LA PREVENTION DES ACCIDENTS AVEC EXPOSITION AU SANG ET FLUIDES BIOLOGIQUES (AES) EN DIALYSE. C. Dumartin Formation FELIN Mars 2013
|
|
- Mathilde Labranche
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LA PREVENTION DES ACCIDENTS AVEC EXPOSITION AU SANG ET FLUIDES BIOLOGIQUES (AES) EN DIALYSE C. Dumartin Formation FELIN Mars 2013
2 Accident avec Exposition au Sang (AES) Tout contact percutané (piqûre, coupure) ou muqueux (œil, bouche) ou sur peau lésée (eczéma, plaie) avec du sang ou un produit biologique contenant du sang
3 Sources des données : Réseau «Surveillance des AES» du CCLIN Paris Nord : extraction données hémodialyse «Surveillance des AES - Raisin» données Sud Ouest Circulaire DGS/DH n 98/249 du 20 avril 1998 Recommandations de la SFHH «Bonnes pratiques d hygiène en hémodialyse», 2004 GERES
4 Plan 1. Le risque infectieux 2. Caractéristiques des AES Types d accident et fonction des personnels Mécanismes de survenue Evitabilité 3. Recommandations pour la prévention des AES en dialyse
5 1. LE RISQUE INFECTIEUX
6 Risque de transmission virale Virus transmissibles après AES VIH, VHC, VHB Risque de transmission virale d un patient à un soignant après exposition percutanée VIH : 0,3% VHC : 3% > 2% VHB : 30% > 6-30%
7 Facteurs de risque de transmission Profondeur de la blessure Type d aiguille (aiguille creuse plus à risque) Calibre de l aiguille Résistance du virus VHB ET VHC résistants dans l environnement Charge virale du patient Moyens de protection du soignant
8 Facteurs de risque de transmission en hémodialyse Ponction de l abord vasculaire introduction et retrait des aiguilles artérielle et veineuse (de gros calibre et creuses) compression en cas d hématome arrêt d un saignement au point de ponction Prélèvements sanguins Injections médicamenteuses
9 Facteurs de risque de transmission en hémodialyse Dépose des aiguilles en fin de dialyse Fuites ou déconnexion du circuit sanguin Élimination des matériels piquants et des déchets souillés Risque constant d exposition au sang : - par piqûre accidentelle - par contact ou projection
10 Risque infectieux : Virus Risque viral bien documenté : VIH virus faiblement transmissible, virus fragile, risque éventuel lié à des erreurs majeures de procédures, risque professionnel toujours présent
11 Risque infectieux AES (toutes disciplines) Nombre de séroconversions professionnelles VIH chez le personnel de santé en France (InVS au 30/06/2012) (N = 35) (N = 14) Dont une séroconversion après projection
12 Séroconversions professionnelles VIH Au 30 juin 2012 (InVS) 14 séroconversions documentées 35 infections VIH présumées Répartition par profession 12 IDE, 1 interne en médecine, 1 secouriste Services concernés Aucun cas en hémodialyse Types d AES : 30 piqûres, 7 coupures, 4 projections, 8 inconnus Mécanisme en cause au moins 8 séroconversions et 12 infections présumées évitables par l application des précautions standard
13 Risque infectieux : Virus Risque viral bien documenté : VHB virus très transmissible : concentration sanguine de 10 8 virions par ml virus relativement résistant dans l environnement stabilité possible de 7 jours sur une surface inerte, incidence très faible depuis la vaccination
14 Risque infectieux : Virus Risque viral bien documenté : VHC virus assez transmissible, virus probablement assez résistant dans l environnement : transmission croisée, pas de prophylaxie possible, risque professionnel +++!!!
15 Risque infectieux AES (toutes disciplines) Nombre de séroconversions professionnelles VHC documentées chez le personnel de santé en France (InVS au 30/06/2012, N=70)
16 Séroconversions professionnelles VHC 70 séroconversions professionnelles VHC au 30 juin 2012 Professionnels concernés 48 IDE, 3 agents hospitaliers, 7 médecins, 2 chirurgiens, 4 laborantins, 5 AS et 1 sage femme Services concernés 8 cas en hémodialyse sur 65 (bilan 31/12/09, InVS 2010) Types d AES : 65 piqûres, 3 coupures, 2 projections Mécanisme recapuchonnage, rangement de matériel, élimination dans conteneur à OPCT, lors prélèvements, pose et dépose de perfusion au moins 30 séroconversions évitables par le respect des précautions standard
17
18 Les risques infectieux liés aux AES
19 2. CARACTERISTIQUES DES AES
20 Données épidémiologiques des AES GERES : groupe d étude sur le risque d exposition des soignants (1991) objectifs : assurer la sécurité des professionnels de santé en réduisant le nombre des AES et donc le risque de contamination en particulier par le VIH et VHC dynamique / épidémiologie guide matériel sécurité RAISIN : réseau d alerte, d investigations et de surveillance des infections nosocomiales recensement national des AES (médecins du travail volontaires)
21 Données épidémiologiques sur les AES Données CCLIN Paris-Nord entre janvier 1995 et décembre 1999 CCLIN Sud-Ouest AES survenus en dialyse entre 2000 et 2011 AES Raisin 2009 Quels professionnels? Quels AES? Comment? Evitabilité?
22 Type d AES selon la fonction des personnels source : CCLIN Paris-Nord => 1999 FONCTION Piqûre Projection Coupure Total N % N % N % N % Infirmière 65 69,9 % 23 24,7 % 5 5,4 % % Aide-soignant 11 78,8 % 3 21,4 % 0 0,0 % % Elève IDE 6 75,0 % 2 25,0 % 0 0,0 % % Médecin 3 75,0 % 1 25,0 % 0 0,0 % % Autre 0 0,0 % % 0 0,0 % % Non docum. 0 0,0 % 0 0,0 % % % Total 85 70,2 % 30 24,8 % 6 5,9 % %
23 AES - Inter-région Sud Ouest et national Professionnels concernés, services de dialyse RAISIN 2011 Nb AES Dont dialyse Dont dialyse % 1,1 1,3 2,0 2% IDE + élèves AS Médecins
24 AES Services de dialyse Inter-région Sud Ouest Ancienneté des professionnels Nb AES dialyse Ancienneté prof <5 ans Ancienneté service <5 ans
25 AES selon le type d exposition source : CCLIN Paris-Nord => 1999 EXPOSITION N % Piqûres 85 70,2 % Superficielles 45 52,9 % Profondes 20 23,5 % Non précisées 20 23,5 % Coupures 6 5,0 % Superficielles 3 50,0 % Profondes 3 50,0 % Projections 30 24,8 % Visage 13 43,3 % Peau lésée % Yeux 4 13,3 % Non précisées 1 3,3 % Total ,0 %
26 Type d AES en services de dialyse AES en dialyse Piqûre Coupure Projection Lieu : poste de dialyse RAISIN
27 AES-RAISIN : Surveillance des accidents avec exposition au sang en 2009
28 AES-RAISIN : Surveillance des accidents avec exposition au sang en 2008
29 Mécanismes en cause dans les AES CCLIN Paris-Nord MECANISME En manipulant une aiguille En manipulant des instruments souillés En manipulant des conteneurs Autre mécanisme En manipulant une seringue En manipulant une lame En intervenant sur un appareil En manipulant des prélèvements Total Fréq % 39,2 % 18,3 % 17,5 % 14,2 % 4,2 % 2,5 % 2,5 % 1,7 % 100 %
30 Tâches en cause dans la survenue de l AES CCLIN Paris-Nord TÂCHE Dialyse Prélèvement sanguin Injection Rangement de matériel Aide à une procédure médicale Manipulation de matériel Pose ou dépose de perfusion Manipulation de déchets Autre Ponction Nursing Pose de Swann Ménage Transport Total Fréq % 46,3 % 14,9 % 11,6 % 6,6 % 4,1 % 3,3 % 3,3 % 2,5 % 2,5 % 1,7 % 0,8 % 0,8 % 0,8 % 0,8 % 100,0 %
31 Tâches et mécanismes en cause AES dialyse - CCLIN SO -Injection - dialyse Tache - Autres soins - Tâches hors patient Mécanismes en cause - Manip. aiguille. désadaptation. En piquant ou retirant aiguille d un bouchon - Manip. Instruments souillés. Dont instruments souillés trainant (22.2%) (48.9%) 5 20 (44.4%) (17.8%) (15.4%) (48.7%) 8 20 (51.3%) (15.4%) (18.2%) (43.6%) 5 23 (41.8%) (14.5%) (21.4%) (35.7%) 7 20 (35.7%) (21.4%) (22.6%) (21%) 3 26 (41.9%) (6.5%) 1
32 Données épidémiologiques sur les AES : Évitabilité Critères d évitabilité des AES définis par le GERES (AES-RAISIN) à partir du recensement des mécanismes de l AES en fonction du moment de survenue de l AES AES survenus après le geste et liés au non respect des Précautions Standard manipulation des aiguilles recapuchonnage, désadaptation manipulation d objets souillés objets traînants utilisation adaptée des conteneurs port de gants ou de lunettes (projections cutanéomuqueuses)
33 Accident percutané et matériel en cause source : CCLIN Paris-Nord => 1999 MATERIEL en cause Fréq % Aiguilles total 65 71,4 % Non précisé 16 17,6 % Autres total 10 10,9 % Conteneur 6 6,6 % Bistouri 2 2,2 % Ciseaux 1 1,1 % Tubes de prélèvement 1 1,1 % TOTAL ,0 %
34 Détail pour les aiguilles, source : CCLIN Paris-Nord => 1999 Aiguille en cause Fréq % Aiguille non précisé 9 9,9 % Aiguille sous cutanée 11 12,1 % Aiguille intraveineuse 8 8,8 % Aiguille à fistule 12 13,2 % Aiguille épicrânienne 5 5,5 % Prélèvement sous vide 5 5,5 % Aiguille intramusculaire 4 4,4 % Système hémoculture 3 3,3 % Aiguille de ponction 2 2,2 % Chambre implantable 1 1,1 % Stylo à insuline 1 1,1 % Lancette 1 1,1 %
35 Évitabilité des AES CCLIN Paris-Nord (1999) 63% des APC évitables par respect précautions standard + utilisation matériel de sécurité existants au moment de la période d étude 37% des AES survenus pendant le geste 51% des AES survenus après le geste en considérant mécanismes et moment de survenue de l AES plus de la moitié des AES auraient pu, en théorie, être évités
36 Évitabilité des AES CCLIN SO En considérant, dans les mécanismes de survenue des AES, les manipulations d aiguilles et les manipulations d objets souillés 48 à 67% des AES, selon les années, auraient pu, en théorie, être évités Services de dialyse APC Raisin 2011 IR 2011 Après le geste % évitables* *Liés directement ou indirectement au non respect des Précautions Standard
37 Évitabilité des AES CCLIN SO En considérant, dans les mécanismes de survenue des AES, les manipulations d aiguilles et les manipulations d objets souillés 48 à 67% des AES, selon les années, auraient pu, en théorie, être évités Services de dialyse Tous services APC Raisin 2011 IR Après le geste % évitables* *Liés directement ou indirectement au non respect des Précautions Standard
38 Prévention des AES Port de gants, CCLIN Paris-Nord, 1999 port de gants lors de la survenue de l AES : 56% Gants et conteneurs, 2001 Sud Ouest 2011 Raisin 2011 % Global APC Global APC Port de gants Conteneur à proximité Global Projections Global Projections Port de lunettes de protection ou de masque à visière 19 3/
39 AES - Statistiques de l inter-région Sud Ouest Services de dialyse - PREVENTION
40 AES - Statistiques de l inter-région Sud Ouest Services de dialyse RAISIN 2011 AES en dialyse Percutané s Projection s
41 Respect des précautions Standard Inter-région SO - tous services Évolution de 2001 à 2011 Bonne observance
42 AES - Statistiques de l inter-région Sud Ouest Services de dialyse -Statut vaccinal / VHB des PE Immunisés après HépB Vaccinés Non Vaccinés Vaccination en cours
43 Statut sérologique du patient source, CCLIN Sud-Ouest, 2011 Statut patient source VIH + : 4 (16) cas - : 58 (293) cas non identifiable : 0 (2) cas inconnu : 1 (37) cas VHC + : 3 (37) cas - : 58 (266) cas non identifiable : 0 (2) inconnu : 2 (43) cas VHB HBs + : 1 (13) cas HBs - : 58 (277) cas non identifiable : 0 (2) inconnu : 4 (56) cas
44 AES - Statistiques de l inter-région Sud Ouest Services de dialyse Raisin AES Lavage Lavage antiseptique Exam séro initial Exam séro ultérieur Prophy VIH proposée Statut patient source inconnu Patient source VIH Arrêt TTT proposé
45 3. RECOMMANDATIONS POUR LA PREVENTION DES AES EN DIALYSE
46 Prévention des AES Prévention collective formation et information des personnels (nature risques, précautions à prendre/agents biologiques) Prévention secondaire protection individuelle (gants, lunettes) Vaccination (Hep B : obligatoire) autres moyens (conteneurs, matériel de sécurité) organisation des soins
47 Vaccination Article L du Code de la Santé Publique «toute personne qui..., exerce une activité professionnelle l exposant à des risques de contamination doit être immunisée contre l hépatite B,...» obligation vaccinale hépatite B pour les soignants Taux d anticorps protecteurs > 10 mui/ml
48 Respect des Précautions Standard Pour tous les patients, quel que soit leur statut infectieux, dans tous les services Port de gants dès qu il existe un risque de contact avec du sang ou tout autre produit d origine humaine, et/ou lorsque les mains du soignant comportent des lésions le gant ne protège pas de la piqûre ni de la coupure, mais il permet de réduire la quantité de sang inoculée ne doit pas dispenser du lavage des mains
49 Respect des Précautions Standard Port de protections oculaires lunettes masques à visière intégrée choix de matériel tel que les soignants ne soient pas susceptibles de le manipuler avec les gants
50 Respect des Précautions Standard Conteneurs : Beaucoup trop d AES liés à l élimination différée des déchets de soins imperforable ne pas les remplir au-delà de la limite indiquée utiliser des conteneurs disponibles au plus près du soins, sur le haut du chariot Matériel de sécurité système de prélèvement, hémoculture, aiguilles à fistule, aiguilles pour CIP, systèmes «needle-less» préférez des systèmes automatiques ou unimanuels l implantation de matériel de sécurité nécessite la formation préalable des personnels
51 Recommandations SFHH
52 Mise à disposition de matériel de sécurité Matériel de sécurité pour les prélèvements veineux, injections, autres gestes invasifs Matériels choisis avec l aide des personnels et introduits après formation de l ensemble des utilisateurs NIVEAU 2 Procédures «needle-less» (sans aiguille)
53 Dispositif d enregistrement et de suivi des AES (1) surveillance épidémiologique, analyse des AES, diffusion des données de la surveillance NIVEAU 3 surveillance sérologique régulière après consentement éclairé des patients pour détecter des accidents de séroconversion NIVEAU 2
54 Dispositif d enregistrement et de suivi des AES (2) Surveillance sérologique proposée aux personnels après consentement éclairé R Protocole connu de tous et affiché pour la prise en charge après AES R Référent pour la chimiothérapie, identifié et joignable 24 heures sur 24 R
55 Organisation des locaux et planification des soins Travail en effectifs suffisants NIVEAU 3 Etablissement et maintien d une bonne organisation des soins Respect des protocoles établis et connus de tous Limitation au minimum nécessaire du nombre de personnes circulantes Vérification de la compliance du patient lors de tout geste
56 Mesures spécifiques à l hémodialyse (1) Formation spécifique, validée, des personnels à la pratique de l hémodialyse NIVEAU 2 Etude de l utilisation d aiguilles à fistule de sécurité après essai et formation NIVEAU 3 Contrôle des pressions du circuit de la CEC et limitation des causes de surpression. Ne pas faire modifier les fourchettes d alarmes de pression
57 Mesures spécifiques à l hémodialyse (2) Surveillance des abords vasculaires pendant le déroulement de la séance Vérification de toutes les connexions du circuit et de leur verrouillage adéquat Education du patient à la conduite à tenir en cas de reprise du saignement
58
59 Prévention I. Buisson-Vallès, Med Travail Bordeaux SFHH : «bonnes pratiques d hygiène en hémodialyse» recommande «surveillance sérologique proposée aux personnels après consentement éclairé» attention : pas d obligation réglementaire actuellement. pourrait être une «fausse» sécurité induisant une diminution de la vigilance en cas d AES (déclaration et suivi) Préférer centrer les actions information : Précautions Standard - CAT face aux AES (déclaration et suivi) suivi des déclarations / actions à mener
60 Réparation I. Buisson-Vallès, Med Travail Bordeaux En cas de séroconversion réparation au titre des AT (si AES déclaré) Les hépatites B et C peuvent aussi être reconnues comme maladies professionnelles (tableau N 45) Pas de tableau de maladie professionnelle pour le VIH
61
62
63 Conclusion Services de dialyse sont des services à risque d AES (piqûre et projection) Patients à risque notamment / VHC Précautions Standard - bonnes pratiques en dialyse - organisation du travail matériel de sécurité vigilance / déclaration et analyse des AES
64 Conclusion CIRCULAIRE N DHOS/E2/DGS/RI/2009/272 du 26 août 2009 relative à la mise en oeuvre du programme national de prévention des infections nosocomiales 2009/2013
65
66 Pour en savoir plus wwww.geres.org
STOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailSurveillance des accidents avec exposition au sang dans les établissements de santé français en 2008 Résultats
Maladies infectieuses Surveillance des accidents avec exposition au sang dans les établissements de santé français en 2008 Résultats Sommaire Abréviations 2 1. Introduction 3 2. Objectifs 3 2.1 Connaître
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détailRéseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006
Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 La prévention des AES au Centre Hospitalier Lyon Sud HCL, au travers de 2 expériences de terrain réalisées en 2005 1 Origine de la démarche : Prévention des
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailEVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD
EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections
Plus en détailSOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE
SOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE PLAN I) Rappels d anatomie physiologie II) IRC: Définition Traitement: hémodialyse, dérivation péritonéale, greffe III) Hémodialyse Définition Principes Législation IV)
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailPrécautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux
Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Ivana Novakova, Arlin IDF ivana.novakova@sap.aphp.fr arlin.idf@sap.aphp.fr La vie en EHPAD: modèle de tous les paradoxes et
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailPrévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME
Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME Équipe: Dr Elise Seringe elise.seringe@sap.aphp.fr Ivana Novakova ivana.novakova@sap.aphp.fr 01 40 27 42 53 arlin.idf@sap.aphp.fr C CLINs de FRANCE
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailAblation de sutures. Module soins infirmiers
Ablation de sutures Module soins infirmiers Equipe enseignante de l IFSI du Centre Hospitalier de ROUBAIX Diaporama réalisé par : Stéphane Dubus, Formateur I. Définition Il s agit d ôter les sutures cutanées
Plus en détailPrépration cutanée de l opéré
Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailGESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ
GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social
Plus en détail2. HYGIENE ET PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX
Hygiène des soins infirmiers en ambulatoire - C.CLIN-Ouest 2002 2. HYGIENE ET PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX LES PRECAUTIONS STANDARD Objectif : Protéger systématiquement tous les patients et tous les
Plus en détailVotre bébé a besoin de soins spéciaux
Votre bébé a besoin de soins spéciaux Ce guide se veut un document de référence afin de favoriser une meilleure compréhension de tous les aspects entourant la venue d un enfant prématuré ou malade. Il
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailSoins infirmiers et gestion des risques
Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailProgramme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012
Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailLignes directrices de l OMS applicables aux prélèvements sanguins : meilleures pratiques en phlébotomie
Lignes directrices de l OMS applicables aux prélèvements sanguins : meilleures pratiques en phlébotomie Lignes directrices de l OMS applicables aux prélèvements sanguins : les meilleures pratiques en
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Conduite à tenir pour la prise en charge des personnes présentant un syndrome ou une suspicion de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailSimulation en aviation
Hôpitaux Universitaires de Genève Intérêt de la simulation en pharmacotechnie Pr Pascal BONNABRY Pharmacien-chef JFSPH 23 avril 2015 Etre les premiers pour vous Simulation en aviation 2 1 Simulation en
Plus en détailPrévention des maladies infectieuses transmises par voie sanguine dans le secteur sanitaire
Prévention des maladies infectieuses transmises par voie sanguine dans le secteur sanitaire Marcel Jost, Brigitte Merz, Carlo Colombo, Patrick Francioli, Christian Ruef, Anne Iten, Josef Jost, Martin Rüegger,
Plus en détailSUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES
SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailPrésentation des intervenants et modérateurs
«NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2012 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 293 Vaccinations pour les personnels de santé INTRODUCTION La vaccination des personnels de santé a
Plus en détailAIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG
CENTRE NATIONAL DE TRANSFUSION SANGUINE ---------------------------------- DIRECTION DE LA COMMUNICATION ET DE LA PROMOTION DU DON DE SANG AIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG Pour vos dons et activités
Plus en détailDe ces considérations résulte l importance de la gestion du risque infectieux dans les EHPAD du fait de la grande fragilité des résidents.
INTRODUCTION Il y aurait en France environ 650 000 résidents hébergés, répartis dans une dizaine de milliers d EHPAD. Environ 40% des résidents ont au moins 85 ans avec une majorité de femmes (70%) [résultats
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailDr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)
Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation
Plus en détailPSDP et usage des pénicillines - ESAC
Plan National d alerte sur les Antibiotiques 2011/2016 Déclinaison régionale Pr Pierre DELLAMONICA CHU de Nice ARS 29/11/12 1 Plans précédents 2001/2005 et 2007/2010 «Menace de santé publique majeure»
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détail«Actualités et aspects pratiques de l antisepsie»
Symposium Pharma «Actualités et aspects pratiques de l antisepsie» Modérateur : Joseph Hajjar Quelle antisepsie pour quel acte? Dr Olivia KEITA-PERSE Centre Hospitalier Princesse Grace Monaco Antisepsie
Plus en détailL entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?
L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailLes précautions «standard» sont décrites dans la circulaire
PRÉVENIR Précautions standard Les précautions «standard» sont décrites dans la circulaire DGS/DH - n 98/249 du 20 avril 1998 relative à la prévention de la transmission d agents infectieux véhiculés par
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailSTAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE
FACULTÉ DE MÉDECINE FACULTÉ DE CHIRURGIE DENTAIRE Université de Strasbourg STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE JUILLET ou AOUT ou SEPTEMBRE 2012
Plus en détailCampagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie
Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Contexte de la fistule obstétricale Situation en Mauritanie Progrès au niveau Pays/ Mise en œuvre Défis pour les années à
Plus en détailORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction de l Hospitalisation et de l Organisation des Soins ORGANISATION DES SOINS EN SITUATION DE PANDEMIE GRIPPALE > FICHES DE RECOMMANDATIONS 1 re édition
Plus en détailPOLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné
POLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné Congrès SFSP, Jeudi 3 novembre 2011 Contexte et objectifs Sécurité transfusionnelle = Préoccupation
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailLa réglementation quelques incontournables
Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Les recours possibles pour les patients OBTENIR DES EXPLICATIONS Si un patient
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Lorsqu il estime avoir été victime, de la part d un établissement ou d un
Plus en détailPREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE. Marcelle Haddad
PREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE Marcelle Haddad PLUSIEURS CATEGORIES DE CHIRURGIE 1-Perte d un d organe ou d une fonction Ex: cholecystectomie,appenticectomie 2-Ablation d une tumeur,, d un d
Plus en détailLA VACCINATION PROFESSIONNELLE
F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège
Plus en détailCécile Bergeron, B. Sc. inf. cécile.bergeron@rrsss16.gouv.qc.ca. Anne Plante, M.Sc. Inf., CSIO, CSIP anne.plante@rrsss16.gouv.qc.
Direction québécoise de cancérologie Les pratiques exemplaires en cancérologie Session d information aux nouveaux patients recevant de la chimiothérapie (version abrégée) 30 novembre 2012 Cécile Bergeron,
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailRecommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation
Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation
Plus en détailAUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON
AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?
Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012
Plus en détailWHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5
WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la
Plus en détailPrévenir... les accidents des yeux
Prévenir... les accidents des yeux 19 Ce qui peut venir troubler notre vision Chaque année, des milliers de personnes perdent la vue ou ont une importante baisse de la vision, à la suite d un accident
Plus en détailGESTION DES RISQUES EN MILIEU HOSPITALIER : LE POINT DE VUE DE L HYGIÉNISTE Bizerte, le 3 décembre 2005 Prof. Njah Mansour Service d hygiène hospitalière CHU F. Hached Sousse. Plan Introduction Définitions
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailLE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES
LE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES Le Diagnostic : Il repose sur l écoute du patient, l examen clinique, le sondage, la radiographie. L inflammation gingivale peut être
Plus en détailDons, prélèvements et greffes
Dons, prélèvements et greffes Donneur : d une vie à une autre... Chaque année, en France, plus de 10000 malades attendent une greffe afin de continuer à vivre ou d améliorer une existence lourdement handicapée.
Plus en détailHygiène et prévention du risque infectieux en cabinet médical ou paramédical
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Hygiène et prévention du risque infectieux en cabinet médical ou paramédical Recommandations Juin 2007 Avec le partenariat méthodologique et le concours financier de la
Plus en détailCOMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE
COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détail7e ÉDITION. Secourisme en milieu de travail. en milieu de travail. www.csst.qc.ca/secourisme
en milieu de travail 7e ÉDITION Secourisme en milieu de travail www.csst.qc.ca/secourisme Ce document est réalisé par la Direction générale de la prévention-inspection et du partenariat, en collaboration
Plus en détailLa formation dans tous ses états. Programme et méthode de formation continue sur la
La formation dans tous ses états Programme et méthode de formation continue sur la «Préparation des médicaments anticancéreux» Répond à (Art R 950-4 al 1 du Code du Travail) Par qui, Comment et Pourquoi.
Plus en détailSommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013
La base documentaire a été complètement révisée pour être en conformité avec cette version 2012 de l ISO 15189. La cartographie des différents processus du LBM a également été modifiée (suppression du
Plus en détailAUDIT 2009 des UCPC de Lorraine
AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine Nom de l'établissement Date Nombre de préparations / an : Date d'installation: Personnes présentes Nom / Prénom Fonction Signature Réseau Oncolor 2010 1 SOMMAIRE Page I
Plus en détailVadémécum LA GREFFE D ORGANES. en 7 fiches pratiques. Version
Vadémécum LA GREFFE D ORGANES en 7 fiches pratiques Version NOVEMBRE 2013 PRÉAMBULE 1/3 PRÉAMBULE Ce vadémécum est destiné aux inspecteurs des agences régionales de santé (ARS), qu ils soient amenés à
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailREFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE
REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE 1 ACTIVITES TECHNIQUES AIDE DENTAIRE / GESTION DU RISQUE INFECTIEUX Préparer et entretenir la salle de soins Entretenir la salle de stérilisation
Plus en détailFICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC
1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance
Plus en détailEvaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick)
Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick) Le danger : propriété ou capacité intrinsèque d un équipement, d une substance, d une méthode de travail, de causer
Plus en détail