L étude thermique globale Rhône :

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L étude thermique globale Rhône :"

Transcription

1 L étude thermique globale Rhône : Les phases 1 à A.POIREL (EDF-DTG)

2 Le bassin du Rhône et les grands aménagements

3 Le bassin du Rhône et les grands aménagements St Alban Bugey Cruas Tricastin

4 Partie 1 : Les résultats scientifiques Phase 1 : Quelle est l histoire thermique du Rhône, comment la température de l eau a-t-elle évolué depuis les années 197 Phase 2 : Quels processus expliquent ces températures observées, Quelle est la part des rejets chauds des CNPE dans les températures observées Phase 3 : Quel est l histoire biologique du Rhône, Quelles sont les grandes évolutions constatées, Est-ce que les températures ou d autres paramètres expliquent cette histoire. Phase 4 (en cours) : zoom sur des «verrous» scientifiques, nouvelles approches historiques (contextualisation de l histoire) ou locales (passage de la connaissance «en moyenne» à la connaissance de détail proche du rejet).

5 1.1 : Résultats de la Phase 1 Etude 2-23 percutée par la canicule réactualisée 24 Evolution de la moyenne par période de 5 années T en C POUGNY CREYS BUGEY JONS LOIRE SAINT ALBAN SOYONS CRUAS TRICASTIN ARAMON ARAMON TRICASTIN CRUAS SOYONS SAINT ALBAN LOIRE JONS BUGEY CREYS POUGNY

6 1.1 : Résultats de la Phase 1 Etude 2-23 percutée par la canicule réactualisée 24 Evolution de la moyenne par période de 5 années T en C POUGNY CREYS BUGEY JONS LOIRE SAINT ALBAN SOYONS CRUAS TRICASTIN ARAMON ARAMON TRICASTIN CRUAS SOYONS SAINT ALBAN LOIRE JONS BUGEY CREYS POUGNY Il y a une évolution amont-aval et temporelle des températures de l eau y compris celles des affluents, y compris en amont des CNPE

7 Phase 1 : l él état thermique du fleuve Saône Pt Chazey (1976) Couzon (1976) Loire/R (1977) Ain Rhône Pougny (1974) Creys (1976) Bugey (1977) Description statistique fine des longues séries ( ) de températures de l eau mesurées sur le Rhône du Léman à la Méditerranée Rhône St Alban (1976) Peyraud (1984) R de Glun (1993) Soyons (1977) Cruas (1977) Tricastin (1976) Aramon (1976) Rhône Isère Jons (1976) Beaumont (1977) Durance Suite à la Canicule de 23, il a été décidé de réactualiser la phase 1 en préalable à la phase 2 en ajoutant les années 2-23

8 Phase 1 : l él état thermique du fleuve Température de l eau moyenne annuelle Arve => Légende Pougny Fier => 9-1 C Creys 1-11 C C Bugey C Ain => C Jons C Saône => C Loire C C Saint Alban Seuil de Peyraud Roche de Glun Soyons Cruas Isère => Dome => Tricastin Ardèche & Durance=> Aramon Temps Aval Amont Pont de Chazey Couzons Beaumont Monteux Affluents

9 Phase 1 : l él état thermique du fleuve Evolution comparée sur 2 périodes de la température moyenne du mois le plus chaud de période de retour 5 ans Comparaison des évolutions amont-aval sur les 2 périodes (TMNA5) Pougny Creys Bugey Chazey Jons Couzon Loire T en C StAlban Beaumont Soyons Cruas Tricastin Aramon Second plan : [ ] Premier plan : [ ] Ain Saône Isère

10 Phase 1 : l él état thermique du fleuve Les conclusions de la phase 1 : Augmentation des températures d amont en aval mais aussi avec le temps Evolutions temporelles centrées sur la période printanière et estivale Le Rhône n est pas à l équilibre avec l atmosphère : la T Eau à Arles dépend de la T Eau à Genève il s en est approché en 23. L Isère joue un rôle d affluent froid comme l Arve (effets contradictoires en 23 avec des températures supérieures à la normale compensées par des débits forts dus aux apports glaciaires). La dérive temporelle débute vers avec des températures de 1 C à 2 C plus chaudes aujourd hui Avec la réactualisation qui inclus les données 2-23, les statistiques calculées sur sont peu modifiées (mais toujours à la hausse) avec 4 années supplémentaires : confirme la stabilité des indicateurs thermiques établis sur plus de 2 années.

11 1.2 : Résultats de la Phase 2 dt en C % [25% Médiane 75%] % Echauffements des CNPE en différents points du Rhône Valeurs modélisées + théoriques (au droit des CNPEs) Précision de la mesure Ech à BUG théorique Ech à JON Ech amt SAL Ech avl SAL théorique* Ech à RGL Ech amt TRI Ech Avl TRI théorique* Ech amt ARA *: échauffement résiduel amont des CNPE + échauffement théorique du CNPE Période

12 1.2 : Résultats de la Phase 2 dt en C % [25% Médiane 75%] % Echauffements des CNPE en différents points du Rhône Valeurs modélisées + théoriques (au droit des CNPEs) Précision de la mesure Ech à BUG théorique Ech à JON Ech amt SAL Ech avl SAL théorique* Ech à RGL Ech amt TRI Ech Avl TRI théorique* Ech amt ARA *: échauffement résiduel amont des CNPE + échauffement théorique du CNPE Il n y a pas cumul Période des échauffements d amont en aval mais il subsiste un résiduel variable le long du Fleuve, conjugaison de multiples facteurs. Pour un échauffement théorique médian de 3.5 C, il subsiste un échauffement résiduel médian de 1 C à Aramon

13 1.2.1 : Les échauffements théoriquesdes CNPE Structure des échauffements calculés à partir de la Puissance évacuée et du Débit du Rhône sur le CNPE de St Alban 5 -Régime annuel sur les moyennes mensuelles ECH en C 6 Maxi Moy Mini Représente respectivement le maximum, la moyenne et le minimum par mois des moyennes mensuelles sur la période de référence Jan Fév Mar Avr Mai Jui Jul Aout Sept Oct Nov Déc

14 1.2.2 : Fonctionnement thermique du Rhône Suivi longitudinal de la "goutte froide" du 24 juin 23 : mise en évidence des phénomènes de transfert amont-aval 28, T Air 26, 24, 22, 2, 18, 16, Pougny Bugey amont St Alban amont Tricastin amont 14, 12, 21/6 23/6 25/6 27/6 29/6 1/7 3/7 5/7 7/7 9/7 11/7

15 1.2.2 : Fonctionnement thermique du Rhône Suivi longitudinal de la "goutte froide" du 24 juin 23 : mise en évidence des phénomènes de transfert amont-aval 28, T Air 26, 24, 22, 2, 18, 16, 14, Bugey Pougny Bugey amont St Alban amont Tricastin amont 12, 21/6 23/6 25/6 27/6 29/6 1/7 3/7 5/7 7/7 9/7 11/7

16 1.2.2 : Fonctionnement thermique du Rhône Suivi longitudinal de la "goutte froide" du 24 juin 23 : mise en évidence des phénomènes de transfert amont-aval 28, T Air 26, 24, 22, 2, 18, 16, 14, 12, Bugey Ain+Saône Pougny Bugey amont St Alban amont Tricastin amont 21/6 23/6 25/6 27/6 29/6 1/7 3/7 5/7 7/7 9/7 11/7

17 1.2.2 : Fonctionnement thermique du Rhône Suivi longitudinal de la "goutte froide" du 24 juin 23 : mise en évidence des phénomènes de transfert amont-aval 28, T Air 26, 24, 22, 2, 18, 16, 14, 12, Bugey St Alban Ain+Saône Isère Pougny Bugey amont St Alban amont Tricastin amont 21/6 23/6 25/6 27/6 29/6 1/7 3/7 5/7 7/7 9/7 11/7

18 1.2.2 : Fonctionnement thermique du Rhône Suivi longitudinal de la "goutte froide" du 24 juin 23 : mise en évidence des phénomènes de transfert amont-aval 28, T Air 26, 24, 22, 2, 18, 16, 14, 12, Bugey Ain+Saône St Alban Isère Pougny Bugey amont St Alban amont Tricastin amont 21/6 23/6 25/6 27/6 29/6 1/7 3/7 5/7 7/7 9/7 11/7 Le transfert amont-aval des températures de l eau est influencé par la température de l air, la dilution des affluents et les rejets thermiques

19 1.2.3 : échauffements moyens et extrêmes dt en C 4.5 5% [25% Médiane 75%] % Echauffements des CNPE en différents points du Rhône Valeurs modélisées + théoriques (au droit des CNPEs) dt en C % [25% Médiane 75%] % Echauffements des CNPE en différents points du Rhône Valeurs modélisées + théoriques (au droit des CNPEs) Ech à BUG théorique Ech à JON Ech amt SAL Ech avl SAL théorique* *: échauffement résiduel amont CNPE + échauffement théorique du CNPE Ech à RGL Ech amt TRI Ech Avl TRI théorique* Précision de la mesure Ech amt ARA dt en C 6. Tam Bugey > 2 C Echauffements des CNPE en différents points du Rhône Valeurs modélisées + théoriques (au droit des CNPEs) 5% [25% Médiane 75%] %. Précision de la mesure Ech à BUG théorique Ech à JON Ech amt SAL Ech avl SAL théorique* Ech à RGL Ech amt TRI Ech Avl TRI théorique* Ech amt ARA *: échauffement résiduel amont des CNPE + échauffement théorique du CNPE Période Précision de la mesure Ech à BUG théorique Ech à JON Ech amt SAL Ech avl SAL théorique* *: échauffement résiduel amont CNPE + échauffement théorique du CNPE Ech à RGL Ech amt TRI Ech Avl TRI théorique* Ech amt ARA Somme des éch. > 6 C

20 1.2. : Conclusions de la Phase 2 Complexité des phénomènes expliquant la température : 1) propagation amont-aval; 2) climatologie- T Air ; 3) rejets thermiques ; 4) débits ;. les Echauffements médians du Rhône sont dans la gamme [.5 1.7] C, y compris à l aval immédiat des CNPE Confirmation du non-cumul des échauffements d amont en aval mais existence d un échauffement résiduel d un site sur l autre Somme des échauffements instantanés des 3 CNPE = 3.5 C il en reste un résiduel = + 1 C par rapport à la T Naturelle à l aval du Rhône (Aramon) Lorsque les températures d eau amont sont élevées, les échauffements des CNPE sont plus faibles en moyenne. Les forts échauffements, correspondent à des bas débits et à des températures d eau plutôt fraîches ; ils se dissipent donc plus rapidement.

21 1.3 : Résultats de la Phase : Augmentation de T et/ou baisse O2 Crues mars 21 - nov. 22 Faune : Une dérive des populations sous l effet de la chimie des eaux et des grandes crues et canicules Pas de différence entre l amont et l aval des centrales Crues hiver Traitement statistique ACP-analyse multi-tableaux-acom 2 ans CNPE, 14 stations Canicule vs : Effet de l amélioration de l O2 (compensation temp. vs. chimie et/ou effet retard des conditions 89-9 (T élevée et Q faible) : Amélioration de la chimie et effet ponctuel du débit (89-9) Structure temporelle des macroinvertébrés Source : JF.Fruget & P.Bady Pos t canicule

22 1.3.1 : Evolutions chimiques Haut-Rhône Bas-Rhône.8 PO PO NH4 1.8 NH Une diminution notable de certains polluants sur la période

23 1.3.2 : Evolutions hydrologiques

24 1.3.2 : Evolutions hydrologiques

25 1.3.3 : Evolutions biologiques 1 1 r 2 =.99 (***) r 2 =.77 (***) F1 5 F Abondance totale (Σ(log(x+1)) Richesse spécifique Abondance totale ( log(x+1)) 4 Péage de Roussillon Richesse spécifique Montélimar Donzère-Mondragon Caderousse

26 1.3.3 : Evolutions biologiques F r 2 =.99 (***) Abondance totale (Σ(log(x+1)) Abondance totale ( log(x+1)) 4 Péage de Roussillon 1 Nb de familles Montélimar Donzère-Mondragon F r 2 =.77 (***) - Richesse taxonomique Richesse spécifique Richesse spécifique Richesse totale Richesse moyenne Caderousse 15 1 BUG BUG BUGVa BUGVb SALA SALR SALV SALC CRU CRUR CRUV TRIA TRIR TRIV Stations

27 1.3.4 : Des «histoires» Débit/T Eau/Biologie : Augmentation de T et/ou baisse O2 Crues mars 21 - nov. 22 Crues hiver Traitement statistique ACP-analyse multi-tableaux-acom 2 ans CNPE, 14 stations Canicule vs : Effet de l amélioration de l O2 (compensation temp. vs. chimie et/ou effet retard des conditions 89-9 (T élevée et Q faible) : Amélioration de la chimie et effet ponctuel du débit (89-9) Structure temporelle des macroinvertébrés Source : JF.Fruget & P.Bady Pos t canicule

28 1.3.4 : Des «histoires» Débit/T Eau/Biologie : Augmentation de T et/ou baisse O2 Crues hiver vs : Effet de l amélioration de l O2 (compensation temp. vs. chimie et/ou effet retard des conditions 89-9 (T élevée et Q faible) : Amélioration de la chimie et effet ponctuel du débit (89-9) Coordonnées factorielles des relevés sur l axe 1 de l analyse de co-inertie (tableau des poissons) Source : JF.Fruget & P.Bady 87 Structure temporelle des macroinvertébrés Crues F1 mars 21 - nov. 22 Traitement statistique 1 2 ACP-analyse multi-tableaux-acom 2 ans CNPE, 14 stations Pos t canicule Canicule Coordonnées factorielles des relevés sur l axe 1 de l analyse de co-inertie (tableau des variables physiques) F1

29 1.3 : Conclusions de la Phase 3 L écosystème fluvial du Rhône français est fortement structuré par la pente, les affluents et par les aménagements hydrauliques. Le Bas Rhône est très homogène, la diversité se concentre dans les Tronçons court-circuités. La faune répond en synchronisme de St Alban à Tricastin. Le Haut-Rhône s en distingue fortement avec des peuplements plus diversifiés La qualité de l eau s est améliorée au cours des deux dernières décennies mais il peut subsister un risque lié aux micro-polluants. Les grandes crues (1993) ont amélioré la qualité des habitats sur le Bas-Rhône et ont favorisé les espèces de poissons rhéophiles et lithophiles, La régression des poissons et invertébrés d eau froide est nette sur le Haut Rhône. Les printemps et début d été plus chauds favorisent le recrutement et l abondance des cyprinidés sur le Bas-Rhône Sur le Bas-Rhône, l influence des espèces introduites envahissantes est nette. On n observe pas de différence biologique notable entre les stations amont et aval des CNPE à habitat équivalent. On observe des effets biologiques nets sur les stations où le rejet n est pas bien mélangé, pour des échauffements d au moins + 3 C à + 9 C mais ces zones sont très localisées dans l espace

30 1.4 : La Phase 4 : de nouvelles questions 1. Quelles sont les températures limites supportées par différents organismes? 2. Existe-t-il des «molécules» qui indiquent un stress dû à la température? 3. Comment la température influe-t-elle sur les cycles vitaux des organismes 4. La hausse de température constatée a-t-elle une influence sur les espèces introduites et/ou envahissantes? 5. Quelle est la répartition spatiale et temporelle des habitats y compris T C lorsque le fleuve est en crise thermique (habitat = hauteur d eau, vitesse, substrat, T C)? 6. Comment les poissons utilisent-t-ils ces habitats en période de crise thermique? et/ou d étiage? 7. Existe-t-il un ensemble d espèces d Invertébrés traduisant des effets thermiques? 8. Dans la configuration particulière du Rhône, quelles sont les rôles respectifs des retenues / chenal / tronçon court circuité en fonction des habitats, T, reproduction, dynamique de population? 9 : Description couplée des tendances à long terme de l hydrologie et de la thermique 1 : Effet de la température sur les midro-organismes non pathogènes (biofilm ) Des questions génériques Programme R&D EDF & des questions plus «rhodanienne» Etude Rhône Phase 4

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire

Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité 1 Les circuits d eau d une centrale thermique Circuit secondaire Appoint Circuit primaire Circuit tertiaire Purge

Plus en détail

LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ

LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ avril 2013 NOTE D INFORMATION LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ En tant qu exploitant des centrales de production d électricité, EDF met en

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. L IRSN présente sa stratégie de surveillance de la radioactivité dans l environnement de la Vallée du Rhône.

DOSSIER DE PRESSE. L IRSN présente sa stratégie de surveillance de la radioactivité dans l environnement de la Vallée du Rhône. DOSSIER DE PRESSE L IRSN présente sa stratégie de surveillance de la radioactivité dans l environnement de la Vallée du Rhône 17 novembre 2014 Surveiller la radioactivité dans l environnement : les attentes

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et

Plus en détail

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat».

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». «Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». Philippe USSEGLIO-POLATERA Université Paul Verlaine Metz UMR-CNRS 746 - LIEBE

Plus en détail

Réunion publique/téléconférence

Réunion publique/téléconférence Réunion publique/téléconférence Dorval Cornwall Kingston Watertown Oswego Burlington Rochester Kingston/Oswego Téléconférence: 1-877-413-4814 486 9841 (français) 447 9980 (anglais) Appeler entre 18h45-18h55

Plus en détail

L ombre commun dans le canton de Vaud

L ombre commun dans le canton de Vaud Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557

Plus en détail

Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau

Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin

Plus en détail

Optimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF

Optimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF Optimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF 07 juin 2011 Philippe TORRION Directeur Optimisation Amont/Aval et Trading Sommaire

Plus en détail

ÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance

ÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance ÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance Définition Un accident corporel (mortel ou non mortel) de

Plus en détail

Le crédit fournisseur est plus populaire que jamais Les entreprises paient leurs factures avec un retard moyen de 19,5 jours

Le crédit fournisseur est plus populaire que jamais Les entreprises paient leurs factures avec un retard moyen de 19,5 jours Statistiques relatives aux pratiques de paiement: Statistiques relatives aux pratiques Les de paiement: performances Les performances des des Éditeur: Dun & Bradstreet (Schweiz) AG Grossmattstrasse 9 892

Plus en détail

collection mise au point état initial et prévision d impact dans les documents d incidences milieu aquatique

collection mise au point état initial et prévision d impact dans les documents d incidences milieu aquatique collection mise au point milieu aquatique état initial et prévision d impact dans les documents d incidences 1 PRINCIPES DE LA DEMARCHE.. 10 1.1. CHAMP D APPLICATION.... 12 1.2. UNE DEMARCHE EN QUATRE

Plus en détail

Modèle de budget mensuel

Modèle de budget mensuel Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir

Plus en détail

Enseignements d exploration de seconde. Sciences de l Ingénieur. Création et Innovation Technologiques

Enseignements d exploration de seconde. Sciences de l Ingénieur. Création et Innovation Technologiques Enseignements d exploration de seconde Sciences de l Ingénieur Création et Innovation Technologiques SI et CIT enseignements complémentaires pour un développement durable CIT Comprendre comment évoluent

Plus en détail

Le centre sera fermé du 20 au 31 juillet 2015

Le centre sera fermé du 20 au 31 juillet 2015 Calendrier officiel des 2015-2016 Date des 2 premières Cours de jour : Mercredi 26 août 2015 Mardi 8 septembre 2015 du 1 e juin au 8 juillet ET du 3 au 5 août 2015 Cours de soir : Inscriptions les lundis

Plus en détail

UNEP /UNESCO /UNCH / ECA

UNEP /UNESCO /UNCH / ECA UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION

Plus en détail

Mesurage de la qualité acoustique de revêtements. acoustique de revêtements

Mesurage de la qualité acoustique de revêtements. acoustique de revêtements Monitoring de la performance acoustique d un d revêtement phonoabsorbant en milieu urbain François Aballéa, Pierre-Jean René a Olivier Schalbetter, Lucien Pignat b Daniel Vaucher de la Croix, Fabien Lassablière

Plus en détail

CISSE INF EAU N 13. Edito du vice -président. Dans ce numéro

CISSE INF EAU N 13. Edito du vice -président. Dans ce numéro CISSE INF EAU N 13 Bulletin d information du bassin de la Cisse 1er trimestre 2015 Votre Cisse Inf eau change de style Après 2 ans et demi d existence, et pour anticiper l évolution de la chartre graphique

Plus en détail

Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale

Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale ACADEMIE DE GRENOBLE Géographie Programme de Troisième, partie II, thème 1 LES ESPACES PRODUCTIFS Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale alexandre.bouineau@ac-grenoble.fr

Plus en détail

La menace des ruptures de digues

La menace des ruptures de digues CTC Rhône moyen 3 mai 2010 Fiabilisation des digues sur le Rhône moyen La menace des ruptures de digues Plusieurs brèches apparues dans les digues de Camargue lors des crues de 1993, 1994, 2002 et 2003

Plus en détail

Sommaire 3.4. CRUE SUR UN PETIT BASSIN VERSANT... 19 3.6. INTUMESCENCE - DYSFONCTIONNEMENT D OUVRAGES HYDRAULIQUES...22

Sommaire 3.4. CRUE SUR UN PETIT BASSIN VERSANT... 19 3.6. INTUMESCENCE - DYSFONCTIONNEMENT D OUVRAGES HYDRAULIQUES...22 Préambule La collection des guides de l ASN regroupe les documents à destination des professionnels intéressés par la réglementation en matière de sûreté nucléaire et de radioprotection (exploitants, utilisateurs

Plus en détail

Point d actualités du site AREVA Tricastin

Point d actualités du site AREVA Tricastin Point d actualités du site AREVA Tricastin Frédéric De Agostini Directeur d AREVA Tricastin CLIGEET du 21 juin 2012 Direction Tricastin Journée sécurité des chantiers du Tricastin Plus de 1200 participants

Plus en détail

Royaume du Maroc Secrétariat d État auprès du Ministère de l Énergie, des Mines, de l Eau et de l Environnement, Chargé de l Eau et de l Environnement Direction de la Météorologie Nationale Variabilité

Plus en détail

Modèle de budget mensuel

Modèle de budget mensuel Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir

Plus en détail

Coût de fabrication ou d achat. Calcul des besoins Management Industriel et Logistique (4) (2) (1) (2)

Coût de fabrication ou d achat. Calcul des besoins Management Industriel et Logistique (4) (2) (1) (2) Etude de cas 1 : La société Lebreton fabrique un produit A dont la nomenclature est la suivante (les chiffres entre parenthèses indiquent le nombre de composants dans un composé de niveau immédiatement

Plus en détail

L ENERGIE HYDRAULIQUE FICHE TECHNIQUE.

L ENERGIE HYDRAULIQUE FICHE TECHNIQUE. L ENERGIE HYDRAULIQUE FICHE TECHNIQUE. I. PRINCIPE L énergie hydroélectrique nécessite un cours d eau ou une retenue d eau. La centrale exploite l énergie potentielle créée par le dénivelé de la chute

Plus en détail

SITUATION DE LA RESSOURCE EN EAU DANS LA DROME

SITUATION DE LA RESSOURCE EN EAU DANS LA DROME SITUATION DE LA RESSOURCE EN EAU DANS LA DROME Bulletin trimestriel d août 2013 - Situation été - L Observatoire de l eau informe sur la situation de la ressource dans la Drôme au cours de l été Pluviométrie

Plus en détail

Revue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16

Revue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16 9. Revue des Marchés Charles Gagné 2015-04-16 Les faits saillants 1. Inventaires de porcs aux É.-U. ( Hogs & Pigs) Croissance de 2 % du troupeau reproducteur 2. Baisse des exportations américaines Valeur

Plus en détail

www.cpie.fr La morphologie des cours d eau Sensibiliser des usagers des cours d eau à l entretien des berges CPIE Bugey-Genevois

www.cpie.fr La morphologie des cours d eau Sensibiliser des usagers des cours d eau à l entretien des berges CPIE Bugey-Genevois www.cpie.fr DOSSIER CPIE EN ACTION Sensibiliser des usagers des cours d eau à l entretien des berges CPIE Bugey-Genevois La morphologie des cours d eau (hydromorphologie) Principes physiques, approche

Plus en détail

La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques

La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques Par Philippe PARENT Institution des Wateringues Par Philippe PARENT Institution

Plus en détail

DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88)

DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) Ce document a été réalisé en collaboration avec APAVE Alsacienne SAS 3 rue de l Euron BP 21055 Maxeville 54522 LAXOU Cedex Références

Plus en détail

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,

Plus en détail

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE 1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment

Plus en détail

Exemple du SATESE MAGE 42

Exemple du SATESE MAGE 42 LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux

Plus en détail

Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007

Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,

Plus en détail

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007 Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois

Plus en détail

Les technologies IT au service de la. Application àl ORBE. Présentation: Dr Philippe Heller

Les technologies IT au service de la. Application àl ORBE. Présentation: Dr Philippe Heller Les technologies IT au service de la prévision de débitd Application àl ORBE Présentation: Dr Philippe Heller ARPEA AG 2014 1 EIA FR -- e-dric.ch -- EPFL Trépied EPFL Apprendre et innover e-drich Mettre

Plus en détail

PRODUITS DÉRIVÉS LES CONTRATS À TERME : MODE D EMPLOI

PRODUITS DÉRIVÉS LES CONTRATS À TERME : MODE D EMPLOI PRODUITS DÉRIVÉS LES CONTRATS À TERME : MODE D EMPLOI About NYSE Euronext NYSE Euronext (NYX) est l un des principaux opérateurs de marchés financiers et fournisseurs de technologies de négociation innovantes.

Plus en détail

A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg

A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg Sommeil de courte durée, vigilance et travail de nuit A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg Sommeil de

Plus en détail

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation

Plus en détail

5 Avril 2013. Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône Avignon Vaucluse AURAV LES PUBLICATIONS DE L AGENCE

5 Avril 2013. Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône Avignon Vaucluse AURAV LES PUBLICATIONS DE L AGENCE LES PUBLICATIONS DE L AGENCE Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône-Avignon-Vaucluse La n de l «âge d or» de la maison individuelle? aurav agence d'urbanisme Rhône Avignon Vaucluse 5 Avril

Plus en détail

EIE. Volume I : Etude d'impact sur l'environnement et Etude d'impact Social. 190044.10 07 Juin 2008

EIE. Volume I : Etude d'impact sur l'environnement et Etude d'impact Social. 190044.10 07 Juin 2008 EIE 190044.10 07 Juin 2008 MMPHERHPEN Ministère des Mines, du Pétrole, des Hydrocarbures, de l'energie, des Ressources Hydrauliques et de la Promotion des Energies Nouvelles Gabon Projet Hydroélectrique

Plus en détail

Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives

Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2012 En 2012, 1 288 foyers de toxi-infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés en France,

Plus en détail

DIVISION TECHNIQUE GÉNÉRALE

DIVISION TECHNIQUE GÉNÉRALE DIVISION TECHNIQUE GÉNÉRALE L UNITÉ DE MESURE ET D EXPERTISE D EDF 04/12/2014 Copyright EDF-DTG SOMMAIRE 01 EDF-DTG : l expertise au cœur d un leader 02 DTG : un rayonnement national et international 03

Plus en détail

Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014

Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Stéphanie Poligot-Pitsch Olivier Nauleau DREAL Pays de la Loire DREAL Bretagne Qu est

Plus en détail

Modélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé

Modélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé 1 TGR Modélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé Simon Munier Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l'environnement (AgroParisTech)

Plus en détail

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2013, dans le cadre du monitoring actif, 3.181 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.

Plus en détail

Présentation Résultats de l Exercice Transnational de Gestion de Crise AMICE

Présentation Résultats de l Exercice Transnational de Gestion de Crise AMICE CRC-W Présentation Résultats de l Exercice Transnational de Gestion de Crise AMICE Ir Paul Dewil Directeur Coordinateur du Centre Régional de Crise de Wallonie (CRC-W) 1 PLAN DE L EXPOSÉ 1. Rappel de l

Plus en détail

«Et puis, lorsque tu vois des gens pêcher, tu es certain d être au bon endroit.» Renaturation du cours d eau de l Aire à Genève

«Et puis, lorsque tu vois des gens pêcher, tu es certain d être au bon endroit.» Renaturation du cours d eau de l Aire à Genève Renaturation du cours d eau de l Aire à Genève - 2011 «Et il vient d où, ce ruisseau? j ai demandé. Du Colorado, m a-t-il dit. Nous l avons déménagé avec beaucoup de soin. Nous n avons encore jamais endommagé

Plus en détail

COMMENTAiRES/ DECISIONS

COMMENTAiRES/ DECISIONS Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N

Plus en détail

Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8

Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8 Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable S e p t e m b r e 2 0 0 8 Le PADD : un Projet Politique Le PADD : un Projet Politique L e S C O T, u n o u t i l a

Plus en détail

Lyon, le 17 septembre 2013

Lyon, le 17 septembre 2013 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LYON N/Réf. : CODEP-LYO-2013-052873 Lyon, le 17 septembre 2013 Monsieur le Directeur du centre nucléaire de production d'électricité du Bugey Electricité de France CNPE

Plus en détail

pour les canalisations de transport 14 avril 2010-1 -

pour les canalisations de transport 14 avril 2010-1 - Arrêté multifluide du 4 août t 2006 pour les canalisations de transport 14 avril 2010-1 - Une volonté de l administration L ancien arrêté portant règlement de sécurité des ouvrages de transport de gaz

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

Autorité de sûreté nucléaire et Bilan du contrôle de la centrale nucléaire de Saint-Alban / Saint-Maurice en 2013

Autorité de sûreté nucléaire et Bilan du contrôle de la centrale nucléaire de Saint-Alban / Saint-Maurice en 2013 Autorité de sûreté nucléaire et Bilan du contrôle de la centrale nucléaire de Saint-Alban / Saint-Maurice en 2013 CLI de Saint-Alban / Saint-Maurice l Exil 19 mai 2014 19/05/2014 1 L Autorité de sûreté

Plus en détail

Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique

Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement

Plus en détail

CENTRALES HYDRAULIQUES

CENTRALES HYDRAULIQUES CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des

Plus en détail

Indicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011

Indicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011 Indicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011 Cahier des indicateurs électricité Evolution des prix de l électricité Développement du négoce en France Indicateurs relatifs aux fondamentaux

Plus en détail

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. 1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin

Plus en détail

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les

Plus en détail

Le marché du démantèlement des installations nucléaires d EDF.

Le marché du démantèlement des installations nucléaires d EDF. Le marché du démantèlement des installations nucléaires d EDF. ITER & nucléaire civil 2012 Saint-Etienne, le 30 novembre 2012 Rhône 9 réacteurs en déconstruction en France 1 réacteur à eau pressurisée

Plus en détail

Journée SITG, Genève 15 octobre 2013. Nicolas Lachance-Bernard M.ATDR Doctorant, Laboratoire de systèmes d information géographique

Journée SITG, Genève 15 octobre 2013. Nicolas Lachance-Bernard M.ATDR Doctorant, Laboratoire de systèmes d information géographique Monitorint spatio-temporel intégré de la mobilité urbaine Monitoring spatio-temporel de l ADN urbain Une réponse aux défis, problèmes, enjeux et risques des milieux urbains Nicolas Lachance-Bernard M.ATDR

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

À LA RENCONTRE D UN CHERCHEUR DE FUITE

À LA RENCONTRE D UN CHERCHEUR DE FUITE Eau France Le 17 mars 2015 À LA RENCONTRE D UN CHERCHEUR DE FUITE SUEZ environnement s engage pour gérer durablement la ressource Préserver la ressource en eau représente pour SUEZ environnement plus qu

Plus en détail

Bilan décennal des catastrophes naturelles en France

Bilan décennal des catastrophes naturelles en France Bilan décennal des catastrophes naturelles en France SOMMAIRE BILAN DÉCENNAL EN TERMES DE NOMBRE ET DE TYPE DE CATASTROPHES NATURELLES BILAN EN TERME DE VICTIMES.. 2 5 BILAN DÉCENNAL EN TERMES ÉCONOMIQUES

Plus en détail

LA CAMÉRA THERMIQUE GUIDE PRATIQUE DE. pour les activités du bâtiment 4SOMMAIRE

LA CAMÉRA THERMIQUE GUIDE PRATIQUE DE. pour les activités du bâtiment 4SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE DE LA CAMÉRA THERMIQUE pour les activités du bâtiment SOMMAIRE 1. DÉFINIR SA MISSION 2 2. CHOISIR SA CAMÉRA THERMIQUE 3 3. PROPOSER UNE INSPECTION AVEC CAMÉRA THERMIQUE À SON CLIENT 5. ANTICIPER

Plus en détail

consommations d énergie

consommations d énergie Comprendre ses consommations d énergie pour mieux les gérer Boulangers Pâtissiers Consommations maîtrisées dans l Artisanat L épuisement des énergies fossiles entraine une augmentation des coûts de l énergie

Plus en détail

A 1 auteur. Captures accessoires par les chalutiers gu~b~cois en 1979

A 1 auteur. Captures accessoires par les chalutiers gu~b~cois en 1979 Ne pas citer sans faire r~f~rence A 1 auteur Comit~ scientifique consultatif des peches canadiennes dans l 1 Atlantique CSCPCA Document de recherche 81/66 Captures accessoires par les chalutiers gu~b~cois

Plus en détail

LOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES. drainage. Micro Drainage

LOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES. drainage. Micro Drainage LOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES drainage Micro Drainage QUELS SONT LES DOMAINES D APPLICATION DE XPSWMM? Gestion des eaux pluviales: Modélisation

Plus en détail

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des

Plus en détail

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2014, dans le cadre du monitoring actif, 3.036 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.

Plus en détail

Les 17 et 18 septembre, les sites de production d électricité invitent le public aux Journées de l industrie électrique, EDF.

Les 17 et 18 septembre, les sites de production d électricité invitent le public aux Journées de l industrie électrique, EDF. DOSSIER DE PRESSE JUILLET 2010 2011 Les 17 et 18 septembre, les sites de production d électricité invitent le public aux Journées de l industrie électrique, EDF. Un geste simple pour l'environnement, n'imprimez

Plus en détail

ANALYSE ET TRAITEMENT DES DONNÉES PROVENANT DU MONITORING DES PONTS PAR LA TECHNOLOGIE OSMOS

ANALYSE ET TRAITEMENT DES DONNÉES PROVENANT DU MONITORING DES PONTS PAR LA TECHNOLOGIE OSMOS ANALYSE ET TRAITEMENT DES DONNÉES PROVENANT DU MONITORING DES PONTS PAR LA TECHNOLOGIE OSMOS Chakib Kassem 1, Louis Crépeau 2 1 OSMOS Canada inc., Montréal, Québec 2 OSMOS Canada inc., Montréal, Québec

Plus en détail

Ventilation : Mesure et réglage des débits

Ventilation : Mesure et réglage des débits Ventilation : Mesure et réglage des débits Samuel Caillou Division Climat, Equipements et Performance Energétique CSTC - Pourquoi régler les débits? Pour avoir le bon débit au bon endroit Qualité d air

Plus en détail

" Gestion des données issues du réseau de mesures limnimétriques des cours d eau non navigables "

 Gestion des données issues du réseau de mesures limnimétriques des cours d eau non navigables " Gestion des données issues du réseau de mesures par ir Sébastien Gailliez Plan de l exposé 1. Introduction 2. Réseau de mesures 3. Base de données AQUALIM 4. Gestion du réseau de mesures 5. Logiciels

Plus en détail

IGEA Patrimoine FCP agréé par l AMF

IGEA Patrimoine FCP agréé par l AMF IGEA Patrimoine FCP agréé par l AMF Présentation La Société de Gestion IGEA Finance La structure L approche originale Société de gestion agréée par l AMF Gestion diversifiée, patrimoniale Clients privés

Plus en détail

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable

Plus en détail

Introduction : Essais de phase I

Introduction : Essais de phase I Schéma de recherche de dose dans les essais de phase I : comparaison par simulations dans un cadre temporel A Doussau 1,2, MC Le Deley 3, B Asselain 1, G Vassal 3, X Paoletti 1 1 - Institut Curie, 2 -

Plus en détail

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent

Plus en détail

SELLE Masse d'eau AR51

SELLE Masse d'eau AR51 SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution

Plus en détail

Suivi d une réaction lente par chromatographie

Suivi d une réaction lente par chromatographie TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence

Plus en détail

Prélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote

Prélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote Prélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote Matthias CARRIERE Plan de l intervention Introduction : I. méthodes et outils de prélèvement. 11. Les normes d échantillonnage

Plus en détail

COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides»

COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides» COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides» - 1-4 AVRIL 2013 MALICORNE-SUR-SARTHE COMPTE-RENDU DE REUNION Ordre du jour 1. Qu est ce qu un SAGE? Quel est le

Plus en détail

ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84

ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS L exemple de l agence 13/84 Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 Présentation Rappel de l engagement ISO 14001 de l ONF Quelques généralités sur la gestion

Plus en détail

États financiers - Juin 2008

États financiers - Juin 2008 Syndicats des copropriétaires du 0 rue de Condo Manager États financiers - Juin 200 Préparé par Les consultants Ingenium inc. Copyright 200 Les consultants Ingenium inc. Syndicats des copropriétaires du

Plus en détail

AQUACIAT2 HYBRID LA SOLUTION BI-ÉNERGIES COMPACTE PAC & CHAUDIÈRE GAZ. Puissances frigorifiques et calorifiques de 45 à 80 kw

AQUACIAT2 HYBRID LA SOLUTION BI-ÉNERGIES COMPACTE PAC & CHAUDIÈRE GAZ. Puissances frigorifiques et calorifiques de 45 à 80 kw COMMERCIALISATION 2 ÈME TRIMESTRE 2014 C O N F O R T Q U A L I T É D A I R O P T I M I S A T I O N É N E R G É T I Q U E PAC & CHAUDIÈRE GAZ AQUACIAT2 HYBRID Puissances frigorifiques et calorifiques de

Plus en détail

Innovations Majeures de la Version 4

Innovations Majeures de la Version 4 Innovations Majeures de la Version 4 Un nouvel environnement SIG avec de puissants outils graphiques. De nouveaux moteurs hydrologiques et hydrauliques plus sûrs et plus performants. De nouveaux modes

Plus en détail

Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante

Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Juillet 2011/White paper par Christophe Borlein membre de l AFF et de l IIF-IIR Make the most of your energy Sommaire Avant-propos

Plus en détail

12 mois pour un budget

12 mois pour un budget 12 mois pour un budget Mode d'emploi L'échéancier prévisionnel annuel Le budget mensuel avec sa feuille de route (janvier à décembre) Le bilan annuel La maîtrise du budget est indispensable pour réaliser

Plus en détail

Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.

Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration. Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.

Plus en détail

Rivière Saint-Charles Tronçon 2 Ville de Québec

Rivière Saint-Charles Tronçon 2 Ville de Québec Rivière Saint-Charles Tronçon 2 Ville de Québec Mise à jour des cotes de crues Rapport final Pour plus de renseignements, contactez la Direction de l expertise hydrique du Centre d expertise hydrique du

Plus en détail

UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE

UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE Le réseau Société Générale UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE Alain Brunet Journée Société Générale - 20 juin 2000 1 Sommaire Une utilisation massive et un impact important sur notre exploitation Une

Plus en détail

24 novembre 2010. Présentation des résultats semestriels au 30/09/10

24 novembre 2010. Présentation des résultats semestriels au 30/09/10 Présentation des résultats semestriels au 30/09/10 Agenda 1. Fiche d'identité de Solucom 2. Marché et activité du 1 er semestre 2010/11 3. Résultats semestriels 2010/11 4. Les ressources humaines, un enjeu

Plus en détail

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février 25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre

Plus en détail

Programme canadien pour l épargne-études Rapport statistique annuel

Programme canadien pour l épargne-études Rapport statistique annuel Programme canadien pour l épargne-études Rapport statistique annuel Décembre 2008 TABLE DES MATIÈRES MESSAGE AUX INTERVENANTS... 3 PROGRAMME CANADIEN POUR L ÉPARGNE-ÉTUDES (PCEE)... 4 MÉTHODOLOGIE DU RAPPORT...

Plus en détail

L endettement privé des ménages début 2010

L endettement privé des ménages début 2010 Dossier L endettement privé des ménages début 2010 Pierre Lamarche, Laurianne Salembier* Début 2010, 46 % des ménages sont endettés pour un motif privé, c est-à-dire sans lien avec l activité professionnelle,

Plus en détail

GMAO Alain Giuriani 1

GMAO Alain Giuriani 1 GMAO Alain Giuriani 1 Genève et l activité Eau Potable EP Genève c est: 1 canton 45 communes 470.000 habitants L activité EP, c est 130 collaborateurs 60 mio m3 d eau potable produits par année Un réseau

Plus en détail