OUVRIR DE NOUVEAUX HORIZONS
|
|
- Pauline Carrière
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CTA: OUVRIR DE NOUVEAUX HORIZONS
2 01 CTA : Ouvrir de nouveaux horizons Le CTA a identifié trois domaines clés dans lesquels il croit pouvoir apporter une contribution significative et unique, et pour lesquels il va solliciter un financement supplémentaire dans le cadre du 11e FED : 1 Soutenir le développement de l agro-industrie dans les pays ACP 2 Promouvoir le développement et l adoption de l agriculture intelligente face au climat 3 Renforcer les liens entre la nutrition et l agriculture
3 CTA : Ouvrir de nouveaux horizons CTA : Ouvrir de nouveaux horizons Développer le secteur agroalimentaire Développer et adopter une agriculture intelligente face au climat Créer des liens entre nutrition et agriculture Le CTA prête une attention croissante au renforcement des liens avec le secteur privé des pays en développement, qu il identifie comme l un des principaux segments de croissance future, et notamment avec les petites et moyennes entreprises (PME) et les associations de PME dans le domaine agricole. Axes prioritaires : renforcer au niveau national les capacités des associations régionales de producteurs en vue de stimuler le commerce intrarégional relier les chaînes de valeur aux sources de financement aider les gouvernements et les banques centrales à améliorer les cadres juridiques et réglementaires L agriculture intelligente face au climat constitue la pierre angulaire de l action du CTA depuis plusieurs années, et ce dernier a largement contribué à donner une place prioritaire à l agriculture dans l ordre du jour en matière de changement climatique. Axes prioritaires : promouvoir l adoption et la diffusion de pratiques agricoles intelligentes face au climat et créer un environnement politique qui y soit propice soutenir les efforts déployés par la Global Alliance for Climate-Smart Agriculture (l Alliance mondiale pour une agriculture intelligente face au climat), dont le CTA est un membre fondateur Le Centre collabore avec un large éventail de parties prenantes, notamment des organisations d agriculteurs, des groupes de jeunes et de femmes et des institutions de recherche et d enseignement, dans le but de favoriser le développement de politiques, de stratégies et de chaînes de valeur inclusives propices à la sécurité alimentaire et à la nutrition. Axes prioritaires : identifier, documenter et promouvoir les interventions agricoles efficaces en matière d amélioration de la sécurité alimentaire et de la nutrition, et notamment le développement de marchés, de chaînes de valeur associées et de politiques de soutien renforcer les capacités humaines et institutionnelles des principaux acteurs des secteurs public et privé en vue d offrir des services de vulgarisation, de formation et d information efficaces sur le terrain plaider pour le renforcement de la production, de la commercialisation et de la consommation d aliments variés et riches en nutriments «Sans nourriture, un continent ne peut être heureux, en bonne santé et paisible.» John Muhaise-Bikalemesa
4 CTA : Ouvrir de nouveaux horizons CTA : Ouvrir de nouveaux horizons 1. Soutenir le développement de l agroindustrie dans les pays ACP Le secteur privé joue un rôle de plus en plus important dans tous les domaines dans lesquels le CTA opère. La vulgarisation est maintenant souvent combinée avec des intrants et des semences fournis par des entreprises privées. Les entreprises contribuent à renforcer les capacités des agriculteurs et de leurs organisations, et à les mettre en contact avec les marchés. Elles voient les nouvelles technologies qui stimulent la résilience au changement climatique comme des débouchés commerciaux, et elles font pression sur les gouvernements en faveur de meilleures politiques agricoles. On s attend à ce que la croissance agricole soit en grande partie soutenue par des financiers privés plutôt que par des banques publiques de développement. C est pourquoi le CTA concentre de plus en plus son attention sur les liens avec le secteur privé, en particulier les petites et moyennes entreprises (PME) liées à l agriculture et les associations qui les représentent dans les pays en développement. Il considère qu il s agira d un secteur de croissance majeur dans le futur. Le CTA envisage de développer des relations avec le secteur privé dans un certain nombre de domaines particuliers. Sur la base de son travail de développement de filières intégrées reliant les petits exploitants agricoles aux marchés lucratifs, le CTA veillera à renforcer la capacité des associations de matières premières régionales et de leurs sièges nationaux pour stimuler les échanges commerciaux à l intérieur de la région. Nous chercherons également à connecter les chaînes de valeur avec les sources de financement, notamment à travers le développement de connaissances factuelles nécessaires à la prise de décision en matière d investissement. Dans le domaine du financement agricole plus généralement, le CTA entrevoit des possibilités considérables d aide aux gouvernements et aux banques centrales pour améliorer le cadre juridique et réglementaire, et aux financiers pour développer des mécanismes adaptés au financement des chaînes de valeur, y compris à des fins telles que le renforcement de la résilience au changement climatique. Le renforcement de partenariats entre les secteurs public et privé autour d opportunités présentant un fort potentiel pour le développement agricole, sera un autre point central. Le CTA et ses partenaires en Afrique de l Ouest pourraient notamment trouver un fort potentiel de rendement dans l amélioration des infrastructures pour faciliter les échanges commerciaux à l intérieur de la région (par exemple, les chaînes du froid, les ponts-bascules, les laboratoires de contrôle de qualité, et les systèmes de récépissés d entrepôt électroniques). Nous pourrions ensuite faire un appel à manifestation d intérêt pour mener et cofinancer des études de faisabilité qui rassembleraient l information nécessaire à l analyse de rentabilité en faveur d investissements supplémentaires. Le développement de bourses de marchandises régionales est une forme d infrastructure commerciale sur laquelle le CTA a déjà commencé à travailler. Une bourse de marchandises peut être l épine dorsale du commerce régional, un instrument de financement des marchandises, ainsi qu une source de données sur les marchés, en temps réel. La mise en place d un système de «crédits d innovation» constituerait une autre approche novatrice. Des organisations d agriculteurs, des ONG, des PME et d autres intervenants dans les pays ACP seraient invités à soumettre des propositions pour des activités qui concordent avec les objectifs stratégiques du CTA. Le CTA aiderait à faire coïncider ces propositions avec les fournisseurs de services agréés appropriés, et les «bénéficiaires» pourraient alors utiliser leurs «crédits d innovation» pour «acheter» les services dont ils auraient besoin. Ce mécanisme offrirait aux donateurs une façon d investir dans des actions pour le développement déjà passées au crible, et qui présentent un potentiel élevé d impact et de déploiement généralisés d interventions ayant fait leurs preuves. Pour donner d autres exemples, citons les approches fondées sur les chaînes de valeur qui sont peu abordées dans de nombreux programmes d éducation et de formation. Le travail que fait le CTA dans ce domaine pourrait rapidement être étendu à un bien plus grand nombre de bénéficiaires (il pourrait par exemple être utilisé comme matériel d étude de cas dans les écoles de commerce, afin de mieux former les étudiants à des carrières dans l agriculture, ou comme programme d études pour les agents de vulgarisation qui apprendraient ainsi à mettre en rapport leurs conseils et les débouchés commerciaux potentiels). En ce qui concerne le financement des chaînes de valeur, les mécanismes de financement permettant aux agriculteurs d investir dans le renforcement de la résilience de leurs fermes au climat, manquent toujours largement. Les agriculteurs sont en effet rarement capables d utiliser la solidité de leurs acheteurs comme levier pour accéder à un financement à court ou à moyen terme, même si des modèles viables sont déjà en place. Avec un apport de connaissances et un léger financement, des systèmes comme celui des récépissés d entrepôt pourraient rapidement être déployés. Dans l infrastructure liée aux échanges commerciaux, le manque de confiance ou le manque de coordination/ communication entre les parties prenantes du secteur agricole mène à un manque d investissement dans certains aspects essentiels de la chaîne de valeur (p.ex. le manque de systèmes de classement empêche les négociants de faire confiance aux informations de qualité que donnent les négociants des pays voisins). Le CTA peut contribuer à renforcer les partenariats de chaîne de valeur qui solutionneront ces problèmes de coordination.
5 CTA : Ouvrir de nouveaux horizons CTA : Ouvrir de nouveaux horizons 2. Promouvoir des pratiques et des politiques pour déployer l adoption de l agriculture intelligente face au climat L agriculture intelligente face au climat a été la pierre angulaire du programme du CTA de ces dernières années, et le Centre a largement contribué à fermement inscrire l agriculture à l ordre du jour du changement climatique. Nous avons soutenu des efforts visant à permettre aux agriculteurs de s exprimer lors des négociations sur le changement climatique, en travaillant par le biais d organisations de producteurs comme la Confédération des syndicats agricoles d Afrique australe (Southern African Confederation of Agricultural Unions), l Organisation panafricaine des agriculteurs (Pan-African Farmers Organisation), le Mécanisme régional de gestion des pêches des Caraïbes, et le Groupe de pays mélanésiens Fer de lance. Au cours des dernières années, le CTA a organisé conjointement avec le programme du CGIAR sur le Changement climatique, l agriculture et la sécurité alimentaire (CCAFS) des évènements en marge de la COP de la CCNUCC à Durban, au Qatar et à Varsovie pour attirer l attention sur des exemples réussis d agriculture intelligente face au climat. Notre publication Agriculture intelligente face au climat : Succès des communautés agricoles dans le monde, présente de nombreux exemples d approches fructueuses qui ont déjà une incidence sur la vie des gens à travers le monde. Dans le cadre d un nouveau projet lancé cette année, «Promouvoir les politiques et les pratiques qui augmentent la productivité et la résilience de l agriculture face au changement climatique», nous avons récemment fait un appel à propositions pour la documentation de pratiques, outils ou politiques éprouvés qui favorisent la résilience et aident les agriculteurs à faire face aux défis posés par le changement climatique. Le CTA et ses partenaires ont aussi développé une base de données de sources de financement de mesures d adaptation au changement climatique dans les pays ACP. Sur cette base, le CTA entend maintenant augmenter ses efforts pour promouvoir l utilisation et le déploiement à grande échelle de pratiques agricoles intelligentes face au climat, et de créer l environnement politique nécessaire pour les soutenir. Les domaines d activité clés qui seront abordés «L agriculture intelligente face au climat a été la pierre angulaire du programme du CTA de ces dernières années» comprendront : des études sur l impact du changement climatique sur tous les acteurs des chaînes de valeur dans les pays ACP et l identification de mesures d adaptation ou d atténuation des incidences sur l environnement ; la promotion des innovations des agriculteurs et des pêcheurs dans l adaptation au changement climatique et la production durable dans tous les pays ACP ; la synthèse et la diffusion d informations sur l adaptation au climat et la résilience agricole afin de mieux cibler les investissement pour déployer à grande échelle les pratiques éprouvées ; l identification et la résolution de contraintes politiques contre le déploiement à grande échelle de pratiques agricoles et pratiques de pêche intelligentes face au climat qui ont fait leurs preuves ; et un soutien aux efforts qui encouragent les représentants des agriculteurs et des pêcheurs à entrer dans les débats politiques essentiels qui détermineront en définitive l environnement dans lequel les producteurs et autres participants de la chaîne de valeur opèreront. Le Centre alignera ses efforts avec ceux de l Alliance mondiale pour une agriculture intelligente face au climat, dont le CTA est un membre fondateur.
6 CTA : Ouvrir de nouveaux horizons CTA : Ouvrir de nouveaux horizons «Le développement de bourses de marchandises régionales est une forme d infrastructure commerciale sur laquelle le CTA a déjà commencé à travailler.»
7 CTA : Ouvrir de nouveaux horizons CTA : Ouvrir de nouveaux horizons 3. Renforcer les liens entre la nutrition et l agriculture Bien que le nombre de personnes souffrant de malnutrition chronique ait diminué de plus de 100 millions au cours des 10 dernières années, la sousalimentation est encore d actualité : une personne sur quatre en Afrique subsaharienne, une sur cinq dans les Caraïbes et une sur sept dans le Pacifique est encore sous-alimentée. Deux milliards d individus à travers le monde souffrent de carences en oligo-éléments, comme le fer, le zinc et la vitamine A qui peuvent mener à une déficience mentale, une mauvaise santé, une baisse de productivité ou même à la mort. De tous temps, le développement agricole s est centré sur l augmentation de la production et le fait de s assurer que les gens aient accès à des régimes alimentaires abordables, diversifiés et nutritifs a largement été laissé de côté. Pour atteindre cet objectif des efforts devront être faits pour améliorer le lien entre agriculture, nutrition et revenus. Améliorer la sécurité alimentaire et la nutrition nécessite une réponse multisectorielle qui touche la santé, l eau, l assainissement et l hygiène, l éducation, la protection sociale, la sécurité alimentaire et l agriculture, le commerce et l environnement. Elle doit être étayée par une collaboration pluridisciplinaire qui fasse intervenir diverses parties prenantes, et par un investissement à la fois du secteur public et du secteur privé. Le CTA est bien placé pour faciliter de tels efforts. Le Centre travaille avec un grand nombre de parties prenantes, notamment des organisations agricoles, des groupes de jeunes et de femmes et des institutions de recherche et d enseignement dans le développement de politiques, de stratégies et de filières intégrées qui favorisent la sécurité alimentaire et la nutrition. Par le biais de ses vastes réseaux, il soutient déjà le renforcement des capacités, la sensibilisation et le partage des connaissances pour promouvoir une agriculture orientée sur la nutrition. À la Conférence Internationale sur la nutrition (ICN2) qui s est tenue à Rome en novembre 2014, le CTA a lancé, conjointement avec la Commission européenne, la FAO et le Groupe de la Banque mondiale, un cadre d action commun visant à promouvoir l agriculture comme facteur d amélioration de la nutrition. Sur ces bases, le CTA identifiera, documentera et fera la promotion d interventions agricoles réussies qui améliorent la sécurité alimentaire et la nutrition, y compris le développement des marchés, les chaînes de valeurs associées et les politiques de soutien. Il renforcera les capacités institutionnelles et humaines des organisations agricoles, des agences gouvernementales et des organismes associés, et invitera le secteur privé à offrir une vulgarisation efficace et des services de formation et d information sur le terrain. De même il travaillera avec les organisations d agriculteurs, les acteurs de la chaîne de valeur, le secteur agroalimentaire, les groupes de femmes et de jeunes pour prôner une production, une commercialisation et une consommation accrues de divers aliments riches en nutriments. Ensemble, ces efforts contribueront à élever à la fois la qualité de la vie et le potentiel des gens, dans les pays ACP. «Améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle nécessite une réponse multisectorielle.»
8 CTA : Ouvrir de nouveaux horizons CTA : Ouvrir de nouveaux horizons Adopter une perspective régionale À compter de 2015, le CTA articulera ses programmes autour de six plans d activité régionaux : Afrique de l Ouest, Afrique centrale, Afrique orientale, Afrique australe, Caraïbes et Pacifique. Cette approche nous permettra de mieux répondre aux besoins de nos partenaires, des petits exploitants agricoles et d autres acteurs des régions rurales des pays d Afrique, des Caraïbes et du Pacifique. En outre, cette approche renforce notre responsabilité vis-à-vis des bénéficiaires finaux de nos actions ainsi que nos efforts pour assurer un impact. Les plans d activité régionaux contribueront aux éléments suivants : des entreprises agroalimentaires mieux développées et de partenariats public-privé efficaces ; politiques et pratiques en faveur du développement et de l adoption d une agriculture pouvant s adapter au climat pour les cultures stratégiques ; et amélioration de toutes les phases critiques du parcours agriculture-nutrition. Les plans : se focalisent sur les principales régions d intervention, en phase avec les priorités régionales, où le CTA peut faire la différence grâce à l avantage comparatif concret et la valeur ajoutée qu il apporte ; reconnaissent que l intégration régionale et un partenariat entre les principales parties prenantes (secteur privé compris) sont indispensables pour harmoniser les politiques et diffuser les meilleures pratiques ; servent de cadre commun pour maximiser les synergies et favoriser les économies d échelle, à la fois entre les différents programmes de travail du CTA et entre les partenaires impliqués dans la mise en œuvre ; offrent la souplesse nécessaire pour répondre aux problèmes et aux tendances induites par la transformation agricole, en prenant en compte les spécificités et les priorités de chaque région ; reconnaissent que les questions transversales telles que les relations de genre et la place de la jeunesse sont d une importance critique pour agir efficacement sur les défis liés à la transformation agricole et mettre en œuvre des projets qui s inscrivent dans le cadre des plans d activités régionaux ; et incluent automatiquement des actions qui mettent à profit la «révolution des données» pour soutenir le développement agricole en Afrique, dans les Caraïbes et dans le Pacifique, notamment en adoptant des approches de «données ouvertes» pour recueillir et relier les données de nombreuses activités à petite échelle et créer des ensembles de données dits «big data», utiles pour les politiques gouvernementales, les investissements en faveur des infrastructures et des marchés, ainsi que l élaboration de prestations de services. Les plans d activité régionaux ont été créés en étroite collaboration avec nos partenaires sur le terrain, y compris les organes économiques et politiques régionaux, les organisations régionales d exploitants et de producteurs, ainsi que le secteur privé. Afrique de l Ouest Les activités du CTA dans cette région mettront l accent sur les céréales secondaires (maïs, millet et sorgho), le riz, le manioc et le bétail. Développer des chaînes de valeur inclusives et stimuler le commerce intra-régional des produits alimentaires de base stratégiques En Afrique de l Ouest, les chaînes de valeur des produit alimentaires de base sont, dans leur grande majorité, insuffisamment développées et structurées autour d institutions et de mécanismes informels, qui se substituent à des rapports contractuels et des dispositifs financiers efficaces. Par conséquent, les petits exploitants n ont qu un accès limité aux marchés d intrants et aux marchés alimentaires urbains en pleine croissance dans la région. Notre travail dans cette région porte sur les chaînes de valeur, mais aussi sur les processus connexes de développement et de mise en œuvre de politiques. Renforcer l adaptation au changement climatique dans les sous-secteurs des produits alimentaires de base stratégiques Les travaux liés au changement climatique permettront de mieux connaître les bonnes pratiques d agriculture intelligente face au climat, et favoriseront le développement de politiques propice à leur adoption. Ces actions viendront compléter les efforts de la Communauté économique des États d Afrique de l Ouest en matière de politiques climatiques adaptées dans la région.
9 CTA : Ouvrir de nouveaux horizons CTA : Ouvrir de nouveaux horizons Afrique de l Est Afrique australe Afrique centrale Le travail du CTA en Afrique centrale poursuit un seul et même objectif : renforcer la sécurité alimentaire et nutritionnelle en favorisant certaines chaînes de valeur agricoles stratégiques et le commerce intra-régional. Les efforts du Centre porteront sur les céréales secondaires (millet et sorgho), le manioc, le bétail (viande) et le coton. Ce programme arrivera en renfort de la mise en œuvre de la Politique agricole commune, élaborée en 2014 par la Communauté économique des États de l Afrique centrale, dont la vocation est de renforcer la sécurité alimentaire, d améliorer la gestion des ressources naturelles et de favoriser les marchés régionaux. Les efforts du CTA porteront sur l acquisition de connaissances, le renforcement des capacités et des institutions, l appui aux services de développement et de conseil ainsi qu aux processus politiques inclusifs. Les questions transversales, à l instar de celles de la jeunesse et du genre, comptent parmi les priorités des programmes d action. Au cours de ses interventions en Afrique orientale, le CTA e concentrera principalement aux céréales secondaires (maïs, millet et sorgho), au riz et au bétail. Soutenir les politiques de développement agricole et rural et développer des capacités institutionnelles à des fins d analyse politique et de plaidoyer Le CTA aidera ses partenaires régionaux à générer et à récolter des données probantes pour informer les principales politiques de développement agricole et rural ; et à développer des stratégies et des programmes. Il contribuera également aux capacités analytiques et de sensibilisation/plaidoyer des institutions africaines de la région, afin d identifier les goulets d étranglement politiques qui freinent le développement agricole et rural, de définir des positions politiques fondées sur des données probantes et de contrôler leur mise en œuvre. Développer des marchés et promouvoir le secteur agroalimentaire En Afrique de l Est, le secteur privé est de plus en plus impliqué dans le développement de chaînes de valeur agricoles dans le but d améliorer la disponibilité et la qualité des produits alimentaires de base. Le CTA contribuera à ce processus en favorisant le renforcement des capacités en vue de développer des plateformes agroalimentaires efficaces et d utiliser les marchés agricoles nationaux et régionaux comme de véritables leviers pour améliorer les moyens de subsistance en milieu rural, les exportations, ainsi que pour l expansion des chaînes de valeur et une intégration régionale accrue. Le travail du CTA en Afrique australe portera principalement sur le maïs, le manioc, le riz, les fruits et légumes, les arachides, les patates douces, mais aussi sur le bétail, les chèvres et les volailles. Promouvoir une agriculture pouvant s adapter au climat pour des cultures et des élevages stratégiques, au bénéfice d un large spectre de petits producteurs L Afrique australe est tout particulièrement vulnérable aux conséquences du changement climatique : c est pourquoi les efforts du CTA dans cette région viendront compléter les activités régionales de l Alliance globale pour l agriculture intelligente face au climat (Global Alliance on Climate-Smart Agriculture), dont l ambition est de diffuser les pratiques intelligentes face au climat et de créer un environnement politique et financier propice à leur adoption. Le CTA apportera aux organisations d exploitants agricoles des compétences de plaidoyer pour le changement climatique, et leur donnera des opportunités de partager leurs expériences d innovations face aux variations du climat et de co-développer des connaissances sur différentes approches de la gestion du changement climatique. Développer des chaînes de valeur agricoles orientées vers le marché et profitables pour l alimentation, la nutrition et les revenus L approche adoptée pour ce secteur reposera sur le développement orienté vers le marché et inclusif de chaînes de valeur agricoles profitables et prioritaires en associant les producteurs, les négociants et les transformateurs et en satisfaisant les exigences du consommateur. Le CTA contribuera à développer les données probantes sur certains thèmes cruciaux liés à l optimisation de l agriculture en vue d améliorer l état nutritionnel de la région. Caraïbes Le travail du CTA dans les Caraïbes poursuit un seul et même objectif : élaborer des chaînes de valeur agricoles durables et favoriser l accès aux marchés. Il se focalisera sur certains produits alimentaires de base stratégiques, c est-àdire des aliments cultivés par un nombre significatif de petits exploitants, que ce soit pour leur propre consommation ou pour la vente (nationale, intra-régionale ou inter-régionale), et sur le secteur piscicole et les petites pêcheries côtières. Le CTA adoptera une démarche intégrée et axée sur la chaîne de valeur afin de résoudre les problèmes clés identifiés par les chefs de gouvernement de la Communauté caribéenne dans leur Déclaration de Liliendaal en Ce travail comprendra aussi bien des activités centrées sur les chaînes de valeur ellesmêmes que des activités liées aux processus d élaboration et de mise en œuvre de politiques en la matière. Par ce processus, le CTA contribuera à pérenniser les moyens d existence des petits exploitants et des transformateurs agroalimentaires et à améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans les Caraïbes, en accordant une importance particulière aux femmes et les jeunes.
10 CTA : Ouvrir de nouveaux horizons CTA: Expanding horizons Pacifique Le travail du CTA dans le Pacifique se focalisera sur certains produits alimentaires de base stratégiques, c est-à-dire des aliments cultivés par un nombre significatif de petits exploitants, que ce soit pour leur propre consommation ou pour la vente (nationale, intra-régionale ou interrégionale), et sur le secteur piscicole et les petites pêcheries côtières. Développer des chaînes de valeur agricoles à haut potentiel et capables de s adapter au changement climatique La région Pacifique dépend énormément des importations alimentaires, dépendance qui ne fera que s accentuer avec la forte croissance de la population et l urbanisation continue, sauf si les exploitants de cette région sont mieux connectés aux centres de consommation de la région. Cette région est également très vulnérable aux répercussions du changement climatique. Pour venir à bout de ces défis, le CTA appliquera une approche de chaînes de valeur intégrée, qui rapprochera secteurs public et privé, petits exploitants et négociants, secteurs agricole et financier, ainsi que les ministères de l agriculture, du commerce et des finances, entre autres. Améliorer le parcours agriculturenutrition Les maladies dues à la nutrition et au style de vie constituent actuellement une menace claire dans le Pacifique. Dans certains États, plus de la moitié de la population souffre d obésité. Les maladies non transmissibles liées au régime alimentaire, telles que les maladies cardio-vasculaires, le diabète et l hypertension, représentent trois quarts des décès dans la région. À lui seul, le traitement du diabète dû à l obésité représente 40 à 60 % des dépenses de santé dans certains États insulaires. Le CTA s est donné pour objectif de soutenir les efforts entrepris dans la région pour améliorer la nutrition en libérant le potentiel de la production locale. Il se focalisera sur les améliorations à apporter tout au long du parcours agriculturenutrition, de la ferme à l assiette, en aidant les décideurs à envoyer des messages adaptés ou en changeant l état d esprit des consommateurs locaux afin d inciter les exploitants à adapter les types de cultures. Regions Afrique de l Ouest : Bénin, Burkina Faso, Cap Vert, Côte d Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Libéria, Mali, Niger, Nigéria, Sénégal, Sierra Leone et Togo Afrique centrale : Burundi, Congo, Cameroun, Gabon, Guinée équatoriale, République centrafricaine, République démocratique du Congo, Rwanda et Tchad Afrique de l Est : Burundi, Comores, Djibouti, Érythrée, Éthiopie, Kenya, Madagascar, Maurice, Ouganda, Rwanda, Seychelles, Somalie, Soudan, Soudan du Sud et Tanzanie Afrique australe : Afrique du Sud, Angola, Botswana, Lesotho, Malawi, Mozambique, Namibie, Swaziland, Zambie et Zimbabwe Caraïbes : Antigua-et-Barbuda, Bahamas, Barbades, Cuba, Dominique, Grenade, Guyana, Haïti, Jamaique, République dominicaine, Saint-Christophe-et-Niévès, Sainte-Lucie, Saint Vincent-et-les- Grenadines, Suriname et Trinité-et- Tobago. Pacifique : Îles Cook, Niue, Samoa, Tonga, Tuvalu (Polynésie) ; États fédérés de Micronésie, Îles Marshall, Kiribati, Nauru, Palau (Micronésie) ; Îles Salomon, Fidji, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Vanuatu (Mélanésie) ; Timor Leste.
11 Le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA) est une institution internationale conjointe des Etats du Groupe ACP (Afrique, Caraïbes, Pacifique) et de l Union européenne (UE). Il intervient dans les pays ACP pour améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle, accroître la prospérité dans les zones rurales et garantir une bonne gestion des ressources naturelles. Il facilite l accès à l information et aux connaissances, favorise l élaboration des politiques agricoles dans la concertation et renforce les capacités des institutions et communautés concernées. Le CTA opère dans le cadre de l Accord de Cotonou et est financé par l UE. Pour plus d informations sur le CTA, visitez, Contact us CTA PO Box AJ Wageningen Pays-Bas Tél: Fax: cta@cta.int
Connaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique.
Activité : «Mais où est donc..?» Afrique Géographie : problématique de la faim. Age : 10-13 ans Outil pédagogique développé par l équipe jeunesse du PAM. Résumé Connaissances et compétences requises :
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détailA. Liste des pays tiers dont les ressortissants doivent être munis d un visa pour traverser la frontière nationale. 1.
Liste des pays tiers dont les ressortissants doivent être munis d un visa pour traverser la frontière nationale et pays dont les ressortissants en sont exemptés A. Liste des pays tiers dont les ressortissants
Plus en détailPays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile
ANNEXE 1 Pays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile Pays Pays où il y a un Pays exigeant Pays exigeant risque de transmission la vaccination
Plus en détailDIRECTIVES CONCERNANT LES GROUPES DE COMPÉTITEURS ET LES RAPPORTS DE TENDANCE
STR DIRECTIVES CONCERNANT LES GROUPES DE COMPÉTITEURS ET LES RAPPORTS DE TENDANCE Directives pour l Amérique du Nord et les Caraïbes Nombre minimum de propriétés Les groupes de compétiteurs doivent inclure
Plus en détailet à Hammamet (en Tunisie) 4, en mars 2013. Ces consultations ont été complétées par une enquête en ligne 5 amorcée en 2011.
Document final des consultations régionales sur le programme de développement après-2015 Contexte Partout dans le monde, les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ont généré des actions de
Plus en détailTableau récapitulant au 10 octobre 2014 l'état de la Convention et des accords y relatifs
Information concernant l état de la Convention, de l'accord relatif à l'application de la Partie XI de la Convention et de l Accord aux fins de l'application des dispositions de la Convention relatives
Plus en détailSAEGIS SUR SERION DES BASES DE DONNÉES DIVERSIFIÉES. UNE COUVERTURE MONDIALE. THOMSON COMPUMARK. Registre international.
DES DIVERSIFIÉES. UNE COUVERTURE MONDIALE. REUTERS/ANDY GAO Registre international Registre international Amérique du Nord Bermudes Canada Mexique États-Unis : Marques fédérales, Marques d État Amérique
Plus en détailMortalité par cause spécifique et morbidité
par cause spécifique et morbidité Sur 10 décès qui se produisent dans le monde, 6 sont dus à des non, 3 à des pathologies, génésiques ou nutritionnelles et 1 résulte de. De nombreux pays en développement
Plus en détailde plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.
postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre
Plus en détailTroisième partie ANNEXE STATISTIQUE
Troisième partie ANNEXE STATISTIQUE Troisième partie A N N e x e s t a t i s t i Q u e 99 Notes relatives aux tableaux annexes Signes conventionnels On trouvera, dans les tableaux, les signes conventionnels
Plus en détailPAYS LES MOINS AVANCES
PAYS LES MOINS AVANCES CE QU IL FAUT SAVOIR ET CE QU IL FAUT FAIRE Bureau du Haut Représentant pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en
Plus en détailM- Budget DSL / téléphonie fixe (VoIP)/ TV LISTE DE PRIX, TVA comprise, à partir du 01.02.2014
0.03 M- Budget DSL / téléphonie fixe (VoIP)/ TV Services M- Budget Fréquence Accès internet (M- Budget DSL) 54.80 par mois Accès internet avec téléphonie fixe (M- Budget DSL & VoIP) 59.80 par mois Accès
Plus en détailS. A. BANQUE DE CREDIT A L EXPORTATION DE TURQUIE
S. A. BANQUE DE CREDIT A L EXPORTATION DE TURQUIE PROGRAMME DU CREDIT AUX ACHETEURS DES PAYS DESTINE AU SECTEUR DE FABRICATION DE MACHINES AVEC LA COOPERATION DE L UNION DES EXPORTATEURS DE MACHINES ET
Plus en détailJe tiens à vous informer que j'ai décidé d afficher le poste de Directeur du Bureau de la gestion des ressources humaines, à Paris (France).
09/12/2014 Réf. : Objet : CL/4083 Directeur (D-2) du Bureau de la gestion des ressources humaines Paris, France HRM 237 Madame, Monsieur, Je tiens à vous informer que j'ai décidé d afficher le poste de
Plus en détailQUATRIÈME CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS ISTANBUL, TURQUIE DU 9 AU 13 MAI 2011
QUATRIÈME CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS ISTANBUL, TURQUIE DU 9 AU 13 MAI 2011 Bureau du Haut Représentant pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN
CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LE COMMERCE ET LE DÉVELOPPEMENT EMBARGO Le présent document ne doit pas être cité ou résumé par la presse, la radio, la télévision ou des médias électroniques avant le
Plus en détailTHESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES
THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES I. SECTEURS D ACTIVITES - Aéronautique - Agriculture - Assurances - Banques (épargne, office des chèques postaux) - Bâtiment et génie civil - Communications - Postes - Télécommunications
Plus en détailFonds. Soutien aux Entreprises en Afrique
Fonds d Investissement et de Soutien aux Entreprises en Afrique Paul Kabré S impliquer et investir aux côtés des entreprises africaines PROMOUVOIR LA CROISSANCE ET L EMPLOI EN AFRIQUE FISEA est un fonds
Plus en détailUn Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique
Un Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique Extrait de Un Aperçu de la Situation de l Eau Potable et de l'assainissement en Afrique Une perspective régionale s'appuyant sur des données récentes
Plus en détailEtabli par le secrétariat de la CNUCED. NATIONS UNIES New York et Genève, 2005
3 CONFERENCE DES NATIONS UNIES SUR LE COMMERCE ET LE DEVELOPPEMENT Genève Prof ofil statistique tistique des Pays les Moins Avancés Etabli par le secrétariat de la CNUCED NATIONS UNIES New York et Genève,
Plus en détailRévision des besoins non satisfaits: En bref Résumé de l analyse de MEASURE DHS
Révision des besoins non satisfaits: En bref Résumé de l analyse de MEASURE DHS Pourquoi faut-il changer la définition des besoins non satisfaits en matière de planification familiale? Le concept de besoins
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------
STATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------ (version amendée à Kampala, en Ouganda, le 19 août 2003) 2 Les signataires des présents Statuts, Reconnaissant
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN RAPPORT 2013 COMMERCE INTRA-AFRICAIN: LIBÉRER LE DYNAMISME DU SECTEUR PRIVÉ
C O N F É R E N C E D E S N AT I O N S U N I E S S U R L E C O M M E R C E E T L E D É V E L O P P E M E N T LE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN AFRIQUE RAPPORT 2013 COMMERCE INTRA-AFRICAIN: LIBÉRER LE DYNAMISME
Plus en détailFiche signalétique d un service de téléphonie mobile version du 24/08/2012
Offre promotionnelle : Lancement de l offre promotionnelle : Click here to enter a date. Fin de l offre promotionnelle : Click here to enter a date. Différences / avantages de l offre promotionnelle :
Plus en détailBROCHURE TARIFAIRE Tarifs en vigueur à compter du 17 Septembre 2012
BROCHURE TARIFAIRE Tarifs en vigueur à compter du 17 Septembre 2012 SOMMAIRE FORFAITS MOBILES FREE Le Forfait Free Le Forfait 2 3-5 6-8 GRILLE TARIFAIRE Tarification des numéros spéciaux Appels à l international
Plus en détailACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944
ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944 Entrée en vigueur : L Accord est entré en vigueur le 30 janvier 1945. Situation : 130 parties. Cette liste
Plus en détailFiche signalétique d un service de téléphonie mobile version du 24/08/2012
Offre promotionnelle : Lancement de l offre promotionnelle : Click here to enter a date. Fin de l offre promotionnelle : Click here to enter a date. Différences / avantages de l offre promotionnelle :
Plus en détailBRIEFING NOTE 1 ETATS DES LIEUX DE LA MICRO-ASSURANCE EN AFRIQUE. 1. Dénombrer les bénéficiaires de la micro-assurance sur le continent africain
BRIEFING NOTE 1 Microinsurance Innovation Facility ETATS DES LIEUX DE LA MICRO-ASSURANCE EN AFRIQUE 1. Dénombrer les bénéficiaires de la micro-assurance sur le continent africain En Afrique, la micro-assurance
Plus en détailLe nouveau modèle de financement du Fonds mondial
Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme Quatrième reconstitution des ressources (2014-2016) Le nouveau modèle de financement du Fonds mondial Avril 2013 Introduction 1. Fin
Plus en détailTravailleurs migrants et transferts de fonds vers l Afrique
Travailleurs migrants et transferts de fonds vers l Afrique Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté 100 Marchés, environnement porteur et perspectives des transferts
Plus en détailREGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI)
REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) 1. PRESENTATION DU PROGRAMME Le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) lance une quatrième phase du Programme
Plus en détailFiche signalétique d un service de téléphonie mobile version du 24/08/2012
Offre promotionnelle : Lancement de l offre promotionnelle : Click here to enter a date. Fin de l offre promotionnelle : Click here to enter a date. Différences / avantages de l offre promotionnelle :
Plus en détailla solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire
la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire HISTORIQUE Le Centre pour le Développement des Exportations Africaines CEDEXA S.A. CEDEXA
Plus en détailBOURSES SCOLAIRES. au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER
BOURSES SCOLAIRES au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER ÉTABLISSEMENT PUBLIC NATIONAL À CARACTÈRE ADMINISTRATIF SOUS
Plus en détailFiche de données 2,5 76% sur la population mondiale D ICI 2050, Population Reference Bureau. Informer Autonomiser Progresser www.prb.
2,5 Indice synthétique mondial de fertilité. Les ISF oscillent entre 1,7 dans les pays les plus développés et 4,5 dans les pays les moins développés. 60 Nombre d abonnés à un service de téléphonie mobile
Plus en détailWP Board No. 934/03. 7 mai 2003 Original : anglais. Comité exécutif 21 23 mai 2003 Londres, Angleterre
WP Board No. 934/03 International Coffee Organization Organización Internacional del Café Organização Internacional do Café Organisation Internationale du Café 7 mai 2003 Original : anglais Comité exécutif
Plus en détailFonds internationaux d indemnisation pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures
Fonds internationaux d indemnisation pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures Édition 2012 Rôle des FIPOL Le Fonds de 1992 et, le cas échéant, le Fonds complémentaire, fournissent un
Plus en détail0.142.301. Protocole relatif au statut des réfugiés. Texte original. (Etat le 17 décembre 2002)
Texte original Protocole relatif au statut des réfugiés 0.142.301 Conclu à New York le 31 janvier 1967 Approuvé par l Assemblée fédérale le 4 mars 1968 1 Instrument d adhésion déposé par la Suisse le 20
Plus en détailFiche signalétique d un service de téléphonie mobile version du 24/08/2012
Offre promotionnelle : Lancement de l offre promotionnelle : Click here to enter a date. Fin de l offre promotionnelle : Click here to enter a date. Différences / avantages de l offre promotionnelle :
Plus en détailProgramme de mobilité universitaire INTRA-ACP
COMMISSION EUROPÉENNE APPEL A PROPOSITIONS EACEA/35/2010 Programme de mobilité universitaire INTRA-ACP AFRIQUE (MWALIMU NYERERE), CARAÏBES & PACIFIQUE Veuillez noter que seule la version anglaise du Call
Plus en détail29 juin 2010, Luxembourg. Avec Samba Dia, Directeur Adjoint de l ins tu on de microfinance UM-PAMECAS, Sénégal. XIVème Midi de la microfinance
29 juin 2010, Luxembourg Avec Samba Dia, Directeur Adjoint de l ins tu on de microfinance UM-PAMECAS, Sénégal XIVème Midi de la microfinance INTRODUCTION La microfi nance au service des migrants...p.5
Plus en détailLe point sur l épidémie de sida
07 Le point sur l épidémie de sida ONUSIDA/07.27F / JC1322F (version française, décembre 2007) Version originale anglaise, UNAIDS/07.27E / JC1322E, décembre 2007 : AIDS epidemic update: December 2007 Traduction
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Vingt-neuvième réunion Le 12 avril 2014 Déclaration de M. Akagha-Mba, Ministre de l Économie et de la Prospective, Gabon Représentant les pays suivants : Bénin,
Plus en détailOrganisation des Nations Unies pour le développement industriel
Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre
Plus en détailMots clés : Réforme monétaire, monnaie africaine, développement économique, Afrique.
SODOKIN, Koffi 1 UNE UNITE DE MONNAIE AFRICAINE DANS LA PERSPECTIVE DE LA CREATION D UNE BANQUE CENTRALE AFRICAINE POUR LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE EN AFRIQUE: FONDEMENTS ANALYTIQUES ET PROPOSITIONS. Résumé
Plus en détailExemples de projets financés par l Union européenne et les Etats membres dans le cadre du Partenariat UE-Afrique sur le coton
Exemples de projets financés par l Union européenne et les Etats membres dans le cadre du Partenariat UE-Afrique sur le coton Michaela Dodini, Délégation UE Plan de la Présentation I. Brefs rappels sur
Plus en détailInvestir dans la santé pour l Afrique L argumentation en faveur du renforcement des systèmes pour de meilleurs résultats sanitaires
Investir dans la santé pour l Afrique L argumentation en faveur du renforcement des systèmes pour de meilleurs résultats sanitaires Harmonisation pour la santé en Afrique Table des matières Résumé analytique...iii
Plus en détailComparaison des dépenses réelles de consommation des ménages et des niveaux de prix en Afrique
Comparaison des dépenses réelles de consommation des ménages et des niveaux de prix en Afrique 2013 Banque africaine de développement Le présent document a été préparé par la Division de renforcement des
Plus en détailSERVICE CLIENTÈLE ET ASSISTANCE TECHNIQUE DARTYBOX 0,12 TTC/min depuis une ligne fixe. Prix d un appel local depuis une ligne fixe
ANNEXE TARIFAIRE Au 26 juin 2011 Les Forfaits Haut-débit Forfait n 1 (Zone dégroupée) Internet avec téléphonie Darty en présélection à 21.90 TTC/mois. Matériel mis à disposition : DartyBox V1 Forfait n
Plus en détailRepères n 7. Le financement des PME en Afrique. par Céline Kauffmann. www.oecd.org/dev/reperes CENTRE DE DÉVELOPPEMENT DE L OCDE
CENTRE DE DÉVELOPPEMENT DE L OCDE www.oecd.org/dev/reperes Repères n 7 Le financement des PME en Afrique par Céline Kauffmann Repères n 7 découle des Perspectives économiques en Afrique 2004/2005, une
Plus en détailInvestir dans l action pour le climat, investir dans LIFE
Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Un aperçu du nouveau sous-programme LIFE Action pour le climat 2014-2020 istock Action pour le climat Qu est-ce que le nouveau sous-programme LIFE
Plus en détailBROCHURE TARIFAIRE Tarifs en vigueur à compter du 1er juillet 2013
BROCHURE TARIFAIRE Tarifs en vigueur à compter du 1 er juillet 2013 SOMMAIRE FORFAITS MOBILES FREE Fiche d information standardisée Forfait Free 3 Fiche d information standardisée Forfait 2 4 Le Forfait
Plus en détailDES ADOLESCENTS ET DES JEUNES EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE
RAPPORT SUR LE STATUT DES ADOLESCENTS ET DES JEUNES EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE Possibilités et Enjeux RAPPORT SUR LE STATUT DES ADOLESCENTS ET DES JEUNES EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE Possibilités et Enjeux
Plus en détailPRÉFACE. 31 mai 2006. Le Directeur général : Kamil Idris
PRÉFACE 31 mai 2006 Les activités de l'organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) s'inscrivent à une époque où le rôle et la vision de la propriété intellectuelle évoluent à une vitesse
Plus en détailRÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013
RÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013 [Include National Partner logo] www.afrobarometer.org www.crop-africa.org 1 [Include National Partner logo] Afrobaromètre:
Plus en détailMot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP
Mot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP 17 Septembre 2013, 9h00 Tunis, Tunisie Monsieur le Directeur du Département Assurance
Plus en détailTHEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE
RESEAU DES CAISSES POPULAIRES DU BURKINA ********************************* Fédération des Caisses Populaires du Burkina (F.C.P.B.) Tél.: 50.30.48.41, Fax : 50.30.49.10 ; E-mail : fcpb@fasonet.bf ; Adresse
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailPerspectives économiques en Afrique 2014
Édition de Poche Perspectives économiques en Afrique 2014 THÈME SPÉCIAL : Les chaînes de valeur mondiales et l industrialisation de l Afrique Afrique du Sud Algérie Angola Bénin Botswana Burkina Faso Burundi
Plus en détailProgramme de mobilité universitaire INTRA-ACP
APPEL A PROPOSITIONS EACEA/45/2012 Programme de mobilité universitaire INTRA-ACP AFRIQUE (MWALIMU NYERERE), CARAÏBES & PACIFIQUE En cas de doute, c'est la version anglaise qui doit être utilisée comme
Plus en détailLe HCR est pleinement conscient. Le budget du HCR pour l exercice 2013. Le processus de planification
Identification des be Le HCR est pleinement conscient de la nécessité de travailler en étroit partenariat avec ses principaux bailleurs de fonds pour rassembler les ressources dont il doit disposer pour
Plus en détailLE CANNABIS EN AFRIQUE. Synthèse
LE CANNABIS EN AFRIQUE Synthèse Novembre 2007 Cette synthèse sur la situation du cannabis en Afrique a été préparée par Denis Destrebecq dans le cadre du programme des données pour l Afrique, le segment
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détailLa BAD en bref Mai 2013
La BAD en bref Mai 2013 1 Avertissement La Banque africaine de développement ne saurait être tenue pour responsable des erreurs et conséquences pouvant résulter des informations contenues dans cette publication.
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailF Distribution: GÉNÉRALE QUESTIONS DE POLITIQUE GÉNÉRALE. Point 5 de l'ordre du jour
Session annuelle du Conseil d administration Rome, 25 28 mai 2015 QUESTIONS DE POLITIQUE GÉNÉRALE Point 5 de l'ordre du jour Pour approbation POLITIQUE EN MATIÈRE DE COOPÉRATION SUD-SUD ET DE COOPÉRATION
Plus en détailIMPACT DE LA CRISE FINANCIÈRE ET ÉCONOMIQUE MONDIALE SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS
IMPACT DE LA CRISE FINANCIÈRE ET ÉCONOMIQUE MONDIALE SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS 2009 Bureau du Haut-Représentant pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits
Plus en détailPourcentage de la population du Zimbabwe vivant avec le VIH-sida en 2009. Ce pourcentage a baissé depuis 2001 (23,7 %).
48 % 81 2,5 14,3 % Pourcentage de la population mondiale vivant avec moins de 2 dollars par jour. Espérance de vie moyenne à la naissance des hommes et des femmes au Canada, en Martinique et à Singapour.
Plus en détailDECLARATION DES REVENUS DE L'ANNEE 2011
Le Syndicat des Pilotes de l Aviation Civile de la Compagnie Brit Air DECLARATION DES REVENUS DE L'ANNEE 2011 Cette information vous est donnée à titre syndical et ne se substitue pas aux textes officiels.
Plus en détailEn Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures
En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme
Plus en détailAtelier sur le Financement de la Filière Coton en Côte d'ivoire: Création d'un Fonds de Garantie
Atelier sur le Financement de la Filière Coton en Côte d'ivoire: Création d'un Fonds de Garantie René AZOKLY/ Président du Fonds International de Garantie Les Fonds de Garantie en Afrique de l'ouest: Particularités,
Plus en détailCatalogue tarifaire des offres
Catalogue tarifaire des offres Segments Particuliers & Professionnels Edition Février 2015 Mobile OFFRES PREPAYÉES OFFRE JAWAL Carte Jawal Pochette Jawal Tarif Validité en Validité en Crédit (DH TTC) Crédit
Plus en détailServices susceptibles d être retenus pour le classement :
NOTICE relative à la constitution des DOSSIERS de CLASSEMENT (Décret n 51-1423 du 05/12/51 modifié) Division des Personnels Enseignants Services susceptibles d être retenus pour le classement : - tous
Plus en détailCTA Note politique. N 9 : Decembre 2012. Lors d un récent Briefing de Bruxelles sur le développement 1, des experts ont mis en lumière
9 N 9 : Decembre 2012 Pour une agriculture intelligente face au changement climatique CTA Note politique Orientations politiques Encourager les agriculteurs à adopter des pratiques intelligentes Identifier
Plus en détailPROGRAMME D APPUI AUX ORGANISATIONS PAYSANNES AFRICAINES (PAOPA) PHASE PRINCIPALE DOCUMENT DE PROGRAMME REGIONAL
PROGRAMME D APPUI AUX ORGANISATIONS PAYSANNES AFRICAINES (PAOPA) PHASE PRINCIPALE DOCUMENT DE PROGRAMME REGIONAL 2 SFOAP Main Phase Regional Programme Documents - PAFO Table des matières I. Et si nous
Plus en détailPerspectives économiques en Afrique 2013
ÉDITION DE POCHE Afrique du Sud Algérie Angola Bénin Botswana Burkina Faso Burundi Cameroun Cap-Vert Comores Congo, Rép. Congo, Rép. dém. Côte d Ivoire Djibouti Égypte Erythrée Éthiopie Gabon Gambie Ghana
Plus en détailLusaka, 7 mai 1982. Note: L'original de l'accord a été établi par le Secrétaire général de l'organisation des Nations Unies le 2 juin 1982.
. 2. b) Accord portant création de la Banque africaine de développement en date à Khartoum du 4 août 1963 tel qu'amendé par la résolution 05-79 adopté par le Conseil des gouverneurs le 17 mai 1979 Lusaka,
Plus en détailPOLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020
DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période
Plus en détailUNIÃO AFRICANA Addis Ababa, ETHIOPIA P. O. Box 3243 Telephone +2511517700 Fax : +251115517844 Website : www.africa-union.org
AFRICAN UNION UNION AFRICAINE UNIÃO AFRICANA Addis Ababa, ETHIOPIA P. O. Box 3243 Telephone +2511517700 Fax : +251115517844 Website : www.africa-union.org CONSEIL EXÉCUTIF Vingtième session ordinaire 23-27
Plus en détailExposition Universelle Milan 2015 du 1 er mai au 31 octobre 2015
Exposition Universelle Milan 2015 du 1 er mai au 31 octobre 2015 «Nourrir la planète, énergie pour la vie» Commissariat Général de la France www.france-milan-2015.fr 1 Un peu d histoire D après le protocole
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailProgramme d achat groupé haut débit
Programme d achat groupé haut débit Hutchison Global Communications est fier d annoncer que 9 nouveaux pays d Afrique de l Ouest ont rejoint son programme d achat groupé haut débit. Ces nouvelles recrues
Plus en détailPLAN STRATÉGIQUE À MOYEN TERME 2012-2016 CONSEIL DE CONCERTATION POUR L APPROVISIONNEMENT EN EAU ET L ASSAINISSEMENT
PLAN STRATÉGIQUE À MOYEN TERME 2012-2016 CONSEIL DE CONCERTATION POUR L APPROVISIONNEMENT EN EAU ET L ASSAINISSEMENT TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS....................................................
Plus en détailPlateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité
Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations
Plus en détailSTATUTS DE LA BANQUE AFRICAINE D INVESTISSEMENT
STATUTS DE LA BANQUE AFRICAINE D INVESTISSEMENT 1 CHAPITRE I DISPOSITIONS GÉNÉRALES Article 1 Définitions Dans les présents statuts, sauf disposition contraire, on entend par : «Acte», l Acte constitutif
Plus en détailATTENTION. Pour que votre dossier de mariage puisse être accepté lors du dépôt :
EUROMETROPOLE ATTENTION Pour que votre dossier de mariage puisse être accepté lors du dépôt : - présence des deux futurs-es époux-ses, - dossier complet, (conformément au relevé de pièces à produire ci-joint),
Plus en détailLA COUR AFRICAInE DES DROITS DE L HOmmE ET DES peuples
GUIDE pratique LA COUR AFRICAInE DES DROITS DE L HOmmE ET DES peuples vers la Cour africaine de justice et des droits de l Homme Avril 2010 Guide pratique La Cour africaine des droits de L Homme et des
Plus en détailPersonne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity.
Proposition prébudgétaire 2015 de l Association canadienne de l électricité (ACÉ) présentée au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailORGANISATION INTERNATIONALE DE L'AVIATION CIVILE
ORGANISATION INTERNATIONALE DE L'AVIATION CIVILE REUNION EXTRA ORDINAIRE DU GROUPE REGIONAL AFI DE PLANIFICATION ET DE MISE EN ŒUVRE (Lusaka, Zambie, du 10 au 11 juillet 2014) BULLETIN D INFORMATION 1.
Plus en détailLa Banque européenne d investissement. en Afrique, dans les Caraïbes et le Pacifique ainsi que dans les pays et territoires d outre-mer
La Banque européenne d investissement en Afrique, dans les Caraïbes et le Pacifique ainsi que dans les pays et territoires d outre-mer La banque de l UE La Banque européenne d investissement, la banque
Plus en détailIMPACT DE LA CRISE SUR LES ÉCONOMIES AFRICAINES MAINTENIR LA CROISSANCE ET POURSUIVRE LA RÉDUCTION DE LA PAUVRETÉ
IMPACT DE LA CRISE SUR LES ÉCONOMIES AFRICAINES MAINTENIR LA CROISSANCE ET POURSUIVRE LA RÉDUCTION DE LA PAUVRETÉ Perspectives et recommandations de l Afrique au G20 Un rapport du Comité des Ministres
Plus en détailBOURSES DE RECHERCHE DOCTORALE ET DE POST-DOCTORAT «EUGEN IONESCU»
BOURSES DE RECHERCHE DOCTORALE ET DE POST-DOCTORAT «EUGEN IONESCU» 2011-2012 DOCUMENT DE PRÉSENTATION Appel international à candidatures ouvert du 28 juin (1 er août en ligne) au 28 octobre 2011 (minuit,
Plus en détaildiffusion externe les services d'orange pour l agriculture en Afrique
les services d'orange pour l agriculture en Afrique ce catalogue a pour objectif d éclairer sur les méthodes développées par Orange pour améliorer la productivité dans le monde rural 2 sommaire 1 2 3 l'apport
Plus en détailBOURSES DE RECHERCHE DOCTORALE ET DE POST-DOCTORAT «EUGEN IONESCU»
BOURSES DE RECHERCHE DOCTORALE ET DE POST-DOCTORAT «EUGEN IONESCU» 2010-2011 DOCUMENT DE PRÉSENTATION Appel international à candidatures ouvert du 10 novembre 2010 au 10 janvier 2011 1. DOCUMENT DE PRESENTATION
Plus en détailAPPEL D OFFRES OUVERT. Référence n EACEA/2014/09. Pouvoir adjudicateur: Agence exécutive «Éducation, audiovisuel et culture»
Agence exécutive «Éducation, audiovisuel et culture» APPEL D OFFRES OUVERT Référence n EACEA/2014/09 Assurance pour les participants au service volontaire européen dans le cadre du programme Erasmus+ Pouvoir
Plus en détailRéduire la pauvreté et investir dans le capital humain : le nouveau rôle des filets sociaux en Afrique
Réduire la pauvreté et investir dans le capital humain : le nouveau rôle des filets sociaux en Afrique Études de cas dans 22 pays VUE D ENSEMBLE LA BANQUE MONDIALE 84457 Crédit photo : Andrea Borgarello
Plus en détailS engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée
S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien
Plus en détail