REFERENTIEL DE BON USAGE DE DMI. Implants vasculaires Endoprothèse coronaire à libération de principe actif

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "REFERENTIEL DE BON USAGE DE DMI. Implants vasculaires Endoprothèse coronaire à libération de principe actif"

Transcription

1 Rédaction Vérification Approbation-Mise à jour Nom(s) : Dr Arnaud Sudre : cardiologue interventionnel Pr Eric Van Belle : cardiologue interventionnel Dr Cédric Delhaye : cardiologue interventionnel Dr Frédéric Cassassus : cardiologue interventionnel Hélène Bachelet : pharmacien Yves Inghels : pharmacien Vincent Philip : Pharmacien Aurélie Fresselinat : pharmacien Marina Gasquet : pharmacien Nom(s) : Groupe Expert Dispositifs Médicaux Commission technique Euro-Pharmat Date de révision 08/07/2015 Mise à jour du référentiel 15/07/2015 JO du 10 juillet 2015 : Inscription de Nature des modifications 19/11/2015 JO du 13 Novembre Nouvelle indication pour : traitement de la première resténose intrastent clinique de stent actif -Inscription de -Inscription de JO du 18 Décembre Inscription de 18 /08/2016 JO du 23 juillet 2016 : extension d indications pour 1

2 1. Conditions de prises en charge LPPR 1-A -Indications retenues LPPR (Biosensor) V Coroflex Isar traitement de l'insuffisance coronaire imputable à certaines lésions de novo des artères coronaires natives chez certains sous-groupes de patients à haut risque de resténose (lésions>15mm, diamètre du vaisseau atteint<3mm, patient diabétique) avec concertation multidisciplinaire impliquant une équipe médicochirurgicale : occlusion coronaire totale (au-delà de 72 heures) dans la situation où il y a preuve d ischémie et lorsque la nouvelle lésion apparaît franchissable avec un taux de succès raisonnable avec concertation multidisciplinaire impliquant une équipe médicochirurgicale : première resténose intrastent clinique de stent nu (c'est-à-dire réapparition des symptômes ischémiques conduisant à une nouvelle revascularisation de l'artère) X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X 2

3 1-A -Indications retenues LPPR (Biosensor) V Coroflex Isar avec concertation multidisciplinaire impliquant une équipe médico-chirurgicale: sténose du tronc commun gauche non protégé dans certains cas où l'angioplastie pourra être envisagée après discussion médicochirurgicale avec concertation multidisciplinaire impliquant une équipe médicochirurgicale : certaines lésions pluritronculaires de novo des artères coronaires natives (lésions>15mm, diamètre du vaisseau atteint < 3mm ou chez les patients diabétiques) accessibles à l'angioplastie et lorsque le risque chirurgical est très élevé après discussion médico-chirurgicale des alternatives de revascularisation en tenant compte des facteurs de risque évalués (Euroscore et score Syntax) X X X X X X X X X X X X X avec concertation multidisciplinaire impliquant une équipe médicochirurgicale : traitement de la première X X X X 3

4 1-A -Indications retenues LPPR (Biosensor) V Coroflex Isar resténose intrastent clinique de stent actif concernant des lésions de plus de 10 mm de longueur (c'est-à-dire réapparition des symptômes ischémiques conduisant à une nouvelle revascularisation de l artère) 1-B Modalités de prescriptions et d Utilisations Nombre maximal d unités prise en charge est de 1 unité par patient sauf : -en cas de dissection occlusive aiguë et dans les lésions pluritronculaires où la prise en charge est au maximum de 3 stents par patient. V X X X X X X X X Coroflex Isar Nombre maximal d unités prise en charge est de 1 unité par patient sauf : en cas de X X 4

5 1-B Modalités de prescriptions et d Utilisations dissection occlusive aiguë où la prise en charge est au maximum de 3 stents par patient. Bithérapie antiagrégante plaquettaire d une durée recommandée, nécessitant de respecter les conditions mentionnées dans ce tableau ci-dessous : Information préalable patients Sur la nécessité de poursuivre la bithérapie anti plaquettaire pendant la durée recommandée (observance au traitement antiagrégant plaquettaire) Et sur la difficulté de bénéficier des conditions chirurgicales (absence de chirurgie programmée pendant la bithérapie antiagrégante plaquettaire) Carte patient Attribution systématique d'une carte au patient précisant le nom, la date de pose du stent et du traitement antiagrégant plaquettaire à suivre (avec sa durée souhaitée) V Coroflex Isar 12 mois 6-12 mois 12 mois 6-12 mois 12 mois 12 mois 12 mois 6-12 mois 12 mois 12 mois 12 mois X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X 5

6 1-B Modalités de prescriptions et d Utilisations V Coroflex Isar Concertation pluridisciplinaire Incluant l anesthésiste, le chirurgien et le cardiologue pour valider toutes décisions d arrêt ou de maintien des agents antiagrégants plaquettaires, notamment en cas d intervention chirurgicale (le risque thrombotique est majeur par effet rebond en cas d arrêt du traitement). L arrêt temporaire des antiagrégants plaquettaires expose à un risque accru d événement vasculaire et doit faire l objet d une réflexion sur le bénéfice/risque et la date de reprise du traitement. X X X X X X Concertation pluridisciplinaire en cas d'actes chirurgicaux survenant dans l'année suivant la pose d'un stent, entre opérateur, anesthésiste et cardiologue sur la conduite à tenir avec bilan préopératoire et modalités de prise en charge (avec information au patient). X X X X X 6

7 2. Exclusions de prise en charge LPPR Exclusions de prise en charge LPPR infarctus du myocarde datant de moins de 72 heures V Coroflex Isar X X X X X X X une fraction d'éjection ventriculaire gauche<30%, une intolérance au traitement antiagrégant plaquettaire, à l'héparine, au métal composant la plateforme du stent ou au produit de contraste angiographique et les femmes enceintes X X X X X X X X X X X sténoses du tronc commun gauche non protégé X X X X X X X lésions pluritronculaires les lésions présentant des calcifications ne pouvant être prédilatées par ballon ou athérectomie rotationnelle 7 X X X X X X X X X X X X X en l'absence de validation clinique, les X X X X X X X X X X X

8 Exclusions de prise en charge LPPR lésions de bifurcation et les sténoses de l'interventriculaire antérieure proximale ne constituent pas à elles seules des situtations où une endoprothèse coronaire à libération de principe actif puisse être indiquée. La sténose de greffons veineux n'est pas une indication à l'emploi des endoprothèses à libération de principe actif. V Coroflex Isar 3.Avis HAS 3-A -Indications retenues Néant 3-B Modalités de prescription et d Utilisation Néant 8

9 4.Eléments scientifiques complémentaires de justification Eléments scientifiques complémentaires de justification Néant V Coroflex Isar X XXXXX X X X XXX X XXX X X X 5.Indications non Recommandées Indications non Recommandées Néant V Coroflex Isar X XXXXX X X X XXX X XXX X X X 6.Autres renseignements / Annexes Endoprothèse coronaire dite «stent» à libération (lib) contrôlée (LC) de principe actif Consultation de la classification LPP (cliquez sur les liens ci dessous faire ctrl clic droit) 9

10 Désignations Chapitre 1 - DMI D'ORIGINE SYNTHETIQUE V Coroflex Isar Section 1 - IMPLANTS CARDIAQUES ET VASCULAIRES Sous section 2 - IMPLANTS VASCULAIRES Paragraphe 3 - ENDOPROTHESES CORONAIRES DITES "STENTS" Bibliographie et avis des sociétés savantes/ JORF Journal officiel - Arrêté Avis de la CNEDiMTS/ CEPP Endoprothèse coronaire dite «stent» à libération (lib) contrôlée (LC) de principe actif Les dates des JO et arrêtés sont consultables sur la fiche produit via le lien vers ameli.fr (cf classification LPP ci-dessus «endoprothèses coronaires dites stents») TAXUS ELEMENT Avis CNEDIMTS du 29 novembre 2011 Extension d indication : sténose du tronc commun gauche non protégé Avis CNEDIMTS du 14 septembre

11 Inscription de TAXUS ELEMENT PROMUS PREMIER et PROMUS ELEMENT PLUS Avis CNEDIMTS DU 27 janvier 2015 Renouvellement d inscription de PROMUS PREMIER Avis CNEDIMTS DU 27 janvier 2015 Renouvellement d inscription de PROMUS ELEMENT PLUS Avis CNEDIMTS du 25 mars 2014 Extension d indication de PROMUS PREMIER : sténose du tronc gauche non protégé,occlusion coronaire totale des artères coronaires natives,première resténose intra-stent clinique de stent nu, première resténose intra-stent clinique de stent actif (lésion>10mm) Avis CNEDIMTS du 25 mars 2014 Extension d indication de PROMUS ELEMENT PLUS : sténose du tronc gauche non protégé, occlusion coronaire totale des artères coronaires natives, première resténose intra-stent clinique de stent nu, première resténose intra-stent clinique de stent actif (lésion>10mm). Avis CNEDIMTS du 14 mai 2013 Inscription de PROMUS PREMIER Avis CNEDIMTS du 13 septembre 2011 Inscription de PROMUS ELEMENT PLUS Avis de la CNEDiMTS/ CEPP SYNERGY Avis CNEDIMTS du 10 mars 2015 Inscription de SYNERGY Avis CNEDIMTS du 23 avril 2013 Avis défavorable à l inscription de SYNERGY RESOLUTE INTEGRITY Avis CNEDIMTS du 27 janvier 2015 Renouvellement d inscription Avis CNEDIMTS du 13 janvier 2015 Extension d indication : première resténose intrastent de stent actif (lésions de plus de 10mm de longueur) Avis CNEDIMTS du 9 juillet 2013 Extension d indication : première resténose intrastent de stent nu, occlusion coronaire totale des artères coronaires natives (au delà de 72h) 11

12 Avis CNEDIMTS du 18 décembre 2012 Levée d exclusion de la phase aigue de l infarctus du myocarde datant de moins de 72 heures. Avis CNEDIMTS 12 juillet 2011 Levée de l exclusion des patients avec lésions pluritronculaires de novo des artères coronaires natives Avis CNEDIMTS du 21 décembre 2010 Inscription de RESOLUTE INTEGRITY RESOLUTE ONYX Avis CNEDIMTS du 27 janvier 2015 Inscription de RESOLUTE ONYX BIOMATRIX FLEX Avis CNEDIMTS du 17 décembre 2013 Extension d indication : lésions pluritronculaires de novo des artères coronaires natives. Avis CNEDIMTS 26 octobre 2010 Inscription de BIOMATRIX FLEX Avis de la CNEDiMTS/ CEPP NOBORI (Térumo) Avis CNEDIMTS du 27 janvier 2015 Renouvellement d inscription Avis CNEDIMTS du 23 avril 2013 Extension d indication : lésions pluritronculaires de novo des artères coronaires natives Avis CNEDIMTS du 21 février 2012 Inscription des références de diamètre 2,25 et 4,00 mm Avis CNEDMITS du 12 janvier 2010 Inscription des références de 2.75 mm Avis CEPP du 14 octobre 2008 Inscription de NOBORI ORSIRO Avis CNEDIMTS du 21 avril 2015 Extension d indication : lésions pluritronculaires de novo des artères coronaires natives, première resténose intrastent de stent nu et resténose intrastent de stent actif,occlusion coronaire totale (au delà de 72h),sténose du tronc commun gauche non protégée Avis CNEDIMTS du 25 février

13 Inscription d ORSIRO XIENCE XPEDITION Avis CNEDIMTS du 16 décembre 2014 Renouvellement d inscription Avis CNEDIMTS du 25 mars 2014 Avis défavorable à l inscription de six nouvelles références (2mm de diamètre) Avis défavorable à l inscription de quatre nouvelles références (48 mm de longueur) Avis CNEDIMTS du 17 décembre 2013 Extension d indication : sténose du tronc commun gauche non protégé, occlusion coronaire totale de plus de 72h, resténose intrastent de stent nu, resténose intrastent de stent actif Avis CNEDIMTS du 18 décembre 2012 Inscription dans les indications : lésions de novo des artères coronaires natives chez certains sous-groupes de patients à haut risque de resténose (lésions > 15 mm, diamètre du vaisseau atteint < 3 mm ou chez les patients diabétiques), lésions pluritronculaires de novo des artères coronaires natives Avis défavorable à l inscription de XIENCE XPEDITION dans les indications : occlusion coronaire totale (au-delà de 72 heures),première resténose intrastent clinique de stent nu, sténose du tronc commun gauche non protégé XIENCE PRIME Avis CNEDIMTS du 16 décembre 2014 Renouvellement d inscription Avis CNEDIMTS du 17 décembre 2013 Extension d indication: sténose du tronc commun gauche non protégé, occlusion coronaire totale de plus de 72h, resténose intrastent de stent nu, resténose intrastent de stent actif Avis CNEDIMTS du 18 décembre 2012 Modification du niveau d ASR dans l indication «lésions de novo des artères coronaires natives chez certains sous-groupes de patients à haut risque de resténose (lésions > 15 mm, diamètre du vaisseau atteint < 3 mm ou chez les patients diabétiques) Avis défavorable à l extension d indication: resténose intrastent de stent nu, occlusion coronaire chronique totale, sténose du tronc commun gauche non protégé Avis CNEDIMTS du 27 septembre 2011 Avis défavorable à l extension d indication : lésion sur un vaisseau dont le diamètre est 3,0 mm Avis CNEDIMTS du 22 mars 2011 Extension d indication: levée de l exclusion des patients ayant un infarctus du myocarde datant de moins de 72h (correspondant au syndrome coronaire avec sus 13

14 décalage du segment ST SCA ST+) Avis CNEDIMTS du 29 juin 2010 Extension d indication: lésions pluritronculaires de novo des artères coronaires natives Avis CNEDIMTS du 8 décembre 2009 Inscription des références de diamètre 2,75 mm Avis CNEDIMTS du 22 septembre 2009 Inscription de XIENCE PRIME XIENCE V Avis CNEDIMTS du 16 décembre 2014 Renouvellement d inscription Avis CNEDIMTS du 17 décembre 2013 Extension d indication: sténose du tronc commun gauche non protégé, occlusion coronaire totale de plus de 72h, resténose intrastent de stent nu, resténose intrastent de stent actif) Avis CNEDIMTS du 18 décembre 2012 Modification du niveau d ASR dans l indication «lésions de novo des artères coronaires natives». Avis défavorable à l extension d indication: resténose intrastent de stent nu, occlusion coronaire chronique totale, sténose du tronc commun gauche non protégé Avis CNEDIMTS du 27 septembre 2011 Avis défavorable à l extension d indication pour la prise en charge des patients atteints de lésion sur un vaisseau dont le diamètre est 3,0 mm Avis CNEDIMTS du 22 mars 2011 Extension d indication: levée d exclusion concernant les patients ayant un infarctus du myocarde datant de moins de 72 heures (ou Syndrome Coronaire Aigu avec susdécalage du segment ST) Avis CNEDIMTS du 29 juin 2010 Extension d indication: lésions pluritronculaires de novo des artères coronaires natives Avis CEPP du 1 er septembre 2009 Réévaluation dans le cadre de la réévaluation du service rendu des endoprothèses coronaires à libération de principe actif inscrites sur la LPPR suite à l auto-saisine de la Haute Autorité de santé en avril 2007 Avis CEPP du 14 avril 2008 Inscription des références de diamètre 2,25 mm Avis CEPP du 31 octobre 2007 Inscription de XIENCE V 14

15 XIENCE ALPINE Avis CNEDIMTS du 27 janvier 2015 Inscription de CRE 8 Avis CNEDIMTS du 1 er juillet 2014 : Inscription dans l indication : insuffisance coronaire imputable à des lésions de novo des artères coronaires natives chez certains sous -groupes de patients à haut risque de resténose (lésions >15mm, diamètre du vaisseau atteint< 3mm ou chez les patients diabétiques) Avis CNEDIMTS du 15 mai 2012 Refus d inscription de CRE 8 COROFLEX ISAR Avis CNEDIMTS du 1 er juillet 2014 Inscription dans l indication :insuffisance coronaire imputable à des lésions de novo des artères coronaires natives chez certains sous -groupes de patients à haut risque de resténose (lésions >15mm, diamètre du vaisseau atteint< 3mm ou chez les patients diabétiques),lésions pluritronculaires de novo des artères coronaires natives ULTIMASTER (Térumo) Avis CNEDIMTS du 24 février 2015 Inscription de 18 nouvelles références (de 33 et 38 mm de longueur ainsi que de 2.25 mm de diamètre) Avis CNEDIMTS du 7 octobre 2014 Inscription dans l indication : insuffisance coronaire imputable à des lésions de novo des artères coronaires natives chez certains sous- groupes de patients à haut risque de resténose (lésions >15mm, diamètre du vaisseau atteint< 3mm ou chez les patients diabétiques) 15

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de

Plus en détail

Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre

Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites

Plus en détail

UN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie

UN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV

Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV Nouveautés dans le diagnostique et le traitement de la maladie coronaire du dialysé Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France Probability of cardiovascular events Mortalité

Plus en détail

Épreuve d effort électrocardiographique

Épreuve d effort électrocardiographique Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment

Plus en détail

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier?

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP

Plus en détail

LIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches

LIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches LIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches Denise Hébert, chargée de projet UCCSPU Février 2006 Le langage et

Plus en détail

Syndromes coronaires aigus

Syndromes coronaires aigus CONGRES American College of Cardiology J.P. COLLET Service de Cardiologie, Hôpital Pitié-Salpêtrière, PARIS. Syndromes coronaires aigus L American College of Cardiology a encore montré le grand dynamisme

Plus en détail

Parcours du patient cardiaque

Parcours du patient cardiaque Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,

Plus en détail

25 èmes Journées EURO-PHARMAT, NICE, 13, 14 & 15 Octobre 2015 Mardi 13 octobre 2015

25 èmes Journées EURO-PHARMAT, NICE, 13, 14 & 15 Octobre 2015 Mardi 13 octobre 2015 Mardi 13 octobre 2015 08h30 09h00 Accueil des participants Ouverture officielle des 25 èmes Journées EURO-PHARMAT : M. GUERIN Olivier, Maire Adjoint délégué à la santé et M. THIVEAUD Dominique, Président

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3

Plus en détail

Les différentes maladies du coeur

Les différentes maladies du coeur Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par

Plus en détail

De l usage des endoprothèses coronaires

De l usage des endoprothèses coronaires GROUPE ATHÉROME CORONAIRE ET CARDIOLOGIE INTERVENTIONNELLE De l usage des endoprothèses coronaires B. Chevalier, H. Eltchaninoff, D. Blanchard, G. Finet, M. Bedossa, T. Corcos, J.-L. Fourrier, M. Hanssen,

Plus en détail

La mesure de la réserve coronaire

La mesure de la réserve coronaire Revues Générales Qu est-ce que la FFR? Comment l utiliser? réalités Cardiologiques # 291_Janvier/Février 2013 Résumé : La mesure de la réserve coronaire (FFR : Fractional Flow Reserve) s est imposée depuis

Plus en détail

J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)

J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie

Plus en détail

LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS

LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Hôpital Privé d Antony LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Livret d information Hôpital Privé d Antony - OPC/KINE/268 Page 1 sur 5 Intervenants Rédigé par : C.DUPUY M.CERISIER Masseur Kinésithérapeute Masseur

Plus en détail

132- III b - TRAITEMENT DE L'INSUFFISANCE CORONARIENNE HORS SYNDROME CORONARIEN AIGU JM Fauvel 2009

132- III b - TRAITEMENT DE L'INSUFFISANCE CORONARIENNE HORS SYNDROME CORONARIEN AIGU JM Fauvel 2009 132- III b - TRAITEMENT DE L'INSUFFISANCE CORONARIENNE HORS SYNDROME CORONARIEN AIGU JM Fauvel 2009 Recommandations de la Société Européenne de cardiologie 2006 sur l Angor stable Guidelines on the management

Plus en détail

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des

Plus en détail

Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013?

Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité

Plus en détail

A quoi correspondent, dans le cadre de la LPP, les «produits sur mesure»?

A quoi correspondent, dans le cadre de la LPP, les «produits sur mesure»? Page 1 sur 6 Questions/Réponses Déclaration des codes LPP Cette foire aux questions est destinée à apporter des réponses aux principales questions pratiques que peut poser cette déclaration à ceux qui

Plus en détail

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE

Plus en détail

Tronc Artériel Commun

Tronc Artériel Commun Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE

Plus en détail

Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.

Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle

Plus en détail

Le VIH et votre cœur

Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,

Plus en détail

Marchés des groupes à affinités

Marchés des groupes à affinités Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime

Plus en détail

La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs

La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre

Plus en détail

Vincent Péters. Président du GT TICS du SNITEM. Directeur Affaires Réglementaires de BIOTRONIK France

Vincent Péters. Président du GT TICS du SNITEM. Directeur Affaires Réglementaires de BIOTRONIK France Vincent Péters Directeur Affaires Réglementaires de BIOTRONIK France Président du GT TICS du SNITEM 5 juillet 2013 Colloque industries du numérique et Santé+ Autonomie Contexte Plus de 60 ans Cardiologues

Plus en détail

maladies des artères Changer leur évolution Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs

maladies des artères Changer leur évolution Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs maladies des artères Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs maladies des artères : comment, pourquoi? La principale maladie de nos artères, appelée athérosclérose,

Plus en détail

Antiagrégants plaquettaires : doit-on les arrêter avant un geste invasif?

Antiagrégants plaquettaires : doit-on les arrêter avant un geste invasif? Janvier 2008 N 1 Antiagrégants plaquettaires : doit-on les arrêter avant un geste invasif? Professeur Cedric HERMANS 1, Professeur Jean RENKIN 2 arrêt d un traitement antiagrégant plaquettaire (aspirine,

Plus en détail

1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin

1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin Pour mieux connaître l état de votre cœur, votre médecin vous a demandé de passer une scintigraphie myocardique au Persantin. Cette fiche explique

Plus en détail

E04a - Héparines de bas poids moléculaire

E04a - Héparines de bas poids moléculaire E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique

Plus en détail

Nouveau patient coronarien au cabinet comment lui faire avaler la «pilule»?

Nouveau patient coronarien au cabinet comment lui faire avaler la «pilule»? L athérosclérose coronarienne Nouveau patient coronarien au cabinet comment lui faire avaler la «pilule»? Serge Doucet 4 Vous suiviez Richard, un homme de 46 ans, depuis quelques années pour une hypertension

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

PROGRAMME FINAL. cardiorun.org AVEC LE SUPPORT DE :

PROGRAMME FINAL. cardiorun.org AVEC LE SUPPORT DE : PROGRAMME FINAL AVEC LE SUPPORT DE : COMITÉ SCIENTIFIQUE : Christophe POUILLOT (Saint Denis La Réunion) Philippe MABO (Rennes) Olivier DARREMONT (Bordeaux) DIRECTEUR SCIENTIFIQUE DU CONGRÈS : Jean Pierre

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus

Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier

Plus en détail

PROGRAMME DÉFINITIF. 8-9 et 10 juin 2011 BIARRITZ Palais des Congrès 1, avenue Edouard VII. www.appac.fr

PROGRAMME DÉFINITIF. 8-9 et 10 juin 2011 BIARRITZ Palais des Congrès 1, avenue Edouard VII. www.appac.fr PROGRAMME DÉFINITIF 8-9 et 10 juin 2011 BIARRITZ Palais des Congrès 1, avenue Edouard VII www.appac.fr ORGANISATION SCIENTIFIQUE Michel HANSSEN Centre Hospitalier - 67500 HAGUENAU Tél.: 03 88 06 31 07

Plus en détail

iliaque ZENITH abdomina aortique ale) 244 février 2015 : COOK France Demandeur Les modèles Indications retenues : Service Attendu (SA) :

iliaque ZENITH abdomina aortique ale) 244 février 2015 : COOK France Demandeur Les modèles Indications retenues : Service Attendu (SA) : COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DEE SANTE AVIS DE LA CNEDiMTS 244 février 2015 CONCLUSIONS ZENITH ALPHA SPIRAL Z, jambage abdomina ale) Demandeur : COOK France

Plus en détail

Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire

Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation

Plus en détail

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d

Plus en détail

fréquence - Stimulateur chambre ventriculaire Indications retenues : est normale Service Attendu (SA) : Comparateu retenu : Amélioration Nom de marque

fréquence - Stimulateur chambre ventriculaire Indications retenues : est normale Service Attendu (SA) : Comparateu retenu : Amélioration Nom de marque COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DEE SANTE AVIS DE LA CNEDiMTS 01 juillet 2014 CONCLUSIONS ELUNA 8 SR-T, stimulateur cardiaque implantable simple s chambre

Plus en détail

Surveillance de l opéré vasculaire. DIU d échographie. L examen pré et postinterventionnel. Surveillance du geste de revascularisation

Surveillance de l opéré vasculaire. DIU d échographie. L examen pré et postinterventionnel. Surveillance du geste de revascularisation DIU d échographie module vasculaire DESC de médecine vasculaire L examen pré et postinterventionnel Gudrun Böge Médecin Vasculaire CHU de Montpellier-Nîmes Surveillance de l opéré vasculaire Surveillance

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

Ensemble, soutenons la recherche française dans le domaine des maladies cardiovasculaires. Té léphone : 01 44 90 70 25

Ensemble, soutenons la recherche française dans le domaine des maladies cardiovasculaires. Té léphone : 01 44 90 70 25 Ensemble, soutenons la recherche française dans le domaine des maladies cardiovasculaires www.coeur-recherche.fr Té léphone : 01 44 90 70 25 La Fondation Cœur et Recherche a été fondée par la Société Française

Plus en détail

COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE

COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT

Plus en détail

Reprise du travail après un événement cardiaque

Reprise du travail après un événement cardiaque Reprise du travail après un événement cardiaque Regard du médecin du travail Fabrice Locher Rôle et Missions du médecin du travail «Rôle exclusivement préventif consistant à éviter toute altération de

Plus en détail

Évaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie

Évaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie Évaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie Vongmany, Antoinette Césari, Laurence Rolland-Burger, Catherine

Plus en détail

Prise en Charge de la Fibrillation Auriculaire

Prise en Charge de la Fibrillation Auriculaire Prise en harge de la Fibrillation uriculaire Prise en harge de la Fibrillation uriculaire: recommandations ES 2010 et 2012. Traduites pour le site de la cardiologie francophone par les Drs arlos El-Khoury

Plus en détail

EVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE

EVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE EVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE L INR CHEZ LES PATIENTS ADULTES TRAITES PAR ANTIVITAMINES K EN VUE DE LA PRISE EN CHARGE PAR L ASSURANCE MALADIE DES DISPOSITIFS D AUTOMESURE DE L INR OCTOBRE 2008 Service

Plus en détail

Assurance maladie grave

Assurance maladie grave ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès

Plus en détail

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication

Plus en détail

Rôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions

Rôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions Rôle de l ARCl 1 Définitions ARC : Assistant de Recherche Clinique TEC : Technicien d Étude Clinique Promoteur : Personne physique ou morale qui prend l initiative de la recherche Investigateur principal

Plus en détail

PATHOLOGIE CARDIO VASCULAIRE DES VOYAGEURS D. HOROVITZ

PATHOLOGIE CARDIO VASCULAIRE DES VOYAGEURS D. HOROVITZ PATHOLOGIE CARDIO VASCULAIRE DES VOYAGEURS D. HOROVITZ Les étapes du transport Y a - t - il un cardiaque dans l avion? CONTRAINTES CX VX L HYPOXIE LES ACCELERATIONS EFFETS DE L ALTITUDE LOI MARIOTTE PV

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

vers le déclin d endoprothèses pharmacoactives? G de Gevigney Hôpital cardiologique Lyon, France

vers le déclin d endoprothèses pharmacoactives? G de Gevigney Hôpital cardiologique Lyon, France Après s l enthousiasme l initial, vers le déclin d des endoprothèses pharmacoactives? G de Gevigney Hôpital cardiologique Lyon, France Grand progrès s technologique, mais 1. Aucun bénéfice b sur la mortalité

Plus en détail

Couverture applicable à votre ligne de crédit

Couverture applicable à votre ligne de crédit Couverture applicable à votre ligne de crédit Protéger ce qui est important Guide sur le produit et certificat d assurance 592261(0415) Couverture applicable à votre ligne de crédit Protéger ce qui est

Plus en détail

Les Nouveaux AntiCoagulants Oraux

Les Nouveaux AntiCoagulants Oraux Les Nouveaux AntiCoagulants Oraux (NACO) Emmanuel HAZARD/Jean-loup HERMIL Chronologie Héparine non fractionnée 1950 HBPM 1980 NACO >2008 AVK 1960 Fondaparinux 2002 2 Les indications des NACOs En médecine

Plus en détail

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive

Plus en détail

Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica)

Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica) December 1, 2010 Klick Inc. Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica) Les utilisateurs de l application Guide santé CV MC qui souhaitent

Plus en détail

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction

Plus en détail

Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients

Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite

Plus en détail

Item : Souffle cardiaque chez l'enfant

Item : Souffle cardiaque chez l'enfant Item : Souffle cardiaque chez l'enfant Collège des Enseignants de Cardiologie et Maladies Vasculaires Date de création du document 2011-2012 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Généralités...

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SPORTS

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SPORTS MINISTERE DE LA SANTE ET DES SPORTS Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Sous-direction de l organisation du système de soins Dossier suivi par : Dr Dominique MARTIN Conseillère

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC)

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire

Plus en détail

Le compte rendu de scanner et d IRM du cœur. DIU Imagerie CV 2007

Le compte rendu de scanner et d IRM du cœur. DIU Imagerie CV 2007 Le compte rendu de scanner et d IRM du cœur DIU Imagerie CV 2007 Importance de la communication Interface entre secrétariats de radiologie et de cardiologie Adaptation du schéma proposé par l ESC (07/06)

Plus en détail

LA CHIRURGIE CARDIO-VASCULAIRE Les enjeux, les possibilités chirurgicales, le suivi de l'opéré

LA CHIRURGIE CARDIO-VASCULAIRE Les enjeux, les possibilités chirurgicales, le suivi de l'opéré A. LEGUERRIER Certificat de cardiologie M4 2007-2008 LA CHIRURGIE CARDIO-VASCULAIRE Les enjeux, les possibilités chirurgicales, le suivi de l'opéré La chirurgie cardio-vasculaire s'est considérablement

Plus en détail

GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs

GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Artériopathie oblitérante des membres inférieurs Mars 2007 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2 avenue

Plus en détail

Antiagrégants plaquettaire, anticoagulant et gestes en rhumatologie

Antiagrégants plaquettaire, anticoagulant et gestes en rhumatologie Antiagrégants plaquettaire, anticoagulant et gestes en rhumatologie Christophe Meune Service de Cardiologie- Hôpital Avicenne Expérience douloureuse Homme de 56 ans 40 PA Aspirine à faible dose pour un

Plus en détail

admission directe du patient en UNV ou en USINV

admission directe du patient en UNV ou en USINV Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil

Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil TEXTE COURT DU RAPPORT D ÉVALUATION TECHNOLOGIQUE Place et conditions de réalisation de la polysomnographie et de la polygraphie respiratoire dans les troubles du sommeil Mai 2012 Service évaluation des

Plus en détail

Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie

Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,

Plus en détail

PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an

PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger

GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o

Plus en détail

Les maladies valvulaires

Les maladies valvulaires CENTRE CARDIO-THORACIQUE DE MONACO information du patient Les maladies valvulaires Maladies, diagnostic et traitements 1 Les maladies valvulaires ou valvulopathies Elles désignent l ensemble des maladies

Plus en détail

Assurance pour soldes pour carte de crédit TD

Assurance pour soldes pour carte de crédit TD Certificat d assurance Assurance pour soldes pour carte de crédit TD Exclusivement pour les titulaires de carte de crédit TD Nom et adresse du titulaire de carte assuré : Sommaire Créancier/Bénéficiaire

Plus en détail

Vous allez être opéré du coeur

Vous allez être opéré du coeur LIVRET D ACCUEIL Coordonnateur de Département Pr. Bernard ALBAT Chirurgie cardiaque et vasculaire Vous allez être opéré du coeur Pôle Coeur-Poumons CŒUR POUMONS Hôpital Arnaud de Villeneuve 2 ème étage

Plus en détail

Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse

Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre

Plus en détail

MÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE

MÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE MÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE Mai 2004 Service Évaluation Technologique - 1 - Pour recevoir la liste des publications de l Anaes, il vous suffit d envoyer vos coordonnées à l adresse

Plus en détail

Définitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant

Définitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties

Plus en détail

Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux

Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional

Plus en détail

COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS

COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles

Plus en détail

La maladie de Takayasu

La maladie de Takayasu La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Takayasu. Elle ne se substitue

Plus en détail

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale

Plus en détail

Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE

Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter

Plus en détail

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de

Plus en détail

SYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES

SYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude

Plus en détail

APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras

APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le

Plus en détail

Orientation en rééducation après chirurgie des ruptures de coiffe et arthroplasties d épaule

Orientation en rééducation après chirurgie des ruptures de coiffe et arthroplasties d épaule ÉVALUATION ET AMÉLIORATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES Orientation en rééducation après chirurgie des ruptures de coiffe et arthroplasties d épaule SÉRIE DE CRITÈRES DE QUALITÉ POUR L ÉVALUATION ET

Plus en détail

Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K)

Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Ce carnet a été réalisé sous la coordination de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Carte à découper

Plus en détail

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on

Plus en détail

INTRODUCTION GENERALE :

INTRODUCTION GENERALE : DÉPARTEMENT DE MÉDECINE INTERNE La Chaux-de-Fonds Rue de Chasseral 20 2300 La Chaux-de-Fonds tél. 032 967 27 28 / 032 967 27 32 fax 032 967 27 29 PD Dr D. Genné, méd.-chef de service Dr H. Zender, méd.-chef

Plus en détail

Prise en charge des syndromes coronariens aigus

Prise en charge des syndromes coronariens aigus GUIDE CLINIQUE 2 e édition Prise en charge des syndromes coronariens aigus guide destiné aux professionnels de la santé canadiens Par D r David Fitchett, FRCPC, FACC, FESC D r Pierre Théroux, FACC, FAHA

Plus en détail

admission aux urgences

admission aux urgences Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

Parcours du dispositif médical Guide pratique 2009 011

Parcours du dispositif médical Guide pratique 2009 011 Parcours du dispositif médical Guide pratique 2009 011 2009 Actualisation 2013 Ce dossier est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service documentation et information des publics

Plus en détail

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance

Plus en détail

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission

Plus en détail