Intervention de M. Dominique MARGUERIE, L'anthracologie est l'une des sciences qui permet de reconstituer les paléoenvironnements.
|
|
- Alfred Gauthier Charbonneau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L'ANTHRACOLOGIE Intervention de M. Dominique MARGUERIE, Laboratoire d'anthropologie Université de RENNES-BEAULIEU RENNES -- Compte rendu de Max HUMBERT (Collège du Passage - Agen - 47) Etude des charbons de bois L'anthracologie est l'une des sciences qui permet de reconstituer les paléoenvironnements. L'étude d'un site archéologique fait intervenir trois domaines : la sédimentologie, l'archéozoologie, l'archéobotanique. 1. Les restes archéobotaniques On distingue 2 grands groupes de restes végétaux : Les microrestes : pollens et spores ==> leur étude est la palynologie, Les macrorestes : bois (==> leur étude est la xylologie) ; graines et fruits (==> étude = carpologie) ; feuilles Modes de conservation des bois Conservation la plus fréquente suite à la carbonisation qui rend les structures stables chimiquement (paragraphe suivant), On peut trouver des bois gorgés d'eau : fouilles en domaine subaquatique (lacs, tourbières...) ou en domaine sec (puits, fosses profondes, latrines...). Ce sont des milieux anaérobies qui conservent parfaitement les structures du bois. On rencontre plus rarement des bois minéralisés, voire métallisés : les fibres végétales sont transformées par des métaux (ex : rouille dans des bois de cercueil à proximité des clous). Parfois des empreintes de bois s'observent sur des céramiques, des torchis La carbonisation Elle donne le charbon de bois. C'est une combustion incomplète, la combustion complète du bois donnant des cendres. Les étapes de la carbonisation : jusqu'à 200 C ==> Dessication totale du bois, 200 C à 280 C ==> Dégagement d'un gaz non combustible, 280 C à 500 C ==> Production de gaz combustible, 1
2 de goudrons, de charbon. > 500 C ==> le charbon devient incandescent et se réduit en cendres. La carbonisation provoque une diminution du volume du bois (perte d'eau) mais conserve la structure fine. 4. Où trouve-t-on des charbons? Ils se trouvent surtout dans les sites préhistoriques, au niveau des foyers. On peut en collecter aussi dans les sépultures à l'intérieur du "pot à feu". Des structures archéologiques incendiées et conservées sont une 3 eme source de charbon. 5. Prélèvement et extraction des restes végétaux carbonisés : Prélèvement de sédiments en grande quantité avec extraction manuelle des pièces macroscopiques. Extraction par série de tamisage sous courant d'eau : 1. Humectation : elle doit se faire très lentement (entrée d'eau par capillarité), en présence de défloculant. 2. Tamisage : 1 er tamis à 5 mm (extraction des pierres, des silex taillés), 1 mm. 2 ème tamis à 2 mm (où l'on récolte généralement les charbons de bois), 3 ème tamis à 0,5mm. Remarque ==> On peut identifier des espèces végétales à partir de morceaux d'environ Traitement des tamis les plus riches par différentes techniques : lévigation, flottation ou élutriation qui permettent la séparation de la matière minérale et de la matière organique. Remarque ==> Il faut de 200 à 300 morceaux de charbon par lot pour que l'étude soit fiable. Observation des charbons : 1. à la loupe binoculaire, ce qui permet une étude dendrologique (sur les cernes). 2. au microscope pour détermination (microscope optique avec éclairage par l'objectif, ou microscope à balayage). 6. Détermination des essences à partir de l'observation microscopique : Structure d'une tige ligneuse (rappel) Sur une coupe de tige ligneuse on distingue de l'extérieur vers le centre : - L'écorce externe (cellules mortes) : rôle de protection, - L'écorce interne (cellules vivantes) : rôle de protection, - Le phloème ou liber : circulation de la sève élaborée, - Le cambium (assise génératrice), - Le bois ou xylème : + L'aubier, qui est la couronne externe, est la partie fonctionnelle où se fait la circulation de la sève brute. + Le bois de cur ou duramen (partie centrale) qui comporte des vaisseaux obstrués donc non fonctionnels ; il contribue à la rigidité de l'arbre car il est plus dur que l'aubier Structure du bois Voir un "bloc-diagramme" (--> livre d'anatomie végétale). * L'étude du bois se fait en 3 dimensions : coupe transversale, coupe radiale, coupe tangentielle. * Structure du bois de feuillus. On distingue : 2
3 - des vaisseaux ==> rôle de conduction ; ils sont plus gros au printemps qu'en été, - des fibres toujours verticales ==> rôle de soutien, - du parenchyme (longitudinal et radial) ==> rôle de réserves. * Structure du bois de résineux. La structure est plus simple : - des trachéides avec ponctuations aréolées assurent le soutien et la conduction, - du parenchyme constitue les rayons ==> rôle de réserves. Les résineux possèdent en plus des canaux résinifères Identification des essences Elle se fait à partir d'atlas, de fichier de références... par anatomie comparée. [voir bibliographie] Le genre se détermine très bien, l'espèce très souvent. Cependant des difficultés existent pour identifier les différentes espèces de Pomoidés (arbres fruitiers), de chênes... --> Clé de détermination simplifiée 7. Les apports de la dendrologie (étude des cernes) La largeur moyenne du cerne est une indication du milieu de croissance de l'arbre : Largeur faible ==> futaie avec compétition importante. Largeur plus importante ==> lisière ou arbre isolé. ==> On détecte ainsi des ouvertures de milieu : déforestation, défrichement... réalisées éventuellement par l'homme pour cultiver. Si les cernes sont : rectilignes, le charbon vient d'un tronc : courbes, il vient d'une branche ou d'une brindille : ==> On connait alors la taille des bois utilisés dans les foyers. Un charbon avec des fentes de retrait radiales provient d'un bois vert. Sur un charbon on peut observer des traces d'insectes xylophages, ce qui indique que le bois utilisé était du bois mort. 8. Présentation des résultats Présentation par taxons : liste des espèces - nombre de fragments - masse (g). Présentation par diagramme : on indique le pourcentage relatif de chaque taxon ; on met en relation avec la stratigraphie. 9. Limites de la méthode L'anthracologie ne prend en compte que le matériel ligneux ==> Toute la diversité végétale n'est pas représentée. L'homme choisit les bois utilisés ==> Toutes les essences présentes dans le milieu n'apparaissent pas forcément. BILAN L'étude des charbons donne beaucoup d'indications sur l'anthropologie et quelques unes sur l'environnement. CHARBON 3
4 archéo-ethno-botanique - architecture - artisanat - combustible archéobotanique - climat - diffusion des taxons - environnement 4
5 Diagrammes anthracologiques Un exemple de diagramme... S. THIEBAULT & J.- L. VERNET : Université de Montpellier Les diagrammes établis à partir des comptages de charbon fournissent des informations comparables à celles qui sont livrées par les diagrammes polliniques. Il peut y avoir complémentarité des deux (quand le milieu de sédimentation est oxydant, les pollens sont détruits, mais les charbons subsistent). 5
6 Clé de détermination de quelques charbons de bois La clé de détermination, dichotomique a été volontairement très simplifiée, car il est difficile d'étudier certains critères avec un microscope classique. L'identification précise demande en effet une observation très détaillée des rayons ligneux, des ponctuations, des vaisseaux... Les critères retenus permettent de distinguer les feuillus des conifères, et de montrer que dans chacune de ces deux catégories, il est possible de faire un second classement... Bois avec vaisseaux (pores) en partie de faible diamètre FEUILLUS Bois sans vaisseaux (pores), uniquement des trachéides CONIFERES FEUILLUS Mélange de pores de gros et de faible diamètre... Bois à zone poreuse Bois à pores diffus 6
7 Bois à zone poreuse Les gros vaisseaux sont regroupés au début du cerne et correspondent au bois de printemps... Chêne pédonculé et Chênes à feuilles caduques... Châtaignier Bois à pores diffus Les gros vaisseaux sont répartis assez régulièrement sur toute l'épaisseur du cerne... 7
8 Hêtre et Chênes à feuilles persistantes (chêne vert, chêne liège)... Cerisier et Pomoïdés (Crataegus, sorbus...) Noisetier 8
9 Bouleau CONIFERES Bois à trachéides Il n'y a pas de véritables vaisseaux cylindriques : toutes les structures observées ont une section globalement rectangulaire... Avec canaux résinifères Sans canaux résinifères Avec canaux résinifères 9
10 Pins et Epicea, Mélèze... Sans canaux résinifères Sapin et Genévrier, If... 10
FASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE
FASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE INTRODUCTION La nature est incroyablement diversifiée. Elle regroupe la Terre avec ses zones aquatiques telles que les
Plus en détailPrincipe de précaution! 8 Catégorie de produits TYPE A partir du 1/1/2010 g/l prêt à être utilisé Revêtements mats pour murs et plafonds Revêtements brillants pour murs et plafonds Murs extérieurs
Plus en détailne définition de l arbre.
LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement
Plus en détailCorrection TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu
Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu (TP multiposte : groupes de 4 élèves qui se répartissent sur les 4 postes une fois chaque poste travaillé, un bilan sera établi
Plus en détailInterprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)
L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailMesure des caractéristiques des combustibles bois
Mesure des caractéristiques des combustibles bois ADEME Critt Bois Fibois CTBA JUILLET 2001 SOMMAIRE AVANT PROPOS page 4 1 - LA PRISE D ECHANTILLON page 6 1.1 - Division et/ou mélange du prélèvement accompagnée
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailGamme de produits écologiques certifiés, distribuée par Multifonction. produits certifiés
Gamme de produits écologiques certifiés, distribuée par Multifonction produits certifiés Une nouvelle marque de produits éco-conçus et responsables Fabrication 100% française Une vraie fabrication française
Plus en détailP. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009
à é Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de l'aménagement du territoire P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 WWW.developpement-durable.gouv.fr Constitution
Plus en détailAvec quel bois. se chauffer?
Avec quel bois se chauffer??? Pourquoi choisir l énergie bois? Le bois énergie est bon marché Contrairement aux prix des énergies fossiles, celui du bois est stable. Le faible coût de ce combustible, associé
Plus en détailwww.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances?
www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances? 1 Contexte L effet de serre un phénomène naturel Contexte Le changement climatique en chiffres 2 Contexte Contexte Le climat en 2100
Plus en détailHERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE. enseignants des établissements à programme français de Maurice
HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE par et pour les élèves et les par et pour les élèves et les enseignants des établissements à programme français de Maurice Un herbier numérique collaboratif? Une
Plus en détailLes sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?
Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la
Plus en détaildescription du système
description du système a. conception technique système constructif Le projet proposé est un système modulaire industrialisé d'assemblage d'éléments préfabriqués tridimensionnels. Il est basé sur un module
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailPrescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs
Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailBulletin n 6 LA MALADIE DU ROND
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE ADMINISTRATION DES EAUX ET FORETS COMMISSION D'ÉTUDES DES ENNEMIS DES ARBRES, DES BOIS ABATTUS ET DES BOIS MIS EN ŒUVRE Bulletin n 6 LA MALADIE DU ROND On appelle «maladie du
Plus en détailLES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.
les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans
Plus en détailEvaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood
Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Le projet de recherche européen FlexWood («Flexible wood supply chain»)
Plus en détailMarteloscope Gounamitz 2
Marteloscope Gounamitz 2 Description du dispositif Michel Soucy et André Cyr Faculté de foresterie, Université de Moncton, Campus d Edmundston Jean-Martin Lussier Centre canadien sur la fibre de bois,
Plus en détaildu Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI
Ministère de l Environnement l et du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI Expert National Statisticien/Economiste
Plus en détailPrésentation générale des principales sources d énergies fossiles.
Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.
Plus en détailUNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure
UNIVERSITE MOHAMMED V Rabat Ecole Normale Supérieure APPEL D OFFRES OUVERT SUR OFFRES DE PRIX 08/ENS/24 BORDEREAU DES PRIX-DETAIL ESTIMATIF Lot n 2 : Achat et installation de matériel pour l enseignement
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailSciences de la vie et de la Terre
Sciences de la vie et de la Terre Thème 2 B Enjeux planétaires contemporains - La plante domestiquée Table des matières 1 : La plante cultivée : le Maïs...Erreur! Signet non défini. 2 : Les variétés de
Plus en détailL ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège
L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques
Plus en détailBilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes
ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193
Plus en détailM. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES
Plus en détail>Si j ai réussi, je suis capable de
Fiche 10 Rechercher des informations sur Internet La plupart des informations disponibles sur Internet sont gratuites à la consultation. Elles sont présentées par des personnes ou des organisations qui
Plus en détailLa production énergétique à partir de la biomasse forestière : le devenir des nutriments et du carbone
La production énergétique à partir de la biomasse forestière : le devenir des nutriments et du carbone Jessica François, Mathieu Fortin et Anthony Dufour Journées CAQI les 8 et 9 avril 2014, Gembloux,
Plus en détail3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit
P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations
Plus en détailRèglement type relatif à l abattage d arbres
Règlement type relatif à l abattage d arbres INTRODUCTION «Une municipalité ou une MRC peut régir ou restreindre la plantation ou l'abattage d'arbres afin d'assurer la protection du couvert forestier et
Plus en détailComment dit-on qu'une étoile est plus vieille qu'une autre ou plus jeune qu'une autre?
Comment dit-on qu'une étoile est plus vieille qu'une autre ou plus jeune qu'une autre? Comment peut-on donner un âge à l'univers? Dans l'univers, il y a beaucoup de choses : des étoiles, comme le Soleil...
Plus en détailPLAN GÉNÉRAL D AMÉNAGEMENT FORESTIER SEIGNEURIE DE PERTHUIS RÉSUMÉ NOTE AU LECTEUR
NOTE AU LECTEUR Dans le cadre de notre certification forestière à la norme du Forest Stewardship Council de la Seigneurie de Perthuis, nous vous présentons un résumé du plan général d aménagement forestier
Plus en détailPrendre les empreintes des chapeaux de champignons ou comment faire une sporée
Prendre les empreintes des chapeaux de champignons ou comment faire une sporée Choisir les champignons Figure 1 Dès l'arrivée du printemps et jusqu'à l'automne, les champignons font partie de notre environnement,
Plus en détailChapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux
Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Comment font les végétaux pour s installer dans un nouveau milieu alors qu ils ne peuvent pas se déplacer? I/ L installation des végétaux dans un nouveau milieu
Plus en détailOrganisme certificateur : 10 rue Galilée 77420 Champs sur Marne Tél : +33 (0)1 72.84.97.84 Fax : +33 (0)1 43 30 85 65 www.fcba.fr. www.marque-nf.
N d identification AFNOR Certification : NF 061 MQDQ-CERT 15-306 du 18/01/2015 N de Révision : 16 Date de mise en application : 04/03/2015 Annule et remplace le MQDQ-CERT /14-324 du 15/05/2014 REGLES GENERALES
Plus en détailG.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction
DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner
Plus en détailCOMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?
COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche
Plus en détailPanneau grand format Schilliger GFP
Panneau grand format Schilliger GFP Fiche technique ETA: Agrément Technique Européen Composition: Multiplis, épaisseur des plis au choix Qualité: A/B qualité sélection sur demande B/B pour constructions
Plus en détailBC LABEL Location de bornes photos numériques
BC LABEL Location de bornes photos numériques Mise a jour le 11-09-2014 page 1 / 36 Clé USB Croix Délais de livraison : 2 2 à 5 SEMAINES Spécifications : Petite description : intégration : Inclus : Applicable
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détaild'une EXTRACTION AVEC RABATTEMENT DE NAPPE
ENTREPRISE CHAPELLE S.A. ROUTE DE RIOTTER - LIMAS 69400 - VILLEFRANCHE SUR SAONE /DOCUMENT NON PUBLIC/ PROJET D'IfPLAmTION D'UE GRAVIERE A CRECHES SUR SAOE (71) EXA^EN DE L INCIDENCE SUR DES OUVRAGES DE
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailla Contribution Climat Energie
Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailN09 Viaduc de Chillon
Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication DETEC Office fédéral des routes N09 Viaduc de Chillon Solution innovante en relation avec la RAG Conférence JERI
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailPowerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses.
Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Sur bac acier, bois ou dérivés du bois. isolation thermique support d étanchéité sur bac acier ou bois
Plus en détailQuelques données : Domaines & Patrimoine. Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise. Membre de l ASFFOR.
1 2 Quelques données : Domaines & Patrimoine Membre de Adhérent à : l ASFFOR Membre de l ASFFOR Accord de partenariat avec le Groupe LAFORET Franchise 10 11 salariés 7000 8 500 ha ha gérés 12 13 groupements
Plus en détailLOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête
LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1 Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 2 6/4/08 11:53 AM Page 2 LOG 8869 Residential
Plus en détailANNEXE 13 10-1-1 ANNEXE 13 : Documents d adhésion pour les entreprises/validé par AGE du 03.01.2012 183
ANNEXE 13 1011 183 ANNEXE 13 DOCUMENTS D ADHÉSION POUR LES ENTREPRISES FORMULAIRE DE DEMANDE D ADHÉSION AU SYSTÈME PEFC (Entreprise hors exploitation forestière) Lettre à établir sur papier à entête du
Plus en détailEstimer le poids spécifique du maïs bien mûri après le séchage... 17-4. Classement... 17-15
17. Maïs Détermination du taux d impuretés... 17-2 Définitions... 17-2 Impuretés non déclarées... 17-2 Procédure normale de nettoyage... 17-2 Composition des impuretés... 17-3 Estimer le poids spécifique
Plus en détailLA STRATEGIE CARBONE DU GROUPE OCP Saïd Mouline Conseiller du Président CONFERENCE NATIONALE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES AU MAROC: DEFIS ET OPPORTUNITES RABAT, 11-12 février 2009 50% des réserves du Monde
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailFormulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire
1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse de l installation Rue : N :. Code Postal : Commune : Age du bâtiment : - plus de 5 ans - moins de 5 ans 2. 2. Coordonnées de l installateur agréé 1
Plus en détailFormulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire
Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire Annexe au formulaire de demande de prime 1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse Adresse de l installation Rue : N : Code Postal : Commune
Plus en détailProjet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H
Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des
Plus en détailPROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)
PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler
Plus en détailL utilisation du lidar terrestre en foresterie. Richard Fournier Département de géomatique appliquée
L utilisation du lidar terrestre en foresterie Richard Fournier Département de géomatique appliquée Problématique Inventaire traditionnel : photographie aérienne imagerie satellitaire relevés manuels sur
Plus en détailComparaison des performances d'éclairages
Comparaison des performances d'éclairages Présentation Support pour alimenter des ampoules de différentes classes d'efficacité énergétique: une ampoule LED, une ampoule fluorescente, une ampoule à incandescence
Plus en détailLa notion de croissance (végétale) en sixième et en première S.
La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. Activité proposée : La notion de croissance est abordée en classe de 6 ème et elle est traitée en première S. Montrez sur cet exemple qu
Plus en détailBiomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution?
C est correct. La scie mécanique fonctionne au biocarburant. Biomasse forestière et bioénergie: Danger ou solution? Evelyne Thiffault David Paré Jacques Morissette Sébastien Dagnault Ressources naturelles
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailDr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch
1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailArrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative
Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un
Plus en détailDISPOSITIF DE CONTROLE MULTIFONCTIONNEL POUR APPAREILS A GAZ
SIT Group SIT -3-5 SIGMA 9.955.53 1 Le contenu du présent document peut subir des modifications sans aucun préavis DISPOSITIF DE CONTROLE MULTIFONCTIONNEL POUR APPAREILS A GAZ Domaine d'application Appareils
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailUn nouveau standard d étanchéité pour une durée de vie accrue
Un nouveau standard d étanchéité pour une durée de vie accrue Roulements rigides à billes munis de joints RSL et RSH Propriétés d étanchéité améliorées Faible frottement Durée de vie accrue Roulements
Plus en détailL INCENDIE CHEZ VOUS. Comment l éviter? Que faire s il survient? Brigade de sapeurs-pompiers de Paris
L INCENDIE CHEZ VOUS Comment l éviter? Que faire s il survient? Brigade de sapeurs-pompiers de Paris P. 6 P. 10 P. 16 P. 17 Le risque incendie p. 4 La chambre p. 6 Le salon et sa cheminée p. 8 La cuisine
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailExtinction. Choisissez votre système d extinction. Qu'est-ce qu'un système d extinction? Les principes du feu
Extinction Choisissez votre système d extinction Qu'est-ce qu'un système d extinction? Dans un système de protection incendie, il ne suffit pas de détecter et de mettre en sécurité. Il est souvent nécessaire
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailSOMMAIRE. Introduction...05 Domaine d'application...05 Visées des textes existants...06
SOMMAIRE Introduction..........................................05 Domaine d'application..................................05 Visées des textes existants.................................06 Dispositions communes.................................09
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailLES INSECTES XYLOPHAGES
Il existe deux types d insectes xylophages : LES INSECTES XYLOPHAGES Les insectes du bois frais. Les insectes du bois frais envahissent surtout les arbres malades ou les bois abattus lorsque l'humidité
Plus en détailAlfa Laval échangeurs de chaleur spiralés. La solution à tous les besoins de transfert de chaleur
Alfa Laval échangeurs de chaleur spiralés La solution à tous les besoins de transfert de chaleur L idée des échangeurs de chaleur spiralés n est pas nouvelle, mais Alfa Laval en a amélioré sa conception.
Plus en détailGUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES
GUIDE TECHNIQUE PANNEAUX BOIS MASSIFS TOURILLONNES 1 INTRODUCTION AU PRODUIT 3 QUALITE PROFILS 4 CARACTERISTIQUES TECHNIQUES 9 TABLEAU DE PRE-DIMENSIONNEMENT 10 2 INTRODUCTION AU PRODUIT DESCRIPTION Les
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailEPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian
1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul
Plus en détailCompétences transversales mobilisés. Disciplines et savoirs essentiels travaillés DESSINE-MOI UN VER!
DESSINE-MOI UN VER! Thème : Vers de terre / anatomie Objectif pédagogique : formuler des questions et hypothèses et y répondre à l'aide de la méthode scientifique Matière : Sciences et technologies Cycle
Plus en détailModifications principales des prescriptions de protection incendie 2015. Débat urbanités. Nous protégeons l essentiel
Modifications principales des prescriptions de protection incendie 2015 Débat urbanités Didier Guignard, 6 octobre 2014 Sommaire Modifications principales des prescriptions AEAI 1. Allègements, simplifications,
Plus en détailExemple de procédure
Chambres de Commerce et d'industrie des Hautes Alpes et des Alpes de Haute Provence La chaîne de contrôle pour les exploitants forestiers de Provence-Alpes-Côte d'azur : Exemple de procédure TM PEFC/10-1-1
Plus en détailJ O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E
J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailTable basse avec tablette encastrée
Table basse avec tablette encastrée A table! Table basse avec tablette encastrée Cette table-basse à tablette encastrée permet d offrir à vos invités plein de friandises. 1 Introduction Offrez à vos invités
Plus en détailL évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se
PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale
Plus en détailMANUEL D'UTILISATION
CAFETIERE MANUEL D'UTILISATION Modèle : KF12 Merci de lire attentivement ce document avant la première utilisation de l'appareil CONSIGNES DE SECURITE Lors de l'utilisation d'appareils électriques, des
Plus en détailNous recensons ci-dessous, de la manière la plus exhaustive possible, l ensemble des éléments qui ont ou vont nécessiter une intervention :
Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les Conseillers, L année 2013, pas encore terminée, nous a déjà réservé son lot de surprises : froid, humidité constante, pluies abondantes suivies, dans le
Plus en détailTrait et ligne. La ligne avance, Elle indique une direction, Elle déroule une histoire, Le haut ou le bas, la gauche et la droite Une évolution.
Trait et ligne I La ligne me fascine. Le trait qui relie ou qui sépare Qui déchire le néant et marque une trace Qui me fait entrer dans l univers des signes. La ligne avance, Elle indique une direction,
Plus en détailEnregistrement automatique. des données
Enregistrement automatique des données Chapitre: 6 Page No.: 1 Il n y a que quelques années que l enregistrement manuel de données géotechniques était de coutume. L introduction de l enregistrement automatique
Plus en détailCommission pour la technique de construction
Vereinigung Kantonaler Feuerversicherungen Association des établissements cantonaux d assurance incendie Commission pour la technique de Récapitulation des concordances admissibles entre la classification
Plus en détailComme chaque ligne de cache a 1024 bits. Le nombre de lignes de cache contenu dans chaque ensemble est:
Travaux Pratiques 3. IFT 1002/IFT 1005. Structure Interne des Ordinateurs. Département d'informatique et de génie logiciel. Université Laval. Hiver 2012. Prof : Bui Minh Duc. Tous les exercices sont indépendants.
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailPlate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière
Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...
Plus en détail