Les gisements d hydrocarbures dans le Bugey
|
|
- Ghislain Sénéchal
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les gisements d hydrocarbures dans le Bugey GENERALITES SUR LES GISEMENTS D HYDROCARBURES 1. Constitution d un gisement 1.1 Dépôt Le point de départ est le dépôt de sédiments généralement plus ou moins argileux contenant de la matière organique, continentale ou marine, provenant de la décomposition de microorganismes et de végétaux, qui s accumule à l abri de l air (sinon oxydation et disparition de la matière organique). 1.2 Maturation de la matière organique Sous le poids des sédiments qui s'accumulent, la pression augmente environ de 25 bars par 100 mètres et la température de 3 C: à 3 kilomètre sous terre, la température est voisine de 150 C et la pression de 750 bars. La matière organique évolue d abord en composés insolubles, le kérogène, puis se transforme en hydrocarbures solides, liquides («pétrole») ou gazeux dispersés dans le sédiment consolidé appelé «roche mère». Le pétrole est généré entre 2500 et 3800 m de profondeur (c est la «fenêtre à huile» des pétroliers). La proportion de liquides et de gaz générés dépend de la profondeur mais également de la nature de la roche mère : si les débris organiques contenus sont principalement d'origine animale (micro-organismes planctoniques par exemple), elle donnera plus de pétrole que de gaz ; si ce sont essentiellement de débris végétaux, la roche mère produira surtout du gaz et des résidus de carbone (charbon). 1.3 Migration des hydrocarbures. Les hydrocarbures liquides («huiles») et gazeux migrent vers le haut jusqu à la surface du sol si leur passage est possible dans les roches qui les surmontent. S ils rencontrent une zone poreuse recouverte d une couche imperméable («roche couverture»), ils sont piégés et ils s accumulent dans la zone poreuse qui devient une «roche réservoir» (comme le sable ou le sable consolidé appelé grès.) Les hydrocarbures solides («bitumes») restent dans la roche mère. 1
2 Figure 1 : Evolution de la matière organique en fonction de la profondeur d enfouissement (source : document IFP). Figure 2 : exemples classiques de piège à pétrole (d après F. Guillocheau, université de Rennes). 2. Exploration et exploitation 2.1. Gisements conventionnels La recherche de gisement d'hydrocarbure se fait généralement par des méthodes variées: études des roches qui donnent naissance au pétrole, de la formation et de la structure des bassins pétroliers et des réservoirs, des micro-organismes présents dans les sédiments, et surtout par des méthodes sismiques qui fournissent un profil des structures sous-jacentes : des vibrations envoyées dans le sous-sol, en partie réfléchies vers la surface par les couches géologiques qu elles rencontrent, livrent des millions de données qui, traitées par informatique, révèlent l image de la structure du sous-sol. 2
3 Figure 3 : Profil sismique et interprétation (source: Université du Québec, Laboratoire de paléomagnétisme sédimentaire). La confirmation du gisement est fournie par un forage d'exploration. Si ce dernier atteint une roche réservoir, suivent des essais d'évaluation de la production. Quel volume global de pétrole renferme un réservoir? Comment est-il distribué dans les couches? Quelles sont sa température et sa pression en haut en bas du réservoir? Est-il léger, visqueux, sa composition est-elle variable en fonction de sa position? Quelles sont les failles qui bloqueront ou faciliteront sa production? Les réponses décideront de la mise en exploitation. Le gaz et le pétrole montent dans le tubage du forage sous l'effet de la pression. Lorsque la pression diminue et devient insuffisante, on peut injecter de l eau ou du gaz carbonique sous pression et pomper pour récupérer le maximum d'hydrocarbures (les techniques actuelles de production permettent d en récupérer en moyenne 1/3). L injection de CO2 dans le sous-sol est d ailleurs un moyen de diminuer la teneur de ce gaz dans l air («séquestration» du CO2 pour lutter contre l effet de serre). Figure 4 : Extraction d'huile par injection de CO2 et d'eau (document BRGM). 3
4 Figure 5 :Evolution de la matière organique et gisements traditionnels (document IFP) Gisements non conventionnels Ce sont des gaz, des huiles et des bitumes extraits directement de la roche mère ou selon des méthodes impliquant un coût et une technologie supplémentaire en raison de ses conditions d'exploitation plus difficiles (offshore profond, régions polaires). Il s agit principalement des schistes bitumineux, de l huile de schiste, du gaz de schiste, des «tight gas» et du gaz de houille. * Les schistes bitumineux sont des argiles feuilletées noires très riches en matière organique peu transformée du fait de son faible enfouissement (inférieur à 1000 m). Exploités en carrières, les schistes bitumineux doivent ensuite être chauffés à de fortes températures pour générer de l huile qui est ensuite récupérée. * L huile (ou pétrole) de schiste («shale oil») est générée à une profondeur de l ordre de à mètres mais elle reste piégée dans la roche mère. Son extraction nécessite l'utilisation de forages horizontaux et de fracturation hydraulique. * Le gaz de schiste est du méthane généré pour un enfouissement de la roche-mère de plus de mètres. Egalement piégé dans la roche, il est extrait par des techniques similaires à celles du pétrole de schiste. Notons qu à très grande profondeur (au-delà de m), la forte température entraîne le «cracking» de tous les hydrocarbures et interdit toute exploitation. * Les tight gas sont des gaz contenus dans des réservoirs très peu poreux et très peu perméables qui nécessitent pour leur extraction des techniques similaires à celles du gaz de schistes. * Le gaz de houille (ou gaz de couche, gaz de charbon) est du méthane contenu dans les veines de charbon. Il peut se dégager spontanément, et donc être directement exploité, des anciennes exploitations minières. Il peut être également extrait des couches de houille non exploitées et profondes par forage et fracturation, comme pour le gaz de schiste. L injection de gaz sous pression (Azote, CO2) améliore sa récupération. 4
5 Figure 6 : Gisements de gaz conventionnels et non conventionnels (documentation TOTAL). Figure 7 : Technique d exploitation du gaz de schiste (source : IFP) 5
6 RESSOURCES POTENTIELLES EN HYDROCARBURES DU BUGEY Cette étude est limitée pour l instant à la partie ouest du Bugey depuis la vallée de l Ain jusqu au plateau d Hauteville. 1. Données disponibles * Cartes géologiques : - Nantua 1/ (3 ème édition, 1964) - Nantua 1/ Saint Rambert 1/ (1982) * Profils sismiques : ils ne sont malheureusement pas accessibles au public. * Relevés de terrain inédits * Forages profonds Ils ont été réalisés dès le début du XXème siècle pour rechercher d abord le charbon puis le pétrole. Les principaux forages connus sont portés sur la figure.. Figure 8 : principaux forages profonds effectués dans l Ouest du Bugey et le rebord de la Dombe (d après la Banque du Sous Sol du BRGM et des ouvrages anciens.) 6
7 a) Dès 1906, de nombreux forages ont été percés à Vaux en Bugey jusqu à une profondeur maximale de 662 m pour atteindre le Carbonifère. Un fort dégagement de gaz s est produit depuis les couches du Trias. Ce gaz a été exploité localement pendant plusieurs dizaines d années et alimenté la ville d Ambérieu. b) A Torcieu, en 1918, un forage de 1651 m a traversé le Trias contenant des grès bitumeux vers -448 m puis un peu de gaz pour pénétrer à partir de -591 m dans les grès et schistes du Carbonifère à veinules charbonneuses. Plus au Nord, à Apremont (vers Nantua), le forage de Charmont (1991) a touché le Carbonifère à m. c) Le forage de Villette (1961) a traversé une série de 2397 m de sédiments essentiellement d âge Tertiaire et Secondaire. Le Trias repose directement sur un socle primaire métamorphique. Le forage de Cormoz (1984) près de Château Gaillard a touché le socle métamorphique à 1810 m de profondeur. Plus au Nord, sous la série secondaire, le socle primaire métamorphique a été rencontré à m à Poisoux (1969, Val d Epy, Jura) tandis que le forage de Pressiat (1950) a atteint le Trias à m. d) Le forage d Ambronay en 1926 a recoupé 600 m de sédiments tertiaires contenant du lignite et du bitume sans atteindre les terrains secondaires. e) A Jujurieux, un forage de 593 m effectué en 1956 a traversé les couches du Jurassique inférieur et du Trias reposant à -197 m sur une série marno-sableuse du Tertiaire. f) A Saint Jérôme, un forage a montré à -148 m les argiles du Trias reposant sur 2 écailles superposées de Jurassique. g) Les 3 forages d exploration de Corcelles ( ) ont atteint le socle primaire. Ils ont été arrêté selon les forages : - à m dans le Carbonifère-Permien à lits charbonneux - à m dans le socle métamorphique - à m dans le Carbonifère-Permien schisto-gréseux. Ils ont traversé notamment une quarantaine de m d argiles noires du Jurassique inférieur (Lias). En Bresse, les sondages ont mis en évidence l épaisseur de la série tertiaire recouvrant le Secondaire : - à Curciat Dongalon (1952) sa base est à m - à Cuisiat (1951), elle est à -773 m, - plus à l Est, à Journans (1951) elle est à -688 m. Au Sud enfin, à Blye, les schistes et grès primaires du Permien ont été rencontré en 1961 à m. 7
8 Figure 9 : Quelques données de sondages (source : BRGM). P-C : Permien-Carbonifère (Primaire) T : Trias ; Ji, Jm, Js : Jurassique inf., moyen, sup. ; C : Crétacé ; O, m, Pl : Tertiaire Q : Quaternaire 2. La succession des dépôts dans le Bugey Les terrains anciens visibles en surface dans le Bugey ont été déposés pendant l ère secondaire. Pour la plupart, ils datent du Jurassique, c'est-à-dire qu ils ont été déposés entre et 145 millions d années. Ils sont généralement calcaires ; leur épaisseur totale est voisine de 2000 m lorsqu ils n ont pas été érodés ultérieurement. Les principaux niveaux argileux ou argilo-calcaires (marnes) se sont déposés au Jurassique inférieur (ou Lias) et à la base du Jurassique supérieur («Oxfordien»). Par-dessus viennent les couches du Crétacé inférieur également calcaires. L ensemble est recouvert localement par les terrains tertiaires, en grande partie miocènes, et quaternaires. Sous les couches jurassiques on trouve les argiles, gypses et grès du Trias qui reposent sur un socle ancien (Primaire) comprenant des roches métamorphiques et des grès et schistes du Permien et du Carbonifère. 8
9 Figure 10: colonne stratigraphique simplifiée du Quaternaire au Primaire. Les épaisseurs varient selon les régions. P-C : Permien-Carbonifère (Primaire) T : Tertiaire Q : Quaternaire 3. La déformation des couches (structure tectonique) Les terrains de la série secondaires ont été fortement érodés et déformés pendant le Tertiaire, au cours du plissement alpin. Ils ont été plissés et fracturés puis décollés du socle primaire pour être poussés vers l Ouest, sur la plaine de l Ain dans la région d Ambérieu, sur la Dombe et la Bresse plus au Nord. Le décollement s est produit au niveau des argiles et des gypses du Trias qui ont fait office de «couche savon». Ainsi, les sondages montrent bien des répétitions de couches et des terrains anciens reposant sur des terrains récents, par exemple du Jurassique reposant sur le Tertiaire (Miocène) comme sur la figure 12. Les déformations profondes ne sont pas visibles en surface, ce qui complique la reconstitution de la disposition des couches et en particulier la recherche des pièges à pétrole. 9
10 Figure 11 : Coupe W-E au niveau du col du Berthiand (source : notice de la carte géologique de Nantua). Par manque d information, les auteurs n ont pas pu figurer la structure du socle primaire. Figure 12 : Coupe NW-SE entre Jujurieux et Saint Jérôme ; structure profonde reconstituée à partir des sondages. Noter le charriage des couches secondaires sur le Tertiaire. Figure 13 : Coupe entre Vaux et Torcieu (d après P. Schoeffler, 1941). Les nombreuses données de forage ont permis de proposer cette reconstitution. 10
11 4. Roches mères potentielles Elles sont représentées par des couches argileuses suffisamment épaisses et riches en matière organique. * Jurassique supérieur : les formations marneuses de l Oxfordien ne contiennent pas suffisamment de matière organique. D autre part, elles n ont pas été suffisamment enfouies (un millier de m environ). * Jurassique inférieur (Lias) : Ce sont des argiles noires feuilletées (shales) qui affleurent très localement dans la région de Jujurieux, Saint Jérôme, Saint Rambert. Ailleurs, elles sont généralement recouvertes par l épaisse série du Jurassique moyen et supérieur (1000 m environ). Les sondages montrent qu elles sont largement distribuées en profondeur. Sur la bordure de la Dombe, le forage de Villette a traversé le Jurassique inférieur entre et m de profondeur. L enfouissement a donc été suffisant pour transformer la matière organique en huile au moins à la base de la formation. Le Lias peut être donc considéré comme une roche mère potentielle dans cette localité s il contient à l origine suffisamment de matière organique. Rappelons que ce niveau est roche mère de pétrole dans le Bassin Parisien («Schistes carton»). Actuellement, le Lias est généralement recouvert par l épaisse série (1 000 m environ) du Jurassique moyen et supérieur. A l affleurement, il ne montre pas d indices d hydrocarbures visibles mais ceux-ci ont pu se dégager antérieurement. Figure 14 : Argiles noires feuilletées à l affleurement le long du ruisseau de L Oiselon (St Jean le Vieux). * Trias A Vaux, 2 sondages ont rencontré des niveaux de calcaires gris, noirs, à pyrite qui peuvent constituer une roche mère. L extension de ces terrains à l origine riches en matière organique n est pas connue. 11
12 * Socle primaire : Carbonifère-Permien : Le sondage de Torcieu, comme ceux de Corcelles, a pénétré dans des terrains sédimentaires carbonifères contenant des veinules de charbon ; celui de Vaux a fourni du gaz accumulé dans les niveaux triasiques mais pouvant provenir du Carbonifère ou du Permien. Les couches du Carbonifère-Permien comprenant des schistes à veines de charbon sont rencontrées par sondage également dans le Jura, au Nord du Bugey. Leur enfouissement a été suffisant pour que la matière organique évolue en huile et en gaz. 5. Roches réservoir potentielles Des roches poreuses surmontées de roches imperméables se trouvent dans le Jurassique (calcaires du Jurassique moyen sous les marnes du Jurassique supérieur) et dans le Trias (grès et conglomérat sous des argiles). Lors du sondage de Torcieu, on a trouvé 145 m de grès du Trias («Buntsandstein») à 717 m de profondeur au-dessous de couches argileuses. La déformation des séries avec failles et plis produit des dispositifs qui peuvent constituer des pièges à pétrole. 6. Gisements possibles ou reconnus 6.1 Gisements conventionnels La roche-mère est située dans les couches du Carbonifère-Permien ou dans le Lias. La roche réservoir peut être représentée par les grès du Trias ou les calcaires du Jurassique moyen. La bordure occidentale paraît peu favorable pour la formation de pièges : charriage de la couverture sur les terrains récents (Tertiaire) qui peuvent être très épais, fracturation dense qui fragmente les structures et rend les gisements possibles trop limités en taille et en réserve exploitable. Le contexte paraît plus favorable à partir d une dizaine de km de la bordure, par exemple à partir de la chaîne de l Avocat : structure plissée plus ample, fracturation moins dense. Les pièges à pétrole dans le Trias, du type de la figure 2, sont possibles dans le cœur des zones plissées de part et d autre du plateau d Hauteville, comme sur le site de Corcelles-Lantenay. Néanmoins, le résultats des sondages montre que rien n est simple en profondeur : le forage de Corcelles a traversé une lame de calcaires jurassiques injectée dans les couches du Trias 6.2 Gisements non conventionnels Les sites favorables au prélèvement de pétrole et gaz par des techniques non conventionnelles sont plus difficiles à caractériser en l absence de profils sismiques disponibles. Le prélèvement dans la roche mère du Lias paraît le plus évident. En revanche l accessibilité au gaz des couches carbonifère ou permiennes dépend de structures anciennes non déductibles en surface : ces couches peuvent être absentes au-dessous du Trias qui repose alors directement sur le socle métamorphique. Seul les données sismiques ou les forages peuvent orienter les recherches. On voit ainsi que les sites de Torcieu, Vaux et Corcelles peuvent être des candidats à l exploitation du gaz de schistes. 12
13 En conclusion, il apparaît que l Ouest du Bugey possède quelques possibilités de gisements conventionnels en gaz et huiles, mais probablement d extension limitée, situés dans les calcaires du Jurassique moyen ou les grès du Trias. En revanche, l exploitation par des techniques non conventionnelles des hydrocarbures contenus dans les argiles du Lias, les grès du Trias et les grès et schistes du socle Carbonifère-Permien peuvent être économiquement rentables en faisant abstraction des aléas environnementaux qui sont associés. REFERENCES Bichet V. et Campy M. (2008) - Montagnes du Jura Géologie et paysages. Bregi L. (1909) Présence de gaz naturel dans un sondage à Vaux (Ain). Ann. Soc. Géol. Nord, 38, p Schoeffler P. (1941) Les sondages aux gaz de Vaux en Bugey. Ann. Mines Françaises, 17, p Seranne M., Pistre S., Soliva R. et Elbaz Poulichet F. (2011) Gaz de schistes dans le Sud de la France. Géosciences, Univ. Montpellier pages. R. Vially R. (2011) - IFP Energies nouvelles. Vincienne H. (1932) La structure en écailles de la région d Ambérieu et l âge des derniers mouvements jurassiens. Banque du Sous Sol, BRGM Liens internet :
HYDROCARBURES NON CONVENTIONNELS
HYDROCARBURES NON CONVENTIONNELS Qu'appelle t'on hydrocarbures non conventionnels? Que ce soit une production d'hydrocarbures conventionnels ou non conventionnels, il s'agit des mêmes types d'hydrocarbures.
Plus en détailLes hydrocarbures non conventionnels : évolution ou révolution?
Depuis maintenant quelques années, les hydrocarbures non conventionnels prennent une place grandissante dans l'approvisionnement mondial en hydrocarbures. Est-ce une révolution ou une évolution normale?
Plus en détailRisques potentiels de l exploration et de l exploitation des hydrocarbures non conventionnels en Ile de France
Risques potentiels de l exploration et de l exploitation des hydrocarbures non conventionnels en Ile de France Rapport du Conseil scientifique régional d Ile de France Mars 2012 Rapport du CSR 1 Rédacteurs
Plus en détailLe gaz de schiste «pertubateur» du marché de l électricité? Jacques PERCEBOIS Directeur du CREDEN Professeur à l Université de Montpellier I
Le gaz de schiste «pertubateur» du marché de l électricité? Jacques PERCEBOIS Directeur du CREDEN Professeur à l Université de Montpellier I CLUB DE NICE 5/12/2012 Le gaz naturel dans l Union Européenne
Plus en détailRessources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech
Ressources minérales et Hydrocarbures Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Colloque IMT «Ressources naturelles & Environnement», 5 et 6 novembre 2014 Les minéraux d intérêt économique Minéraux
Plus en détailPrésentation générale des principales sources d énergies fossiles.
Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.
Plus en détailChangements climatiques : les impacts de l'exploitation du gaz et du pétrole de schiste - Avril 2011 -
NOTE DE POSITION Changements climatiques : les impacts de l'exploitation du gaz et du pétrole de schiste - Avril 2011 - SOMMAIRE 1. Principes d exploration et d exploitation et rappel du contexte national
Plus en détailLe droit et les hydrocarbures «non conventionnels»
Le droit et les hydrocarbures «non conventionnels» Colloque LIED mardi 2 avril 2013 «Une énergie non conventionnelle : les hydrocarbures de roches mères approche interdisciplinaire». Gaz de schiste et
Plus en détailComment réduire les émissions de CO 2? Les réponses de l'ifp
Septembre 2005 Comment réduire les émissions de CO 2? Les réponses de l'ifp L'IFP inscrit les travaux sur la réduction des émissions de CO 2 au cœur de ses programmes de recherche. La stratégie de l'ifp
Plus en détailGaz Non conventionnels DES RESSOURCES pour le futur
SECTEURS DE CROISSANCE Gaz Non conventionnels DES RESSOURCES pour le futur Des ressources abondantes et largement répandues ENJEUX Gaz de charbon, gaz de schiste, tight gas : les gaz non conventionnels
Plus en détailRépublique Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l énergie et des Mines. Résultat du Secteur de l Energie et des Mines pour l'année 2005
République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l énergie et des Mines Direction des systèmes d information, des analyses économiques et de la documentation Résultat du Secteur de l Energie
Plus en détailA. DEFINITION DU PETROLE ET LES CONDITIONS D ACCUMULATION
ACTIVITES PETROLIERES EN COTE D IVOIRE A. DEFINITION DU PETROLE ET LES CONDITIONS D ACCUMULATION Le pétrole se définit comme un mélange naturel composé essentiellement d hydrocarbures(c H). Vous comprendrez
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailThème Le domaine continental et sa dynamique
Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailPour l environnement. Strength. Performance. Passion.
Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir
Plus en détailInterprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)
L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est
Plus en détailQuel avenir pour les combustibles fossiles?
Quel avenir pour les combustibles fossiles? Par Bernard Tissot Commission Nationale d'evaluation, 39-43, Quai André Citroën, 75015 PARIS, France Article rédigé à l'invitation du Comité de lecture. Reproduction
Plus en détailMission d information et d évaluation sur le gaz de schiste *** Département de Lot-et-Garonne Novembre 2012
Mission d information et d évaluation sur le gaz de schiste Rapport d étude *** Département de Lot-et-Garonne Novembre 2012 Mission d information et d évaluation sur le gaz de schiste - Rapport d étude
Plus en détailL enfouissement des déchets ultimes
L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)
Plus en détailParis, le 22 décembre 2008 N 39-08
Paris, le 22 décembre 2008 N 39-08 Obtention de la licence d exploitation pour le champ d Ocelote en Colombie Obtention d un nouveau permis d exploration en Colombie Dernières nouvelles sur le démarrage
Plus en détailLe pétrole fournit 40% de l énergie mondiale. C est lui qui a régulé jusqu à présent le prix de l énergie.
² Le pétrole fournit 40% de l énergie mondiale. C est lui qui a régulé jusqu à présent le prix de l énergie. La production mondiale d énergie exprimée en équivalent tonnes de pétrole (TEP) est de plus
Plus en détailL'ABC. Le gaz naturel
Le gaz naturel Composition SAVIEZ-VOUS QUE? Le pourcentage exact de méthane dans le gaz naturel varie légèrement d'un endroit à l'autre. Dans le réseau de distribution du Québec, il y a 95,4 % de méthane.
Plus en détailRAPPORT D ÉTUDE Date 30/07/2008 DRS-08-71082-09108B
RAPPORT D ÉTUDE Date 30/07/2008 DRS-08-71082-09108B Programme ANR 2005 Capture et Stockage du CO2 - Géocarbone Monitoring Convention ANR-05-CO2-008-05 Synthèse des travaux de l INERIS 2006-2008 sur le
Plus en détailANALYSE DE L'EXPLORATION ET DE L EXPLOITATION DE GAZ DE SHALES AU QUÉBEC DANS UNE PERSPECTIVE DE DÉVELOPPEMENT DURABLE. Par.
ANALYSE DE L'EXPLORATION ET DE L EXPLOITATION DE GAZ DE SHALES AU QUÉBEC DANS UNE PERSPECTIVE DE DÉVELOPPEMENT DURABLE Par Abdoulaye Diallo Essai présenté au Centre Universitaire de Formation en Environnement
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailLES ENJEUX DE LA VOLATILITE DU PETROLE ET DU GAZ ENTRETIENS ENSEIGNANTS-ENTREPRISE 28 AOÛT 2013- INSTITUT DE L ENTREPRISE
LES ENJEUX DE LA VOLATILITE DU PETROLE ET DU GAZ ENTRETIENS ENSEIGNANTS-ENTREPRISE 28 AOÛT 213- INSTITUT DE L ENTREPRISE Helle Kristoffersen Directeur de la Stratégie TOTAL VOLATILITÉ DES MATIÈRES PREMIÈRES
Plus en détailChapitre 5 Mesures géophysiques
Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable
Plus en détailRéférentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités. Rapport final
Référentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités Rapport final BRGM/RP-52261-FR janvier 2003 Référentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités
Plus en détailÉpreuve collaborative
Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?
Plus en détailLE GAZ DE SCHISTE ET SES IMPLICATIONS POUR L AFRIQUE ET LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
LE GAZ DE SCHISTE ET SES IMPLICATIONS POUR L AFRIQUE ET LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT 1 REMERCIEMENTS Élaboré dans la perspective de la stratégie de la Banque africaine de développement dans le
Plus en détailLe gaz de schistes : son exploitation
Le gaz de schistes : son exploitation Résumé de l exploitation du gaz de schiste Après la lecture de cet article, ce schéma synthétique vous apparaîtra très simple et clair. Déjà, il sera plus grand. Le
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailExploitation de la micro-sismique pour le monitoring de la fracturation Etude de faisabilité
المعهد الجزاي ري للبترول INSTITUT ALGERIEN DU PETROLE JOURNEES D ETUDES TIGHT & SHALE RESERVOIRS 17-18 Septembre 2013 Sheraton, Alger Exploitation de la micro-sismique pour le monitoring de la fracturation
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailInrap / Les étapes de l archéologie préventive
Les étapes de l archéologie préventive LE DIAGNOSTIC Lorsque l on aménage un terrain à des fins publiques ou privées (pour construire une route ou un immeuble par exemple), le sol est remanié. Bien avant
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailPROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3
ECOLE SPECIALE DES TRAVAUX PUBLICS PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 AUTEUR : GABILLAT Arnaud PACAUD Fabien BUSSUTIL Clothilde TAN Vincent B3 1 IMPLANTATION DU PROJET Programme : Réalisation
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailCRIIRAD. Mars 2011 - n 51. Commission de Recherche et d Information Indépendantes sur la Radioactivité GAZ DE SCHISTE
Mars 2011 - n 51 CRIIRAD Commission de Recherche et d Information Indépendantes sur la Radioactivité Bulletin d information des adhérents de la CRIIRAD GAZ DE SCHISTE SIGNALISATION DES RISQUES RADIOLOGIQUES
Plus en détailIFP School. www.ifp-school.com. S'ouvrir de nouveaux horizons. École d'application dans les domaines de l'énergie et des motorisations
IFP School S'ouvrir de nouveaux horizons École d'application dans les domaines de l'énergie et des motorisations www.ifp-school.com Transition énergétique demande énergétique mondiale : mieux utiliser
Plus en détailFICHE DOCUMENTAIRE IFM n 3/12
Comité de Toulon Provence Toulon, 5 mars 2012 FICHE DOCUMENTAIRE IFM n 3/12 Objet : Préambule -o- La dernière réunion de la Convention de Barcelone sur la protection de la Méditerranée, à Paris en février
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailLe changement climatique et le recours nécessaire au stockage géologique du CO 2... 4
Sommaire Le changement climatique et le recours nécessaire au stockage géologique du CO 2............................ 4 1. Où peut-on stocker le CO 2 et en quelle quantité?............................................................
Plus en détail1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 2. DESCRIPTION DE LA MASSE D'EAU SOUTERRAINE CARACTERISTIQUES INTRINSEQUES
1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE Codes entités aquifères Code entité V1 Code entité V2 concernées (V1) ou (V2) ou secteurs hydro à croiser : 532a 532b Type de masse d'eau souterraine : Imperméable
Plus en détailEPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian
1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul
Plus en détailCONSIGNES DE COMPORTEMENT EN CAS D URGENCE : COMMUNES DU HAUT PLATEAU
CONSIGNES DE COMPORTEMENT EN CAS D URGENCE : COMMUNES DU HAUT PLATEAU V.2011 Incendie Classes de feu : CLASSE A CLASSE B CLASSE C CLASSE D CLASSE F Signalétique Dénomination Feux de matériaux solides Feux
Plus en détailSynthèse sur les gaz de houille : exploitation, risques et impacts environnementaux Octobre 2013
: exploitation, risques et impacts environnementaux Octobre 2013 DRS-13-138538-10861A DRS-13-138538-10861A Résumé étendu Dans leur lettre commune datée du 8 mars 2013, Madame la Directrice Générale de
Plus en détailActivité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique
1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie : Géologie externe, évolution des paysages (16 heures) Notions. contenus Compétences Exemples d activités L procure à l Homme des ressources. [Thèmes : Environnement,
Plus en détailRéduction de la pollution d un moteur diesel
AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel
Plus en détailLE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE
LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation
Plus en détailFonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source
Régionale Orléans Tours Visualiser cette sortie dans Google Earth Fonctionnement du système karstique en val d Orléans 2. La source le Bouillon au parc floral d Orléans La Source Position géographique
Plus en détailLA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE
LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE Bernard LAPONCHE 18 mai 2011 www.global-chance.org LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE UNE COMPARAISON
Plus en détailLe stockage géologique du CO 2
Énergies renouvelables Production éco-responsable Transports innovants Procédés éco-efficients Ressources durables Le stockage géologique du CO 2 Les solutions IFP Energies nouvelles pour un déploiement
Plus en détaild'une EXTRACTION AVEC RABATTEMENT DE NAPPE
ENTREPRISE CHAPELLE S.A. ROUTE DE RIOTTER - LIMAS 69400 - VILLEFRANCHE SUR SAONE /DOCUMENT NON PUBLIC/ PROJET D'IfPLAmTION D'UE GRAVIERE A CRECHES SUR SAOE (71) EXA^EN DE L INCIDENCE SUR DES OUVRAGES DE
Plus en détailLes sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?
Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailEtude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau
Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailExplorer les possibilités du. gaz naturel au Nouveau Brunswick
Explorer les possibilités du gaz naturel au Nouveau Brunswick Explorer les possibilités du gaz naturel au Nouveau-Brunswick Province du Nouveau-Brunswick C. P. 6000 Fredericton (N.-B.) E3B 5H1 www.gnb.ca
Plus en détailL Ecole des Sourciers À la Tour Lombarde du Bourg de Conthey
L Ecole des Sourciers À la Tour Lombarde du Bourg de Conthey Programme d avril à septembre 2016 8 ateliers 27 heures avec l examen final Effectif limité à 4 personnes Eau de source provenant du glacier
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailEtablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil
Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin
Plus en détailPiegeage et stockage du CO 2
Piegeage et stockage du CO 2 Résumé du rapport spécial du GIEC, le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat Un résumé réalisé par: LE PIÉGEAGE ET STOCKAGE DU DIOXYDE DE CARBONE (PSC)
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailDÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS
DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS Les enjeux pour la transition énergétique Didier Lebout, Strategy and Development Director Gazprom Marketing and Trading France Deauville, 28 juin 2013 Dans
Plus en détailAnalyse, par le personnel de l Office, de la demande de modification du plan de mise en valeur du champ White Rose
ANALYSE, PAR LE PERSONNEL DE L OFFICE, DE LA DEMANDE DE MODIFICATION DU PLAN DE MISE EN VALEUR AYANT TRAIT À L ACCROISSEMENT DU VOLUME DE PRODUCTION DU CHAMP WHITE ROSE ISBN n o 978-1-897101-26-1 Table
Plus en détailDiscovering Hidden Value
Discovering Hidden Value A la découverte de la valeur cachée Consultation pour les Opérations de Forage Proposées en Offshore Marocain 2013 Qui est Cairn Energy? Cairn est une société de pétrole et de
Plus en détailL eau invisible 1 Tous les sols contiennent-ils de l eau?
L eau invisible 1 Tous les sols contiennent-ils de l eau? Les sols reçoivent de l eau provenant de différents flux, et une partie de l eau arrivant dans le «compartiment» sol y est retenue. Ainsi, la pluie
Plus en détailBrochure technique. Garde-corps. bpa Bureau de prévention des accidents
Brochure technique Garde-corps bpa Bureau de prévention des accidents Eviter les chutes dans les bâtiments Les garde-corps remplissent une fonction importante dans les bâtiments: ils protègent des chutes
Plus en détailQue penser de l affaire des gaz de schiste
Que penser de l affaire des gaz de schiste Benjamin Dessus (Global Chance) Depuis quelques années un vif débat s est engagé en France sur la question des gaz de schiste dont des gisements exploitables
Plus en détailBRGM. Commune de VILLE-sur-ILLON (Vosges) Avril 1993 R 37123 NAC 4S 93. Lieu-dit "Varachamp" M. ALLEMMOZ J. CHEVALIER B. POLLET. Document non public
BRGM Commune de VILLE-sur-ILLON (Vosges) Etude d'aptitude des sols pour la réalisation d'un lagunage Lieu-dit "Varachamp" M. ALLEMMOZ J. CHEVALIER B. POLLET Avril 1993 R 37123 NAC 4S 93 Document non public
Plus en détailFormation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION
mail: d2geo@yahoo.fr Page 1/6 PLAN DE FORMATION Formation réalisée en deux partie distinctes Durée totale de la formation 2 jours Présentation Cette première partie est enseignée en trois modules: a) Notions
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailAnnexe C. Prols sismiques traites
Annexe C Prols sismiques traites 252 Prols sismiques traites 4.0 4.4 PR12 PR15-1 500 600 700 800 4.0 4.4 PR15-2 500 600 700 PR16 500 600 700 800 900 Fig. C.1 { Prols sismiques PR12, PR15-1, 15-2 et PR16.
Plus en détailPrix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement
Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l
Plus en détailRosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut
Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des
Plus en détailIngénierie du stockage souterrain de Gaz Naturel. Jacques GRAPPE, GEOSTOCK
Ingénierie du stockage souterrain de Gaz Naturel Jacques GRAPPE, GEOSTOCK Ingénierie du stockage souterrain de gaz naturel: aujourd hui et demain 1. Généralités 2. Les principales composantes d un stockage
Plus en détailRapport Annuel 2012. Technologie
Technologie En 2012, la Société a continué à stimuler la construction du système d'innovation scientifique et technique. Nous avons mis l accent sur la R&D de la technologie clés liées au développement
Plus en détailQuelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports?
Quelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports? Le regard de Gazprom Marketing and Trading France 29 octobre 2014 Sommaire 1. Les atouts du GNV pour les transitions énergétiques
Plus en détailIncitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne
Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be
Plus en détailApport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal
Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailLe marché mondial de l énergie a connu ces dix dernières années
Éditions La Découverte, collection Repères, Paris, 2013 VII / Énergie : la nouvelle donne américaine Michaël Bret* Le marché mondial de l énergie a connu ces dix dernières années des évolutions importantes.
Plus en détailCapture et stockage du CO2 (CCS)
European Technology Platform for Zero Emission Fossil Fuel Power Plants (ZEP) Capture et stockage du CO2 (CCS) Une solution majeure pour combattre le changement climatique 50% de réduction des émissions
Plus en détailElles manquent d'air Mais certaines sont gonflées!
GONFLAGE DES PNEUS DANS LES STATIONS-SERVICE D ÎLE DE FRANCE Elles manquent d'air Mais certaines sont gonflées! UFC Que Choisir Île De France 1 Origine de l'enquête La Sécurité Routière préconise de vérifier
Plus en détailMorcellement du paysage
Morcellement du paysage L indicateur «Morcellement du paysage» montre comment le paysage en dessous de 100 mètres est morcelé par des barrières artificielles telles que des routes ou des zones d habitation.
Plus en détailLes réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014
Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014 Direction Régionale et Interdépartementale de l'environnement et de l'énergie d'île-de-france www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailRadosław Tarkowski, Barbara Uliasz-Misiak 1. Le stockage souterrain : une solution pour le dioxyde de carbone 2
Radosław Tarkowski, Barbara Uliasz-Misiak 1 Le stockage souterrain : une solution pour le dioxyde de carbone 2 Introduction On considère de plus en plus souvent le dioxyde de carbone comme la principale
Plus en détailDIAGNOSTIC DE LA QUALITE DES PLATES-FORMES FERROVIAIRES : CAS DU RACCORDEMENT D UNE LIGNE NOUVELLE A GRANDE VITESSE SUR UNE LIGNE CLASSIQUE ANCIENNE
DIAGNOSTIC DE LA QUALITE DES PLATES-FORMES FERROVIAIRES : CAS DU RACCORDEMENT D UNE LIGNE NOUVELLE A GRANDE VITESSE SUR UNE LIGNE CLASSIQUE ANCIENNE RAILWAY TRACK QUALITY ASSESSMENT: CASE STUDY OF A NEW
Plus en détail= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE
PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détail