Pour des Analyses de Cycle de Vie des bâtiments fiables, simples et reproductibles Reproductibilité des études d ACV et expérimentation des outils
|
|
- Maurice Beaudoin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 BENEFIS Pour des Analyses de Cycle de Vie des bâtiments fiables, simples et reproductibles Reproductibilité des études d ACV et expérimentation des outils Contexte L ACV devient un outil pour concevoir et optimiser les bâtiments en permettant aux équipes d évaluer de manière globale leurs choix architecturaux puis, plus en aval le choix des équipements, des vecteurs énergétiques, des produits de construction, etc. L ACV devient également - de plus en plus souvent - un outil pour la certification environnementale des bâtiments, un critère de choix dans les concours ou dans l attribution d aides financières. Cependant, les méthodes de calcul et les normes actuellement utilisées pour réaliser des ACV peuvent être interprétées et mises en pratiques de diverses manières ; Les bases de données et les outils se sont multipliés ces dernières années. Or les acteurs ont besoin de calculs reproductibles et fiables pour faire des choix éclairés. Le projet BENEFIS contribue à lever certains verrous méthodologiques afin de rendre l usage des ACV plus simple, plus accessible aux acteurs et plus fiable. Problématiques liées à la reproductibilité des ACV bâtiments Il existe actuellement de nombreux outils pour réaliser l ACV de bâtiments dont EQUER développé par ARMINES et Izuba Energies et ELODIE développé par le CSTB. Chaque outil comporte son propre jeu de données ACV : données génériques et à inventaires détaillés (EQUER) ou données génériques complétées par des Fiches de Déclarations Environnementale et Sanitaire (ELODIE). Chaque outil est basé sur des règles de calcul parfois différentes pour évaluer l impact environnemental d un bâtiment et les résultats sont exprimés à l aide d indicateurs environnementaux spécifiques. Bilan ENergétique et Environnemental FIable, Simple et reproductible des bâtiments Le projet BENEFIS a pour objectif de proposer des solutions méthodologiques et opérationnelles à l application de l analyse de cycle de vie (ACV) pour l évaluation des performances environnementales des bâtiments. Pour faire entrer cette approche dans le processus normal de conception et amorcer le passage à l approche performancielle, le projet doit faire émerger des outils opérationnels utilisables par tous les acteurs, consolider les pratiques, améliorer la reproductibilité des études et faciliter la compréhension et diffusion des résultats. Projet financé par l ANR Janvier 2012 Décembre 2014 Recommandations en page 5 Ce manque d harmonisation entre les outils d aide à la décision pose-t-il des problèmes en termes de reproductibilité? Par exemple, les choix d écoconception sont-ils différents si l on utilise ELODIE ou EQUER? Est-ce que les résultats chiffrés issus d une étude menée avec EQUER peuvent être comparés à ceux d une étude menée sous ELODIE? Est-ce que les résultats obtenus sont différents selon la personne réalisant l étude 1? La reproductibilité, une affaire collective. BENEFIS a eu pour objectif de proposer aux différents acteurs de la chaine de réalisation des ACV des recommandations pour améliorer la reproductivité des études 2. 1 La reproductibilité entre plusieurs utilisateurs a été reportée dans la note de synthèse Benefis 2.2. Simplification comme elle est aussi reliée aux développements de modes adaptés pour l ACV. 2 Cf. rapport ANR BENEFIS Tâche 2 Méthodologie
2 Méthode L étude de la reproductibilité des études ACV dans le cadre du projet BENEFIS s est attachée à identifier et à comprendre en détail les causes de non-reproductibilité pour être en mesure d adresser des recommandations aux acteurs. Objectif : identifier a priori les aspects importants pour atteindre un niveau satisfaisant de reproductibilité. Sur la base d une description des outils au démarrage du projet, a été établie par le CSTB une grille regroupant près d une centaine d aspects permettant une description fine et formalisée des outils. Cette grille a été documentée pour l outil ELODIE (données d entrée -dont bases de données, méthodologies et hypothèses de calcul, résultats de sortie,). Disponible dans le rapport de BENEFIS 3, cette grille pourra être étoffée ultérieurement (e.g. intégration d autres outils, de nouveaux aspects, appropriation par d autres acteurs, etc.). Ainsi différents sujets et acteurs ont été distingués dans les phases de diagnostic et de rédaction de recommandations : nous avons ainsi séparé les «responsabilités» relatives : - aux utilisateurs des outils (choix des données et hypothèses de calcul), - aux fournisseurs de bases de données, - aux développeurs d outils d ACV bâtiment. En effet, les bases de données(bdd) ACV peuvent être intégrées et/ou utilisées telles quelles dans les logiciels ACV bâtiment ou retraitées (p. ex. sur le choix des hypothèses d allocations d impacts, de prise en compte du stockage de carbone, des indicateurs d impacts). De même, un logiciel peut utiliser une ou plusieurs BDD tout comme il peut utiliser une partie seulement de l ensemble d une BDD (ex. Ecoinvent, base multisectorielle). Dans le cadre de BENEFIS, les liens entre les BDD intégrées au logiciel et BDD amont ont été explicités. De la même façon il nous a semblé intéressant de bien identifier comment les calculs sont effectués dans l outil, dans quelle mesure l utilisateur peut paramétrer les calculs et les données et de quelle manière il est guidé dans ces choix (par ex. fenêtres d explication, alertes, etc.). Par exemple, les données sur les matériaux et produits de construction peuvent être fournies sur le cycle de vie complet avec le détail de chacune des étapes. Suivant les outils et les données, l utilisateur peut être amené à paramétrer les phases de transport, de mise en œuvre, de fin de vie ou au contraire les données étant figées ne pouvoir en modifier aucune. Il est donc utile de préciser comment sont calculées les données pour le cycle de vie complet et comment l utilisateur peut utiliser ces données. 3 Cf. rapport ANR BENEFIS Tâche 2 Méthodologie
3 Réalisation des cas d études répondant à certains usages de l ACV L ACV étant aujourd hui utilisée dans différents cas de figure et avec différents objectifs, plusieurs cas d étude ont été choisis et utilisés pour évaluer les problèmes potentiels à différentes échelles depuis les composants jusqu au bâtiment complet intégrant les processus de consommation d énergie et d eau pendant la vie en œuvre notamment. Tests de reproductibilité appliqués sur différents cas d études o Objectif : tester la sensibilité des données ACV et durées de vie sur le contributeur composants qui peut représenter une part importante de certains indicateurs (p. ex. changement climatique ou déchets non dangereux) 4, 5. Le contributeur composant pour différents systèmes constructifs a été modélisé en utilisant plusieurs jeu de données (données matériaux Ecoinvent et FDES et de plusieurs jeux de données de durées de vie). Le cas d étude d un bâtiment de logements collectifs fourni par Bouygues Construction a été utilisé ici en utilisant trois systèmes constructifs différents : ossature métallique, bois et béton armé. Pour chaque système constructif, les résultats et écarts ont été analysés. Le bâtiment résidentiel (variante béton armé) utilisé pour les études sur le contributeur composants o Objectif : tester la reproductibilité des résultats (écarts en valeur absolue) et des conclusions (classement des variantes) entre les outils, en incluant les bases de données. L ACV a été appliquée sur des maisons individuelles pour comparer différents systèmes constructifs, plusieurs solutions énergétiques et étudier la production locale d électricité. Les partenaires ont d abord vérifié la faisabilité de la méthodologie sur un cas «simple» de bâtiment (issu de la norme ASHRAE Bestest 6 ) puis ont étendu l analyse sur les maisons INCAS de la plate-forme de l INES à Chambéry. Les calculs thermiques ont été effectués avec le même outil (Pléiades+Comfie). Puis, trois comparaisons ont été menées, en considérant une même durée de vie pour les maisons : 1) murs en béton banché, double murs en blocs de béton et ossature bois, 2) chauffage à gaz, à bois et électrique, et 3) maison avec et sans système photovoltaïque. Les maisons passives de la plateforme INCAS, située sur le site d INES au Bourget du Lac utilisées pour les ACV effectuées par le CSTB et ARMINES 4 Lasvaux S., Lebert A., Achim F., Grannec F., Hoxha E., Nibel S., Schiopu N., Chevalier J «Towards guidance values for the whole environmental performances of buildings: application to detached houses in the French context» accepted in Int J Life Cycle Assess. 5 Thiers S. and Peuportier B., Energy and environmental assessment of two high energy performance residential buildings, Building and Environment, Volume 51, May 2012, Pages Déjà utilisé en France pour comparer les codes de simulations thermiques, en particulier Comfie développé par ARMINES et Cometh développé par le CSTB.
4 Principaux résultats obtenus Les résultats d un cas d étude sur les maisons INCAS sont globalement concordants entre les deux outils sur le choix de la meilleure variante notamment pour les indicateurs d énergie primaire et de changement climatique et ce, même si les deux outils ne s appuient pas sur les mêmes bases de données. Des différences peuvent cependant apparaître sur certains indicateurs, comme le montre par exemple le graphe ci-dessous concernant la comparaison des énergies de chauffage : la variante bois est plus impactante pour l ozone photochimique avec Elodie, alors que c est le gaz avec Equer. L analyse détaillée de la répartition par lots des impacts montre toutefois que selon les cas étudiés, des écarts pourraient apparaitre : l'exemple ci-dessous (variante béton banché et chauffage électrique) illustre le fait que les écarts entre outils se sont compensés. 100% Répartition par lots I-BB électricité 100% Répartition par lots I-BB électricité 80% 60% 40% Eau Energie Equipement Toit 80% 60% 40% Eau Energie Equipement Toit 20% 0% Sol Plancher intermédiaire Cloison 20% 0% Sol Plancher intermédiaire Cloison -20% Mur extérieurs Fondations -20% Mur extérieur Fondation Si les résultats comparatifs montrent une certaine homogénéité, les résultats numériques absolus obtenus pour chaque variante peuvent montrer des différences plus significatives d un outil à l autre. Ainsi, l écart à la moyenne sur les valeurs d impacts entre les deux outils différent fortement en ce qui concerne l'ozone photochimique (écarts variant de 74% à 186%) et les déchets radioactifs (43%). Pour le premier, l écart s explique par la simplification des inventaires de cycle de vie et du calcul d impact dans les FDES 7. Pour les déchets radioactifs, les écarts peuvent s expliquer par la conversion des valeurs d'ecoinvent, exprimées en m 3, en kg dans Elodie (les facteurs de conversion ont été 7 Cf. article : Lasvaux S., Schiopu N., Habert G., Chevalier J., Peuportier B. «Influence of simplification of life cycle inventories on the accuracy of impact assessment: application to construction products», Journal of Cleaner Production, 79 (15), 2014, pp
5 fournis au CSTB par Ecoinvent). Pour les autres indicateurs, les écarts restent plus raisonnables variant en moyenne de +/- 5 à 20% pour les indicateurs changement climatique, énergie primaire, consommation d eau et déchets éliminés. Certains indicateurs (notamment les déchets radioactifs ou l acidification 8 ) sont moins simples à harmoniser car plus sensibles aux différences d hypothèses dans les bases de données ACV 9 (p. ex. types de fuels, distances et modes de transport considérés dans les données de production de matériaux, représentativité des procédés etc.). Les rapports BENEFIS des tâches 2 (volet 2.3. reproductibilité) et 4 (volet 4.1 Expérimentations internes, Reproductibilité) présentent l intégralité de ces études de cas. Tableau : Exemple de comparaison des résultats obtenus pour le cas d étude des maisons INCAS Comparaison des variantes Valeurs d'impacts (Electricité) Valeurs d'impacts (Gaz) Valeurs d'impacts (Bois) Class. 1ère Ecarts* Ecarts* Ecarts* Energie primaire totale -7% -2% -5% Consommation d'eau totale -7% -3% -3% Déchets éliminés -15% -16% -9% Déchets radioactifs -35% -30% -29% Changement climatique -11% -13% -1% Acidification atmosphérique -17% -7% -10% Formation d'ozone photochimique -93% -74% -102% * Ecart à la moyenne entre les deux outils :(novaequer-elodie)/moyenne (novaequer ; Elodie) Des problèmes méthodologiques spécifiques peuvent ensuite amener à des écarts parfois importants même pour les indicateurs d énergie primaire et de changement climatique. Une étude de sensibilité sur la variante bois a, par exemple, montré l influence du bilan CO 2 du bois matériau sur les résultats. Les données des FDES de la base INIES se situent entre les données pour le bois certifié et non certifié considérées dans Equer, même si la mise en décharge est considérée en fin de vie dans les deux outils. La variante bois contribue le plus à l'épuisement des ressources avec Elodie, le résultat inverse est obtenu avec Equer. De même, l'hypothèse sur la fin de vie (recyclage ou mise en décharge) du béton peut amener à des résultats très différents mais uniquement pour l indicateur déchets éliminés. Les différences de méthodes de calcul des impacts liés à la production locale d énergie conduisent également à des écarts très importants : de l ordre de 130 à 230% sur les indicateurs de changement climatique et de déchets radioactifs. La nature des paramètres des modèles peut avoir un impact fort sur les résultats des calculs énergétiques, notamment quand on utilise des valeurs par défaut. Le choix d utiliser de telles valeurs, par exemple celles des ponts thermiques issues des règles professionnelles Th-Bât, fait augmenter l'indicateur CO 2 de la variante bois de plus de 20% par rapport à une évaluation par éléments finis. Plus généralement, la complétude et le niveau de détail de la base de données de l outil peuvent amener à des écarts sur les résultats. Par exemple, l'usage d'un proxy pour la chaudière bois dans 8 Ou pour la consommation d eau en périmètre réduit (essentiellement liée à la production des matériaux) 9 Cf. article : Lasvaux S., Habert G., Peuportier B., Chevalier J. «Comparison of Environmental Product Declaration (EPD) and generic data used in building Life Cycle Assessment» submitted to Journal of Environmental Management, 2014.
6 Elodie a entraîné un écart important sur l'indicateur de déchets éliminés, lié au dispositif de stockage du bois (le proxy correspondait à une chaudière gaz). Une fiche a alors été ajoutée sur la base des données Ecoinvent, diminuant l écart. En revanche, la composition des données ACV sur le béton a une très faible influence dans le bilan global des maisons du cas d étude et ce quel que soit l indicateur. Le test a également permis de corriger une erreur concernant le bilan CO 2 considéré dans Elodie pour le chauffage au bois. Conclusions et perspectives Le projet BENEFIS a permis de clarifier les problèmes de reproductibilités selon différents objectifs d études. Même si Elodie et novaequer 10 n utilisent pas les mêmes données ACV (Ecoinvent vs. FDES) et les mêmes hypothèses de calcul, ils permettent actuellement de retenir la même meilleure variante notamment pour les indicateurs de changement climatique et d énergie non renouvelable. Toutefois, ces travaux ont aussi montré que les valeurs d impacts pour chaque variante de bâtiments diffèrent parfois fortement. Par conséquent, si les acteurs de bâtiment souhaitent utiliser l ACV dans le cadre d un futur label les méthodes devront être entièrement harmonisées pour obtenir des résultats reproductibles. C est justement l objet des travaux lancés en 2014 par la Direction de l'habitat, de l'urbanisme et des paysages (DHUP) du ministère de l écologie, du développement durable, et de l énergie sur la définition d une étiquette environnementale de bâtiments. Un certain nombre de règles méthodologiques (données ACV, méthodes de calcul, etc.) feront l objet de discussions dans le cadre de groupes de travail thématiques. Recommandations Les partenaires du projet recommandent aux praticiens utilisant l ACV pour comparer des variantes de conception : - de prendre en compte l'influence du choix des matériaux sur le bilan énergétique (en utilisant un chaînage manuel ou informatique entre les outils de calcul énergétique et ACV), la variation de paramètres comme les ponts thermiques pouvant influencer ce bilan de manière non négligeable, - de bien définir et préciser les scénarios de fin de vie considérés pour les différents composants de construction, en particulier les matériaux structurels, l'influence pouvant être importante sur l indicateur de déchets non dangereux par exemple, - de restituer clairement les frontières de l étude, en particulier dans le cas d'une production locale d'électricité. Comme recommandations complémentaires pour améliorer également la reproductibilité des résultats d ACV à l usage éditeurs de logiciels, fournisseurs de données et prescripteurs d ACV bâtiment, pourrait être conseillé : - d'harmoniser le niveau de détail des bases de données des outils (notamment sur les équipements techniques), - d harmoniser le bilan CO 2 du bois ou la fin de vie proposée par défaut dans les outils, - de favoriser l utilisation d une même base de données ou a minima de, préciser clairement le jeu de données utilisé. Par ailleurs, les partenaires recommandent, pour certaines configurations d'opter pour un mix énergétique dynamique sur l année (intégrée dans novaequer 10 et en cours d intégration dans ELODIE), parfois plus pertinent qu'un modèle statique 11. Ce choix se révèle approprié en particulier dans le cas de procédés saisonniers comme le chauffage électrique ou lorsqu il y a production d'électricité photovoltaïque même si les études de cas du projet n ont pas montré de différences sur le classement des solutions énergétiques. 10 Le logiciel novaequer deviendra - lors de sa diffusion - le remplaçant d EQUER 11 cf. Herfray, Roux et Peuportier et cf. Fouquet et al.
7 Contacts CSTB Sébastien Lasvaux Alexandra Lebert (coordinatrice) ARMINES Bruno Peuportier BOUYGUES Construction Romain Bonnet Pour aller plus loin Fouquet M., Lebert A., Lasvaux S., Peuportier B., Roux C., Guiot T., Illustration of methodological challenges in energy and environmental assesmenent of buildings, Conference SB 14 CSTB, ARMINES, BOUYGES, IZUBA, Maisons de Qualité ; BENEFIS - ANR 2011 VILD Tâche 2, Développements méthodologiques. Janvier pages. Hallouin T., Lasvaux S., Bazzana M., Bonnet R. (2014) "Building Life Cycle Assessment (LCA): results sensitivity to the choice of LCA data and reference service lives of construction products". SB14 conference, Barcelona, October Herfray G. and Peuportier B., Evaluation of electricity related impacts using a dynamic LCA model, International Symposium Life Cycle Assessment and Construction, Nantes, juillet 2012 Lasvaux S., Schiopu N., Habert G., Chevalier J., Peuportier B. «Influence of simplification of life cycle inventories on the accuracy of impact assessment: application to construction products», Journal of Cleaner Production, 79 (15), 2014, pp Lasvaux S., Habert G., Peuportier B., Chevalier J. «Comparison of generic and product-specific Life Cycle Assessment databases: application to materials used in building LCA» submitted to Journal of Environmental Management, Peuportier B. et al., European project LoRe-LCA (Low Resource consumption buildings and constructions by use of LCA in design and decision making), deliverables D3.1 Building LCA good practice report and D3.2 Guidelines for LCA, (accès décembre 2014) Roux C. et Peuportier B., Considering temporal variation in the life cycle assessment of buildings, application to electricity consumption and production, Sustainable building conference, Barcelona, october 2014 Roux C. and Peuportier B., Evaluation of the environmental performance of buildings using dynamic life cycle simulation, Building simulation 2013 Conference, Chambéry, August 2013 Des informations complémentaires sont disponibles sur le site internet du projet:
PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE?
PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE? F R A N Ç O I S E B E R T H O U D G D S E C O I N F O / C N R S w w w. e c o i n f o. c n r s. f r F r a n c o i s e. B e r t h o u d @ g
Plus en détailEvaluation de la performance environnementale des bâtiments. Définition d ordres de grandeur. Traitement statistique.
Evaluation de la performance environnementale des bâtiments. Définition d ordres de grandeur. Traitement statistique. Rapport Final LEBERT Alexandra, CHEVALIER Jacques, ESCOFFIER Faustine, LASVAUX Sébastien,
Plus en détailL ACV dans les projets de recherche :
L ACV dans les projets de recherche : - Les fondamentaux de l éco-conception - Les démarches, les outils - L ACV dans les projets de recherche - Exemples de projets européens Présentation ACV 6 Septembre
Plus en détailCapitalisation des résultats de l expérimentation HQE Performance. Analyse statistique Action 22
DHUP convention Y13-08 n 2200756332 Capitalisation des résultats de l expérimentation HQE Performance. Analyse statistique Action 22 Rapport Final LEBERT Alexandra, LASVAUX Sébastien, GRANNEC Francis,
Plus en détailL éco-responsabilité appliquée à l informatique
L éco-responsabilité appliquée à l informatique //////////////////////////////////////////////////////// IMPACTS SUR L ENVIRONNEMENT DU MATERIEL ////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailPrésentation de la base INIES
Présentation de la base INIES CUIB 4 février 2015 La base INIES Base de données française de référence sur les caractéristiques environnementales et sanitaires des produits de construction http://www.inies.fr
Plus en détailADEME Analyse comparée des impacts environnementaux de la communication par voie électronique
de la communication par voie électronique Volet Clé USB : Synthèse Contact Bio Intelligence Service S.A.S. Yannick Le Guern/Laura Farrant + 33 (0)1 53 90 11 80 yannick.leguern@biois.com laura.farrant@biois.com
Plus en détailAPPEL à MANIFESTATIONS D INTERET (AMI) INVESTISSEMENTS D AVENIR EDITION 2010
Direction des Investissements d Avenir Direction Villes et Territoires Durables Service Bâtiment Direction Recherche et Prospective Service Recherche et Technologies avancées APPEL à MANIFESTATIONS D INTERET
Plus en détailL empreinte environnementale du groupe Accor Application de l approche cycle de vie au niveau d une organisation
L empreinte environnementale du groupe Accor Application de l approche cycle de vie au niveau d une organisation Accor a mené la 1 ère empreinte environnementale dans le secteur hôtelier En 2010, suite
Plus en détail1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2
EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailADEME. Analyse comparée des impacts environnementaux de la communication par voie électronique. Présentation des résultats
Direction Communication, Formation, Développement Analyse comparée des impacts environnementaux de la communication par voie électronique Présentation des résultats Juillet 2011 Contact BIO Intelligence
Plus en détailAnalyse du Cycle de Vie
Cluster de recherche Excellence en éco-conception & recyclage Analyse du Cycle de Vie Un outil de quantification environnementale au service de votre stratégie 2015-2 e Edition Sommaire LE CLUSTER CRÉER
Plus en détailEMBALLAGES INDUSTRIELS : EVALUATION ENVIRONNEMENTALE, ECONOMIQUE ET SOCIALE DE L INTERET COMPARE ENTRE REUTILISATION ET USAGE UNIQUE
EMBALLAGES INDUSTRIELS : EVALUATION ENVIRONNEMENTALE, ECONOMIQUE ET SOCIALE DE L INTERET COMPARE ENTRE REUTILISATION ET USAGE UNIQUE EMBALLAGES CONSIGNES EN CAFES HOTELS ET RESTAURANTS Synthèse Juin 2010
Plus en détailImpacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie?
Impacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie? 8 juin 2010 Journée InTech (INRIA) Françoise Berthoud Francoise.Berthoud@grenoble.cnrs.fr Groupe
Plus en détailIntégration de la performance énergétique dans les processus de gestion de patrimoines. Projets pilotes EPI-CREM. immobiliers
4 Intégration de la performance énergétique dans les processus de gestion de patrimoines Projets pilotes EPI-CREM immobiliers Introduction Le projet EPI-CREM 1 vise de manière globale l amélioration de
Plus en détailJean-Yves RICHARD ADEME
«Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement
Plus en détailConsulting SEO Mis à jour en juin 2012 ETUDE MOTS CLES CEQUAMI
Consulting SEO Mis à jour en juin 2012 ETUDE MOTS CLES CEQUAMI Sommaire 1. ANALYSE DES RECHERCHES... 2 2. RECOMMANDATIONS...11 2.1. ELEMENTS DETERMINANTS...11 2.2. SELECTION DE MOTS CLES...11 Page 2 sur
Plus en détailMaison Modèle BIG BOX Altersmith
Maison Modèle BIG BOX Altersmith SOLUTIONS D ENVELOPPE & DE SYSTÈMES PERFORMANCES RT 2005 & LABELS I. Présentation de la maison BIG BOX - T3...2 II. Enveloppes...3 1. Présentation de l enveloppe...3 2.
Plus en détaill essentiel Guide pratique des Fiches de Déclaration environnementale et sanitaire des produits en béton
l essentiel Guide pratique des Fiches de Déclaration environnementale et sanitaire des produits en béton Éléments d aide à la décision pour l éco-réalisation d ouvrages introduction Construction en béton
Plus en détailLe nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement
Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Conçu et équipé pour s adapter aux méthodes de travail et aux exigences de communications des nouvelles technologies, le nouvel immeuble
Plus en détailL HABITAT. Technologie 5ème
L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,
Plus en détailDIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER
OBJECTIFS Réaliser le dossier dans chaque domaine de diagnostique immobilier : amiante, plomb, diagnostic de performance énergétique, termites, gaz et installations intérieures électriques, mesurage des
Plus en détailEtude et amélioration du comportement thermique d une habitation
Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation menée avec ARCHIWIZARD Contexte de l étude Mr et Mme LE LOUSTIC viennent d acquérir une maison se situant à Hennebont (56). Peu de travaux
Plus en détailNOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL
1 NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL NOM DE L ETABLISSEMENT : Atelier 1 menuiserie, Ateliers 2, 3 et 4 non connu à ce jour NATURE DE L EXPLOITATION : Ateliers
Plus en détailBilan thermique et social simplifié
Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement 34 Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 32 quai de Rouen 59 100 ROUBAIX Informations
Plus en détailLe Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC) Pourquoi le GIEC a été créé. Introduction
OMM GROUPE D EXPERTS INTERGOUVERNEMENTAL SUR L ÉVOLUTION DU CLIMAT PNUE Introduction Le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (GIEC) Pourquoi le GIEC a été créé Les activités humaines
Plus en détailFiche d application. 7 octobre 2013 1.0
MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Diagnostic de Performance Energétique Fiche d application Date Version 7 octobre
Plus en détailBilan thermique et social simplifié
Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 72 rue de Rome 59 100 Roubaix Informations
Plus en détailConsultation sur le livre blanc du financement de la TEE Préparation de la conférence bancaire et financière : Contribution de la Caisse des Dépôts
24 janvier 2014 Consultation sur le livre blanc du financement de la TEE Préparation de la conférence bancaire et financière : Contribution de la La place sa priorité stratégique «Transition Énergétique
Plus en détailLe contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique.
Final le 08/10/2007 Le contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique. - NOTE DETAILLEE - 1- Le contexte Le calcul du contenu
Plus en détailLe pilotage et les outils du développement durable
Le pilotage et les outils du développement durable ANCI Création mars 2010 PRESENTATION DU GROUPE Les 4 engagements Présentation du Groupe PRESENTATION DU GROUPE Les 4 engagements 4 engagements prioritaires
Plus en détailEfficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar
Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et
Plus en détailCREATION D UN GROUPE SCOLAIRE
S.I.C.A. HABITAT RURAL DE LA SAVOIE 40, rue du Terraillet 73190 SAINT BALDOPH Tél. 04 79 33 06 94 Fax 04 79 85 69 92 E-mail : info@sica-hr.com Dossier 1918-2011 SYNDICAT INTERCOMMUNAL DE ST OFFENGE CREATION
Plus en détailL offre de master orientée «forêt»
L offre de master orientée «forêt» à AgroParisTech Nancy JD Bontemps, H Wernsdörfer, AgroParisTech - centre de Nancy jdbontemps.agroparistech@gmail.com Holger.wernsdorfer@agroparistech.fr CAQSIS 2014,
Plus en détailLa consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre.
Contexte / Objectifs La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. A titre d exemple, pour compenser les émissions
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS SUITE A DONNER SOURCE. Note du collectif d associations de consommateurs sur le format d affichage
Plate-forme d'échanges Date : 2011-06-10 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org Affichage environnemental des produits grande consommation Numéro du document:
Plus en détailUne histoire sans fin. Rockpanel certifié BRE Global A+ / A
Une histoire sans fin Rockpanel certifié BRE Global A+ / A Rockpanel : la durabilité dans les gènes Le Groupe Rockpanel fait partie de Rockwool International, de par nature, attache une importance primordiale
Plus en détailÉCO-RÉNOVER EN TOUTE SIMPLICITÉ
ÉCO-RÉNOVER EN TOUTE SIMPLICITÉ Mieux maîtriser les enjeux de la construction et de la rénovation durables Engagé dans une démarche éco-volontaire depuis ses débuts, Raboni lance le programme R+. Son objectif
Plus en détailArticle225: Guide sectoriel CNCC Audition plateforme RSE, 20 février 2014
Article225: Guide sectoriel CNCC Audition plateforme RSE, 20 février 2014 Jean-Michel Silberstein Délégué Général CNCC Christophe Garot CNCC UNIBAIL-RODAMCO Le CNCC Le CNCC, Conseil National des Centres
Plus en détailAvis d Energie-Cités. Cette proposition est disponible sur : http://europa.eu.int/eur-lex/fr/com/dat/2001/fr_501pc0226.html
Avis d Energie-Cités Projet de Directive Performance énergétique des bâtiments Octobre 2001 Proposition de Directive du Parlement européen et du Conseil présentée par la Commission [COM(2001) 226 final
Plus en détailhabitat RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Comprendre
Comprendre RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Mise à jour le 15 juin 2015 Près de 40 000 professionnels qualifiés RGE en métropole Les propriétaires, locataires,
Plus en détailpossibilités et limites des logiciels existants
possibilités et limites des logiciels existants Dominique Groleau CERMA, UMR CNRS 1563, Ecole d Architecture de Nantes Journée thématique SFT- IBPSA, Outils de simulation thermo-aéraulique du bâtiment.
Plus en détailAMENAGEMENT DE PARIS SACLAY
AMENAGEMENT DE PARIS SACLAY Paris Saclay, un territoire du Grand Paris Paris Saclay, état initial de la frange sud du Plateau de Saclay N 1 km SACLAY CEA SAINT- AUBIN Soleil Supélec Danone Thales IOGS
Plus en détailles outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir
connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE
Plus en détailEtude de faisabilité
Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un
Plus en détailEn MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies
En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES Quercy Energies Le réseau EIE en Midi-Pyrénées 4 premiers EIE créés en novembre 2001, toute la région est couverte en 2007 avec 11 CIE dans 9 EIE En MIDI- PYRENEES
Plus en détailManuel d utilisation du progiciel ELODIE V1.2.007. Pour la version complète du progiciel. Version du 30 janvier 2012 Réf : DESE/ENV - 12.
Pour la version complète du progiciel. Version du 30 janvier 2012 Réf : DESE/ENV - 12.006 2 Table des matières 1. INTRODUCTION... 4 2. CONNEXION A L OUTIL ELODIE... 5 3. FAMILIARISATION AVEC L ECRAN PROJET
Plus en détailRe-Certification 2012 Programme complet > 8 modules
Re-Certification 2012 Programme complet > 8 modules Amiante : Formation répondant aux critères de compétence obligatoires dans le cadre de la certification (NF EN ISO 17024) D P E : Formation répondant
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. accompagnant le document:
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 22.4.2015 SWD(2015) 88 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT accompagnant le document: Rapport de la Commission au Parlement
Plus en détailComment optimiser la performance énergétique de son logement?
Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Janvier 2014 AHF / J.M. VOGEL Plan de la présentation Contexte Objectifs Faire un premier bilan énergétique Les différents travaux d économies
Plus en détailEvaluation des performances énergétiques et du confort d un bâtiment tertiaire rénové
Evaluation des performances énergétiques et du confort d un bâtiment tertiaire rénové Virginie Renzi 1, Françoise Burgun 1 1 INES RDI / CEA Institut National de l Energie Solaire Savoie Technolac, BP 332,
Plus en détailÉVÉNEMENTS ÉCORESPONSABLES
ÉVÉNEMENTS ÉCORESPONSABLES LA GESTION RESPONSABLE D ÉVÉNEMENTS Le Bureau de normalisation du Québec a rendu publique, en juin 2010, une norme en gestion responsable d événements. La norme vient du besoin
Plus en détailRécapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13
Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4
Plus en détailInstitut de recherche multidisciplinaire focalisé sur le développement durable urbain
Future Cities Laboratory Institut de recherche multidisciplinaire focalisé sur le développement durable urbain Ian Smith Journée d information, Holcim, le 9 octobre 2013 Suisse - Singapour Similarités
Plus en détailMonitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments
Monitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments Alexandre Nassiopoulos et al. Journée d inauguration de Sense-City, 23/03/2015 Croissance de la demande énergétique et
Plus en détailDe La Terre Au Soleil
De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,
Plus en détailAPPEL A PROJETS FEDER QUARTIER DEMONSTRATEUR BAS CARBONE. Programme Opérationnel FEDER 2014 2020
APPEL A PROJETS FEDER QUARTIER DEMONSTRATEUR BAS CARBONE Programme Opérationnel FEDER 2014 2020 Axe 3 «conduire la transition énergétique en Région Nord Pas de Calais» Investissement Prioritaire 4e «en
Plus en détailL opération étudiée : le SDEF
L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3
Plus en détailQue nous enseigne la base de données PAE?
Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu
Plus en détailDIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER. Cursus complet théorique et pratique
DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER Cursus complet théorique et pratique Durée : 6 semaines, soit 30 jours de formation : 210 heures Nature de la formation : théorique et pratique Horaires : de 09h00-12h00 / 13h00-17h00
Plus en détailf o r m a t i o n m o d u l a i r e e n c o u r s d e m p l o i
CAS Certificat de formation continue Certificate of Advanced Studies Management de l énergie janvier septembre 2013 f o r m a t i o n m o d u l a i r e e n c o u r s d e m p l o i Avec le soutien de Office
Plus en détailL énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge
L énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge 1. Sécurité d approvisionnement Le taux de dépendance énergétique de la Belgique est plus important que la moyenne européenne. Ainsi en 2011, le taux
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détail1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ
1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à
Plus en détailD 4.5 : MONITORING AND EVALUATION REPORT FOR MOUNTEE PILOTS
mountee: Energy efficient and sustainable building in European municipalities in mountain regions IEE/11/007/SI2.615937 D 4.5 : MONITORING AND EVALUATION REPORT FOR MOUNTEE PILOTS Nom du projet-pilote
Plus en détailDiagnostic Gaz à effet de serre de l Institut National de Recherche en Sécurité (INRS)
Diagnostic Gaz à effet de serre de l Institut National de Recherche en Sécurité (INRS) 1. Description de la personne morale concernée Raison sociale : INRS, Association loi 1901 Code NAF : 7219Z Code SIREN
Plus en détailUtilité écologique du recyclage du PET en Suisse
Récapitulatif de l étude Utilité écologique du recyclage du PET en Suisse réalisé par Dr. Fredy Dinkel Carbotech AG, Bâle par ordre de PRS - PET-Recycling Schweiz Contact PRS - PET-Recycling Schweiz Naglerwiesenstrasse
Plus en détailLe bois, la première des énergies renouvelables
Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire
Plus en détail«La sécurité d investissement comme préalable à un approvisionnement fiable» Le 5 octobre 2011 Foire du Valais, Journée de l énergie
«La sécurité d investissement comme préalable à un approvisionnement fiable» Le 5 octobre 2011 Foire du Valais, Journée de l énergie Kurt Rohrbach, Président de l Association des entreprises électriques
Plus en détail«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux. Date d édition : 1 septembre 2014
«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux Ce document présente : Date d édition : 1 septembre 2014 Les qualifications et certifications «RGE»
Plus en détailINTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN
I - Données Générales INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN Rivalités entre réhabilitation, restauration et rénovation Au cours des dernières années, d'importantes études ont été entreprises dans les quartiers
Plus en détailConseils techniques. L'isolant doit disposer de numéros de certification ACERMI et CE en cours de validité. R 5,5m²K/w
Conseils techniques Pour bénéficier du «Micro crédit régional 0 % Energie verte en Poitou-Charentes», le programme impose l utilisation de matériaux répondant à des niveaux de performances minimales. Pour
Plus en détailGLOSSAIRE PSYCHOLOGICAL AND BEHAVIORAL BARRIER
GLOSSAIRE THEME CREST WP1 BARRIERE PSYCHOLOGIQUE ET COMPORTEMENTALE BATIMENT INTELLIGENT CAPTEURS CHANGEMENT CLIMATIQUE CHEMINEMENT EDUCATIF COMPORTEMENT CONSEIL ECHANGES PROFESSIONNELS ECO UTILISATION
Plus en détailOFFRE DE SERVICE. Référence : GA/NT/P.180613593
Etudes & Contrôles thermiques 38, avenue du Midi - 91760 ITTEVILLE Tél. : 01 69 90 86 10 - Fax : 01 69 90 91 59 Adresse postale: BP 70017-91610- BALLANCOURT E-mail : bet.ecic@wanadoo.fr - Site : www.bet-ecic.fr
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailEnjeux du stockage de l énergie
Enjeux du stockage de l énergie S. PINCEMIN Doc/Ing Etudes & Recherche - Pôle Energies Renouvelables CleanTuesday -Nice 7 juin 2011 Plan de la présentation 1- Le CSTB en bref 2- Le contexte énergétique
Plus en détailwww.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances?
www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances? 1 Contexte L effet de serre un phénomène naturel Contexte Le changement climatique en chiffres 2 Contexte Contexte Le climat en 2100
Plus en détailANALYSE DU CYCLE DE VIE COMPARATIVE DE BÂTIMENTS RÉSIDENTIELS. Par Martin Rochon
ANALYSE DU CYCLE DE VIE COMPARATIVE DE BÂTIMENTS RÉSIDENTIELS Par Martin Rochon Essai présenté au Centre universitaire de formation en environnement en vue de l obtention du grade de maître en environnement
Plus en détailPLOMBIERS CHAUFFAGISTES ECO ARTISAN
PLOMBIERS CHAUFFAGISTES Le monde change, votre métier aussi. Aujourd hui vos clients n ont qu un mot à la bouche : ECONOMIES D ENERGIE. Écoutez-les! Pour la performance environnementale et économique de
Plus en détailTROIS ASPECTS DE LA COMPARAISON ALLEMAGNE-FRANCE SUR L ELECTRICITE
TROIS ASPECTS DE LA COMPARAISON ALLEMAGNE-FRANCE SUR L ELECTRICITE B. Laponche 2 juin 2014 Voir en annexe la présentation de la politique énergétique allemande * 1. Sur la consommation d électricité des
Plus en détailfioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs
fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs Fiche conseil Édition décembre 212 Sommaire P 2 : Obligations P 3 : Démarches volontaires P 4 : Les points clés d une rénovation réussie
Plus en détailArrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR :
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement Arrêté du XXXX relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : La ministre
Plus en détailServices de Mundo-B pour les associations sans personnel permanent
Services de Mundo-B pour les associations sans personnel permanent Votre association a certainement, depuis le début du projet en 2006, participé ou été informée de création de la Maison du Développement
Plus en détailCapture et stockage du CO2 (CCS)
European Technology Platform for Zero Emission Fossil Fuel Power Plants (ZEP) Capture et stockage du CO2 (CCS) Une solution majeure pour combattre le changement climatique 50% de réduction des émissions
Plus en détailAvec Gaël Callonnec (Ademe)
Séminaire Développement durable et économie de l'environnement Les conséquences des politiques énergétiques sur l activité et l emploi Avec Gaël Callonnec (Ademe) Mardi 24 janvier 2012 Présentation du
Plus en détailCohésion et coaching d équipe
Cohésion et coaching d équipe Institut du Selfcoaching Tél. : 09 75 61 33 17 Mob. 06 10 18 63 93 info@selfcoaching.fr www.selfcoaching.fr 1 Notre Vision du Coaching LE COACHING est un accompagnement sur
Plus en détailAcoustique et thermique
Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule 2. Étude de systèmes constructifs 29 Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule Les bonnes solutions thermiques n améliorent pas forcément l acoustique!
Plus en détailNOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers
Luxembourg, le 8 novembre 2013 NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR Aspects financiers Volet 2 : Aides financières dans le domaine de la promotion des énergies renouvelables et de l efficacité énergétique
Plus en détailIMMEUBLES COLLECTIFS DE LOGEMENTS CONSTRUITS ENTRE 1949 ET 1974
DÉPARTEMENT ÉNERGIE SANTÉ ENVIRONNEMENT Division Energie Pôle Performance Energétique des bâtiments DÉPARTEMENT ECONOMIE ET SCIENCES HUMAINES Laboratoire Services Process Innovations ESE/DE/PEB-12.039RR
Plus en détailImpôts 2015. TVA à 5,5% ou 10% - Travaux dans les logements de plus de 2 ans. particuliers. professionnels du bâtiment
Impôts 2015 TVA à 5,5% ou 10% - Travaux dans les logements de plus de 2 ans particuliers professionnels du bâtiment travaux relevant des taux réduits attestation Les principaux taux de TVA depuis le 1er
Plus en détailAppel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste
Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailMUNICIPALITE DE GLAND
MUNICIPALITE DE GLAND Préavis municipal n 56 relatif à l octroi d un crédit pour financer la rénovation des installations de chauffage des vestiaires sis au centre sportif "En Bord". Madame la présidente,
Plus en détailÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE
ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE 2 1 LE CONTEXTE LES OBJECTIFS DES DIRECTIVES ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE Protéger l environnement (1), sécuriser l approvisionnement énergétique (2)
Plus en détailD 4.5 : MONITORING AND EVALUATION REPORT FOR MOUNTEE PILOTS
mountee: Energy efficient and sustainable building in European municipalities in mountain regions IEE/11/007/SI2.615937 D 4.5 : MONITORING AND EVALUATION REPORT FOR MOUNTEE PILOTS Nom du projet-pilote
Plus en détailBILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A. Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1
BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 2. PRESENTATION DE THALES SA... 3 2.1. Informations relatives à la personne morale... 3 2.2. Personne
Plus en détailERDF prend le virage technologique des Smart Grids
Smart Grids, nos clients au cœur du réseau de demain ERDF prend le virage technologique des Smart Grids Association Carbon AT, Nantes, le 16 avril 2013 Régis LE DREZEN Regis.le-drezen@erdf-grdf.fr Film
Plus en détailL empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés
L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires
Plus en détail