Quelles sont les relations entre le progrès technique et croissance, développement et changement social?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Quelles sont les relations entre le progrès technique et croissance, développement et changement social?"

Transcription

1 CHAPITRE 3 : PROGRES TECHNIQUE ET CROISSANCE AMORCE : Steve Jobs est ce que l on appelle un innovateur Schumpetérien ou un innovateur au sens de Schumpeter. (Schumpeter est un économiste hongrois de la 1ere moitié du XXème siècle qui a beaucoup travaillé sur le rôle du progrès technique sur la croissance. Il met l accent sur l importance de la personnalité de l innovateur. Il faut qu il ait des qualités psychologiques, de visionnaires). Steve Jobs a révolutionné le monde informatique à deux reprises en 1980 avec le premier ordinateur personnel puis depuis son retour chez Apple. Le texte nuance le rôle de l innovateur. Sans enlever le rôle et les qualités de celui-ci, il apporte un certains nombres de nuances. L innovateur est d abord un imitateur paradoxalement il y a une part d imitation. Il ne crée pas à partir de rien mais à partir de choses qui existent déjà, il s inspire. Pour qu une innovation produise ses effets, il faut que cette innovation soit réappropriée par les utilisateurs. Ce qu en font les utilisateurs n est pas toujours ce qu avait prévu l innovateur. Le progrès technique est un phénomène complexe dont l analyse est à cheval sur l économie et la sociologie. Quelles sont les relations entre le progrès technique et croissance, développement et changement social? I) Nature et origine du progrès technique 1) Qu est ce que le progrès technique? Le progrès technique (PT) est l ensemble des innovations qui entraine des transformations dans : - L organisation du travail ex : Le taylorisme - Les produits ex : I phone ou les consommations et matières premières comme le pétrole. - Les nouveaux marchés ex : Les grandes découvertes comme les moyens de communications qui entrainent l ouverture de nouveaux marchés. - Les structures de l économie ex : Le développement des grandes entreprises est une innovation. Innovation : ce n est pas une invention mais une application industrielle et commerciale d une invention. Le PT est le résultat d un processus c'est-à-dire une succession d étapes. La première étape est l activité de recherche qui va mener à une invention. Mais il faut qu à travers d autres étapes l invention devienne une innovation, qu elle se diffuse. Il y a plusieurs types d innovation : - Innovation de procédé - Innovation de produit - Innovation organisationnelles 2) Quelle est la nature du progrès technique en science éco? 1/7

2 Comment la science éco analyse t elle le progrès technique? Pour la science éco, le PT est un bien particulier. En fait, il est considéré comme un bien non rival. Un bien est rival lorsque sa consommation, son utilisation par un agent économique interdit ou rend impossible son utilisation, sa consommation par un autre agent économique. Ex : Les produits alimentaires. Un bien non rival peut être utilisé simultanément par plusieurs agents économiques. Ex : L éclairage public. Lorsqu un bien est rival, il n y a pas de problème de prix celui qui le consomme en paye le prix. Pour un bien non rival, le paiement du prix pose un problème. Donc le PT est considéré comme non rival car il y a aucun obstacle naturel à son utilisation simultanée par d autres agents. Rien n empêche une entreprise d utiliser la même innovation qu une autre. Mais on peut créer un obstacle à cette utilisation, par exemple juridique : les brevets. Dans une économie de marché idéale, toute utilisation d un bien ou d un service doit donner lieu au paiement d un prix, d une rémunération. La deuxième caractéristique du PT est les externalités. La contribution d une innovation à la création de richesse au niveau national est supérieure à la création de richesse pour l entreprise. Le rendement social est supérieur au rendement privé. La phrase de Newton signifie que toutes connaissances nouvelles s appuient sur les connaissances passées. Une innovation va produire un premier effet immédiat car l entreprise va s enrichir mais ce produit va aussi servir de point de départ pour d autres innovations. C est le deuxième effet. Dans une économie de marché idéale, les innovateurs précédents devraient recevoir un prix de la part du nouvel innovateur. Une externalité positive est un effet positif crée par un agent économique sur un autre agent économique sans que cela donne lieu à une rémunération. Celui qui en bénéfice devrait rémunérer l agent économique. Pour une externalité négative (ex : la pollution) : Celui qui est à l origine de l effet devrait rémunérer celui qui en pâti. C est donc l effet inverse. Le PT produit des externalités négatives lorsque les innovations se substituent à des innovations précédentes. Cela fait partie du processus de destruction créatrice. Sur le long terme, les effets positifs l emportent mais cela reste discutable. Si on considère que le PT dégage des externalités positives, la logique voudrait que l on subventionne le PT pour encourager et compenser l absence de rémunération de l innovateur. 3) Quelles sont les origines du progrès technique? Origine exogène ou endogène du progrès technique. Schéma de la sphère qui représente l activité économique. A coté de cette sphère de l activité économique, il y a d autres sphères de l activité sociale par exemple la sphère domestique, artistique ou encore scientifique etc. Le PT produit des effets dans la sphère économique puisqu il transforme la production, la consommation, la répartition des revenues. 2/7

3 Si le PT provient de l extérieur de cette sphère, il a une origine exogène. Si il provient de l intérieur de cette sphère, il est le résultat d une activité économique, il a donc une origine endogène. EX : Le PT peut provenir de la sphère d activité scientifique, il est donc exogène. Il peu provenir de l activité domestique, dans le garage par exemple, il est donc exogène. Autres exemple : Une firme de l industrie pharmaceutique dépense une somme importante dans l investissement en recherche et développement (R&D). L investissement est une activité économique qui répond à des facteurs économiques comme la recherche de profit. C est un PT endogène. Dans les premiers temps de la révolution industrielle, le PT était plutôt exogène. Progressivement l essentiel des innovations vont être réalisé dans le cadre des grandes entreprises, grâce à des investissements en R&D. Mais ce n est pas toujours vrai, donc le PT est de plus en plus endogène. Au XIXeme siècle, les économistes ne se préoccupaient pas de l origine du PT mais seulement aux effets. Par contre, au XXème siècle, l analyse économique va progressivement s y intéresser. Les différentes origines du progrès technique : -Le PT provient tout d abord de l activité productive elle-même. Les travailleurs inventent des méthodes de productions ou des biens à l occasion de leur activité économique quotidienne de production. C est ce que l on appelle «learning by doing» -L innovateur a pour activité principale la recherche de l innovation. L investissement est la volonté de trouver une innovation. Recherche et développement(r&d) : C est l ensemble des processus d innovation pour lesquels on distingue trois étapes : - La recherche fondamentale qui vise à faire des découvertes scientifiques. Elle n a pas d application économique directe. - La recherche appliquée dont l objectif est de réaliser une invention. C est une application pratique de l étape précédente. - Le développement. C est le passage de l invention à l innovation. On conçoit un prototype qui peut être utilisé dans l activité de production. - Enfin, il y a la production en série. L investissement en R&D est donc les dépense liées à ces trois étapes. On peut mesurer cet investissement grâce au montant mais aussi grâce au pourcentage du PIB consacré à la R&D qui équivaut à faire : (R&D/PIB) x 100 On observe une augmentation de l effort en R&D dans le temps ainsi qu une hiérarchie entre pays. On peut conclure du document que l on va vers une économie du savoir c'est-à-dire une économie de plus en plus fondé sur le PT et dans laquelle la croissance et la compétitivité des pays s appuie de plus en plus sur l innovation. Les pays qui se comportent le mieux aujourd hui sont ceux qui mettent l accent sur la R&D, l innovation. 3/7

4 Le rôle de l Etat : Le rôle de l Etat découle des caractéristiques économiques du PT. - La non rivalité. La majeur partie du PT provient de l investissement en R&D réalisé par les entreprises comme tout investissement, il n est réalisé que si il est rentable. Une innovation est rentable pour une entreprise car elle lui permet d être en situation de monopole. Monopole : Marché sur lequel on trouve un producteur face à un grand nombre de demandeurs. Cette situation permet de pratiquer des prix plus élevés donc d avoir un profit plus élevé. C est ce qu attendent les entreprises qui innovent. Ce type de monopole s appelle un monopole d innovation. La concurrence va venir menacer ce profit du fait de l imitation des autres entreprises pour faire perdre la situation de monopole. Cette menace peut décourager les investissements en R&D parce que par nature, le PT est un bien non rival. Il faut donc trouver des solutions pour le rendre rival, c'est-à-dire qu il faut qu il y ait des obstacles à cette possibilité d imiter. Pour cela, les entreprises peuvent prendre des mesures de secret industriel. Et l Etat peut créer des obstacles juridiques, le système de brevet et de propriété industrielle. Le brevet permet à l innovateur de contrôler l utilisation de son innovation (Droit de propriété). Cela fait partie des institutions favorables à la croissance. -Les externalités positives. C est le fait que les innovations s appuient sur les innovations précédentes et que ce qu elle rapporte à la société est supérieur à ce que sa rapporte à l entreprise. Cela a plusieurs conséquences sur le rôle que doit jouer l Etat. Revenons au système des brevets. Il peut y avoir un effet pervers. Une protection trop stricte des innovations peut entrainer un blocage du processus d innovation. Les brevets sont limités dans le temps, environ 20ans. D autre part certaines recherches n ont pas d application directe mais constituent la base d autre innovation. Le problème est qu il y a une faible rentabilité, voir nulle donc les entreprises ne sont pas incitées à investir. Donc l Etat est fondé à financer cette recherche fondamentale. L Etat a aussi un rôle de soutien de l effort de recherche des entreprises c'est-à-dire qu il doit soutenir l investissement en R&D parce que le PT joue un rôle central dans une économie mondialisée. L Etat peut subventionner (donner de l argent) directement la recherche des entreprises. Il peut aussi pratiquer des incitations fiscales (impôts). Il peut aussi essayer de faciliter le financement des entreprises innovantes en développant le capital risque. C est un investissement très risqué car il peut rapporter beaucoup mais aussi au contraire être un échec. L Etat va développer des marchés financiers spécialisés dans le financement des entreprises innovantes et inciter les investisseurs à investir dans ces entreprises. Ex : le NASDAQ spécialisé dans les valeurs liées aux nouvelles technologies. En ce qui concerne le rôle de l Etat dans l innovation, la France a longtemps été caractérisé par le fait que l Etat joue un rôle central en investissant directement dans des grands projets. Ex : le TGV ou le Concorde. 4/7

5 L Etat a plutôt cherché aujourd hui à accompagner les entreprises innovantes plutôt que lui-même investir. C est une transformation du rôle de l Etat et pas un retrait. Les transferts de technologies : C est l ensemble des phénomènes de mobilité international du PT ou de migration des innovations. Cette migration peut prendre des formes différentes : - Achat de brevets - Investissement des firmes multinationales - Phénomènes d imitations (formes illégales) Problème : l accès des pays en développement aux technologies pour se développer. Ex : Les négociations internationales sur le climat. Il est demandé au pays en développement de limiter leurs émissions de gaz à effets de serre. Il faut que cela s accompagne de transfert de technologie permettant d économiser en particulier de l énergie. Dans ce transfert de technologies, d autres questions se posent. Ex : Est-ce que ces technologies sont adaptées aux besoins des pays en développement? Il y a donc des limites à ces transferts. II) Le rôle du progrès technique dans la croissance 1) Le progrès technique à l origine des gains de productivité Comment mesure-t-on l effet du PT dans la croissance? Une partie des gains de productivité est expliquée par l augmentation des facteurs de production qui permettent d augmenter en particulier l intensité capitalistique. Le reste est expliqué par le PT que l on appelle la productivité totale des facteurs. 2) Le processus de destruction créatrice La notion est introduite par Schumpeter. (Rappel : pour lui l entrepreneur à un rôle essentiel dans l innovation et possède des qualités spécifiques) Les innovations sont à l origine de nouvelles activités. Il distingue 5 types d innovations (voir 1.1). Les nouvelles activités viennent en permanence renouveler le système économique parce que dans le même temps d autre activités disparaissent à cause de l arrivé des nouvelles innovations. Pour lui, le capitalisme est un système qui est par nature dynamique et en perpétuel transformation. Ce processus est pour Schumpeter au cœur du capitalisme. Dans le document on constate que ce renouvellement est beaucoup plus rapide aux Etats-Unis qu en Europe. Mais pour lui, ce processus n est pas régulier et est donc à l origine de cycles. Un cycle est un mouvement récurent de l activité économique et qui présente une amplitude et une périodicité régulière. Ce cycle peut concerner plusieurs indicateurs : la croissance, l investissement, les prix, la valeur des actions etc. Depuis le XIX siècle de nombreux économistes ont essayé de mettre en évidence des cycles en trouvant des régularités dans l évolution de l activité économique. 5/7

6 Un économiste russe, au début du XX siècle, Kondratieff va essayer de montrer qu il existe un cycle de long terme (50 ans) et il va donner son nom à ce cycle. Schumpeter va reprendre à son compte ce cycle et va lui donner son interprétation en disant que c est le PT qui explique ce cycle. Si les innovations apparaissaient de manière régulière, le processus de destruction créatrice aurait lieu de manière régulière. Mais Schumpeter montre que les innovations arrivent par grappes. C est ce qui explique la forme cyclique de l activité économique. Point de retournement Phase d expansion Phase de récession ou de dépression Phase d expansion d un nouveau cycle Point de retournement III) Les interactions entre progrès techniques et changements sociales Changement social : ce sont les transformations plus ou moins rapides d une partie ou de l ensemble du système social. Ces relations sont complexes. Le PT est à l origine de changements sociaux mais également certaines innovations sont le résultat de changements sociaux. Exemple de la banlieue : Ce document montre les interactions entre la diffusion d innovation et certains changements sociaux. Exemples de changements sociaux : l activité des femmes, l urbanisation, la spécialisation des espaces (le fait que chaque activité sociale se déroule dans un espace spécifique). Exemples d innovations : automobiles, réfrigérateurs, super marché. Le développement des super marchés entraine un changement social : la spécialisation des espaces. Le développement des réfrigérateurs permet aux femmes de travailler. De même le développement de l activité des femmes est permis grâce aux réfrigérateurs. L électricité répond à une demande de souplesse, de meilleure transportabilité, de meilleure divisibilité. Autre source d énergie : le pétrole 6/7

7 La diffusion de l électricité répond à un besoin de sécurité, de confort, de qualité par rapport au gaz donc à des changements sociaux. Pour qu elle se diffuse une innovation doit rencontrer les attentes correspondant à celles de la société sinon elle peut rester à l état d invention. 7/7

CHAPITRE «CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRES TECHNIQUE»

CHAPITRE «CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRES TECHNIQUE» CHAPITRE «CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRES TECHNIQUE» I ) SOURCES DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE : La croissance économique est d abord une réalité quantitative. Généralement, on mesure cette croissance avec

Plus en détail

EXPRIMEZ-VOUS LORS DU CHOIX DE VOS PNEUS : EXIGEZ DES PNEUS SÛRS, ÉNERGÉTIQUEMENT EFFICACES ET SILENCIEUX! WWW.ETIQUETTE-PNEUS.CH

EXPRIMEZ-VOUS LORS DU CHOIX DE VOS PNEUS : EXIGEZ DES PNEUS SÛRS, ÉNERGÉTIQUEMENT EFFICACES ET SILENCIEUX! WWW.ETIQUETTE-PNEUS.CH EXPRIMEZ-VOUS LORS DU CHOIX DE VOS PNEUS : EXIGEZ DES PNEUS SÛRS, ÉNERGÉTIQUEMENT EFFICACES ET SILENCIEUX! POUR DE MEILLEURS PNEUS SUR LES ROUTES SUISSES S exprimer lors du choix des pneus? Donner son

Plus en détail

Etude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise

Etude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise Etude de marché Selon l Agence Pour la Création d Entreprise (APCE), 70% des cas de défaillance ont pour origine la mauvaise qualité des études de marché, que celles-ci soient mal réalisées ou de manière

Plus en détail

Chapitre 1 : La consommation et l épargne

Chapitre 1 : La consommation et l épargne Chapitre 1 : La consommation et l épargne - 7 - Dans ce chapitre vous allez : - Distinguer les différents types de consommation. - Découvrir de quels facteurs dépend la consommation. - Étudier ce qu est

Plus en détail

Énergie et Mondialisation

Énergie et Mondialisation Énergie et Mondialisation Il est fréquent d affirmer que de nombreuses questions énergétiques ou environnementales ne peuvent être posées correctement qu au niveau mondial. Résolument ancré dans le réseau

Plus en détail

I) Le diagnostic externe

I) Le diagnostic externe Le diagnostic stratégique est la première étape de la démarche stratégique et consiste à analyser le diagnostic externe et interne de l entreprise. L analyse FFOM (SWOT) résume les conclusions de ces deux

Plus en détail

Comment mieux évaluer les risques industriels par la mesure du capital immatériel???

Comment mieux évaluer les risques industriels par la mesure du capital immatériel??? Comment mieux évaluer les risques industriels par la mesure du capital immatériel??? GENERALI : Un acteur engagé et responsable FFSA 26/01/2010 " Le secteur de l assurance est concerné par tous les sujets

Plus en détail

Notions fondamentales

Notions fondamentales Gestion de projet Notions fondamentales Versions récentes du cours pdf, ppt, vidéo disponibles ici : management de projet Image : domaine public (source) 1 Avant de commencer Introduction Objectifs Plan

Plus en détail

I) L ouverture des économies à l international

I) L ouverture des économies à l international L autarcie s oppose au système du libreéchange. I) L ouverture des économies à l international A) La mesure des échanges de biens et services. La balance des transactions courantes. Cette balance retrace

Plus en détail

LE PROGRAMME DE RECHERCHE POUR LE SCN 2023. François Lequiller Insee

LE PROGRAMME DE RECHERCHE POUR LE SCN 2023. François Lequiller Insee LE PROGRAMME DE RECHERCHE POUR LE SCN 2023 François Lequiller Insee Vers le SCN 2023 Le SCN 2008 n est pas encore fini mais on prépare déjà le SCN 2023 (2023 = 2008 + 15 comme 2008 = 1993 +15) Futur chapitre

Plus en détail

Les investissements internationaux

Les investissements internationaux Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches

Plus en détail

GLOSSAIRE PSYCHOLOGICAL AND BEHAVIORAL BARRIER

GLOSSAIRE PSYCHOLOGICAL AND BEHAVIORAL BARRIER GLOSSAIRE THEME CREST WP1 BARRIERE PSYCHOLOGIQUE ET COMPORTEMENTALE BATIMENT INTELLIGENT CAPTEURS CHANGEMENT CLIMATIQUE CHEMINEMENT EDUCATIF COMPORTEMENT CONSEIL ECHANGES PROFESSIONNELS ECO UTILISATION

Plus en détail

Manuel de l agent de crédit Banco Solidario

Manuel de l agent de crédit Banco Solidario Manuel de l agent de crédit Banco Solidario Extraits sur la prévention du surendettement des clients texte original en espagnol La philosophie «Vivre la solidarité» peut s appliquer à toute notre vie.

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

Consultation du Conseil du patronat du Québec sur le Régime québécois de santé et de sécurité du travail

Consultation du Conseil du patronat du Québec sur le Régime québécois de santé et de sécurité du travail Consultation du Conseil du patronat du Québec sur le Régime québécois de santé et de sécurité du travail Rapport du comité de travail sur la surindemnisation à la CSST Janvier 2008 1010, rue Sherbrooke,

Plus en détail

Ressources APIE. La comptabilisation des actifs immatériels : enjeux et applications. immatériel. Pour comprendre. En bref

Ressources APIE. La comptabilisation des actifs immatériels : enjeux et applications. immatériel. Pour comprendre. En bref Ressources de l immatériel APIE Agence du patrimoine immatériel de l état La comptabilisation des actifs immatériels : enjeux et applications En bref L État est riche d un patrimoine immatériel inestimable.

Plus en détail

SOMMAIRE PARTIE 1 : POURQUOI «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES»?... 3 PARTIE 2 : EPARGNE/CREDIT DU SYSTEME FINANCIER INFORMEL...

SOMMAIRE PARTIE 1 : POURQUOI «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES»?... 3 PARTIE 2 : EPARGNE/CREDIT DU SYSTEME FINANCIER INFORMEL... Fédération Internationale des Producteurs Agricoles 1 «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES» Ce document fut élaboré dans l objectif d apporter une information la plus complète possible sur le thème du

Plus en détail

TABLE DES MATIERES MENTIONS LEGALES QUI SUIS-JE? INTRODUCTION LES INDICATEURS DE LA STRATEGIE REGLES D ENTREE EN POSITION

TABLE DES MATIERES MENTIONS LEGALES QUI SUIS-JE? INTRODUCTION LES INDICATEURS DE LA STRATEGIE REGLES D ENTREE EN POSITION TABLE DES MATIERES MENTIONS LEGALES QUI SUIS-JE? INTRODUCTION LES INDICATEURS DE LA STRATEGIE REGLES D ENTREE EN POSITION STOP LOSS & TAKE PROFIT MONEY MANAGEMENT VARIANTES CONCLUSION MENTIONS LEGALES

Plus en détail

Les risques liés à l activité de l entreprise : quels outils pour les identifier?

Les risques liés à l activité de l entreprise : quels outils pour les identifier? Les risques liés à l activité de l entreprise : quels outils pour les identifier? Alger, le 23-24 Novembre 2009 Présentée par: Mlle Amina NADJI Doctorante en 3ème année sciences économiques (CRIISEA, Centre

Plus en détail

Première installation : comment réussir en temps de crise?

Première installation : comment réussir en temps de crise? FACULTES DE PHARMACIE DE PARIS V ET PARIS XI Première installation : comment réussir en temps de crise? Animation par Philippe BECKER (Fiducial) Joffrey BLONDEL (Astera) 1 Olivier DUPAYS (Pharmacie de

Plus en détail

2009 et DUBAR C., TRIPIER P., Sociologie des professions, Collection U, Armand Colin,, 2 éd., 2009

2009 et DUBAR C., TRIPIER P., Sociologie des professions, Collection U, Armand Colin,, 2 éd., 2009 L apport de la sociologie des professions 1 à une définition positive des professions libérales. Il est très difficile de trouver une définition «positive» des professions libérales, souvent les professions

Plus en détail

LE PER : SON APPLICATION A LA FINANCE D ENTREPRISE

LE PER : SON APPLICATION A LA FINANCE D ENTREPRISE LE : SON APPLICATION A LA FINANCE D ENTREPRISE ET TAUX DE RENTABILITE EXIGE L inverse du n est égal au taux de rentabilité exigé que dans le cas très rare où la croissance des bénéfices futurs (g) est

Plus en détail

MODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES

MODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES MODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES Ce modèle a une fonction d information La Convention Collective Nationale des assistants maternels du particulier

Plus en détail

1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?

1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence

Plus en détail

De quoi dépendent les taux de change? Si déficit dans les échanges extérieurs M>X demande de devises étrangères contre la monnaie nationale > offre

De quoi dépendent les taux de change? Si déficit dans les échanges extérieurs M>X demande de devises étrangères contre la monnaie nationale > offre De quoi dépendent les taux de change? Si déficit dans les échanges extérieurs M>X demande de devises étrangères contre la monnaie nationale > offre de devises étrangères contre monnaie nationale dépréciation

Plus en détail

Chapitre 1 : Notions. Partie 9 - Rente viagère. Qu est-ce q u u n e «r e n t e v i a g è r e»?

Chapitre 1 : Notions. Partie 9 - Rente viagère. Qu est-ce q u u n e «r e n t e v i a g è r e»? Chapitre 1 : Notions Qu est-ce q u u n e «r e n t e v i a g è r e»? Principe. Une rente viagère, c est en fait une dette à vie d une personne envers une autre, que l on connaît surtout dans le cadre de

Plus en détail

INTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre

INTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre INTRODUCTION Il y a 20 ans, toute l attention de l entreprise se portait sur la diminution des coûts et la maîtrise des filières de production autour des produits standardisés. Dans les années 1990, le

Plus en détail

«rend service» Xavier FONTANET

«rend service» Xavier FONTANET 198 LA REVUE CIVIQUE LA REVUE CIVIQUE 199 L entreprise «rend service» Xavier FONTANET Ancien Président du Groupe Essilor, Xavier Fontanet a créé une Fondation qui porte son nom, dédiée à l explication

Plus en détail

Et après mes travaux?

Et après mes travaux? 10 Et après mes travaux? Voilà, les travaux sont terminés! Vous vous (ré)installez confortablement dans votre logement. Comment profiter le plus longtemps possible des améliorations que vous venez d apporter

Plus en détail

CE : comment obtenir vos budgets

CE : comment obtenir vos budgets Droit en du pratique CE Pour fonctionner ou proposer des ASC aux salariés, le CE a forcément besoin de moyens financiers! Or sa principale ressource en la matière, c est l employeur, puisque c est lui

Plus en détail

7 ASTUCES POUR L ACHAT DE VOTRE FUTURE VOITURE. Présenté par Transpoco

7 ASTUCES POUR L ACHAT DE VOTRE FUTURE VOITURE. Présenté par Transpoco 7 ASTUCES POUR L ACHAT DE VOTRE FUTURE VOITURE Présenté par Transpoco Après un énième passage chez le garagiste en moins de deux mois, vous avez décidez qu il était temps de vous séparer de votre vieille

Plus en détail

Recueil de formules. Franck Nicolas

Recueil de formules. Franck Nicolas Recueil de formules Nous avons répertorié dans cette section, les différentes formules expliquées tout au long de cet ouvrage, afin de vous permettre de trouver rapidement l opération que vous souhaitez

Plus en détail

Peut on taxer les revenus du capital?

Peut on taxer les revenus du capital? Peut on taxer les revenus du capital? observatoire français des conjonctures économiques centre de recherche en économie de Sciences Po www.ofce.sciences po.fr xavier.timbeau@ofce.sciences po.fr 01 44

Plus en détail

LES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL

LES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE COUTS QUALITE DELAIS LE RÔLE DU MANAGER ROLE DU MANAGER A ) ROLE DE GESTIONNAIRE FINALITE PRODUIRE. Ateindre les objectifs MOYENS GERER Organiser / Planifier / coordonner

Plus en détail

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir

Plus en détail

Livret d epargne SaLariaLe

Livret d epargne SaLariaLe Livret d Epargne Salariale Chère collaboratrice, Cher collaborateur, En tant que salarié(e) de PAGE PERSONNEL, vous bénéficiez de l accord de participation en vigueur dans l entreprise. En complément de

Plus en détail

MARKETING INTERNATIONALES DES PRODUITS AGRICOLES

MARKETING INTERNATIONALES DES PRODUITS AGRICOLES MARKETING INTERNATIONALES DES PRODUITS AGRICOLES Sommaire Introduction au marketing international Types de marketing international La stratégie d internationalisation La politique internationale du produit

Plus en détail

COMMENT INVESTIR EN 2015 AVEC LE TRADING SOCIAL. Une publication

COMMENT INVESTIR EN 2015 AVEC LE TRADING SOCIAL. Une publication COMMENT INVESTIR EN 2015 AVEC LE TRADING SOCIAL Une publication P. 2 Comment investir en 2015 : Le Trading Social En 2015 vous souhaitez investir et générer des profits mais vous ne savez pas vraiment

Plus en détail

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations

Plus en détail

THÈME 1. Ménages et consommation

THÈME 1. Ménages et consommation THÈME 1 Ménages et consommation 1 Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? SENSIBILISATION Étape 1 D où provient l argent des ménages? Revenus «primaires» Du travail

Plus en détail

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes). SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,

Plus en détail

SESSION 2013 BTS ASSURANCE CORRIGE E3

SESSION 2013 BTS ASSURANCE CORRIGE E3 SESSION 2013 BTS ASSURANCE CORRIGE E3 U3 Corrigé Page 1 Sujet n 1 1. Indiquez les éléments pris en compte pour déterminer une cotisation d assurance. La prime dépend de : (3x0,5 pt = 1,5) - La fréquence

Plus en détail

CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS

CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS Notions à connaître: Taux de rentabilité, taux d'intérêt, demande anticipée, investissement matériel, investissement immatériel, investissement public,

Plus en détail

QU EST-CE QUE L EAU BIEN COMMUN?

QU EST-CE QUE L EAU BIEN COMMUN? QU EST-CE QUE L EAU BIEN COMMUN? Si je vous posais la question suivante: Etes-vous partisans de l Eau Bien Commun? J obtiendrais une réponse positive unanime. Mais si je vous posais ensuite la question

Plus en détail

INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES

INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES eduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Science économique 4. La monnaie et le financement Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 4.3 : Qui crée la monnaie? INDICATIONS

Plus en détail

L'ASSURANCE DU R1SQUE AUTOM OB1LE. Controle et assurance. Jacques Charbonnier. larcier

L'ASSURANCE DU R1SQUE AUTOM OB1LE. Controle et assurance. Jacques Charbonnier. larcier L'ASSURANCE DU R1SQUE AUTOM OB1LE Controle et assurance Jacques Charbonnier larcier TABLE DES MATTERES Du meme auteur Table des matieres Abreviations Sigles Remerciements Avant-propos VII ix XVII XIX xxi

Plus en détail

Mesures évaluées 46 68 % 35 324 %

Mesures évaluées 46 68 % 35 324 % Niches fiscales et sociales Un inventaire à la Prévert Il a fallu un an au comité d évaluation (une douzaine de hauts fonctionnaires), au ministère du budget, pour sortir un très gros rapport qui inventorie

Plus en détail

Taille optimale dans l industrie du séchage du bois et avantage compétitif du bois-énergie : une modélisation microéconomique.

Taille optimale dans l industrie du séchage du bois et avantage compétitif du bois-énergie : une modélisation microéconomique. Taille optimale dans l industrie du séchage du bois et avantage compétitif du bois-énergie : une modélisation microéconomique Alexandre SOKI cole Supérieure du ois Atlanpôle P 10605 Rue hristian Pauc 44306

Plus en détail

Quelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage?

Quelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage? Etudes Quelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage? Table des matières Introduction...7 Objectif, méthodologie

Plus en détail

Chapitre 3. La répartition

Chapitre 3. La répartition Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations

Plus en détail

TD n 1 : la Balance des Paiements

TD n 1 : la Balance des Paiements TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.

Plus en détail

Formulaire d inscription 2013

Formulaire d inscription 2013 En partenariat avec Formulaire d inscription 2013 Date limite de dépôt des candidatures : 15 juillet 2013 1/ PRESENTATION DU CANDIDAT (dans le cas d un projet collectif, un porteur de projet doit être

Plus en détail

LES DIX PLUS IMPORTANTES CAISSES DE RETRAITE DU CANADA ALIMENTENT LA PROSPÉRITÉ NATIONALE

LES DIX PLUS IMPORTANTES CAISSES DE RETRAITE DU CANADA ALIMENTENT LA PROSPÉRITÉ NATIONALE LES DIX PLUS IMPORTANTES CAISSES DE RETRAITE DU CANADA ALIMENTENT LA PROSPÉRITÉ NATIONALE En tant que gestionnaires d une importante partie de l actif de retraite au Canada, et avec plus de 400 milliards

Plus en détail

INNOVATION ET LANCEMENT DE NOUVEAUX PRODUITS

INNOVATION ET LANCEMENT DE NOUVEAUX PRODUITS INNOVATION ET LANCEMENT DE NOUVEAUX PRODUITS Luc Boyer Septembre 2007 INNOVATION ET LANCEMENT DE NOUVEAUX PRODUITS 1. INNOVATION Dès 1912, Joseph Schumpeter décrit dans la «Théorie de l évolution économique»

Plus en détail

La gestion du risque chez AXA

La gestion du risque chez AXA Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La

Plus en détail

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes

Plus en détail

Une protection antivirus pour des applications destinées aux dispositifs médicaux

Une protection antivirus pour des applications destinées aux dispositifs médicaux Une protection antivirus pour des applications destinées aux dispositifs médicaux ID de nexus est idéale pour les environnements cliniques où la qualité et la sécurité des patients sont essentielles. Les

Plus en détail

DOSSIER DE PRESENTATION

DOSSIER DE PRESENTATION N DOSSIER. 19 rue de Metz BP 50006 54150 BRIEY DOSSIER DE PRESENTATION (Nom de la personne ou de la structure et intitulé du projet) SOMMAIRE 1. PRESENTATION DU OU DES PORTEURS DE PROJET... 2 2. PRESENTATION

Plus en détail

NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers

NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers Luxembourg, le 8 novembre 2013 NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR Aspects financiers Volet 2 : Aides financières dans le domaine de la promotion des énergies renouvelables et de l efficacité énergétique

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés

Plus en détail

MÉMOIRE CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE

MÉMOIRE CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE MÉMOIRE DU CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES AOÛT 2009

Plus en détail

La place des seniors dans le bénévolat

La place des seniors dans le bénévolat La place des seniors dans le bénévolat On sait que les seniors jouent un rôle très important dans le bénévolat, notamment en qualité d élus aux seins des associations, bénéficiant de l expérience qu ils

Plus en détail

Minimiser vos impôts sur votre rémunération d entrepreneur : pouvez vous faire mieux?

Minimiser vos impôts sur votre rémunération d entrepreneur : pouvez vous faire mieux? 1 Minimiser vos impôts sur votre rémunération d entrepreneur : pouvez vous faire mieux? Présenté par France Gagnon, CPA, CA, M.FISC. Le 26 novembre 2014 Agenda Introduction Qu en est il du REÉR? Taux d

Plus en détail

PROGRAMME AEC COMPTABILITÉ FINANCIÈRE INFORMATISÉE

PROGRAMME AEC COMPTABILITÉ FINANCIÈRE INFORMATISÉE PROGRAMME AEC COMPTABILITÉ FINANCIÈRE INFORMATISÉE Numéro Liste de compétences - cours Introduction aux mathématiques comptables et financières Utiliser à des fins de gestion des méthodes statistiques

Plus en détail

BELGIQUE. 1. Principes généraux.

BELGIQUE. 1. Principes généraux. BELGIQUE Les dépenses de protection sociale en Belgique représentent 27,5%PIB. Le système belge est de logique bismarckienne. La principale réforme récente concerne le risque maladie. 1. Principes généraux.

Plus en détail

Mettez vos bénéfices non répartis à l œuvre

Mettez vos bénéfices non répartis à l œuvre SERVICE FISCALITÉ, RETRAITE ET PLANIFICATION SUCCESSORALE STRATÉGIE PLACEMENTS ET FISCALITÉ N O 11 Mettez vos bénéfices non répartis à l œuvre De nombreux propriétaires d entreprise ont accumulé des sommes

Plus en détail

Comprendre le financement des placements par emprunt. Prêts placement

Comprendre le financement des placements par emprunt. Prêts placement Comprendre le financement des placements par emprunt Prêts placement Comprendre le financement des placements par emprunt Le financement des placements par emprunt consiste simplement à emprunter pour

Plus en détail

EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER

EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système

Plus en détail

Chapitre 4 Quelles sont les principales défaillances du marché?

Chapitre 4 Quelles sont les principales défaillances du marché? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 12 octobre 2014 à 18:25 Chapitre 4 Quelles sont les principales défaillances du marché? Introduction Dans la réalité les marchés peuvent être défaillants dans le

Plus en détail

Informations aux athlètes en matière de fiscalité et de finances

Informations aux athlètes en matière de fiscalité et de finances Table des matières 1. Introduction 2. Revenus 3. Dépenses 4. Impôts 5. Budget 6. Planification financière 7. Assurances 8. Épargne-retraite 9. Autres responsabilités 10. Remarques finales 1 1. Introduction

Plus en détail

b ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)

b ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales) b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de

Plus en détail

Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs

Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs Lors du Sommet pleines voiles en janvier 2007, la Commission des valeurs mobilières du Nouveau-Brunswick a publié

Plus en détail

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en

Plus en détail

TC12 : Protection sociale et solidarités collectives

TC12 : Protection sociale et solidarités collectives TC12 : Protection sociale et solidarités collectives 1 Etat providence et protection sociale 11 L apparition de l Etat providence DOC 1 Q1 Qu est-ce que la société libérale? C est une société dans laquelle

Plus en détail

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants

Plus en détail

Exprimez-vous lors du choix de vos pneus:

Exprimez-vous lors du choix de vos pneus: xprimez-vous lors du choix de vos pneus: xigez des pneus sûrs, ÉnergÉtiquement efficaces et silencieux! 72 d 72 d POUR MILLURS PNUS SUR LS ROUTS SUISSS S exprimer lors du choix des pneus? onner son avis

Plus en détail

Une rente sans rachat des engagements (aussi connue sous le nom «buy-in») vise à transférer

Une rente sans rachat des engagements (aussi connue sous le nom «buy-in») vise à transférer Solutions PD Parez au risque Rente sans rachat des engagements (Assurente MC ) Transfert des risques pour régimes sous-provisionnés Une rente sans rachat des engagements (aussi connue sous le nom «buy-in»)

Plus en détail

LA QUALITE, L ASSURANCE DE LA QUALITE ET LA CERTIFICATION ISO 9001

LA QUALITE, L ASSURANCE DE LA QUALITE ET LA CERTIFICATION ISO 9001 LA QUALITE, L ASSURANCE DE LA QUALITE ET LA CERTIFICATION ISO 9001 I/ HISTORIQUE DE LA QUALITE La qualité est un souci permanent de l homme depuis longtemps. Jusqu au XIX ème siècle, c est l ère artisanale

Plus en détail

CARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES

CARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES CARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES Le cœur du produit de pointe que nous avons étudié et réalisé pour le secteur médical est représenté par le nouveau thermostat électronique HACCP, de série

Plus en détail

Vous bénéficiez d un dispositif d épargne dans votre entreprise. Il vous permet de vous constituer une épargne personnelle dans des conditions

Vous bénéficiez d un dispositif d épargne dans votre entreprise. Il vous permet de vous constituer une épargne personnelle dans des conditions Vous bénéficiez d un dispositif d épargne dans votre entreprise. Il vous permet de vous constituer une épargne personnelle dans des conditions financières particulièrement favorables : intéressement aux

Plus en détail

Le coaching centré sur la solution

Le coaching centré sur la solution Le coaching centré sur la solution Hélène Blanchard Le coaching centré sur la solution La résolution du problème... sans le problème mais avec la synergie IOS/PNL Retrouvez tous nos ouvrages sur le site:

Plus en détail

PRÊT DE TITRES : GUIDE D INTRODUCTION

PRÊT DE TITRES : GUIDE D INTRODUCTION PRÊT DE TITRES : GUIDE D INTRODUCTION MAI 2011 1 l PRET DE TITRES - GUIDE D INTRODUCTION Ce guide est une simple introduction au prêt de titres destinée à toute personne souhaitant en comprendre les fondements

Plus en détail

Ce document synthétise les principaux aspects de DayTrader Live, le service le plus haut de gamme de DayByDay.

Ce document synthétise les principaux aspects de DayTrader Live, le service le plus haut de gamme de DayByDay. Bienvenue chez DayByDay, Ce document synthétise les principaux aspects de DayTrader Live, le service le plus haut de gamme de DayByDay. Il est en deux parties : - Les idées de trading : quels sont les

Plus en détail

FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015

FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015 FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015 Organisme gestionnaire : UNIVERSITE LILLE 1 59655 Villeneuve d'ascq Cedex Siret : 19593559800019 Tél 03 20

Plus en détail

LES ETAPES DE LA CREATION

LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES

Plus en détail

Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions

Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions Chapitre 9 Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions Savoir utiliser son argent est un art et un art qui paie. Comme toutes les ressources, l argent peut être utilisé à bon ou

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.2 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)

Plus en détail

Conférence de Presse

Conférence de Presse Conférence de Presse du Plan d Epargne Salariale Interentreprises de PARIS Mercredi 2 février 2005 Hôtel Intercontinental SOMMAIRE Les objectifs des signataires Des avantages partagés par l employeur et

Plus en détail

Prenons ces mesures une à une pour mieux saisir la portée de ces changements.

Prenons ces mesures une à une pour mieux saisir la portée de ces changements. La réforme Harper de l assurance-emploi : une réforme brutale qui vise, en premier lieu, les travailleurs et les travailleuses de l industrie saisonnière Dans le cadre de la loi d exécution du budget du

Plus en détail

Partie I : Un siècle de transformations scientifiques, technologiques et sociales

Partie I : Un siècle de transformations scientifiques, technologiques et sociales Proposition de mise en œuvre des nouveaux programmes de troisième Partie I : Un siècle de transformations scientifiques, technologiques et sociales Thème 2 : L évolution du système de production et ses

Plus en détail

Première partie : Mobilisation des connaissances

Première partie : Mobilisation des connaissances Première partie : Mobilisation des connaissances 1. Présentez le lien entre productivité globale des facteurs et progrès technique. (3 points) Ci-dessous un corrigé : comparez-le à votre réponse, surlignez

Plus en détail

Focus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage

Focus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe

Plus en détail

Convertisseurs statiques d'énergie électrique

Convertisseurs statiques d'énergie électrique Convertisseurs statiques d'énergie électrique I. Pourquoi des convertisseurs d'énergie électrique? L'énergie électrique utilisée dans l'industrie et chez les particuliers provient principalement du réseau

Plus en détail

Chapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance?

Chapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 mars 2015 à 13:38 Chapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance? Notions : PIB, IDH, investissement, progrès technique, croissance endogène, productivité

Plus en détail

L assurance, un élément important de votre plan financier

L assurance, un élément important de votre plan financier ASSURANCE CRÉDIT L assurance, un élément important de votre plan financier En tant qu entrepreneur, il est important d établir un bon plan financier afin d avoir une vue objective de l évolution de votre

Plus en détail

OBTENIR LE FONDS DE ROULEMENT DONT VOUS AVEZ BESOIN

OBTENIR LE FONDS DE ROULEMENT DONT VOUS AVEZ BESOIN OBTENIR LE FONDS DE ROULEMENT DONT VOUS AVEZ BESOIN Vous avez conclu la transaction, mais il vous faut maintenant des liquidités pour démarrer la production. C est alors que votre crédibilité est en jeu.

Plus en détail

PRÉVISIONS BUDGÉTAIRE 2015

PRÉVISIONS BUDGÉTAIRE 2015 DATE: Du 01-01- au 31-12- 1 2 REVENUS 3 4 TAXES 5 TAXES GÉNÉRALES 6 TAXES GÉNÉRALES 133,156,500 $ (Taux,72) -914 512.00-958 726.00 7 TAXE EMPRUNT - CAMION INCENDIE (Taux,0152) -18 029.00-20 400.00 8 TAXE

Plus en détail

PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES

PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie II. 1. La création monétaire A. Comment

Plus en détail

La place de l épargne dans le circuit économique et son évolution au cours des années récentes au Canada et au Québec

La place de l épargne dans le circuit économique et son évolution au cours des années récentes au Canada et au Québec Numéro spécial 15 e anniversaire de Fondaction (CSN), colloque sur l épargne responsable La place de l épargne dans le circuit économique et son évolution au cours des années récentes au Canada et au Québec

Plus en détail