Hépatite C en prison à l'heure des nouveaux traitements

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Hépatite C en prison à l'heure des nouveaux traitements"

Transcription

1 5 ème Université d été de médecine en milieu pénitentiaire Hépatite C en prison à l'heure des nouveaux traitements UN RÉFÉRENTIEL HÉPATITES ET/OU ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE EST-IL APPLICABLE EN MILIEU CARCÉRAL? BOUCHKIRA Hakim Infirmier Coordinateur AEHV-LR Aude et PO Infirmier Equipe Mobile Hépatites Centre Catalan des Hépatites Centre Hospitalier de aehv.idehepatites@gmail.com

2 INTRODUCTION Bien qu elles soient privées de liberté, les personnes détenues conservent des droits fondamentaux dont le droit à la santé. Rapport du Haut Conseil de la santé publique : «la population placée sous main de justice est soumise, en dehors puis à l intérieur de la prison, à une multiplicité de facteurs de risques qui sont pour l essentiel ceux des personnes les plus démunies». Prévalence du virus de l hépatite C chez les personnes détenues est près de cinq fois supérieure à celle constatée dans la population générale. L état de santé dégradé des personnes détenues constitue un enjeu de santé publique à part entière, en regard des besoins cliniquement établis par les professionnels de santé somatique et mentale lors des consultations d entrée en détention. Ces constats rejoignent les objectifs de réduction des inégalités sociales de santé et justifient une action spécifique de promotion de la santé pour cette population. Un référentiel hépatites et/ou éducation thérapeutique est-il applicable en milieu carcéral?

3 Ce que dit le rapport DHUMEAUX Référentiel 2014 : prise en charge des personnes infectées par VHB et VHC Points-clés Les usagers de drogues par voie injectable = majorité des nouvelles contaminations par le VHC. La politique de réduction des risques vis-à vis de l infection à VHC est moins efficace que celle vis-à-vis de l infection VIH. Une diversification maximale est requise. Risque de contamination élevé chez les usagers de drogues (UD), en particulier les personnes en situation de précarité, les jeunes, les femmes, les migrants et les personnes détenues.

4 Ce que dit le rapport DHUMEAUX Référentiel 2014 : prise en charge des personnes infectées par VHB et VHC Points-clés Les usagers de drogues (UD) ignorant leur infection par le VHB ou le VHC exposent les nouveaux injecteurs à un haut risque de contamination par le partage de matériel. Les contaminations se produisent le plus souvent au tout début du parcours d injection. Les traitements actuellement disponibles pour les infections virales B et C sont aussi efficaces chez les UD que dans la population générale. Ils permettent de réduire fortement le risque de transmission.

5 Ce que dit le rapport DHUMEAUX Référentiel 2014 : prise en charge des personnes infectées par VHB et VHC. Recommandations Réorienter la politique générale de lutte contre les drogues issue de la loi de 1970, en donnant la priorité aux actions de santé publique (réduction des risques et soins) par rapport aux actions de contrôle légal et de répression des UD. Déployer sur le terrain les stratégies de réduction des risques chez les usagers de drogue. Préconiser un traitement le plus précoce possible des UD, en assurant une prise en charge multidisciplinaire médicale et médico-sociale, le traitement permettant de diminuer le risque de transmission. Améliorer la formation des acteurs en contact avec les UD sur les risques liés au VHB et au VHC et sur la réalité concrète des pratiques d injection pour mieux conseiller les UD. Chez les personnes détenues, poursuivre et accroitre les efforts de dépistage et d éducation sur les facteurs de risque de contamination.

6 Ce que dit le rapport DHUMEAUX Référentiel 2014: prise en charge des personnes infectées par VHB et VHC. Recommandations (suite) Développer les actions de réduction des risques en milieu pénitentiaire. - Caractéristiques de la population carcérale, équivalence des mesures de prévention et de soins avec le milieu libre. - Elargissement des interventions associatives et de professionnels exerçant dans le champ des addictions. - Expérimentation des programmes d échange de seringues (actuellement non autorisés en milieu pénitentiaire) - Mise en œuvre effective des mesures du référentiel de la réduction des risques de transmission virale en milieu carcéral. Proposer une offre de soins globale et coordonnée dans un même lieu fréquenté par les UD (soins médico-sociaux en addictologie, réduction des risques,dépistage, fibroscan, traitements antiviraux et suivi spécialisé).

7 Ce que dit le rapport DHUMEAUX L éducation thérapeutique du patient dans la prise en charge des hépatites B et C Points-clés L éducation thérapeutique du patient est un moyen important d améliorer l adhésion au traitement et le succès thérapeutique. Le patient est l acteur principal de sa prise en charge, avec l objectif d augmenter son autonomie et sa qualité de vie. L éducation doit prendre en compte l ensemble des éléments qui contribuent à l aggravation de l hépatite C, aux échecs thérapeutiques et à la dégradation de la qualité de vie des patients : comorbidités, addictions, dégradation de la vie sociale et affective. L éducation thérapeutique est maintenant organisée dans un cadre légal régi par la loi HPST. L éducation thérapeutique comprend différentes phases : un diagnostic éducatif avant traitement, conduisant à fixer des objectifs avec le patient. L accompagnement thérapeutique et le suivi post-thérapeutique pour s assurer de la restitution de la santé du patient

8 Ce que dit le rapport DHUMEAUX L éducation thérapeutique du patient dans la prise en charge des hépatites B et C Recommandations Faire évoluer les programmes d éducation thérapeutique consacrés à l hépatite C pour tenir compte des futures stratégies sans interferon et sans ribavirine. Etendre les objectifs et le contenu des programmes d éducation thérapeutique au diagnostic, à l évaluation du patient et à la prise en charge des comorbidités. Veiller à l accessibilité des programmes d éducation thérapeutique pour les patients avec des conditions sociales précaires.

9 Ce que dit le rapport DHUMEAUX L éducation thérapeutique du patient dans la prise en charge des hépatites B et C Recommandations (suite) Elargir les critères de résultats pris en compte dans les programmes d éducation thérapeutique à la qualité de vie des patients et la restauration globale de leur santé, particulièrement risques de complications (carcinome hépatocellulaire). Faire évoluer le rôle des soignants non médecins : diagnostic éducatif, réalisation de certains gestes de diagnostic, informations sur les risques de transmission. Pour l hépatite B mettre en place des programmes spécifiques d éducation thérapeutique centrés sur l observance à long terme

10 Ce que dit le rapport DHUMEAUX Traitement de l infection par le virus de l hépatite C Recommandations Traiter en priorité, non seulement en fonction de l atteinte hépatique, mais en tenant compte du contexte clinique : Les patients ayant un score de fibrose F2 Quel que soit le degré de fibrose : les personnes détenues, les UD, les femmes ayant un désir de grossesse, les patient en attente de transplantation d organe, les patient ayant des MEH.

11 Ce que dit le référentiel d intervention (INPES) Promotion de la santé en milieu pénitentiaire L Institut National de Prévention et d Education pour la Santé (Inpes) a élaboré un référentiel d intervention en éducation pour la santé en milieu pénitentiaire, qui constitue un guide à la disposition des Copil. Ce référentiel est prévu dans le plan d actions stratégiques : politique de santé des personnes placées sous main de justice. Il permet clarifier la démarche et le champ de l éducation pour la santé en milieu carcéral. ce document se veut un outil d aide à la mise en œuvre pour l ensemble des acteurs (santé, justice, terrain ou institutions) qui mènent ou souhaitent mener des actions d éducation et de promotion de la santé en milieu pénitentiaire. Les fiches techniques sont en lien direct avec les recommandations diffusées, qu elles soient relatives au Copil en général, à la procédure d élaboration des programmes et de leur contenu, à la participation des publics concernés, aux financements, au soutien méthodologique ou aux moyens humains

12 Ce que dit le référentiel d intervention (INPES) LISTE DES FICHES TECHNIQUES et LES OBJECTIFS Fiche technique 1. Comité de pilotage (Copil) - Objectif : Comprendre les missions et le fonctionnement Fiche technique 2. Équipe projet - Objectif : Constituer une équipe projet avec des partenaires opérationnels Fiche technique 3. Analyse de la situation et caractérisation de la population concernée - Objectif : Analyser l état des lieux, les besoins, l offre. Susciter la parole du public - Ressources téléchargeables : exemple des résultats d un questionnaire Fiche technique 4. Participation des personnes détenues - Objectif : Impliquer les personnes détenues à toutes les étapes du projet Fiche technique 5 Élaboration d un programme annuel ou pluriannuel d éducation et de promotion de la santé - Objectif : Comprendre l élaboration d un programme - Ressources téléchargeables : Arbre à objectifs

13 Ce que dit le référentiel d intervention (INPES) LISTE DES FICHES TECHNIQUES et LES OBJECTIFS Fiche technique 6. Identification des partenaires - Objectif : Établir la liste des partenaires la plus pertinente pour le projet. - Ressources téléchargeables : Tableau d attribution des rôles selon les partenaires. Fiche technique 7. Définition des objectifs - Objectif : Définir les différentes catégories d objectifs du projet. Fiche technique 8. Élaboration des actions - Objectif : Comprendre l importance d agir sur plusieurs déterminants de santé. Fiche technique 9. Estimation des besoins humains, logistiques et financiers - Objectif : Estimer au mieux les besoins et les ressources disponibles. - Ressources téléchargeables : Tableau d estimation des besoins humains et logistiques. Tableau d estimation des ressources financières. Fiche technique 10. Planification du projet - Objectif : Permettre d établir un calendrier prévisionnel. - Ressources téléchargeables : Tableau de planification de projet.

14 Ce que dit le référentiel d intervention (INPES) LISTE DES FICHES TECHNIQUES et LES OBJECTIFS Fiche technique 11. Recherche des sources de financement - Objectif : Recenser les sources de financements possibles. Fiche technique 12. Suivi du projet - Objectif : Suivre le projet en mettant en place des indicateurs, des collectes de données et des fiches de suivi à rapporter à la planification. - Ressources téléchargeables : Fiche de recueil de données, fiche de suivi des actions/activités, tableau de planification de projet. Fiche technique 13. Évaluation - Objectif : Pouvoir définir des indicateurs simples pour différentes étapes du projet. - Ressources téléchargeables : Tableau des questions évaluatives sur le projet. Fiche technique 14. Communication autour du projet - Objectif : Améliorer la communication autour des programmes ou projets.

15 Ce que dit le Référentiel Régional ETP VHC. Objectifs : - Aider au mieux ceux et celles qui souhaitent proposer un programme à leurs patients, d identifier les besoins de patients porteurs d une hépatite chronique C. - De s adapter aux différents profils de patients de la région : patients socialisés ayant des antécédents bien identifiés de contamination, usagers de CSAPA/CAARUD, Migrants, détenus - De favoriser les liens entre les différents acteurs de l ETP (pharmaciens, secteur public et privé ). - De faciliter un déploiement sur la région sachant que certaines zones géographiques sont très isolées (Lozère, ). - De couvrir la période allant du diagnostic au post-traitement.

16 Ce que dit le Référentiel Régional ETP VHC Le référentiel renvoi à des documents : L éducation Thérapeutique dans la prise en charge des hépatites B et C La synthèse d un questionnaire sur les besoins des patients de la région Languedoc-Roussillon. La synthèse qualitative des séances du programme d ETP de l AEHV-LR. Les valeurs de l ETP d un point de vue associatif et comment elles peuvent être intégrées à un programme. Les exemples d'outils : Le Bilan Educatif Partagé du CHRU de Montpellier. Le plan personnalisé de suivi de traitement et d'éducation thérapeutique. La fiche «des objectifs d auto-soins et d adaptation les plus fréquents pour les patients sous traitement VHC». Le Score EPICES ; Score individuel de précarité. Le Score HAD : Hospital Anxiety and Depression Scale. Le questionnaire de connaissance sur l hépatite C. La fiche de lien entre professionnels de santé. Le tableau évolutif synthétique. Le tableau de suivi et de tolérance biologique.

17 Guide de l intervention en milieu pénitentiaire. Mise en place par la Mission milieu carcéral de Sidaction, mission faisant partie du service des Programmes associatifs France de Sidaction. Prise en charge des hépatites et du VIH : du dépistage au traitement des hépatites et de l infection à VIH, tout peut être réalisé au sein des US. le dépistage dès l entrée, est systématiquement proposé. le diagnostic se fait par des méthodes biologiques, non invasives (tests sanguins,trod, Fibroscan ) le traitement est prescrit avec les mêmes indications, les mêmes médicaments, les mêmes résultats et induit les mêmes complications qu en milieu libre

18 Guide commun d actions AIDES ETABLISSEMENTS PENITENTIAIRES Réalisé à partir de la pratique de terrain des délégations départementales et du travail de réflexion des groupes locaux et nationaux de AIDES. Guide destiné à vous aider à mettre en place ou à améliorer des actions de prévention et de soutien auprès des personnes détenues. Le contenu découpé en quatre cahiers : - L analyse de la situation et la définition des objectifs de l action. - La construction et le déroulement de l intervention. - Le suivi et l évaluation. - Une boite à outils

19 Equipe Mobile Hépatites / AEHV-LR / US Procédure de prise en charge en éducation thérapeutique des patients hépatite C coordonnée par Equipe mobile hépatites AEHV-LR Unité Sanitaire

20 EQUIPE MOBILE HEPATITES - Un service de proximité equipe.mobile.hepatites@ch-perpignan.fr L'Equipe Mobile Hépatites du Centre Hospitalier de Perpignan a été créée en juillet 2013 sur des crédits MERRI dédiés à la lutte contre les hépatites virales. Elle se compose d un médecin à mi-temps, de 2 infirmiers et d une secrétaire (et bientôt d un assistant social). Elle propose sur site à une vingtaine de structures partenaires (CAARUD CSAPA CHRS ACT etc..) liées par convention tout ou partie des 5 prestations suivantes : TROD VIH et VHC (et bientôt VHB), évaluation indirecte de la fibrose hépatique par FIBROSCAN, formation des équipes et information des usagers, séances d'éducation thérapeutique individuelles ou collectives, consultations médicales avancées. Toutes les prestations sont gratuites pour les patients et les structures.

21 AEHV-LR Association pour l Etude des Hépatites Virales Languedoc Roussillon Éducation thérapeutique de l hôpital/ucsa à la ville Association loi création 17 août 2005 Maison des Professions Libérales 285 Rue Alfred Nobel MONTPELLIER dossierinformatise.hepatitec@orange.fr Tel : Fax :

22 Optimiser la prise en charge des patients atteints d Hépatite C en Languedoc-Roussillon Coordonner les soins entre professionnels de santé privés ou publics MISSIONS Améliorer les connaissances épidémiologiques de la maladie à l aide du dossier informatisé Développer l éducation thérapeutique (ETP) pour les patients Hépatite C sous traitement

23 LANGUEDOC-ROUSSILLON 330 patients bénéficiaires de séances GRATUITES depuis 2010 LOZÈRE 23 IDE éducatrices GARD HERAULT 5 IDE 8 IDE AUDE 2 IDE PYRENEES ORIENTALES 8 IDE PERPIGNAN 240 inclusions

24 ETP UCSA PERPIGNAN Bilan Educatif Partagé (BEP) par IDE équipe mobile hépatites 2 ème séance à S1 (IDE AEHV) 3 ème séance à S4 (IDE AEHV) et + si patient libérable en cours de traitement 5 ème à 7 ème Séance suivante par IDE UCSA BEP d évaluation S12/ S24 / S48 (IDE équipe mobile)

25 POINTS FORTS Egalité de prise en charge dedans/dehors. Accompagnement renforcé du fait de l incarcération. Prise en charge pluridisciplinaire (spécialiste, généraliste, IDE éducation, IDE UCSA). Réactivité de toute l équipe soignante. Harmonisation des documents ETP (validés par l ARS). Effectuer des actes d ETP dans un cadre formalisé. Entretiens individuels. Préparation à la sortie et à la réinsertion.

26 POINTS A AMELIORER Locaux US exigus. Multiplication des intervenants (mise en place d un climat de confiance plus délicate). Difficultés pour prévoir le suivi à l extérieur : manque d infos sur la sortie (date, adresse, médecin traitant ). Disponibilité de l IDE UCSA (1/2 ETP santé publique) Mise à jour des outils, supports évolutifs selon les recommandations

27 MERCI DE VOTRE ATTENTION

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des

Plus en détail

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d

Plus en détail

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux

Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Les recours possibles pour les patients OBTENIR DES EXPLICATIONS Si un patient

Plus en détail

Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux

Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Lorsqu il estime avoir été victime, de la part d un établissement ou d un

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Hépatite C, les nouveaux traitements

Hépatite C, les nouveaux traitements Hépatite C, les nouveaux traitements Dr Ghassan Riachi CHU de Rouen QDN 2014 Revue de presse p L hépatite C est une maladie curable Peginterferon + DAAs 2011 Standard Interferon 1991 + Ribavirin 1998 2001

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

Hépatite C une maladie silencieuse..

Hépatite C une maladie silencieuse.. Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle

Plus en détail

La Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain. 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE

La Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain. 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE La Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE Le développement de la e-santé : un cadre juridique et fonctionnel qui s adapte au partage Jeanne BOSSI Secrétaire

Plus en détail

Christian TREPO, MD, PhD

Christian TREPO, MD, PhD PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement

Plus en détail

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

Journée Mondiale des Hépatites

Journée Mondiale des Hépatites 2 Bulletin d information de REVIH-STS Réseau de Santé VIH - Hépatites - Toxicomanies en Savoie Journée Mondiale des Hépatites Sommaire Edito / Pôle hépatites.p.1 Education thérapeutique / Nutrition...p.2

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

CERTIFICATION MÉDICALE RAPPORT MÉDICAL POUR LE DROIT DE SÉJOUR

CERTIFICATION MÉDICALE RAPPORT MÉDICAL POUR LE DROIT DE SÉJOUR Prévu à l article L313-11 11 du Code de l entrée et du séjour des étrangers et du droit d asile (Ceseda), le droit au séjour pour raison médicale concerne les étrangers atteints de maladie grave qui ne

Plus en détail

PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON

PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin

Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation

Plus en détail

La démarche de projet en éducation et promotion de la santé : Comment passer d une idée à sa mise en action?

La démarche de projet en éducation et promotion de la santé : Comment passer d une idée à sa mise en action? La démarche de projet en éducation et promotion de la santé : Comment passer d une idée à sa mise en action? Sources : Méthodologie de projet / fiches pratiques / comment passer d une idée à sa mise en

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Présentation à la Direction des Santé Achats de la Société Générale. Asurances, soins, biens médicaux

Présentation à la Direction des Santé Achats de la Société Générale. Asurances, soins, biens médicaux Présentation à la Direction des Santé Achats de la Société Générale 2003 Asurances, soins, biens médicaux Une culture globale et entrepreneuriale orientée client Innovation et fonctionnement en réseau

Plus en détail

Coordination Ville Hôpital

Coordination Ville Hôpital Coordination Ville Hôpital Lien entre pharmaciens et utilisation d une banque de données Bassin sanitaire alésien 2 juin 2015 Jean-Pierre CORNUT, Pharmacien d officine, URPS Pharmaciens LR Vincent BOUIX,

Plus en détail

CONVENTION. «Etude épidémiologique sur la santé des mineurs et jeunes majeurs confiés à l Aide Sociale à l Enfance en Languedoc-Roussillon»

CONVENTION. «Etude épidémiologique sur la santé des mineurs et jeunes majeurs confiés à l Aide Sociale à l Enfance en Languedoc-Roussillon» Centre Régional d'etudes d'actions et d'informations Centre Régional d'etudes d'actions et d'informations Observatoire Régional de la Santé du Languedoc Roussillon 135 Allée Sacha Guitry - ZAC Tournezy

Plus en détail

Organisation du suivi dans le cadre d un réseau

Organisation du suivi dans le cadre d un réseau Organisation du suivi dans le cadre d un réseau Mandovi Rajguru Pédiatre Maternité Hôpital Bichat Claude Bernard Journée des pédiatres de maternité GENIF 04 Juin 2009 Introduction Constitution d un réseau

Plus en détail

Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours

Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé Tours Débat régional du 13 février 2014 Chantier n 1 du programme Gaspar : développer les conventionnements tiers payant

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ.

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ. SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ Organisation MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ Direction générale de l offre de soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de

Plus en détail

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne

CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une

Plus en détail

Note de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011

Note de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Note de synthèse Assurance Maladie Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Au début des années 2000, l Assurance Maladie a commencé à construire puis développer une

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA

Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:

Plus en détail

Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique

Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier

Plus en détail

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION

Plus en détail

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients

Plus en détail

Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique

Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,

Plus en détail

PROJET RÉGIONAL 2015-2017. Prévention des risques professionnels et santé au travail

PROJET RÉGIONAL 2015-2017. Prévention des risques professionnels et santé au travail PROJET RÉGIONAL 2015-2017 Prévention des risques professionnels et santé au travail 1 CONTEXTE : PREVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS En application de l accord, signé le 22 octobre 2013, relatif à la

Plus en détail

Hépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach

Hépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique

Plus en détail

Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR. Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA

Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR. Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA Plan de la présentation Recommandations de recherche de l expertise INSERM Etat d avancement des

Plus en détail

PROJET DE LOI DE SANTE

PROJET DE LOI DE SANTE Dossier de presse PROJET DE LOI DE SANTE Changer le quotidien des patients et des professionnels de santé 15 octobre 2014 Contact Presse : Ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des

Plus en détail

1. Différentes hépatites/ différents traitements

1. Différentes hépatites/ différents traitements III. Traitements 55 1. Différentes hépatites/ différents traitements Se faire soigner 1.1 Traitements des hépatites virales D après les expériences pratiques et la littérature scientifique, le traitement

Plus en détail

Certification des coordinations hospitalières de prélèvement d organes et de tissus

Certification des coordinations hospitalières de prélèvement d organes et de tissus Certification des coordinations hospitalières de prélèvement d organes et de tissus Dispositif de certification Depuis 2005, l Agence de la biomédecine a initié la procédure de certification des coordinations

Plus en détail

Le Comité Scientifique a traité les questions suivantes : «Association reconnue d utilité publique» - 1 -

Le Comité Scientifique a traité les questions suivantes : «Association reconnue d utilité publique» - 1 - - 1 - Prise de position de l'association Française pour l'etude du Foie (AFEF) sur les trithérapies (Peg-IFN + ribavirine + inhibiteur de protéase) dans la prise en charge des malades atteints d'hépatite

Plus en détail

Traitement des hépatites virales B et C

Traitement des hépatites virales B et C Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement

Plus en détail

SUPPLEMENT AU DIPLÔME

SUPPLEMENT AU DIPLÔME SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des

Plus en détail

Mon traitement n a pas marché.

Mon traitement n a pas marché. tirer profit des différents traitements et soins disponibles être hépatant 13 Mon traitement n a pas marché. Que faire? Nous voulons informer sur l hépatite C, lutter pour une meilleure prise en charge

Plus en détail

La prise en charge médicale des patients atteints

La prise en charge médicale des patients atteints Presse Med 2003; 32: 299-303 2003, Masson, Paris C ONTRIBUTIONS P. Pugliese 1,L.Cuzin 2, P. Enel 3,R.Agher 4, S.Alfandari 5,E.Billaud 6, P. Druard 3,C.Duvivier 4, M. Perez 2,D. Salmi 7, C. Pradier 8 NADIS

Plus en détail

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de

Plus en détail

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules

Plus en détail

Un programme de télémédecine au service des objectifs prioritaires de santé de la région Languedoc-Roussillon

Un programme de télémédecine au service des objectifs prioritaires de santé de la région Languedoc-Roussillon Un programme de télémédecine au service des objectifs prioritaires de santé de la région Languedoc-Roussillon PROGRAMME RELATIF AU DÉVELOPPEMENT DE LA TÉLÉMÉDECINE 2 INTRODUCTION Selon la définition adoptée

Plus en détail

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date

Plus en détail

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche 2015 1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE RAViV est un réseau solidaire de compagnies et structures franciliennes de spectacle vivant

Plus en détail

Contexte de la chimiothérapie à domicile

Contexte de la chimiothérapie à domicile Marie LAFFETAS / Stéphanie COUDERT Toulouse Le 05 octobre 2012 Contexte de la chimiothérapie à domicile Problématique et objectifs Méthode et résultats de l étude Discussion et conclusion 2 1 Développement

Plus en détail

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut

Plus en détail

La santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services

La santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services 1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires

Plus en détail

La formation comme levier de changement des pratiques

La formation comme levier de changement des pratiques Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3

Plus en détail

Actualités sur le Virus de l'hépatite C

Actualités sur le Virus de l'hépatite C CBP CHRU Lille Actualités sur le Virus de l'hépatite C 2.0 ANNE GOFFARD UNIVERSITÉ LILLE 2 DROIT ET SANTÉ FACULTÉ DES SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES DE LILLE 2012 Table des matières I - Épidémiologie

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

RAPPORT DE SYNTHESE DE L ENQUETE REGIONALE DES PASS

RAPPORT DE SYNTHESE DE L ENQUETE REGIONALE DES PASS 2014 RAPPORT DE SYNTHESE DE L ENQUETE REGIONALE DES PASS PRAPS 2012-2016 Auteurs : Dr Daouya ROY, Responsable Projet, Pôle Médical Sandra BOUDOUL, Adjointe DSPE Cette étude est le résultat d un travail

Plus en détail

Document de synthèse : Hépatite B et hépatite C. Sommaire :

Document de synthèse : Hépatite B et hépatite C. Sommaire : Document de synthèse : Hépatite B et hépatite C Sommaire : Au Canada, l hépatite B et l hépatite C demeurent de graves enjeux de santé publique en raison de taux de prévalence élevés, de coûts élevés pour

Plus en détail

RESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE

RESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE RESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE (CIVILE ET ADMINISTRATIVE) Pr Scolan Clinique de médecine légale RESPONSABILITÉ CIVILE Introduction Obligation de répondre devant la justice d un dommage et de le réparer Délictuelle

Plus en détail

VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000

VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 CENTRE DE DÉPISTAGE ANONYME ET GRATUIT DE MONTPELLIER VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 Juin 2002 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Hôpital Saint-Eloi

Plus en détail

Une approche selon la réduction des méfaits pour les utilisateurs de drogues injectables (UDI) Position adoptée en janvier 2005

Une approche selon la réduction des méfaits pour les utilisateurs de drogues injectables (UDI) Position adoptée en janvier 2005 1 Le partenariat des organismes communautaires du Nouveau-Brunswick liés au sida ÉNONCÉ DE POSITION Une approche selon la réduction des méfaits pour les utilisateurs de drogues injectables (UDI) Position

Plus en détail

L articulation Hôpital de jour Accueil de jour

L articulation Hôpital de jour Accueil de jour les hôpitaux de jour dans les filières de soin : un dispositif en marche L articulation Hôpital de jour Accueil de jour Dr Nathalie SCHMITT Dr Jacques HILD CH Colmar L articulation Hôpital de jour Accueil

Plus en détail

SOMMAIRE PREFECTURE DES PYRENEES-ORIENTALES DIRECTION DEPARTEMENTALE DES FINANCES PUBLIQUES. Cabinet

SOMMAIRE PREFECTURE DES PYRENEES-ORIENTALES DIRECTION DEPARTEMENTALE DES FINANCES PUBLIQUES. Cabinet SOMMAIRE PREFECTURE DES PYRENEES-ORIENTALES Cabinet. Arrêté PREF/CABINET/BC/2015244-0001 du 1 er septembre 2015 modifiant l'arrêté n PREF/CABINET/BC/2015238-0001 du 26 août 2015 portant désignation des

Plus en détail

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,

Plus en détail

L exercice pluriprofessionnel des soins primaires en Maison et Pôle de Santé

L exercice pluriprofessionnel des soins primaires en Maison et Pôle de Santé L exercice pluriprofessionnel des soins primaires en Maison et Pôle de Santé Dr Jean Jacques ANTOINE FEMALOR 14 Juin 2012 METZ 57 1 Déclara'on d intérêts J ai actuellement ou j ai eu au cours des trois

Plus en détail

Projet de communication

Projet de communication PROJET D'ETABLISSEMENT 2012 / 2016 - TOME 6 - Projet de communication 1 Sommaire INTRODUCTION... 4 RECAPITULATIF DES FICHES ACTIONS... 5 Communication Interne... 6 FICHE N COM INT 01 A... 7 Communication

Plus en détail

GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B

GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Octobre 2006 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication 2 avenue du Stade de France F 93218

Plus en détail

Hépatite. du dépistage au traitement. Questions et réponses. L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients

Hépatite. du dépistage au traitement. Questions et réponses. L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients DOCUMENT À L USAGE DES PATIENTS Également disponible : L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients (document à l usage des professionnels de santé) Document édité et diffusé

Plus en détail

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DU CENTRE DE SOINS SPECIALISE LE CHÂTEAU DU BOY. Lanuéjols 48000 MENDE

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DU CENTRE DE SOINS SPECIALISE LE CHÂTEAU DU BOY. Lanuéjols 48000 MENDE COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DU CENTRE DE SOINS SPECIALISE LE CHÂTEAU DU BOY Lanuéjols 48000 MENDE SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p. 3 PARTIE 1 PRESENTATION DE L ETABLISSEMENT

Plus en détail

L éducation thérapeutique des patients

L éducation thérapeutique des patients Claude Dreux (a), Fabienne Blanchet (b) (a) Président du Cespharm (Comité d éducation sanitaire et sociale de la pharmacie française) Ordre national des Pharmaciens Membre des Académies nationales de médecine

Plus en détail

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Plus en détail

USAGERS DE DROGUE ET VHC ADIJA CHAMPAGNOLE MARDI 17 MARS

USAGERS DE DROGUE ET VHC ADIJA CHAMPAGNOLE MARDI 17 MARS USAGERS DE DROGUE ET VHC ADIJA CHAMPAGNOLE MARDI 17 MARS RAPPELS Répartition des patients VHC 15% Nosocomial 20% Autres + Inconnue 3% Activité prof. 37 % Transfusion 1 % sexuel 25 % Toxicomanie IV D'après

Plus en détail

RECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS. De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables

RECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS. De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables 1 RECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables 2 LE PSIT A DÉFINI UN CADRE POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT) Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets

Plus en détail

Schéma Régional d Organisation des Soins VOLET AMBULATOIRE ANNEXE PHARMACIES DIAGNOSTIC DE L OFFRE AMBULATOIRE

Schéma Régional d Organisation des Soins VOLET AMBULATOIRE ANNEXE PHARMACIES DIAGNOSTIC DE L OFFRE AMBULATOIRE VOLET AMBULATOIRE ANNEXE PHARMACIES DIAGNOSTIC DE L OFFRE AMBULATOIRE SOMMAIRE 1.DIAGNOSTIC REGIONAL DE LA DELIVRANCE DU MEDICAMENT EN AMBULATOIRE... 3 1.1.Les modes d ouverture d une pharmacie... 3 1.2.Le

Plus en détail

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS

Plus en détail

Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC

Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com

Plus en détail

Intervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire

Intervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire 1 Intervention de Marisol TOURAINE Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Maison de Santé Pluridisciplinaire Magny-en-Vexin Vendredi 20 février 2015 Seul le prononcé fait

Plus en détail

PRISE EN CHARGE SANITAIRE DES PERSONNES PLACÉES SOUS MAIN DE JUSTICE PRISE EN CHARGE SANITAIRE DES PERSONNES PLACÉES SOUS MAIN DE JUSTICE

PRISE EN CHARGE SANITAIRE DES PERSONNES PLACÉES SOUS MAIN DE JUSTICE PRISE EN CHARGE SANITAIRE DES PERSONNES PLACÉES SOUS MAIN DE JUSTICE GUIDE MÉTHODOLOGIQUE PRISE EN CHARGE SANITAIRE DES PERSONNES PLACÉES SOUS MAIN DE JUSTICE La première version de ce guide éditée en décembre 1994 avait pour objectif d accompagner la mise en place de la

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

Guide d auto-évaluation

Guide d auto-évaluation REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE ----------- Autorité nationale d Assurance Qualité de l Enseignement supérieur ANAQ-Sup Guide d auto-évaluation

Plus en détail

Direction générale de l offre de soin

Direction générale de l offre de soin Apport de la télémédecine en matière de coopération territoriale 1. Une nouvelle organisation de l offre sanitaire pour mieux répondre aux besoins des populations 2. Comment organiser des activités de

Plus en détail

Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique

Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Préparé par: Rose-Anne Buteau, Inf. Ph D. (c) Sylvie Garand-Rochette, M.Sc.. Monique Thibault,

Plus en détail

prêt bonifié pour la rénovation énergétique des logements

prêt bonifié pour la rénovation énergétique des logements environnement prêt bonifié pour la rénovation énergétique des logements Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager RENOV LR, le prêt bonifié

Plus en détail

jeunesse Catégorie : Mesures d organisation retenues par les ministres pour la mise en œuvre des dispositions dont il s agit.

jeunesse Catégorie : Mesures d organisation retenues par les ministres pour la mise en œuvre des dispositions dont il s agit. MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE MINISTERE DE LA JUSTICE Direction générale de l offre de soins Direction générale de la santé Direction générale de la cohésion sociale Direction de la sécurité

Plus en détail

LE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1

LE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1 LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»

Plus en détail

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES

Plus en détail

Les hépatites virales chroniques B et C

Les hépatites virales chroniques B et C Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé

Plus en détail

47 000 consultants testés entre 2004 et 2008 S U R V E I L L A N C E V H C N 8. Encart méthodologique

47 000 consultants testés entre 2004 et 2008 S U R V E I L L A N C E V H C N 8. Encart méthodologique L A L E T T R E D ' I N F O R M A T I O N D U S Y S T E M E D E S U R V E I L L A N C E D U V H C E N P R O V E N C E - A L P E S - C Ô T E D ' A Z U R S U R V E I L L A N C E V H C N 8 Surveillance continue

Plus en détail