Hépatite C en prison à l'heure des nouveaux traitements
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- Constance Milot
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1 5 ème Université d été de médecine en milieu pénitentiaire Hépatite C en prison à l'heure des nouveaux traitements UN RÉFÉRENTIEL HÉPATITES ET/OU ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE EST-IL APPLICABLE EN MILIEU CARCÉRAL? BOUCHKIRA Hakim Infirmier Coordinateur AEHV-LR Aude et PO Infirmier Equipe Mobile Hépatites Centre Catalan des Hépatites Centre Hospitalier de aehv.idehepatites@gmail.com
2 INTRODUCTION Bien qu elles soient privées de liberté, les personnes détenues conservent des droits fondamentaux dont le droit à la santé. Rapport du Haut Conseil de la santé publique : «la population placée sous main de justice est soumise, en dehors puis à l intérieur de la prison, à une multiplicité de facteurs de risques qui sont pour l essentiel ceux des personnes les plus démunies». Prévalence du virus de l hépatite C chez les personnes détenues est près de cinq fois supérieure à celle constatée dans la population générale. L état de santé dégradé des personnes détenues constitue un enjeu de santé publique à part entière, en regard des besoins cliniquement établis par les professionnels de santé somatique et mentale lors des consultations d entrée en détention. Ces constats rejoignent les objectifs de réduction des inégalités sociales de santé et justifient une action spécifique de promotion de la santé pour cette population. Un référentiel hépatites et/ou éducation thérapeutique est-il applicable en milieu carcéral?
3 Ce que dit le rapport DHUMEAUX Référentiel 2014 : prise en charge des personnes infectées par VHB et VHC Points-clés Les usagers de drogues par voie injectable = majorité des nouvelles contaminations par le VHC. La politique de réduction des risques vis-à vis de l infection à VHC est moins efficace que celle vis-à-vis de l infection VIH. Une diversification maximale est requise. Risque de contamination élevé chez les usagers de drogues (UD), en particulier les personnes en situation de précarité, les jeunes, les femmes, les migrants et les personnes détenues.
4 Ce que dit le rapport DHUMEAUX Référentiel 2014 : prise en charge des personnes infectées par VHB et VHC Points-clés Les usagers de drogues (UD) ignorant leur infection par le VHB ou le VHC exposent les nouveaux injecteurs à un haut risque de contamination par le partage de matériel. Les contaminations se produisent le plus souvent au tout début du parcours d injection. Les traitements actuellement disponibles pour les infections virales B et C sont aussi efficaces chez les UD que dans la population générale. Ils permettent de réduire fortement le risque de transmission.
5 Ce que dit le rapport DHUMEAUX Référentiel 2014 : prise en charge des personnes infectées par VHB et VHC. Recommandations Réorienter la politique générale de lutte contre les drogues issue de la loi de 1970, en donnant la priorité aux actions de santé publique (réduction des risques et soins) par rapport aux actions de contrôle légal et de répression des UD. Déployer sur le terrain les stratégies de réduction des risques chez les usagers de drogue. Préconiser un traitement le plus précoce possible des UD, en assurant une prise en charge multidisciplinaire médicale et médico-sociale, le traitement permettant de diminuer le risque de transmission. Améliorer la formation des acteurs en contact avec les UD sur les risques liés au VHB et au VHC et sur la réalité concrète des pratiques d injection pour mieux conseiller les UD. Chez les personnes détenues, poursuivre et accroitre les efforts de dépistage et d éducation sur les facteurs de risque de contamination.
6 Ce que dit le rapport DHUMEAUX Référentiel 2014: prise en charge des personnes infectées par VHB et VHC. Recommandations (suite) Développer les actions de réduction des risques en milieu pénitentiaire. - Caractéristiques de la population carcérale, équivalence des mesures de prévention et de soins avec le milieu libre. - Elargissement des interventions associatives et de professionnels exerçant dans le champ des addictions. - Expérimentation des programmes d échange de seringues (actuellement non autorisés en milieu pénitentiaire) - Mise en œuvre effective des mesures du référentiel de la réduction des risques de transmission virale en milieu carcéral. Proposer une offre de soins globale et coordonnée dans un même lieu fréquenté par les UD (soins médico-sociaux en addictologie, réduction des risques,dépistage, fibroscan, traitements antiviraux et suivi spécialisé).
7 Ce que dit le rapport DHUMEAUX L éducation thérapeutique du patient dans la prise en charge des hépatites B et C Points-clés L éducation thérapeutique du patient est un moyen important d améliorer l adhésion au traitement et le succès thérapeutique. Le patient est l acteur principal de sa prise en charge, avec l objectif d augmenter son autonomie et sa qualité de vie. L éducation doit prendre en compte l ensemble des éléments qui contribuent à l aggravation de l hépatite C, aux échecs thérapeutiques et à la dégradation de la qualité de vie des patients : comorbidités, addictions, dégradation de la vie sociale et affective. L éducation thérapeutique est maintenant organisée dans un cadre légal régi par la loi HPST. L éducation thérapeutique comprend différentes phases : un diagnostic éducatif avant traitement, conduisant à fixer des objectifs avec le patient. L accompagnement thérapeutique et le suivi post-thérapeutique pour s assurer de la restitution de la santé du patient
8 Ce que dit le rapport DHUMEAUX L éducation thérapeutique du patient dans la prise en charge des hépatites B et C Recommandations Faire évoluer les programmes d éducation thérapeutique consacrés à l hépatite C pour tenir compte des futures stratégies sans interferon et sans ribavirine. Etendre les objectifs et le contenu des programmes d éducation thérapeutique au diagnostic, à l évaluation du patient et à la prise en charge des comorbidités. Veiller à l accessibilité des programmes d éducation thérapeutique pour les patients avec des conditions sociales précaires.
9 Ce que dit le rapport DHUMEAUX L éducation thérapeutique du patient dans la prise en charge des hépatites B et C Recommandations (suite) Elargir les critères de résultats pris en compte dans les programmes d éducation thérapeutique à la qualité de vie des patients et la restauration globale de leur santé, particulièrement risques de complications (carcinome hépatocellulaire). Faire évoluer le rôle des soignants non médecins : diagnostic éducatif, réalisation de certains gestes de diagnostic, informations sur les risques de transmission. Pour l hépatite B mettre en place des programmes spécifiques d éducation thérapeutique centrés sur l observance à long terme
10 Ce que dit le rapport DHUMEAUX Traitement de l infection par le virus de l hépatite C Recommandations Traiter en priorité, non seulement en fonction de l atteinte hépatique, mais en tenant compte du contexte clinique : Les patients ayant un score de fibrose F2 Quel que soit le degré de fibrose : les personnes détenues, les UD, les femmes ayant un désir de grossesse, les patient en attente de transplantation d organe, les patient ayant des MEH.
11 Ce que dit le référentiel d intervention (INPES) Promotion de la santé en milieu pénitentiaire L Institut National de Prévention et d Education pour la Santé (Inpes) a élaboré un référentiel d intervention en éducation pour la santé en milieu pénitentiaire, qui constitue un guide à la disposition des Copil. Ce référentiel est prévu dans le plan d actions stratégiques : politique de santé des personnes placées sous main de justice. Il permet clarifier la démarche et le champ de l éducation pour la santé en milieu carcéral. ce document se veut un outil d aide à la mise en œuvre pour l ensemble des acteurs (santé, justice, terrain ou institutions) qui mènent ou souhaitent mener des actions d éducation et de promotion de la santé en milieu pénitentiaire. Les fiches techniques sont en lien direct avec les recommandations diffusées, qu elles soient relatives au Copil en général, à la procédure d élaboration des programmes et de leur contenu, à la participation des publics concernés, aux financements, au soutien méthodologique ou aux moyens humains
12 Ce que dit le référentiel d intervention (INPES) LISTE DES FICHES TECHNIQUES et LES OBJECTIFS Fiche technique 1. Comité de pilotage (Copil) - Objectif : Comprendre les missions et le fonctionnement Fiche technique 2. Équipe projet - Objectif : Constituer une équipe projet avec des partenaires opérationnels Fiche technique 3. Analyse de la situation et caractérisation de la population concernée - Objectif : Analyser l état des lieux, les besoins, l offre. Susciter la parole du public - Ressources téléchargeables : exemple des résultats d un questionnaire Fiche technique 4. Participation des personnes détenues - Objectif : Impliquer les personnes détenues à toutes les étapes du projet Fiche technique 5 Élaboration d un programme annuel ou pluriannuel d éducation et de promotion de la santé - Objectif : Comprendre l élaboration d un programme - Ressources téléchargeables : Arbre à objectifs
13 Ce que dit le référentiel d intervention (INPES) LISTE DES FICHES TECHNIQUES et LES OBJECTIFS Fiche technique 6. Identification des partenaires - Objectif : Établir la liste des partenaires la plus pertinente pour le projet. - Ressources téléchargeables : Tableau d attribution des rôles selon les partenaires. Fiche technique 7. Définition des objectifs - Objectif : Définir les différentes catégories d objectifs du projet. Fiche technique 8. Élaboration des actions - Objectif : Comprendre l importance d agir sur plusieurs déterminants de santé. Fiche technique 9. Estimation des besoins humains, logistiques et financiers - Objectif : Estimer au mieux les besoins et les ressources disponibles. - Ressources téléchargeables : Tableau d estimation des besoins humains et logistiques. Tableau d estimation des ressources financières. Fiche technique 10. Planification du projet - Objectif : Permettre d établir un calendrier prévisionnel. - Ressources téléchargeables : Tableau de planification de projet.
14 Ce que dit le référentiel d intervention (INPES) LISTE DES FICHES TECHNIQUES et LES OBJECTIFS Fiche technique 11. Recherche des sources de financement - Objectif : Recenser les sources de financements possibles. Fiche technique 12. Suivi du projet - Objectif : Suivre le projet en mettant en place des indicateurs, des collectes de données et des fiches de suivi à rapporter à la planification. - Ressources téléchargeables : Fiche de recueil de données, fiche de suivi des actions/activités, tableau de planification de projet. Fiche technique 13. Évaluation - Objectif : Pouvoir définir des indicateurs simples pour différentes étapes du projet. - Ressources téléchargeables : Tableau des questions évaluatives sur le projet. Fiche technique 14. Communication autour du projet - Objectif : Améliorer la communication autour des programmes ou projets.
15 Ce que dit le Référentiel Régional ETP VHC. Objectifs : - Aider au mieux ceux et celles qui souhaitent proposer un programme à leurs patients, d identifier les besoins de patients porteurs d une hépatite chronique C. - De s adapter aux différents profils de patients de la région : patients socialisés ayant des antécédents bien identifiés de contamination, usagers de CSAPA/CAARUD, Migrants, détenus - De favoriser les liens entre les différents acteurs de l ETP (pharmaciens, secteur public et privé ). - De faciliter un déploiement sur la région sachant que certaines zones géographiques sont très isolées (Lozère, ). - De couvrir la période allant du diagnostic au post-traitement.
16 Ce que dit le Référentiel Régional ETP VHC Le référentiel renvoi à des documents : L éducation Thérapeutique dans la prise en charge des hépatites B et C La synthèse d un questionnaire sur les besoins des patients de la région Languedoc-Roussillon. La synthèse qualitative des séances du programme d ETP de l AEHV-LR. Les valeurs de l ETP d un point de vue associatif et comment elles peuvent être intégrées à un programme. Les exemples d'outils : Le Bilan Educatif Partagé du CHRU de Montpellier. Le plan personnalisé de suivi de traitement et d'éducation thérapeutique. La fiche «des objectifs d auto-soins et d adaptation les plus fréquents pour les patients sous traitement VHC». Le Score EPICES ; Score individuel de précarité. Le Score HAD : Hospital Anxiety and Depression Scale. Le questionnaire de connaissance sur l hépatite C. La fiche de lien entre professionnels de santé. Le tableau évolutif synthétique. Le tableau de suivi et de tolérance biologique.
17 Guide de l intervention en milieu pénitentiaire. Mise en place par la Mission milieu carcéral de Sidaction, mission faisant partie du service des Programmes associatifs France de Sidaction. Prise en charge des hépatites et du VIH : du dépistage au traitement des hépatites et de l infection à VIH, tout peut être réalisé au sein des US. le dépistage dès l entrée, est systématiquement proposé. le diagnostic se fait par des méthodes biologiques, non invasives (tests sanguins,trod, Fibroscan ) le traitement est prescrit avec les mêmes indications, les mêmes médicaments, les mêmes résultats et induit les mêmes complications qu en milieu libre
18 Guide commun d actions AIDES ETABLISSEMENTS PENITENTIAIRES Réalisé à partir de la pratique de terrain des délégations départementales et du travail de réflexion des groupes locaux et nationaux de AIDES. Guide destiné à vous aider à mettre en place ou à améliorer des actions de prévention et de soutien auprès des personnes détenues. Le contenu découpé en quatre cahiers : - L analyse de la situation et la définition des objectifs de l action. - La construction et le déroulement de l intervention. - Le suivi et l évaluation. - Une boite à outils
19 Equipe Mobile Hépatites / AEHV-LR / US Procédure de prise en charge en éducation thérapeutique des patients hépatite C coordonnée par Equipe mobile hépatites AEHV-LR Unité Sanitaire
20 EQUIPE MOBILE HEPATITES - Un service de proximité equipe.mobile.hepatites@ch-perpignan.fr L'Equipe Mobile Hépatites du Centre Hospitalier de Perpignan a été créée en juillet 2013 sur des crédits MERRI dédiés à la lutte contre les hépatites virales. Elle se compose d un médecin à mi-temps, de 2 infirmiers et d une secrétaire (et bientôt d un assistant social). Elle propose sur site à une vingtaine de structures partenaires (CAARUD CSAPA CHRS ACT etc..) liées par convention tout ou partie des 5 prestations suivantes : TROD VIH et VHC (et bientôt VHB), évaluation indirecte de la fibrose hépatique par FIBROSCAN, formation des équipes et information des usagers, séances d'éducation thérapeutique individuelles ou collectives, consultations médicales avancées. Toutes les prestations sont gratuites pour les patients et les structures.
21 AEHV-LR Association pour l Etude des Hépatites Virales Languedoc Roussillon Éducation thérapeutique de l hôpital/ucsa à la ville Association loi création 17 août 2005 Maison des Professions Libérales 285 Rue Alfred Nobel MONTPELLIER dossierinformatise.hepatitec@orange.fr Tel : Fax :
22 Optimiser la prise en charge des patients atteints d Hépatite C en Languedoc-Roussillon Coordonner les soins entre professionnels de santé privés ou publics MISSIONS Améliorer les connaissances épidémiologiques de la maladie à l aide du dossier informatisé Développer l éducation thérapeutique (ETP) pour les patients Hépatite C sous traitement
23 LANGUEDOC-ROUSSILLON 330 patients bénéficiaires de séances GRATUITES depuis 2010 LOZÈRE 23 IDE éducatrices GARD HERAULT 5 IDE 8 IDE AUDE 2 IDE PYRENEES ORIENTALES 8 IDE PERPIGNAN 240 inclusions
24 ETP UCSA PERPIGNAN Bilan Educatif Partagé (BEP) par IDE équipe mobile hépatites 2 ème séance à S1 (IDE AEHV) 3 ème séance à S4 (IDE AEHV) et + si patient libérable en cours de traitement 5 ème à 7 ème Séance suivante par IDE UCSA BEP d évaluation S12/ S24 / S48 (IDE équipe mobile)
25 POINTS FORTS Egalité de prise en charge dedans/dehors. Accompagnement renforcé du fait de l incarcération. Prise en charge pluridisciplinaire (spécialiste, généraliste, IDE éducation, IDE UCSA). Réactivité de toute l équipe soignante. Harmonisation des documents ETP (validés par l ARS). Effectuer des actes d ETP dans un cadre formalisé. Entretiens individuels. Préparation à la sortie et à la réinsertion.
26 POINTS A AMELIORER Locaux US exigus. Multiplication des intervenants (mise en place d un climat de confiance plus délicate). Difficultés pour prévoir le suivi à l extérieur : manque d infos sur la sortie (date, adresse, médecin traitant ). Disponibilité de l IDE UCSA (1/2 ETP santé publique) Mise à jour des outils, supports évolutifs selon les recommandations
27 MERCI DE VOTRE ATTENTION
Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
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