Journée du Réseau Vies 37 du jeudi 27 mars Présentation de Geneviève Bréchon. I/ Définition du deuil : processus de deuil ou travail de deuil?

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1 Journée du Réseau Vies 37 du jeudi 27 mars Présentation de Geneviève Bréchon Le deuil I/ Définition du deuil : processus de deuil ou travail de deuil? 1) Le «travail de deuil» permet de canaliser la douleur de la perte mais n aboutit pas à l oubli. Il garantit au contraire le non- oubli. C est pour cela que l on parle plutôt de processus de deuil. Le deuil est d abord un vécu physique où le corps parle sa douleur par un épuisement qu aucun repos ne semble pouvoir compenser. C est aussi un état psychologique effrayant par son intensité : mobilisation de l esprit en continu C est enfin un événement social et relationnel qui remet en question le rapport avec soi- même et avec autrui. 2) Il n y a deuil que s il y a attachement. S il n y a pas de lien entre soi et la personne décédée, il n y a pas nécessité psychique à un processus de deuil. Donc les liens de sang ne sont pas ceux qui déterminent l intensité du deuil, c est le degré d attachement à la personne disparue qui est le plus important. 3) A une personne correspond un deuil. Singularité du processus. Il n existe pas de deuil «type». 4) Le processus de deuil se fera qu on le veuille ou non. C est un processus naturel qui tend vers la guérison psychique. Si le processus s interrompt, quand il se remet en route on retrouve sa douleur intacte, au point où on l avait laissée. 5) Donc on ne peut pas échapper à la souffrance de la séparation en tentant de la court- circuiter. (cf. médicaments). Le deuil tendra toujours vers la confrontation des émotions pour ensuite s en libérer et la confrontation aura lieu dans le présent. 6) Le deuil du présent réactive les deuils du passé c'est- à- dire toutes les pertes, les séparations, les abandons, les ruptures ayant eu lieu dans son histoire. Il y a deux versants dans ce phénomène de réactivation : a) si les deuils du passé ont été harmonieusement assimilés, la réactivation des événements passés peut faciliter le cours du deuil actuel en aidant la personne à puiser dans ses expériences du passé. b) Si les deuils antérieurs ont échoué, sont restés bloqués ils ressurgiront dans le présent au point de parasiter le cours du deuil. 7) Le deuil n est pas un processus linéaire. Cf. systémie processus de feed back avec régressions et fixations 8) Le deuil porte en lui toute la relation avec la personne aimée et non le seul vécu de l absence. Donc la tonalité de deuil à venir est directement conditionnée par tout ce 1

2 qui a été vécu auparavant dans la relation, avant le décès, de la nature de la relation qu on avait. Ex : climat psychologique, degré de dépendance par rapport à la personne Il y a également le temps de l accompagnement c'est- à- dire le temps passé avec la personne malade. Evidemment ce temps est shunté dans la mort par suicide. 9) Les circonstances de la mort. Il n y a pas de hiérarchie dans la souffrance. Quand on perd quelqu un qu on aime, l intolérable douleur de l absence s impose que la personne soit morte dans un accident de voiture ou de maladie. Cependant, les derniers instants de la vie et les circonstances de la mort influencent fortement la capacité à mobiliser ses moyens de défense et la façon de se reconstruire après le décès. Exemple du suicide à partir du livre «La vie quand même. Survivre et renaître après la mort de son enfant» Elisabeth et Eric de Gentil- Baichis Ed. Chronique Sociale. Absence de prédictibilité et de sens + Culpabilité. Dans la mort attendue on mobilise un temps d ajustement et de préparation, des mécanismes de défense contre la souffrance. L accompagnement marque souvent le début du deuil, deuil du futur à partager Importance de l accompagnement ex du psychiatre dans un couple confronté au suicide de leur fille «c est le seul lieu où nous parlons ensemble». paroles du psychiatre : «il est très difficile de donner des conseils en vue d aider un couple qui vit un drame. Ce qui sera mon premier objectif c est d aider à créer un avenir possible et pour cela dans une situation de traumatisme majeur, il est essentiel de renforcer la solidarité entre chacun des membres de la famille et donc de faire circuler la parole le mieux possible. En effet, le drame a tendance à séparer, chacun est dans sa douleur, parfois incapable d échanger, ou alors voulant épargner l autre de souffrir plus.» 10) Les séquelles traumatiques sont liées aux circonstances du décès. Lors d un suicide, un double processus se met en place, un processus de deuil lié à la perte de la personne aimée et un processus traumatique lié aux circonstances spécifiques du décès. Le cerveau ne parvient pas à traiter l information parce qu elle est trop violente, elle le submerge. Le traumatisme reste intact au niveau psychique et demeure toujours aussi actif sous la forme de séquelles invalidantes. PTSD ou syndrome de stress post- traumatique. Caractéristiques : réactivation chargée émotionnellement de l événement traumatique sous forme de flashs qui s imposent soudain à soi, d images intrusives ou de cauchemars à répétition autour du même thème. Etat de stress chronique intense, les personnes vivent dans la hantise d une nouvelle catastrophe. Hyper vigilance qui les rend vulnérables au moindre stress avec des difficultés de concentration, des problèmes de sommeil, d anxiété et même une dépression d épuisement. Attitudes d évitement de toutes les circonstances qui sont en lien avec l événement traumatique initial. Attention, toute personne exposée à un 2

3 traumatisme ne développera pas un PTSD. Quand il apparait c est souvent entre un mois et trois mois après l événement traumatique, parfois même plus tard. II / Le processus de deuil De façon schématique, on peut décrire 4 étapes 1) La phase de choc, de sidération, de déni : une partie de soi- même semble pour un temps inaccessible à la réalité. On est incrédule. Il y a une forme de non- reconnaissance par un besoin urgent de se protéger. Ce temps de «protection psychique» va permettre d intégrer le 1 er niveau du deuil : reconnaître qu on a perdu quelqu un qu on aimait. C est seulement plus tard qu on devra se confronter à un deuxième niveau : reconnaître que cette perte est définitive. Le déni peut être parfois massif et il faut du temps pour une prise de conscience de la réalité de la perte. La personne doit y arriver par elle- même. L anesthésie des émotions dans cette 1 ère étape est également fréquente. On peut être surpris par la capacité de la personne en deuil à accuser le coup des événements avec une relative distance. On peut même s étonner de l absence de toute émotion. Cette mise à distance de toute émotion doit être considérée comme une alliée qui permet d entrer à son propre rythme dans le processus de deuil et de se préserver contre la violence d une trop grande douleur. Le besoin de voir pour croire, fait partie de l étape nécessaire pour sortir du déni. Pouvoir constater par soi- même que la personne est morte est une des conditions essentielles pour une progression de ce processus de deuil. La perte demande à être «incarnée» pour qu on puisse l accepter. Si le corps n est pas vu, il est utile d organiser un rituel religieux, ou non, car c est sur ce support que vont s initier les premiers temps du deuil. Les rituels ont aussi une signification sociale en plus de la signification psychologique. Ils aident à s identifier soi- même comme étant en deuil. Le deuil est socialement validé par les autres avec deux conséquences : premièrement se sentir connecté à une communauté et acquérir de ce fait une protection extérieure et deuxièmement avoir le droit au deuil. (ex avoir le droit d être en pleurs, en colère ). L agitation avant le silence : après le décès les repères se modifient. La mort passe dans le domaine public (publication des avis d obsèques temps de convenances sociales ). Il est difficile dans cette période d effectuer un temps de retour sur soi- même et cette hyperactivité est protectrice pour mettre la douleur à distance mais elle ne disparaît pas pour autant. La première confrontation à l absence, le premier mouvement de retour à soi de l énergie qu on investissait dans l autre est la première réelle confrontation à la perte. Plus le temps passe, plus on sent grandir une douleur inconnue dont l intensité ne cesse d augmenter. On ne peut rien faire pour atténuer cette souffrance. 3

4 Les épisodes de décharge émotionnelle, peuvent survenir à tout moment et on peut être persuadé qu on est en train de craquer psychologiquement ou de perdre la tête. Ce comportement est complètement normal et prévisible, il est même souhaitable car l organisme a besoin d évacuer une surcharge émotionnelle. Cette 1 ère étape du deuil peut prendre quelques jours comme quelques semaines. Il faut s inquiéter si la phase de sidération ou de déni va au- delà d un mois environ car cette durée prolongée indique parfois le signe d un deuil compliqué. Cela peut être le cas à la suite d un suicide d un proche. 2) L entrée dans l étape suivante du deuil va être la phase de fuite /recherche : celle- ci va durer en moyenne entre 6 et 10 mois. Cela signifie que l étape suivante, la troisième étape du deuil débutera presque un an après le décès, et cette étape durera à son tour plusieurs mois. Confusion et désorientation : la perte de repères est tellement déstabilisante qu elle peut entraîner chez certains une crise d identité. Etre là et ne pas être là (cf. témoignage du livre). Page 61 «c est une plongée dans les ténèbres et une vie à reconstruire. C est un choc émotionnel d une violence inouïe. On peut être dévasté des années, voire toute sa vie après le suicide d un proche. Pour revivre, il faut accepter de tomber soi- même très bas, d aller dans les profondeurs de son âme chercher des forces vives Il faut trouver des personnes capables de nous entendre nous débattre dans une explosion de sentiments contradictoires, mélange de colère, de rage, d impuissance, de regrets, de culpabilité, d amour, de peur. Il faut apprendre à se reconnecter avec soi- même, se poser les questions essentielles, quelle est ma place? quel regard porter sur le monde?» La fuite a pour fonction de se protéger d une agression. Seul moyen de se préserver du traumatisme de la perte. Ex de l hyperactivité ; fuite en avant, on tente tout ce qui est en son pouvoir pour ne pas souffrir. Cette tentative de fuir la souffrance est un temps normal d ajustement à cette nouvelle situation, c est un espace de transition entre le monde d avant et la vie à venir. La recherche de l autre s opère à un niveau conscient et inconscient. Elle est parfois omniprésente au point de parasiter l ensemble de la vie quotidienne. La personne décédée est la seule préoccupation de la personne en deuil. C est un état d hyper vigilance où on croit rencontrer la personne dans la rue où on parle au défunt il faut savoir que cette recherche ne cessera jamais complètement même après des années. Le temps de la recherche est souvent marqué par un sentiment d attente. On ne sait pas ce qu on attend mais on attend, comme si quelque chose allait nécessairement se passer (attente du retour du disparu notamment). La perception du défunt peut faire partie de certitudes qui s implantent parfois dans le cœur de la personne en deuil. 3) La phase de déstructuration, la prise de conscience de la perte émerge tardivement après le décès. C est 6 à 10 mois après la mort que le deuil prend sa pleine dimension et que la douleur atteint un maximum qu on ne s attendait plus à rencontrer. C est 4

5 souvent méconnu par les autres. On ressent qu il n y a plus assez de liens extérieurs avec le défunt et pas assez de liens intérieurs avec lui. On ressent une violente impression de vide, d absence et de perte. On a la fausse impression de faire marche arrière car on se retrouve dans un état émotionnel pire qu aux premiers jours du deuil. Et de ce fait on peut sombrer dans le désespoir. Cette étape fait pourtant partie du lent processus naturel de séparation. Le deuil n est pas fait que de tristesse il peut y avoir de la colère et de la révolte. Révolte contre Dieu ou la destinée, contre la médecine, contre le défunt, contre soi- même. Colère contre les autres en tant que sentiment diffus qui concerne tout l entourage : ceux qui continuent à vivre leur vie dans l insouciance et enfin colère contre la personne décédée sans qu on remette en question l amour qu on a pour elle. Mais il existe un sentiment d avoir été abandonné par l autre. Colère contre soi- même, de n avoir pas su faire ce qu il fallait, de n avoir pas su comprendre Ex dans le suicide du proche. Page 58 «un jour on lâche prise» «une fois la douleur moins forte, une fois qu on a le recul nécessaire pour ne pas chercher tous azimuts une réponse à ce geste, que se dit- on? que celui qui est parti était malheureux. Reconnaître cet état c est déjà lui rendre sa dignité. Que celui qui a quitté la scène avait ses raisons que celui qui s est fait du mal à lui- même reste celui qui soufrait le plus. Ce n est pas vrai que nous qui restons sommes forcément les plus malheureux.» La culpabilité fait corps avec le travail de deuil, elle est presque indissociable. Culpa= faute. Elle s appuie sur le fait qu il est trop tard pour revenir sur un vécu qu on regrette amèrement. On rencontre des choses qu on a refusé de faire ou des actes qu on a accomplis en sachant qu ils n étaient pas en faveur de l autre. Dans le suicide, on se sent coupable par rapport aux circonstances du décès. On se sent coupable d être vivant (cf. témoignage du livre). Culpabilité du survivant. La question au centre de la culpabilité est : la mort de mon proche était- elle inévitable? Donc, suis- je d une façon ou d une autre responsable de ce qui s est passé? Boris Cyrulnik «on ne se suicide jamais tout seul quand la mort nous emporte, elle arrache une partie de l âme de ceux qui nous côtoient.» page 135 Le vécu dépressif peut s installer dans cette phase de déstructuration. Un des premiers signes est la perturbation du sommeil (qualité et quantité) ainsi que de l appétit + Douleurs multiples + ralentissement physique + baisse des compétences intellectuelles. Plus rien ne fait plaisir. Tristesse omniprésente. Vécu dépressif au cours du deuil ne signifie pas dépression clinique. Cette dernière en est une complication. Dans le vécu dépressif la possibilité d un désir suicidaire existe pour retrouver la personne disparue (ex livre) mais sa mise en œuvre reste peu élaborée. Ce désir fluctue selon les circonstances. Les idées suicidaires au cours du deuil existent et sont amplifiées après un suicide. Il y a une véritable identification de la personne en deuil au destin du suicidé avec lequel elle se confond. Le besoin de savoir, comprendre le passage à l acte est obsédant. Enfin, la personne suicidée brise un tabou social et psychologique du suicide. 5

6 4) La phase de restructuration s impose sans qu on en prenne conscience. On se reconstruit avec ce que l on est et on redéfinit la relation avec autrui, avec le monde, avec le défunt. La redéfinition de sa relation au défunt passe par une redéfinition de son rapport au temps, à certaines dates du calendrier. Redéfinition de la relation avec soi- même. C est dans la question du sens que réside l essence même du deuil. Page 102 proverbe Tibétain : «Apprenez comme si vous deviez vivre toujours et vivez comme si vous deviez mourir demain». «La personne qui vit un deuil ne sait pas au début de celui- ci ce qui va se passer. Elle est toute à sa douleur, envahie par celle- ci et incapable de maîtriser quoi que ce soit. Elle va vivre les étapes du deuil, il n y a pas une fin de la douleur, il y a juste un consentement à une nouvelle vie.» p 134 P «c est le silence qui blesse» «faire son deuil c est consentir à devenir quelqu un d autre». 6

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