses Coût de l énergie Type Nom du site Consommations (kwh) Dépenses ( ) Prix de l énergie ( /kwh) Ensemble des sites ,74,142 Réservoir ,63,193 Val Avril ,84,225 Val Canu ,56,215 Victor Hugo ,94,137 Réservoirs Banque à Genêts ,47,287 Dubost ,89,43 Bénécère ,93,247 Monturbet ,77,171 Cornat ,6,249 Montmartre ,13,475 Vanne Rue du Bois 56 19,4 1,969 Les Costils ,69,299 Refoulement ,83,188 Monturbet Pompes Fauconnière ,97,131 Crèvecœur ,79,137 Sainte Marie ,18,143 L intégralité de l énergie consommée est d origine électrique. Le coût moyen est de,142 /kwh, mais présente de fortes variations selon les sites en raison principalement des différences de consommations. 55

56 Emissions de gaz à effet de serre En 214, les émissions totales de gaz à effet de serre liées à l énergie pour les châteaux d eau et réservoirs s élèvent à 36,2 t de CO 2. Elles suivent la même tendance que les consommations. 5, Emissions de gaz à effet de serre Emissions (tco2) 4, 3, 2, 1,, Energies renouvelables Le château d eau du Monturbet est équipé depuis juin 213 de panneaux solaires photovoltaïques, dont la production est destinée à être consommée sur place. Elle est utilisée exclusivement dans le but d alimenter l éclairage par LED de mise en valeur du site. En 214, 156 kwh ont été produits et consommés sur place. Cette petite production d électricité participe à l introduction d énergie renouvelable dans le mix énergétique. 56

57 Descriptif LES AIRES DES GENS DU VOYAGE La Communauté urbaine a mis en place deux aires d accueil des Gens du Voyage. Selon les besoins, des branchements ponctuels peuvent également être mis en place. La collectivité prend en charge les consommations d énergie de ces sites. Consommations et dépenses d énergie Consommations (kwh) Evolution des consommations et dépenses d'énergie des aires des Gens du Voyage Consommations Dépenses Dépenses ( ) En 214, kwh ont été consommés par les aires d accueil, soit une diminution de 9% par rapport à 213. Les dépenses se sont élevées à ,16, soit 5% de moins qu en 213. Coût de l énergie Consommations (kwh) Dépenses ( ) Prix de l énergie ( /kwh) Total ,16,152 Jack Meslin ,84,146 Brecquecal ,63,156 Branchement provisoire ,69,536 L énergie consommée sur ces sites est exclusivement d origine électrique. Son coût moyen est de,152 /kwh, soit une hausse de 5% par rapport à 213. Emissions de gaz à effet de serre Aucun des sites n utilise d énergie issue d une source renouvelable. Leurs émissions totales de gaz à effet de serre liées à l énergie s élèvent à 11,14 tonnes de CO 2. Emissions (tco2) 14, 12, 1, 8, 6, 4, 2,, Emissions de gaz à effet de serre

58 LES AUTRES EQUIPEMENTS Descriptif La communauté urbaine prend en charge les dépenses d énergie de quelques autres sites, dont les usages sont très variés (centre d activités, bâtiment de stockage, espaces communs de logements, ). Par ailleurs, la communauté urbaine gère en direct la production et la vente d électricité photovoltaïque du centre d activité Louis Lumière, qui sont donc prises en compte dans cette partie. Consommations et dépenses d énergie En 214, kwh ont été consommés par ces sites, pour des dépenses de 25 43,18. Elles se répartissent entre 3 sources d énergie : - Electricité : kwh pour ,5 ; - Gaz naturel : kwh pour 8 983,3 ; - Et fioul domestique :2 398 kwh pour 1 588,65. Emissions de gaz à effet de serre Les émissions de gaz à effet de serre de ces différents sites s élèvent à 43,3 tonne de CO 2, dont 1,5t pour l électricité, 35,1t pour le gaz naturel et 6,7t pour le fioul domestique. Energies renouvelables Le centre d activité Louis Lumière est équipé depuis 212 de panneaux solaires photovoltaïques, dont la production est destinée à être vendue. La communauté urbaine gère cette installation et procède à la vente de l électricité produite à EDF. En 212, les panneaux ont produit kwh, vendus 1 4,77, frais d utilisation du réseau déduits. En 213, cette production a été multipliée par 2,3 et atteint kwh, pour un gain de 3 39,43. En 214, kwh ont été produits et vendus pour 5 453,23. Cette production d électricité participe à l introduction d énergie renouvelable dans le mix énergétique. 58

59 ANNEXE 2 : FACTEURS D EMISSION DES KILOWATTHEURES FINAUX Les facteurs de conversions sont exprimés en grammes d équivalent CO 2 par kilowattheure PCI d énergie finale. g eqco 2 /kwh ef Electricité de réseau 78 Gaz naturel, amont et combustion 241 Propane, amont et combustion 266 Butane, amont et combustion 266 Fioul domestique, amont et combustion 329 Essence pompe, amont et combustion 34 Gazole pompe, amont et combustion 322 GPL, amont et combustion 27 Energies renouvelables Sources : données issues de la Base carbone ANNEXE 3 : FACTEURS D EMISSION DE LA COMBUSTION DES CARBURANTS Ces facteurs d émission, exprimés en grammes d équivalent CO 2 par litre, concerne uniquement les émissions dues à la combustion des carburants. Ils sont utilisés pour l élaboration de la classification des véhicules selon l étiquette énergétique. g eqco 2 /L Essence pompe, combustion Gazole pompe, combustion GPL, combustion Fioul, combustion

60 ANNEXE 4 : DESCRIPTION DU PATRIMOINE BATI Code Bâtiment Usage Direction ou service Surface (m²) Consommations (kwh) Dépenses ( ) kwh/m² /m² A1 Hôtel de communauté Bureaux PDS et PAR ,9 156,32 16,43 A2 Pôle opérations et services techniques Bureaux Direction du POST ,88 114,95 11, A3 Centre industriel des Fourches Site industriel Voirie, signalisation, cycle de l'eau ,59 13,45 7,99 A4 Maison des syndicats Site industriel Syndicats ,98 43,65 3,55 A5 Centre industriel de la Polle Site industriel Propreté, mécanique ,69 24,87 17,48 A6 Centre industriel du Breton Site industriel Bâtiment ,7 4,96 1, E2 Site Anatole France Divers Autre ,88 F7 24 passage Digard Divers Autre ,95 F9 41 rue Grande Rue (Boël Meslin) Divers Autre ,85 G1 Station de relèvement E.U. Batavia Relèvement E.U. Assainissement ,89 G2 Station de relèvement E.U. Pont de Carreau Relèvement E.U. Assainissement ,43 G4 Station de relèvement E.P. Javain Relèvement E.P. Assainissement ,89 G6 Station de relèvement E.U. France Relèvement E.U. Assainissement 64 23,88 G7 Station de relèvement E.U. Malakoff Relèvement E.U. Assainissement ,17 G9 Usine d épuration Est Station d'épuration Assainissement ,95 G1 Station de relèvement E.U. Les Digues Relèvement E.U. Assainissement ,25 G11 Station de relèvement E.U. Collignon Relèvement E.U. Assainissement ,68 G12 Station de relèvement E.U. Etienne Dolet Relèvement E.U. Assainissement , G14 Station de relèvement E.U. La Jouannerie Relèvement E.U. Assainissement ,46 G15 Station de relèvement E.U. Saint Gilles Relèvement E.U. Assainissement ,7 G16 Usine d épuration Ouest Station d'épuration Assainissement ,21 G17 Station relèvement E.U. Hameau de la Mer Relèvement E.U. Assainissement ,66 G19 Bassin de la Saline Divers Assainissement ,41

61 Code Bâtiment Usage Direction ou service Surface (m²) Consommations (kwh) Dépenses ( ) kwh/m² /m² G2 Station de relèvement E.U. Place Divette Relèvement E.U. Assainissement ,58 G22 Station de relèvement E.U. Quincampoix Relèvement E.U. Assainissement ,94 G23 Station de relèvement E.U. et E.P. quai Alexandre III Relèvement E.P. Assainissement ,47 G24 Bassin de dépollution Becquerel Divers Assainissement ,61 G25 Station de relèvement E.U. Cité de la Mer Relèvement E.U. Assainissement ,65 G27 Station de relèvement la Postellerie Relèvement E.U. Assainissement ,79 Divers assainissement Divers Assainissement ,55 H1 Réservoir 14 Château d'eau Cycle de l'eau ,63 H3 Usine de pompage des Costils Château d'eau Cycle de l'eau ,69 H4 Station de traitement Val Saint Jean Production E.P. Cycle de l'eau ,87 H5 Station de pompage Sainte Marie Château d'eau Cycle de l'eau ,18 H6 Forage les Charmettes Production E.P. Cycle de l'eau ,21 H8 Château d eau Val Canu Château d'eau Cycle de l'eau ,56 H9 Château d eau Victor Hugo Château d'eau Cycle de l'eau ,94 H11 Réservoir d eau Dubost Château d'eau Cycle de l'eau ,89 H12 Château d eau de la Banque à Genet Château d'eau Cycle de l'eau ,47 H13 Réservoir de Montmartre Château d'eau Cycle de l'eau ,13 H14 Château d eau Cornat Château d'eau Cycle de l'eau ,6 H16 Usine de traitement de la Traisnellerie Production E.P. Cycle de l'eau ,1 H17 Usine de traitement de l Asselinerie Production E.P. Cycle de l'eau ,63 H21 Réservoir Benecere Château d'eau Cycle de l'eau ,93 H22 Réservoir Val Avril Château d'eau Cycle de l'eau ,84 H23 Vanne rue du Bois Château d'eau Cycle de l'eau 56 19,4 H24 Station de pompage Crèvecœur Château d'eau Cycle de l'eau ,79 H25 Usine des eaux Quincampoix Production E.P. Cycle de l'eau ,78 H26 Station de pompage lande de Tonneville Château d'eau Cycle de l'eau ,45 H27 Station de refoulement de la Fauconnière Production E.P. Cycle de l'eau ,97 61

62 Code Bâtiment Usage Direction ou service Surface (m²) Consommations (kwh) Dépenses ( ) kwh/m² /m² H29 Château d'eau Monturbet Production E.P. Cycle de l'eau ,77 H33 Station de refoulement du Monturbet Production E.P. Cycle de l'eau ,83 Divers eau Divers Cycle de l'eau ,54 I1 Déchèterie de Querqueville Déchèterie Propreté ,48 I2 Centre de traitement des résidus urbains Déchèterie Propreté ,1 I3 Déchèterie d Octeville Déchèterie Propreté ,85 L2 Centre d'innovation technologique Divers Autre ,3 O Gens du voyage Autres branchements Gens du voyage Autre ,69 O1 Aire des gens du voyage Brecquecal Gens du voyage Autre ,63 O2 Aire des gens du voyage Jack Meslin Gens du voyage Autre ,84 Divers Autres Divers Autre ,47 62

63 ANNEXE 5 : LISTE DES VEHICULES Véhicules particuliers Carburant Sous-catégorie Distance km Quantité L Montant Essence TOYOTA AURIS HYBRIDE ,55 73,52 Essence RENAULT CLIO ESSENCE ,6 59,85 Essence RENAULT CLIO ESSENCE ,18 624,96 Essence RENAULT CLIO ESSENCE ,4 597,3 Essence RENAULT CLIO ESSENCE ,24 189,86 Essence RENAULT CLIO ESSENCE , ,18 Essence RENAULT CLIO ESSENCE ,43 51,56 Essence KIA PICANTO ESSENCE ,34 871,28 Essence RENAULT CLIO ESSENCE ,44 161,45 Essence RENAULT CLIO ESSENCE ,33 388,46 Essence RENAULT MEGANE ESS 1.4 II ,46 393,84 Essence KIA PICANTO ESSENCE , ,28 Essence RENAULT CLIO ESSENCE , ,3 Essence RENAULT MEGANE ESS ,96 442,43 Essence RENAULT MEGANE ESS 1.4 II ,16 519,93 Essence RENAULT CLIO ESSENCE ,55 385,77 Essence KIA PICANTO ESSENCE , ,64 Essence PEUGEOT 26 ESSENCE ,62 339,2 Essence CITROEN BERLINGO ESS ,4 228,51 Essence RENAULT MEGANE ESS ,8 636,18 Essence RENAULT KANGOO ESS ,7 312,72 Essence RENAULT KANGOO ESS ,69 282,22 Essence CITROEN BERLINGO ESS ,89 72,55 Essence RENAULT CLIO ESSENCE ,51 114,52 Gasoil RENAULT CLIO 1.5 Dci , ,44 Gasoil RENAULT VEL SATIS 3. DCI , ,8 Gasoil RENAULT MEGANE 1.5 Dci ,48 317,74 Gasoil PEUGEOT 26 DIESEL 1.4HDI ,2 651,74 Gasoil RENAULT CLIO 1.5 Dci ,92 319,92 Gasoil RENAULT CLIO 1.5 Dci ,31 255,79 Gasoil RENAULT KANGOO 1.5 DCI ,44 39,38 Gasoil RENAULT MEGANE 1.5 Dci ,77 421,3 Gasoil RENAULT CLIO 1.5 Dci ,53 316,3 Gasoil PEUGEOT 26 DIESEL 1.4HDI ,29 593,24 Gasoil CITROEN NEMO DIESEL 1.2 HDI ,72 94,95 Gasoil CITROEN NEMO DIESEL 1.2 HDI ,81 634,11 Gasoil RENAULT KANGOO 1.5 Dci ,71 669,46 Gasoil C3 PICASSO HDI ,71 177,56 Gasoil PEUGEOT BIPPER 1.3 HDI ,5 93,58 GPL RENAULT CLIO GPL ,72 436,8 GPL RENAULT CLIO GPL , ,34 GPL RENAULT CLIO GPL ,27 754,6 GPL RENAULT CLIO GPL ,41 688,27 GPL RENAULT CLIO GPL ,84 66,98 GPL RENAULT KANGOO GPL ,58 728,

64 Véhicules de société Carburant Sous-catégorie Distance km Quantité L Montant Essence RENAULT TWINGO ESS ,24 616,85 Essence RENAULT CLIO ESSENCE ,7 533,58 Essence RENAULT TWINGO ESS ,55 548,65 Essence RENAULT TWINGO ESS ,84 624,89 Gasoil RENAULT CLIO 1.5 Dci ,24 562,85 Gasoil CITROEN C2 1.4 HDI ,23 184,26 Gasoil RENAULT CLIO 1.5 Dci ,82 723,37 Gasoil RENAULT CLIO 1.5 Dci ,12 656,55 Gasoil RENAULT CLIO 1.5 Dci ,27 686,63 Gasoil RENAULT CLIO 1.5 Dci ,71 518,65 Gasoil CITROEN C2 1.4 HDI ,29 228,21 Gasoil PEUGEOT 26 DIESEL 1.4HDI ,15 932,91 Gasoil RENAULT CLIO 1.5 Dci ,83 34,1 Gasoil RENAULT CLIO 1.5 Dci ,78 66,5 GPL RENAULT CLIO GPL ,2 483,42 GPL RENAULT CLIO GPL ,31 65,64 GPL RENAULT CLIO GPL ,86 385,84 GPL RENAULT CLIO GPL , ,67 GPL RENAULT CLIO GPL ,33 428,76 GPL RENAULT CLIO GPL ,74 681,76 GPL RENAULT CLIO GPL ,89 559,67 GPL RENAULT CLIO GPL ,58 732,85 GPL RENAULT CLIO GPL ,45 74,33 GPL RENAULT CLIO GPL ,65 385,36 GPL RENAULT CLIO GPL , , Fourgonnettes Carburant Sous-catégorie Distance km Quantité L Montant Essence CITROEN BERLINGO ESS , ,15 Essence PEUGEOT PARTNER ESS ,67 244,6 Essence CITROEN BERLINGO ESS , ,24 Essence CITROEN BERLINGO ESS , ,25 Essence CITROEN BERLINGO ESS , ,62 Essence PEUGEOT PARTNER ESS ,26 281,95 Gasoil PEUGEOT PARTNER 1.6 HDI , ,98 Gasoil RENAULT KANGOO EXP 1.5DCI ,4 797,2 Gasoil PEUGEOT BIPPER 1.3 HDI ,94 96,51 Gasoil PEUGEOT BIPPER 1.4 HDI ,83 588,91 Gasoil PEUGEOT PARTNER 1.6 HDI 8 7 6,74 759,68 Gasoil PEUGEOT BIPPER 1.4 HDI ,47 718,14 Gasoil FIAT FIORINO DIESEL ,95 672,56 Gasoil PEUGEOT PARTNER 1.6 HDI ,53 969,38 Gasoil PEUGEOT PARTNER 1.9 D , ,69 Gasoil RENAULT KANGOO EXP 1.5DCI ,72 67,38 Gasoil RENAULT KANGOO EXP 1.5DCI ,45 43,46 Gasoil PEUGEOT PARTNER 1.6 HDI , ,55 GPL RENAULT KANGOO GPL , ,4 GPL RENAULT KANGOO GPL ,31 95,

65 Bennes-cabine <3,5t Carburant Sous-catégorie Distance km Quantité L Montant Gasoil IVECO DAILY 35S1 2.3 HP , ,4 Gasoil PEUGEOT BOXER HDI , ,7 Gasoil IVECO DAILY DIESEL 2.3 HP , ,55 Gasoil IVECO DAILY DIESEL 2.3 HP , ,52 Gasoil IVECO DAILY DIESEL , ,41 Gasoil RENAULT MASTER BENNE 2.3 DCI , ,67 Gasoil RENAULT MASCOTT B 3. DCI , ,65 Gasoil BENNE OM VL 5M3 NISSAN , ,93 Gasoil ISUZU CABINE BENNE 3.5 T , ,99 Gasoil PEUGEOT BOXER HDI ,47 81,1 Gasoil RENAULT MASCOTT B 2.8 DCI , ,68 Gasoil RENAULT MASCOTT B 2.8 D ,57 899,64 Gasoil IVECO DAILY DIESEL 2.3 HP ,62 326,59 Gasoil RENAULT MASCOTT B 3. DCI , , Fourgons Carburant Sous-catégorie Distance km Quantité L Montant Gasoil RENAULT TRAFIC D 1.9 DCI ,32 1 1,37 Gasoil RENAULT MASTER 2.5 Dci ,6 1 99,55 Gasoil FIAT DUCATO DIESEL 2. L , ,27 Gasoil RENAULT TRAFIC D 1.9 DCI ,55 918,85 Gasoil RENAULT TRAFIC D 1.9 DCI , ,49 Gasoil RENAULT TRAFIC D 1.9 DCI , ,97 Gasoil RENAULT TRAFIC D 1.9 DCI ,68 988,47 Gasoil FIAT DUCATO DIESEL 2. L ,39 894,19 Gasoil RENAULT TRAFIC D 1.9 DCI , ,78 Gasoil PEUGEOT EXPERT 2. HDI ,54 595,95 Gasoil FIAT DUCATO DIESEL 2. L , ,48 Gasoil RENAULT TRAFIC D 1.9 DCI ,34 728,7 Gasoil CITROEN JUMPER DIESEL HDI , ,58 Gasoil RENAULT MASTER D 2.5 Dci , ,27 Gasoil OPEL MOVANO D , ,5 Gasoil RENAULT MASTER D 2.2 Dci , ,32 Gasoil PEUGEOT BOXER HDI 2.2 F ,5 664,22 Gasoil RENAULT TRAFIC D 2. DCI ,91 1,59 Gasoil RENAULT MASTER D 2.5 Dci , ,47 Gasoil RENAULT MASTER D 2.5 Dci , ,56 Gasoil RENAULT MASTER D 2.2 Dci , ,76 Gasoil CITROEN JUMPER DIESEL HDI , ,66 Gasoil RENAULT MASTER D 2.5 Dci ,72 7,17 Gasoil PEUGEOT BOXER HDI 2. F ,2 1 35,92 Gasoil PEUGEOT BOXER HDI 2. F ,67 64,69 Gasoil OPEL MOVANO D ,9 818,47 Gasoil RENAULT MASTER D 2.2 Dci , ,19 Gasoil RENAULT MASTER L2H2 DCI , ,49 Gasoil CITROEN JUMPER DIESEL HDI , ,88 Gasoil RENAULT MASTER D 2.5 Dci ,11 851,25 Gasoil RENAULT MASTER D 2.2 Dci ,4 724,37 Gasoil OPEL MOVANO D , ,67 Gasoil RENAULT MASTER D 2.5 Dci , ,95 Gasoil RENAULT MASTER DIESEL , ,56 Gasoil RENAULT MASTER D 2.5 Dci , ,

66 Poids lourds Carburant Sous-catégorie Distance km Quantité L Montant Gasoil IVECO DAILY 3. BENNE PL ,44 395,44 Gasoil RENAULT MASCOTT B 3. DCI , ,7 Gasoil RENAULT MASCOTT B 3. DCI , ,5 Gasoil BENNE TRAVAUX PUB , ,41 Gasoil DEPANNEUSE PLATEAU HYDRAU ,22 82,23 Gasoil BENNE OM FUSO 7 M , ,94 Gasoil BENNE AMOVIBLE CV , ,58 Gasoil BENNE TRAVAUX PUBLICS 1T , ,2 Gasoil BENNE TRAVAUX PUB T , ,74 Gasoil BENNE TRAVAUX PUBLIC 16T , ,58 Gasoil BENNE AMOVIBLE 25-3CV ,79 4 8,98 Gasoil BENNE OM 8 m3 MIDLUM 27 Dxi , ,68 Gasoil BENNE TRAVAUX PUBLIC 16 T , ,6 Gasoil BENNE TRAVAUX PUB T , ,94 Gasoil BENNE AMOVIBLE CV , ,36 Gasoil BENNE AMOVIBLE 25-3 CV , ,42 Gasoil BENNE AMOVIBLE 25-3CV , ,89 Gasoil BENNE TRAVAUX PUBLIC 19 T , ,3 Gasoil BENNE AMOVIBLE 35-4 CV ,3 2 43,5 Gasoil TRACTEUR ROUTIER SREM , ,51 Gasoil BENNE TRAVAUX PUBLIC 19 T , ,7 Gasoil BENNE OM 7 m3 Midlum , ,96 Gasoil HYDROCUREUSE 2 l RIVARD , ,79 Gasoil BENNE AMOVIBLE 4-45CV , ,72 Gasoil BENNE TRAVAUX PUBLIC 19 T , , Gasoil HYDROCUREUSE 3 l RIVARD , ,61 Gasoil BENNE AMOVIBLE 3-35CV , ,14 Gasoil HYDROCUREUSE 2 l RIVARD , ,62 Gasoil HYDROCUREUSE MISTRAL 26T , ,41 Gasoil BENNE OM 12 m3 MIDLUM 27 Dxi , ,61 Gasoil BENNE OM 12 m3 MIDLUM 27 Dxi , ,77 Gasoil HYDROCUREUSE 2 l , ,98 Gasoil BENNE OM 12 m3 MIDLUM 27 Dxi , ,36 Gasoil BENNE OM 14m3 DENNIS ,91 1 5,2 Gasoil BENNE OM 12 m3 MIDLUM 27 Dxi , ,8 Gasoil BENNE OM 14m3 DENNIS , ,3 Gasoil BENNE OM 12 m3 MIDLUM 27 Dxi , ,36 Gasoil BENNE OM 14 Premium 27 D , ,55 Gasoil BENNE OM 12 m3 MIDLUM 27 Dxi , ,64 Gasoil HYDROCUREUSE 3l HYDROVIDE ,7 9 22,1 Gasoil BENNE OM 14m3 DENNIS , ,36 Gasoil BENNE OM 14 Premium 27 D , ,96 Gasoil BENNE OM 14 Premium 27 D , 13 79,8 Gasoil BENNE OM 14 Premium 27 D , ,56 Gasoil DEPANNEUSE PL BERLIER ,45 296,91 Gasoil BENNE OM 21m3 Premium , ,73 Gasoil BENNE OM 14 Premium 27D , ,4 Gasoil BENNE OM 14 Premium 27 D , ,41 Gasoil BENNE OM 14 Premium 27 D , ,4 Gasoil BENNE OM 2m3 Premium , ,56 Gasoil BENNE AMOVIBLE 4-45 CV CAIS , ,6 GNR BI-CARB HYDROCUREUSE ,5 593,58 GNR BI-CARB HYDROCUREUSE ,8 648,94 GNR BI-CARB HYDROCUREUSE , ,78 Gasoil BALAYEUSE ASPI MAJOR , ,95 Gasoil BALAY-ASPI FAUN 2 B , ,96 Gasoil BALAY-ASPI SEMAT VS , ,5 Gasoil BALAY-ASPI SEMAT VS , ,66 Gasoil BALAY-ASPI SEMAT VS , ,

67 Engins Carburant Sous-catégorie Distance km Quantité L Montant GNR BALAY-ASPI APPLIED ,7 1 98,84 GNR LAVEUSE 9 BOSCHUNG L , 3 969,63 GNR LAVEUSE CMAR LC ,6 29,91 GNR LAVEUSE 1 BOSCHUNG L , ,29 GNR LAVEUSE 7 BOSCHUNG L ,4 73,77 GNR LAVEUSE 8 BOSCHUNG L , ,39 GNR BALAY-ASPI SCHMIDT , 9 16,3 GNR BALAY-ASPI RAVO , ,87 GNR MINI-PELLE TAKEUCHI TB ,7 263,78 GNR ELEVATEUR JCB + POSE BORD 79 12, 12,82 GNR MINI-PELLE TAKEUCHI TB ,7 125,69 GNR ELEVATEUR FENWICK 56 17,2 18,6 GNR ELEVATEUR JCB ,1 438,58 GNR CHARGEUSE KRAMER ALLRAD , ,59 GNR MINI-PELLE JCB ZTS ,8 613,6 GNR CHARGEUR ART + POSE BORD ,9 438,37 GNR CHARGEUR ART+ POSE BORD ,5 456,1 GNR ELEVATEUR MANITOU , 3 189,3 GNR ELEVATEUR JLG , 3 332,24 GNR TRACTEUR CASE MAXXUM , 7 452,68 GNR PELLE NEUSON , ,47 GNR TRACTO PELLE CASE 59SR ,6 4 67,84 GNR ELEVATEUR MANITOU ,8 1 16,59 GNR TRACTEUR CLAAS ARION 41 M CIS , ,42 GNR TRACTO PELLE FIAT , 2 359,51 GNR TRACTEUR AGRI FORD , ,41 GNR PELLE CASE WX , ,5 GNR CHARGEUSE LIEBHERR L , 5 381,23 GNR TRACTEUR A VOIRIE MF , 4 9,83 GNR CHARGEUSE LIEBHERR L , ,33 GNR ELEVATEUR MANITOU MLT , 1 812,37 GNR CHARGEUSE CASE 721D , 1 494,96 GNR TRACTEUR AGRI CASE PUMA , 4 93,

68 ANNEXE 6 : DIAGNOSTICS DE PERFORMANCE ENERGETIQUE 68

69 69

70 7

71 71

72 72

73 73

74 74

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ 1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre

Bilan des émissions de gaz à effet de serre Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de

Plus en détail

Incitations financières véhicules 2014

Incitations financières véhicules 2014 Marque : Consommation de carburant C02 inférieures ou égales à 100 g/km de 101 à 120 g/km VOITURE Énergie : Essence Les déplacements Comprendre Incitations financières véhicules 2014 Pour des véhicules

Plus en détail

Evaluation des émissions

Evaluation des émissions Evaluation des émissions de gaz à effet de serre générées par les activités de la Bourse de l Immobilier 28 Avenue thiers 33100 BORDEAUX Tél : 05 57 77 17 77 - Fax : 05 56 40 58 63 www.bourse-immobilier.fr

Plus en détail

Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement

Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1

Plus en détail

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars

Plus en détail

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011

Bilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011 Bilan des émissions de gaz à effet de serre 21-211 Méthode Bilan Carbone - Rapport final - février 212 II. DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE Page 6 Sommaire I. CONTEXTE III. ANNÉE DE REPORTING ET ANNÉE

Plus en détail

Fiche informative du Réseau Action Climat-France sur les certificats. d économie d énergie

Fiche informative du Réseau Action Climat-France sur les certificats. d économie d énergie Octobre 2006 Fiche informative du Réseau Action Climat-France sur les certificats d économie d énergie 1) Origine et objectif : C est en Angleterre, puis en Italie que le dispositif des certificats d économie

Plus en détail

GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE

GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE Politique Environnementale du Groupe UNILOGI 70.000 personnes logées au sein de notre patrimoine dans 210 communes sur 7 départements et 3 régions, xxx entreprises fournisseurs

Plus en détail

Bilan thermique et social simplifié

Bilan thermique et social simplifié Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement 34 Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 32 quai de Rouen 59 100 ROUBAIX Informations

Plus en détail

Base de données PEGASE www.industrie.gouv.fr/energie

Base de données PEGASE www.industrie.gouv.fr/energie Liberté Égalité Fraternité RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L'ÉCONOMIE DES FINANCES ET DE L'INDUSTRIE 600 550 500 450 400 350 300 En euros constants indice base 100 en 1973 PRIX DES ÉNERGIES Prix du pétrole

Plus en détail

Bilan d émissions de GES Banque Courtois 21/11/12 1

Bilan d émissions de GES Banque Courtois 21/11/12 1 Bilan d émissions de GES Banque Courtois 21/11/12 1 Bilan d émissions de gaz à effet de serre Banque Courtois A Description de la personne morale concernée : Raison sociale : BANQUE COURTOIS Sigle : BANQUE

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA

Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA 1. Description de la société Fromageries Bel SA : Code NAF : 1051C Code SIREN : 542.088.067, les numéros SIRET associés sont

Plus en détail

Pour une harmonisation des méthodes et des paramètres économiques. de comparaison entre les filières de production ou d économie d énergie

Pour une harmonisation des méthodes et des paramètres économiques. de comparaison entre les filières de production ou d économie d énergie Pour une harmonisation des méthodes et des paramètres économiques de comparaison entre les filières de production ou d économie d énergie Benjamin Dessus 13 mars 2013 www.global-chance.org 13 mars 2013

Plus en détail

la Contribution Climat Energie

la Contribution Climat Energie Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble

Plus en détail

LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP

LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP 2006 1 Généralités Terminologie Les solutions pour le client Les marchés La prestation L évaluation des postes Les entreprises Durée

Plus en détail

Résumé de l étude réalisée par CO 2 logic pour le compte de la STIB

Résumé de l étude réalisée par CO 2 logic pour le compte de la STIB Comparaison des émissions de CO 2 par mode de transport en Région de Bruxelles-Capitale Résumé de l étude réalisée par CO 2 logic pour le compte de la STIB 100% Papier recyclé Janvier 2008 Résumé Déplacer

Plus en détail

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour

Plus en détail

Gérard COLLOMB et ses équipes sont à l écoute de vos sollicitations et de vos demandes, car la Ville de demain se construit évidemment avec vous.

Gérard COLLOMB et ses équipes sont à l écoute de vos sollicitations et de vos demandes, car la Ville de demain se construit évidemment avec vous. Madame, Monsieur, Dans un courrier électronique en date du 10 février 2014, vous nous avez interrogés en matière de transition énergétique et de lutte contre le changement climatique. Nous vous prions

Plus en détail

Bilan thermique et social simplifié

Bilan thermique et social simplifié Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 72 rue de Rome 59 100 Roubaix Informations

Plus en détail

Un fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche

Un fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche Un fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche 1 1 1 Contexte et enjeux Un engagement territorial pour le climat Objectifs du plan climat d ici 2020 : les 3x20-20% des émissions de gaz à effet

Plus en détail

Conférence de presse

Conférence de presse Conférence de presse PRIMe Cool : Nouvelles aides financières pour les appareils électroménagers réfrigérants à basse consommation d énergie (A++) Bonus CAR-e : Extension du régime d aides financières

Plus en détail

Recensement des flottes de véhicules à motorisation alternative en Rhône-Alpes

Recensement des flottes de véhicules à motorisation alternative en Rhône-Alpes Recensement des flottes de véhicules à motorisation alternative en Rhône-Alpes Estimation du potentiel de développement SYNTHÈSE DES RÉSULTATS 2014 avec le soutien de Enquête 2014 Pour la seconde fois

Plus en détail

Réseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château

Réseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château Réseau de chaleur Cantagrelh Commune d Onet-le-Château Maître d ouvrage : Mairie d Onet-le-château 12, rue des Coquelicots BP 5-12850 Onet le Château Télécopie : 05 65 78 00 91 - www.onet-le-chateau.fr

Plus en détail

Diagnostic Gaz à effet de serre de l Institut National de Recherche en Sécurité (INRS)

Diagnostic Gaz à effet de serre de l Institut National de Recherche en Sécurité (INRS) Diagnostic Gaz à effet de serre de l Institut National de Recherche en Sécurité (INRS) 1. Description de la personne morale concernée Raison sociale : INRS, Association loi 1901 Code NAF : 7219Z Code SIREN

Plus en détail

La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre.

La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. Contexte / Objectifs La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. A titre d exemple, pour compenser les émissions

Plus en détail

ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en

ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE RESEAU DE CHALEUR DE L ECO- QUARTIER «CAP AZUR» A ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN : Un réseau de chaleur innovant,

Plus en détail

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les

Plus en détail

L énergie durable Pas que du vent!

L énergie durable Pas que du vent! L énergie durable Pas que du vent! Première partie Des chiffres, pas des adjectifs 9 Lumière S éclairer à la maison et au travail Les ampoules électriques les plus puissantes de la maison consomment 250

Plus en détail

EXPRIMEZ-VOUS LORS DU CHOIX DE VOS PNEUS : EXIGEZ DES PNEUS SÛRS, ÉNERGÉTIQUEMENT EFFICACES ET SILENCIEUX! WWW.ETIQUETTE-PNEUS.CH

EXPRIMEZ-VOUS LORS DU CHOIX DE VOS PNEUS : EXIGEZ DES PNEUS SÛRS, ÉNERGÉTIQUEMENT EFFICACES ET SILENCIEUX! WWW.ETIQUETTE-PNEUS.CH EXPRIMEZ-VOUS LORS DU CHOIX DE VOS PNEUS : EXIGEZ DES PNEUS SÛRS, ÉNERGÉTIQUEMENT EFFICACES ET SILENCIEUX! POUR DE MEILLEURS PNEUS SUR LES ROUTES SUISSES S exprimer lors du choix des pneus? Donner son

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre. Année 2011

Bilan des émissions de gaz à effet de serre. Année 2011 Bilan des émissions de gaz à effet de serre Année 2011 P a g e 2 Sommaire 1. Description de la personne morale concernée... 3 2. Année de reporting et année de référence... 5 3. Résultats consolidés...

Plus en détail

Plan d actions Bilan Carbone. Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions

Plan d actions Bilan Carbone. Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions Plan d actions Bilan Carbone Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions Patrimoine et services communaux Territoire d Uccle 1) Energie 8 2) Déplacements de personnes 5 3) Transport de marchandise

Plus en détail

Les coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois

Les coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois Les coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois La question des charges récupérables et non récupérables dans les logements collectifs CIBE Commission

Plus en détail

Bourbon Offshore Surf

Bourbon Offshore Surf Bourbon Offshore Surf 148, rue Sainte 13007 MARSEILLE Bilan réglementaire des Emissions de Gaz à Effet de Serre EKOS Ingénierie Le Myaris - 355, rue Albert Einstein 13852 Aix en Provence Cedex 3 Tél. 04.42.27.13.63

Plus en détail

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable

Plus en détail

La demande d énergie dans la transition énergétique : technologies et modes de vie dans les visions de l ADEME

La demande d énergie dans la transition énergétique : technologies et modes de vie dans les visions de l ADEME La demande d énergie dans la transition énergétique : technologies et modes de vie dans les visions de l ADEME François MOISAN Directeur exécutif Stratégie, Recherche, International Directeur Scientifique

Plus en détail

Grenoble ZAC de Bonne

Grenoble ZAC de Bonne Grenoble Evaluation énergétique 2010/2011/2012 Séminaire, directeurs de coopératives d HLM janvier 2014 4 rue Voltaire, 38000 Grenoble 04 76 00 19 09 www.alec-grenoble.org Association créée en 1998 En

Plus en détail

Incitations à l acquisition de véhicules neufs moins polluants en 2014

Incitations à l acquisition de véhicules neufs moins polluants en 2014 Incitations à l acquisition de véhicules neufs moins polluants Incitations à l acquisition de véhicules neufs moins polluants en 2014 2014 PREAMBULE Afin d inciter les particuliers, les entreprises et

Plus en détail

BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A. Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1

BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A. Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1 BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 2. PRESENTATION DE THALES SA... 3 2.1. Informations relatives à la personne morale... 3 2.2. Personne

Plus en détail

NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES

NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur

Plus en détail

En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies

En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES Quercy Energies Le réseau EIE en Midi-Pyrénées 4 premiers EIE créés en novembre 2001, toute la région est couverte en 2007 avec 11 CIE dans 9 EIE En MIDI- PYRENEES

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES)

Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES) Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES) BEGES TABLE DES MATIÈRES 1- INTRODUCTION 2 1-1 - OBJET 2 1-2 - LE CADRE REGLEMENTAIRE 2 1-3 - CONTENU DU RAPPORT 3 1-4 - DEFINITIONS 3 2- BILAN DES EMISSIONS

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

Guide pratique de l. éco agent. des gestes. simples. et quotidiens. pour agir

Guide pratique de l. éco agent. des gestes. simples. et quotidiens. pour agir éco agent Guide pratique de l des gestes simples et quotidiens pour agir 1 Edito Sommaire L électricité...3 Les équipements bureautiques...4 Le confort thermique...5 Le papier...6 Les déchets...7 Les déplacements...8

Plus en détail

Analyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012

Analyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012 Analyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012 Depuis 2006, les CCI de Rhône-Alpes, en partenariat avec l ADEME et le Conseil Régional, s attachent à promouvoir la maîtrise

Plus en détail

Aide à l'application EN-VD-72 Part minimale d énergie renouvelable Edition juillet 2014

Aide à l'application EN-VD-72 Part minimale d énergie renouvelable Edition juillet 2014 Direction générale de l environnement (DGE) Direction de l énergie Chemin des Boveresses 155 1066 Epalinges Aide à l'application EN-VD-72 Part minimale d énergie renouvelable Edition juillet 2014 Champ

Plus en détail

Economies d énergie Rénovation thermique des bâtiments

Economies d énergie Rénovation thermique des bâtiments climat d innovation Economies d énergie Rénovation thermique des bâtiments Les aides financières à disposition des ménages Edition 2012 Essayons d y voir plus clair 2/3 Les décisions du Grenelle de l Environnement

Plus en détail

La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues

La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues Sommaire 1. Etat des lieux 2. Un contexte favorable à une optimisation énergétique 3. Maximiser la production de biogaz 4. Quelques

Plus en détail

Production électrique : la place de l énergie éolienne

Production électrique : la place de l énergie éolienne Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique

Plus en détail

ENQUÊTE. Comparatif des modes de chauffage & Prix de vente de la chaleur en 2011. Série Économique RCE 15. Février 2013

ENQUÊTE. Comparatif des modes de chauffage & Prix de vente de la chaleur en 2011. Série Économique RCE 15. Février 2013 ENQUÊTE Comparatif des modes de chauffage & Prix de vente de la chaleur en 2011 Série Économique Réalisé avec le soutien technique et financier de RCE 15 Février 2013 AMORCE/ADEME SOMMAIRE Prix de vente

Plus en détail

Jean-Yves RICHARD ADEME

Jean-Yves RICHARD ADEME «Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement

Plus en détail

RÉDUIRE LES EFFETS DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES SUR L ENVIRONNEMENT

RÉDUIRE LES EFFETS DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES SUR L ENVIRONNEMENT DIRCTION D LA COMMUNICATION CORPORAT D O S S I R D PRSS Lyon / Mars 2013 RÉDUIR LS FFTS DU TRANSPORT ROUTIR D MARCHANDISS SUR L NVIRONNMNT Pour réduire les effets sur l environnement tout au long du cycle

Plus en détail

Animation du Plan Bois Energie sur les Pyr. Animation du. Animation, Information. Conseils et accompagnement des projets.

Animation du Plan Bois Energie sur les Pyr. Animation du. Animation, Information. Conseils et accompagnement des projets. Le Bois Énergie Animation du Plan Bois Energie sur les Pyr Animation du sur les Pyrénées Orientales Animation, Information Conseils et accompagnement des projets Réalisation de pré-diagnostics tecnico-économiques

Plus en détail

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du

Plus en détail

SOLAIRE BALLERUP LA VILLE CONTEXTE. (Danemark) Ballerup

SOLAIRE BALLERUP LA VILLE CONTEXTE. (Danemark) Ballerup SOLAIRE BALLERUP (Danemark) Utiliser l énergie solaire thermique avec un système de stockage de chaleur classique à accumulation et à régulation sur une longue période est une des alternatives les plus

Plus en détail

Les Certificats d économie d énergie. Éclairage Public

Les Certificats d économie d énergie. Éclairage Public Les Certificats d économie d énergie Éclairage Public Principe Obligation des fournisseurs d'énergie («obligés») à réaliser des actions d'ure ou acheter CEE, sinon pénalité Autres acteurs («éligibles»)

Plus en détail

GLEIZE ENERGIE SERVICE

GLEIZE ENERGIE SERVICE GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...

Plus en détail

SERVICE PATRIMOINE CONSULTATION POUR DEMANDE DE DEVIS

SERVICE PATRIMOINE CONSULTATION POUR DEMANDE DE DEVIS SERVICE PATRIMOINE CONSULTATION POUR DEMANDE DE DEVIS CAHIER DES CHARGES RELATIF A UN AUDIT DE PERFORMANCE ENERGETIQUE DE L'INSTITUT FRANÇAIS DE MECANIQUE AVANCEE Date limite d envoi de l'offre : 30 avril

Plus en détail

Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante

Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Juillet 2011/White paper par Christophe Borlein membre de l AFF et de l IIF-IIR Make the most of your energy Sommaire Avant-propos

Plus en détail

GUIDE FISCAL. L essentiel de la fiscalité liée à l achat et à l utilisation professionnelle d une automobile. Guide offert par FAL Fleet Services

GUIDE FISCAL. L essentiel de la fiscalité liée à l achat et à l utilisation professionnelle d une automobile. Guide offert par FAL Fleet Services GUIDE FISCAL L essentiel de la fiscalité liée à l achat et à l utilisation professionnelle d une automobile. «Document à titre indicatif. La responsabilité de FAL Fleet Services ne pourra pas être engagée

Plus en détail

Stratégie Carbone et Energie de la STIB à l horizon 2030

Stratégie Carbone et Energie de la STIB à l horizon 2030 Stratégie Carbone et Energie de la STIB à l horizon 2030 Mai 2014 Introduction 03 Diagnostic pour l année 2010 04 Paramètres d influence 05 Actions visant à réduire les émissions 06 Modélisation 07 Scénarios

Plus en détail

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4

Plus en détail

Financement de la réhabilitation des logements

Financement de la réhabilitation des logements Financement de la réhabilitation des logements Quels instruments disponibles? La gamme des outils Aides directes de l Etat et des collectivités locales Subventions nationales et locales Défiscalisation

Plus en détail

La combinaison. naturelle DAIKIN ALTHERMA HYDRIDE POMPE À CHALEUR CHAUFFAGE ET EAU CHAUDE SANITAIRE. Informations préliminaires

La combinaison. naturelle DAIKIN ALTHERMA HYDRIDE POMPE À CHALEUR CHAUFFAGE ET EAU CHAUDE SANITAIRE. Informations préliminaires La combinaison naturelle DAIKIN ALTHERMA HYDRIDE POMPE À CHALEUR CHAUFFAGE ET EAU CHAUDE SANITAIRE Informations préliminaires 2 Le futur c'est maintenant 3 et le futur est plus respectueux de l'environnement,

Plus en détail

Études & documents ÉCONOMIE ET ÉVALUATION. Les véhicules électriques en perspective. n 41. Analyse coûts-avantages et demande potentielle.

Études & documents ÉCONOMIE ET ÉVALUATION. Les véhicules électriques en perspective. n 41. Analyse coûts-avantages et demande potentielle. COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE Études & documents n 41 Mai 2011 TRANSPORT Les véhicules s en perspective Analyse coûts-avantages et demande potentielle ÉCONOMIE ET ÉVALUATION Service de

Plus en détail

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE

Plus en détail

Atelier énergies. Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique

Atelier énergies. Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique CONGRÈS DES ECO-TECHNOLOGIES POUR LE FUTUR 2012 Atelier énergies Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique 14 juin 2012 Lille

Plus en détail

Nos engagements Développement Durable

Nos engagements Développement Durable 1. Montpellier Events s'est engagé à PROTEGER L'ENVIRONNEMENT PRODUCTION D'ENERGIE VERTE La Park&Suites Arena vend sa production d'électricité "verte" au réseau EDF depuis le 2 Décembre 2010, grâce au

Plus en détail

agissez, un Clima cteur engagé! devenez vous aussi Vous souhaitez contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre?

agissez, un Clima cteur engagé! devenez vous aussi Vous souhaitez contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre? agissez, devenez vous aussi un Clima cteur engagé! Vous souhaitez contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre? Mulhouse Alsace Agglomération s est associée au site «Le climat entre

Plus en détail

Réduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique

Réduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique Réduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique Florent PERRIN Responsable région Rhône Alpes CleanTuesday Rhône-Alpes Juin 2010 CONTEXTE ENVIRONNEMENTAL Le GIEC a confirmé que

Plus en détail

T. BONNARDOT 17/12/2010

T. BONNARDOT 17/12/2010 CYTHELIA Conseil & Expertise La Maison ZEN 350, route de la traverse 73 000 MONTAGNOLE Tel +33 (0) 4 79 25 31 75 www.cythelia.fr SARL au capital de 140 000 - RCS Chambéry B 393 290 937 - APE 7219 Z RT

Plus en détail

Économiser l Électricité

Économiser l Électricité Économiser l Électricité c est simple Document réalisé par l Agence Régionale Pour l Environnement Midi-Pyrénées Agence Régionale Pour l Environnement Midi-Pyrénées Observatoire Régional de l Énergie Midi-Pyrénées

Plus en détail

L enfouissement des déchets ultimes

L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)

Plus en détail

U N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E 719 Les voitures électriques

U N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E 719 Les voitures électriques U N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E 719 Les voitures électriques par 78310 Maurepas michel.meallet@orange.fr RÉSUMÉ Pourquoi se poser des questions sur les voitures

Plus en détail

Utilité écologique du recyclage du PET en Suisse

Utilité écologique du recyclage du PET en Suisse Récapitulatif de l étude Utilité écologique du recyclage du PET en Suisse réalisé par Dr. Fredy Dinkel Carbotech AG, Bâle par ordre de PRS - PET-Recycling Schweiz Contact PRS - PET-Recycling Schweiz Naglerwiesenstrasse

Plus en détail

smart mobility : gestion de la flotte automobile chez Orange

smart mobility : gestion de la flotte automobile chez Orange smart mobility : gestion de la flotte automobile chez Orange dossier de presse septembre 2013 Sylvie Duho Mylène Blin 01 44 44 93 93 service.presse@orange.com 1 la flotte automobile d Orange en chiffres

Plus en détail

Suivi des émissions de gaz à effet serre causées par l'achat d'électricité

Suivi des émissions de gaz à effet serre causées par l'achat d'électricité Suivi des émissions de gaz à effet serre causées par l'achat d'électricité Un résumé du Guide Scope 2 du Greenhouse Gas Protocol Rédigé par le Secrétariat EKOénergie, janvier 2015 Ce résumé existe en plusieurs

Plus en détail

les chiffres clés de l énergie en Guadeloupe Publication 2013

les chiffres clés de l énergie en Guadeloupe Publication 2013 OBSERVATOIRE régional de l énergie et du climat Publication 2013 les chiffres clés de l énergie en Guadeloupe bilan 2012 En Bref. Après une très forte progression entre 2000 et 2010 (plus de 40 %), les

Plus en détail

Le confort toute l année

Le confort toute l année Le confort toute l année Altherma de Daikin, c est une solution performante pour le chauffage de votre maison, mais pas seulement! C est aussi votre source d eau chaude sanitaire, ainsi que votre système

Plus en détail

L ÉNERGIE EN MAYENNE. Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers. Acteurs. de la transition énergétique. en Mayenne

L ÉNERGIE EN MAYENNE. Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers. Acteurs. de la transition énergétique. en Mayenne Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers Acteurs de la transition énergétique en Mayenne Les dépenses énergétiques en Mayenne sont de 1.5 million d euros par jour ou 550 millions d euros par

Plus en détail

Quelle place pour le. bois énergie. dans le logement social? Réalisé par : En collaboration avec :

Quelle place pour le. bois énergie. dans le logement social? Réalisé par : En collaboration avec : Quelle place pour le bois énergie dans le logement social? Réalisé par : En collaboration avec : Quelle place pour le bois énergie dans le logement social? UN OUTIL pour la maîtrise des charges locatives

Plus en détail

ECONOMIE D ENERGIE DES APPAREILS ELECTROMENAGERS : POURQUOI PAYER PLUS POUR CONSOMMER MOINS? ENQUETE ET PROPOSITIONS DE L UFC-QUE CHOISIR

ECONOMIE D ENERGIE DES APPAREILS ELECTROMENAGERS : POURQUOI PAYER PLUS POUR CONSOMMER MOINS? ENQUETE ET PROPOSITIONS DE L UFC-QUE CHOISIR ECONOMIE D ENERGIE DES APPAREILS ELECTROMENAGERS : POURQUOI PAYER PLUS POUR CONSOMMER MOINS? ENQUETE ET PROPOSITIONS DE L UFC-QUE CHOISIR L enquête L UFC-Que Choisir vient de réaliser une enquête sur les

Plus en détail

Plate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière

Plate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...

Plus en détail

RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS

RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS 1 SITUATION DE L ÉTUDE Les données météorologiques sont des données primordiales pour le bon déroulement des calculs et pour avoir des résultats les plus proches de la réalité.

Plus en détail

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004 Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)

Plus en détail

Qu'est-ce que la biométhanisation?

Qu'est-ce que la biométhanisation? Qu'est-ce que la biométhanisation? La biométhanisation consiste en une série d'opérations de dégradations biologiques de matières organiques qui se produisent en l'absence d'oxygène. Les produits résultants

Plus en détail

Que nous enseigne la base de données PAE?

Que nous enseigne la base de données PAE? Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu

Plus en détail

allianceautopropane.com

allianceautopropane.com allianceautopropane.com QUI EST ALLIANCE AUTOPROPANE? LE PLUS GRAND RÉSEAU D AUTOPROPANIERS EN AMÉRIQUE Alliance AutoPropane est un réseau de propaniers qui se consacre à la distribution et à la vente

Plus en détail

Préfecture du Territoire de Belfort. Charte Eco-Responsable

Préfecture du Territoire de Belfort. Charte Eco-Responsable Préfecture du Territoire de Belfort Charte Eco-Responsable Mai 2009 UN ETAT ECO-RESPONSABLE "Notre maison brûle et nous regardons ailleurs. La nature, mutilée, surexploitée, ne parvient plus à se reconstituer

Plus en détail

Comment financer sa stratégie d efficacité énergétique

Comment financer sa stratégie d efficacité énergétique Partageons le succès de nos expériences Comment financer sa stratégie d efficacité énergétique Pascal Lesage Directeur Commercial 06 86 68 85 92 01 41 42 33 95 14 Novembre 2014 5 domaines d intervention

Plus en détail

RÉDUISEZ VOS CONSOMMATIONS ALLÉGEZ VOS FACTURES ÉNERGÉTIQUES

RÉDUISEZ VOS CONSOMMATIONS ALLÉGEZ VOS FACTURES ÉNERGÉTIQUES RÉDUISEZ VOS CONSOMMATIONS ALLÉGEZ VOS FACTURES ÉNERGÉTIQUES «Lean Energy Analysis» : une étude de 3e-performance pour traquer vos gaspillages et bâtir une stratégie d action 1 LEAN ENERGY ANALYSIS: DISTINGUER

Plus en détail

Appuis de l ADEME à la Transition Energétique dans les Transports

Appuis de l ADEME à la Transition Energétique dans les Transports Appuis de l ADEME à la Transition Energétique dans les Transports Jérôme CICILE Transports, Mobilité, Qualité de l Air ADEME Direction Régionale PACA ORT- Avril 2015 De l évaluation des filières énergétique

Plus en détail

LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE

LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE Bernard LAPONCHE 18 mai 2011 www.global-chance.org LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE UNE COMPARAISON

Plus en détail

Simplifiez-vous la rénovation énergétique avec Énergies POSIT IF

Simplifiez-vous la rénovation énergétique avec Énergies POSIT IF Simplifiez-vous la avec www.energiespositif.fr , les spécialistes de la et de son financement en Île-de-France 400 000 logements franciliens à rénover d ici à 2020, c est 18 % des copropriétés L énergie

Plus en détail

CHAUFFAGE. choisissez intelligemment votre confort POURQUOI PAS DES ÉCONOMIES D ÉNERGIE? Avec le soutien de la Région de Bruxelles-Capitale

CHAUFFAGE. choisissez intelligemment votre confort POURQUOI PAS DES ÉCONOMIES D ÉNERGIE? Avec le soutien de la Région de Bruxelles-Capitale POURQUOI PAS DES ÉCONOMIES D ÉNERGIE? CHAUFFAGE choisissez intelligemment votre confort Avec le soutien de la Région de Bruxelles-Capitale AGENCE BRUXELLOISE DE L ÉNERGIE Le Centre Urbain asbl Chauffage

Plus en détail

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour

Plus en détail

Contribution des industries chimiques

Contribution des industries chimiques Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,

Plus en détail

GUIDE de L ÉCO CITOYEN. au BUREAU

GUIDE de L ÉCO CITOYEN. au BUREAU GUIDE de L ÉCO CITOYEN au BUREAU SUIVEZ LE GUIDE...................................................................... p.03 QUELS BESOINS, QUELS IMPACTS? ce qui est consommé ce qui est rejeté > Transport

Plus en détail

FICHE FISCALITE 2014 LA FISCALITÉ AUTOMOBILE : GÉNÉRALITÉS & SPÉCIFICITÉS POUR LES VÉHICULES PARTICULIERS MÉMENTO SUR LA FISCALITÉ AUTOMOBILE.

FICHE FISCALITE 2014 LA FISCALITÉ AUTOMOBILE : GÉNÉRALITÉS & SPÉCIFICITÉS POUR LES VÉHICULES PARTICULIERS MÉMENTO SUR LA FISCALITÉ AUTOMOBILE. FICHE FISCALITE 2014 MÉMENTO SUR LA FISCALITÉ AUTOMOBILE Page 1 SOMMAIRE LES AVANTAGES EN NATURE :... 3 2 modes de calcul :... 3 Mode n 1 : le calcul selon les dépenses au réel :... 3 Mode n 2 : le calcul

Plus en détail