Sommaire. Les Banques Alimentaires, un réseau au service des plus démunis

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2 Sommaire Les Banques Alimentaires, un réseau au service des plus démunis Repères historiques Tout commença par un article Les premiers pas des Banques Alimentaires Le fonctionnement 4 Engagements Les chiffres 2013 Un fort maillage territorial Des femmes et des hommes Les partenaires associatifs Zoom sur La lutte contre le gaspillage alimentaire L équilibre nutritionnel L accompagnement Les ateliers cuisine Les épiceries sociales La Collecte Nationale de denrées alimentaires Contacts Fédération Française des Banques Alimentaires Laurence Champier : laurence.champier@banquealimentaire.org Solène Job solene.jo@banquealimentaire.org 2

3 Repères historiques 1967 Création de la première Banque Alimentaire (Food Bank) aux Etats-Unis La pauvreté est particulièrement présente en France. Emmaüs et l Armée du Salut rétablissent les «Soupes de nuit» disparues depuis trente ans. Les médias parlent de «nouveaux pauvres» ; la pauvreté touche désormais des catégories de personnes que les associations n accueillaient pas auparavant. 13 mars 1984 Publication de la tribune l article de sœur Cécile Bigo dans La Croix intitulée «J ai faim». Cet article va faire réagir le monde associatif. (voir à la fin du dossier) 26 mai 1984 Réunion des responsables associatifs. Trente-cinq personnes participent à cette première réunion, dont Bernard Dandrel, où toutes les confessions sont représentées : catholiques, protestants, musulmans 20 juin 1984 Réunion dans les locaux d Emmaus, à Paris. L Armée du Salut, Emmaüs, le Secours Catholique, le Centre d action sociale protestant et l association L Entraide d Auteuil décident de créer une association et de l appeler «Banque Alimentaire de Paris et de l Île-de-France pour la lutte contre la faim». 31 juillet 1984 Les statuts sont rédigés. Bernard Dandrel est élu président. Michel Lefebvre, d Emmaüs, et Jacques Pierquin, de l Armée du Salut, sont vice-présidents. 24 octobre 1984 La Banque Alimentaire reçoit sa première promesse de don de produits. Novembre 1984 Première collecte auprès des particuliers sur les marchés et dans quelques magasins. 4 décembre 1984 La Banque Alimentaire de Paris et d Île-de-France (Bapif) ouvre ses portes à Arcueil, au 15 rue Jeanne d Arc. 1er octobre 1985 Première réunion des associations partenaires qui doit avoir lieu tous les ans. Novembre 1985 Première collecte officielle sur Paris soutenue par Jacques Chirac. Octobre 1986 Dépôt des statuts de la Fédération Nationale des Banques Alimentaires (devenue FFBA en 1989). 16 Banques Alimentaires sont alors en activité ou en passe de l être. 14 décembre 86 Première Collecte Nationale. Les 23 Banques organisatrices reçoivent 129 tonnes de denrées Fin Banques Alimentaires sont en activité ; 60 en Fin 2014 Ouverture de la 102 ème antenne 3

4 Tout commença par un article... 4

5 Les premiers pas des Banques Alimentaires Extrait du livre-mémoire de Bernard Dandrel : «Aider l Homme à se restaurer» Quel est le principe des Food Banks / Banques Alimentaires? C est en 1967 qu est née la première Banque Alimentaire aux États-Unis, à Phœnix, en Arizona. Le principe est simple : il s agit de collecter gratuitement des produits alimentaires consommables et de les distribuer, également gratuitement, à des associations caritatives qui aident les personnes en difficulté. En effet, les Banques Alimentaires ne donnent pas directement la nourriture aux personnes qui en ont besoin. Elles sont l intermédiaire entre les donateurs et les associations bénéficiaires. De plus, et c est important, elles fonctionnent sans argent, donc sans acheter. Les Banques Alimentaires n ont alors pas de compte en banque : elles font appel à la générosité d entreprises et de particuliers pour prendre en charge leurs coûts opérationnels. Comment a germé l idée d une Banque Alimentaire en France? C est en 1976 que tout commence. Bernard Dandrel, banquier de père en fils mais très attaché aux valeurs de charité, est interpellé par son épouse «Si tu mettais autant d ardeur au service des pauvres que pour ta clientèle bancaire, il y aurait moins de misère». Dans les années 80, la pauvreté est très présente et la demande porte principalement sur l aide alimentaire. Les médias s intéressent au sujet et La Croix va publier une tribune de sœur Cécile Bigo qui dénonce le scandale de la pauvreté qui cohabite avec le gaspillage de nourriture. Après la publication son article, elle se met en relations avec les responsables du monde associatif, dont Bernard Dandrel. Très vite, ils ont l idée d une Banque Alimentaire en France, sur le modèle des Food Banks américaines, d abord prévue à Marseille puis finalement à Paris. Trente-cinq personnes participent à une première réunion où toutes les confessions sont représentées : catholiques, protestants, musulmans Le fait de fonctionner sans argent est un concept novateur. Qu en pensent les partenaires de l époque? C est tellement innovant que des participants quittent la réunion en déclarant que cela peut «marcher» Outre-Atlantique, mais pas en France. C est trop utopique. On n a jamais vu une association organiser de cette façon-là, sans rien acheter et sans capitaux À la fin de cette première réunion, un petit groupe d une dizaine de personnes pense quand même que la création d une Banque Alimentaire peut être une réponse humaine et actuelle au problème de la faim dans notre pays. Ce groupe est «œcuménique» : il y a l Armée du Salut, Emmaüs, le Secours catholique, le Centre d action sociale protestant et l association L Entraide d Auteuil qui s occupe de jeunes en difficulté Et tous, ils décident de créer cette Banque Alimentaire en France. Cependant, certains doutent qu elle soit opérationnelle rapidement, mais qu il faut poser l acte de création maintenant. Bernard Dandrel souhaite qu elle ouvre rapidement, en prévision de l hiver En septembre 1984, il reste encore beaucoup à faire : trouver un entrepôt, solliciter des bénévoles, se procurer du matériel, mettre en place des moyens pour collecter les produits alimentaires La tâche est immense! 5

6 Les premiers pas des Banques Alimentaires (suite) Quel a été le rôle de la presse? En octobre, les événements se précipitent. Le Secours catholique rend publique une enquête sur le «mal-logement». Les médias s en font l écho. Jacques Chirac, alors maire de Paris, lance un appel au nom de l Association des maires des grandes de ville de France (AMGVF), invitant les pouvoirs publics à agir face à la détresse des gens. La presse prend le relais : elle met en avant le phénomène des «nouveaux pauvres», elle publie des interviews de responsables d associations sur ce qu ils comptent faire. C est ainsi qu est évoqué pour la première fois le projet de Banque Alimentaire. Le 24 octobre 1984, quelques jours après la parution de plusieurs articles sur le projet, Bernard Dandrel reçoit la visite d un des responsables d Unigrains, qui lui propose de fabriquer de mille cinq cents à deux mille pains chaque jour voire plus pour les distribuer dans les différents lieux d accueil à Paris! Huit jours après, le responsable de la société Vivagel l appelle pour lui proposer deux mille poissons surgelés Qu en est-il en province? La création quasi «militante» de la Banque Alimentaire de Paris et de l Île-de-France (Bapif) fait des émules et un mouvement de bonnes volontés s engage pour le développement des Banques Alimentaires sur tout le territoire français. À RTL, radio de grande écoute, Anne-Marie Peysson, dans son émission «Les Auditeurs ont la parole», parle aussi régulièrement des Banques Alimentaires. De ce fait, les gens nous appellent pour en savoir plus. Ils sont nombreux à vouloir créer une Banque Alimentaire dans leur ville. C est à Angers que la deuxième Banque Alimentaire voit le jour. Certes, chaque nouvelle banque se crée sur le modèle de la Bapif mais l expérience acquise à chaque étape est mise à profit pour la création suivante. L éthique originelle pas d achats de produits alimentaires, gratuité de la distribution aux associations, pas de dons financiers est, en quelque sorte, le patrimoine génétique des Banques Alimentaires. Quand a lieu la première collecte? Il y a déjà eu des collectes à la fin de l année Chaque semaine, la Bapif a organisé, dans des magasins différents, une collecte de denrées. En 1985, c est avec le soutien de la Mairie de Paris qu une première «grande» collecte est organisée. En effet, le chef de cabinet de Jacques Chirac, alors maire de Paris, nous propose d ouvrir les mairies d arrondissement pendant deux jours, en décembre, pour permettre aux Parisiens de déposer leurs dons alimentaires. Fortes du succès cette première «grande» collecte auprès du public, les Banques Alimentaires lancent une Collecte Nationale en1986. A qui sont distribués les premiers dons? Bien entendu, la Bapif assure la distribution de produits alimentaires auprès des associations qui sont à l origine de sa création mais aussi à d autres grandes associations comme la Croix-Rouge, le Secours populaire... Elle intervient aussi auprès de nombreuses structures confessionnelles (paroisses catholiques, temples protestants, mosquées, le Fonds social juif unifié, les centres de Solidarité musulmane ) et d associations spécifiques comme les Maisons de chômeurs, celles à l intention des Africains, des Asiatiques, ou qui s occupent d enfants, de jeunes, de femmes, de personnes âgées, de personnes handicapées, de malades, de sans-domicile-fixe 6

7 Les premiers pas des Banques Alimentaires (suite) Et la Banque Alimentaire fonctionne toute l année? En effet! Au moment de la création du réseau, l Abbé Pierre, le fondateur d Emmaüs, proche des Banques Alimentaires, expliquait que «distribuer des repas, l hiver, dans la rue, c est toujours déchirant, avec le sentiment d une espèce d hypocrisie quand on arrête les distributions à la fin de l hiver. Or, le problème de la faim n a pas disparu pour autant». Les Banques Alimentaires, présentent l avantage de poursuivre leur action après l hiver, pendant toute l année. Quels sont les critères qui déterminent alors la distribution aux associations qui vont faire appel à la Bapif? L engagement des associations vis-à-vis des bénéficiaires permet de leur délivrer un «agrément». Les fondateurs sont très attachés à la notion de «partage» et de «repas partagé», c est-à-dire l accueil de bénéficiaires dans des locaux où ils peuvent venir déjeuner ou dîner. D autres associations proposent des colis alimentaires aux familles démunies. Les fondateurs souhaitent que ce rendez-vous ne se limite pas à un simple don de nourriture. L aide alimentaire ne doit pas être un pis-aller, elle doit être un facilitateur qui permette de retrouver l harmonie du budget familial en attendant une amélioration de la situation personnelle. Ce moment privilégié doit se prolonger avec les bénéficiaires par un dialogue et un accompagnement qui leur permettent de reprendre confiance en eux afin d engager des démarches pour trouver un travail ou un logement, par exemple. Mais les bénéficiaires doivent être également au cœur de la réflexion sur l hygiène et l équilibre alimentaires : éducation au respect de la chaîne du froid, à la propreté, mais aussi, éveil au goût, initiation à la multiplicité des utilisations des produits alimentaires Et dans les autres pays européens? La notoriété de la première Banque Alimentaire française, puis celle de la Fédération nationale des Banques Alimentaires, dépasse les frontières de l Hexagone, et les principes fondateurs irriguent les canaux associatifs supranationaux pour essaimer, dès 1986, dans plusieurs pays européens où vont germer des initiatives identiques. Le 23 septembre 1986, se tient à Bruxelles, une assemblée générale constitutive qui proclame la création de la Fédération européenne des Banques Alimentaires. Aujourd hui, la Fédération européenne rassemble 256 Banques Alimentaires répartis dans 21 pays. En 2013, elles ont collectés tonnes de denrées, équivalant à 804 millions de repas, distribués à 5,7 millions de personnes, par l intermédiaire de associations et centres sociaux. Le projet associatif des Banques Alimentaires est-il toujours d actualité? Oui, plus que jamais! Les Banques Alimentaires collectent des produits consommables qui seraient jetés sans leur intervention. En quelque sorte, elles redonnent une seconde vie à ces produits et apportent une aide indispensable aux personnes démunies. L aide alimentaire est un soutien en nature qui permet aux personnes démunies de dégager un budget pour les autres charges incompressibles comme le loyer. 7

8 Le fonctionnement Depuis 30 ans, la spécificité de l action des Banques Alimentaires est de collecter gratuitement tout au long de l année et partout en France des produits alimentaires. Leurs principales sources gratuites d approvisionnement sont l industrie agro-alimentaire, la grande distribution, l Union européenne, l Etat, le grand public. Animées par des bénévoles avec la collaboration de salariés, les Banques Alimentaires prospectent, collectent, transportent, trient et stockent, l équivalent de tonnes de denrées, avant de les distribuer gratuitement aux associations. Les Banques Alimentaires créent ainsi un lien efficace entre les produits à donner et les personnes qui en ont besoin. 102 Banques Alimentaires et antennes maillent aujourd hui le territoire national Elles mènent cette mission en partenariat avec les 5300 associations et CCAS ayant signé une convention de partenariat avec elles. Associations 8

9 4 engagements «Prospecter et collecter des produits alimentaires, sans acheter, en privilégiant les denrées qui permettent une alimentation diversifiée, équilibrée et régulière et en participant à la lutte contre le gaspillage.» L originalité de cette approche et de cette diversification des approvisionnements, c est la gratuité. Les produits sont ensuite redistribués via des associations locales dans le département ou la région dans lesquels ils ont été collectés. Ces aliments sauvés de la destruction représentent chaque année environ tonnes de produits soit plus de la moitié de ce qui est distribué par les Banques Alimentaires. «Transporter, stocker et distribuer les denrées de manière équitable, dans le respect de la réglementation, notamment en matière d hygiène et de sécurité alimentaire.» Chaque Banque Alimentaire est équipée de matériel professionnel : véhicules frigorifiques, chambres froides, etc. De plus, au moins l un de ses collaborateurs a le statut de Responsable de l hygiène et de la sécurité alimentaire (obtenu suite à une formation de cinq jours agréée par l administration sanitaire). «Remettre ces denrées aux associations et CCAS (centre communal d action sociale) partenaires, dans le cadre d un engagement réciproque et durable.» Cet engagement est symbolisé par la convention de partenariat alimentaire. Il vise également à : Encourager les partenaires des Banques Alimentaires à développer un accompagnement social des personnes accueillies, décidé d un commun accord avec ces dernières (accompagnement individualisé vers une sortie de la précarité ; actions collectives porteuses de lien social). Inciter les Banques Alimentaires à réaliser des actions d appui auprès de leurs partenaires (formations, échange de pratiques, fourniture d outils, ). Pour la Banque Alimentaire tout comme l association, un seul et même objectif demeure : aider l homme à se restaurer. C est pourquoi, il existe un arsenal d actions de formation (écoute, accompagnement, ateliers, ) mis en place par les Banques Alimentaires au sein de leur réseau de partenaires. «S investir pour être reconnu en tant qu acteur local de la lutte contre l exclusion, dans le cadre d un engagement partagé avec l ensemble des autres intervenants.» Les Banques Alimentaires sont à l interface du politique, de l économique et du social. Elles agissent en partenariat avec une grande diversité d intervenants publics et privés. Elles deviennent ainsi un acteur local inséré dans le réseau qui se mobilise contre l exclusion et avec les personnes en situation précaire. 9

10 Les chiffres 2013 En 30 ans, les Banques Alimentaires ont distribué l équivalent de 3 milliards de repas 10

11 Un fort maillage territorial Il existe 102 Banques Alimentaires et antennes en France : la plupart sont départementales. Cette présence au plus près des besoins et des démunis fait des Banques Alimentaires, des acteurs locaux incontournables de la lutte contre l exclusion. La Fédération française des Banques Alimentaires qui les regroupe est une association caritative. Elle a pour mission de coordonner leurs actions, d animer le réseau et de les représenter auprès des pouvoirs publics et des partenaires au niveau national. 11

12 Des femmes et des hommes Dans le projet collectif des Banques Alimentaires il y a des hommes et des femmes qui travaillent ensemble au quotidien pour assurer la collecte et la distribution des denrées. Plus de personnes travaillent chaque jour à faire que la solidarité ne soit pas qu un simple mot. 90% de bénévoles Fin 2013, les Banques Alimentaires comptaient 4961 bénévoles dans tout le réseau. Une dizaine de Banques Alimentaires dépassent la centaine de bénévoles. Les bénévoles offrent de leur temps pour mener des missions très diverses avec le sentiment d y trouver un épanouissement personnel. Présents en nombre à tous les niveaux du réseau ils sont aussi ceux qui, au quotidien, sont au contact de la réalité de terrain. Lors de la collecte nationale de novembre, ce sont plus de bénévoles ponctuels qui sont venus «donner un coup de main» dans les magasins partenaires et pour le tri. Nous recrutons Pour mener à bien leur mission, les Banques Alimentaires cherchent toujours des centaines de bénévoles à travers toute la France : devenir-benevole Une mission soutenue par des salariés Le réseau compte aussi des salariés qui travaillent en synergie avec les bénévoles. Leur place est indispensable pour garantir la permanence, la pertinence et l efficience des actions menées. La conduite d un projet ambitieux doit pouvoir s appuyer sur des expertises souvent précises et pointues et sur des équipes stables de professionnels. En 2013, le réseau comptait 446 salariés dont 140 au titre de l insertion. Des formations indispensables pour le réseau Les Banques Alimentaires proposent des formations à leurs bénévoles et à leurs salariés dans différents domaines : Management Hygiène et Sécurité Alimentaire Prospection de denrées Comptabilité Informatique Logistique (certificats de cariste...) 12

13 Les partenaires associatifs Créées pour soutenir le tissu associatif déjà existant en lui permettant de se concentrer sur d autres sujets que l approvisionnement de denrées, les Banques Alimentaires ont noué des conventions de partenariat alimentaire avec 5300 associations et CCAS dont la mission est d accompagner les personnes démunies dans une démarche de (ré)insertion grâce à l accompagnement alimentaire. Des associations très différentes Selon la dernière enquête de l Institut CSA 49% des associations partenaires sont indépendantes, 25% sont des CCAS ou CIAS (centre communal ou intercommunal d action sociale) et 26% appartiennent à un réseau caritatif national. Les différents modes d accueil* les épiceries sociales (15%) : elles proposent un choix de denrées vendues à 10% de leur valeur et permettent aux bénéficiaires d être en situation de consommateurs et de gérer un budget, la distribution de paniers alimentaires équilibrés (76%) permet de créer du lien et de mobiliser les personnes sur des temps d animation collective, les repas partagés (11%) brisent l isolement, et réintègrent les personnes dans des rites sociaux, les accueils de jour (4%) offrent des petits déjeuners et l occasion de discuter, de se laver, de se poser, les maraudes (3%) permettent d aller à la rencontre des gens pour leur offrir une collation, rétablir un lien social, et proposer des hébergements d urgence par temps de grand froid. *Une association pouvant bien entendu pratiquer plusieurs de ces activités. Le soutien aux associations partenaires Les Banques Alimentaires travaillent étroitement avec leurs partenaires associatifs afin de mettre en place des actions d accompagnement des personnes via l alimentation, notamment les ateliers cuisine. Mais elles apportent également aux associations un soutien souvent indispensable : Formations à l écoute pour les bénévoles Formations à l hygiène et la sécurité, dispensées très largement, Soutien en logistique et en équipement, 13

14 Zoom sur La lutte contre le gaspillage alimentaire Que deviennent un yaourt ou des tranches de jambon lorsqu ils sont retirés des rayons des supermarchés? Grâce aux Banques Alimentaires, ils ont droit à une seconde vie. Encore consommables, ils sont sauvés de la destruction et redistribués à des personnes démunies. Une action quotidienne Les Banques Alimentaires sont surtout connues pour leur Collecte Nationale de denrées auprès du grand public le dernier week-end de novembre. Pourtant, 4931 bénévoles œuvrent tous les jours pour récupérer des produits qui, sans leur action, seraient jetés magasins sont ainsi visités tous les matins par les camions des Banques Alimentaires. Ce sont donc plus de tonnes de denrées par an (soit l équivalent de 100 millions de repas), dont tonnes issues de la grande distribution, qui sont distribuées aux associations partenaires du réseau. Une formidable chaine logistique En moins de 10h, c est une prouesse technique qui se répète chaque jour. Dès l aube, les bénévoles récoltent les produits frais ôtés des rayons mais propres à la consommation : fruits et légumes, produits carnés, produits laitiers, essentiels à l équilibre alimentaire. Ils les transportent dans les entrepôts des Banques Alimentaires, les enregistrent puis les trient selon les règles d hygiène et de sécurité les plus strictes. Ces produits sont aussitôt remis aux associations qui les redistribuent le jour même aux personnes accueillies. Un seul mot d ordre : la lutte contre le gaspillage alimentaire Depuis 30 ans, les Banques Alimentaires ont pour mot d ordre la lutte contre le gaspillage alimentaire. Aucune denrée n est achetée et 55 % des approvisionnements proviennent de produits sauvés : outre la grande distribution, l industrie agroalimentaire et les producteurs agricoles participent en donnant des articles présentant des défauts d emballage ou d étiquetage, des fruits et légumes mal calibrés ou des surplus. Une démarche ancienne mais toujours d actualité, dont le résultat pourrait être doublé, avec plus de moyens 14

15 Zoom sur L équilibre nutritionnel L équilibre alimentaire s adresse à tous, de la petite enfance à la vieillesse. Il est plus difficile à mettre en pratique par les personnes défavorisées : elles sont soumises à des contraintes budgétaires fortes et elles ont souvent un accès limité à l information nutritionnelle. Un objectif : la santé L équilibre alimentaire permet le maintien de la santé et prévient les maladies telles que l obésité, le diabète, les maladies cardio-vasculaires... Chez les personnes en situation de précarité, le risque de développer ces maladies est plus élevé : les contraintes budgétaires orientent les choix vers une alimentation déséquilibrée délaissant des aliments tels que les fruits, les légumes ou le poisson. Pour compenser ces déficits, il est donc essentiel que l aide alimentaire offerte soit équilibrée et d une très bonne qualité nutritionnelle. Une volonté publique Avec la mise en place du PNNS (Programme national nutrition santé) et du Programme Alimentation et Insertion, les pouvoirs publics ont montré leur souci de prendre mieux en compte les effets de l alimentation sur la santé. L étude Abena (étude sur l alimentation et l état nutritionnel des bénéficiaires de l aide alimentaire) parue en 2006 a mis en exergue les carences nutritives des personnes démunies et les conséquences sur leur santé (risques d obésité aggravée, maladies cardiovasculaires, ). Les Banques Alimentaires ont alors engagé une réflexion, corroborée par les observations réalisées dans leur propre réseau en liaison avec l unité mixte de recherche Inserm/Inra2. Recommandations de distribution spécifiques à l aide alimentaire mises en place dans le cadre du PNNS, en partenariat avec les Banques Alimentaires L approvisionnement : un défi Chaque Banque Alimentaire adapte tout au long de l année sa prospection de denrées et mutualise ses approvisionnements afin d améliorer la qualité et de rechercher l équilibre nutritionnel des denrées distribuées aux personnes accueillies par leurs associations partenaires. Un défi que relèvent les Banques Alimentaires : d une part en consolidant leurs partenariats avec les associations distributrices, et les acteurs de l agroalimentaire, et, d autre part, en proposant des actions d accompagnement individualisé aux personnes accueillies. 15

16 Zoom sur L accompagnement L alimentation est la première marche de l intégration sociale et du retour à l autonomie, les Banques Alimentaires le démontrent chaque jour en mettant au cœur de ses missions l inclusion sociale par l alimentation. L alimentation au cœur du lien social L aide alimentaire a une dimension vitale mais aussi sociale : les «rendez-vous alimentaires» permettent de construire une relation entre accueillant et personne reçue. Dépasser le sentiment d impuissance par des gestes simples du quotidien, retrouver des histoires de vie autour de la confection ou du partage d un plat, ce sont autant de signes premiers de l autonomie. Plus que pour d autres personnes, l alimentation peut être créatrice de liens sociaux. Rencontrer la personne dans son contexte de vie, c'est aussi connaître ses habitudes alimentaires, culinaires, c est lui reconnaître son identité, lui redonner sa capacité d initiative. Une vision à long terme pour le bien de tous Les Banques Alimentaires adhérent à l'idée selon laquelle la lutte contre la pauvreté consiste moins à répondre à des besoins qu'à augmenter des capacités. Elles ont conscience que l'accompagnement alimentaire tel qu'il est pratiqué aujourd'hui est d'abord une réponse à un besoin, mais elles souhaitent entraîner une évolution des modèles d'aide alimentaire pratiqués par leurs associations partenaires pour qu'elles inscrivent cette modalité d'accompagnement dans une dynamique de retour à l'autonomie des personnes concernées. Les Banques Alimentaires militent pour que l'alimentation et tout ce qui l'entoure fasse partie de la panoplie des outils utilisés efficacement par les associations. Les rencontres dans les associations d aide alimentaire introduisent une vraie légèreté dans les rapports humains alors que les situations sous-jacentes ont tout lieu d'être difficiles. 16

17 Zoom sur Les ateliers cuisine Dans le droit fil du programme «Alimentation-Insertion» et afin d apporter une réponse alimentaire plus qualitative, les Banques Alimentaires répondant aux attentes formulées par les associations ont mis en place un certain nombre d outils au rang desquels figurent la cuisinette mobile, les fiches recettes et un dépliant d informations nutritionnelles Objectif Recréer du lien social tout en faisant la promotion d une alimentation équilibrée et diversifiée, favorable à la santé en permettant aussi à la personne accueillie de s investir et de reprendre confiance en elle. Animés par une membre de la Banque Alimentaire, bénévole ou salarié, CESF (Conseiller en Economie Sociale et Familiale), diététicien ou cuisinier. Un outil majeur : la cuisinette mobile Mobile, solide et conforme aux normes les plus strictes, la conception de la cuisinette mobile répond parfaitement à cet objectif car les Banques Alimentaires peuvent ainsi accompagner les associations dans leur démarche palliant les difficultés inhérentes aux manques de moyens matériels de certaines - tout en valorisant le lieu d aide alimentaire. Une cinquantaine de cuisinettes mobiles ont été mises à disposition des Banques Alimentaires. La cuisinette est proposée, pour une certaine durée, aux associations la demandant et ayant bénéficié d une formation dans le cadre du programme «Alimentation et Insertion». Des outils pédagogiques Des outils ont été créés dans le cadre des ateliers cuisine : un classeur, support pratique de l animateur, un «kit recette» composé d un jeu de 50 recettes à réaliser sur place puis à domicile, des dépliants «Jouez la variété» et «Soyez attentif à l hygiène». 17

18 Zoom sur Les épiceries sociales Les Banques Alimentaires sont partenaires de 730 épiceries sociales. Elles accueillent environ bénéficiaires. Le fonctionnement des épiceries sociales Les locaux des épiceries sociales (ou solidaires) sont aménagés en rayonnages, comme dans une épicerie ou une superette, de manière à présenter les produits disponibles. Une épicerie sociale propose donc aux bénéficiaires un grand choix de produits, moyennant une petite participation financière. Les denrées sont vendues à très bas prix (en principe 10% du prix habituel). Les épiceries sociales s adaptent à leur environnement : outre les épiceries classiques, se développent des épiceries sociales pour les étudiants, pour les jeunes travailleurs, des épiceries itinérantes pour les communes isolées, pour les personnes à mobilité réduite, L épicerie sociale doit donc : répondre localement à un véritable besoin, exprimé par les partenaires institutionnels et associatifs. participer localement à la coordination de l aide alimentaire avec les autres partenaires. Le volet social Les bénévoles des épiceries sociales et solidaires ont à cœur de recevoir dignement ces personnes en difficulté, en leur offrant une écoute, un environnement le plus convivial possible, un café, et donc un accompagnement social pour apporter un peu de chaleur à la relation. Elles expliquent aussi comment cuisiner ou améliorer certaines denrées ou conserves, en donnant des recettes. Un "coin accueil" est souvent aménagé dans les locaux. Par ailleurs, le fait de payer les achats, même à un prix très modique, donne aux personnes reçues le sentiment d'être valorisées et de sortir de l assistanat pur et simple. On a ici une autre approche, ne plus être obligé d accepter «ce qu on nous donne». Une aide à la création Outre la fourniture de denrées alimentaires, les Banques Alimentaires soutiennent nombre d épiceries sociales dans leur aménagements et leurs équipements. Les Banques Alimentaires accompagnent également le processus de création de plusieurs dizaines d'épiceries sociales par an : recherche de locaux, négociation avec les institutionnelles, recherche de partenaires... Pour contribuer au développement des épiceries sociales, les Banques Alimentaires ont rédigé un guide pratique pas à pas pour créer, gérer, animer une épicerie sociale. Ce guide a reçu le 1 er prix, dans la catégorie Edition, du jury des Grands prix Communication & Entreprise

19 Zoom sur La Collecte Nationale de denrées alimentaires Un rendez-vous annuel de solidarité Chaque dernier week-end de novembre, les Banques Alimentaires et leur bénévoles ont rendez-vous avec les citoyens-consommateurs. La Collecte Nationale est un rendez-vous solidaire durant lequel tous les acteurs participent pour aider les plus précaires. En 2013, la Collecte Nationale a permis de collecter l équivalent de 25 millions de repas, grâce au soutien croissant des associations partenaires et des clubs service, de la grande distribution, des entreprises mécènes et des médias. Une ressource complémentaire Tous les jours, les Banques Alimentaires récupèrent des denrées consommables mais non commercialisables auprès de la grande distribution, des industriels et des producteurs. Afin de compléter ces dons quotidiens et de distribuer une alimentation diversifiée et la plus équilibrée possible, les Banques Alimentaires ont besoin de produits secs et de conserves. Lors de la Collecte Nationale, les bénévoles demandent donc en priorité des boîtes de conserves de fruits, de légumes ou de poisson, des féculents, des légumes secs mais aussi du café ou du chocolat. Un acte concret pour une efficacité de proximité Avec l appui de 7000 points de collecte, les Banques Alimentaires sont présentes dans toute la France. Chaque produit est redistribué dans le département où il a été collecté afin que cette aide «bénéficie» directement et localement aux personnes démunies. Les 5300 associations et CCAS partenaires du réseau peuvent ainsi aider les personnes démunies du département, de la ville, voire même du quartier où vivent les donateurs et assurer un accueil et un accompagnement de proximité et de qualité. 19

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