SOCIETE PBS HATIONS, 0,
|
|
- Madeleine Déry
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 SOCIETE PBS HATIONS, 0, innunipue su C onseil et 2 a5 JïI ] C:1 c nv e 23a Membres a o la S o ciété. * C, 2 8 i,:522,ii, C COMMIS3IOïï ECONOMIQUE p]t FIM CI33I3 PRCVISC1R3 Rapport présen té per LI, Léon Bourgeois e t adop ud P ;r le Conseil le 13 mai 1922, Le Représ en tan t do l a -ace eu Conseil s générale meçt été chargé de vous p ré se n te r le s rap p o rts sur les travaux de la C ornaission économique e t fin a n c iè re p ro v iso ire de la S ociété des H âtio n s, nr.ls i l a v a it eu ju sq u 'à présen t la bonne fo rtu n e de tro u v er on IT. Ador, qui a s s i s t a i t à nos sé an ces, un in te rp rè te et 1 in te rp ré té le plus au to risé dos voeux de la Commission. Aussi s an rô le s ' etc i t - i l borné ju sq u 'à ce jour à donner la parole à M. Ador dont le Conseil est unanime à r e g r e t t e r 1Tabsence et dont i l so u h aite l e prompt rétab lissem en t. Je su is donc obligé au jo u rd hui de vous f a i r e connaître moi-nome les r é s u lta ts obtenus par l e Comité économique et par le Comité fin a n c ie r au cours de le u rs d ern ières se ssio n s. C e lle s-c i ont eu lie u r e s p e c tivement à Genève en mars et à Londrês on février-m ars do c e tte cnnée Le rap p o rt des deux Comités vous a été d istrib u é. La Commission économique s 'e s t occupée de quatre grandes questions : le s clauses d a rb itra g e, l'u n if ic a tio n des lo is r e la tiv e s..ux l e t t r e s de change, lo tra it ornent é q u itab le du commerce, 1. concurrence déloyale. Sur la p ro p o sitio n du nanbrs b ritan n iq u e, le Comité économique a commencé l'é tu d e de la question de la v a lid ité des clau ses d 'a rb itra g e, in sérées dans le s c o n tr its commerciaux p riv és. Le Comité a commencé ég:.lament l'é tu d e de la trè s im portant o question du traitem en t 'éq u itab le du commerce, te l q u 'i l re s s o rt de l ' a r t i c l e 23 ( g ) du Pacte. I l a. estimé a s ' i l at i t im possible d 'a r r iv e r actuellem ent à une Con-
2 - 2 - pexam iner-séparém ent c e rta in s asp ects déterm inés du problème, sur lesquels i l p a r a ît p o ss ib le d a r r iv e r à des conventions b i la té r a les ou rég io n ales. Dans ce b ut, un sous-com ité a é té nommé aveo mission d en trep ren d re une étude d é ta illé e de ces d iv ers p o in ts «L étude de l unifier:tio n des lo is r e la tiv e s aux l e t t r e s de change e t de l a question de 1?. concurrence déloyale a v a it déjà été commencée au cours des sessions an térieu res du Comité. Le Comité économique a p oursuivi l étude de ces q uestions. En ce^qui concerne l a prem ière, i l e s t a rriv é à la c anclusien qu une conférence générale p o u rra it e tr e avantageusement envisagée pour l automne Eu égard au r ô le im portant qu a déjà joué le Gouvernement n éerla n d ais dans le s travaux in té rie u rs r e l a t i f s à c o tte ty e stio n, le Comité roc omr.iv.n de de rechercher sa c o lla b o ra tio n. Quant à la concurrence d é lo y ale, le Comité est d avis lue la Convention de Madrid pour la p ro te c tio n de la p ro p riété in d u s trie lle e s t encore im p a rfa ite. I l se propose de soum ettre aux Gouvernements des p ro je ts d amendements à c e tte Convention, en p ria n t ces Gouvernements de f a ir e p art des observations e t des suggestions qu i l s ju g e ra ie n t opportunes. La Section fin a n c iè re de la Commission a également accomp li d im portants travaux : e lle a examiné la question do la superp o sitio n de 1 impôt; c e lle de la p u b lic a tio n d un volume annuel sur les fin an ces publiques; e lle a commencé à d é lib é re r su r l a s i tu a tio n des banques c e n tra le s et sur la question de la créatio n d une Chambre de Compensation In te rn a tio n a le ; e lle s est préoccupée de donner s u ite aux recommandations du Conseil concernant l a désignation de c o n s e ille r s techniques auprès de c e rta in s Gouvernements; e lle a p ris le s mesures n é c e ssa ire s pour m ettre en n p p lic a - / tion les voeux de la deuxième Assemblée l in v ita n t à p re sse r son enquête auprès des Gouvernements œ vue de co n n aître le s mesures p rise s pour assu rer l a p p lic a tio n des p rin cip es de la Conférence de B ruxelles ; elle s 'e s t préoccupée de poursuivre.
3 - 3 - l'oeuvre e n tre p ris e 'par la Société des Hâtions à propos des crédits in tern atio n au x, qui e s t si étro item en t lié e à to u t p ro je t 4e reco n stru ctio n de l Europe; e lle a termine 1 1examen de la question d - un accord in te rn a tio n a l à propos des v aleu rs perdues, volées ou d é tr u ite s, auquel i l s o r t i t s i in té re s s a n t de voir les Gouvernements donner une e n tiè re adhésion; enfin, e lle a élaboré un rap p o rt d é ta illé sur 1,^ s itu a tio n fin a n c iè re de Dantzi/? et- sur l a re c o n stru c tio n fin a n c iè re de l A utriche. par notre collègue du Japon. l a question de Dantzig ser... p résen tée au Conseil En ce qui concerne la rec o n stru c tio n fin an cière de l A utriche, vous vous ra p p e le r s.ans doute que, dans notre séance de ju in d e rn ie r, vous avez au to risé le Comité fin a n c ie r à s'occuper de la re s ta u ra tio n fin a n c iè re de ce p. y s. Vous savez que ce Comité s e s t haté d é la b o re r, d accord avec le Gouvernement / 235 / autrichien, un e x c e lle n t programme de réforme, mai s/malheureusement, il n a pas encore été p o ssib le de le m ettre en p ratiq u e, une des conditions to u t à f a i t e s s e n tie lle s pour toute rec o n stru c tio n - la suspension des hypothèques - n ayant pas été obtenue ju sq u à présent. Quelques unes des p u issan ces.q u i possèdent des hypothèques générales sur tous le s b ien s d E tat a u tric h ie n s n ont pas encore fa it connaître le u r d écisio n de le s suspendre Nous sommes cependant heureux de c o n sta te r que le s E tats-u nis viennent de donner le u r consentement à la suspension de le u rs hypothèques. C e s t un progrès pouvoir/ considérable qui nous donne l espoir de ygtencr~a~ bien 1 oeuvre en trep rise. Lu commencement de c e tte année, la s itu a tio n de l'a u tric h e s e s t un peu am éliorée à la su ite des c ré d its qui lu i ont été donnés ou promis par le s Gouvernements i t a l i e n, fran ça is,
4 I anglais et tchécoslovaque» Ces deux d ern iers gouvernements ont été d 'a v is qu Ton d ev ait s a is ir c e tte occasion pour m ettre en pratiq u e le programme de réforme de la Société des Nations, et i l s ont demandé que le Comité fin a n c ie r s o it in v ité à collaborer avec le Gouvernement a u tric h ie n en nommant un conse ille r f in a n c ie r financier de c e tte le P re sid en t du Conseil a s a is i le Comité demande. Comme vous le verrez dans le rap p o rt, le Comité, désireux de re sp e c te r la souveraineté de 1 ' Vu tric h e, a voulu connaître l 'a v i s du Gouvernement a u tric h ie n. Ce d ern ier a exprimé l'o p in io n que pour des ra iso n s de p o litiq u e in té rie u re, le moment n 'é t a i t pas opportun pour la nomination d'un c o n se ille r financière le Comité a, dans ces conditions, décidé de suspendre c e tte nom ination et nous a demandé de donner av is de cette d écisio n aux Gouvernements, é u is i l se t i e n t toujours p rê t à co llab o rer avec le Gouvernement a u tric h ie n dans la mesure de ses moyens pour l 'achèvement du programme rue 1 T u tric h e a é la b o ré, le Conseil estim era certüinem ent opportun de donner son assentim ent à 1 'a ttitu d e adoptée par le Comité financier C ette revue rapide et bien in s u ffis a n te des travaux des deux Comités e s t cependant une preuve de 1 'a c t i v it é nue dép lo ien t le s organismes techniques de la Société des Nations dans oe domaine si d i f f ic ilo, m ais d 'u n,in té r ê t si a c tu e l, le Conseil sera unanime à f é l i c i t e r la Commission économique e t fin a n c ière du zèle q u 'e lle a apporté dans 1 'accomplissement de sa tache. J :a i 1 'honneur de proposer au Conseil d 'ad o p tio n àes rc so lu tio n s suivantes :
5 SECT J CM EOO.UCUTWJE - Le Conseil de l a Société des H âtions, après avoir examiné le rap p o rt p résen té par la S ection économique de la Commission économique e t fin a n c iè re p ro v iso ire sur La session tenue à Genève en mars 1922, adopte le s ré so lu tio n s suivantes : 1 c - IQIIIH TION DU PRESIDENT Le Conseil prend, acte de la nom ination à la p ré sidence pour la p résen te sessio n, du C hevalier de './outers d Opli n t e r. I l t ie n t à p ré se n te r ses remerciements a u x p r é s i dents des sessio n s précédentes de la Commission, II. Henri Heer et S ir Hubert Llew ellyn Smith, pour le s e x c e lle n ts serv ices qu! i l s ont rendus au Conseil de la Société 2» ~ G IB USES D T R.. 31 T.R. PS, - I l note avec s a tis f a c tio n que l a Comité économique a commencé 1 1examen de la q u estio n de la v aleu r des clauses d 1a r b itra g e.à in s é re r dans l e s c o n tra ts de commerce, p a rtic u lièrem ent dans le s c o n tra ts passés entre r e s s o r tis s a n ts de pays d iffé re n ts e t q u 'i l a décidé de nommer un comité sp écial d' experts, chargé de donner a v is sur la q uestion, du p o in t de vue le g a l e t du p o in t de vue commercial, 3 «- LETTRES SE CH HGS. - I l co nstate que la Commission économique e s t d av is qu'une conférence, soigneusement préparée, p e rm e ttra it de r é a lis e r un progrès considérable vers une lé g is la tio n plus uniforme sur l e s l e t t r e s de change. E tant donné le ro le prépondérant joué ju s q u 'ic i p ar le s Pays-Bas dans le s questions de ce genre, i l in v ite le S e c ré ta ire Général, conformément à
6 l'opinion du Comité économique, à co n su lter le Gouvernement néerlandais sur la p o s s ib ilité cl'une c o lla b o ra tio n entre ce Gouvernement e t 1 ro rganisation économique de l a Société des H âtions en vue de convoquer une conférence e t de procéder aux travaux préparatoires n é c e s sa ire s. TrT-ITEOHT EQUITABLE DU COMMERCE. I l approuve le s conclusions p ro v iso ires d économique e t note que ce d e rn ie r a nommé un sous-comité chargé 6g précéder à un examen p lu s approfondi de la c.uostion. JOUQUEREITCE ICJCY-'-LE, le C onseil, considérant que la suppression de la concurrence déloyale e st une étape vers un traitem en t p lu s équitable du commerce,(a) approuvé l a p ro p o sitio n de communiquer à tous le s E ta ts Membres de la S ociété e t. u:: principaux E ta ts qui n'en sont pas Membres le rap p o rt du Comité économique sur la concurrence déloyale, y compris 1 avant p ro je t a ' a r t i c l e s en vue d une convention, b) in v ite le s E ta ts nombres de la Société à examiner <avoc soin lo rap p o rt communiqué, y compris 1 ' a v a n t-p ro je t qui le u r e s t soumis pour av is, e t dans le cas où i l s a u ra ie n t à p résen te r des amendements ou à o f f r i r des suggestions, d en inform er le S e c ré ta ria t le plus t ô t p o ssib le ; i l a u to rise le Comité économique e t le Secret ire Général à c o n su lter, au cas où i l s le ju g e ra ie n t d é s ira b le, des experts de d if fé r e n ts pays, ) recommande que le s E ta ts Membres de la S o c iété, qui ne sont Pis encore Membres de l'u n io n pour la p ro te c tio n de la p ro p riété in d u strie lle, prennent immédiatement le s d isp o sitio n s n é cessaires P ur y adhérer.
Accueil Events, l accueil personnalisé des touristes d affaires Informations, bonnes adresses, réservations et découvertes!
Lyon City Card 1 jour 2 jours 3 jours Ta xis et M inibus - Tarifs forfaitaires Jour : 7h - 19h Nuit : 19h - 7h Lyon/ Villeurbanne - Aéroport St Exupéry 59 81 Lyon 5ème et 9ème excentrés - Aéroport St Exupéry
Plus en détailChapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION
Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION Rappel d u c h api t r e pr é c é d en t : l i de n t i f i c a t i o n e t l e s t i m a t i o n de s y s t è m e s d é q u a t i o n s s i m u lt a n é e s r e p o
Plus en détailprofessionnelle Fiche pratique Préparateur en pharmacie hospitalière Avril 2010 Fiche pratique professionnelle du Synprefh INTRODUCTION
Fiche pratique professionnelle du Synprefh Préparateur en pharmacie hospitalière Fiche pratique professionnelle INTRODUCTION En milieu hospitalier comme à l officine, les préparateurs en pharmacie sont
Plus en détailComment régler un litige avec son vendeur de produits financiers?
Comment régler un litige avec son vendeur de produits financiers? Elsa Aubert Direction des relations avec les épargnants Le 16 novembre 2011 2 Plan de la présentation I Auprès de qui réclamer? 1. L interlocuteur
Plus en détailMaster AISA. Préparé par: Encadré par le Professeur: Cherkani sami. Khadoud Ali Mme Oumhani Eddilani Harmouch Mounir Zedgui Salah
UNIVERSITE MOULAY ISMAIL FACULTE DES SCIENCES JURIDIQUES ECONOMIQUES ET SOCIALES MEKNES Master AISA Préparé par: Cherkani sami Encadré par le Professeur: Khadoud Ali Mme Oumhani Eddilani Harmouch Mounir
Plus en détailcurité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE
Déclarer un événement indésirable un élément majeur pour la sécurits curité du patient 19 mai 2009 Aurore MAYEUX Guy CLYNCKEMAILLIE Les hôpitaux plus meurtriers que la route Courrier de l escaut, janvier
Plus en détailLES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.
LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont
Plus en détailLe décret du 11 mars 1999 relatif au PERMIS D ENVIRONNEMENT
Le décret du 11 mars 1999 relatif au PERMIS D ENVIRONNEMENT «Le registre des modifications» UWE «90 minutes pour l environnement» DGO3 - DPA Mons Wavre - Jeudi 10 mai 2012. B. Bequet 1 Plan de l exposé
Plus en détailInscription en ligne FQSC. Guide d utilisation
Inscription en ligne FQSC Guide d utilisation Ce Guide est rédigé comme aide-mémoire pour l achat de votre licence sur le site internet de la FQSC. Dans un prem ier temps, vous devrez vous rendre sur le
Plus en détaill Agence Qui sommes nous?
l Agence Qui soes nous? Co Justine est une agence counication globale dont la ission est prendre en charge l enseble vos besoins et probléatiques counication. Créée en 2011, Co Justine a rapient investi
Plus en détailOpenLDAP : retour d expérience sur l industrialisation d annuaires critiques
Intervention du 29 Avril 2004 9 h 15 10 h 45 M. Sébastien Bahloul Chef de projet Expert Annuaire LDAP bahloul@linagora.com OpenLDAP : retour d expérience sur l industrialisation d annuaires critiques Plan
Plus en détailN 1 2 1 L a R e v u e F r a n c o p h o n e d u M a n a g e m e n t d e P r o j e t 2 è m e t r i m e s t r e 2 0 1 3
Du côté de la Recherche > Managemen t de projet : p1 L intégration des systèmes de management Qualité -Sécurité- Environnement : résultats d une étude empirique au Maroc Le co ntex te d es p roj et s a
Plus en détailAutoris ations pour :
MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Direction de l Economie Division des Relations Economiques et Financières Extérieures Tél (00228) 22326950/ 22210250 Autoris ations pour : Exercice en qualité de
Plus en détailLa Cible Sommaire F o c u s
La Cible Sommaire F o c u s F o n d a t e u r : J e a n L e B I S S O N N A I S D i r e c t e u r d e l a p u b l i c a t i o n : M a r t i n e M I N Y R é d a c t e u r e n c h e f : S e r g e C H A N
Plus en détailAutoris ations pour :
MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Direction de l Economie Division des Relations Economiques et Financières Extérieures REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail-Liberté-Patrie Autoris ations pour : Exercice
Plus en détailEnjeux et contraintes de la mutualisation des ressources pour les collectivités et les agents
Mercredi 5 novembre 2014 Enjeux et contraintes de la mutualisation des ressources pour les collectivités et les agents Hervé PETTON, Directeur Territorial 35 ans d expérience professionnelle en collectivités
Plus en détailInternational : les références d Ineo Systrans
International : les références d Ineo Systrans Ineo Systrans Références SAEIV* *Système d Aide à l Exploitation et d Information des Voyageurs ZONE EUROPE BELGIQUE Bruxe l les Liège Mons ROYAUME-UNI Edimbourg
Plus en détailN u m é rit a b - A d m in is tra tio n d u n p a rc d e ta b le tte s P ré s e n ta tio n p a r P a tric k D e m ic h e l L e 6 m a i 2 0 1 4
N u m é rit a b - A d m in is tra tio n d u n p a rc d e ta b le tte s P ré s e n ta tio n p a r P a tric k D e m ic h e l L e 6 m a i 2 0 1 4 Canopé : Création Accompagnement Nouvelle Offre Pédagogique
Plus en détailLot 4: Validation industrielle. Youness LEMRABET Pascal YIM, 19/11/2010
Lot 4: Validation industrielle Youness LEMRABET Pascal YIM, 19/11/2010 Partenaires Lot 1 Modèle du processus métier L4.1 Modèles PSM Lot 2 Guide d implantation L4.2 Développement & Recette prototype Lot
Plus en détailCentre de Récupération de SoftThinks
Centre de Récupération de SoftThinks Table des matières Révisions... 1 Table des matières... 2 Introduction... 3 Quel est l objectif du Centre de Récupération de SoftThinks?... 3 Que pourrez-vous trouver
Plus en détailUn exemple d étude de cas
Un exemple d'étude de cas 1 Un exemple d étude de cas INTRODUCTION Le cas de la Boulangerie Lépine ltée nous permet d exposer ici un type d étude de cas. Le processus utilisé est identique à celui qui
Plus en détailConcevoir une chèvrerie Evolutive et économique
Concevoir une chèvrerie Evolutive et économique Chèvrerie 90 places avec fromagerie annexe Chèvrerie 200 places évolutive DOSSIER réalisé par Chambre d Agriculture des Deux Sèvres Maison de l'agriculture
Plus en détailLa santé de votre entreprise mérite notre protection.
mutuelle mclr La santé de votre entreprise mérite notre protection. www.mclr.fr Qui sommes-nous? En tant que mutuelle régionale, nous partageons avec vous un certain nombre de valeurs liées à la taille
Plus en détailGUIDE GÉNÉRAL SUR LE CCSP ET LA PRÉSENTATION DE L I N F O R M ATION FINANCIÈRE DES CONSEILS SCOLAIRES
GUIDE GÉNÉRAL SUR LE CCSP ET LA PRÉSENTATION DE L I N F O R M ATION FINANCIÈRE DES CONSEILS SCOLAIRES Ministère de l Éducation TA B L E D E S M AT I È R E S 2 I N T RO D UC TI ON E T C O N T EX T E Q
Plus en détailCompression Compression par dictionnaires
Compression Compression par dictionnaires E. Jeandel Emmanuel.Jeandel at lif.univ-mrs.fr E. Jeandel, Lif CompressionCompression par dictionnaires 1/25 Compression par dictionnaire Principe : Avoir une
Plus en détailETUDE S UR LE DEMENAGEMENT D ENTREPRIS ES
ETUDE S UR LE DEMENAGEMENT D ENTREPRIS ES Struc ture é c onom ique Un s e c te ur dom iné par le s TPE Le secteur du déménagement est caractérisé par son faible degré de concentration et son atomisation.
Plus en détailContrat d'association avec mise en commun des honoraires
Les soussignés : Contrat d'association avec mise en commun des honoraires 1) nom, prénom, qualification professionnelle, adresse privée, matricule national, code médecin personnel 2) etc. ont convenu d'établir
Plus en détailTechnique RSR. 27.6.08 /DCo
La : -35 collaborateurs -120 applications métiers -2 services de piquet -1 service desk commun avec la TSR -Un parc véhicule -Un parc de matériel extérieur -Une très forte diversité d outil et de connaissances
Plus en détailPLANIFICATION ET BUDGÉTISATION
PLANIFICATION ET BUDGÉTISATION Alberto Escudero Pascual Ce que cette unité vous dit... Un budget n'est pas une requête pour du financement... Un bon plan nécessite un bon budget... Un bon budget montre
Plus en détailDroit et pratique bancaire dans l espace OHADA
Manuel Roland Tcheumalieu Fansi Droit et pratique bancaire dans l espace OHADA Avant-propos du Pr Alain Kemnogne Simo Préface du Pr Michel Storck L'Darm attan TABLE DES MATIÈRES A V A N T -P R O P O S...7
Plus en détailP h i l h a r m o n i s
Adoptez un nouveau rythme pour vos placements P h i l h a r m o n i s NOTE D INFO R M ATI O N C o n t rat Collectif d assurance sur la vie à adhésion facultative L e s c a r a c t é r i s t i q u e s d
Plus en détailPhilippe-Didier GAUTHIER
-Didier Ingénierie, Management, Administration en Éducation et Formation 1 - Parcours professionnel 2 - Projet professionnel 3 - Missions et interventions Portfolio Numérique : - Didier Parcours professionnel
Plus en détailManuel d'exécution (version 2)
ROYAUME DU MAROC Ministère de l'agriculture et de la Pêche Maritime Agence pour le Développement Agricole Projet Intégration du Changement Climatique dans la mise en œuvre du Plan Maroc Vert (PICCPMV)
Plus en détailFinancer son développement international
Diplôme Spécial en Management International Financer son développement international Michel Philippart Alger, Mai 2007 Planification Identifier les postes clé Calculer la valeur de l'initiative et faire
Plus en détailTOUTES LES SOLUTIONS DE SÉCURITÉ EN PERSPECTIVE
TOUTES LES SOLUTIONS DE SÉCURITÉ EN PERSPECTIVE SY YSTÈ M E D ID ENT IFI CAT ION SYS T ÈME D IDENTIFICATION SYSS T È M E D IDE N T I F ICATI O N A U D I T SY ST ÈM E DE VERROUILLAGE RO SYSTÈM ÈME D E V
Plus en détailPortrait de métier. sommaire du portrait de métier
Pôle métiers formation Portrait de métier Le métier de charé des relations avec le public Les portraits de métiers» sont une proposition du Pôle métiers formation de l Arcade. L atelier charé des relations
Plus en détaillogiciels Reconnus d Intérêts Pédagogiques, encyclopédies, dictionnaires, manuels scolaires,... ;
Les m od es d u tilisation d e l A ctiv board et d A ctiv stu d io M od e 1 A ctiv board, La palette g raph iq u e et sa sou ris...p2 A ctiv stu d io O u tils et g rand s principes...p3 M od e 2 A ctiv
Plus en détailÀ travers deux grandes premières mondiales
Les éco-i ovatio s, le ouvel a e st at gi ue d ABG À travers deux grandes premières mondiales - éco-mfp, premier système d impression à encre effaçable - e-docstation, premier système d archivage intégré
Plus en détailRetour d expérience sur le management des processus
GSI Gestion des systèmes d information Retour d expérience sur le management des processus Université d été 8-31 août 00 Dijon Guy Rivoire Consultant ELNOR Guy RIVOIRE 30/08/00 / 1 Présentation ELNOR Cabinet
Plus en détailEtude du potentiel de développement aux abords des gares du Boulonnais
Etude du potentiel de développement aux abords des gares du Boulonnais 6 octobre 2011 Atelier des Méthodologies du Foncier EPF Sommaire I. Contexte de l étude et objectifs II. La méthodologie III. Présentation
Plus en détail&RQVHLO5pJLRQDO 1RUG± 3DVGH&DODLV
SRXU &RQVHLO5pJLRQDO 1RUG± 3DVGH&DODLV (WXGH GHIDLVDELOLWpG XQHILOLqUHUpJLRQDOHLQIRUPDWLTXH HQ 2SHQ6RXUFH ª 6RPPDLUH / REMHWGHO pwxgh /HVSURMHWVHWDSSOLFDWLRQVHQ13'& /HVDWRXWVHWIDLEOHVVHVGHODUpJLRQ /HVFRQVWDWV
Plus en détailÉvaluation et validation du Socle Commun de compétences et de connaissances
Évaluation et validation du Socle Commun de compétences et de connaissances Deux opérations distinctes dans une démarche cohérente Collège des I.A.-I.P.R. - Académie de Caen - 1 Plan I. Des principes,
Plus en détailAutomatisation. Industrialisation des tests
Module C : Industrialisation des tests Industrialisation des tests V1.1. VERIFIER.VALIDER ALTRAN CIS, de l assurance Qualité à l assurance de la qualité le lien et la de l automatisation des automates
Plus en détail1 L APST : une Institution au service des Professionnels. 2 Les Membres Adhérents de l APST. 3 Le Rôle et l Objet de l APST.
L APST EN 10POINTS 1 L APST : une Institution au service des Professionnels du Tourisme et des Clients Consommateurs. L APST, Association Professionnelle de Solidarité du Tourisme, créée par des Professionnels
Plus en détailJURISPRUDENCE INTERNATIONALE INTÉRESSANT LA BELGIQUE
JURISPRUDENCE INTERNATIONALE INTÉRESSANT LA BELGIQUE COUR EUROPÉENNE DES DROITS DE L HOMME ARRÊT DU 10 FÉVRIER 1983 AFFAIRE ALBERT ET LE COMPTE (*) L article 6 de la Convention de sauvegarde des droits
Plus en détailLes centres de co nta cts m u l ti ca na u x Philippe M o u ret Pro du c t Sa les Spec ia list C o n t a c t C en t er Tec hn o lo g ies phm o u ret @ c isc o. c o m P r e s e n t a t i o n _ I D 2 0 0
Plus en détailChafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1
Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Définition: La cinématique est une branche de la mécanique qui étudie les mouements des corps dans l espace en fonction du temps indépendamment des causes
Plus en détailElargissez l horizon de votre gestion. www.mercator.eu
www.mercator.eu Elargissez l horizon de votre gestion Mercator se profile comme la solution de gestion commerciale et de comptabilité alliant simultanément les avantages de la solution informatique standard
Plus en détailRapport de gestion 2004
Fondation commune de la Société suisse d Assurances générales sur la vie humaine pour encourager la prévoyance en faveur du personnel des entreprises en Suisse romande et au Tessin Rapport de gestion 2004
Plus en détailDISPOSITIF EN FAVEUR DU POUVOIR D ACHAT DES FONCTIONNAIRES GIPA 2008
DISPOSITIF EN FAVEUR DU POUVOIR D ACHAT DES FONCTIONNAIRES GIPA 2008 Eric WOERTH Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique et André SANTINI Secrétaire d État chargé de la Fonction
Plus en détailL EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue
L EQUIPE ÉTUDES ENQUÊTES: Georgeta BOARESCU psychologue coordonateur études enquêtes Florin CIOTEA sociologue EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION PUBLIQUE EuPA EDUCATION EUROPÉENNE EN ADMINISTRATION
Plus en détailNotice d'exploitation
Notice d'exploitation Equipement de Contrôle et de Signalisation incendie ECS 80-4 ECS 80-4 C ECS 80-8 ECS 80-8 C Sommaire Introduction...3 Maintenance...4 Commandes et signalisations utilisateur...6 Commandes...7
Plus en détailSommaire. Le RSA, c est quoi? 4. Qui peut en bénéficier? 5. Mes droits. Mes obligations et engagements. La commission RSA 10
mode Notes Sommaire Le RSA, c est quoi? 4 Qui peut en bénéficier? 5 Mes droits l L allocation RSA l L accompagnement Mes obligations et engagements l Mes démarches d insertion l Mes démarches administratives
Plus en détailExigences internationales harmonisées pour la certification d un lot
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 Exigences internationales harmonisées pour la certification d un
Plus en détailUNE AVENTVRE DE AGILE & CMMI POTION MAGIQUE OU GRAND FOSSÉ? AGILE TOVLOVSE 2011 I.VI VERSION
UN AVNTVR D AGIL & CMMI POTION MAGIQU OU GRAND FOÉ? AGIL TOVLOV 2011 VRION I.VI @YAINZ AKARIA HT T P: / / W WW.MA RTVIW.F HT T P: / / W R WW.KIND OFMAG K.COM OT @ PAB L OP R N W.FR MARTVI. W W W / :/ P
Plus en détailcopyright CNCC VI. LES COMMISSAIRES AUX COMPTES ET LA TRANSFORMATION DES SOCIÉTÉS COLLECTION NOTES D INFORMATION DÉCEMBRE 2010 SERVICES
COLLECTION NOTES D INFORMATION VI. LES COMMISSAIRES AUX COMPTES ET LA TRANSFORMATION DES SOCIÉTÉS DÉCEMBRE 2010 SERVICES DÉPARTEMENT ÉDITION 3 SOMMAIRE AVANT-PROPOS... 9 1. DISPOSITIONS COMMUNES AUX DIVERSES
Plus en détailGéomètres-Experts, simplifiez-vous la vie!
Géomètres-xperts, simplifiez-vous la vie! Septembre 2012 Pour découvrir les services de votre syndicat, cliquez sur les applications. CO FO TIO MA C U C CO M MU TIO ICA O -B UT IQ U S I S FA AF CIAL SO
Plus en détailAssociation Suisse de Médecine Equine (ASME) Statuts
Association Suisse de Médecine Equine (ASME) Statuts 2 Article 1 Nom et siège 1.1. L Association Suisse de Médecine Equine (ASME) est une association selon les articles 60 et suivants du Code Civil Suisse
Plus en détailGUIDE PRATIQUE POUR REDIGER UN SCENARIO PEDAGOGIQUE
Comment s y prendre? Par quoi commencer? GUIDE PRATIQUE Qui doit l écrire? POUR REDIGER Quand? UN SCENARIO PEDAGOGIQUE Sous quelle forme et quel contenu? A quoi ça sert exactement? 2 SOMMAIRE I LE SCENARIO
Plus en détailMémoire de fin d études d orthophonie CENTRE DE FORMATION DE STRASBOURG
Mémoire de fin d études d orthophonie CENTRE DE FORMATION DE STRASBOURG Objectifs : Au cours de la dern ière ann ée d études, les cand idats ayant v alidé la to talité de s enseignements théoriques et
Plus en détailQu est - ce qu une SAEM L? Une SAEM L (Sociét é Anony m e d Econom ie M ix t e Locale) est une sociét é de dr oit pr iv é, au
Chais M agelis - 2003/ 2006 M aît r ise d ouv r age déléguée Qu est - ce qu une SAEM L? Une SAEM L (Sociét é Anony m e d Econom ie M ix t e Locale) est une sociét é de dr oit pr iv é, au sein de laquelle
Plus en détailLE COURRIER DE L OISE
1 0 1 n n é e. - N* 3 9 1 L2 NUMEfl CUSWTIMES D im anche 8 Septem bre-14)30 ÏÜ ÎiT LE COURRIER DE L OISE JOURNL DE L RRONDISSEMENT DE SENLIS P a r a i s»» *! * B O N N E M E N T S On ta..n Six mois. On
Plus en détailFIT4 BUSINESS HARMONISATION OU NON
FIT4 BUSINESS HARMONISATION OU NON DES INTERMÉDIAIRES DU COMMERCE ANIMATION PAR MARIE-LUCE DIXON, JURISTE LUNDI 10 MARS 2014 LUXEMBOURG LE RÉSEAU ENTREPRISE EUROPE Réseau officiel mis en place par la Commission
Plus en détailE n q u ê t e s u r l a c t i v i t é 2 0 0 7 d e s d e s i g n e r s e t a r c h i t e c t e s d ' i n t é r i e u r
04/09/08 E T U D E E n q u ê t e s u r l a c t i v i t é 2 0 0 7 d e s d e s i g n e r s e t a r c h i t e c t e s d ' i n t é r i e u r R é s u l t a t s S om maire 1 Pr é se nt atio n d e l ét ud e...
Plus en détailMANAGEMENT DES SITUATIONS DE CRISE DE LA STAGNATION A LA CROISSANCE
MANAGEMENT DES SITUATIONS DE CRISE DE LA STAGNATION A LA CROISSANCE 1 QUELQUES DEFINITIONS 1 CONTEXTE : "ensemble de circonstances dans lesquelles s'insère un fait". CRISE : du grec krisis «décision, jugement»,
Plus en détailCadeaux d affaires, cadeaux d entreprises, objets publicitaires www.france-cadeaux.fr - services@france-cadeaux.fr
Siège France Cadeaux 84 rue de Courbiac 17100 Sainte 00 33 (0)5 46 74 66 00 RC.424 290 211 00012 Cadeaux d affaire, cadeaux d entreprie, objet publicitaire www.france-cadeaux.fr - ervice@france-cadeaux.fr
Plus en détailRéférence: IM67002094
Commune : Haguenau 67 (aire d étude : Haguenau) Référence: IM67002094 Adresse : Titre de l œuvre : Saint-Georges (rue) Tour eucharistique dite custode du saint sacrement Edifice contenant : église paroissiale
Plus en détailDEMANDE D ADHÉSION SÉCURITÉ SANTÉ. (Sous réserve d acceptation par l association ANDAC, et le cas échéant de la résiliation du précédent contrat)
(Ss réserve d acceptation par l association ANDAC, Réception avant le 15 : effet 1 er du mois en crs Régimes Salariés Agricoles, Commerçants, Artisans, Professions libérales du conseiller : ADHÉSION NOUVELLE
Plus en détailCERES logiciel de gestion commerciale pour négociants en vin
CERES logicil gion commrcial pour négocian n vin. Gion complè acha vn : comman, rérvaion, gion courag commrciaux.. Moul campagn primur : piloag la campagn via un ablau bor prman viualir accér aux informaion
Plus en détailTableau de bord économique du tourisme en Maurienne Hiver 2005/2006
Tableau de bord économique du tourisme en Maurienne Hiver 2005/2006 Modane, 15 décembre 2006 François VICTOR 1 Les points à traiter Quel bilan pour l activité touristique en Maurienne pour l hiver 2005/2006?
Plus en détailLe Projet InCaS (2006-2009) Consortium
Le Projet InCaS (2006-2009) Consortium Le consortium du projet comprend: Des associations de PME dans 5 pays pilotes Un groupe de base de 25 PME dans ces pays Coordinateur du Projet : Confédération Européenne
Plus en détailUne fois de plus, Logic-immo.com s affirme comme un acteur majeur de la communication immobilière au service des attentes des professionnels.
2012 : RETOUR LES SALONS SUR UN IMMOBILIERS ÉVÈNEMENT DES RÉUSSI 3 LACS! Il y a tout juste un an, nous avons eu la volonté d inventer un nouveau style de rendez-vous immobilier, dans un lieu exceptionnel.
Plus en détailGuide SEPA Paramétrage Experts Solutions SAGE depuis 24 ans
Guide SEPA Paramétrage Axe Informatique Experts Solutions SAGE depuis 24 ans Installation Paramétrage Développement Formation Support Téléphonique Maintenance SEPA Vérification du paramétrage des applications
Plus en détail«Entretien professionnel Réunion du vendredi 22 mai 2015 Rémi NAINSOUTA
«Entretien professionnel Réunion du vendredi 22 mai 2015 Rémi NAINSOUTA Document Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de la Guadeloupe LES DISPOSITIONS STATUTAIRES RELATIVES A L ENTRETIEN
Plus en détailWebInfoRoute. Gestion de l'information routière. outil développé en partenariat avec le. Conseil Général des Hautes-Alpes.
WebInfoRoute Gestion de l'information routière outil développé en partenariat avec le Conseil Général des Hautes-Alpes Sommaire L'information routière dans les Hautes-Alpes Patrouilles Viabilité hivernale
Plus en détailVILLE DE VILLEURBANNE CONSEIL MUNICIPAL 5 JUILLET 2010. -ooo-
VILLE DE VILLEURBANNE CONSEIL MUNICIPAL 5 JUILLET 2010 -ooo- La s é a n c e e s t o u v e r t e s o u s l a p r é s i d e n c e d e M o n s i e u r J e a n - P a u l BR E T, M a i r e d e V i l l e u r
Plus en détailDéveloppement ebusiness
Développement ebusiness Cédric Pulrulczyk ( cedric.pulrulczyk@alcatel.fr ) Alcatel Université Lille I March 2005 Plan Analyse des besoins Méthodologie XP Modélisation UML Outil de développement Tests et
Plus en détail2. L origine et les menaces pesant sur le changement
Gestion de changements et de crise Dilemmes et solutions Habil. Dr. NOSZKAY Erzsébet Maître de conférence responsable de filière Université Szent István Faculté des Sciences Economiques et Sociales, Gödöllő
Plus en détail:t:::.:l!*n 1':ro "rt:: d'!un d6lai qui ne peur êrre inrérieur à quinze moisl conrprés
2.-.-_. TITRE.TI DE LA I4OhINAIE '\ Articlq 2r.- Lrunité monétaiù de la République Fédérare Islamique des comoresr ciaprès dénonrméo "}a Répubriqusi'e'est -le franc comorien (Fc) clont la valeur est fixée
Plus en détailM é ca n ism e Pr o lo g. Ex e m p le
M é ca n ism e Pr o lo g Principe général : 5. on élimine L du but (le but est géré comme une pile de clauses) 1. on prend dans le but (clause ne contenant que des littéraux négatifs) le premier littéral
Plus en détailMutuelle Vaudoise, Société Coopérative Statuts
Mutuelle Vaudoise, Société Coopérative Statuts MUTUELLE VAUDOISE, Société Coopérative Statuts I. Raison sociale, siège, but de la Société Art. 1 La MUTUELLE VAUDOISE, Société Coopérative, ci-après «la
Plus en détailDON ET GREFFE D ORGANES EN TUNISIE. Dr Mylène Ben Hamida Centre National pour la Promotion de la Transplantation d Organes
DON ET GREFFE D ORGANES EN TUNISIE Dr Mylène Ben Hamida Centre National pour la Promotion de la Transplantation d Organes Les besoins sont importants Insuffisance Organique Terminale en Tunisie Rein :
Plus en détailASSURANCE RESPONSABILITÉ CIVILE D ENTREPRISES ET PROFESSIONNELLE. Conditions générales
ASSURANCE RESPONSABILITÉ CIVILE D ENTREPRISES ET PROFESSIONNELLE Conditions générales ASS U R A N C E R E S P O N SABILITÉ CIVILE D ENTREPRISES ET PRO F E SS I O N N E L L E CONDITIONS GÉNÉRALES (CG A
Plus en détailÉ í í Ö í í í Í ÍÍ Á Á ó Á Í ü í Ü Ü É É í í É ü TXUOGNAGE Courir ]Tst D u s p o r t a u t o m o b i ldea n s1 e s p a y sd e ' E s t i... D a n sn o t r e e n t o u r a g eq, u a n dn o u s e n p a r
Plus en détail[ ] Mutissimo H B.P. 8842-79028 Niort c e d e x 09. l Assistance à Domicile de votre mutuelle qui renforce l ensemble de vos garanties santé
Toute communication écrite relative à l assistance à domicile doit être adressée à : [ ] Mutissimo H B.P. 8842-79028 Niort c e d e x 09 Mutissimo H Votre mutuelle : l Assistance à Domicile de votre mutuelle
Plus en détailTable des matières. Partie I : La nouvelle déduction pour la propre et unique habitation
Table des matières Partie I : La nouvelle déduction pour la propre et unique habitation 1. Conditions liées à l emprunt 1.1. Aperçu des différentes conditions...3 1.2. Commentaire de ces différentes conditions...3
Plus en détailSERRURIER.COM - 01.40.29.44.68
L huisserie LE TRANSLUCIDE 2T ou 2P L étanchéité Joint isophonique à coller (option) La porte 2 FACES acier 20/10 ème + 4 omégas sur le périmètre 4 paumelles de 140 mm sur butée à billes L oculus Oculus
Plus en détailau 1er janvier 2009 Règlement Mutualiste Société Mutualiste du Personnel du Groupe MMA et ses Filiales
NT EE NIT ER AT au 1er janvier 2009 E ID RA RA T ER NITE ENTRAIDESOL T RI I DA E FR AT ER N ITE EN TRA R FRATE IDES AR I T E OLIDARIT EFRATERNITEENTRAIDESOLID DA RITEF A ID ESOLID SOL ID NT RA ITE TRA
Plus en détailL A C L IE N T È L E B R ITA N N IQ U E : P R O F IL S E T A T T E N T E S
La boite à outils du Contrat de Destination Grand Ouest L A C L IE N T È L E B R ITA N N IQ U E : P R O F IL S E T A T T E N T E S 3 1-Le guide du Bon Accueil 2-Le glossaire Gastronomie 3-Laclientèlebritannique:profilsetattentes
Plus en détailDossier de presse. Acteur majeur de la communication de proximité. Des activités intégrées et complémentaires. Un acteur ancré localement
Dossier de presse Acteur majeur de la communication de proximité Des activités intégrées et complémentaires Un acteur ancré localement Contact presse Taddeo Charles de Froment Porte-Parole 06 68 36 28
Plus en détailVotre capital le plus précieux: Les collaborateurs de votre entreprise.
Votre capital le plus précieux: Les collaborateurs de votre entreprise. Guide de la prévoyance professionnelle (2 e pilier): Assurance accidents obligatoire selon la LAA Complément à l assurance accidents
Plus en détail1062 - - Voie Lactee - G - - 659 97 - - AND G 99-09-04 460MM 934 759 - - AND G 00-08-27 460MM 933 562 - - AND G 00-08-27 460MM 932 590 - - AND G 00-08-27 460MM 931 620 - - AND G 00-08-27 460MM 1627 51
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 13 NOVEMBRE 2012
Département de l Isère Arrondissement de la Tour du Pin Canton de Morestel Commune de PASSINS EXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 13 NOVEMBRE 2012 Le treize novembre deux
Plus en détailBill 69 Projet de loi 69
1ST SESSION, 41ST LEGISLATURE, ONTARIO 64 ELIZABETH II, 2015 1 re SESSION, 41 e LÉGISLATURE, ONTARIO 64 ELIZABETH II, 2015 Bill 69 Projet de loi 69 An Act to amend the Business Corporations Act and the
Plus en détail«Ce formulaire doit être entièrement complété et signé par les emprunteurs et les cautions» Nom :... Nom :... Type de crédit.
Demande de crédit «Ce formulaire doit être entièrement complété et signé par les emprunteurs et les cautions» Cellule hypothécaire Intermédiaire de crédit Nom :... Nom :... Tél. :... Tél. :... GSM :...
Plus en détailSTATUT DU TRIBUNAL INTERNATIONAL DU DROIT DE LA MER. Article premier Dispositions générales SECTION 1. ORGANISATION DU TRIBUNAL. Article 2 Composition
STATUT DU TRIBUNAL INTERNATIONAL DU DROIT DE LA MER Article premier Dispositions générales 1. Le Tribunal international du droit de la mer est créé et fonctionne conformément aux dispositions de la Convention
Plus en détail15.030. du 6 mars 2015. Messieurs les Présidents, Mesdames, Messieurs,
15.030 Message concernant la ratification du protocole n o 15 portant amendement à la convention de sauvegarde des droits de l homme et des libertés fondamentales (CEDH) du 6 mars 2015 Messieurs les Présidents,
Plus en détailUne couverture équilibrée de vos exigences métiers
4, rue du 14 juillet 94270 Le Kremlin Bicêtre 01 53 88 21 00 01 55 98 05 19 contact@ats-gie.com 25 20 15 Un modèle reconnu CA Total M ATS est issu de la volonté de dirigeants d entreprises spécialisées
Plus en détail