Le suivi étroit en première ligne des jeunes présentant un haut potentiel suicidaire (0-17 ans)

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1 Le suivi étroit en première ligne des jeunes présentant un haut potentiel suicidaire (0-17 ans) Louise Jacques: Psychoéducatrice Santé Mentale Jeunesse au CSSS de Laval Responsable de l équipe Suivi Étroit Jeunesse Stéphanie Dagenais: Psychoéducatrice à l équipe Santé Mentale Jeunesse au CSSS de Laval Intervenante à l équipe Suivi Étroit Jeunesse Cette présentation a été financée en partie par le C.R.IS.E., l AQPS et le CSSS de Laval

2 Création et implantation Le suivi étroit jeunesse a été implanté à Laval il y a quatre ans afin de répondre de façon rapide et intensive aux besoins de la clientèle jeunesse présentant un haut potentiel suicidaire; Choix de l Agence de la Santé et des Services Sociaux de Laval, d implanter un suivi étroit jeunesse et adulte; Élaboration des rôles, d un plan de déploiement; Intégration à la trajectoire de service pour les jeunes suicidaires de Laval. 2

3 Équipe 1 responsable du programme 5 intervenants (une psychologue, trois travailleurs sociaux et trois psychoéducateurs) Proviennent de différentes équipes (jeunes en difficultés et santé mentale jeunesse). Base volontaire. Dossier régulier et dossier suivi étroit. Formation de 3 jours à la Grille d estimation de la dangerosité d un passage à l acte suicidaire. Formation continue et rencontre pour raffiner la qualité de notre expertise. 3

4 Qui? Clientèle visée La clientèle ciblée est les jeunes qui présentent un haut potentiel suicidaire et/ou qui ont fait une tentative de suicide. Une attention particulière doit être portée aux clientèles jeunesse qui présentent les facteurs de risque suivants: Jeunes ayant fait un passage à l acte suicidaire récemment; Jeunes ayant des troubles de l humeur (dépression); Jeunes ayant un problème de dépendance; 4

5 Qui? Clientèle visée Jeunes présentant une comorbidité (ex.:problème de santé mental et dépendance); Jeunes présentant des traits ou un trouble de la conduite, de l opposition et trouble de la personnalité; Jeunes présentant une impulsivité importante; Jeunes présentant une problématique quant à son identité ou son orientation sexuelle; Jeunes issus de l immigration (1 re et 2 e génération); Les garçons. 5

6 Critères d admissibilité: Moins de 18 ans. Jeune qui a fait une tentative de suicide ou qui présente un haut potentiel suicidaire. Référé par l urgence du pavillon Albert-Prévost (Hôpital du Sacré-Cœur) ou suite à une hospitalisation ou suite à une visite en clinique externe ou par l urgence de l hôpital Cité de la Santé. Le jeune et/ou un parent est d accord avec la référence. Important: informer les deux parents de la situation et du service même si le jeune ne vit pas avec lui ans: les parents consentent à la participation de leur enfant au service. 14 ans et plus: le jeune est consentant à participer au service. Les jeunes qui ne se qualifient pas pourront être référés à la trajectoire habituelle des services. 6

7 Critères d exclusion: Les jeunes hébergés dans une unité du Centre Jeunesse de Laval. Ces jeunes bénéficient d une prise en charge et d un suivi par le biais des intervenants du Centre jeunesse. Le suivi étroit ne doit pas palier à un besoin d hospitalisation. 7

8 Le suivi étroit ne remplace pas la protection de la jeunesse. Tous les jeunes (moins de 18 ans) sont sous la responsabilité légale de leurs parents. De cette responsabilité découle le devoir, pour les parents, de protéger leurs enfants. Le suivi étroit ne doit pas suppléer au devoir de protection des parents à l égard des jeunes à risque suicidaire. Dans ce sens, tous les intervenants référant ou participant au service du suivi étroit doivent inscrire leurs actions en totale conformité avec la Loi de la protection de la jeunesse et se doivent de signaler au Directeur de la protection de la jeunesse toute situation où un jeune est en besoin d être protégé et que les parents ne le font pas adéquatement (peu importe la raison). Dans de telles situations, le service de suivi étroit doit être offert selon la volonté des parents et du jeune et il appartient au Directeur de la protection de la jeunesse d évaluer la situation et de prendre, s il y a lieu, les mesures qui s imposent pour que le jeune soit protégé. 8

9 Trois grands principes directeurs qui guident l intervention 1. L intervention est centrée sur l ensemble de la situation du jeune suicidaire écosystémique 2. L intervention tient compte des particularités et des besoins du jeune présentant un haut potentiel suicidaire. 3. Les interventions auprès du jeune suicidaire et de son entourage sont intensives et rapides. Elles peuvent être réalisées selon des modalités diversifiées (moment, lieux, moyens de contacts). L intervention est proactive «REACHING-OUT». 9

10 Les visées de l intervention en suivi étroit 1. Soutenir et accompagner le jeune dans la réintégration de ses milieux de vie. 2. Soutenir, informer et accompagner les proches et l entourage afin de favoriser l adaptation du jeune. parents famille élargie amis intervenants scolaires responsable de loisirs milieu de travail processus d obtention des services 10

11 Les visées de l intervention en suivi étroit 3. Assurer le lien et la coordination de l intervention entre tous les partenaires impliqués hôpital (équipe de pédopsychiatrie, médecin) intervenants scolaires centres de réadaptation en dépendance loisirs équipe régulière famille-enfance-jeunesse CRDI 11

12 Les visées de l intervention en suivi étroit 4. Suivi individuel du jeune : Repositionnement (créer de l espoir ) Investissement dans projet Filet de sécurité Recréer les liens d attachement avec l entourage 12

13 Intervention Ce que fait l intervenant dès la réception de la demande: L intervenant prend contact avec le jeune et/ou ses parents par téléphone, maximum 18 heures après la réception de la référence. Si la référence est faite le vendredi après-midi ou la fin de semaine, l intervenant contactera le jeune et/ ou ses parents le lundi matin. 13

14 Intervention Rencontre avec le jeune et/ou ses parents à l intérieur d un délai de 48 heures suivant l appel. Évaluation de la situation lors de la rencontre. Outils utilisés: Grille d estimation de la dangerosité d un passage à l acte suicidaire Rapport d intervention pour établir les priorités d action Questionnaire d évaluation pour les premières entrevues Arbre décisionnel Concertation avec les partenaires impliqués Rétroaction au référent Contacts et collaboration avec les partenaires impliqués Suivi intensif : un à trois contacts par semaine le premier mois 14

15 Intervention Soutien aux proches et sensibilisation à leur rôle Informer et sensibiliser Élaborer un filet de sécurité Établir un plan d intervention dans de brefs délais ou un PSI selon la complexité et le degré du risque Faire entériner les démarches dans les cas complexes par l adjointe clinique ou le chef d équipe Le plan d intervention vise essentiellement à diminuer le risque suicidaire, c est-à-dire augmenter les facteurs de protection et diminuer les facteurs de risque. Relance du jeune qui ne se présente pas.reaching- OUT Ajustements des modalités 15

16 Intervention Diminution de l intensité des interventions ou fermeture du dossier lorsque la crise suicidaire est résorbée (3 rencontres sans idéations suicidaires). L intervention est d une durée maximale de 6 mois. Transfert du dossier et accompagnement vers d autres services si les besoins persistent avec ou sans crise suicidaire. 16

17 Estimer la dangerosité d un passage à l acte suicidaire: des outils pour mieux agir 17

18 Outil de travail Pourquoi utiliser la grille d estimation de la dangerosité d un passage à l acte Élargir l estimation du danger à d autres facteurs que le COQ (Comment, Où, Quand). Privilégier les facteurs proximaux, ceux les plus près du passage à l acte. Situer sur un continuum les facteurs de risque et de protection. Cibler rapidement les leviers d intervention Tenir compte des symptômes liés aux problèmes de santé mentale. Supporter le jugement clinique dans la prise de décision en orientant la conduite à tenir pour assurer la sécurité. 18

19 19

20 Vignettes Cliniques 20

21 Jeune 1: Jordan, 15 ans Lettre avec intention suicidaire suite à un conflit avec son père. Jordan consomme du cannabis à chaque jour et d autres drogues occasionnellement depuis l âge de 11 ans. Il dit avoir fait une tentative de suicide il y a moins d un an. Il vit avec son père et sa belle-mère ainsi que le nouvel enfant de ces derniers dans un petit appartement. Jordan avait un lien de confiance avec l intervenante scolaire à qui il a montré la lettre. Il entre facilement en relation avec les adultes. Sa mère vit dans une ville éloignée et les contacts avec celle-ci sont tendus et irréguliers. Jordan a vécu une rupture amoureuse il y a quelques mois qui avait été difficile qui avait aussi entraîné des idées suicidaires. Il a une nouvelle copine depuis peu. Jordan a décidé d abandonner l école pour tenter de se trouver un travail. Jordan a des talents artistiques et a une idée bien claire du métier qu il souhaite faire. Il a hâte de partir de la maison et de voler de ses propres ailes. Jordan ne veut pas arrêter de consommer, mais il va occasionnellement rencontrer un intervenant dans un centre de réadaptation en dépendance accompagné par son père. La relation avec son père et sa belle-mère peut être très conflictuelle. Suite à un conflit, Jordan a fugué de la maison. Jordan se mobilise peu de façon autonome pour se trouver du travail. Son horaire et son hygiène de vie ne sont pas équilibrés. 21

22 Jeune: Jacynthe, 15 ans Tentative de suicide: prise de 19 comprimés de Tylenol Jacynthe est en secondaire 4 et fréquente l École internationale. Elle est ambivalente par rapport au fait d être en vie et elle a toujours des idées suicidaires. Elle voit peu de sens à sa vie et a peu d espoir que cette situation va changer. Elle a de grands questionnements existentiels, entre autre, concernant ses croyances religieuses. Elle a beaucoup de copines avec qui elle parle de ses idées suicidaires et qui s inquiètent pour elle. Elle est inscrite à un voyage de fin d année, en France, avec l école et sa participation est compromise. Jacynthe dit que son voyage est sa seule motivation dans son année scolaire. Les parents sont présents et cherchent à se faire supporter pour accompagner le mieux possible leur fille. 22

23 Les visées de l intervention: 1. Soutenir et accompagner le jeune dans la réintégration de ses milieux de vie. 2. Soutenir, informer et accompagner les proches et l entourage afin de favoriser l adaptation du jeune. 3. Assurer le lien et la coordination de l intervention Suivi individuel du jeune 4. Suivi individuel du jeune: -repositionnement (créer de l espoir) -investissement dans un projet -filet de sécurité -recréer des liens d attachement avec l entourage 23

24 La valeur du partenariat! Échanges, commentaires, questions, suggestions 24

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