De la crise au Syndrome. Dr Dorothée Ville, Service Neuropédiatrie, HFME Lyon
|
|
- Christophe Lussier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 De la crise au Syndrome Dr Dorothée Ville, Service Neuropédiatrie, HFME Lyon
2 INTRODUCTION Pathologie fréquente: - environ 0,5% de la population, - 1 nouveau cas/ dans la 1ere année. - Bien équilibrée dans 70% des cas particularités de l enfant: - sa présentation et ses syndromes particuliers - leur potentiel retentissement neurologique plus sévère que chez les adultes - L évolution ave l âge (maturation cérébrale) - leur spécificité par rapport au traitement
3 Démarche syndromique crise Electroencéphalogramme Diagnostic positif Séméiologie électroclinique âge début des crises état neurologique intercritique antécédents personnels et familiaux réponse au traitement Examens complémentaires Classification internationale et description de syndromes Étiologie Pronostic Traitement
4 Classification Internationale des épilepsies Définie en 1981, revue en 1989, en cours de révision Repose à la fois sur: - Le caractère généralisé ou partiel - La notion d épilepsie symptomatique, idiopathique, cryptogénique (introduit un aspect étiologique, et physiopathologique)
5 Cette classification est importante, car a des implications sur le pronostic, et le traitement. classification internationale de l épilepsie (d après la Ligue Internationale Contre l Epilepsie 1989) - Epilepsies et syndromes épileptiques focaux - Epilepsies et syndromes épileptiques généralisés - Epilepsies dont le caractère focal ou généralisé n est pas déterminé - Syndrome spéciaux
6 Classifications Internationales 1 Des crises d épilepsie (1981) 2 Des syndromes épileptiques (1989) Crises Généralisées Absences typiques et atypiques Crises myocloniques Crises cloniques Crises toniques Crises atonique Crises tonico-clonique Crises Partielles Crises partielles simples (moteurs,sensitifs ou sensorielles, signes végétatifs, signes psychiques) Crises partielles complexes Crises partielles secondairement généralisées Crises Non classées Épilepsies et Syndromes Epileptiques Généralisées: - Idiopathiques CNBF, CNB, EMBN, EAE, EAA, EMJ, Epilepsie Crises Gd mal du réveil, autres EGI - cryptogéniques (Sd West, Épilepsie myoclonique sévère du nourrisson, Sd de Doose, Sd de Lennox- Gastaut, ) - symptomatiques (idem avec lésion ou anomalie préexistante) Épilepsies et Syndromes Epileptiques Focaux: -idiopathiques (Épilepsie à Paroxysme Rolandique) - cryptogéniques (Épilepsie temporale, frontale, bifocales,..) - symptomatiques (idem avec lésion ou anomalie préexistante) Épilepsies dont le caractère focal ou généralisée n est pas déterminé exemple: Syndromes des Pointes Ondes Continues du Sommeil Syndromes spéciaux 1. Commission on Classification and Terminology of the International League Against Epilepsy. Proposal for revised clinical and electroencephalographic classification of epileptic seizure. Epilepsia 1981, 22: Commission on Classification and Terminology of the International League Against Epilepsy. Proposal for revised classification of epilepsies and epileptic syndromes. Epilepsia 1989, 30:
7 Les épilepsies symptomatiques - congénitales: malformations cérébrales, anoxie et accident vasculaire anténatal, anomalies chromosomiques, maladies métaboliques. - acquises: séquelles de souffrance néonatale, d accident vasculaire cérébral, de traumatisme crânien, d infection du système nerveux central, d hémorragie cérébro-méningée.
8 Les épilepsies idiopathiques liées à l âge et à la maturation cérébrale, généralement bénignes, sans maladie neurologique sous-jacente; parfois familiales Définies par un syndrome électroclinique précis dans certains cas, des mutations sur un canal ionique ont été trouvées.
9 Les épilepsies cryptogéniques aucune cause n a pu être mise en évidence, mais dont l évolution, et le retentissement sur le développement font suspecter une étiologie sous-jacente Population en voie de régression en raison de l augmentation des étiologies retrouvées Concept remis en cause («épilepsie probablement symptomatique»)
10 Les différents syndromes en fonction de l âge âge idiopathique Non idiopathique Nouveau né nourrisson C néonatales bénignes C bénignes du nourrisson É myoclonique bénigne Ohtahara Encéphalopathie myoclonique précoce Syndrome de WEST Syndrome de Dravet Enfant E absence infantile, juvénile Epilepsie à pointe centrotemporales Epilepsie myoclonique É Grand mal du réveil E myoclono-astatique Syndrome lennox Gastaut Pointe ondes Continues du Sommeil
11 Les épilepsies par tranche d âge Le nouveau né Le nourrisson L enfant Les étiologies Les différents syndromes
12 Séméiologie des crises
13 Modes de présentation particuliers chez l enfant Mon enfant a fait un malaise Mon enfant tombe (chute tonique, chute atonique, spasme, myoclonie) Mon enfant a des secousses Mon enfant a les yeux qui tournent (déviation de l œil, secousses oculaires, secousses des paupières) Mon enfant fait une «absence» traduction en termes médicaux
14 I- CRISES GENERALISEES 1. Crises toniques 2. Myoclonies 3. Crises Tonico-cloniques généralisées 4. Absences typiques et atypiques 5. Crises atoniques
15 II-CRISES PARTIELLES (1) - manifestations motrices: cloniques (cr bravaisjacksonnienne), toniques, versives, posturales, +/- phonatoires, - crises avec manifestations neurovégétatives: (vomissements, pâleur, rubéfaction, sueur, mydriase, sensation épigastrique), crises avec signes somesthésiques, sensoriels (paresthesies, troubles proprioceptifs, signes visuels, auditifs, gustatives, vertiges) Crises somato-psychiques (dream state, illusions, hallucinations ) Ces crises peuvent être avec ou sans rupture de contact
16 II-CRISES PARTIELLES (2) Attention aux crises faussement généralisées (notamment nouveau-né, nourrisson) Attention au début et à la fin des crises: éléments importants pour la localisation Propagation, généralisation des crises
17 II-CRISES PARTIELLES (3) Localisation temporale: rupture de contact, manifestations neurovégétatives, automatismes, Cr versives, confusion post-critique Localisation frontale: hypertonie, agitation, crises posturales, souvent nocturnes Localisation occipitale: signes visuels, déviation des yeux,secousses oculaires Localisation pariétale: paresthésies, sensation vertigineuse, rotation lente. Localisation centrale: secousses cloniques, crises Bravais-jacksonniennes
18 Exemples de syndrome
19 Syndromes particuliers du nouveau né Les convulsions néonatales bénignes Ex convulsions du 5eme jour Familiales ou non Orage de crises partielles; bilan négatif Examen neurologique et EEG intercritique normal Evolution favorable sur le plan épilepto et neuro (TRT par VPA) Gènes codant pour des canaux potassiques
20 Syndromes particuliers du nouveau né Epilepsies avec tracé suppression-burst S d Ohtahara -Cr partielles souvent toniques, Spasmes précoces; pas de myoclonie -Tracé suppression Burst - Epilepsie rebelle - Evolution défavorable: encéphalopathie sévère, S pyramidal et extrapyramidal -Parfois malformations corticales étendues Encéphalopathie Myoclonique précoce -Crises diverses (partielles, myoclonies, Spasmes ) -Tracé suppression-burst - Evolution défavorable sur le plan de l épilepsie et sur le plan neurologique - maladies métaboliques++ (hyperglycinémie sans cétose)
21 LE NOURRISSON Le syndrome de West Le syndrome de Dravet Les convulsions infantiles bénignes
22 LES ETIOLOGIES - Crises occasionnelles en particulier les crises en contexte fébrile; âge du syndrome H.H, de l encéphalite herpétique, post traumatiques (HSD) - malformations cérébrales, maladies métaboliques, anomalies chromosomiques - syndromes neurocutanés: Bourneville, Sturge-Weber...
23 LES SPASMES INFANTILES (0,3 à 0,5/1000) Triade classique Spasmes infantiles Hypsarythmie Régression psycho-motrice Concept d encéphalopathie épileptique 75 à 90% de RM 50 à 60% font encore des crises à long terme Association Spasmes- retard mental Rôle des spasmes et de l hypsarythmie Rôle de l étiologie sous-jacente Urgence diagnostique et thérapeutique+++
24 Spasme infantile Sal Thibault NEM
25 EEG-Vidéo avec enregistrement de muscle; garder 10 à 15 mn après réveil Hypsarythmie et spasme enregistré
26 LES DIFFERENTES ETIOLOGIES Spasmes symptomatiques: (60% Dg sur IRM) malformations cérébrales Séquelles d anoxo-ischémie, d AVC anté ou périnatal, foetopathie CMV, méningite, post traumatique Maladies chromosomiques (T21, mais aussi 1P3-6, garx) Maladies métaboliques (toutes les causes d épilepsie précoce, Attention à la mitochondrie) Les Spasmes idiopatiques: (10% cas): Tracé hypsarythmique, et spasmes typiques, développement normal avant sp, peu de régression, bonne évolution Spasmes cryptogéniques
27 Panorama des étiologies de spasmes % d étiologie identifiées % causes péri+post natales= pathologies acquises % causes prénatales= pathologies congénitales Étude de Osborne N=207 prospective 127/207 (61%) Cause prénatale: 63 Cause périnatale: 38 Cause post-natale: 8 Début non datable: 18 46/207=22% - AVC: 16/207 (8%) - EAI: 21/207 (10%) 63/207=30% - STB:15/207 (7%) - A chr: 16/207 (8%) [11 T21, 1 1p36] - Malf: 16/207 (8%) Étude de A.L Poulat N=80 rétrospective 38/80 (47.5%) Causes acquises: 17/80(21.5%) A congénitales: 21/80 (26.5%) 17/80= 21.5% AVC: 7/80 (8.75%) EAI: 6/80 (7.5%) 21/80= 26.5% - STB: 7/80 (8.75%) - A chr: 8/80 (10%) [1 1p36, 1 CDKL5, 1 ARX, 1 inv-dup15, 2 T21] Malf: 6/80 (7.5%)
28
29 J0 : VGB à 100 mg/kg/j J8 : efficace non efficace 0 spasme spasmes 0 pointe et/ou pointes Traitement du Syndrome de West<1 an même TRT VGB à 150 mg/kg/j J15 non efficace efficace HC à 15 mg/kg/j même TRT J30 non efficace efficace ACTH à mg/kg/j J45 efficace non efficace HC à 10 mg/kg arrêt sur 1 mois HC pour arrêt progressif TRT de longue durée Autres TRT? Sur environ 6 mois Remarques : >1 an: VGB: 100 mg/kg/j max HC: 10 mg/kg/j ACTH: 0,025 mg/kg/j TRT aggravants : CBZ, PB, OCBZ?
30
31 Tess1 Béatrice Tess 2 Théo Gabriel
32 Syndrome de Dravet Diagnostic sur l histoire clinique: - Crises fébriles particulières: précoces, longues, parfois avec un caractère partiel - développement initial normal (jusqu à 18, 24 mois) - EEG et imageries normaux; photosensibilité précoce Evolution: - Épilepsie sévère: avec apparition de crises fréquentes, plus courtes toujours favorisée par la fièvre (abs, myoclonies, TCG, cr toniques, cr part) - Stagnation des acquisitions, peu de langage, pas acquisition scolaire, ataxie
33 Le syndrome de Dravet Étiologie: mutation du gène SCNA1 dans 60 à 80% des cas Le plus souvent sporadique Causes du retard mental dans le syndrome de dravet Rôle des états de mal sur le développement psychomoteur Autres explications??
34 Enjeu d 1 diagnostic précoce et du traitement dans le syndrome de Dravet Stratégie thérapeutique: association VPA,CLB,STP Étude de Chiron and al: essai contrôle versus placebo en association avec Urbanyl et Valproate : à 2 mois: - 71% une diminution de plus de 50% du nombre de crises sous Stiripentol contre 5% sous placebo - 9/21 étaient sans crises sous Stiripentol contre 0/20 sous placebo. Effet du Topiramate; rôle du Keppra? TRT à éviter: CBZ, LTG, VGB, PB
35 Convulsions infantile bénignes S de Watanabe Formes familiales(ad) ou non Tableau d orage de crises partielles (temporales) souvent stéréotypées, chez un enfant normal auparavant, sans cause évidente. Ex neuro et EEG intercritique normaux. Evolution favorable Liaison avec le chromosome 9, 16. En cas de cas sporadique, diagnostic de présomption et d élimination, confirmé par l évolution
36 LES EPILEPSIES CHEZ L ENFANT ET L ADOLESCENT toutes les causes déjà citées chez le nouveau-né et le nourrisson (malformations, métaboliques, chromosomiques) Les causes occasionnelles existent mais sont plus rares Il existe également des syndromes propres à l enfant et l adolescent
37 LES EPILEPSIES IDIOPATHIQUES Les épilepsies absences: brefs épisodes de rupture de contact pluriquotidiens, Abs typique avec P.O à 3 Hz Les épilepsies à paroxysme rolandique: crises nocturnes avec clonies hémiface, ou généralisées; EEG: pointes amples centro-temporales, activé ds le sommeil Les épilepsies Grand Mal du réveil de l adolescent: début à l adolescence, crises TCG après dette de sommeil, stress, alcool. Les épilepsies myocloniques juvéniles: à l adolescence; myoclonies matinales (lâchage d objets), +/- TCG; EEG: bien organisé, bouffées généralisées
38 L épilepsie Absence de l enfance
39 L épilepsie absence de l enfance Fréquence: environ 12% des épilepsies de l enfant (chiffres variables) avec 60 à 70% de filles Âge de début 4 à 10 ans (pic 5-7 ans) Étiologie: facteurs génétiques?, facteurs acquis? Microdysgénésies? Sémiologie: Durée 4 à 20 sec Début et fin brusque Symptomatologie: altération marquée de la conscience, arrêt de l activité en cours, automatismes (persévérations), quelques manifestations toniques, cloniques Répétition: de 10 à > 100/j Facteurs favorisants: HPN, +/- SLI, stress, émotion, relâchement Formes cliniques: EA infantile/juvénile, EA myoclonique, EA avec myoclonies palpébrales, épilepsie myoclonique juvénile, épilepsie absencess précoces
40 L épilepsie absence de l enfance EEG: tracé correctement organisé, bouffées de PO intercritiques, absences typiques enregistrées, sensibilité à l HPN Traitement: Dépakine, Zarontin, Lamotrigine en 1 ère intention Évolution: - Disparition des absences dans 90% des cas (délai moyen de 6.6 ans) - Crises TCG dans 36 à 60% des cas (facteurs prédictifs de TCG: début tardif, états de mal absence, traitement tardif - Rémission complète: chiffres variables (70% en cas de traitement adapté, 18% en cas de traitement incorrect - Neuropsychologique: favorable; place de troubles attentionnels et exécutifs? 1/3 auraient des difficultés d insertion socioprofessionnelle à l âge adulte (surtout formes atypiques)
41 Marie Brune I née le 02/07/2000 Ou la moitié d absence Développement psychomoteur normal Épilepsie partielle débutant en 2005, suivie d une épilepsie partielle continue IRM: hypersignal centropariétal gauche puis apparition d une atrophie hémisphérique diagnostic d encéphalite de Rasmussen Échec du traitement par corticoide
42 Décision chirurgicale WISC IV Quotient Intellectuel Global Non calculé Indice de Compréhension Verbale 120 Indice de Raisonnement Perceptif 109 Indice de Mémoire de Travail 85 Indice de Vitesse de Traitement 81 IRM fonctionnelle du langage Dominance hémishérique droite
43 Hémisphérotomie le 18 juin 2007 Pas de complication post-opératoire immédiate Anatomopathologie compatible Récupération rapide de la marche; persistance d une hémiparésie, prédominante au membre sup; pas de difficulté de langage Évaluation neuropsy à 6 mois post-op: ICV à 138(120), IRP à 102 (109) avec qq difficultés en mémoire de travail Pas de crise post-opératoire permettant un arrêt progressif du TRT AE Hyperphagie et prise de poids conduisant à poser le diagnostic de syndrome hypothalamique
44 Évolution en juillet 2010 Neuropsycho: scolarité normale sans aménagement; persistance d une petite plainte en mémoire de travail Stabilisation du poids (mesures diététiques, TRT par hormone de croissance) Apparition depuis Mai 2010 d épisodes brefs de rupture de contact, avec secousses des paupières Enregistrement EEG de 24 heures
45
46 Hémiparésie persistante Évolution entre 2010 et 2012 Discussion syndromique? Épilepsie Absence idiopathique? Échec VPA mais arrêt des absences sous Zarontin Dernière consultation le 28 mars 2012: aucune récidive de crise malgré un traitement par Zarontin à petites doses (6 ml/jour) la 6ème se passe bien, même si elle nécessite plus d efforts de travail. pas d AVS, ni d autre rééducation que les 3 séances de kinésithérapie motrice/semaine.
47 EEG 28 Mars 2012
48
49 EEG 28 Mars 2012
50 épilepsies généralisées non idiopathiques Lennox-Gastaut -Crises: abs atypiques, crises toniques, TCG; début 3-5 ans -EEG: P.O.L bifrontales 2,5 Hz polypointes, rythmes rapides Dans le sommeil. -Causes diverses, parfois symptomatique, peut succéder aux spasmes. -Epi rebelle, retard psycho -Moteur, S frontal -TRT: VPA+LTG, PTH, Taloxa E myoclono-astatique ou S de Doose -Crises: myoclono-astatiques, toniques, TCG, status Myoclonique; début 2-4 ans. -EEG: lent, bouffées diffuses - Pas d étiologie mais ATCD de CF, EGI ds la famille -Pronostic variable ( Doose Bénin, Doose sévère) -TRT: VPA+ LTG, ESM, TPM, Keppra
51 Mohamed né le Qui devient muet après une agression
52 Veille agitée
53 Veille calme
54 somnolence
55 sommeil
56 sommeil syndrome de Landau-Kleffner
57 Pointes Ondes Continues du Sommeil Crises: pas toujours au premiers plan: chutes, absences atypiques, crises partielles. Début vers 3-4 ans Régression psycho-motrice (tableau dissocié) EEG: Pointes-ondes continues dans le sommeil Faire un EEG + sieste devant une régression des acquisitions Etiologie: cryptogénique ou symptomatique (anoxoischémie anté ou périnatale) TRT:Benzo, ESM, Hydrocortisone (corticodépendance), et prise en charge éducative, suivi neuropsy, penser à l hémisphérotomie
58 lyrica dihydan vimpat??? dépakine KEPPRA SABRIL gardénal CALLOSOTOMIE REGIME CETOGENE EPITOMAX CHIRURGIE DE L EPILEPSIE inovelon
59 généralisé partiel inclassable Syndromes particuliers Idiopathique EMBN EAE EMJ Gd M du R Non Idiopathique EMA Lennox Gastaut autres Idiopathique EPCT autres Non Idiopathique Symptomatique cryptogénique Spasmes infantiles POCS Dravet VPA ESM (EAE) LTG LEV CLB TPM VPA VPA+LTG CLB ESM (EMA) LEV TPM RUF (Lennox) FBM (lennox) PTH (lennox) Pas de TRT ou VPA CLB ESM LEV Sulthiam(ATU) VPA CBZ OCBZ LEV TPM LTG VGB CLB PTH GBT VPA CLB LEV TPM VGB HC* ACTH CLB ESM HC* Sulthiam(ATU) VPA+ STP+CLB TPM EAE : Epilepsie Absencede l enfant EMBN : Epilepsie Myoclonique Bénigne du Nourrisson EMJ Epilepsie Myoclonique Juvénile Gd M R : Epilepsie Grand Mal du Réveil EMA : Epilepsie Myoclono-astatique EPCT : Epilepsie à pointes centro-temporales POCS : Pointes Ondes Continues du Sommeil EMSN : Epilepsie Myoclonique Sévère du Nourrisson (S de Dravet) l utilisation de l HC dans l épilepsie rentre dans le cadre de «bonnes pratiques médicales» mais n a pas d AMM sur le Vidal.
60 Récapitulatif des AMM des nouvelles molécules chez l enfant A: 3g/j E: 40 mg/kg/j 2010: AMM en association dans les épilepsies focales > 1 mois
7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailCONVULSIONS DE L ENFANT Item 190 JP. CARRIERE
CONVULSIONS DE L ENFANT Item 190 JP. CARRIERE Les crises convulsives sont les symptômes les plus fréquents en pratique neurologique pédiatrique. Ce terme a la même signification que «crise épileptique»
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailInfo. Ligue contre l Epilepsie. Epilepsie. Qu est-ce que c est une crise épileptique ou une épilepsie?
Ligue contre l Epilepsie Ligue Suisse contre l Epilepsie Schweizerische Liga gegen Epilepsie Lega Svizzera contro l Epilessia Swiss League Against Epilepsy Info Epilepsie Qu est-ce que c est une crise
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailExemple de prise en charge psychomotrice d un trouble de la posture et de l équilibre chez une enfant atteinte de déficience mentale et d épilepsie
UNIVERSITE PAUL SABATIER FACULTE DE MEDECINE TOULOUSE RANGUEIL Institut de formation de psychomotricité Exemple de prise en charge psychomotrice d un trouble de la posture et de l équilibre chez une enfant
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailLes céphalées aux urgences. G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie
Les céphalées aux urgences G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie Céphalées et urgences Pathologie très fréquente dans la population générale ; 5 ième motif de consultation aux urgences (Minen
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailL agénésie isolée du corps calleux
L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus
Plus en détailTHÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE
UNIVERSITÉ PARIS DIDEROT - PARIS 7 FACULTE DE MEDECINE Année 2013 n THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE PAR GAUTIER MAXIME Né le 31 Octobre 1984 à Enghien Les Bains Présentée et soutenue
Plus en détailLes mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007
Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailUn nouveau point en neurologie, épilepsies et sclérose en plaques. SCOR inform - Avril 2014
Un nouveau point en neurologie, épilepsies et sclérose en plaques SCOR inform - Avril 2014 Un nouveau point en neurologie, épilepsies et sclérose en plaques Auteur Dominique Lannes Médecin-Conseil SCOR
Plus en détailmal de tête d installation subite 12/10 Éliminer une céphalée secondaire
LES CÉPHALÉES 4 e Forum Département de médecine familiale et de médecine d urgence St-Georges de Beauce le 29 mai 2009 Les céphalées: objectifs Appliquer un algorithme diagnostique des céphalées Reconnaître
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailLorraine Waechter - http://fichesecn.wordpress.com/ ITEM 262 : MIGRAINE CLINIQUE
ITEM 262 : MIGRAINE CLINIQUE Terrain Anamnèse Critères diagnostiques IHS Migraine sans aura = Migraine commune Critères diagnostiques IHS Migraine avec aura = Migraine accompagnée Aura - Argument de fréquence
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailPlace de la PSP et des AMS. «Parkinson plus!» Ce qui doit alerter. Paralysie supra-nucléaire progressive (PSP) Ce qui doit alerter
«Parkinson plus!» Pr Marc Verny Centre de Gériatrie, pav. M. Bottard Hôpital de la Salpêtrière Place de la PSP et des AMS Maladie de Parkinson : diagnostic clinique et certitude neuropathologique. Etude
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailLe cavernome cérébral
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le cavernome cérébral.
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailLES CEPHALEES I- INTRODUCTION
Cours Magistraux Pr. S. AIDI LES CEPHALEES I- INTRODUCTION La céphalée désigne classiquement une douleur ressentie au niveau du crâne. Les céphalées sont extrêmement fréquentes et relèvent de causes multiples.
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailVertiges et étourdissements :
: comment être à la hauteur? Anthony Zeitouni, MD, FRCSC Présenté à la 71 e édition du Programme scientifique de l Association des médecins de langue française du Canada. Est-ce bien des vertiges? Il n
Plus en détailJEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER
JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER ALS (séance du 11 mai 2003) 48 Jeu video : un nouveau compagnon (Colette KELLER-DIDIER)
Plus en détailLe problème de la première ou nouvelle. céphalée. Il faudra avant tout :
Les céphalées Le problème de la première ou nouvelle Il faudra avant tout : céphalée Rechercher des signes d alarme Rechercher avant tout le caractère secondaire de la céphalée Signes d alarme Début après
Plus en détailLe s t r o u b l e s d u
Le s t r o u b l e s d u spectre de l,autisme l,évaluation clinique Lignes directrices du Collège des médecins du Québec et de l Ordre des psychologues du Québec janvier 2012 L illustration de la couverture
Plus en détailLes migraines de l enfant et de l adolescent : particularités cliniques et thérapeutiques
1 sur 8 27/08/2009 09:23 MISES AU POINT Les migraines de l enfant et de l adolescent : particularités cliniques et thérapeutiques Publié le 17/08/2009 J.-M. RETBI, Hôpital Delafontaine, Saint-Denis Malgré
Plus en détailL infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients.
L infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients. Dr M. Lahutte, radiologie pédiatrique, hôpital Saint-Vincent-de-Paul, Paris Dr C. Bordarier, néonatalogie,
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailTROUBLES COGNITIFS DE L ANCIEN PRÉMATURÉ
8 ÈME JOURNÉE RÉGIONALE DES RÉSEAUX DE PÉRINATALITÉ DE L ILE DE FRANCE 17 OCTOBRE 2013 TROUBLES COGNITIFS DE L ANCIEN PRÉMATURÉ DR PATRICIA DWORZAK PÉDIATRE, MEMBRE DU RÉSEAU PSOF RESPONSABLE DE L UNITÉ
Plus en détailCe qu il faut savoir sur l épilepsie.
Ce qu il faut savoir sur l épilepsie. Sommaire Que faut-il savoir sur l épilepsie? 4 Qu est-ce que l épilepsie? 7 Qu est-ce qui cause l épilepsie? 8 Facteurs génétiques 9 Autres maladies 10 Blessures à
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailProtocole pour l évaluation des patients inclus dans l'étude
LA SCOLIOSE DANS LE SYNDROME D ANGELMAN DIAGNOSTIC, TRAITEMENT ET SUIVI GUIDE PRATIQUE Ecrit par: Dr Anita Nogarol (Médecine de rééducation fonctionnelle); Michela Santin (Kinésithérapeute); Dr Giovanna
Plus en détailMÉDICAMENTS CONTENANT DU VALPROATE ET DÉRIVÉS
MÉDICAMENTS CONTENANT DU VALPROATE ET DÉRIVÉS GUIDE À DESTINATION DES MÉDECINS PRESCRIPTEURS Ce guide est remis dans le cadre des mesures de minimisation du risque mises en place pour le valproate, dans
Plus en détailDEPISTAGE DE L AUTISME
DEPISTAGE DE L AUTISME CHAT (Check list For Autism in Toddlers) utilisable dès l'âge de 18 mois : - Evitement du regard - Absence de jeu symbolique (jouer à faire semblant) - Absence de pointer proto-déclaratif
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailINTERET DE LA SEQUENCE 3D ASL (ARTERIAL SPIN LABELING) CHEZ L ENFANT PRESENTANT UN DEFICIT NEUROLOGIQUE AIGU
Société de Médecine de Franche-Comté INTERET DE LA SEQUENCE 3D ASL (ARTERIAL SPIN LABELING) CHEZ L ENFANT PRESENTANT UN DEFICIT NEUROLOGIQUE AIGU SOCIETE DE MEDECINE DE FRANCHE-COMTE SEANCE D IMAGERIE
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailLA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?
LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière
Plus en détailLe déficit en MCAD. La maladie. Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD. Qu est-ce que le déficit en MCAD?
Le déficit en MCAD Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailClassification internationale des céphalées, 2 édition (d après l Internationial Headache Society,
Dr A.Donnet (1), (2) La céphalée est motif de consultation important. Sa prévalence est estimée à 90% dans les pays occidentaux (1) La plupart sont des céphalées primaires mais 1 à 4% sont des céphalées
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLa sclérose tubéreuse de Bourneville
La sclérose tubéreuse de Bourneville La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec : les situations de handicap au quotidien En savoir plus
Plus en détailPlace et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil
TEXTE COURT DU RAPPORT D ÉVALUATION TECHNOLOGIQUE Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil Mai 2012 Service évaluation des
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailDiagnostiquer et traiter une céphalée récurrente de l'enfant
Diagnostiquer et traiter une céphalée récurrente de l'enfant Elisabeth Fournier-Charrière CETD, CHU Bicêtre avec la participation de l'équipe du centre de la migraine de l enfant de Trousseau 2015 Tom,
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailLes anomalies des pieds des bébés
Les anomalies des pieds des bébés Pierre Mary Consultation d orthopédie pédiatrique Service d orthopédie et de chirurgie réparatrice de l enfant Hôpital Jean Verdier Hôpital Trousseau Comment étudier un
Plus en détailDéveloppement de l intelligence, aspects normaux et pathologiques
1 ère partie : Modules transdisciplinaires - Module 3 : Maturation et vulnérabilité - Objectif 32(g) : Développement de l intelligence, aspects normaux et pathologiques Rédaction : C Aussilloux - Relecture
Plus en détailChamp 9 états de mal épileptiques non convulsifs Nonconvulsive status epilepticus
Réanimation (2009) 18, 83 91 RAPPORTS D EXPERTS Champ 9 états de mal épileptiques non convulsifs Nonconvulsive status epilepticus P. Thomas a,, P. Gelisse b a Unité fonctionnelle EEG-épileptologie, service
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DE L ENFANT DEPISTAGE DE L AUTISME (TROUBLES ENVAHISSANTS DU DÉVELOPPEMENT OU TED)
LE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DE L ENFANT DEPISTAGE DE L AUTISME (TROUBLES ENVAHISSANTS DU DÉVELOPPEMENT OU TED) DÉPISTAGE ENTRE 18 MOIS ET 2 ANS COMMENT REPERER L'AUTISME INFANTILE AVANT 3 ANS troubles
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailUn guide à l attention des familles et proches COMA ET ÉTATS DE CONSCIENCE ALTÉRÉE SUITE À UNE ATTEINTE CÉRÉBRALE
Un guide à l attention des familles et proches COMA ET ÉTATS DE CONSCIENCE ALTÉRÉE SUITE À UNE ATTEINTE CÉRÉBRALE Table des matières Introduction...2 Qu est-ce que la conscience?...3 Comment la conscience
Plus en détailSommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs
06 NOVEMBRE 2014 Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs Roger Godbout, Ph.D. Laboratoire et Clinique du sommeil, Hôpital Rivière-des-Prairies Département de psychiatrie, Université de Montréal
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailSommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010
Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailMigraine : une maladie qui se soigne
Migraine : une maladie qui se soigne SOMMAIRE La prise en charge de la migraine : manque d information ou de formation?. p. 2 À chaque migraineux son traitement. p. 3 Vivre avec la migraine.. p. 5 À propos
Plus en détailPrise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale
Prise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale Ould Ouali.A, Amari.A, Lyazidi.O, Benbetka.L, Lakrouf.F, Rachedi.M MPR-HMUS-Staoueli 3eme congrès de la
Plus en détailTRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ
TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS
LE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS DE QUELS MOYENS DISPOSE-T-ON? EXAMEN CLINIQUE + QUESTIONS des grandes étapes du développement de l'enfant dans les domaines de : Acquisition
Plus en détailProtection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004
Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailRééducation des accidents vasculaires cérébraux
Module «Système nerveux central et MPR» Septembre 2008 Rééducation des accidents vasculaires cérébraux G. Rode, S. Jacquin-Courtois, A. Yelnik Ce document est le support des cours «AVC» faits lors de la
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détail