Références économiques des exploitations en céréaliculture dans la Vienne

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1 Références économiques des exploitations en céréaliculture dans la Vienne Campagne 2011 Conjoncture économique en Vienne

2 Sommaire Page Bilan climatique campagne Conjoncture économique Tendance haussière et fluctuations pluriannuelles... 2 L alimentation pèse moins sur les coûts de production... 3 Les charges de structure... 3 Les campagnes commerciales des grandes cultures... 4 Résultats économiques des systèmes grandes cultures... 6 Système spécialisé grandes cultures pluviales... 6 Système spécialisé grandes cultures irriguées Evolution des marges brutes des grandes cultures Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

3 Bilan climatique : campagne Les implantations de colza et céréales à l automne 2010 se font dans de bonnes conditions, les cultures se développent normalement jusqu au début de l hiver. Novembre est très pluvieux (150 mm) et les précipitations comblent le déficit enregistré depuis l été. Quelques épisodes neigeux en décembre puis la douceur revient en janvier. A partir de mars les pluies se font très rares et les températures sont largement au dessus de la normale durant le mois d avril. Au 1 er mai, le développement végétatif des céréales est en avance d une dizaine de jours par rapport à la situation dite normale. Quelques rares secteurs bénéficient d orages isolés en avril et mai mais sur cette période le déficit pluviométrique est généralisé sur le département. Les moissons sont précoces pour les colzas, orges et les blés. Dans les premiers jours de juillet les récoltes sont terminées pour certaines exploitations. Les rendements en céréales ont souffert du printemps sec : en blé, 45 qx dans les groies, 60 quintaux dans les sols plus profonds. Les orges, plus précoces, ont moins souffert avec des rendements de 55 à 70 quintaux. En colza, le printemps sec et ensoleillé a favorisé la floraison et les rendements restent à un niveau correct (moyenne Vienne : 30 quintaux). Pour les cultures de printemps comme le maïs, tournesol, les implantations sont souvent difficiles. Selon les dates de semis, les levées sont plus ou moins bonnes, le manque de pluie pénalise également l efficacité des herbicides. Les parcelles sont souvent sales, d autant plus qu à partir du 15 juillet, les épisodes pluvieux vont se succéder jusqu en septembre. Des restrictions d irrigation sont mises en place très tôt sur certains secteurs. Du coup le remplissage des grains se fait correctement et sans stress hydrique. Sur maïs et tournesol quand les densités de plantes ne sont pas affectées par la sécheresse du printemps, les rendements sont très bons, En culture sèche, les rendements maïs sont très bons : 70 à 90 quintaux. En culture irriguée sans restriction, les rendements sont de 120 à 140 quintaux. Dans les situations avec arrêt d irrigation précoce en terres superficielles, les rendements sont très mauvais : 35 à 45 quintaux. En tournesol, on approche les 40 quintaux dans les aubues du nord de la Vienne et oscille entre 25 et 35 quintaux dans des sols moins profonds. Globalement, en 2011, les cultures d hiver et surtout le blé, sont très décevantes alors que les cultures de printemps bénéficient d un été humide propice à de bons rendements. 120 précipitations et températures campagne mm C précipitations 2011 normales températures 2011 normales Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

4 Conjoncture économique 2011 Tendance haussière et fluctuations pluriannuelles Le suivi des indices des prix d achat des moyens de production agricole (IPAMPA) met en évidence une augmentation des charges d approvisionnement avec des incidences économiques importantes à partir de la campagne de production Après la forte envolée débutée en 2009 le prix des engrais enregistre une baisse sensible avant de repartir à la hausse au milieu de l année 2010 pour se poursuivre sur toute l année Les produits phyto-pharmaceutiques connaissent une augmentation beaucoup moins fluctuante que celle des engrais à laquelle il faut ajouter la redevance sur la pollution diffuse. Les semences ont enregistré une hausse significative à partir du milieu de l année 2007, plus importante sur le blé et les fourragères. Depuis, les niveaux des prix se maintiennent avec un fléchissement au cours de l année 2011 pour les semences fourragères. Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

5 L alimentation pèse moins sur les coûts de production en 2010 : un répit momentané Les aliments du bétail ont connu une forte augmentation à la fin de l année 2007 pour atteindre leur maximum au milieu de l année Les prix des aliments composés ont effectué un repli sur toute l année 2009 et début 2010 avec la baisse du prix des céréales. Le tourteau de soja se maintient à un niveau très élevé. Mais ce répit est momentané car les prix des aliments du bétail repartent à la hausse au milieu de 2010 pour atteindre les mêmes niveaux que Le prix des aliments du bétail est dépendant du marché des céréales dont les prix ne cessent pas de progresser depuis 2007 malgré le fléchissement enregistré en Les charges de structure : le prix du fioul chute mais Le prix du fioul domestique a enregistré une chute brutale à partir de juillet 2008 dont les effets se répercutent sur la campagne Mais après avoir atteint son plus bas niveau en début 2009, son prix repart à la hausse sous l effet du prix du pétrole et de la baisse de l euro pour flirter avec son plus haut niveau de L indice étude et conseil ainsi que l indice de l entretien et réparation des matériels progressent constamment de 2 à 5 % par an. Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

6 Les campagnes commerciales des grandes cultures Le blé : Les prix rendu Rouen se situent à 199 /t de moyenne sur la campagne 2011 / 2012, en baisse de 11 % par rapport à 2010/2011. La campagne se caractérise par un record de production au niveau mondial et un retour des pays de la Mer Noire sur le marché de l exportation. La sécheresse printanière a amputé le potentiel de production français, mais la production européenne s est inscrite en hausse. A partir de fin 2011, plusieurs évènements climatiques ont soutenu les cours des grandes cultures avec une tension particulière sur le marché du maïs : sécheresse en Amérique du sud qui a provoqué une diminution de la production de maïs et de soja, gel en Europe et dans les pays de la Mer Noire avec des craintes sur la production de céréales puis, en juin, sécheresse aux Etats-Unis (maïs) et dans les pays de la Mer Noire. Cette succession d incidents a porté les cours à leur niveau le plus élevé depuis février Le maïs : Les cours, rendu La Pallice, se situent en moyenne à 197 /t, en baisse de 5 % par rapport à 2010/2011. Le cru 2011 s est traduit par une forte production au niveau français, comme au niveau européen et au niveau ukrainien. Cette situation contraste avec le bilan mondial du maïs, particulièrement tendu. Le déséquilibre du bilan résulte d une nouvelle progression de la consommation qui coïncide avec une diminution de la production aux Etats-Unis (qui représente 36 % de la production mondiale) puis en Argentine et au Brésil. En cette fin de campagne, les cours sont soutenus par une sécheresse exceptionnelle dans la zone de production de maïs aux Etats-Unis, en pleine période de floraison. Les prix du maïs ont atteint des records aux Etats-Unis et ils sont très proches des records de 2007 en France. Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

7 Le colza : Les cours Fob Moselle se situent en moyenne à près de 460 /t, en hausse de plus de 4 % par rapport à l an dernier. D une manière générale, l offre d oléagineux a été restreinte par rapport à la demande mondiale croissante. En France, la récolte de colza 2011 a permis d engranger t de plus qu en 2010, malgré la sécheresse printanière. La hausse de la production française n a pas compensé la diminution de la production allemande et le bilan européen est resté tendu. Notons toutefois que la progression de la trituration française n est que de 1 % cette année, à comparer aux 34 % de 2008/2009. Les cours du colza ont bénéficié, en 2 ème partie de campagne, du déséquilibre croissant du bilan du soja avec une forte diminution de la production sud-américaine. En 2012, le bilan du colza européen restera tendu avec des inquiétudes croissantes sur le potentiel de production américain. Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

8 Résultats économiques des systèmes grandes cultures Système spécialisé grandes cultures pluviales Les résultats sont issus des données comptables d une centaine d exploitations. Moyens de production (moyenne des exploitations composant le groupe) Main d œuvre : composition 1.10 UMO dont 0.02 salarié. SAU : total 120 ha Cultures : Blé ha Blé dur ha Orge ha Maïs sec ha Colza ha Tournesol ha Autres cultures ha Gel ha Taille des exploitations composant le groupe Le nombre d exploitations est identique pour chaque couleur qui totalise 20 % des exploitations du groupe. La réglette représente la distribution des exploitations sur leur SAU. colza 16.7% assolement moyen système pluvial 2011 protéagineux 0.1% tournesol 17.8% autres céréales 2.4% autres cultures 1.0% maïs sec 5.9% gel 5.2% orge d'hiver 5.5% blé 41.8% blé dur 3.6% SAU système pluvial Résultats techniques Rendements Cultures Blé 64 q 63 q 56 q Blé dur 65 q 49 q 55 q Orge 66 q 53 q 57 q Tournesol 26 q 23 q 29 q Colza 34 q 30 q 40 q Maïs grain 62 q 76 q 81 q Repères économiques 2011 Cultures Marges brutes / ha Blé Blé dur Orge Maïs Colza Tournesol Prix/tonne ( ) Charges opérationnelles /ha ( ) Dont engrais ( ) Dont semences ( ) Dont traitements ( ) Marge brute hors aides /ha ( ) Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

9 Résultats économiques globaux Critères Globaux Résultats 2011 /ha de SAU cultivé Produit brut total Dont primes couplées 2,6 % Dont primes découplées 17 % Dont cultures 66,5 % DPU moyen (net de modulation) 263 Charges opérationnelles totales Charges structures totales Dont main d œuvre* 8,1 % 89 Dont foncier* 10.8 % 116 Dont matériel* 31.8 % 352 Dont amortissement matériel* 14.6 % 146 Dont bâtiments* 1,5 % 16,5 Dont amortissement bâtiments* 0.8 % 10 Dont frais financiers LMT et CT* 2.6 % 29 Dont autres charges* 9,7 % 112 EBE EBE / UMO Revenu agricole total Revenu agricole / UMO Revenu disponible / UMO * en pourcentage des charges totales Composition des charges en 2011 Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

10 Repères économiques sur des postes de charges de structure Composition du produit en 2011 Evolution des critères économiques Evolution des critères éco Produit brut global Produit brut/ha Charges opérationnelles globales Charges opérationnelles /ha Charges de structure globales Charges de structure /ha Revenu disponible /UMO Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

11 (* A partir de 2007, le groupe d exploitations est recomposé créant une discontinuité dans l échantillon) Evolution des charges de mécanisation hors financement Charges de mécanisation /ha Total Amortissement matériel Entretien matériel Carburant Location Travaux tiers Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

12 Système spécialisé grandes cultures irriguées Les résultats sont issus de l exploitation des données comptables d une trentaine d exploitations. Moyens de production Main d œuvre : composition 1.32 UMO dont 0,11 salarié. SAU : total 161 ha. Cultures : Blé ha Blé dur ha Orge ha Maïs sec ha Mais irrigué ha Tournesol ha Colza ha Autres cultures ha Gel ha assolement moyen système irrigué 2011 colza 17.6% autres céréales 0.5% tournesol 7.6% maïs irrigué 29.2% gel 4.0% blé 34.0% blé dur 2.9% orge d'hiver 2.9% maïs sec 1.4% Taille des exploitations composant le groupe SAU système irrigué A chaque couleur correspond un nombre identique d exploitation qui totalise 20 % du groupe. La réglette représente la distribution des exploitations sur leur SAU. Surface irriguée des exploitations du groupe SCOP irriguée Résultats techniques Cultures Rendements Blé 68 q 64 q 54 q Blé dur 56 q 50 q 51 q Orge 66 q 53 q 49 q Tournesol 25 q 24 q 23 q colza 31 q 28 q 29 q Maïs grain irrigué 95 q 97 q 100 q Maïs grain sec 72 q 65 q 61 q Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

13 Repères économiques 2011 Marges brutes /ha Cultures Blé Blé dur Orge Maïs sec Maïs irrigué Colza Tournesol Prix/tonne ( ) Charges opérationnelles/ha ( ) Dont engrais ( ) Dont semences ( ) Dont traitements ( ) Marge brute hors aides/ha ( ) Résultats économiques globaux Résultats 2011 Critères Globaux /ha de SAU Produit brut total Dont primes couplées 2.5 % Dont primes découplées 17.4 % Dont cultures 72,4 % DPU moyen (net de modulation) 310 Charges opérationnelles totales Charges structures totales Dont main d œuvre* 9.2 % 101 Dont foncier* 9.8 % 117 Dont matériel* 32.8 % 364 Dont amortissement matériel* 12.9 % 143 Dont bâtiments* 1.3 % 25 Dont amortissement bâtiments* 0.8 % 12 Dont frais financiers LMT et CT* 2.8 % 37 Dont autres charges* 12.1 % 159 Dont irrigation / ha irrigué 199 EBE EBE / UMO Revenu agricole total Revenu agricole / UMO Revenu disponible / UMO * en pourcentage des charges totales Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

14 Composition des charges en 2011 Repères économiques sur des postes de charges de structure en 2011 Composition du produit en 2011 Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

15 Evolution de critères économiques Evolution des critères éco Produit brut global Produit brut / ha Charges opérationnelles globales Charges opérationnelles / ha Charges de structure globales Charges opérationnelles / ha Revenu disponible / UMO (* A partir de 2007, le groupe d exploitations est recomposé créant une discontinuité dans l échantillon) Evolution des charges de mécanisation hors financement Charges de mécanisation /ha Total Amortissement matériel Amortissement équipement irrigation Entretien matériel Entretien équipement irrigation Carburant Location Travaux tiers Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

16 Evolution des marges brutes des grandes cultures Les résultats sont issus de la moyenne d un échantillon non constant d une centaine d exploitations. Repères économiques 2011 blé tendre Rendement (q) Prix / tonne ( ) Charges opérationnelles ( /ha) Dont engrais ( ) Dont semences ( ) Dont traitements ( ) Marge brute hors aide ( ) blé dur Rendement (q) Prix / tonne ( ) Charges opérationnelles ( /ha) Dont engrais ( ) Dont semences ( ) Dont traitements ( ) Marge brute hors aide ( /ha) Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

17 orge d hiver Rendement (q) Prix / tonne ( ) Charges opérationnelles ( /ha) Dont engrais ( ) Dont semences ( ) Dont traitements ( ) Marge brute hors aide ( /ha) maïs sec Rendement (q) Prix/tonne ( ) Charges opérationnelles ( /ha) Dont engrais ( ) Dont semences ( ) Dont traitements ( ) Marge brute hors aide ( /ha) maïs irrigué Rendement (q) Prix/tonne ( ) Charges opérationnelles ( /ha) Dont engrais ( ) Dont semences ( ) Dont traitements ( ) Marge brute hors aide ( /ha) Frais irrigation (électricité eau) ( ) Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

18 colza Rendement (q) Prix/tonne ( ) Charges opérationnelles ( /ha) Dont engrais ( ) Dont semences ( ) Dont traitements ( ) Marge brute hors aide ( /ha) tournesol Rendement (q) Prix / tonne ( ) Charges opérationnelles ( /ha) Dont engrais ( ) Dont semences ( ) Dont traitements ( ) Marge brute hors aide ( /ha) Evolution des rendements des cultures Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

19 Distribution du rendement des cultures dans le groupe des exploitations étudiées Distribution des marges brutes /ha des cultures dans le groupe des exploitations étudiées Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

20 Réalisation : Olivier PAGNOT Contribution : Clarisse BONHOMME François DUPONT Mise en page : Béatrice MENNETEAU Agropole, 2133 Route de Chauvigny B.P MIGNALOUX-BEAUVOIR Tél. : Fax : accueil@vienne.chambagri.fr Sources d information : CapMarchés Chambre d Agriculture de la Vienne France AgriMer Météo France CER France Réalisation Février 2013 Références économiques en céréaliculture dans la Vienne

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