Suivi du traitement par Hypolipémiants ou Normolipémiants. Dr Jacqueline Azay-Milhau Laboratoire de Pharmacologie
|
|
- Amaury Grondin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Suivi du traitement par Hypolipémiants ou Normolipémiants Dr Jacqueline Azay-Milhau Laboratoire de Pharmacologie
2 PLAN Pourquoi accompagner les patients sous hypolipémiants? Rappels: L athérosclérose Les dyslipidémies Les hypolipémiants ou normolipémiants ENTRETIEN PHARMACEUTIQUE Informations générales concernant le patient Notions générales sur le traitement par hypolipémiants Surveillance biologique du traitement Surveillance de l apparition des signes évocateurs d une dose trop élevée Les autres médicaments Vie quotidienne et alimentation Les professionnels de santé Conclusion
3 Pourquoi accompagner les patients sous hypolipémiants? Il faut donner aux patients les explications sur l ensemble du traitement hypolipémiant, dans la continuité de la prise en charge médicale BUT: Meilleure appropriation du traitement et DONC MEILLEURE OBSERVANCE Objectif thérapeutique
4 Pourquoi accompagner les patients sous hypolipémiants? LES HYPOLIPEMIANTS SONT DES MEDICAMENTS EFFICACES DONT L EFFICACITE EST CONDITIONNEE PAR UN REGIME ALIMENTAIRE STRICT. ILS SONT UTILISES EN CHRONIQUE: - RISQUE D EFFETS INDÉSIRABLES - RISQUE DE LASSITUDE ET MOINDRE OBSERVANCE TRAITEMENT DES DYSLIPIDEMIES RISQUE CARDIOVASCULAIRE
5 Comment accompagner les patients sous hypolipémiants? Ajuster le niveau des informations données en fonction: - des connaissances du patient sur l athérosclérose et ses traitements - de la compréhension du patient
6 Les maladies cardiovasculaires: première cause de mortalité dans le monde 30 % de la mortalité mondiale totale chaque année en France: infarctus du myocarde accidents vasculaires cérébraux
7 Quel est l objectif à atteindre? RISQUE CARDIOVASCULAIRE En effet les complications des hyperlipidémies ou hyperlipoprotéinémies sont : Athérosclérose (Risque CV) Pancréatite aiguë
8 L ATHEROSCLEROSE
9 L athérosclérose Définition: L athérosclérose se caractérise par le dépôt d une plaque essentiellement composée de lipides (athérome) sur la paroi des artères. A terme, ces plaques peuvent entrainer: - lésion de la paroi artérielle (sclérose) - l obstruction du vaisseau - La rupture de plaque
10 Physiopathologie de l athérosclérose Maladie très longtemps asymptomatique
11 Physiopathologie de l athérosclérose
12 Physiopathologie de l athérosclérose
13 Physiopathologie de l athérosclérose Facteurs de risques Athérosclérose Facteurs contrôlables Facteurs incontrôlables
14 Physiopathologie de l athérosclérose Facteurs de risque contrôlables HTA Intérêt du traitement hypolipémiant Hypercholestérolémie Diabète Obésité Consommation excessive d alcool Sédentarité Tabagisme Stress
15 Physiopathologie de l athérosclérose Facteurs de risque permanents incontrôlables Age Moindre risque pour Femme d âge<50 ans Sexe ATC familiaux Origine ethnique AVC ou AIT antérieurs
16 Les dyslipidémies Dépistage par au moins 2 dosages biologiques. Dosages sont obligatoirement réalisés après 12h de jeûne.
17 Les dyslipidémies VALEURS NORMALES, en absence de facteurs de risque cardiovasculaire: Le cholestérol total (CT) < 2 g/ L Le HDL Cholestérol > 0.40 g/l Le LDL Cholestérol < 1.60 g/ L Les triglycérides < 1.50 g/ L En fonction du nombre de facteurs de risque CV associés, ces valeurs sont revues à la baisse.
18 Les dyslipidémies Le rapport CT (cholestérol total)/hdl doit être inférieur à 5 chez l homme et 4.5 chez la femme. Le rapport CT/HDL doit se situer en dessous de 4.5. Au-delà de ce chiffre, le risque athérogène est augmenté.
19 Les dyslipidémies Les lipides plasmatiques sont transportés dans le sang sous forme de lipoprotéines. Les taux de lipoprotéines sont anormalement élevés. Le classement des dyslipidémies est fonction des lipoprotéines augmentées au niveau plasmatique.
20 Les lipoprotéines Les lipoprotéines sont composées : - d une couche externe hydrophile - d un noyau central hydrophobe Les lipoprotéines sont classées en fonction de leur taille et de leur densité. Les apoprotéines sont présentes à la surface des lipoprotéines et constituent la partie active permettant leur fixation aux récepteurs.
21 Les lipoprotéines 4 classes principales de lipoprotéines: Chylomicrons, VLDL, LDL-c, HDL-c
22 Les lipoprotéines Chylomicrons: transportent les TG et Cholestérol alimentaires jusqu au foie. VLDL: sont sécrétées par le foie et transportent les TG dans les tissus périphériques. Les VLDL sont hydrolysés par la Lipoprotéine Lipase (LPL) libérant des acides gras libres, des lipoprotéines LDL et IDL. LDL: Elles déposent le cholestérol sur les parois des artères formant la plaque d athérome. C est le «mauvais cholestérol». Elles sont catabolisées au niveau hépatique via un récepteur permettant leur endocytose. IDL: lipoprotéines de densité intermédiaire sont produites lors de la dégradation des VLDL. HDL: Elles transportent le cholestérol des artères vers le foie où il est éliminé. C est un système «d épuration du cholestérol» donc protecteur vis-à-vis de l athérosclérose. C est le «bon cholestérol». Corrélation évidente entre la concentration de LDL-c et le développement de l athérosclérose
23 Les dyslipidémies Classification de Fredrickson Types I IIa IIb III IV V Lipoprotéines élevées Chylomicrons LDL LDL + VLDL IDL VLDL VLDL + Chylomicrons Athérogénicité Fréquence Types <1% 10% 40% <1% 45% 5% Hyper TG HyperCho Dyslipidémies mixtes HyperTG HyperTG
24 Les dyslipidémies Facteurs de risques associés aux hyperlipidémies: Pathologies: Obésité, DNID, HTA, hypothyroïdies, IR Médicaments: corticoïdes, les progestatifs, diurétiques, bétabloquants. Nutrition: «Mal Bouffe» Tabac, Sédentarité, alcool.
25 Traitements En 1 ère intention: REGIME HYGIENO-DIETETIQUE OBLIGATOIRE pendant 3 MOIS En 2 ème intention: REGIME HYGIENO-DIETETIQUE + 1 médicament hypolipémiant En 3 ème intention: REGIME HYGIENO-DIETETIQUE + 2 médicaments hypolipémiants
26 Les médicaments hypolipémiants 1- Les statines, les hypolipémiants les plus utilisés 2- Les fibrates 3- Les résines séquestrantes d acides biliaires 4- Inhibiteur de l absorption intestinale du cholestérol 5- Thérapeutiques adjuvantes
27 1- Les statines Les médicaments hypolipémiants l
28 Les statines Utilisation : Seul En Association Fixe avec Médicament non Hypocholestérolémiant : Atorvastatine + Amlodipine (CADUET ) HTA + FDR CV
29 Mécanisme d action des statines Inhibiteurs de la HMG-CoA réductase Ils agissent par inhibition compétitive, au niveau hépatique, de l enzyme responsable de la transformation de la HMG-CoA en mévalonate, précurseur du cholestérol
30 Principales caractéristiques des statines Propriété Simvastatine Pravastatine Fluvastatine Atorvastatine Rosuvastatine Lipophilie Oui Non Oui Oui Non ½ vie d élimination (h) % liaison p pl > 95 ~50 >98 >98 90 Métabolites actifs Métabolisme par CYP450 3A4 Elimination majoritaire Oui Non Non Oui Non Oui Non Non Oui Non Fécès Fécès Fécès Fécès Fécès Le traitement est débuté à faibles doses puis augmenté progressivement jusqu à normalisation des valeurs biologiques.
31 Les médicaments hypolipémiants 2- Les fibrates DCI Nom commercial Posologies Bézafibrate Befizal 200mg/cp Befizal LP 400 mg/cp 3cp/j 1 cp/j Ciprofibrate Lipanor 100mg/gel 1 gel/j Fénofibrate Lipanthyl 145 mg/cp Lipanthyl 160 mg/cp Lipanthyl 200 mg/gel Lipanthyl 67 mg/gel 1 cp/j 1 cp/j 1 gel/j 3 gel/j Gemfibrozil Lipur 450 mg/cp 900 à 1200 mg/j
32 Mécanisme d action des fibrates Agonistes des Récepteurs Nucléaires PPAR a Activateurs de la lipoprotéine lipase (LPL)
33 Les fibrates sont des activateurs du récepteur nucléaire PPARα Ils stimulent la lipolyse par activation de la lipoprotéine lipase (LPL), diminuent la production de triglycérides et de VLDL, augmentent la clairance de particules LDL, stimulent la synthèse de HDL et activent le transport de cholestérol vers le foie.
34 Principales caractéristiques des fibrates Propriété Bézafibrate Fénofibrate Ciprofibrate Gemfibrozil Biodisponibilité (%) ½ vie (h) % liaison p pl 95 > Métabolites conjugués urinaires % d élimination urinaire sous forme inchangée Oui Oui Oui Oui
35 Autres hypolipémiants 3- Résines séquestrantes d acides biliaires Colestyramine Questran 4g/sachet Mécanisme d action: Posologie: 1 sachet 3 fois/j avant les repas La colestyramine est une résine basique synthétique échangeuse d'ions, possédant une forte affinité pour les acides biliaires. Elle fixe les acides biliaires sous forme d'un complexe insoluble, inhibant ainsi leur cycle entéro-hépatique et augmentant leur élimination fécale.
36 4-Inhibiteur de l absorption intestinale du cholestérol Ezétimibe Ezétrol cp dosés à 10 mg Posologie: 1 cp/j Mécanisme d action: Ezétrol appartient à une nouvelle classe d'agents hypolipidémiants qui inhibent de façon sélective l'absorption intestinale du cholestérol et des phytostérols apparentés. Ezétrol est utilisé par voie orale. La cible moléculaire de l'ézétimibe est le transporteur de stérols, Niemann-Pick C1-Like 1 (NPC1L1), qui est responsable de l'absorption intestinale du cholestérol et des phytostérols. Ezétimibe + Simvastatine Inegy cp Posologie: 10/20 mg/j à 10/40 mg/j
37 5-Thérapeutiques adjuvantes : Compléments alimentaires Acides gras polyinsaturés: Omacor Ysomega Ubiquinone: Le coenzyme Q10 Important dans le traitement avec statines pour protéger les muscles et le cœur. Dose usuelle 100 mg/j en 1 prise. La levure de riz rouge: contient une statine naturelle diminuant le taux de cholestérol. Même EI statines.
38
39 Utilisation des hypolipémiants Les statines: en 1 ère intention dans les hypercholestérolémies isolées (IIa) ou associées à une hypertriglycéridémie (IIb et III). Les fibrates: pas en 1 ère intention dans les hypercholestérolémies primaires en 2 ème intention si intolérance aux statines utilisés dans les hypertriglycéridémies pures réfractaires à la diététique si taux sérique de TG>4g/L La colestyramine: en 2 ème intention dans hypercholestérolémies isolées si intolérance aux statines. Elle peut être associée aux fibrates ou aux statines.
40 Utilisation des hypolipémiants L ézétimibe: utilisé comme traitement adjuvant au régime dans l hypercholestérolémie primaire Association à une statine ou Monothérapie. En 2 ème intention après échec d une statine seule ou en cas d intolérance. Les oméga-3 polyinsaturés: indiqués dans les hypertriglycéridémies endogènes isolées ou prédominantes chez les sujets à risque coronarien et/ou de pancréatite, en complément du régime.
41 Utilisation des hypolipémiants Dans hypercholestérolémies pures et hyperlipidémies mixtes Premier choix: les statines Second choix (intolérance aux statines): - Ezétimibe (Ezétrol ) et/ou colestyramine (Questran ) et/ou fibrates Dans les hypertriglycéridémies pures Si 1.5 g/l< TG<4g/L Traitement diététique seul Si TG>4G/L Tt diététique + fibrate +/- AGPI n-3
42 Suivi pharmaceutique sur les Hypolipémiants
43 Informations générales concernant le patient Nom : Prénom : Date de naissance : N d Immatriculation : Régime d affiliation : Adresse : Date entretien 1 et nom du pharmacien : Date entretien 2 et nom du pharmacien : Date entretien 3 et nom du pharmacien :
44 Informations générales concernant le patient Poids Nom de l hypolipémiant prescrit Nom du prescripteur Autres médicaments prescrits Autres médicaments/produits consommés par le patient Habitudes de vie pouvant interférer avec le traitement hypolipémiant Historique de la prescription des hypolipémiants Difficultés motrices/cognitives/sensorielles Laboratoire qui réalise l exploration d anomalies lipidiques Demander au patient comment il vit globalement son traitement
45 Notions générales sur le traitement hypolipémiant L appréciation de l appropriation par le patient des informations essentielles se fait selon 3 niveaux: Acquis (A) La notion est parfaitement intégrée par le patient Partiellement Acquis (PA) Le patient a des connaissances incomplètes ou imprécises Non Acquis (NA) Le patient ne sait rien sur le sujet
46 Notions générales sur le traitement hypolipémiant Rôle de l hypolipémiant Indications du traitement hypolipémiant par les statines: Hypercholestérolémie isolée ou associée à une hyper- -triglycéridémie Prévention des maladies cardio-vasculaires Indications du traitement hypolipémiant par les fibrates Hypercholestérolémie isolée (type IIa) Hypertriglycéridémies endogènes de l adulte isolée (type IV) ou associée (type IIb ou III)
47 Notions générales sur le traitement hypolipémiant Rôle de l hypolipémiant Indications du traitement hypolipémiant par la colestyramine: Hypercholestérolémie essentielle (classification type II de Fredrickson) y compris xanthomatose (dépôts lipidiques au niveau cutané) Indications du traitement hypolipémiant par l ézétimibe: Hypercholestérolémie primaire Ezétrol et association avec une statine Indications du complément alimentaire avec acides oméga-3 polyinsaturés: Adjuvant de régime et/ou traitement
48 Notions générales sur le traitement hypolipémiant Pour votre patient: Le traitement a pour rôle de ramener à la normale les lipides sanguins trop élevés. D où le terme de NORMOLIPEMIANTS DIMINUER LE RISQUE CARDIOVASCULAIRE
49 Notions générales sur le traitement hypolipémiant Pourquoi le médicament a-t-il été prescrit? BUT: faire baisser les taux de cholestérol total et du LDL cholestérol, ce qui permet de réduire de façon proportionnelle le risque d évènements coronariens Il est prescrit en prévention I et II d athérosclérose Il est prescrit en prévention de pancréatite aiguë
50 Notions générales sur le traitement hypolipémiant Le médicament comporte-t-il des risques? Traitement long et chronique - Risque d une moindre observance d autant que le traitement n entraîne pas d amélioration immédiatement perceptible - Risque d apparition d effets indésirables 50% des accidents évitables!!
51 Effets indésirables Statines: Sévères et peu fréquents (<1%) TRES GRAVE avec IR sévère Rhabdomyolyse PRONOSTIC?? Biologie: transaminases (ASAT, ALAT) de la CPK ARRET IMMEDIAT DU TRAITEMENT
52 Notions générales sur le traitement hypolipémiant Posologie prescrite? Pour les hypolipémiants: Toujours débuter le traitement par des doses faibles Puis augmentation progressive de la posologie avec suivi biologique.
53 Notions générales sur le traitement hypolipémiant A quelle heure prendre le médicament? Pour les statines: Tous les jours préférentiellement le soir en une prise unique (Activité max de l HMG CoA Réductase la nuit)
54 Notions générales sur le traitement hypolipémiant Que faire en cas d oubli de son hypolipémiant? Rien de particulier
55 Notions générales sur le traitement hypolipémiant En cas de déplacement ou voyage: Prendre une ordonnance Prendre une quantité suffisante du traitement
56 Surveillance biologique Pour les statines et les fibrates Suivi hépatique: test fonctionnel hépatique (dosages ASAT, ALAT) avant le début du traitement puis ensuite si indiqué cliniquement. Si augmentation de posologie, pratiquer des tests avant l ajustement posologique, 3 mois après, puis périodiquement ensuite (ex 2 fois/an). Arrêt si taux d enzymes hépatiques > 3N. Suivi musculaire: Dosage de la CPK avant un traitement par statine si: IR Hypothyroïdie ATCD de maladie musculaire
57 Surveillance biologique La CPK doit être dosée devant tout symptôme musculaire inexpliqué. Ce dosage doit être effectué 2 jours après un effort musculaire intense. Puis si élévation notable de la CPK, un contrôle sera fait 5 à 7 jours après. Arrêt si CPK > 5N.
58 Surveillance biologique Le patient connaît-il les valeurs normales des lipides plasmatiques à atteindre? Pour le patient: Valeur NORMALES, en absence de facteurs de risque cardiovasculaire: Le cholestérol total (CT) < 2 g/ L Le HDL Cholestérol > 0.40 g/l Le LDL Cholestérol < 1.60 g/ L Les triglycérides < 1.50 g/ L
59 Surveillance biologique Le patient sait-il pourquoi il doit faire sa prise de sang le matin à jeûn? Pour doser les lipides issus de la synthèse endogène Pour observer l aspect du plasma qui suivant les dyslipidémies peut être : - lactescent - clair - opalescent - trouble Pour éviter les interférences lors du dosage
60 Surveillance biologique Le patient sait-il à quelle fréquence il doit réaliser les bilans biochimiques? Le patient doit aller au laboratoire faire les prélèvements pour dosages biochimiques demandés par son médecin La régularité des contrôles biologiques effectués par le patient conditionne: l efficacité optimale du traitement La prévention de l apparition d effets indésirables hépatiques ou musculaires
61 Surveillance de l apparition des signes évocateurs d une dose trop élevée Le patient connaît-il les signes évocateurs d un surdosage et la conduite à tenir? Aucun signe de surdosage avec les hypolipémiants
62 Les autres médicaments Le patient prend-il d autres médicaments? Connaît-il les médicaments contre-indiqués avec son traitement? Prend-il d autres médicaments sans avis médical? Les médicaments susceptibles d interagir avec les hypolipémiants sont nombreux
63 Les autres médicaments: Interactions Les Contre Indications absolues avec la simvastatine Inhibiteurs puissants du CYP 3A4 itraconazole, kétoconazole, inhibiteurs de la protéase du VIH, érythromycine, clarythromycine, télithromycine, Néfazodone Fibrates, amiodarone, vérapamil, diltiazem, amlodipine Majoration du risque d atteintes musculaires et de rhabdomyolyse Majoration du risque d atteintes musculaires et de rhabdomyolyse
64 Les autres médicaments: Interactions Associations déconseillées entraînant une diminution de posologie de la simvastatine Gemfibrosil Ciclosporine, Danazol, autres fibrates (excepté le fénofibrate) Amiodarone, Vérapamil Diltiazem, amlodipine Acide fusidique Jus de pamplemousse Max 10 mg/j Max 10 mg/j Max 20 mg/j Max 40 mg/j Interruption du trt A éviter
65 Les autres médicaments: Interactions Les Contre Indications absolues avec les fibrates AVK Répaglinide Statines Augmentation de l effet de l AVK, Risque hémorragique Risque d hypoglycémie sévère avec Gemfibrozil Majoration du risque d atteintes musculaires et de rhabdomyolyse
66 Les autres médicaments: Interactions Précautions d emploi avec les résines séquestrantes d acides biliaires AVK Contraceptifs oraux Hormones thyroïdiennes Digitaliques Diminution de leur absorption intestinale (respecter un intervalle de 2h) Associations déconseillées avec l Ezétimibe Fibrates Ciclosporine Risque de lithiase biliaire Majore le risque de Rhabdomyolyse
67 Alimentation et produits naturels Le patient connaît-il les règles en matières d alimentation?
68 Alimentation et produits naturels Prise en charge diététique de l hypercholestérolémie
69 Alimentation et produits naturels Prise en charge diététique de l hypertriglycéridémie Régime hypocalorique Régime sans sucre rapide et normocholestérolémiant Régime sans alcool
70 Les professionnels de santé Grossesse: Contraception conseillée chez l adolescente sous hypolipémiants. Les hypolipémiants sont contre-indiqués pendant la grossesse (principe de précaution car manque de données). Tout traitement par hypolipémiant doit être interrompu avant la grossesse. L allaitement est contre-indiqué durant un traitement par hypolipémiant.
71 Conclusion Le patient a-t-il des questions?
72 Conclusion Le premier entretien est le plus long.prioriser les informations Le deuxième permet de : Donner plus de précisions Faire aussi des rappels Un troisième entretien peut être utile Ne jamais négliger la traçabilité de l entretien et la tenue du dossier patient
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailSystème cardiovasculaire - CV CV111 CV110. aliskirène Rasilez
aliskirène Rasilez CV111 Pour le traitement de l hypertension artérielle, en association avec au moins un agent antihypertenseur, si échec thérapeutique, intolérance ou contre-indication à un agent de
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailPREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
Plus en détailLes dyslipidémies, leurs prises en charge, et l éducation thérapeutique du patient à l officine.
2013-2014 Thèse Pour le Diplôme d Etat de Docteur de Pharmacie Les dyslipidémies, leurs prises en charge, et l éducation thérapeutique du patient à l officine. BEAUVAIS Vincent Sous la direction de M.
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détail«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.»
«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.» Boire peu pour boire longtemps. Marcel Aymé Le vin est dans notre pays synonyme de plaisir (gastronomique) ou de déchéance (alcoolique). Le débat
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses?
Les nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses? Dr Stéphanie Chhun, Pharmacologue (Hôpital Universitaire Necker Enfants-Malades) Pr Stéphane Mouly, Interniste (Hôpital Lariboisière)
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailTout ce qu il faut savoir pour comprendre le cholestérol et l alimentation lipidique Les questions que l on se pose
Tout ce qu il faut savoir pour comprendre le cholestérol et l alimentation lipidique Les questions que l on se pose Questions : cherchez la réponse Comment se présente le cholestérol dans le sang? Quels
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailNouvelles lignes directrices sur les lipides mieux cibler pour mieux traiter
L athérosclérose coronarienne Nouvelles lignes directrices sur les lipides mieux cibler pour mieux traiter 1 Jean Grégoire et Ragui Ibrahim Vous êtes à votre cabinet le premier lundi de janvier, premier
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailDiabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question
Diabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question Eugène Sobngwi, MD, PhD Service d Endocrinologie d Diabétologie Hôpital Saint-Louis, Paris 10 / INSERM U 671 Le diabète sucré en
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailNouveaux Anti-thrombotiques. Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1
Nouveaux Anti-thrombotiques Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1 Classification Antithrombines directes o Ximélagatran EXANTA o Désirudine
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants dans la Fibrillation atriale en pratique
Conflits d intd intérêts (en rapport avec le thème de la conférence) Les nouveaux anticoagulants dans la Fibrillation atriale en pratique Oratrice lors de journées de formation sur les nouveaux anticoagulants
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailVIH & Interactions Médicamenteuses
VIH & Interactions Médicamenteuses L ABC en quizz K. De Heller & M.Cavassini MIN-IAL, le 21 avril 2005 Ce que je ne vais pas aborder Les interactions médicamenteuses entre les différents antirétroviraux!!!
Plus en détailLES FACTEURS DE RISQUE
LES FACTEURS DE RISQUE C EST QUOI UN FACTEUR DE RISQUE? C est une caractéristique lié à une personne, à son environnement à sa culture, à son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus importante
Plus en détailFemmes, prenez soin de votre cœur! LIVRET DE PREVENTION
LIVRET DE PREVENTION Femmes, prenez soin de votre cœur! TOUT SAVOIR SUR LA SANTE DU CŒUR DES FEMMES, par la Fondation Cœur et Artères, reconnue d utilité publique Introduction Ce livret s adresse à toutes
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailPoint d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir
Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailCARDIOLOGIE. Conférences scientifiques
www.cardiologieconferences.ca NOVEMBRE 24 volume IX, numéro 9 CARDIOLOGIE Conférences scientifiques COMPTE RENDU DES CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES DE LA DIVISION DE CARDIOLOGIE, HÔPITAL ST. MICHAEL S, UNIVERSITÉ
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailPRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE DU PATIENT DYSLIPIDÉMIQUE ARGUMENTAIRE
PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE DU PATIENT DYSLIPIDÉMIQUE ARGUMENTAIRE Ce document est une actualisation des Recommandations de Bonne Pratique "Prise en charge des dyslipidémies" publiées par l'afssaps en
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailPour la prévention des maladies cardiovasculaires dans le diabète, le taux d'hba1c cible recommandé est <7,0% (<53 mmol / mol).
Discussion par le Dr Boustani : les nouvelles recommandations européennes sur la prévention nous invitent à une révolution intellectuelle dans l identification des patients à risques. La majorité des cardiologues,
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailCours de Mme Ollivier. Le 17.12.2008
Pharmacologie de la pathologie VIH : Les anti-rétroviraux Rôle infirmier dans la prise en charge du patient sous ARTV : éducation, prévention et gestion des effets secondaires Cours de Mme Ollivier Le
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailAPRÈS L'ACCIDENT CORONAIRE
APRÈS L'ACCIDENT CORONAIRE CE QUE JE DOIS FAIRE POUR PRÉVENIR LA RÉCIDIVE! Informations et conseils pour une bonne réadaptation La fédération française de cardiologie finance : prévention, recherche, réadaptation
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 7 janvier 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 7 janvier 2009 ZANEXTRA 20 mg/10 mg, comprimés pelliculés B/30, code CIP : 385 967.4 B/90, code CIP : 387 392.9 Laboratoires BOUCHARA RECORDATI Enalapril/Lercanidipine
Plus en détailAspects pratiques du traitement de la MTEV
JFA Aspects pratiques du traitement de la MTEV 1 er février 2013 Isabelle Mahé Hôpital Louis Mourier Médecine Interne APHP, Université Paris 7 Conflits d intérêt Conseil en développement Daiichi Sankyo,
Plus en détailLes Nouveaux AntiCoagulants Oraux
Les Nouveaux AntiCoagulants Oraux (NACO) Emmanuel HAZARD/Jean-loup HERMIL Chronologie Héparine non fractionnée 1950 HBPM 1980 NACO >2008 AVK 1960 Fondaparinux 2002 2 Les indications des NACOs En médecine
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants en 2012
Les nouveaux anticoagulants en 2012 Actualités thérapeutiques 1 er décembre 2012 Dr Jérôme CONNAULT Service de Médecine Interne Hôtel-Dieu CHU de Nantes jerome.connault@chu-nantes.fr Pourquoi de nouveaux
Plus en détailVous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K)
Ce carnet a été réalisé sous la coordination de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Carte à découper
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER
ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Docteur R.POTIER DEFINITION DU DIABETE soit : Syndrome polyuro-polydipsique + amaigrissement + 1 glycémie > 2g/L 2 glycémies à jeun > 1,26g/l 1 glycémie
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Artériopathie oblitérante des membres inférieurs Mars 2007 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2 avenue
Plus en détail6 novembre 2014. Modifier son style de vie pour améliorer la dyslipidémie? et pour diminuer le risque cardiovasculaire
6 novembre 2014 Modifier son style de vie pour améliorer la dyslipidémie? et pour diminuer le risque cardiovasculaire Ulrich Keller, Prof. Dr. med. FMH Endocrinologie-Diabétologie Consultant, Clinique
Plus en détailLe traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir?
Le traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir? Le diabète de type 2 est une maladie chronique et progressive dont l incidence va en augmentant. Il n existe pas de traitement
Plus en détailLES OMEGA 3 OU LES ACIDES GRAS ESSENTIELS D ORIGINE MARINE
LES OMEGA 3 OU LES ACIDES GRAS ESSENTIELS D ORIGINE MARINE Pourquoi les Oméga 3 : Les huiles de poisson riches en EPA et DHA constituent les principaux apports en acides gras poly-insaturés de la famille
Plus en détail1.3 Recherche de contaminants au cours de la production de Saccharomyces boulardii
Série STL Biochimie génie biologique EPREUVE PRATIQUE 1. CONTROLE MICROBIOLOGIQUE DE PROBIOTIQUES Les préparations de probiotiques sont utilisées préventivement comme additifs dans l alimentation humaine
Plus en détailNouveaux AntiCoagulants par Voie Orale. Dr. François PAPON 27 juin 2013
Nouveaux AntiCoagulants par Voie Orale Dr. François PAPON 27 juin 2013 Limites des traitements anticoagulants standards «Nécessité» nouveaux anticoagulants Objectif; se rapprocher de l antithrombotiqueidéal
Plus en détailLes triptans. quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre. Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit!
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Les triptans quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit! Les triptans, des agonistes sélectifs
Plus en détailSANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT!
SANTÉ stop cholesterol diabete hypertension E-BOOK équilibre Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! un peu d histoire... Il y a 200 ans, un Français faisait en moyenne entre
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLes anticoagulants oraux directs
Les anticoagulants oraux directs Pr Nadine Ajzenberg Département d hématologie et d Immunologie Biologiques Hôpital Bichat, Paris nadine.ajzenberg@bch.aphp.fr 13 février 2015 Anticoagulants oraux directs
Plus en détailntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques
Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailUn diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par :
Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec Un diabète de type 2 Atelier animé par : Pr Martine Duclos CHU Montpied, Clermont-ferrand Dr Julien Aucouturier UFR STAPS, Lille Séminaire interactif
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailPLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE
Journée Club NeuroVasculaire Ile-de-France 27 mai 2014 PLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE Eric PAUTAS Hôpital Charles Foix UFR Médecine G.H. Pitié-Salpêtrière-Ch.Foix Inserm U765
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détail