L accompagnement des éleveurs et des conseillers

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1 CONFERENCE DE PRESSE Paris, le 9 novembre 2016 L accompagnement des éleveurs et des conseillers Contacts presse : Karin RIVIERE (karin.riviere@france-conseil-elevage.fr) France Conseil Elevage - 42 rue de Châteaudun PARIS Tel Fax

2 au sommaire de cette conférence : Réactivité dans l'appui aux éleveurs dans leur filière L'engagement "Développement durable" : premiers résultats Carbon dairy Conforter les conseillers en période de crise

3 Réactivité dans l'appui aux éleveurs dans leur filière La proximité avec les éleveurs, gage de réactivité Accompagner les éleveurs, que ce soit dans la conception et la conduite de leurs projets ou dans l'optimisation permanente de l'efficience de leur atelier, nécessite de la confiance et s'inscrit dans un "temps long". Cette relation durable offre aux conseillers la possibilité d'acquérir une connaissance fine des potentiels de l'exploitation et d'accéder à une bonne compréhension de l'éleveur, de ses motivations et de sa dynamique professionnelle. L'antériorité dans la relation permet également de s'appuyer sur une importante base de données. Cette connaissance, cette compréhension et ces données peuvent permettre de gagner un temps précieux dans les situations où il faut agir vite a vu, par exemple, se présenter deux opportunités pour les éleveurs. L'une concernait la possibilité de bénéficier d'un diagnostic CAP'2ER gratuit dans le cadre du programme de la Ferme Laitière Bas Carbone du CNIEL, l'autre celle d'obtenir des aides dans le cadre du dispositif de réduction volontaire de la production laitière de l'union Européenne. L'exemple du dispositif de réduction volontaire de la production laitière L'Union Européenne, après avoir adopté fin juillet un programme d incitation volontaire à la réduction temporaire de la collecte laitière, a fait connaitre son plan le 26 août. La France a dévoilé le détail du plan national complémentaire le 30 août et informé que les demandes seraient à faire entre le 12 et le 21 septembre. Notre réseau a immédiatement considéré qu'il avait la responsabilité d'accompagner ses adhérents dans leur choix de solliciter ou non une aide. Politiquement, nous avons affirmé à la FNPL que les éleveurs pourraient compter sur notre mobilisation pour saisir, de manière raisonnée, l'opportunité qu'ils peuvent avoir de bénéficier de ces aides. Nous avons cependant mis en garde les producteurs sur le fait que, une fois passé le trimestre aidé, c'est bien leur capacité à produire qui devra leur permettre de gagner leur vie et qu'ils ne devaient pas se pénaliser dans leur capacité à bénéficier d'une amélioration future du marché. Les responsables des ECEL ont mobilisé les conseillers pour qu'ils interviennent de manière urgente auprès de deux catégories d'adhérents : ceux qui allaient dans tous les cas produire moins que l'année précédente, quelles qu'en soient les raisons. Ces éleveurs avaient clairement intérêt à profiter d'un effet d'aubaine en demandant les aides. ceux qui pouvaient avoir intérêt à choisir de baisser temporairement leur production. La connaissance des éleveurs, de leurs plannings de reproduction, de l'état de leurs stocks et de leurs prévisions de production réalisées dans le cadre de l'appui technique a permis aux conseillers d'identifier facilement les éleveurs avec qui prendre contact. Ils ont incité les éleveurs de la première catégorie à faire la démarche auprès de FranceAgriMer et les ont accompagnés autant que nécessaire. Auprès de ceux susceptibles d'avoir un intérêt à réduire temporairement leur production, un travail de simulations techniques et économiques a été engagé pour raisonner ce choix en relativisant le poids de l'aide par rapport à une baisse de produit lait et aux éventuelles baisses de charge.

4 L'engagement "Développement durable" : premiers résultats Carbon dairy Dans un contexte où les problématiques environnementales pèsent de plus en plus lourd dans les choix politiques et sociétaux, où la distribution cherche à répondre à cette demande émergente des consommateurs et où l aval voit dans la démarcation «bas carbone» une façon de différencier ses produits, les ECEL ont fait le choix stratégique de s impliquer dans la thématique Développement Durable à laquelle les éleveurs seront de plus en plus confrontés. Un projet multipartenarial pour une cartographie de l empreinte carbone du lait Le réseau France Conseil Elevage s est ainsi fortement impliqué dans le projet Life Carbon Dairy dès le début de la réflexion, en Ce projet multipartenairial, piloté par l Institut de l Elevage, mobilise les conseillers des Entreprises Conseil Elevage et des Chambres d Agriculture des 6 régions impliquées ainsi que l équipe Environnement du CNIEL. Il a pour objectif, sur une durée de 5 ans, de sensibiliser les éleveurs et de réduire l empreinte carbone du lait de 20% à échéance 2020 (année de référence 2010). 6 régions impliquées, 3900 diagnostics Cap 2ER réalisés par le réseau France Conseil Elevage sur les fermes de démonstration, 60 diagnostics réalisés en partenariat avec les Chambres d Agriculture sur les fermes innovantes Premiers résultats Emissions brutes de gaz à effet de serre (GES) : 1,04 kg éq. CO2/l lait. Peu de difference entre systèmes de production. Stockage de carbone des prairies et des haies : compensation entre 6 et 50 % des émissions de GES selon le système. Les systèmes herbagers compensent le plus leurs émissions. Empreinte carbone nette des élevages du projet : 0,93 kg eq.co2/l lait. Une ferme laitière Carbon Dairy stocke en moyenne 61 tonnes équivalent CO2 de carbone par an grâce à ses prairies et haies, entretient 90 hectares de biodiversité au sein de ses infrastructures agro-écologiques et nourrit personnes sur la base du contenu en protéines animales de ses productions (Source : Perfalim, CEREOPA).

5 Un conseil, pour une valeur ajoutée A l issue de la réalisation du diagnostic, un plan d action est proposé à l éleveur pour réduire son empreinte carbone. Ce plan d action est établi à partir des résultats issus du diagnostic, complétés par d autres données collectées par l ECEL et par la connaissance qu a le conseiller de l historique de l exploitation et de ses projets en cours ou à venir. Toutes ces informations permettent ainsi au conseiller de définir avec l éleveur les axes de travail prioritaires, dans un objectif de progrès environnemental, bien sûr, mais également de valeur ajoutée, source de performance économique pour l exploitation. Parmi ces axes de travail on retrouve : la réduction du nombre d animaux improductifs pour réduire les émissions liées aux fermentations entériques qui représentent plus de 50% des émissions totales de GES : production laitière, conduite sanitaire, élevage des génisses pour réduire l âge au vêlage, génétique ; l optimisation de l alimentation du troupeau pour réduire les émissions liées à la gestion des effluents, aux intrants (achat de concentrés ) : qualité des fourrages, efficience de l azote, autonomie protéique ; l optimisation des apports azotés sur les cultures, pour réduire les émissions liées à la fertilisation des cultures : optimisation de la fertilisation, valorisation des effluents, légumineuses, rotations ; la consommation d énergie pour réduire la consommation de carburant et d électricité : paturage, pratiques culturales, matériel, conduite. La mise en œuvre d un ou plusieurs de ces leviers d action permet une meilleure efficience technique, à l origine d une meilleure performance économique des exploitations : les résultats montrent que les élevages «Bas Carbone» (10% d élevages dont les émissions de GES sont les plus faibles) ont des charges plus faibles sans dégradation du produit lait. Le témoignage d un éleveur engagé dans le projet illustrera la présentation des résultats lors de l Assemblée Générale le 16 novembre au Futuroscope de Poitiers. Un élargissement du projet dans le programme Ferme Laitière Bas Carbone : le réseau France Conseil Elevage fortement mobilisé Le CNIEL a lancé, au mois de juin, le programme FLBC dans l'objectif de sensibiliser un maximum d éleveurs aux enjeux environnementaux, en particulier dans les régions qui ne sont pas engagées dans Carbon Dairy. Ce programme finance ainsi la réalisation, avant le 31 décembre 2016, de 500 diagnostics CAP 2ER de niveau 2, suivis de conseil sur les leviers d action. Près de la moitié de ces diagnostics seront réalisés par les ECEL.

6 Conforter les conseillers en période de crise Accompagner les éleveurs dans un contexte de crise est une véritable problématique pour les conseillers : la crise génère stress et inquiétude chez les éleveurs. La relation de proximité qui existe entre les éleveurs et leurs conseillers fait de ces derniers des interlocuteurs privilégiés, souvent en première ligne pour aider leurs adhérents à faire face dans une conjoncture économique, professionnelle ou même familiale difficile. Dans le contexte de crise du début d année 2016, les professionnels de FCEL ont souhaité outiller les conseillers afin de les aider à faire parler les éleveurs, ce temps d écoute et de questionnement étant nécessaire pour faire «baisser la pression» pour identifier les urgences à traiter en priorité et travailler ensuite sereinement sur les sujets plus courants. L outil conçu a été diffusé aux entreprises Conseil Elevage et Bovins Croissance en juin dernier. Il se compose : D un diaporama expliquant la méthode utilisée, décrivant chacune des étapes d un entretien D une annexe listant les critères permettant d objectiver le ressenti de l éleveur Cet outil méthodologique est directement destiné aux managers afin de les aider à amener les conseillers à travailler leur posture : renforcer l écoute du ressenti de l éleveur, repérer les motivations/préoccupations à travailler, identifier leur place dans l élevage, recadrer leur rôle au sein du système et exprimer et assumer les limites de leur champ d action, savoir relayer aux bons interlocuteurs lorsque les besoins dépassent leur champ de compétences

7 Le réseau France Conseil Elevage, présent sur tout le territoire national a pour missions : Le contrôle de performances des élevages bovins lait et caprins (Contrôle Laitier) et des élevages bovins allaitants (Bovins Croissance). En 2014, il représente, avec agents de traite (~750 équivalents temps pleins) : - 12 % des vaches et 8 % éleveurs bovins viande - 67 % des producteurs de lait de vache 32% des éleveurs de plus de 10 chèvres - 69 % des vaches - 41% des chèvres - 83 % de la collecte de lait - 54% du lait de chèvre produit Le conseil aux éleveurs dans le développement de leur efficience économique, de leur capacité de production et de productivité de leur travail. Il rassemble : conseillers ingénieurs d encadrement technique France Conseil Elevage Maison du Lait 42 rue de Châteaudun PARIS Tel Fax

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